Le Pape François écrit à la Banque Mondiale pour réclamer une Gouvernance Globale post-COVID-19 !

L'Administrateur

16 septembre 2023

La Clinton Global Initiative (CGI) 2023, prévue les 18 et 19 septembre à New York, a annoncé que le pape François participerait au sommet avec d'autres mondialistes pour discuter de sujets tels que le changement climatique, la violence sexiste et les efforts de reconstruction à long terme en Ukraine.

Le pape François donnera le coup d'envoi de l'événement lors d'une conversation spéciale avec Bill Clinton.

"La CGI 2023 débutera lundi à 9 h 15 (heure de l'Est) par une conversation spéciale entre le président Clinton et Sa Sainteté le pape François par liaison à distance, sur ce qu'il faut faire pour continuer à relever les défis mondiaux les plus pressants de notre époque, comme le changement climatique, la crise des réfugiés, le bien-être des enfants et la mission et les projets de l'hôpital pour enfants Bambino Gesù", selon le communiqué de presse.

L'événement réunira également une brochette de mondialistes, dont Janet L. Yellen, secrétaire au Trésor américain ; Gavin Newsom, gouverneur de Californie ; Jen Psaki, ancienne attachée de presse de la Maison Blanche et actuelle animatrice de MSNBC ; Gretchen Whitmer, gouverneur du Michigan ; Ruth Porat, présidente, directrice des investissements et directrice financière d'Alphabet et de Google ; Dana Perino, co-présentatrice de America's Newsroom et co-animatrice de The Five sur FOX News Channel ; et bien d'autres encore.

La participation du pape à un événement organisé par une fondation dont l'histoire est marquée par des liens politiques soulève des questions sur l'incursion croissante du Vatican dans la politique mondiale. Les critiques soutiennent que la participation du pape pourrait être considérée comme une approbation de l'agenda de la Fondation Clinton.

En juillet, François a rencontré Bill Clinton et Alex Soros dans sa résidence de la Casa Santa Marta. Aucun homme au cours des 40 dernières années n'a fait plus de dégâts au monde occidental et à la civilisation que George Soros, le père d'Alex, et pourtant le pape communiste les a accueillis à bras ouverts.

BREAKING: Pope Francis is meeting with former US President Bill Clinton, along with Alex Soros, at the Pope's residence at the Casa Santa Marta. pic.twitter.com/rgsRQ6Ghx0

— Dom Lucre | Breaker of Narratives (@dom_lucre) July 5, 2023

En juin, François a également rencontré le président marxiste brésilien Lula da Silva au Vatican. Les deux gauchistes sud-américains ont échangé un baiser.

Le mois dernier, le pape François a attaqué les catholiques conservateurs américains lors d'une réunion avec les jésuites. Il a déclaré que les catholiques conservateurs américains étaient "rétrogrades" dans leur façon de penser et qu'ils avaient remplacé la foi par l'idéologie.

"Le pape François a fustigé le "retard" de certains conservateurs de l'Église catholique américaine, affirmant qu'ils avaient remplacé la foi par l'idéologie et qu'une compréhension correcte de la doctrine catholique permettait des changements au fil du temps", a rapporté l'agence AP.

"Les commentaires de François étaient une reconnaissance des divisions au sein de l'Église catholique américaine, qui a été divisée entre les progressistes et les conservateurs qui ont longtemps trouvé un soutien dans les papautés doctrinaires de saint Jean-Paul II et Benoît XVI, en particulier sur les questions de l'avortement et du mariage entre personnes de même sexe", a ajouté le média.

Le Gateway Pundit a publié une vidéo du père James Altman, le prêtre à l'origine de la vidéo virale "Vous ne pouvez pas être catholique et démocrate", affirmant que "le pape François n'est pas le pape".

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19 janvier 2024

Le 17 janvier, François a envoyé une lettre d'hommage au Forum économique mondial de Klaus Schwab, qui se réunit actuellement à Davos, en Suisse.

Il considère que l'objectif de cette réunion d'oligarques et de chefs de régime est d'explorer "les moyens de construire un monde meilleur" [sans le Christ]. Le message parle beaucoup de la guerre, de la faim et de la pauvreté.

François parle d'un "processus de mondialisation". Il attribue même à cette "mondialisation" une dimension morale qui doit être ressentie dans les discussions économiques, culturelles, politiques et religieuses "qui visent à façonner l'avenir de la communauté internationale". Les structures intergouvernementales devraient "contrôler" les États individuels.

Il rêve d'un gouvernement mondial unique et d'une "action politique internationale qui, par l'adoption de mesures coordonnées, puisse poursuivre efficacement les objectifs de la paix mondiale et d'un développement authentique".

VaticanNews.va a envoyé un journaliste, Mario Galgano, spécialement à Davos, probablement pour flatter François.

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