Macron, seras-tu criminel comme ton pote Bergoglio ? Voici 3 crimes contre l'humanité !
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Re: Macron, seras-tu criminel comme ton pote Bergoglio ? Voici 3 crimes contre l'humanité !
Le vomi de l'enfer
Par Don Elia, 28 avril 2018
Messieurs, l'enfer est servi. Ici sur terre. Grâce aux idées bestiales des "progressistes" et au soutien hypocrite de leur vile coryphée ecclésiastique. Non seulement, par permission divine, l'abîme a été bien ouvert (cf. Apocalypse 9:1ss), d'où est sortie une fumée dense qui a obscurci le soleil et l'atmosphère (c'est-à-dire l'intellect et la culture de peuples entiers) et qui a répandu partout des sauterelles féroces (c'est-à-dire des démons) qui tourmentent les hommes, mais l'abîme insatiable s'élargit de plus en plus avec la complicité active des institutions publiques. En quelques années, ils ont réussi à convaincre les gens que le meilleur intérêt d'un malade qui ne peut pas guérir est de le tuer comme un animal, au lieu de prendre soin de lui avec amour jusqu'à ce que la volonté divine le fasse sortir de ce monde. Or, cette mentalité inhumaine induite devient loi par la jurisprudence, à partir d'un pays qui passe (indûment) par le phare des libertés démocratiques, alors qu'en réalité, il a toujours été l'otage d'une oligarchie – d'abord foncière, puis industrielle et financière – façonnée par une idéologie raciste et, aujourd'hui, obsédée par un prétendu excès de population.
L'euthanasie des enfants peut aussi avoir des motivations purement contingentes. Dans le cas d'Alfie, on a supposé (même par le personnel hospitalier) la couverture d'un crime grave, peut-être lié au trafic d'organes, à l'essai de nouveaux vaccins ou même - ce n'est pas à exclure - un rite de passage dans une loge maçonnique : il pourrait s'agir, en somme, d'un véritable sacrifice humain offert au diable pour une admission à un degré supérieur. Le rite écossais en prévoit trente-trois ; jusqu'au seizième inclus, grâce à l'observation d'un secret strict et au système d'initiation graduelle, l'affilié peut encore ignorer la nature luciférienne de l'association. Avec l'entrée dans le dix-septième (le central), il est plutôt introduit dans l'arcane du culte de Satan ; si sa conscience se rebelle et n'est pas disposée à continuer, sa vie vient à être en grave danger. Il y a aussi des francs-maçons repentants qui, après la conversion, ont raconté leurs expériences, mais Dieu seul sait combien d'entre eux ne peuvent plus parler.
Au-delà des explications possibles, cependant, une stratégie à long terme pour créer un ordre d'euthanasie et d'eugénisme est certainement en place. Quand les autorités publiques d'un pays s'unissent si fermement, il doit y avoir un enjeu très important avec un objectif beaucoup plus large. Les deux niveaux d'interprétation ne sont pas mutuellement exclusifs : Winston Churchill, par exemple, pour passer le test d'admission à un nouveau degré : rasé au sol la ville de Dresde [objectif atteint], sans aucun avantage plausible de guerre, mais avec une perte incalculable de vies humaines et de trésors artistiques ; l'ensemble du conflit faisait néanmoins partie du projet d'établissement progressif du Nouvel Ordre Mondial, qui avec la Grande Guerre avait redessiné la carte de l'Europe et avec la seconde divisait le monde en deux blocs apparemment opposés. Nous nous dirigeons maintenant vers la troisième, mais déjà depuis des décennies une guerre interne silencieuse, non déclarée, est en cours dans les pays dits "démocratiques", dont les peuples sont décimés par leurs propres institutions par la stérilisation, l'avortement, la contraception, le pansexualisme et le sexisme et, maintenant, aussi avec l'euthanasie de l'État.
Comme je l'ai déjà mentionné, la mentalité nazie a des racines anglo-saxonnes et ne s'est pas éteinte du tout, mais aujourd'hui elle domine les gouvernements et la politique des pays occidentaux ; dans cette optique, le Troisième Reich n'était rien de plus qu'une expérience voulue et rendue possible par l'élite maçonnique-satanique qui les contrôle. Une fois que cela a été admis, la question se pose : où est l'Église catholique ? Elle est en état d'occupation, formellement soumise à des apostats enregistrés dans le libro-paga de Mister Soros & Company. On ne peut pas conclure autrement, après avoir lu la déclaration des évêques britanniques : « Nous affirmons notre conviction que tous ceux qui ont pris des décisions déchirantes concernant le soin d'Alfie Evans agissent avec intégrité et pour le bien d'Alfie, comme ils le voient. » Que dire ? Un chef-d'œuvre non seulement d'hypocrisie, mais surtout de correction policière : le point de référence n'est plus la loi divine immuable, mais une conviction subjective des bureaucrates ecclésiastiques ; le soin d'un enfant malade peut inclure sa suppression délibérée ; même un crime horrible peut être commis avec intégrité et le bien est privé de tout caractère objectif, restant maintenant déterminé par la manière dont tout le monde le voit.
Le bien, comme l'a vu Adolf Hitler, y compris l'extermination de millions d'innocents (handicapés, juifs, tsiganes et chrétiens, dont les derniers, qui sait pourquoi, ne sont jamais mentionnés). À ce moment-là, notre Paglia inexprimable aurait soutenu que nous avions besoin d'établir une alliance d'amour afin de procéder d'une manière aussi partagée que possible pour trouver la meilleure solution. Le contenu de "concordance" est ici complètement hors de propos : la valeur suprême n'est pas de créer des contrastes. Mais vous pouvez certainement bien vous entendre avec tout le monde, laissant tout le monde penser et faire ce qu'ils veulent – sauf, bien sûr, si vous êtes touché en personne... La colère humaine, à ce stade, vous donnerait le désir de pendre ces criminels anglais avec leurs propres tripes et les faux bergers de connivence, mais nous ne sommes pas des cryptonazistes comme eux. Et puis il y a toujours le jugement juste et inexorable de Dieu, devant lequel nous devons tous apparaître. Si ces messieurs ne se repentent pas à temps, réparant leurs erreurs autant que possible, les démons dans le service desquels ils se sont placés auront plaisir à les tourmenter pour toute l'éternité et au-delà. Pour le moment ce sont les cousins (carbonari) qui l'emportent. Quiconque les croise dans la rue peut au moins leur cracher au visage pour exprimer leur opinion : c'est un droit civil.
Mais, à part l'explosion d'un cœur débordant de douleur et d'amertume, il est réconfortant de reconnaître qu'au moins une voix isolée d'évêques catholiques s'est élevée. L'archevêque de Trieste, Giampaolo Crepaldi, a dit que, dans le cas du petit Evans, il n'y avait aucune incertitude au niveau du jugement moral et que le comportement à assumer était très clair : il aurait été juste de l'aider à vivre, ce qui n'est pas du tout configuré comme une fureur thérapeutique ; au contraire, nous avons été habitués d'une manière totalement illogique à le supprimer en vue de son "bien". « Le jugement sur Alfie a éliminé le droit naturel, il a supprimé le droit à l'objection de conscience, il a rasé au sol le concept d'objectivité du bien », a-t-il déclaré sans ambiguïté. Ainsi, l'État est le maître de la vie innocente et remplace la volonté des parents (exactement - j'ajouterais – comme dans les pires régimes totalitaires que l'histoire connaisse). « Mais ce ne sera pas le jugement d'un juge, ni l'action d'un gouvernement, ni la décision d'un hôpital de changer la vérité et le bien », a-t-il conclu avec une rigueur incontestable.
Nous nous demandons maintenant : Paglia et Crepaldi appartiennent-ils à la même institution ? Outre l'aspect formel, est-ce que les deux détiennent vraiment une mission dans l'Église ou est-ce que le premier n'est qu'un bouffon des puissances occultes, ainsi que les prélats anglais ? Ici, en fait, il y a une faille, certainement pas manifeste, mais évidente aux yeux de Celui qui scrute les cœurs et de ceux qui Le servent sincèrement. Il faut nécessairement choisir son camp : certainement dans la conscience ; si nécessaire, aussi publiquement. Avons-nous la même foi que ceux qui ont approuvé un infanticide comme remède ou que ceux qui, après avoir refusé toute assistance spirituelle à la famille et n'ayant jamais rendu visite à l'enfant, se sont rendus à Rome pour dissuader le Pape de toute intervention ? Pouvons-nous être en communion avec ceux qui ont appelé à un pacte d'amour avec un régime qui, pour assassiner son petit fils loin des projecteurs, a persuadé ses parents de demander le retrait des manifestants et des journalistes en échange d'un faux espoir ? Pouvons-nous, au-delà du bavardage, être tous de vrais membres du même Corps ? En tant qu’Église, nous les considérons comme excommuniés. Anathema sit !
« Dieu a placé des inimitiés, des antipathies, des oppositions profondes entre les fils et serviteurs authentiques de la Sainte Vierge et ceux qui sont fils et esclaves du diable ; ils ne peuvent s'aimer les uns les autres, il ne peut y avoir de compréhension mutuelle. Les fils de Bélial, les esclaves de Satan, les amis du monde (qui sont la même chose) ont toujours persécuté jusqu'à présent et persécuteront de plus en plus ceux qui appartiennent à la Sainte Vierge, comme dans le passé Caïn a persécuté son frère Abel et Ésaü son frère Jacob, qui sont les figures des réprouvés et des prédestinés. Mais l'humble Marie apportera toujours la victoire sur cet orgueilleux : une victoire si grande qu'elle viendra écraser sa tête, où réside son orgueil ; elle saura toujours démasquer le serpent, éviscérer ses pièges infernaux, dissiper les projets diaboliques et savoir défendre, jusqu'à la fin des temps, ses fidèles dévots de ses cruelles griffes ; » (Saint Louis Marie Grignion de Montfort, Traité sur la vraie dévotion à la Vierge Marie, § 54).
Source : http://lascuredielia.blogspot.ro/2018/04/nazisti-in-toga-camicee-clergyman-chela.html
(Album ACTU : https://gloria.tv/album/76VN81FZDJbK2uSHFW7kZmX3K )
Par Don Elia, 28 avril 2018
Messieurs, l'enfer est servi. Ici sur terre. Grâce aux idées bestiales des "progressistes" et au soutien hypocrite de leur vile coryphée ecclésiastique. Non seulement, par permission divine, l'abîme a été bien ouvert (cf. Apocalypse 9:1ss), d'où est sortie une fumée dense qui a obscurci le soleil et l'atmosphère (c'est-à-dire l'intellect et la culture de peuples entiers) et qui a répandu partout des sauterelles féroces (c'est-à-dire des démons) qui tourmentent les hommes, mais l'abîme insatiable s'élargit de plus en plus avec la complicité active des institutions publiques. En quelques années, ils ont réussi à convaincre les gens que le meilleur intérêt d'un malade qui ne peut pas guérir est de le tuer comme un animal, au lieu de prendre soin de lui avec amour jusqu'à ce que la volonté divine le fasse sortir de ce monde. Or, cette mentalité inhumaine induite devient loi par la jurisprudence, à partir d'un pays qui passe (indûment) par le phare des libertés démocratiques, alors qu'en réalité, il a toujours été l'otage d'une oligarchie – d'abord foncière, puis industrielle et financière – façonnée par une idéologie raciste et, aujourd'hui, obsédée par un prétendu excès de population.
L'euthanasie des enfants peut aussi avoir des motivations purement contingentes. Dans le cas d'Alfie, on a supposé (même par le personnel hospitalier) la couverture d'un crime grave, peut-être lié au trafic d'organes, à l'essai de nouveaux vaccins ou même - ce n'est pas à exclure - un rite de passage dans une loge maçonnique : il pourrait s'agir, en somme, d'un véritable sacrifice humain offert au diable pour une admission à un degré supérieur. Le rite écossais en prévoit trente-trois ; jusqu'au seizième inclus, grâce à l'observation d'un secret strict et au système d'initiation graduelle, l'affilié peut encore ignorer la nature luciférienne de l'association. Avec l'entrée dans le dix-septième (le central), il est plutôt introduit dans l'arcane du culte de Satan ; si sa conscience se rebelle et n'est pas disposée à continuer, sa vie vient à être en grave danger. Il y a aussi des francs-maçons repentants qui, après la conversion, ont raconté leurs expériences, mais Dieu seul sait combien d'entre eux ne peuvent plus parler.
Au-delà des explications possibles, cependant, une stratégie à long terme pour créer un ordre d'euthanasie et d'eugénisme est certainement en place. Quand les autorités publiques d'un pays s'unissent si fermement, il doit y avoir un enjeu très important avec un objectif beaucoup plus large. Les deux niveaux d'interprétation ne sont pas mutuellement exclusifs : Winston Churchill, par exemple, pour passer le test d'admission à un nouveau degré : rasé au sol la ville de Dresde [objectif atteint], sans aucun avantage plausible de guerre, mais avec une perte incalculable de vies humaines et de trésors artistiques ; l'ensemble du conflit faisait néanmoins partie du projet d'établissement progressif du Nouvel Ordre Mondial, qui avec la Grande Guerre avait redessiné la carte de l'Europe et avec la seconde divisait le monde en deux blocs apparemment opposés. Nous nous dirigeons maintenant vers la troisième, mais déjà depuis des décennies une guerre interne silencieuse, non déclarée, est en cours dans les pays dits "démocratiques", dont les peuples sont décimés par leurs propres institutions par la stérilisation, l'avortement, la contraception, le pansexualisme et le sexisme et, maintenant, aussi avec l'euthanasie de l'État.
Comme je l'ai déjà mentionné, la mentalité nazie a des racines anglo-saxonnes et ne s'est pas éteinte du tout, mais aujourd'hui elle domine les gouvernements et la politique des pays occidentaux ; dans cette optique, le Troisième Reich n'était rien de plus qu'une expérience voulue et rendue possible par l'élite maçonnique-satanique qui les contrôle. Une fois que cela a été admis, la question se pose : où est l'Église catholique ? Elle est en état d'occupation, formellement soumise à des apostats enregistrés dans le libro-paga de Mister Soros & Company. On ne peut pas conclure autrement, après avoir lu la déclaration des évêques britanniques : « Nous affirmons notre conviction que tous ceux qui ont pris des décisions déchirantes concernant le soin d'Alfie Evans agissent avec intégrité et pour le bien d'Alfie, comme ils le voient. » Que dire ? Un chef-d'œuvre non seulement d'hypocrisie, mais surtout de correction policière : le point de référence n'est plus la loi divine immuable, mais une conviction subjective des bureaucrates ecclésiastiques ; le soin d'un enfant malade peut inclure sa suppression délibérée ; même un crime horrible peut être commis avec intégrité et le bien est privé de tout caractère objectif, restant maintenant déterminé par la manière dont tout le monde le voit.
Le bien, comme l'a vu Adolf Hitler, y compris l'extermination de millions d'innocents (handicapés, juifs, tsiganes et chrétiens, dont les derniers, qui sait pourquoi, ne sont jamais mentionnés). À ce moment-là, notre Paglia inexprimable aurait soutenu que nous avions besoin d'établir une alliance d'amour afin de procéder d'une manière aussi partagée que possible pour trouver la meilleure solution. Le contenu de "concordance" est ici complètement hors de propos : la valeur suprême n'est pas de créer des contrastes. Mais vous pouvez certainement bien vous entendre avec tout le monde, laissant tout le monde penser et faire ce qu'ils veulent – sauf, bien sûr, si vous êtes touché en personne... La colère humaine, à ce stade, vous donnerait le désir de pendre ces criminels anglais avec leurs propres tripes et les faux bergers de connivence, mais nous ne sommes pas des cryptonazistes comme eux. Et puis il y a toujours le jugement juste et inexorable de Dieu, devant lequel nous devons tous apparaître. Si ces messieurs ne se repentent pas à temps, réparant leurs erreurs autant que possible, les démons dans le service desquels ils se sont placés auront plaisir à les tourmenter pour toute l'éternité et au-delà. Pour le moment ce sont les cousins (carbonari) qui l'emportent. Quiconque les croise dans la rue peut au moins leur cracher au visage pour exprimer leur opinion : c'est un droit civil.
Mais, à part l'explosion d'un cœur débordant de douleur et d'amertume, il est réconfortant de reconnaître qu'au moins une voix isolée d'évêques catholiques s'est élevée. L'archevêque de Trieste, Giampaolo Crepaldi, a dit que, dans le cas du petit Evans, il n'y avait aucune incertitude au niveau du jugement moral et que le comportement à assumer était très clair : il aurait été juste de l'aider à vivre, ce qui n'est pas du tout configuré comme une fureur thérapeutique ; au contraire, nous avons été habitués d'une manière totalement illogique à le supprimer en vue de son "bien". « Le jugement sur Alfie a éliminé le droit naturel, il a supprimé le droit à l'objection de conscience, il a rasé au sol le concept d'objectivité du bien », a-t-il déclaré sans ambiguïté. Ainsi, l'État est le maître de la vie innocente et remplace la volonté des parents (exactement - j'ajouterais – comme dans les pires régimes totalitaires que l'histoire connaisse). « Mais ce ne sera pas le jugement d'un juge, ni l'action d'un gouvernement, ni la décision d'un hôpital de changer la vérité et le bien », a-t-il conclu avec une rigueur incontestable.
Nous nous demandons maintenant : Paglia et Crepaldi appartiennent-ils à la même institution ? Outre l'aspect formel, est-ce que les deux détiennent vraiment une mission dans l'Église ou est-ce que le premier n'est qu'un bouffon des puissances occultes, ainsi que les prélats anglais ? Ici, en fait, il y a une faille, certainement pas manifeste, mais évidente aux yeux de Celui qui scrute les cœurs et de ceux qui Le servent sincèrement. Il faut nécessairement choisir son camp : certainement dans la conscience ; si nécessaire, aussi publiquement. Avons-nous la même foi que ceux qui ont approuvé un infanticide comme remède ou que ceux qui, après avoir refusé toute assistance spirituelle à la famille et n'ayant jamais rendu visite à l'enfant, se sont rendus à Rome pour dissuader le Pape de toute intervention ? Pouvons-nous être en communion avec ceux qui ont appelé à un pacte d'amour avec un régime qui, pour assassiner son petit fils loin des projecteurs, a persuadé ses parents de demander le retrait des manifestants et des journalistes en échange d'un faux espoir ? Pouvons-nous, au-delà du bavardage, être tous de vrais membres du même Corps ? En tant qu’Église, nous les considérons comme excommuniés. Anathema sit !
« Dieu a placé des inimitiés, des antipathies, des oppositions profondes entre les fils et serviteurs authentiques de la Sainte Vierge et ceux qui sont fils et esclaves du diable ; ils ne peuvent s'aimer les uns les autres, il ne peut y avoir de compréhension mutuelle. Les fils de Bélial, les esclaves de Satan, les amis du monde (qui sont la même chose) ont toujours persécuté jusqu'à présent et persécuteront de plus en plus ceux qui appartiennent à la Sainte Vierge, comme dans le passé Caïn a persécuté son frère Abel et Ésaü son frère Jacob, qui sont les figures des réprouvés et des prédestinés. Mais l'humble Marie apportera toujours la victoire sur cet orgueilleux : une victoire si grande qu'elle viendra écraser sa tête, où réside son orgueil ; elle saura toujours démasquer le serpent, éviscérer ses pièges infernaux, dissiper les projets diaboliques et savoir défendre, jusqu'à la fin des temps, ses fidèles dévots de ses cruelles griffes ; » (Saint Louis Marie Grignion de Montfort, Traité sur la vraie dévotion à la Vierge Marie, § 54).
Source : http://lascuredielia.blogspot.ro/2018/04/nazisti-in-toga-camicee-clergyman-chela.html
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VotreServiteur- Troisième Demeure : J'évite tous les péchés.
- Messages : 139
Date d'inscription : 19/11/2017
Re: Macron, seras-tu criminel comme ton pote Bergoglio ? Voici 3 crimes contre l'humanité !
@ Tous :
Consciemment, ou inconsciemment, beaucoup de nos prélats font le jeu du démon !
Dans le cas qui nous occupe, il est évident qu'ils n'ont pas défendu la Vérité, mais se sont plutôt couchés devant l'Esprit du Monde..., qui est l'Esprit de Satan !
L'Administrateur
Consciemment, ou inconsciemment, beaucoup de nos prélats font le jeu du démon !
Dans le cas qui nous occupe, il est évident qu'ils n'ont pas défendu la Vérité, mais se sont plutôt couchés devant l'Esprit du Monde..., qui est l'Esprit de Satan !
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Re: Macron, seras-tu criminel comme ton pote Bergoglio ? Voici 3 crimes contre l'humanité !
Auschwitz à l'échelle planétaire, voilà ce qui nous attend tous
Comment Alfie est mort
Le terrible récit de Benedetta Frigerio, la journaliste de La Bussola, qui a vécu heure par heure à Liverpool avec les parents de l'enfant, les jours tragiques qui ont précédé sa mort. A lire absolument.
("Benoît-et-moi", le 2/5/2018)
>>> Dossier Alfie : http://benoit-et-moi.fr/2018/actualite/dossier-alfie.html
C'est le récit d'un authentique martyre, au sens littéral du terme - ce n'est pas une simple façon de parler. Il faut le lire, pour se persuader qu'on ne peut pas ne pas prendre position: c'est bel et bien un assassinat, et de la plus cruelle des façons. Et il y a eu des précédents...
Voilà comment ils ont fait mourir Alfie
1er mai 2018
Benedetta Frigerio
http://www.lanuovabq.it/it/ecco-come-hanno-fatto-morire-alfie
Ma traduction
* * *
Il est vrai que la chose la plus scandaleuse qui soit arrivée au petit Alfie Evans est qu'il a été intubé et ventilé pendant 15 mois et qu'on lui a refusé une trachéotomie, parce qu'un mois après son hospitalisation (en décembre 2016) il a été décidé qu'il devait mourir sans même essayer de faire un diagnostic. En fait, même si les journaux ont écrit qu'Alfie souffrait d'une maladie mitochondriale, il n'y a pas la moindre trace d'examen clinique pour le prouver.
Il est aussi certainement déconcertant de constater que les tuyaux de ventilation d'Alfie ont été remplacés plus de 5 mois après leur application et ont donc été trouvés pleins de sanie, comme l'a montré son père avec une série de photos (dont certaines publiées par nous : http://lanuovabq.it/it/le-foto-di-alfie-maltrattato-altro-che-best-interest ) qui prouvent les nombreuses négligences de l'Alder Hey hospital de Liverpool. Preuves qui ont également beaucoup frappée Mariella Enoc, Présidente du Bambino Gesù, qui s'est vu refuser par l'hôpital anglais l'entrée dans la chambre d'Alfie. Bref, tout cela est vrai, mais Alfie n'est pas mort uniquement pour cela.
Une fois la ventilation enlevée, Alfie a a subi un traitement terrible.
Comme ses poumons étaient habitués à se dilater mécaniquement, les médecins auraient dû le "sevrer" pour ne pas provoquer la mort immédiate. Pourtant, ils ne l'ont pas fait même si le bébé avait contracté une infection pulmonaire après l'arrêt des machines.
C'est pour cela qu'Alfie, comme il l'avait expliqué à Thomas un médecin italien avec lequel il était en contact, avait besoin d'une antibiothérapie immédiate, qui lui a été refusée. Et pourtant, malgré tout cela, le bébé a quand même respiré sans aucune aide pendant des heures, puisque les médecins lui avaient aussi refusé le masque nécessaire pour aider sa respiration, de toute façon autonome.
Donc, dans la soirée du lundi 23 avril, après le retrait de la ventilation à 22h15, Thomas a lancé un appel demandant que quelqu'un apporte de l'oxygène à l'hôpital, mais la barrière de police à l'entrée empêchait toute intervention extérieure. À ce moment-là, l'un des avocats de la famille, Pavel Stroilov, a couru à l'Alder Hey hospital, à l'appel de Thomas. Alors que Stroilov entrait, six autres personnes ont essayé de le suivre, dont une avec un masque à la main, qui a essayé d'entrer avec lui sans succès. Celle-ci a pourtant pensé à jeter le masque par-dessus la tête des agents, permettant à l'avocat de l'apporter aux parents d'Alfie. A ce point, le petit, qui avait déjà démontré une force de lion, démentant l'avocat de l'hôpital, Michael Mylonas, qui dans l'audience avait rassuré le juge Hayden que la mort d'Alfie serait immédiate après le retrait de la ventilation, a été aidé à respirer.
Mais, une fois de plus, les médecins ont essayé de priver l'enfant du masque, avec l'excuse qu'il ne venait pas de l'Alder Hey. Et à deux reprises, ils ont donné l'ordre de l'enlever, jusqu'à ce que Thomas souligne que le protocole de mort approuvé par le juge Hayden ne parlait ni de privation d'oxygène ni de suspension de la nutrition. Pour la même raison, Thomas a obtenu que le bébé, privé de nourriture depuis au moins 36 heures, soit alimenté. Oui, Alfie est resté sans nourriture pendant 36 heurs, un temps très long pour un si petit enfant, dont le cœur avait déjà été soumis à un énorme effort après le retrait violent de la ventilation sans sevrage.
De plus, quand ensuite l'alimentation a été fournie, elle était de toute façon à un niveau très bas. L'enfant a vécu menacé par les médecins et défendu par ses parents pendant 4 jours, ouvrant parfois les yeux, réagissant. Alors, pour faire taire la presse, l'hôpital a promis à Thomas plus d'oxygène et plus de soutien vital. Deux heures avant de mourir, la saturation en oxygène était d'environ 98 et les battements d'Alfie étaient d'environ 160, à tel point que Thomas était convaincu qu'ils le laisseraient partir bientôt à la maison (c'est ce que l'administration de l'hôpital lui a dit vendredi après-midi). Avant sa mort, alors que Thomas était sorti un instant, laissant Kate endormie et un autre membre de la famille dans la chambre, une infirmère est entrée et a expliqué qu'elle allait donner au bébé quatre médicaments (on ne sait pas lesquels) pour le soigner. Après environ 30 minutes, la saturation est tombée à 15. Deux heures plus tard, Alfie était mort.
Nous ne savons pas combien Alfie aurait vécu s'il avait été correctement aidé et soigné, nous ne savons pas si des examens approfondis auraient permis d'établir un diagnostic et ensuite de trouver un remède, nous ne savons même pas si Alfie a été réduit à cet état par la responsabilité d'un hôpital dont le curriculum passé est pour le moins monstrueux (comme nous lisons dans cet article et dans cet autre, où de nombreux indices rendent l'hypothèse au minimum admissible si elle n'est pas prouvée).Mais ce qui est certain, c'est que nous ne pouvons pas dire que l'enfant est mort uniquement à cause de la suppression des soutiens vitaux.
Comme l'avait écrit Bruno Dallapiccola, l'éminent généticien et directeur scientifique de l'Hôpital Bambino Gesù, "le petit Alfie ne pourra pas résister longtemps sans l'apport de substances nutritives à travers le phlébo (càd par voix intraveineuse). Sans apport nutritionnel, la survie peut varier de quelques heures à quelques jours". Bien sûr, "la durée de la survie est conditionnée par les conditions initiales du patient", bien que dans le cas d'Alfie "nous ne pouvons pas nous prononcer avec certitude". Cependant, concluait Dallapiccola, "indépendamment du fait que le bébé continue à respirer de façon autonome, le manque d'apport nutritionnel représente désormais une urgence".
Angelo Selicorni, un éminent généticien italien, est lui aussi intervenu deux jours après le retrait de la ventilation: "Détaché des machines, l'enfant a 'résisté' pendant des heures sans 'aucune intention de mourir'". Ce tournant, a-t-il poursuivi, "met en doute la 'terminalité' de son état".
Alfie, déjà fatigué et soumis à des traitements violents, a été complètement privé de l'antibiotique nécessaire pour guérir l'infection et ensuite de nourriture et d'oxygène pendant trop longtemps. Ceux qui ne veulent pas prendre position se cachent derrière le mantra du "cas trop compliqué", dont les limites seraient difficiles à établir. Mais peut-être n'ont-ils pas le courage de regarder la réalité et de dire qu'il s'agit d'un cas flagrant d'acharnement euthanasique? Il est clair que si pour les médecins la vie d'Alfie était "futile", donc un poids et un coût qui ne valaient pas la peine d'être soutenus, l'approche clinique envers lui ne pouvait avoir d'autre but que de l'éliminer. Comme Selicorni l'a encore écrit : "Si je considère l'histoire d'Alfie comme une non-valeur, une histoire humaine inutile, dénuée de sens, je ne peux que penser que plus tôt j'y mettrai fin, mieux ce sera".
Un fantasme ? En 2012, de nombreuses polémiques avaient éclaté au sujet de plaintes de patients impliqués dans le Liverpool Care Pathaway (LCP), le programme de traitement de fin de vie alors en vigueur en Grande-Bretagne. Une infirmière de l'Alder Hey, Bernadette Loyd, lasse de voir des cas semblables, avait écrit au ministère de la Santé pour dénoncer la façon dont mouraient les enfants et les nouveaux-nés. "Mourir de soif est terrible, et il est inconcevable que des enfants doivent mourir ainsi. Les parents se trouvent face à un dilemne et se sentent presque obligés de choisir cette voie parce que les médecins leur disent que leur enfant n'a plus que quelques jours à vivre. Mais il est très difficile de prédire la mort et j'ai aussi vu quelques enfants qui ont recommencé à vivre, après que le LCP ait été mis en route puis interrompu". "J'ai aussi vu des enfants mourir terriblement de soif parce que l'hydratation est suspendue jusqu'à ce qu'ils meurent. J'ai vu un garçon de 14 ans atteint d'un cancer mourir la langue collée au palais quand les médecins ont refusé de l'hydrater. Sa mort a été vécue avec angoisse par lui et par nous, infirmières. C'est l'euthanasie qui arrive par la porte d'entrée". Le système national de santé avait répondu à Bernadette Loyd sans aborder le fond de la question: "Les soins de fin de vie doivent répondre aux plus hauts critères professionnels et nous devons savoir être proches des parents de l'enfant pendant le processus de prise de décision".
Voilà ce qu'a fait le martyre d'Alfie a fait, en plus de la conversion de tant de cœurs: il nous a contraints à nous unir contre un monstre, à regarder la brutalité d'un système eugénique déguisé en démocratie. Un système avec un pouvoir illimité sur la personne et considéré comme une religion civile par la politique et la justice anglaises. Un pouvoir qui écrase beaucoup d'autres vies fragiles et répand une mentalité utilitariste que nous devons commencer à combattre si nous ne voulons pas connaître la même fin.
Mais qui sait, l'histoire d'Alfie en révèlera peut-être beaucoup plus, car pour beaucoup il reste une question: qu'est-ce qui justifie l'acharnement de l'hôpital terrorisé par l'idée que l'enfant soit transféré ailleurs? Qu'est-ce qui a fait trembler...
Source : http://benoit-et-moi.fr/2018/actualite/comment-alfie-est-mort.html
(Album ACTU : https://gloria.tv/album/76VN81FZDJbK2uSHFW7kZmX3K )
Comment Alfie est mort
Le terrible récit de Benedetta Frigerio, la journaliste de La Bussola, qui a vécu heure par heure à Liverpool avec les parents de l'enfant, les jours tragiques qui ont précédé sa mort. A lire absolument.
("Benoît-et-moi", le 2/5/2018)
>>> Dossier Alfie : http://benoit-et-moi.fr/2018/actualite/dossier-alfie.html
C'est le récit d'un authentique martyre, au sens littéral du terme - ce n'est pas une simple façon de parler. Il faut le lire, pour se persuader qu'on ne peut pas ne pas prendre position: c'est bel et bien un assassinat, et de la plus cruelle des façons. Et il y a eu des précédents...
Voilà comment ils ont fait mourir Alfie
1er mai 2018
Benedetta Frigerio
http://www.lanuovabq.it/it/ecco-come-hanno-fatto-morire-alfie
Ma traduction
* * *
Il est vrai que la chose la plus scandaleuse qui soit arrivée au petit Alfie Evans est qu'il a été intubé et ventilé pendant 15 mois et qu'on lui a refusé une trachéotomie, parce qu'un mois après son hospitalisation (en décembre 2016) il a été décidé qu'il devait mourir sans même essayer de faire un diagnostic. En fait, même si les journaux ont écrit qu'Alfie souffrait d'une maladie mitochondriale, il n'y a pas la moindre trace d'examen clinique pour le prouver.
Il est aussi certainement déconcertant de constater que les tuyaux de ventilation d'Alfie ont été remplacés plus de 5 mois après leur application et ont donc été trouvés pleins de sanie, comme l'a montré son père avec une série de photos (dont certaines publiées par nous : http://lanuovabq.it/it/le-foto-di-alfie-maltrattato-altro-che-best-interest ) qui prouvent les nombreuses négligences de l'Alder Hey hospital de Liverpool. Preuves qui ont également beaucoup frappée Mariella Enoc, Présidente du Bambino Gesù, qui s'est vu refuser par l'hôpital anglais l'entrée dans la chambre d'Alfie. Bref, tout cela est vrai, mais Alfie n'est pas mort uniquement pour cela.
Une fois la ventilation enlevée, Alfie a a subi un traitement terrible.
Comme ses poumons étaient habitués à se dilater mécaniquement, les médecins auraient dû le "sevrer" pour ne pas provoquer la mort immédiate. Pourtant, ils ne l'ont pas fait même si le bébé avait contracté une infection pulmonaire après l'arrêt des machines.
C'est pour cela qu'Alfie, comme il l'avait expliqué à Thomas un médecin italien avec lequel il était en contact, avait besoin d'une antibiothérapie immédiate, qui lui a été refusée. Et pourtant, malgré tout cela, le bébé a quand même respiré sans aucune aide pendant des heures, puisque les médecins lui avaient aussi refusé le masque nécessaire pour aider sa respiration, de toute façon autonome.
Donc, dans la soirée du lundi 23 avril, après le retrait de la ventilation à 22h15, Thomas a lancé un appel demandant que quelqu'un apporte de l'oxygène à l'hôpital, mais la barrière de police à l'entrée empêchait toute intervention extérieure. À ce moment-là, l'un des avocats de la famille, Pavel Stroilov, a couru à l'Alder Hey hospital, à l'appel de Thomas. Alors que Stroilov entrait, six autres personnes ont essayé de le suivre, dont une avec un masque à la main, qui a essayé d'entrer avec lui sans succès. Celle-ci a pourtant pensé à jeter le masque par-dessus la tête des agents, permettant à l'avocat de l'apporter aux parents d'Alfie. A ce point, le petit, qui avait déjà démontré une force de lion, démentant l'avocat de l'hôpital, Michael Mylonas, qui dans l'audience avait rassuré le juge Hayden que la mort d'Alfie serait immédiate après le retrait de la ventilation, a été aidé à respirer.
Mais, une fois de plus, les médecins ont essayé de priver l'enfant du masque, avec l'excuse qu'il ne venait pas de l'Alder Hey. Et à deux reprises, ils ont donné l'ordre de l'enlever, jusqu'à ce que Thomas souligne que le protocole de mort approuvé par le juge Hayden ne parlait ni de privation d'oxygène ni de suspension de la nutrition. Pour la même raison, Thomas a obtenu que le bébé, privé de nourriture depuis au moins 36 heures, soit alimenté. Oui, Alfie est resté sans nourriture pendant 36 heurs, un temps très long pour un si petit enfant, dont le cœur avait déjà été soumis à un énorme effort après le retrait violent de la ventilation sans sevrage.
De plus, quand ensuite l'alimentation a été fournie, elle était de toute façon à un niveau très bas. L'enfant a vécu menacé par les médecins et défendu par ses parents pendant 4 jours, ouvrant parfois les yeux, réagissant. Alors, pour faire taire la presse, l'hôpital a promis à Thomas plus d'oxygène et plus de soutien vital. Deux heures avant de mourir, la saturation en oxygène était d'environ 98 et les battements d'Alfie étaient d'environ 160, à tel point que Thomas était convaincu qu'ils le laisseraient partir bientôt à la maison (c'est ce que l'administration de l'hôpital lui a dit vendredi après-midi). Avant sa mort, alors que Thomas était sorti un instant, laissant Kate endormie et un autre membre de la famille dans la chambre, une infirmère est entrée et a expliqué qu'elle allait donner au bébé quatre médicaments (on ne sait pas lesquels) pour le soigner. Après environ 30 minutes, la saturation est tombée à 15. Deux heures plus tard, Alfie était mort.
Nous ne savons pas combien Alfie aurait vécu s'il avait été correctement aidé et soigné, nous ne savons pas si des examens approfondis auraient permis d'établir un diagnostic et ensuite de trouver un remède, nous ne savons même pas si Alfie a été réduit à cet état par la responsabilité d'un hôpital dont le curriculum passé est pour le moins monstrueux (comme nous lisons dans cet article et dans cet autre, où de nombreux indices rendent l'hypothèse au minimum admissible si elle n'est pas prouvée).Mais ce qui est certain, c'est que nous ne pouvons pas dire que l'enfant est mort uniquement à cause de la suppression des soutiens vitaux.
Comme l'avait écrit Bruno Dallapiccola, l'éminent généticien et directeur scientifique de l'Hôpital Bambino Gesù, "le petit Alfie ne pourra pas résister longtemps sans l'apport de substances nutritives à travers le phlébo (càd par voix intraveineuse). Sans apport nutritionnel, la survie peut varier de quelques heures à quelques jours". Bien sûr, "la durée de la survie est conditionnée par les conditions initiales du patient", bien que dans le cas d'Alfie "nous ne pouvons pas nous prononcer avec certitude". Cependant, concluait Dallapiccola, "indépendamment du fait que le bébé continue à respirer de façon autonome, le manque d'apport nutritionnel représente désormais une urgence".
Angelo Selicorni, un éminent généticien italien, est lui aussi intervenu deux jours après le retrait de la ventilation: "Détaché des machines, l'enfant a 'résisté' pendant des heures sans 'aucune intention de mourir'". Ce tournant, a-t-il poursuivi, "met en doute la 'terminalité' de son état".
Alfie, déjà fatigué et soumis à des traitements violents, a été complètement privé de l'antibiotique nécessaire pour guérir l'infection et ensuite de nourriture et d'oxygène pendant trop longtemps. Ceux qui ne veulent pas prendre position se cachent derrière le mantra du "cas trop compliqué", dont les limites seraient difficiles à établir. Mais peut-être n'ont-ils pas le courage de regarder la réalité et de dire qu'il s'agit d'un cas flagrant d'acharnement euthanasique? Il est clair que si pour les médecins la vie d'Alfie était "futile", donc un poids et un coût qui ne valaient pas la peine d'être soutenus, l'approche clinique envers lui ne pouvait avoir d'autre but que de l'éliminer. Comme Selicorni l'a encore écrit : "Si je considère l'histoire d'Alfie comme une non-valeur, une histoire humaine inutile, dénuée de sens, je ne peux que penser que plus tôt j'y mettrai fin, mieux ce sera".
Un fantasme ? En 2012, de nombreuses polémiques avaient éclaté au sujet de plaintes de patients impliqués dans le Liverpool Care Pathaway (LCP), le programme de traitement de fin de vie alors en vigueur en Grande-Bretagne. Une infirmière de l'Alder Hey, Bernadette Loyd, lasse de voir des cas semblables, avait écrit au ministère de la Santé pour dénoncer la façon dont mouraient les enfants et les nouveaux-nés. "Mourir de soif est terrible, et il est inconcevable que des enfants doivent mourir ainsi. Les parents se trouvent face à un dilemne et se sentent presque obligés de choisir cette voie parce que les médecins leur disent que leur enfant n'a plus que quelques jours à vivre. Mais il est très difficile de prédire la mort et j'ai aussi vu quelques enfants qui ont recommencé à vivre, après que le LCP ait été mis en route puis interrompu". "J'ai aussi vu des enfants mourir terriblement de soif parce que l'hydratation est suspendue jusqu'à ce qu'ils meurent. J'ai vu un garçon de 14 ans atteint d'un cancer mourir la langue collée au palais quand les médecins ont refusé de l'hydrater. Sa mort a été vécue avec angoisse par lui et par nous, infirmières. C'est l'euthanasie qui arrive par la porte d'entrée". Le système national de santé avait répondu à Bernadette Loyd sans aborder le fond de la question: "Les soins de fin de vie doivent répondre aux plus hauts critères professionnels et nous devons savoir être proches des parents de l'enfant pendant le processus de prise de décision".
Voilà ce qu'a fait le martyre d'Alfie a fait, en plus de la conversion de tant de cœurs: il nous a contraints à nous unir contre un monstre, à regarder la brutalité d'un système eugénique déguisé en démocratie. Un système avec un pouvoir illimité sur la personne et considéré comme une religion civile par la politique et la justice anglaises. Un pouvoir qui écrase beaucoup d'autres vies fragiles et répand une mentalité utilitariste que nous devons commencer à combattre si nous ne voulons pas connaître la même fin.
Mais qui sait, l'histoire d'Alfie en révèlera peut-être beaucoup plus, car pour beaucoup il reste une question: qu'est-ce qui justifie l'acharnement de l'hôpital terrorisé par l'idée que l'enfant soit transféré ailleurs? Qu'est-ce qui a fait trembler...
Source : http://benoit-et-moi.fr/2018/actualite/comment-alfie-est-mort.html
(Album ACTU : https://gloria.tv/album/76VN81FZDJbK2uSHFW7kZmX3K )
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Re: Macron, seras-tu criminel comme ton pote Bergoglio ? Voici 3 crimes contre l'humanité !
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Re: Macron, seras-tu criminel comme ton pote Bergoglio ? Voici 3 crimes contre l'humanité !
Alfie: méfiez-vous des "tirs amis"
Ou le vrai rôle des "défenseurs" de l'enfant (en particulier l’Église et ses supplétifs, comme le Bambino Gesù) dans la lutte qui a opposé ses parents au personnel de l'hôpital et, plus généralement, à un pouvoir inique.
("Benoît-et-moi", le 8/5/2018)
Un article publié sur
Alfie, le pouvoir inique et le "tir ami"
Cristiano Lugli
www.riscossacristiana.it/alfie-il-potere…
5 mai 2018
* * *
The show must go on, après la mort d'Alfie, le spectacle doit continuer. Ce monde et cette Église sont prêts pour autre chose. Nous, au contraire, nous voulons nous arrêter parce que c'est le moment de séparer le bon grain de l'ivraie, les amis des ennemis et, surtout, de montrer que l'on peut mourir d'un «tir ami», l'une des pratiques les plus meurtrières de notre époque. Car, en plus des clercs d'une médecine totalitaire, ce sont aussi les clercs d'une néo-église tout aussi totalitaire qui ont condamné Alfie à l'échafaud. Revoyons donc ce show macabre, avec ses premiers rôles, ses seconds rôles et ses figurants.
Bergoglio et la soi-disant Académie Pontificale pour la Vie.
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Samedi 4 avril. Après les nombreuses pressions, Bergoglio se voit contraint d'intervenir sur l'affaire Alfie et il le fait à travers un misérable tweet dans lequel il invite à «continuer à accompagner le petit Alfie avec compassion» (cf. Affaire Alfie Evans : http://benoit-et-moi.fr/2018/actualite/affaire-alfie-evans.html). À l'accompagner où, on ne nous le dit pas à ce moment: à présent, malheureusement, si. D'autre part, le juge Anthony Hayden, le 20 février dernier, a utilisé précisément le message sur la «fin de vie» envoyé par Bergoglio à Mgr Vincenzo Paglia, Président de l'Académie Pontificale pour la Vie dans la motivation de la sentence de mort pour le petit Alfie (Les mots du Pape, pour justifier l'euthanasie : http://benoit-et-moi.fr/2018/actualite/les-mots-du-pape-pour-justifier-leuthanasie.html). Des milliers de personnes ont demandé à l'évêque de Rome de démentir afin d'empêcher une instrumentalisation de ses paroles: aucune réponse. Pour la simple raison qu'il ne s'agissait pas d'une instrumentalisation. Cela a été confirmé par Paglia qui, lors d'une interview accordée à Tempi le 9 mars (Feu vert de Mgr Paglia à l'euthanasie : http://benoit-et-moi.fr/2018/actualite/feu-vert-de-mgr-paglia-a-leuthanasie.html), a brillamment plaidé en faveur des médecins de l'hôpital pédiatrique Alder Hey : «Parler de "suppression" n'est ni correct ni respectueux. En effet, si les consultations médicales répétées ont montré qu'il n'y a pas de traitement valable dans la situation dans laquelle se trouve le petit patient, la décision prise n'avait pas pour but de raccourcir sa vie, mais de suspendre une situation d'acharnement thérapeutique».
Si nous en sommes déjà à l'exaltation de l'euthanasie passive, cela signifie que nous arriverons bientôt à l'euthanasie d'État, même en Italie, et nous le devons à l'apostasie de Rome. Nommé par Bergoglio lui-même, Paglia a élaboré l'année dernière le code déontologique vatican pour les opérateurs sanitaires, dans lequel il est admis en toutes lettres que l'hydratation et la nutrition ne devraient être concédées «que si elles sont utiles».
Mgr Vincenzo Paglia a fait encore mieux à l'occasion de la Rencontre régionale européenne de la World Medical Association sur les questions de fin de vie. Là où, par exemple, on lit : «Nous voyons bien, en effet, que le fait de ne pas activer des moyens disproportionnés ou d'en suspendre l'utilisation, c'est éviter l'acharnement thérapeutique, c'est-à-dire accomplir une action qui a un sens éthique complètement différent de l'euthanasie, qui reste toujours illégale, en ce qu'elle vise à interrompre la vie, à causer la mort"». Aucune différence n'est faite entre l'euthanasie active et l'euthanasie passive, les deux faces d'une même médaille: la mort.
Pour ceux qui ont aiguisé leur ouïe sur la terminologie en vogue, il est facile de voir combien l'expression «acharnement thérapeutique» joue un rôle très important dans le processus vers l'affirmation de l'euthanasie d'État. Il y aura toujours un prétexte pour mettre fin à la vie de certaines personnes innocentes jugées trop indignes de rester dans ce monde peuplé de personnes ayant une qualité de vie élevée. Ce fut le cas avec Alfie, et avant cela avec Charlie et Isaiah.
Pour en revenir à nous, la pression médiatique qui augmentait progressivement autour du petit Alfie condamné à mort, a conduit Bergoglio à intervenir à nouveau le 15 avril avec une phrase de circonstance pendant le Raegina Coeli, puis avec un tweet du 23 avril dans lequel il renouvelait l'invitation à respecter la volonté de ses parents. Une affaire de portée planétaire désormais liquidée en quelques "clics" sur le clavier et toujours dans le respect de la terminologie politiquement correcte qui parle de volonté, d'utilitarisme, jamais de Dieu et de péché.
Grise mine pour une rencontre
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Ce qui reste le plus mémorable de la rencontre accordée le 18 avril à Thomas Evans, le père d'Alfie, c'est la triste mine avec laquelle Bergoglio n'a pu éviter d'être photographié. Les paroles prononcées immédiatement après, lors de l'audience générale du mercredi, à savoir que «le seul maître de la vie, du commencement à sa fin naturelle est Dieu», étaient les mêmes que celles prononcées par Thomas lors de l'audience privée: rien de plus, rien de moins.
Il est légitime de penser que si Bergoglio s'était vraiment intéressé au sort de l'enfant, il aurait immédiatement ordonné la délivrance de trois passeports du Vatican, comme il l'avait déjà fait pour les immigrés musulmans. Mais il a suffi de peu à Bergoglio pour laver sa conscience publiquement et passer pour le héros de la dernière heure: deux tweets et une paire de phrases inconsistantes... D'ailleurs sur les réseaux sociaux, beaucoup ont compris qu'il était bien commode d'occuper le devant de la scène en restant dans son fauteuil (cf. ICI : https://www.riscossacristiana.it/chi-di-tweet-ferisce-di-tweet-perisce-il-popolo-dei-follower-accusa-bergoglio-di-aver-abbandonato-alfie-di-luca-biffi-e-chiara-gnocchi/).
Ceux qui, au nom de la famille, sont allés réclamer des passeports du Vatican, se sont vus répondre que s'il avait fallu déplacer des mers et des montagnes pour Alfie, alors il faudrait le faire pour tout le monde. Se masquant derrière la diplomatie, la néo-Église se tait et abandonne les agneaux conduits à l'abattoir. Ceux qui ne l'ont pas compris, ou ne veulent pas le comprendre, ce sont les nombreux «conservateurs» qui, tout en polémiquant de façon générique avec une Église à la dérive, s'arrêtent au sommet de la hiérarchie, comme si le Pape ignorait toutes ces manœuvres.
Même les "conservateurs" vous empoisonnent .
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Il faut savoir que l'archevêque de Liverpool, Mgr McMahon, est considéré comme un conservateur, presque un traditionaliste, qui célèbre même la messe en latin. Eh bien, c'est lui, dans le silence de la Conférence épiscopale anglaise toute entière - consentante face au crime en train de se consommer -, qui, désormais écrasé par la pression médiatique, expliquait que le diocèse de Liverpool s'était intéressé à l'affaire, apportant son assistance spirituelle au personnel de l'Alder Hey, mais pas aux deux jeunes parents parce qu'«ils ne sont pas catholiques». Outre le fait que ce n'est pas vrai - Tom l'a ensuite écrit - il est curieux de constater à quel point le syncrétisme tellement en vogue trouve un obstacle insurmontable face aux cas les plus épineux. L'archevêque de Liverpool a même eu le courage de dire que l'Alder Hey Hospital agissait certainement bien, dans le meilleur intérêt de l'enfant et de la famille Evans.
Toutefois, il n'est pas le seul à avoir été coupable de complicité flagrante. Dans son cas, il s'agissait de complicité active. Mais où étaient-ils, tous ces cardinaux et évêques qui marchent dans les rues de Rome parmi de petits groupes, de petits cercles, de petits sites, se dressant comme défenseurs de la vie seulement quand il n'y a personne à défendre vraiment? (allusion à la Marche pour la vie, qui se déroule chaque année à Rome, ndt) Peut-être certains d'entre eux pensent-ils pouvoir se sauver avec une bénédiction faite maison, louant éventuellement le «Saint Père» pour sa sollicitude envers Alfie, ou avec un tweet posté pour sauver la face?
« La qualité d’une civilisation se mesure au respect qu’elle porte aux plus faibles de ses membres. » Professeur Jérôme Lejeune twitter.com/…/990213189135716…
— Cardinal R. Sarah (@Card_R_Sarah) 28 avril 2018
Tous en liberté surveillée avec obligation de signer le registre à Sainte Marthe. Pas un seul qui soit capable de faire un pas de plus que ce qui est permis. La preuve en a été apportée par l'évêque de Reggio-Emilia, Mgr Massimo Camisasca, qui, au lieu d'exhorter à la prière publique pour Alfie, s'est plaint de la "pression" exercée par quelques jeunes fidèles aux prises avec mille obstacles ecclésio-bureaucratiques pour tenter d'organiser une veillée ad hoc. Eh bien, en plus de déplorer l'«enthousiasme» excessif de ces jeunes, l'évêque a critiqué une idée trop "belligérante" de la foi chrétienne.
Utilitarisme étato-ecclésiastique
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Du Vatican il a été dit et répété la nécessité d'un dialogue entre les médecins et la famille, à l'enseigne de l'utilitarisme volontariste le plus grossier et le plus délétère qui ne s'occupe pas de la défense de la vie de l'enfant comme valeur en soi et comme miracle voulu par Dieu, mais comme objet de discorde entre une volonté et une autre. Paglia, interviewé par la Rai quelques heures après qu'on ait supprimé la ventilation à Alfie - le 24 avril - a parlé d'une «loi froide qui empêche d'écouter les parents (....) parce que la vie n'est pas seulement un fait biologique, mais elle est relation, affection, sentiment.
Une fois remis en question le fait biologique, Paglia a soutenu la thèse personnaliste selon laquelle c'est par sentiment ou volonté que l'on doit décider de mettre fin ou non à la vie de quelqu'un: «Dans la décision, les parents ne peuvent pas ne pas intervenir, et donc un tribunal n'est pas suffisant pour décider de la vie et de la mort». Voici que, si les parents d'Alfie avaient été d'accord avec la décision de le supprimer, Paglia et son Académie pontificale pour la vie auraient eu moins de chats à fouetter, et ils se seraient réjouis de la fin heureuse de la mort d'Alfie avec imprimatur parentale et ecclésiale.
Pour conclure sa thèse nécrophile, Paglia a affirmé qu'«une nouvelle alliance entre le domaine de la médecine et le domaine de l'humanité est indispensable».
Juste pour comprendre la différence avec l'époque où l'Église était catholique, il vaut la peine de mentionner quelques mots de Pie XII, tirés d'un discours adressé en 1957 aux agents de santé sur la réanimation: « En ce qui concerne le patient, il n'est pas le maître de lui-même, de son corps, de son esprit. Il ne peut donc pas en disposer librement. Quant aux médecins, personne au monde, aucune personne privée, aucune pité humaine ne peut autoriser le médecin à la destruction directe de la vie ; sa fonction n'est pas de détruire la vie mais de la sauver ».
Avec Alfie, c'est exactement le contraire qui s'est produit, avec le placet de la néo-église, traîtresse à son mandat. A cet égard, on est frappé par la déclaration de l'Institut Jean-Paul II pour la vie et la famille, une côte détachée de l'APV. Dans le communiqué, les membres partent d'une prémisse qui semble déraper sur la même erreur que nous venons de mentionner, offrant comme priorité la réflexion sur la relation parent-enfant et État-enfant: «La question la plus évidente qui devrait interpeler notre conscience collective est: qui a le droit naturel de prendre soin d'Alfie et de sauvegarder son meilleur intérêts? Est-ce l'État ou les parents de l'enfant? Il est évident que les parents, en vertu de la relation parent-enfant, ont le droit naturel d'agir dans l'intérêt supérieur et le bien-être de leur enfant; et l'exercice de ce droit ne peut être injustement refusé par l'ingérence de l'État coercitif, sauf dans les cas d'abus et de négligence».
Ce qui devrait être une alternative à l'Académie Pontificale pour la Vie, finit donc par partir des mêmes prémisses.
Une fois inversés ou renversés les motifs pour lesquelles la vie doit être défendue, au milieu d'une nébuleuse de mots ambigus et toujours anthropocentriques, on en arrive à effleurer le principe de l'objection de conscience, d'une certaine manière absurde. Cette objection de conscience que le pauvre Père Gabriele Brusco (le prêtre italien qui a assisté Alfie et ses parents, ndt) avait soulevée auprès du personnel médical de l'Alder Hey, soulignant qu'il existe une moralité et un code d'éthique selon lesquels on peut refuser de participer à un acte considéré en conscience comme illégal. Cette proposition, c'est évident, a dû lui coûter cher: non seulement il a été dénigrée par toute l'équipe de l'hôpital anglais, mais, étrangement, juste après la rencontre entre Bergoglio et McMahon à Rome le 25 avril, le Père Gabriele a été rappelé d'urgence à Londres par un supérieur, laissant Alfie, avec ses parents, dans un abandon médical, humain et spirituel total.
Les passerelles de l'hôpital Bambino Gesù.
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Selon certains, cependant, le travail de Bergoglio et du Vatican ne consisterait pas seulement dans l'action diplomatique entreprise par Mgr Cavina (cf. https://fr.zenit.org/articles/le-pape-salue-le-courage-du-pere-dalfie-evans/, ndt) - qui plus tard s'est avérée être nulle, comme cela a déjà été mentionné - mais aussi et surtout dans l'intervention de l'hôpital Bambino Gesù de Rome. Sur ce point, quelques éclaircissements sont nécessaires.
Les différentes passerelles à Liverpool de la présidente de l'hôpital romain, Mariella Enoc, ont leur propre raison, en particulier pour la façon dont l'histoire du petit Alfie a été gérée. Le Conseil de bioéthique, s'exprimant dans un communiqué terrible, a tapé dans le mille lorsqu'il a souligné que «déjà en septembre 2017, la famille Evans avait demandé l'avis de deux spécialistes indépendants et de trois experts du Bambino Gesù, qui ont coopéré avec les médecins de l'hôpital Adler Hey, parvenant à la conclusion unanime que «l'état d'Alfie est irréversible et incurable» (Alfie’s condition is irreversible and untreatable). C'est sur la base de cette terrible réalité que les médecins de l'hôpital de Liverpool se sont demandés «si la poursuite du traitement d'Alfie était dans son meilleur intérêt» ou si l'insistance était une forme d'acharnement thérapeutique et ils ont ressenti le devoir professionnel et moral de donner une réponse précise, à savoir cette dernière».
Le type d'approche est donc à considérer comme erroné à la base, parce qu'il concentre tout sur l'état clinique de l'enfant - et donc sur l'impossibilité de le soigner - et non sur ce «prendre soin» de lui malgré la maladie - jamais vraiment diagnostiquée. Grâce à ce type de «sentence», l'Hôpital Alder Hey et le Conseil de bioéthique ont pu anéantir les tentatives de sauvetage mises en oeuvre des mois plus tard par l'hôpital du Saint-Siège.
Inadvertance, ou conscience de ce qu'on faisait ?
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Il est regrettable de dire que le Conseil de bioéthique a fondamentalement raison. Comment se fait-il que le Bambino Gesù de Rome soit resté silencieux, de septembre jusqu'à peu avant l'arrivée de l'affaire devant les Hautes Cours anglaises?
Nous avons vu Mariella Enoc être interviewée devant des images géantes de Bergoglio; nous l'avons vue s'envoler pour Liverpool, comme elle a dit, «non pas pour emmener l'enfant, mais pour exprimer à ses parents la proximité du Saint-Père». Quel a été alors vraiment le rôle de l'hôpital du pape dans toute cette affaire macabre? Quelle contribution a-t-elle apportée à travers un «dialogue» qui, d'ailleurs, n'est apparu que lorsque le battage médiatique s'est intensifié? De septembre à aujourd'hui, où étaient passés tous ceux qui ensuite, se sont progigués à la hâte pour Alfie ?
Enoc, le jour même de la mort du petit, se disant peinée, a répété l'importance de «continuer à travailler tous ensemble et à investir dans la recherche scientifique pour que nous puissions donner une chance à ces enfants et une réponse à ces familles». En même temps, a-t-elle poursuivi, «nous devons aussi entamer une vraie réflexion commune au niveau international: nous devons réunir les scientifiques, les cliniciens, les patients, les familles et les institutions, afin que ces affrontements et ces batailles idéologiques ne se répètent pas».
Le type de bataille serait donc uniquement de nature idéologique. Inutile de commenter. Ce qui est plus intéressant, en revanche, c'est d'approfondir le discours sur la «recherche scientifique».
Mercredi 25 avril, pendant que Bergoglio rencontrait l'évêque de Liverpool, une interview d'Enoc sur l'affaire Alfie est parue dans le Corriere della Sera. «Notre fonction n'est pas de guérir, mais de soigner, et par soin, nous entendons toutes les formes de soutien» - a dit la Présidente du Bambino Gesù, contredisant pour le moins la réponse donnée par son hôpital en septembre 2017. «Nous aurions accueilli Alfie en garantissant les thérapies nécessaires, sans acharnement thérapeutique». Cédant sur les termes si chers au système euthanasique («acharnement thérapeutique»), et que Bergoglio et Paglia aiment souvent répéter, Enoc en vient ensuite, curieusement, à parler de génétique: «Il faut avant tout comprendre l'origine génétique de cette maladie pour protéger la jeune maman dans les grossesses futures». Qu'est-ce que cela signifie? Le programme de fécondation in vitro à trois parents est-il envisagé? Certains microbiologistes «catholiques», y compris des dominicains, s'emploient déjà à affirmer que la modification des gènes pour obtenir des patients encore plus sains que les personnes saines doit être considérée comme moralement légitime.
Quand les réflecteurs sont éteints
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Le lendemain de la mort d'Alfie, un Bergoglio souriant, qui ne faisait pas grise mine, a rencontré Kety Perry https://fr.wikipedia.org/wiki/Katy_Perry (voir aussi https://www.youtube.com/watch?v=wtP1RG1B92I ), sataniste notoire de l'aveu même de ses parents et fervente partisane des droits LGBT et de l'euthanasie. De quoi auront-ils parlé ?
Ceux qui aiment la vraie Église ne peuvent éprouver un respect obséquieux pour tout cela. Le petit troupeau doit s'opposer de toutes ses forces aux loups déguisés en bergers. L'armée des petits martyrs...
Source : http://benoit-et-moi.fr/2018/actualite/alfie-mefiez-vous-des-tirs-amis.html
(Album ACTU : https://gloria.tv/album/76VN81FZDJbK2uSHFW7kZmX3K )
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Re: Macron, seras-tu criminel comme ton pote Bergoglio ? Voici 3 crimes contre l'humanité !
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