Un futur synode en Allemagne pour remette en cause le célibat des prêtres, avalisé par le pape Franç

14 août 2023

Un archevêque australien a déclaré qu’il est « très probable » que Rome mette fin à l’exigence du célibat pour les prêtres autochtones.

Dans une interview avec The Australian publiée samedi, l’archevêque de Brisbane, Mark Coleridge, ancien président de la Conférence des évêques catholiques australiens (ACBC), a déclaré que l’exigence de prêtres célibataires doit être levée pour tout espoir d’ordination de prêtres autochtones.

Coleridge a affirmé qu’il n’y avait « aucun moyen de recruter un clergé célibataire dans ces cultures ».

Bien que l’archevêque ait déclaré qu’il ne décrirait pas la fin du célibat clérical pour les communautés autochtones comme « inévitable », il a déclaré qu’il croyait que le développement était « très probable ».

« Je ne sais pas vraiment quand ni comment, mais le ... question ne va certainement pas disparaître », a-t-il déclaré à The Australian. « Et je pense qu’il arrivera un moment de maturation où cela semblera être la prochaine étape naturelle et non une sorte de renversement artificiel, dramatique ou prématuré de ce qui a été une très longue tradition. »

Coleridge considère qu’un tel changement est particulièrement nécessaire parce qu’il exclut la possibilité que des prêtres issus de cultures « étrangères » exercent leur ministère auprès des communautés autochtones comme non viable.

« Vous ne pouvez pas avoir le whitefella qui assure le leadership ; Vous devez fournir un leadership au sein des communautés autochtones », a déclaré l’archevêque.

Coleridge a noté qu’il « appelait haut et fort depuis un certain temps » pour une « nouvelle façon d’imaginer et de s’engager avec les peuples autochtones », et que la question avait été discutée de manière informelle entre les membres de la conférence épiscopale du pays.

D’autres évêques admettent que recruter des prêtres parmi les peuples autochtones du monde entier reste une difficulté, mais croient qu’une solution différente est nécessaire.

Par exemple, l’évêque péruvien Rafael Escudero a déclaré aux participants au Synode amazonien en 2019 que les habitants de la région amazonienne avaient besoin d’une évangélisation adéquate plutôt que de prêtres mariés.

Escudero a appelé ses collègues évêques à travailler davantage sur la formation des catéchistes et des agents pastoraux, en disant : « D’un peuple évangélisé et bien formé, viendront des charismes et parmi ceux-ci viendra le célibat pour le sacerdoce. »

« Il serait important que les évangélisateurs vivent parmi eux », a-t-il dit, « et donc de les comprendre au milieu de leur culture et de leurs coutumes ».

Au cours du même synode, le cardinal vénézuélien Jorge Urosa Savino a objecté que la possibilité de marier des prêtres autochtones est non seulement inutile mais inappropriée.

« Il y a beaucoup de questions sérieuses concernant l’ordination de ces bons hommes mariés âgés », a écrit le cardinal Urosa dans un article en portugais chez ACI Digital, ajoutant : « Et cela ne résoudra pas les problèmes de la situation actuelle. Je ne pense pas que ce soit approprié ni utile. »

À l’époque, le cardinal s’est également demandé si l’exigence du célibat sacerdotal serait supprimée uniquement dans la région amazonienne ou aurait un impact sur la pratique de l’Église dans le monde.

La question des prêtres mariés et incélibés est maintenant plus pertinente que jamais pour les responsables du Vatican, comme l’a montré le Synode sur la Synodalité Instrumentum Laboris (IL), ou document de travail, que j’aipublié le 20 juin. L’IL a explicitement posé la possibilité de prêtres mariés, soulevant la question: « Comme le proposent certains continents, une réflexion pourrait-elle être ouverte concernant la discipline sur l’accès au sacerdoce pour les hommes mariés, au moins dans certaines régions? »

Alors que les partisans des prêtres mariés remontent souvent aux premiers jours de l’Église catholique – lorsque les prêtres mariés étaient autorisés – pour soutenir leur position, ces défenseurs mentionnent rarement que même pendant cette période, les prêtres étaient censés rester complètement célibataires pendant leur mariage, comme l’a souligné le père Christian Cochini dans son livre « Les origines apostoliques du célibat sacerdotal ».

Le père Joseph Fessio, S.J., fondateur d’Ignatius Press, a expliqué la perspective catholique romaine sur le célibat clérical dans un courriel à LifeSiteNews:

L’affirmation fréquemment entendue selon laquelle le célibat sacerdotal n’est « pas doctrinal mais seulement disciplinaire » n’est pas seulement trompeuse, elle est fausse. Faux parce qu’il n’y a pas de ligne claire cartésienne entre la doctrine et la discipline », a écrit le père Fessio.

Il a noté qu’il existe un « spectre très varié » entre les questions de pure « doctrine » et de pure « discipline », et que « le célibat clérical est beaucoup plus proche de la doctrine que de la discipline sur ce spectre ».

« La raison fondamentale est christologique. Un prêtre s’est exproprié pour s’unir d’une manière unique au Christ Grand Prêtre. Le sacerdoce n’est pas seulement une fonction. C’est une union sacramentelle, ontologique, mystérieuse avec Jésus-Christ... Le Christ n’a pas épousé une femme individuelle parce qu’il est aussi l’Époux qui est totalement abandonné à son Épouse l’Église dans une union fructueuse qui fait naître son Corps l’Église », a poursuivi Fessio.

« Et si je peux me permettre d’asperger avec un peu d’eau très froide certains des enthousiasmes surchauffés de ceux qui réclament un retour à la « tradition primitive », je rappelle que tous ces « prêtres mariés » dans l’Église primitive devaient avoir l’accord de leurs épouses et faire vœu de continence avant de pouvoir être ordonnés. »

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PCB : Anathème contre les participants à l'assemblée du parcours synodal LGBTQ au Vatican (du 4 au 29 octobre 2023) :

L'assemblée mondiale de ce que l’on appelle le parcours synodal doit commencer le 4 octobre 2023. Ses véritables intentions ont été cachées jusqu’à ce jour. En fait, elle poursuit à la fois le suicide spirituel et extérieur de l'Église catholique dans son essence même. Les assemblées continentales tenues de janvier à mars 2023 ont délibérément préparé les conditions de ce suicide de l'Église. En janvier, Bergoglio a déclaré aux médias du monde entier que les évêques devaient subir un processus de conversion afin d'accueillir les personnes LGBTQ au sein de l'Église.

Il est absolument clair que ce synode vise à promouvoir l'idéologie LGBTQ et les esprits impurs. Jésus a chassé ces démons, mais la secte de Bergoglio les accueille au sein de l'Église. Il s’agit d’un processus de destruction des commandements de Dieu et du chemin du salut, ainsi qu’une vile trahison de Jésus-Christ.

L’étape et la condition de base sur le chemin du salut consiste à se repentir, et à croire en l'Evangile (cf. Mc 1, 15). Le pape non valable, cependant, promeut une voie différente : la voie de l'anti-repentance et de la pseudo-foi en un anti-évangile (cf. Ga 1, 8-9). Il en résulte une damnation éternelle. Comprenons : la damnation est éternelle, oui, éternelle ! C'est le véritable visage du parcours synodal LGBTQ.

Nous apprenons par la presse quotidienne que Mgr Bätzing va de l'avant avec de soi-disant nouvelles idées sur « comment fonder l'Église différemment » (24 juillet 2023). François y donne son consentement tacite. L'évêque américain Robert Barron a déclaré : « Beaucoup de gens se sentent éloignés de l'Église pour différentes raisons. Le synode traitera de la manière de ramener ces personnes à l'Église ». Une personne est éloignée de l'Église par le péché et elle ne peut revenir que par la repentance. Il n'y a pas d'autre moyen de revenir en arrière. Mais ces prélats, éloignés de Dieu, refusent de se repentir et n'amènent personne à le faire non plus. Une telle Église ne sauvera personne mais, au contraire, en légalisant et en bénissant le péché, elle tue la conscience et entraîne les âmes à la destruction éternelle.

Ce synode portera, entre autres, sur la légalisation ecclésiastique de l'absurde parcours synodal psychopathe de l'Allemagne et de la Belgique.

Les délégués américains suivants ont été nommés pour cette assemblée d'octobre : le cardinal Timothy Dolan, l'évêque Daniel Flores, l'évêque Kevin Rhoades et l'archevêque Timothy Broglio. François a sélectionné de sa main le jésuite Martin, agent de l’anti-évangile pro-LGBTQ, et les cardinaux Cupich et McElroy afin de participer à ce synode en tant que membres votants à part entière. Barron réconforte hypocritement le parti d'opposition comme quoi il y aura beaucoup de discussions et de votes lors de ce Synode. Mais il est clair d'avance que les prélats et laïcs invités sont pour la plupart des partisans LGBTQ, donc l'opposition symbolique sera décriée et fera partie de la minorité lors du vote. Ce synode de brigands délivrera alors des documents contraignants en tant que nouvel enseignement de l'Église, légalisant l'immoralité et les hérésies selon le modèle du chemin allemand et belge. Il s'agit essentiellement d'une tromperie organisée et d'une manipulation sanctifiée par l'obéissance au « Saint-Père ». Enfin, il se conclura hypocritement par l'énoncé : « Roma locuta, causa finita » (Rome a parlé, l'affaire est close).
Une question essentielle se pose : François, qui promeut un anti-évangile LGBTQ et qui s'est fait consacrer aux démons au Canada, est-il un pape légitime ? Si quelqu'un dit qu'il l'est, l'Évangile du Christ n'est plus vrai et l'Église n'est plus l'Église du Christ, mais la pseudo-Église de l'Antéchrist.

Le cardinal Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a commenté le parcours synodal comme suit : « Le parcours synodal est doctrinalement incompétent et canoniquement illégitime ».

Une vision réaliste de la situation actuelle, à la fois dans le monde et dans l'Église, a été donnée par l'ancien nonce américain Carlo Maria Viganò, qui a déclaré que l'État profond et l'Église profonde, cette dernière étant dirigée par Bergoglio, sont en unité.

Pourquoi Jésus a-t-il établi son Église ? Pour sauver les âmes. Il ne l'a certainement pas établie pour que les faux apôtres (2Cor 11:13) changent les commandements de Dieu et du Christ, et entraînent les gens en enfer. Nous assistons actuellement au plus grand crime d'abus de l'autorité suprême, à la fois papale et apostolique. Ces pseudo-apôtres avec leur pseudo-pape utilisent la rhétorique religieuse et introduisent des enseignements hérétiques afin de faire des catholiques les médiums de démons impurs.

Le nouveau modèle de l'anti-Église de Bergoglio est une rébellion contre Dieu. Si les évêques d'Amérique sont préoccupés par la véritable ré-évangélisation et la fidélité à l'Esprit et aux enseignements du Christ, qu'ils rejettent radicalement la participation à ce synode de brigands en octobre. Ce faisant, ils démontreront publiquement que les catholiques américains ne sont pas impliqués dans le suicide programmé de l'Église catholique.

Le 4 juillet, le film choquant « Sound of Freedom » est sorti dans les cinémas américains. Le trafic criminel d'enfants est le fruit odieux de la légalisation des déviations sexuelles Q. En accueillant les LGBTQ, le synode d'octobre du Vatican légalise aussi ces crimes monstrueux commis contre les enfants !

Bergoglio a promu avec véhémence ce que l’on appelle l’éducation sexuelle, qui est une démoralisation systématique des enfants, lors de son vol de retour du Panama, il y a quatre ans déjà. Il s'est prononcé publiquement en faveur du « sexe sans rigidité » pour les enfants. Il a exhorté les parents irlandais à ne pas empêcher leurs enfants de changer leur soi-disant orientation sexuelle. En embrassant les pieds d'un transsexuel, il a approuvé de facto le changement de sexe criminel.

Bergoglio a fermement condamné une manifestation de deux millions de personnes organisée à Rome contre les abus sexuels commis sur les enfants par des homos, par le biais de leur soi-disant adoption. Il a déclaré cette année que l'homosexualité, et donc aussi la pédophilie, ne doivent pas être criminalisées.

Les évêques des États-Unis, mais aussi les autres évêques, qui participeront néanmoins au synode criminel d'octobre, s'attireront l'anathème de Dieu – l’expulsion du Corps mystique du Christ -, ainsi qu'une excommunication latae sententiae. Le pape François non valable s'est déjà attiré à plusieurs reprises cette expulsion et la malédiction de Dieu. Il faut garder à l'esprit que l'Église n'a actuellement pas de pape ; elle est en état de sede vacante. Un archi-hérétique expulsé de l'Église ne peut en être le chef ! Celui qui lui obéit se place sous la malédiction, l'anathème. C'est la réalité spirituelle basée sur les Saintes Écritures et sur la Tradition de l'Église.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr        + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 2 août 2023

SOURCE : Reçu par courriel. Merci au Patriarcat Catholique Byzantin.

24 août 2023

"Synodalité" et "synodal" sont devenus des slogans cachant "une révolution", a écrit le cardinal Burke dans une préface au livre Le processus synodal est une boîte de Pandore de Julio Loredo et José Ureta (NcRegister.com, 22 août).

Cette révolution vise à changer radicalement la conception que l'Église a d'elle-même, conformément à une idéologie qui nie la plupart des enseignements de l'Église.

Burke qualifie la situation de l'Église de "très grave" car cette idéologie pernicieuse a déjà été mise en pratique dans l'Église allemande pendant de nombreuses années et a largement répandu la confusion et l'erreur. Burke en identifie les fruits comme étant la division et le schisme, qui nuisent à de nombreuses âmes.

Il s'attend à ce que la même confusion, la même erreur et la même division s'abattent sur l'Église universelle. Cela a "déjà commencé à se produire à travers la préparation du Synode au niveau local".

SOURCE :

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