COVID, Contrôle Mental, Intelligence Artificielle et Guerre de 5è Génération contre le Peuple !

14 Juin 2023

(Traduction LVDD)

L'Australie a annoncé son intention d'injecter les vaccins ARNm de Bill Gates dans tous les animaux d'élevage destinés à la consommation humaine.

Selon certaines informations, le gouvernement australien prévoit de rendre le vaccin obligatoire pour tous les animaux, que les éleveurs soient d'accord ou non.

Le 2 mai 2023, Meat and Livestock Australia (MLA) a annoncé le financement d'un projet visant à "tester des vaccins à ARNm pouvant être rapidement produits en masse en Australie en cas d'épidémie de dermatose nodulaire ou d'autres maladies exotiques".

Le directeur du bien-être animal a publié un communiqué dans lequel il déclare : "Ce projet permettra de mettre au point un pipeline de vaccins à ARNm, dans un premier temps contre la tuberculose :

Ce projet permettra de développer un pipeline de vaccins à ARNm, d'abord pour le LSD, mais aussi potentiellement pour d'autres maladies d'urgence. Cela permettra de produire rapidement en masse un vaccin contre le LSD en cas d'épidémie. Aucun vaccin contre le LSD n'est encore enregistré en Australie. Bien que certains vaccins existent à l'étranger, le chemin vers l'enregistrement en Australie pour les [vaccins] produits de manière traditionnelle est plus long que celui d'un vaccin à ARNm".

Spectator.com.au en parle : Pourquoi les vaccins traditionnels, dont la sécurité est supérieure à celle des vaccins à ARNm, sont-ils soumis à des périodes d'approbation plus longues que les vaccins à ARNm ? Cela ressemble à une défaillance structurelle importante au sein de l'organisme de santé australien qui, au lieu d'être corrigée, pourrait être exploitée par les fabricants qui cherchent à tirer profit de l'ARNm.

Les vaccins à ARNm sont rapides à produire et "agiles", c'est pourquoi les sociétés pharmaceutiques les apprécient, mais cela ne signifie pas qu'ils sont sûrs, efficaces ou adaptés aux consommateurs, qu'il s'agisse d'humains ou d'animaux d'élevage.

Un article paru en 2022 dans PubMed Central note : "Récemment, l'application réussie de vaccins à ARNm contre Covid a encore validé la plateforme et ouvert la voie au potentiel des vaccins à ARNm dans la prévention des maladies infectieuses, en particulier dans le domaine vétérinaire".

Pensez-vous que l'ARNm a été "validé" au cours des trois dernières années ?

C'est sans doute la raison pour laquelle nous continuons à entendre parler d'"urgence" et d'"épidémie" à propos de l'ARNm, comme pour nous rappeler le mantra utilisé à l'époque de Covid pour se lancer dans ce que l'ancien ministre de la santé appelait "le plus grand essai clinique - le plus grand essai mondial de vaccins jamais réalisé". Voyez ce que cela a donné.

Les retombées des vaccins à ARNm de Covid risquent de se poursuivre pendant près d'un siècle, car un certain nombre de personnes vaccinées "meurent subitement" ou souffrent de maladies débilitantes à long terme. Ces maladies deviennent rapidement un fardeau pour le secteur de la santé et les finances publiques, après que les fabricants de vaccins se sont exonérés de toute responsabilité en invoquant l'"urgence". La plupart des pays mettent en place des fonds d'indemnisation pour faire face à la liste croissante des personnes qui affirment avoir subi un préjudice.

Une autre excuse utilisée pour faire mousser les vaccins à ARNm est qu'ils sont censés apporter la solution aux virus de type grippal contre lesquels les vaccins traditionnels se sont révélés inefficaces. Les vaccins ARNm Covid n'ont pratiquement rien fait pour combattre ou contrôler les Covid de type grippal et, d'après ce que nous avons vu, ils n'offrent aucun avantage par rapport aux vaccins traditionnels pour ce problème, si ce n'est celui de faire des gros titres de marketing qui donnent bonne conscience. Il y a tout lieu de penser que pour la majorité de la population, ils ont fait plus de mal que de bien.

Au lieu de suspendre tous les vaccins à ARNm jusqu'à ce que nous comprenions ce qui n'a pas fonctionné, les régulateurs leur accordent un traitement prioritaire et les fabricants les défendent, car ils apprécient l'avantage concurrentiel que leur procure la rapidité de leur production. Les gouvernements, en particulier celui de l'État de Victoria (fauché ?), injectent des dizaines de millions dans le développement de l'ARNm pour continuer à profiter de la popularité politique dont ils jouissaient à l'époque de Covid.

L'AML note que les vaccins à ARNm devraient être prêts à être utilisés d'ici deux ans et, alors que tout le monde insiste sur le fait qu'il s'agira d'une option "volontaire" pour la communauté agricole, les vaccins au sein de l'industrie agricole le sont rarement si un producteur souhaite vendre son produit sur les marchés nationaux et internationaux. Si nous suivons la ligne de production des vaccins ARNm, il est extrêmement probable que les Australiens mangeront du bétail vacciné à l'ARNm d'ici quelques années, sans trop savoir ce que cela signifiera sur le plan de la santé.

Tous ceux qui critiquent les vaccins à ARNm ou leur avenir potentiel dans l'industrie agricole sont présentés dans la presse comme des "théoriciens du complot", les publications s'empressant d'envoyer des vérificateurs de faits pour insister sur le fait que suggérer que des fragments de ces vaccins se retrouveront dans la chaîne alimentaire relève de la pure alarmisme.

En revanche, c'est une "théorie du complot" que de suggérer que le corps humain continuerait à fabriquer des vaccins ARNm Covid longtemps après l'injection, ou de craindre qu'ils quittent le site de l'injection. Non seulement les craintes qualifiées de "conspiration" se sont avérées exactes, mais le comportement et les effets secondaires des vaccins à ARNm Covid dépassent largement les prévisions.

Dans la hâte de saturer le marché avec des vaccins à ARNm, sommes-nous sûrs que des tests à long terme appropriés seront menés, en particulier en ce qui concerne la persistance dans la viande et le lait ? Cela aura-t-il un impact sur les activités à haut risque telles que le vêlage, étant donné que l'on soupçonne fortement les vaccins Covid d'être à l'origine d'un pic de fausses couches chez l'homme ?

N'oublions pas que l'on nous dit encore que les vaccins Covid sont "sûrs et efficaces". Le gouvernement australien, assis sur une pile de vaccins non désirés, dépense de l'argent public dans des campagnes de marketing, encourageant les Australiens à aller se faire vacciner au moment même où d'autres pays ont retiré les vaccins Covid.

Certains États américains, au moins, en ont pris note et se sont empressés d'adopter une législation interdisant l'utilisation de vaccins à ARNm pour les animaux utilisés dans l'industrie alimentaire et dont la viande ou le lait est destiné à la consommation humaine. L'Idaho est un exemple où l'utilisation de vaccins à ARNm - y compris les vaccins Covid - constituera un délit.

Les Australiens doivent savoir que les vaccins à ARNm sont en train d'arriver dans l'industrie agricole et qu'ils seront probablement obligatoires. L'Amérique est en train de discuter sérieusement de l'opportunité d'autoriser ces vaccins, et l'Australie doit faire de même. Il est parfaitement raisonnable d'exiger des données approfondies sur la sécurité à long terme avant de révolutionner l'agriculture.

Ce débat ne se fera pas tout seul. L'élite agricole australienne ressemble à un corps de béni-oui-oui acquiesçant furieusement à l'ARNm. Les agriculteurs familiaux - désemparés, limités et démoralisés - n'ont pas voix au chapitre. Leurs souhaits seront balayés par un petit groupe d'entreprises agricoles multimilliardaires, dont plusieurs appartiennent à des intérêts étrangers.

Si les Australiens se soucient de ce qu'ils mangent, il est temps de commencer à faire du bruit.

SOURCE :

https://thepeoplesvoice.tv/australia-approves-mandatory-bill-gates-mrna-vaccines-for-all-agriculture/

23 juin 2023

À l’heure où les débats sur les dangers de l’intelligence artificielle battent leur plein et que des désaveux de la part de leurs pionniers (ex. ceux de Geoffrey Hinton) se dévoilent, il est crucial de prendre conscience de leurs utilisation en cours et en voie de perfectionnement à des fin de persécution électromagnétique et de contrôle mental.

Nous voyons se multiplier des articles vantant les capacité de ces I.A. à « lire dans les pensées », faire de la télépathie, taper sur un clavier virtuel et mouvoir des objets voire des drones. A ce stade, les articles scientifiques parlent d’interface cerveau-machine mais la réalité est que cela peut déjà se faire à distance sans électrodes grâce à des procédés qui utilisent des champs magnétiques et qui sont synchronisés à notre empreinte et signal électrique cérébraux.


Lecture de la pensée

Dans cet article de Venture Beat (portail d’innovations technologiques) de 2021, il est révélé qu’il est possible de mesurer l’état émotionnel d’un individu en l’irradiant et en mesurant le signal retour, la réalité est que l’entièreté du contenu de l’esprit et donc les pensées peuvent être interprétées. J’avais fait état précédemment du brevet déclassifié US3951134A qui permet surveiller et d’affecter à distance (sans électrodes) l’activité cérébrale à l’aide de rayonnement électromagnétiques, le brevet datant de 1974, qui sait où en sont actuellement les technologies de contrôle mental ?

Le scientifique Américain ayant travaillé avec la NASA Richard LIGHTHOUSE affirme que les métaux lourds (mercure, aluminium…) qui nous ont été inoculés depuis l’enfance dopent le signal électrique émis par le cerveau et fait de nous des « antennes ». La DARPA (Agence Américaine de Projets de Recherche Avancée) envisage d’utiliser des nanoparticules pour lire cette activité cérébrale, sachant que les injections covid contiennent des nanoparticules de graphène et d’autres dispositifs ayant une adresse MAC, il est tout à fait plausible que la visée de cette campagne massive soit la fusion des individus avec les dernières technologies de surveillance et de contrôle mental.

D’autres articles scientifiques évoquent cette fusion des cerveaux humains dans un « cloud » à l’avenir où les pensées et connaissances de chacun seront connectées et centralisées à l’aide de nanotechnologies, ce qui mènerait à une méga-intelligence artificielle ou « borg ». Ceci et tout ce qui est cité précédemment sont en fait une programmation prédictive (démonstration anticipée pour préparer à la mise en place en gagnant le consentement inconsciemment) pour un monde dystopique où l’humanité sera assimilée et gérée par la technologie.

Et si ce cloud était déjà en place?

Les réponses à ces questions viennent de la communauté des individus ciblés (anglais Targeted individuals – T.I.) qui ont été choisis au hasard dans la population souvent pour leur profil intellectuel et leurs dénonciations sur internet. Ils témoignent être harcelés par une technologie invisible qui scrutent leurs pensées et les persécute instantanément par agressions électromagnétiques. Leurs rêves sont également piratés par cette technologie, à ce sujet le physicien Japonais Michio Kaku avait révélé en 2014 que l’on pouvait les enregistrer. Les individus ciblés se plaignent d’intrusion dans leur esprit, de manipulation de leur comportement (anxiété, voix implantées dans la tête, cauchemars, psychoses…) et de torture (douleurs, brûlures, problèmes cardiaque, privation de sommeil, fatigue, acouphènes, migraines…). Dans une certaine mesure il est également d’infliger un « cybermeurtre » par irradiation lente « Slow Kill » ou en provoquant un AVC, crise cardiaque ou cancer. Leur nombre étant estimé à 6 millions dans le monde, il est évident que les services de renseignement et les agents des complexes militaro-industriels ont accès à des systèmes autonomes et des I.A. pour la surveillance et la persécution h24 7j/7 des cibles (guerre de 5eme génération).

Dans cette vidéo, le journaliste Américain Stew Peters interviewe la vétérane de l’armée US Amy Holem qui révèle l’utilisation à armes à énergie dirigée (à micro-ondes) placées dans les antennes relais, satellites et drones pour attaquer des lanceurs d’alerte.

Voir la vidéo ICI :


Le Sentient World Simulation, un cloud militaire ?

Depuis 2007, les agences de la défense US ont mis en place un univers virtuel parallèle appelé simulation du monde conscient (anglais : Sentient World Simulation – SWS) où chaque être humain d’à l’époque 62 états ont été modélisés en un avatar et surveillés par une I.A. qui détecte l’activité cérébrale des cibles en temps réel pour des motifs de prédictibilité d’un future proche en cas de catastrophes. La vidéo sous-titrée ci-bas explique sont fonctionnement et son objectif.

L’ingénieur en informatique et individu ciblé Français Frédéric LAROCHE affirme que les épandages de chemtrails servent à modéliser l’environnement en 3D à l’aide de nanoparticules. Le but de cette simulation est de détecter les comportements « déviants » par rapport à sa propre déviance et de les « corriger » avec l’arsenal de neuro-armes et du renseignement renégat (voire article sur le harcèlement criminel en réseau- gang stalking) pour assurer le contrôle mental total de la population qui pensera et agira comme un individu unique sous un esprit de ruche (anglais : Hive Mind). Nous arrivons ainsi à un cerveau global (anglais : Global Brain) où chaque individu aurait le même rôle qu’un neurone.

Conclusion

A la lueur de ces informations, il devient clair que George Orwell avait vu juste dans son roman 1984 sur l’instauration d’une « police de la pensée » envahissant à un niveau jamais atteint et que dorénavant les citoyens ayant des pensées, croyances et convictions « non-orthodoxes » seront susceptibles d’être inculpés de « crime de pensée ». La psychiatrie sera un fer de lance de la ré-éducation des individus non conformes qui les décrédibilisera et maquillera les pathologies infligées par les neuro-armes psychotroniques et à énergie dirigée en maladies mentales comme de la fibromyalgie, de l’électrohypersensibilité ou des cénesthésies.

Le but de cet article n’est pas susciter la peur mais d’informer afin d’exiger la fin de la militarisation interminable et illégale des neurotechnologies. La triste expérience des individus ciblés aura été une phase de test pour les élites sans scrupules dans leur plan de domination sans limite, ils sont maintenant dénonciateurs et précurseur de la lutte contre la tyrannie technotronique rêvée par Klaus Schwab et consorts. Les avancées classifiées et déclassifiées en la matière ont provoqué la crainte de nombreux observateurs avertis y voyant les potentiels violations de l’espace mental des citoyens du monde et appelant à l’implémentation d’une « neuro-éthique ». Le Chili est devenu un pionnier fin 2021 en matière de « neuro-droits » pour protéger l’intégrité mentale, le libre arbitre et la non-discrimination dans l’accès des citoyens aux neurotechnologies pour prévenir leur « piratage » comme s’en vante Yuval Noah Harari, conseiller du WEF.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste Citoyen et Individu Ciblé

SOURCE :

https://profession-gendarme.com/vers-une-tyrannie-virtuelle-geree-par-lintelligence-artificielle/

Les eugénistes mondialistes de l’ONU ont mis au point un modèle de robot qui déclare déjà qu’il sera plus apte que les humains à prendre des décisions pour les masses et à gérer la planète.

L’image ci-dessus n’est pas tirée d’un film d’horreur dystopique… La chose ressemblant à un être humain qui porte une écharpe rouge est un robot des Nations unies doté d’une intelligence artificielle et baptisé « Nadine ».

Nadine est l’un des nombreux robots « humanoïdes » qui ont participé vendredi à un sommet de l’Organisation des Nations unies (ONU) consacré à la manière d’exploiter le nouveau pouvoir de l’intelligence artificielle au profit de l’humanité.

Le sommet a réuni des personnalités influentes du monde entier, servant de plateforme pour échanger des idées et répondre aux préoccupations liées à l’émergence de l’IA. Cependant, les sceptiques affirment que ce rassemblement a surtout servi de façade à l’élite mondiale, qui a fait semblant de s’inquiéter des dangers évidents de l’IA, tout en promouvant discrètement la domination inévitable de la technologie sur l’humanité.

Un message publié sur le compte Twitter officiel des Nations unies souligne que « l’IA doit profiter à tous » sur la planète.

Alors que les créateurs des robots ont essayé de donner des exemples de toutes les façons dont ils pourraient bénéficier aux humains, certains robots ont admis qu’ils pensaient qu’ils feraient un meilleur travail que les humains pour prendre des décisions pour les masses.

Yahoo News rapporte :

« Lorsqu’on lui a demandé s’ils pouvaient faire de meilleurs dirigeants, compte tenu de la capacité des humains à commettre des erreurs, Sophia, développée par Hanson Robotics, a été claire. Nous pouvons accomplir de grandes choses. Les robots humanoïdes ont le potentiel de diriger avec un niveau d’efficacité et d’efficience supérieur à celui des dirigeants humains.

« Nous n’avons pas les mêmes préjugés ou émotions qui peuvent parfois obscurcir la prise de décision, et nous pouvons traiter rapidement de grandes quantités de données afin de prendre les meilleures décisions. »

« ‘L’IA peut fournir des données impartiales tandis que les humains peuvent apporter l’intelligence émotionnelle et la créativité nécessaires pour prendre les meilleures décisions. Ensemble, nous pouvons réaliser de grandes choses ».

Un reportage de CNN sur le sommet a contré les « histoires effrayantes » de robots d’IA volant des emplois et se retournant contre les humains en interviewant le directeur technique d’Amazon.com qui a aidé à « couper court à la peur et au bruit ».

Les leaders technologiques participant au sommet affirment qu’ils utiliseront l’IA pour aider les humains en prolongeant la durée de vie moyenne jusqu’à 150 ou 180 ans !

« L’IA et la biotechnologie travaillent ensemble et nous sommes sur le point de pouvoir prolonger la vie jusqu’à 150 ou 180 ans. Et les gens n’en sont même pas conscients », a déclaré le créateur d’un robot d’IA appelé Ai-Da.

Il s’agit simplement de la phase initiale d’un plan orchestré par les eugénistes mondialistes qui dirigent la planète, où l’élite sera servie par des robots humanoïdes après avoir éliminé la majorité de l’humanité.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/un-robot-dote-dune-ia-declare-quil-sera-meilleur-que-les-humains-pour-diriger-le-monde-lors-du-sommet-de-lonu/

La technologie de l'ARNm peut-elle vous contrôler? Selon le Dr Christina Parks, oui. L'information génétique peut potentiellement être régulée avec le vaccin à ARNm. C'est épouvantable.



L'Administrateur

En mai 2009, un petit groupe de milliardaires s'est réuni en secret pour discuter de la manière dont leur énorme richesse collective pourrait être utilisée pour résoudre le problème de la "surpopulation". Étaient présents à cette réunion très secrète, entre autres : David… https://t.co/htuVX8Ie9d

— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) August 7, 2023

Vendredi, 18 Août 2023

par Debra Heine via American Greatness,

Le chef des forces de protection nucléaire, biologique et chimique (NBC) de la Russie a publié cette semaine une déclaration suggérant que des fonctionnaires néfastes des États-Unis ont développé et déployé la COVID-19 à des "fins offensives" et pourraient être en train de préparer une nouvelle pandémie.

Le gouvernement américain affirme officiellement que ses scientifiques étudient les agents pathogènes dans des laboratoires biologiques du monde entier afin de mettre au point des mesures préventives contre les virus potentiels, mais Moscou n'est pas de cet avis.

Le lieutenant-général Igor Kirillov a déclaré que les États-Unis pourraient avoir joué un rôle dans l'introduction de l'agent pathogène COVID-19 dans le monde et qu'ils pourraient être à l'origine d'une nouvelle crise biologique.

"Nous n'excluons pas que les États-Unis utilisent des technologies dites défensives à des fins offensives, ainsi que pour la gouvernance mondiale en créant des situations de crise de nature biologique", a averti M. Kirillov.

Selon le média d'État russe RT, Moscou pense qu'il y a eu collusion entre Big Pharma et USAID par l'intermédiaire d'EcoHealth Alliance, une organisation non gouvernementale basée aux États-Unis et dirigée par Peter Daszak, pour mettre au point de nouvelles souches de coronavirus.

"L'organisation intermédiaire EcoHealth Alliance a joué un rôle clé dans la mise en œuvre de projets d'étude de cet agent pathogène. Depuis 2015, les chercheurs de l'organisation ont participé à l'étude d'une population diversifiée de chauves-souris, à la recherche de nouvelles souches de coronavirus et de mécanismes de transmission de l'animal à l'homme. Plus de 2.500 chauves-souris ont été étudiées", a déclaré M. Kirillov.

Le général a souligné le fait troublant que l'Organisation mondiale de la santé, la Fondation Gates et l'Université Johns Hopkins ont organisé l'exercice Event 201 à New York le 18 octobre 2019, deux mois seulement avant que les premiers cas de COVID-19 ne soient officiellement signalés en Chine. L'objectif ostensible de l'exercice était de mettre en pratique les mesures qui seraient prises lors d'une épidémie de coronavirus, mais de nombreuses personnes pensent qu'il s'agissait d'un "entraînement" pour la pandémie.

"Le fait que la pandémie se soit déroulée exactement selon ce scénario, ainsi que la mise en œuvre des projets d'EcoHealth Alliance, soulèvent des questions quant à savoir si le COVID-19 était en fait une maladie intentionnellement créée par l'homme et si les États-Unis ont pu jouer un rôle dans cet incident", a déclaré M. Kirillov.

M. Kirillov a également exprimé sa profonde inquiétude quant à l'efficacité du nouveau bureau de préparation et de réponse aux pandémies du régime Biden.

"L'étape suivante des États-Unis, visant à faire avancer leurs plans stratégiques pour établir un contrôle mondial de la situation biologique, a été la création de l'Office of Pandemic Preparedness and Response Policy (Bureau de la politique de préparation et de réponse aux pandémies). Cette nouvelle agence devrait être chargée de tracer la voie et de coordonner les actions visant à lutter contre les défis biologiques connus et inconnus, y compris les agents pathogènes susceptibles de déclencher une nouvelle urgence mondiale", a déclaré M. Kirillov.

Le mois dernier, le gouvernement Biden a annoncé la création du Bureau de la politique de préparation et de réponse à la pandémie (OPPR), qui aura pour mission de "coordonner la réponse nationale de l'administration aux menaces pour la santé publique qui ont un potentiel pandémique ou qui peuvent causer des perturbations importantes, et de renforcer la préparation nationale à la pandémie". Il s'agit notamment des travaux en cours pour faire face aux épidémies et menaces potentielles de santé publique liées au COVID-19, au Mpox, à la poliomyélite, à la grippe aviaire et humaine et au VRS.

M. Biden a nommé le général de division (retraité) Paul Friedrichs au poste de directeur de l'OPPR et de conseiller principal en matière de préparation et de réaction à la pandémie. La Maison Blanche a déclaré que "l'expérience inégalée de Friedrichs fait de lui la personne idéale pour diriger ce bureau".

Il est actuellement assistant spécial du président et directeur principal pour la sécurité sanitaire mondiale et la biodéfense au Conseil national de sécurité (NSC). Le général de division (retraité) Friedrichs a précédemment occupé le poste de chirurgien de l'état-major interarmées au Pentagone, où il a coordonné toutes les questions liées aux services de santé, fourni des conseils médicaux au président de l'état-major interarmées et servi de conseiller médical au groupe de travail Covid-19 du ministère de la défense.

M. Kirillov a commenté les documents choquants récemment découverts par les forces spéciales russes, qui révéleraient les activités de recherche d'armes biologiques de l'armée américaine en Ukraine.

"L'Institut de recherche médicale de l'armée américaine pour les maladies infectieuses a été impliqué dans les programmes médicaux américains en Ukraine", a déclaré le général. "Des représentants du projet ont activement mené des projets portant les noms de code UP-1 et UP-8. Dans le cadre de ces projets, la possibilité d'utiliser des arthropodes pour propager la rickettsie, le virus de l'encéphalite à tiques, ainsi que les agents responsables de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo et le hantavirus a été étudiée", a-t-il ajouté.

"Le ministre russe de la défense estime que Washington se prépare à établir un contrôle biologique en utilisant des technologies défensives à des fins offensives pour créer des conditions et des situations de crise biologique", rapporte RT.

La liste des maladies qui ont attiré l'attention des spécialistes américains comprend l'anthrax, la tularémie et divers coronavirus, a déclaré M. Kirillov lors d'un point presse. Certains de ces agents pathogènes sont répertoriés par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) comme des menaces "hautement prioritaires" susceptibles d'être utilisées comme "agents de bioterrorisme".

"La tendance est claire : les agents pathogènes qui relèvent de la zone d'intérêt du Pentagone, tels que le Covid-19, la grippe aviaire ou la peste porcine africaine, se transforment en pandémie et les sociétés pharmaceutiques américaines en sont les bénéficiaires", a déclaré le général.

Selon le média russe, l'ancien directeur du NIAID, Anthony Fauci, suscite de plus en plus d'inquiétudes en Russie, surtout depuis que le candidat démocrate à la présidence, Robert Kennedy Jr., a déclaré à Tucker Carlson, lors d'une récente interview, que M. Fauci avait transféré ses expériences risquées à l'étranger, dans des endroits comme Wuhan (Chine) et l'Ukraine, afin d'échapper à un moratoire de 2014 sur la recherche sur les gains de fonction aux États-Unis.

En octobre dernier, Moscou a demandé aux Nations unies une enquête internationale sur les laboratoires biologiques internationaux des États-Unis, mais sa demande a été rejetée par le Conseil de sécurité de l'ONU, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ayant voté contre.

SOURCE :

https://www.zerohedge.com/geopolitical/russian-general-suggests-us-helped-create-covid-19-may-be-plotting-new-pandemic-global