Re: Le Consensus Scientifique est un Mythe dangereux - Le véritable portrait de la COVID au Québec !

**Admin** Mer 15 Mar 2023 - 18:12

@ Tous :

Tous les prétextes sont bons pour diaboliser le Professeur Patrick Provost :

L'Administrateur

**Admin** Sam 21 Oct 2023 - 15:02

L'ORGANISME DE RÉGLEMENTATION MÉDICALE DE L'ONTARIO ABANDONNE LES MESURES DISCIPLINAIRES CONTRE UN MÉDECIN QUI A CRITIQUÉ LES MANDATS COVID !

L’Organisme de Réglementation Médicale de l’Ontario abandonne les mesures disciplinaires contre un médecin qui a critiqué les mandats COVID. La Dre Kulvinder Kaur Gill devait faire face à une audience pour plusieurs publications sur les réseaux sociaux qu’elle a faites remettant en question les mandats COVID, les jabs et les confinements.

Anthony Murdoch

15 sept. 2023

(LifeSiteNews) — L’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario (OMCO) a retiré les procédures disciplinaires intentées contre la Dre Kulvinder Kaur Gill, une pédiatre ontarienne qui s’est fait connaître pour avoir dénoncé sur les médias sociaux les mandats draconiens liés à la COVID dans sa province d’origine.

« Bien que nous soyons heureux qu’une partie du fardeau ait été soulagée des épaules de la Dre Gill et qu’elle ait été justifiée, il est inquiétant que cela soit allé aussi loin », a déclaré l’avocate de Gill, Lisa Bildy, qui est soutenue par le Fonds pour la démocratie (TDF), dans un communiqué de presse hier.

Bildy a noté comment « l’imposition descendante d’un récit singulier et indiscutable » sous peine de « procédures disciplinaires » contre Gill, a été préjudiciable non seulement « aux médecins qui ont plaidé en faveur d’une médecine fondée sur des preuves et d’un débat scientifique solide sur les nouvelles mesures de santé publique et leurs conséquences, mais elle a également nui à la crédibilité des institutions qui les ont imposées ».

Au début de 2024, l’OMCO devait tenir une audience de 15 jours entièrement contestée contre Gill au sujet de plusieurs publications sur les réseaux sociaux qu’elle a faites remettant en question les mandats et les vaccins COVID, dont une datant de septembre 2020 qui dénonçait les confinements.

Gill est un spécialiste pratiquant dans la région du Grand Toronto et possède une vaste expérience et une formation approfondies en pédiatrie, en allergie et en immunologie clinique, y compris la recherche scientifique en microbiologie, en virologie et en vaccinologie.

L’OMCO a ouvert des enquêtes disciplinaires contre Gill en août 2020, le TDF notant qu’elle était la cible d’une « campagne en ligne menée par d’autres médecins, des médias et des membres du public pour générer des plaintes contre elle ».

Gill a un grand nombre d’abonnés sur X (anciennement Twitter) et depuis la mi-2020, il est actif sur la plateforme critiquant les mandats COVID. Elle a été l’une des rares médecins canadiennes à s’être prononcée très tôt contre les diktats de la COVID et s’est rendue régulièrement à X pour partager son point de vue.

En raison de ses publications sur les médias sociaux, Gill a fait l’objet d’enquêtes continues ainsi que de mesures disciplinaires de la part de l’OMCO. Des plaintes publiques ont également été déposées contre elle, sur lesquelles l’OMCO a enquêté.

Le TDF a tous les détails de la procédure engagée contre Gill.

L’année dernière, Gill a été condamnée à payer 1 million de dollars en frais juridiques après l’annulation de sa poursuite en diffamation.

À la fin de 2020, elle a intenté une action en justice contre un groupe de quelque 23 médecins, universitaires, journalistes et même l’ancien président de l’Association médicale de l’Ontario, qui, selon elle, aurait nui à sa réputation de « professionnelle de la santé pour avoir injustement attaqué sa position anti-confinement ».

Le TDF a déclaré que dans un résumé de l’avis d’audience qui a été publié dans le registre public de Gill, l’OMCO a accusé que, « entre février 2021 et 2022 environ, la Dre Gill s’est livrée à une conduite honteuse, déshonorante ou non professionnelle et/ou n’a pas respecté les normes d’exercice de la profession et/ou est incompétente en ce qui concerne ses communications, y compris, mais sans s’y limiter, les communications sur les médias sociaux / en ligne / les plateformes numériques concernant la pandémie de COVID-19 et les questions connexes. Cela inclut, sans s’y limiter, les déclarations trompeuses, fausses ou incendiaires sur les vaccinations, les traitements et les mesures de santé publique contre la COVID-19.

Le rapport de l’OMCO ne peut pas être divulgué publiquement parce qu’il fait partie de la divulgation de l’Ordre. Toutefois, l’exposé des détails de l’OMCO ainsi que la lettre de Gill en réponse à celui-ci sont des documents publics.

Gill s’oppose « vigoureusement » à être critiquée pour ses commentaires sur les réseaux sociaux
Le TDF a déclaré que Gill et Bildy « se sont vigoureusement opposés à cette caractérisation du commentaire du Dr Gill et qu’ils s’étaient préparés pour l’audience à venir, y compris en alignant des experts basés en Ontario et de renommée mondiale. »

« Cependant, l’OMCO a soudainement retiré son avis d’audience le 12 septembre, ce qui signifie qu’il a abandonné sa poursuite et son audience disciplinaire contre le Dr Gill », a-t-il déclaré.

Malgré l’abandon de la poursuite disciplinaire, une révision judiciaire concernant les mises en garde faites contre Gill par l’OMCO en lien avec ses publications sur les médias sociaux s’opposant aux confinements liés à la COVID se poursuivra.

La TDF a déclaré qu’elle attendait avec impatience que « la Cour divisionnaire examine si le CICR et le HPARB ont agi raisonnablement en émettant ou en confirmant le blâme public d’un médecin éthique pour avoir exprimé son inquiétude au sujet de politiques de santé publique extraordinaires et de leurs effets néfastes, malgré la violation de ses libertés d’expression, de conscience et de religion garanties par la Charte ».

De nombreux médecins canadiens qui se sont prononcés contre les mandats COVID et les injections expérimentales d’ARNm ont été censurés par leurs conseils médicaux.

Dans une entrevue accordée à LifeSiteNews lors de son assemblée générale annuelle en juillet près de Toronto, les médecins Mary O’Connor, Mark Trozzi, Chris Shoemaker et Byram Bridle ont été invités à énoncer leurs messages à la communauté médicale sur la façon dont ils ont dû lutter contre la censure parce qu’ils ont des opinions contraires au récit dominant de la COVID.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/news/ontario-medical-regulator-drops-disciplinary-action-against-doctor-who-criticized-covid-mandates/?utm_source=daily-canada-2023-09-16&utm_medium=email

**Admin** Ven 26 Avr 2024 - 16:39

@ Tous :

Le Professeur Patrick Provost de l'Université Laval est finalement congédié :

L'Administrateur

**Admin** Sam 27 Avr 2024 - 11:18

@ Tous :

Voici le texte de Zacharie Goudreault du Devoir :

Après avoir fait l’objet de plaintes à répétition pour ses propos controversés sur les vaccins à ARN messager contre la COVID-19, le professeur Patrick Provost a été congédié le 28 mars dernier par l’Université Laval. Une décision qu’il entend contester, dans l’espoir d’être réintégré au sein de l’établissement.

« Avec l’acharnement dont je suis victime avec l’Université Laval depuis 26 mois, j’ai été surpris, mais je m’y attendais », lance en entrevue, au sujet de son renvoi, l’ancien professeur au département de microbiologie-infectiologie et d’immunologie de l’institution. « Mais je ne croyais jamais qu’ils iraient jusque-là », convient M. Provost, qui a pris connaissance de son congédiement par le biais d’une lettre signée par le vice-recteur aux ressources humaines et aux finances, André Darveau.

« À l’heure actuelle, Patrick Provost n’est plus à l’emploi de l’Université Laval », a pour sa part confirmé par écrit la porte-parole de l’établissement, Andrée-Anne Stewart. L’université n’a toutefois pas pu détailler les motifs de ce congédiement en raison des règles de confidentialité encadrant ce type de dossier.

Des plaintes à répétition

Ces dernières années, les plaintes de la part de collègues et de citoyens se sont accumulées à l’endroit de Patrick Provost en raison de ses remises en question, dans les médias comme dans ses démarches académiques, de la sécurité et de l’efficacité des vaccins à ARN messager contre la COVID-19.

Dans la foulée, le professeur a d’abord été suspendu pendant huit semaines en juin 2022, puis pendant quatre mois à partir du 23 janvier 2023, chaque fois sans salaire. Le professeur a depuis reçu d’autres plaintes pour avoir partagé certains écrits portant sur les vaccins à ARN messager contre la COVID-19, a indiqué M. Provost au Devoir.

Cela aurait constitué « l’incident culminant » menant à son renvoi, affirme le professeur, qui a déposé un grief le 12 avril avec le soutien du Syndicat des professeurs et professeures de l’Université Laval (SPUL) afin de dénoncer son congédiement et de réclamer un dédommagement financier. Dans ce document, dont Le Devoir a obtenu copie, le professeur n’hésite pas à qualifier d’« illégale » et d’« abusive » la décision de l’Université Laval de rompre son lien d’emploi avec elle.

Malgré un grief sous examen

Ce congédiement survient d’ailleurs au moment où un arbitre se penche encore actuellement sur le grief déposé par M. Provost en opposition à sa première suspension, il y a près de deux ans. Une décision à ce sujet devait être rendue d’ici la fin de l’année, affirme le professeur.

« Et malgré tout ça, l’université a décidé d’aller jusqu’à me congédier, alors que les raisons sur lesquelles elle se base pour me congédier se retrouvent devant un arbitre », déplore M. Provost. Il espère être réintégré au sein de l’Université Laval s’il obtient gain de cause dans ses griefs qui l’opposent à la direction de l’établissement. « Je veux retrouver mon poste de professeur, qui m’a été retiré de manière injustifiée », poursuit l’homme. Il affirme d’ailleurs mener ce combat au nom de « la liberté académique de tous les professeurs au Québec ».

Contacté par Le Devoir, le SPUL a confirmé soutenir M. Provost dans ses démarches pour contester son congédiement. « Le principe de la liberté académique, c’est un principe fondamental pour notre syndicat », un principe qui est défini dans la convention collective des professeurs de l’Université Laval, évoque la présidente du SPUL, Marie-Hélène Parizeau. « On va le défendre en toutes circonstances. »

L'Administrateur