Témoignage spectaculaire d'un Moine-Prêtre du Mont Athos qui a reçu la Vaccination !

Voici le récit d’un hiéromoine ( moine prêtre) qui a fait l’erreur de se faire vacciner et qui souhaite
faire entendre son témoignage.

« Je vais vous transmettre en quelques mots mon expérience de la vaccination avec la première
dose du vaccin Pfizer.
Dieu à l’aide de quelques signes a voulu me dissuader de me faire vacciner.
Alors que j’allais vers le centre de vaccination et juste avant que ne vienne mon tour, quelque
chose m’empêchait de m’approcher; mais tandis que je m’approchais quand même, j’ai ressenti
une odeur nauséabonde qui m’a intrigué. »

On voit ici que Dieu a donné des avertissements au hiéromoine mais celui-ci a tout de même
continué.

« Dès que j’ai été vacciné, je suis sorti du box et j’ai vu les gens qui attendaient leur tour.
Mais tout en partant je n’ai pu mettre ma coiffe de moine, j’ai ressenti en moi une grande honte et
de ce fait je suis parti en la tenant à la main. »

Ici le moine commence a ressentir l’influence démoniaque. Bien qu’il soit prêtre, il avait honte de
revêtir sa coiffe.

« En arrivant à la maison je suis allé dans le cabinet de toilettes pour me laver le visage et quand
je me suis vu dans le miroir j’ai été effrayé par l’expression que j’avais.
Le lendemain je suis allé faire des achats au supermarket et comme c’était la période où avait lieu
la fête de Pâques où l’on se salue en disant : « Le Christ est ressuscité » que je m’apprêtais à dire
aux vendeuses du magasin, à ma grande surprise, je me suis aperçu que j’étais très gêné de dire
« le Christ est ressuscité ».

Dans la tradition orthodoxe, on remplace les salutations habituelles, bonjour, bonsoir... par « le
Christ est ressuscité » auquel les chrétiens répondent « en vérité, Il est ressuscité ».

Le hiéromoine commençait à comprendre intensément que quelque chose n’allait pas à l’intérieur
de lui c’est à dire dans son âme.

« Le lendemain je vais dans une paroisse que je ne connaissais pas mais pas pour y dire la
liturgie, en entrant dans le sanctuaire, j’ai compris que j’étais mort spirituellement. »

La personne qui a une vie spirituelle réalise aussitôt la différence.

« La joie que je ressentais les autres fois, la joie des divines liturgies avait disparu, comme si je
n’étais pas entré dans le sanctuaire de l’église mais plutôt comme si j’étais entré dans une banale
pièce dans une maison.
Quand je croisais des personnes que je connaissais, elles détournaient leur regard de moi.
Tout ça m’a interpellé mais je n’ai pas pensé que cela pouvait provenir du vaccin.
Le lendemain j’ai réalisé que ma conscience souffrait. Comme si on m’enfonçait une aiguille dans
le coeur provoquant une douleur que je n’avais jamais éprouvé de ma vie.
Je l’ai dit à un archimandrite ( supérieur d’un monastère) qui m’a dit des paroles de consolation et
qui m’a répondu que cela n’était rien. En le quittant je me suis aperçu que cette horrible douleur
dans ma conscience n’avait pas faibli mais, qu’au contraire, elle était plus intense.
À partir de ce jour j’ai été pris d’un trouble qui a duré 13 jours, je ne pouvais ni dormir, ni me
détendre, ni m’apaiser.
Maintenant laissez-moi vous dire le plus terrible, le plus effrayant.
Je voyais Satan devant moi, son visage était à 20 cm du mien continuellement, nuit et jour.
J’allais me coucher le soir et je sentais qu’il m’enlaçait et mon corps tout entier était gelé.
Je lisais des hymnes à la Vierge Marie et je sentais brûler mon sang dans mes veines.
Je sentais en moi une créature étrangère qui me contrôlait, je ressentais de l’horreur et comme si
quelqu’un me disait: « maintenant tu m’appartiens ».
Vous comprenez combien tout cela est terrible et je vous le raconte car nous connaissons cette
personne et nous vous disons la vérité.
Un autre hiéromoine m’a raconté qu’au cours d’un exorcisme, alors que le démon était forcé de
dire la vérité, le démon lui dit : « Tout ce que je vais te dire, je ne veux pas le dire mais maintenant
j’y suis contraint.


Il lui dit donc : « nous, nous avons fait une cérémonie dans une loge en Amérique pour les
vaccins. »
C’est à dire qu’il y a eu un rite satanique et le démon dit aussi que ceux qui se seront fait vacciner
ne pourront pas se repentir ( ce qui est un peu exagéré ).
Alors le hiéromoine lui a demandé pourquoi ils ne pourront pas se repentir et il a répondu : « parce
que je suis en eux ».
Ce qui ramène au témoignage du hiéromoine qui a dit qu’il sentait le diable en lui et qu’il le voyait
à 20 cm de son visage et qu’il l’entendait lui dire « maintenant tu m’appartiens ».
Le hiéromoine qui pratiquait l’exorcisme dialoguait avec le démon lequel parlait au travers de la
personne qu’il possédait en utilisant sa voix.
Il lui a demandé : « Et comment peux-tu être à l’intérieur d’eux ? ».
Le démon a répondu : « par le sang des embryons avortés ».
À d’autres reprises les démons ont dit qu’ils ont profité d’avortements qui étaient prévus pour des
rites en série, pour cela des embryons étaient démembrés, dépecés par des médecins athées ou
des chercheurs. Les organes sont prélevés alors que les embryons sont encore vivants car s’ils
étaient morts, les organes et les cellules seraient inutiles.
Le diable avoue « moi, je suis déjà à l’intérieur d’eux grâce au sang des embryons. »
Et vous voyez combien le témoignage des démons recueilli lors des exorcismes que nous
pratiquons confirme celui du hiéromoine qui disait qu’il avait honte de mettre sa coiffe, de dire
« le Christ est ressuscité », qu’il se sentait comme mort quand il était dans le sanctuaire. Et aussi
que les gens qu’il rencontrait détournaient leur regard tellement son visage avait changé et que
pendant 13 jours il ne pu ni dormir, ni se détendre. Et le plus terrible, c’ est qu’il voyait
continuellement le visage du diable à 20 cm du sien nuit et jour, qu’il ressentait aussi que le diable
l’enlaçait. Tandis qu’il disait les prières à la Vierge Marie il sentait son sang qui brûlait dans ses
veines. Il ressentait comme quelqu’un qui lui disait : »maintenant tu m’appartiens ».

Ce hiéromoine qui témoigne continue son récit :

« Dès que je suis reparti de l’endroit où j’étais resté quelques jours pour de probables effets
secondaires, je suis retourné au monastère dans lequel je demeure. Je remarquais que durant la
divine liturgie, je ne comprenais plus rien, comme si j’étais mort.
Je ressentais de l’angoisse sans aucune once de joie, j’avais l’impression de ne pas être un prêtre
ni même d’avoir été baptisé. J’en étais arrivé à un point où je ne pouvais plus parler, comme si
j’avais perdu ma voix. Toute ma vie était sombre, je ressentais un désespoir permanent. »

Vous voyez que cet homme qui a fait l’erreur de se faire vacciner, se repent, c’est à dire qu’il a une
conscience spirituelle et cela est très important.

D’autres qui ont fait cette même erreur et qui le réalisent ne l’avouent pas alors qu’ils auraient pu
protéger leur prochain en en parlant.

Le hiéromoine reprend : « Dans cette situation dans laquelle je me trouvais est venue au
monastère une famille que nous connaissions. J’ai parlé un peu avec la mère de famille qui m’a
dit : « Père, que fais-tu ? beaucoup de ceux qui ont eu la première dose du vaccin ne feront pas la
deuxième. Surtout ne fais pas la deuxième dose. »

Elle lui redonna ainsi un peu de courage.

« Dès qu’elle me dit ces paroles, je ressentis une fraicheur envahir mon âme qui provenait de
DIeu. La grâce de Dieu m’a consolé.
Le moine avait commencé à se repentir et vous voyez que Dieu lui a envoyé quelqu’un pour le
réconforter, pour le consoler.
C’est comme ça que Dieu procède à travers les circonstances, par l’intermédiaire d’une personne
qui nous dit une parole. La plupart du temps il nous montre le chemin. Il lui a donc dit de cette
façon : « Bien, tu as fait une erreur, n’en fais pas une autre, ne fais pas la deuxième dose. »

« Vous pouvez imaginez la peine par laquelle je suis passé et les larmes que j’ai pu verser.
Je ne sais pas si c’est une coïncidence mais c’est 40 jours exactement après la première dose du
vaccin que j’ai commencé à ressentir la grâce de Dieu. »

C’est donc seulement après 40 jours qu’il a commencé à refaire l’expérience de la grâce divine.
Après avoir pleuré continuellement pendant cette longue période, il a ressenti à nouveau qu’il était
baptisé, que la grâce du Saint Esprit était revenue avec le repentir, la confession et les larmes.

« J’ai commencé à ressentir un apaisement et de la consolation, et que Dieu m’avait pardonné
même si je n’avais pas su ce qu’était ce vaccin.

Je ne veux pas et je n’ose penser à ce qu’il se serait passé si j’avais fait la deuxième dose du
vaccin. Ce que je peux dire c’est que le bon Dieu a eu de la compassion pour moi.

Maintenant même si je me sens mieux, je ne suis pas revenu à l’état antérieur dans lequel j’étais
avant la vaccination.


Selon mon humble avis, ce vaccin Pfizer que j’ai fait est une marque, un sceau mais pas l’ultime.
Il est sans doute le précurseur de la marque définitive ( de la Bête). »

C’est exactement ce que disent les démons lors des exorcismes.


Les démons disent que les vaccins sont une marque avant la marque finale et que les prêtres qui
se font vacciner perdent la lumière qui est en eux, leur force et leur énergie.
Le vaccin provoque des dommages spirituels et pas seulement biologiques...

Témoignage audio transmis le 09 septembre 2021par le père Savvas, hiéromoine du mont Athos.

SOURCE : Reçu par courriel. Merci à Philippe M.