Re: CHRONIQUE DE LA DÉCADENCE NO 14 : "Le Forum Économique Mondial défend la Pédophilie" !

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LES FIDÈLES CATHOLIQUES QUI ONT PERTURBÉ lA "MESSE LGBT" LORS DES JMJ DE LISBONNE RISQUENT UN AN DE PRISON !

Un groupe de catholiques qui ont protesté contre une « messe LGBT » lors de la Journée mondiale de la jeunesse à Lisbonne risquent jusqu’à un an de prison pour leurs actions.

Douze catholiques traditionnels ont tenu une prière de réparation dans l’église Notre-Dame de l’Incarnation le 3 août pour protester contre une « messe LGBT » hétérodoxe qui se déroule dans l’église catholique. La police a retiré le groupe et ses membres risquent maintenant jusqu’à un an de prison pour avoir perturbé un acte de culte.

Rafael da Silva, l’organisateur de la manifestation, a confirmé à LifeSiteNews que lui et ses 11 compagnons sont accusés au pénal pour leurs actions.

« Nous faisons face à une enquête criminelle », a déclaré da Silva à LifeSiteNews. « On nous accuse de perturber une action sectaire. »

Il a dit qu’ils ne savaient pas que leur protestation constituerait un crime.

Da Silva a déclaré que certains médias ont affirmé à tort que le groupe avait « envahi » l’église pendant la messe. Cependant, son groupe était déjà à l’intérieur de l’Église depuis un certain temps avant le début du service. Il a rappelé que lorsque le père James Alison, un prêtre ouvertement homosexuel, est entré dans l’église, ils « ont commencé à prier le chapelet en latin ».

Da Silva a déclaré à LifeSiteNews que la police et les services secrets portugais suivaient maintenant leur « téléphone, leurs messages et leurs activités ». Cependant, il ne croit pas actuellement qu’ils seront mis en prison. Il pense plutôt que la police essaie juste d’effrayer les gens pour « empêcher le mouvement de s’étendre » et qu’ils finiront avec une amende tout au plus.

Da Silva a déclaré que lui et les 11 autres catholiques impliqués dans la manifestation ne sont pas trop dérangés par les accusations criminelles pour le moment et qu’ils « vivent simplement une vie normale ».

La « messe LGBT » qui s’est tenue le 3 août faisait partie de la série d’événements hétérodoxes de la Journée mondiale de la jeunesse organisés par le Réseau mondial des catholiques arc-en-ciel et un groupe LGBT portugais local.

Le père Alison, l’un des « célébrants » de l’événement, a fait pression sur le Vatican pendant de nombreuses années pour être relevé de son célibat clérical, arguant qu’il avait rejoint la prêtrise sur la base d’une fausse acceptation de l’enseignement de l’Église sur l’homosexualité.

Le prêtre pro-homosexuel a reçu une lettre de la Congrégation pour le clergé vers 2010 dans laquelle il a été informé de sa laïcisation éventuelle après avoir refusé de coopérer à des tentatives précédentes de laïcisation.

Irrité par cette décision, il a écrit au pape François, demandant d’ignorer la décision de la Congrégation. François a ensuite appelé Alison, semblant donner son approbation au prêtre homosexuel, en disant: « Je veux que vous marchiez avec une profonde liberté intérieure, en suivant l’Esprit de Jésus. Et je vous donne le pouvoir des clés. Est-ce que tu comprends? Je vous donne le pouvoir des clés. »

Les prêtres pro-LGBT « ne représentent pas la foi catholique »

Interrogé sur sa motivation à organiser la manifestation, da Silva a déclaré: « Je pense qu’ils viennent de franchir une ligne » en célébrant une « messe blasphématoire ».

Da Silva a rappelé qu’il était rempli de « sainte colère » quand il a entendu parler des plans pour la messe hétérodoxe dans les nouvelles et qu’il sentait que c’était son « devoir en tant que catholique de faire quelque chose ».

Il a déclaré à LifeSiteNews que les catholiques qui ont assisté à la « messe LGBT » « ne sont pas des ennemis ; ils sont utilisés par les ennemis pour faire avancer un programme qui est antéchrist ».

Bien qu’il n’ait pas blâmé les participants à l’événement hétérodoxe, da Silva a réprimandé les prêtres qui ont célébré la « messe LGBT », déclarant qu'«ils haïssent Jésus-Christ, ils haïssent l’Église catholique ».

« Ils ne représentent pas Jésus-Christ ; ils ne représentent pas la foi catholique », a-t-il poursuivi.

Da Silva a déclaré que son message aux catholiques autoproclamés qui promeuvent l’hétérodoxie et organisent des événements comme cette « messe LGBT » est: « Nous venons, nous sommes les fidèles, et tout comme dans la crise arienne, nous restaurerons la foi, et nous récupérerons nos églises parce que les gens méritent la vérité, les gens méritent le catholicisme, pas cette nouvelle religion catastrophique fondée à Vatican II. »

« Ils ont oublié les vrais péchés ; Ils ont oublié les dix commandements. Ils tuent des âmes chaque jour », a-t-il déclaré.

« Tout comme les 12 apôtres du Christ, nous étions là pour une raison quelconque », a déclaré da Silva à LifeSiteNews en parlant du groupe de 12 catholiques qui ont prié à haute voix pendant la « messe LGBT ». « Dieu sait ce qu’il nous réserve. »

Da Silva a déclaré que lui et ses amis ne s’attendaient pas à recevoir autant d’attention médiatique pour leur protestation.

« Nous ne voulons pas être célèbres; Nous n’avons jamais pensé que les médias nous couvriraient de cette façon; Nous n’avons jamais pensé que cela aurait autant de contrecoups, pour être tout à fait honnête. »

Plutôt que d’atteindre la célébrité, son objectif est « d’aller au paradis », a déclaré Silva. « Je veux juste que les gens se battent pour Christ », a-t-il déclaré.

Da Silva a lancé le mouvement « Restaurer le Portugal par la prière » en juin, avec sa femme, pour lequel ils « vont dans des endroits » au Portugal pour « prier pour une cause spécifique ».

Il a déclaré à LifeSiteNews que la meilleure façon pour les gens de le soutenir, lui et ses compagnons, est d’offrir des prières pour eux.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/news/faithful-catholics-who-disrupted-lgbt-mass-at-world-youth-day-could-face-one-year-in-jail/?utm_source=digest-catholic-2023-08-16&utm_medium=email

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@ Tous :

La Plante Verte de Montréal, la Mairesse Valérie Plante, a participé à la Parade de la Fierté Gaie.

Voyez-la en action :

Cette femme-là a été élue comme Mairesse de Montréal, ne l'oubliez pas !





L'Administrateur

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MANIFESTATION AU MEXIQUE CONTRE L'IDÉOLOGIE DU GENRE !

par Joaquim De Alburquerque

2 mars 2023

Mexique – Des milliers de personnes ont manifesté devant le Congrès pour exiger des parlementaires que les lois défendent véritablement les enfants mexicains contre l’idéologie du genre et interdisent les traitements chimiques et chirurgicaux de changement de sexe sur mineurs.

Il y a une semaine, des organisations LGBT et transgenres attaquaient le Congrès à Mexico parce qu’avait été déposé un projet de loi visant à interdire ces pratiques de changement de sexe sur des mineurs. Cette fois, ce sont les défenseurs de la Famille et des enfants qui ont manifesté, et en grand nombre.

La marche, qui s’est tenue à Mexico, a été convoquée par les plateformes de l’Initiative citoyenne et du Front national pour la famille (FNF).

Selon un communiqué, Rosa Mary Morales, porte-parole du FNF, a dénoncé lors de cette grande manifestation comment le lobby LGBT cherche à “imposer ses idées et à semer la peur chez les législateurs, le peuple et même les médias “.

Rosa Mary Morales a déclaré que les plateformes de défense de la famille « s’opposent à ce que l’on fasse du mal aux enfants avec des bloqueurs de croissance, des hormones croisées et des amputations de membres sains qui causent des dommages irréversibles aux enfants ».

Les participants à la marche ont exprimé leur soutien aux initiatives législatives telles que celles présentées par la députée América Rangel, devant le Congrès de Mexico, et Mónica Rodríguez Della Vecchia, devant le Congrès de l’État de Puebla. Les deux projets de loi visent à interdire et à pénaliser les traitements hormonaux et chirurgicaux de changement de sexe pour les enfants .

En outre, ils ont encouragé la députée fédérale María Teresa Castell à présenter une initiative similaire au niveau national.

Au cours de la marche, ils ont également exigé que le droit des parents de choisir l’éducation de leurs enfants soit respecté. D’autre part, il a été demandé que les femmes soient valorisées et respectées, faisant allusion à certains emplois de termes qui cherchent à effacer la distinction entre hommes et femmes.

Les défenseurs de la famille se sont également opposés au paquet de réformes sur “l’égalité substantielle” et “l’équité entre les sexes” que le Congrès de l’Union tient parmi ses questions en suspens depuis quelques années, et qui comprend des changements constitutionnels qui ouvriraient les portes à l’avortement et à l’idéologie du genre.

Lors de la manifestation, l’ancienne sénatrice Lisbeth Hernández a exigé que les législateurs mexicains “respectent et observent les traités internationaux et qu’ils ne modifient pas notre Constitution, qu’ils légifèrent toujours dans une perspective familiale, qu’ils respectent et promeuvent la famille composée d’un homme et d’une femme ».

“Et, surtout, compte tenu des taux élevés de violence que traverse notre pays, que le droit à la vie soit reconnu et promu, ainsi que la stabilité affective de nos enfants”, a-t-elle demandé.

SOURCE :

https://www.medias-presse.info/manifestation-au-mexique-contre-lideologie-du-genre/171965/

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UN AMÉRICAIN TRANSGENRE PORTE-PAROLE DE L'ARMÉE UKRAINIENNE !

par Pierre-Alain Depauw  

17 août 2023

Au milieu de son conflit sanglant avec la Russie, l’Ukraine a déclenché des moqueries pour sa décision d’embaucher un journaliste américain transgenre en tant que porte-parole anglophone de l’armée ukrainienne.

Michael “Sarah” Ashton-Cirillo, 46 ​​ans, militant de gauche né en Floride, est devenu porte-parole des Forces de défense territoriales d’Ukraine au début du mois, a annoncé le Kyiv Post.

Il a déjà suscité l’indignation pour une courte vidéo publiée sur les réseaux sociaux dans laquelle il a déclaré que l’une des principales différences entre les Ukrainiens et les Russes est que “nous sommes humains et ces gars-là ne le sont certainement pas”.

L’homme transgenre, qui a commencé à prendre des hormones sexuelles croisées en 2018 et a ensuite subi une chirurgie transgenre mutilante, était auparavant marié à une femme et est père d’un garçon. Il a fait la une des journaux en 2021 pour s’être infiltré parmi les militants de Trump afin de dénoncer un «extrémisme» présumé parmi les conservateurs.

En 2022, il s’est rendu en Ukraine pour rendre compte du conflit en cours avec la Russie en se concentrant principalement sur les personnes qui s’identifient comme «LGBT» et est devenu médecin de combat pour les forces terrestres ukrainiennes cette année-là.

En août, il est devenu porte-parole des Forces de défense ukrainiennes. En Ukraine, les critiques d’Ashton-Cirillo ont été jugées «haineuses» et des autorités ont défendu l’Américain «transgenre» contre les moqueries de la Russie.

« Les propagandistes russes sont obsédés par la porte-parole des Forces de défense territoriale ukrainiennes, Sarah [sic] Ashton-Cirillo, à cause de son identité transgenre », a affirmé le Kyiv Post.

La vice-ministre de la Défense Hanna Malyar a été citée par le Kyiv Post comme ayant déclaré que le porte-parole “informe le public anglophone” et “couvre objectivement les événements de la guerre russo-ukrainienne, démystifie les faux et la propagande russes”.

« L’audience de Sarah [sic] sur Twitter à elle seule était de 28,3 millions d’utilisateurs. Alors, les ennemis s’excitent sur les réseaux sociaux haineux, bien sûr », a déclaré Malyar.

La députée ukrainienne Inna Sovsun a également salué Ashton-Cirillo comme “une femme courageuse [sic] qui défend l’#Ukraine !”

« Elle [sic] mérite le respect et les remerciements ! », a déclaré Inna Sovsun, félicitant le porte-parole d’avoir occupé le poste et arguant que “la haine de la propagande russe est la preuve que vous faites tout correctement!”

Mais ce ne sont pas seulement les Russes qui critiquent le porte-parole manifestement masculin. Les utilisateurs des médias sociaux commentant les vidéos d’Ashton-Cirillo n’ont pas hésité à suggérer que l’emploi d’Ashton-Cirillo en dit long sur l’ancrage idéologique de l’Ukraine moderne.

“C’est bizarre de voir un Américain transgenre représenter l’armée ukrainienne en prétendant que les Russes ne sont pas humains”, a déclaré Ian Miles Cheong. “Tout est dit sur ce conflit.”

“Bien sûr, le porte-parole de l’armée ukrainienne est un travesti américain”, a fait remarquer le commentateur du Daily Wire, Michael Knowles.

“‘Sarah’ est un homme”, a écrit une utilisatrice de Twitter/X nommée Meagan Brown. « Les Ukrainiens n’ont pas besoin de se plier à l’idéologie occidentale juste pour gagner du soutien. J’aime beaucoup l’Europe de l’Est parce qu’elle reste fidèle aux valeurs et à la moralité traditionnelles.”

“Ukraine, vous devez protester contre le fait que votre pays est infiltré par le wokisme et la propagande LGBTQ, car c’est la chute de l’Occident”, a-t-elle déclaré.

SOURCE :

https://www.medias-presse.info/un-americain-transgenre-porte-parole-de-larmee-ukrainienne/179214/

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ATTENTION : L'ÉTAT POURRAIT VOUS ENLEVER VOS ENFANTS AFIN DE LES REMETTRE DANS DES FAMILLES TRANS !

« Enlèvement sanctionné par l’État » : un groupe juridique conservateur poursuit des responsables de Washington pour une loi pro-trans. « Ce litige vise à sauver nos enfants de ceux qui abusent de leur innocence, tourmentent leur esprit et défigurent leur corps. »


17 août 2023

Envoyez un message urgent aux législateurs et aux tribunaux canadiens pour leur dire de respecter les droits parentaux :

- https://www.votervoice.net/LifesiteNewsCA/campaigns/107125/respond

(America First Legal a annoncé le 16 août qu’elle poursuivait le gouverneur de Washington, Jay Inslee, pour empêcher « l’enlèvement sanctionné par l’État » d’enfants en vertu d’un projet de loi « transgenre » qu’il a promulgué.

« Ce procès contre les responsables de l’État de Washington », commence-t-il, « porte sur la question de savoir si un enfant mineur qui reçoit ou même cherche simplement un traitement soi-disant « d’affirmation de genre » – qui comprend des services qui modifient des parties du corps, prescrivent des médicaments qui changent la vie et d’autres choses connexes – se présenter dans un refuge pour jeunes, un refuge pour sans-abri ou un foyer d’accueil, fournit des motifs suffisants pour faire échouer les droits constitutionnels parentaux. »

Le procès vise à « bloquer l’application d’un nouveau projet de loi sur les enlèvements sanctionnés par l’État qui permet à l’État de cacher les enfants à leurs parents pour effectuer des « transitions de genre » – y compris la déformation de drogues et les chirurgies mutilantes », a expliqué America First Legal sur X (anciennement Twitter).

Le procès nomme également le procureur général de Washington, Robert Ferguson, et le secrétaire du département des enfants, des jeunes et des familles de Washington, Ross Hunter, dans sa tentative d’arrêter l’application du projet de loi 5599 du Sénat.

America First Legal (AFL) soutient que le projet de loi, promulgué le 9 mai et entré en vigueur le 27 juillet, « crée une incitation dangereuse pour les mineurs qui ne sont pas d’accord avec leurs parents sur les « soins d’affirmation de genre » à s’enfuir dans un refuge ou un foyer d’accueil ».

« Cette loi maladive et autoritaire permet essentiellement à l’État d’enlever les enfants à leurs parents et de cacher où ils se trouvent pour les mutiler chirurgicalement et chimiquement – et de priver officiellement leurs parents de toute capacité légale d’arrêter. »

Auparavant, les parents participaient à toute mesure visant à confier les enfants à la prise en charge par l’État et en étaient informés.

En supprimant toute obligation de donner même un avis aux parents, la nouvelle législation dissout effectivement les droits parentaux, les remplaçant par ceux d’un régime pro-« transgenre ».

Non seulement la loi autorise le retrait des enfants du domicile parental par des agents du gouvernement local – et sans avertissement – mais elle contient une disposition dangereuse pour la fourniture d’interventions sanitaires non spécifiées, y compris la stérilisation et les mutilations chirurgicales.

Comme l’a expliqué l’AFL dans un communiqué de presse du 16 août :

En outre, la loi autorise l’État à référer un mineur pour des « services de santé comportementale » sans définir ce que cela implique.

En pratique, cela signifie que les jeunes enfants qui fuguent la maison pourraient recevoir des médicaments de stérilisation chimique ou même des mutilations génitales sans le consentement ou à l’insu des parents.

L’AFL adopte une position ferme sur la question des droits parentaux, comme sur la protection de l’enfance. Ils affirment que la nouvelle loi « prive certains parents de leurs droits fondamentaux en vertu de la Constitution des États-Unis de diriger les soins et l’éducation de leurs enfants ».

LIRE : Un sénateur républicain avertit les parents de « fuir » la Californie à cause d’un nouveau projet de loi radical sur les transgenres :

- https://www.lifesitenews.com/news/republican-senator-warns-parents-to-flee-california-over-radical-new-transgender-bill/

Cette défense de la famille en tant que fondement – et non simple fonction – de l’État s’accompagne d’une détermination à combattre un programme « insidieux ».

Le président de l’AFL est Stephen Miller, ancien conseiller principal du président Donald Trump. Il a déclaré ce qui suit :

America First Legal mène la charge judiciaire contre le transgendérisme radical et l’exploitation sexuelle de nos enfants par des militants du genre... Ce litige vise à sauver nos enfants de ceux qui abusent de leur innocence, tourmentent leur esprit et défigurent leur corps. America First Legal sera implacable dans la lutte pour sauver les droits civils, juridiques et médicaux en voie de disparition rapide des enfants, des mères et des pères en Amérique.

Pourtant, c’est loin d’être la seule bataille que le groupe juridique de Miller entreprend.

Renverser la situation

Les remarques de Miller montrent clairement la mission du groupe qu’il dirige, dont l’objectif déclaré est de « renverser la situation juridique de la gauche militante radicale ».

Fondé le 6 avril 2021, ce groupe a développé l’expérience de voir les politiques pro-américaines du président Trump frustrées par le « lawfare » d’une bureaucratie hostile.

Dans sa déclaration fondatrice, Miller a expliqué: « Chaque fois que l’administration Trump a essayé de mettre en œuvre un changement positif et légal qui a mis l’Amérique d’abord, ces organisations extrémistes ont intenté une action en justice après l’autre, cherchant le forum juridique le plus favorable. Maintenant, nous devons renverser la situation. »

Travaillant avec Trump tout au long de son mandat, Miller a fait face à la capture des institutions par une classe politique hostile à Dieu, à la famille, et dévouée à la promotion de politiques épouvantables telles que celles qui conduisent à « la défiguration médicale de... fils et filles par des extrémistes sexistes ciblant les enfants ».

Contre un possible sentiment de démoralisation, l’initiative juridique de Miller présente aux Américains basés sur la réalité les moyens de « s’opposer à la croisade anti-emploi, anti-liberté, anti-foi, anti-frontières, anti-police et anti-américaine de la gauche radicale ».

Le procès de Washington est emblématique d’un objectif plus large de reconquérir l’Amérique

... une alliance contre nature d’intérêts spéciaux corrompus, de grands titans de la technologie, de faux médias et de politiciens libéraux de Washington.

L’AFL rappelle à tous les Américains qu’une aide est à leur disposition et qu’ils ne sont plus juridiquement impuissants dans la défense de leurs droits fondamentaux :

Ceux qui croient en America First ne doivent pas hésiter à utiliser notre système juridique pour défendre notre société et nos familles contre toute action illégale de la gauche. Ceux qui cherchent à demander des comptes à la nouvelle administration à Washington ont enfin leur réponse. Notre politique auto-imposée de désarmement juridique est maintenant terminée.

Avec son engagement déclaré de « se battre pour tous les Américains, sans distinction de race, de couleur ou de croyance », l’AFL semble remplir son mandat autoproclamé, alors qu’elle cherche à étouffer l’une des attaques les plus envahissantes et les plus troublantes contre la famille – et contre les enfants – jamais vues aux États-Unis.

LIRE: Un enseignant de Washington dit que les écoles devraient garder les informations sur les enfants des parents « christo-fascistes » :

- https://www.lifesitenews.com/news/washington-teacher-says-schools-should-keep-information-about-children-from-christo-fascist-parents/

Comme l’a dit Miller, « Cette loi malade et autoritaire permet essentiellement à l’État d’enlever les enfants de leurs parents et de cacher où ils se trouvent pour les mutiler chirurgicalement et chimiquement – et de priver officiellement leurs parents de toute capacité légale d’arrêter. »

Pourtant, l’évaluation de Miller de l’affaire démontre une compréhension plus profonde de la méchanceté incarnée dans tant d’institutions. Il comprend que cette affaire porte atteinte aux fondements de la liberté américaine et dont l’essence est diabolique.

« Cette loi est illégale, inconstitutionnelle et diabolique. »

Avec une solide compréhension de la terrible réalité, America First Legal mène une riposte vitale.

Envoyez un message urgent aux législateurs et aux tribunaux canadiens pour leur dire de respecter les droits parentaux :

- https://www.votervoice.net/LifesiteNewsCA/campaigns/107125/respond

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/analysis/state-sanctioned-kidnapping-conservative-legal-group-sues-washington-officials-over-pro-trans-law/?utm_source=digest-catholic-2023-08-21&utm_medium=email

[nadine]

Bien sûr que cette loi est diabolique et même satanique comme tous les plans de l'état profond et de l'église profonde. C'est vraiment maintenant qu'il nous faut ouvrir les yeux et entrer en résistance avec les armes dont on dispose, la prière en est une et pas des moindres!

[Admin]

@ Nadine :
@ Tous :

Prions !



L'Administrateur

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ELON MUSK ACCUSE LES ÉCOLES CALIFORNIENNES D'AVOIR FAIT DE SON FILS UN TRANSGENRE !

par Pierre-Alain Depauw

4 septembre 2023

Dans une nouvelle biographie, le propriétaire de Twitter/X et de Tesla affirme que l’idéologie qui a conduit à la dysphorie de son fils constitue une menace pour la civilisation.

L’entrepreneur milliardaire Elon Musk accuse les écoles de gauche californiennes d’avoir provoqué la confusion entre les sexes chez son fils avec des idéologies qu’il qualifie de « virus » et estime qu’il s’agit d’une menace sérieuse pour la civilisation.

Walter Isaacson est l’auteur d’une biographie de près de 700 pages intitulée Elon Musk, qui devrait paraître le 12 septembre. Jeudi, Isaacson a rendu public un extrait du manuscrit qui révèle le scepticisme de Musk à l’égard des idéologies de gauche, qu’il considère responsable de l’adoption par son fils aîné d’une identité « transgenre » et communiste.

Le propriétaire de X, anciennement Twitter, et PDG de Tesla est « de plus en plus préoccupé par les dangers de ce qu’il appelle le « virus de l’esprit éveillé » qui, selon lui, infecte l’Amérique », a écrit Isaacson dans l’extrait obtenu par le Wall Street Journal.

La déchirure avec son fils aîné devenu transgenre et communiste

L’auteur a ensuite expliqué que « les sentiments de Musk ont ​​été en partie déclenchés » par la décision de son fils Xavier de « s’identifier » comme une femme à l’âge de 16 ans. Le garçon aurait envoyé un texto à la belle-sœur de Musk disant : « je m’appelle maintenant Jenna. » et ajoutant : « Ne le dis pas à mon père. »

Au départ, Musk « était globalement optimiste ». Cependant, son état d’esprit a changé lorsqu’« elle [sic] est allée au-delà du socialisme pour devenir une communiste à part entière et penser que quiconque est riche est mauvais ». Elon Musk a ajouté : « J’ai fait de nombreuses démarches, mais elle [sic] ne veut pas passer de temps avec moi. »

L’auteur a écrit que « la rupture l’a blessé plus que tout dans sa vie depuis la mort infantile de son premier-né, Nevada ».

Musk et Isaacson appellent Xavier « elle » et « Jenna » dans l’extrait publié par le Wall Street Journal.

“Il a imputé cela en partie à l’idéologie dont il estimait que Jenna [sic] s’était imprégnée à Crossroads, l’école progressiste qu’elle [sic] a fréquentée à Los Angeles”, a ajouté Isaacson. « Twitter, selon lui, avait été infecté par un état d’esprit similaire qui réprimait les voix de droite et contestataires. »

Depuis qu’il a acheté la plateforme de médias sociaux en 2022, Musk a affirmé à plusieurs reprises défendre la liberté d’expression. Mais il faut aussi rappeler qu’il a confié la fonction de PDG de Twitter/X à une femme qui tient un rôle important au Forum économique mondial de Davos… Cependant, il est notable qu’en juin 2023, Elon Musk a donné son feu vert à la projection gratuite du documentaire de Matt Walsh, What Is A Woman ?, – qui met à mal l’idéologie du genre -, déclarant : « Chaque parent devrait regarder ça. »

Ce film a ainsi été visionné plus de 170 millions de fois sur la plateforme. Il s’est également hissé au premier rang des documentaires en streaming sur Rotten Tomatoes au cours de la première semaine du soi-disant « mois de la fierté » de 2023, un an après sa sortie initiale.

Musk a également publiquement critiqué la promotion de l’idéologie du genre, arguant en octobre 2022 que les écoles primaires et universités américaines d’élite enseignent le « communisme à part entière ».

Tout au long de l’année 2023, Musk a exprimé son opposition à l’idéologie transgenre, attirant notamment l’attention sur l’étudiant canadien Josh Alexander lorsqu’il a été arrêté pour avoir déclaré qu’il n’y avait que deux genres et déclaré que les parents qui stérilisent leur enfant avec les traitements de changement de sexe « devraient aller en prison à vie ».

Il a également critiqué la NCAA pour avoir permis à l’athlète masculin transgenre William « Lia » Thomas de concourir contre de vraies femmes.

SOURCE :

https://www.medias-presse.info/elon-musk-accuse-les-ecoles-californiennes-davoir-fait-de-son-fils-un-transgenre/179763/

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UN ÉVÊQUE DU MASSACHUSETTS INTERDIT AUX ÉTUDIANTS DE S'EXPRIMER LGBTQ DANS LES ÉCOLES DIOCÉSAINES !

Un évêque du Massachusetts interdit aux étudiants de s’exprimer LGBT dans les écoles diocésaines. L’évêque Robert McManus exige que les élèves de son diocèse se présentent comme leur sexe biologique et s’abstiennent d’exprimer ou de célébrer l’attirance pour le même sexe « de manière à causer de la confusion ou de la distraction », mais deux écoles défient son ordre.


22 août 2023

WORCESTER, Massachusetts (LifeSiteNews) – Un évêque catholique du Massachusetts a interdit les comportements sexistes ainsi que l’expression ou la célébration de « l’attirance pour le même sexe » par les élèves des écoles du diocèse de Worcester.

L’évêque Robert McManus a officiellement publié une politique le 29 juin exigeant que les élèves portent des uniformes adaptés au genre, utilisent les toilettes et jouent dans des équipes sportives correspondant à leur sexe biologique.

Les règles interdisent également aux étudiants « d’exprimer, de célébrer ou de plaider en faveur d’une attirance pour le même sexe de manière à causer de la confusion ou de la distraction », a rapporté le Daily Mail.

Selon le Patch, McManus a expliqué dans une note de service que d’embrasser l’attirance pour le même sexe ou la dysphorie de genre, c’est rejeter la vérité sur la façon dont on est créé par Dieu.

« Nous ne servons le plus grand bien de personne en falsifiant la vérité, car c’est seulement la vérité qui nous libère pour la vie pleine que Dieu offre à chacun de nous », a-t-il écrit. Ainsi, lorsqu’une personne éprouve une attirance pour le même sexe ou une certaine forme de dysphorie de genre, de telles luttes ne changent pas le fait biologique de la façon dont Dieu a créé cette personne, et il serait mensonger pour l’Église catholique ou nos écoles catholiques de prétendre le contraire.

La politique, qui entrera en vigueur cette année scolaire et s’appliquera à 21 écoles du diocèse, s’est déjà heurtée à la résistance d’ordres religieux gérant deux écoles catholiques de Worcester.

Le frère xavérien Daniel Skala, représentant l’école secondaire St. John’s pour garçons, et sœur Patty Chappell des Sœurs de Notre-Dame de Namur, représentant l’Académie Notre-Dame pour filles, ont écrit une lettre commune à Mgr McManus le 11 août pour lui dire que les conseils d’administration de leurs ordres religieux avaient décidé de ne pas appliquer sa politique. le Patch rapporté.

« Nous sommes convaincus que nos écoles répondent aux questions soulevées dans votre note d’une manière qui respecte la dignité de toutes les personnes, s’aligne sur la mission et le charisme de nos ordres parrains, et protège et affirme notre identité en tant qu’écoles catholiques », peut-on lire dans la lettre.

Interrogée sur la politique actuelle de l’Académie Notre-Dame par l’Agence de presse catholique (CNA), Susan Dennin, porte-parole de la Province Est-Ouest des États-Unis des Sœurs de Notre-Dame de Namur, a déclaré que l’école avait « toujours suivi à la fois les directives juridiques et les recommandations de la National Catholic Educational Association (NCEA) selon lesquelles les écoles ne devraient pas avoir de politique sur les élèves transgenres ».

« NDA Worcester a abordé ces circonstances sensibles et complexes d’une manière pastorale qui respecte la dignité de toutes les personnes tout en affirmant l’identité catholique de l’école », a-t-elle déclaré.

Alors que Dennin a cité les conseils de la CNEE pour soutenir l’absence de politique de l’Académie Notre-Dame sur les étudiants « transgenres », la CNEE a déclaré à l’AIIC que l’évêque établit la politique pour le diocèse, et non leur organisation.

Margaret Kaplow, porte-parole de la NCEA, a déclaré vendredi à l’AIIC : « Nous ne renvoyons que les écoles à leur ordinaire. Nous ne faisons pas de politique. Nous ne conseillons pas la politique. Nous sommes une association de membres basée sur le développement professionnel et les données.

« L’évêque définit la politique du diocèse », a-t-elle ajouté.

La CNEE soutient en effet l’enseignement de l’Église catholique sur le genre et la sexualité. Une fiche de référence sur le site Web de l’organisation cite le Catéchisme de l’Église catholique (CEC) sur la question : « Chacun, homme et femme, doit reconnaître et accepter son identité sexuelle. La différence et la complémentarité physiques, morales et spirituelles sont orientées vers les biens du mariage et l’épanouissement de la vie familiale. (N° 2333)

La ressource cite également l’enseignement du CCC selon lequel « les actes homosexuels « sont contraires à la loi naturelle » » et ne peuvent « en aucun cas » être approuvés.

LifeSiteNews a contacté l’école secondaire St. John’s pour obtenir des informations sur la politique de l’école ou son absence concernant l’identification de genre des élèves qui s’identifient comme « trans », mais n’a pas encore reçu de réponse.

Bien que l’Académie Notre-Dame et St. John’s soient situées dans le diocèse de Worcester, elles ne sont pas directement supervisées par McManus ou le surintendant du diocèse, David Perda, selon le Patch.

LifeSiteNews a contacté le bureau de Mgr McManus pour commenter les décisions de l’Académie Notre-Dame et de St. John’s, mais n’a pas encore reçu de réponse.

Alors que les sénateurs de l’État du Massachusetts, Robyn Kennedy et Jason Lewis, ont critiqué la politique de McManus pour freiner « l’expression de soi » des étudiants, la Ligue d’action catholique a célébré la décision de McManus comme un « acte de courage et de fidélité, qui souligne la nécessité pour l’Église d’être contre-culturelle dans la société moderne ».

Le directeur exécutif de la Ligue d’action catholique, C.J. Doyle, a déclaré: « Les parents catholiques devraient raisonnablement s’attendre à ce que les écoles catholiques offrent une véritable alternative aux valeurs et pratiques laïques – souvent hostiles à la morale chrétienne et aux droits parentaux – qui prévalent dans le système scolaire public contrôlé par le gouvernement.

McManus s’est distingué en tant qu’évêque pour avoir clairement indiqué que les écoles défiant l’enseignement de l’Église catholique ne peuvent pas s’identifier comme « catholiques ».

Par exemple, l’année dernière, McManus a dépouillé l’école de la Nativité dirigée par les jésuites de Worcester de son statut « catholique » pour avoir ignoré ses directives précédentes sur le déploiement des drapeaux « fierté » et Black Lives Matter (BLM).

En 2007, il a condamné le Collège local de la Sainte-Croix, dirigé par les jésuites, pour sa décision de louer ses installations pour une conférence mettant en vedette des ateliers NARAL et Planned Parenthood. À l’époque, il a envoyé une lettre au collège dans laquelle il disait ceci :

« En tant qu’évêque de Worcester, il est de ma responsabilité pastorale et canonique de déterminer quelles institutions peuvent se dire correctement « catholiques ». C’est un devoir que je ne prends pas à la légère, car être une institution catholique signifie qu’une telle institution mène sa mission et son ministère en accord avec l’enseignement de l’Église catholique, en particulier dans les cas de foi et de morale.

« Je souhaite ardemment que l’administration du Collège de la Sainte-Croix se dissocie sans équivoque de la prochaine conférence parrainée par la Massachusetts Alliance on Teen Pregnancy afin que le collège puisse continuer à être reconnu comme une institution catholique engagée dans la promotion de l’enseignement moral de l’Église catholique romaine. »

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/news/massachusetts-bishop-forbids-students-from-lgbt-expression-in-diocesan-schools/?utm_source=digest-catholic-2023-08-23&utm_medium=email

[Admin]

CANADA : PROPAGANDE SUR LE "GENDER" DANS UN CAHIER DE GRAMMAIRE !

par Michel Janva

14 septembre 2023

Propagande sur le gender dans un cahier de grammaire.

Dans le livret canadien Missions 1re secondaire – Cahier d’apprentissage (incluant le code grammatical, le fascicule de mise à niveau et les exercices interactifs et Extras), on trouve ceci :

SOURCE :

https://lesalonbeige.fr/propagande-sur-le-gender-dans-un-cahier-de-grammaire/