MGR SCHNEIDER : "À propos de la Validité du Pontificat du Pape François" !

4 décembre 2023

Sous François, il y a eu "plusieurs actes" qui ne sont pas conformes à l'enseignement du magistère de l'Église "et il s'agit d'une crise", a déclaré Mgr Schneider à CatholicHerald.co.uk (1er décembre).

Il mentionne le document d'Abou Dhabi de François, qui affirme à tort que Dieu veut positivement les religions non chrétiennes.

François relativise l'enseignement moral en l'adaptant à l'immoralité du monde, de sorte que l'Église ne deviendrait qu'une autre des nombreuses organisations de ce monde.

Schneider a noté que l'atmosphère surnaturelle et la beauté de la messe latine attirent les jeunes, de sorte que partout dans le monde, la messe est remplie de jeunes familles et d'enfants. Traditionis Custodes ne sera pas en mesure d'arrêter la messe, prédit-il.

Pour Schneider, la destitution de l'évêque Strickland est "une énorme et flagrante injustice". Il explique que François a voulu faire taire Strickland qui est une voix prophétique, un "obstacle" et une "voix désagréable" pour beaucoup dans l'Église.

En revanche, François promeut les prélats qui sapent publiquement la foi et épargne les évêques pro-homosexuels et le père Rupnik qui, en tant qu'ami de François, a bénéficié d'un "traitement privilégié" au lieu d'être puni.

SOURCE :

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Les enseignements de saint Bellarmin concernant un hérétique siégeant sur le trône papal :

Extrait de St Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, Livre II, Chapitre 30 :

Saint Robert Bellarmin (1610) : « Le Pape qui est manifestement hérétique cesse par lui-même d'être Pape et chef, de même qu'il cesse d'être chrétien et membre du corps de l'Église ».

Cette déclaration de saint Bellarmin est conforme à la Parole de Dieu, à la Tradition de l'Église, et est confirmée par les VIe et VIIIe Conciles généraux. Elle repose sur l’hypothèse fondamentale selon laquelle un hérétique s’est exclu de l’Église et n’en est pas membre, et ne peut donc pas non plus en être le chef. Cette affirmation s’applique pleinement au pseudo-pape Bergoglio car ses hérésies sont manifestes. Si l’Église ne s’oppose pas à ses hérésies au moins maintenant, elle se transformera en une anti-Église de Satan, conformément à son programme.

Saint Bellarmin explique encore : « Il est prouvé par des arguments d'autorité et de raison que l'hérétique manifeste est déposé « ipso facto » (par le fait même). L’argument d’autorité s’appuie sur saint Paul (Tite, 3), qui ordonne d’éviter l’hérétique après deux avertissements, c’est-à-dire après s’être montré manifestement obstiné – c’est-à-dire avant toute excommunication ou condamnation judiciaire ».

Saint Bellarmin fait appel aux arguments de la raison et de l'autorité, c'est-à-dire à l'apôtre Paul, et souligne qu'un hérétique manifestement obstiné est ipso facto exclu de l'Église.

Saint Bellarmin déclare encore : « Et c'est ce qu'écrit saint Jérôme, ajoutant que les autres pécheurs sont exclus de l'Église par une sentence d'excommunication, mais que les hérétiques s'exilent et se séparent, de par leur propre acte, du corps du Christ. Le non-chrétien ne peut en aucune manière être Pape... il ne peut pas être le chef de ce dont il n'est pas membre ; or, celui qui n'est pas chrétien n'est pas membre de l'Église, et un hérétique manifeste n'est pas chrétien, comme l'enseignent clairement saint Cyprien (lib. 4, épist. 2), saint Athanase (Ser. 2 cont. Arien), St Augustin (lib. De grat. Christ. cap. 20), St Jérôme (Dial. contra Lucifer.) et autres; donc l’hérétique manifeste ne peut pas être pape ».

Saint Paul évoque l’anathème, qui signifie l’excommunication pour avoir prêché un autre évangile. Le mot anathème signifie aussi malédiction, et le fruit de cette malédiction est la damnation éternelle en enfer pour ceux qui, par un repentir adéquat, ne retournent pas, tant qu'il est temps, à l'Église du Christ, non à la synagogue de Satan, comme Bergoglio et sa secte représente aujourd'hui.

Une brève instruction selon l’Écriture, saint Bellarmin et le pape Paul IV, appliquée à la situation actuelle :

Bergoglio, qui occupe la fonction de chef de l’Église, n’est en fait pas le chef de l’Église du Christ, mais de l’anti-Église appelée Eglise Profonde. Il ne s’agit pas du Corps du Christ, mais du Corps de l'Antéchrist. Ceci est démontré par le fait que Bergoglio a intronisé le démon Pachamama dans la basilique principale de l'Église, s'est fait publiquement consacrer à Satan par un sorcier au Canada, promeut un anti-évangile sodomite et introduit des anti-sacrements tels que la bénédiction par l'Église des unions sodomites ainsi qu’un pseudo-sacerdoce avec l'ordination non valable des femmes, des lesbiennes et des transsexuels.

C'est le système de l’antéchrist et Bergoglio est le chef de cet organisme pernicieux ! Il n'est pas le chef de l'Église du Christ. C'est un homme dédié à Satan, qui abolit les lois de Dieu et introduit des anti-lois qui contredisent même les lois naturelles. Avec un faux évangile (cf. Gal 1, 8-9), il conduit les catholiques trompés à la destruction. La déclaration de l’apôtre Paul dans 2 Thessaloniciens au sujet de la rébellion contre Dieu s’applique pleinement à Bergoglio. Bergoglio n’est pas un hérétique ordinaire ; il a eu dès le début l’intention de détruire l’Église en son sein. Rien ne pourrait être pire pour l’Église. Même saint Bellarmin disait : « Ce serait la condition la plus misérable de l’Église si elle était obligée de reconnaître un loup manifestement enragé comme étant un berger ».

Malheureusement, l’Église catholique se trouve aujourd’hui dans une situation des plus misérables. C'est l'hérésie de la papolâtrie qui y contribue, qui prétend que le Pape peut commettre les plus grandes hérésies qui existent et rester Pape. Les papolâtres disent : « Le Pontife romain ne peut pas tomber dans une hérésie formelle en raison de l’assistance divine offerte aux successeurs de saint Pierre, qui est donnée en réponse à la prière du Christ pour la foi inébranlable de Pierre ». L'histoire a montré que cette affirmation contredit la réalité. Il est absurde d'utiliser cette affirmation pour nier des faits évidents et faire croire que les hérésies flagrantes de Jorge Bergoglio n'existent pas.

La conséquence est que l'Église, en suivant son exemple, comme s'il était un véritable Pape, doit rejeter les lois de Dieu, accepter la bénédiction des unions sodomites et prendre pour acquis son dévouement sans précédent à Satan, tandis qu’elle fait hypocritement appel à la prière du Christ pour l'apôtre Pierre. Il s’agit d’une tragique illusion. De la même manière, les Juifs affirmaient de manière démagogique que Dieu ne pouvait pas permettre la destruction du temple. Et alors que celui-ci brûlait, ils sautaient dans le feu comme des fous, croyant toujours que ce n'était pas vrai. Dieu a permis la destruction du temple. Il reste détruit à ce jour.

L'hérésie de la papolâtrie est constamment promue par l’évêque Schneider. Cet état de choses au sein de l’Église est pire que n’importe quelle persécution extérieure sous laquelle des dizaines de milliers de martyrs sont morts pour leur fidélité à Jésus et à Ses enseignements. Aujourd’hui, alors que le plus grand hérétique de tous les temps occupe la papauté, l’hérésie de la papolâtrie collabore à la destruction interne des racines fondamentales de la foi et de la morale. Tout en affirmant de façon hypocrite que l’unité extérieure de l’Église ne peut être brisée, les papolâtres ne se soucient pas de l’unité intérieure avec le Christ, qui est la condition du salut. Sous l'influence de cette hérésie, la secte bergoglienne s'emparera ainsi progressivement même des restes de la structure extérieure, à moins que les évêques et leurs diocèses ne se séparent à temps de la secte bergoglienne et de l'hérésie de la papolâtrie.

Bergoglio justifie les crimes les plus graves en disant que c'est « ce que dit l'Esprit Saint aux églises » (Rév.). C'est un mensonge flagrant. Tout cela est, en fait, l’œuvre de l’Antéchrist, et les fruits en témoignent de façon douloureuse. Tout le monde peut voir à ce fruit que l’esprit qui se cache derrière le pseudo-pape Jorge Bergoglio est l’esprit de l’Antéchrist. L'Apôtre parle de l'homme d'iniquité, du fils de la perdition. Et il poursuit : « l'adversaire qui s'élève au-dessus de tout ce qu'on appelle Dieu ou de ce qu'on adore, jusqu'à s'asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu » (2Th 2:4).

Bergoglio se présente comme étant le représentant visible du Christ sur Terre, bien qu'il se soit consacré publiquement et de manière provocante à Satan au Canada. Sous l’influence d’une fausse obéissance, il force l’Église entière et chacun de ses membres à la rébellion contre le Christ et Ses commandements. En réalité, il est un représentant visible de Satan, à qui il s’est publiquement consacré. Avant même d’usurper la fonction papale, il était venu avec l’intention d’abolir les lois et les commandements de Dieu en promouvant la légalisation de l’iniquité de la sodomie. Bergoglio proclame un enseignement différent, un faux évangile, pour lequel il a été soumis aux multiples anathèmes de Dieu selon Gal 1, 8-9.

L’Apôtre ajoute : « Car le mystère de l'iniquité agit déjà; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche... L'apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l'iniquité pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés » (2Th 2, 3-10).

L'apôtre Jean désigne à plusieurs reprises le faux prophète dans l'Apocalypse, qui apparaît toujours en relation avec la bête. Saint Jean dit que de la bouche du faux prophète sont sortis trois esprits impurs semblables à des grenouilles (Ap 16, 13). Bergoglio occupe la plus haute fonction de l'Église et est effectivement en union avec la bête. Il influence l’opinion publique mondiale afin de soumettre l’humanité à la bête, il diabolise l’Église via la soi-disant bénédiction des unions sodomites et il présente tous les traits du faux prophète. Rester en union avec lui et tomber dans l’illusion qu’il est le Saint-Père, le Vicaire du Christ sur Terre, est une folie suicidaire.

Saint Bellarmin déclare : « La vraie opinion est donc celle selon laquelle le Pape qui est manifestement hérétique cesse par lui-même d'être Pape et chef, de même qu'il cesse d'être chrétien et membre du corps de l'Eglise; et c'est pour cette raison qu'il peut être jugé et puni par l'Église. C'est l'opinion de tous les Pères qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction, et notamment celle de saint Cyprien (lib. 4, épist. 2) ».

Premièrement, le fait qu’un pape hérétique puisse être jugé est expressément contenu dans Can. Si Papa dist. 40, ainsi qu’avec Innocent III (serm. 2 de consec. pontif.). Et de plus, lors du 8e Concile (acte 7), les actes du Concile romain sous le pape Hadrien furent récités, et dedans on y trouvait le fait que le pape Honorius semblait avoir été anathématisé à juste titre, parce qu'il avait été convaincu d'hérésie... En fait, Hadrien avec le Concile romain, ou plutôt tout le 8e (ainsi que le 6e) concile général avait senti qu'en cas d'hérésie, un Pontife romain pouvait être jugé… Voilà pour saint Bellarmin.

Comment ce saint réagirait-il face à l'actuel François Bergoglio, qui s'est consacré à Satan et milite pour la légalisation de la sodomie et la bénédiction de ces unions ? Saint Bellarmin aurait pu difficilement imaginer le Siège de Pierre occupé par un homme qui nie les vérités fondamentales par ses actions et force l'apostasie sous la terreur. Mais en même temps, saint Bellarmin convaincrait également la hiérarchie de l'Église d'un aveuglement spirituel incompréhensible quant à la possibilité qu'ils aient élu Bergoglio, qu'ils le respectent et se soumettent à lui à leur détriment et au détriment de l'Église. Il est ahurissant de voir l’état des choses au sein de l’Église lorsque cette dernière rejette systématiquement la vérité, c’est-à-dire le repentir. Saint Bellarmin serait obligé de dire : « Si vous considérez encore un homme qui est en rébellion ouverte contre Dieu et qui possède l'esprit de l'Antéchrist comme étant le chef et le représentant visible du Christ sur Terre, vous avez perdu la tête et vous marchez sur ce qu’on appelle le parcours synodal qui mène à la destruction éternelle ».

Les partisans de l’hérésie de la papolâtrie s’opposeraient sûrement aux paroles de saint Bellarmin : « Nous ne pouvons pas rompre l’unité, nous tomberions dans le schisme ».

Saint Bellarmin leur répondait : « Avez-vous perdu la tête ? Le but de l’être humain consiste à sauver son âme ! La condition pour cela est d’avoir une vraie doctrine et une vraie morale ; c’est sur cela que l’Église catholique est bâtie. La secte bergoglienne est une rébellion contre Dieu et déracine les enseignements fondamentaux de l'Église. Si quelqu’un en détruit les fondements mêmes et que vous vous soumettez à lui, alors c’est votre faute parce que vous n’aimez pas la vérité. Les paroles de l’apôtre Paul dans les Thessaloniciens à propos de la venue de l’Antéchrist, le fils de la perdition, s’appliquent à cette situation. Êtes-vous aveugle et ne pouvez-vous pas le voir ? Les actions de cet homme montrent qu’il n’est pas membre de l’Église et ne peut donc pas en être le chef ». Et saint Bellarmin ajouterait encore aujourd'hui : « C'est l'opinion de tous les Pères, qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute compétence ». Il s’ensuit clairement que Jorge Bergoglio n’est pas un pape !


+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin


+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 2 décembre 2023

SOURCE : Reçu via un courriel du Patriarcat Catholique Byzantin.

Bergoglio est coupable d’hérésies dans quatre domaines fondamentaux.

Le premier domaine est la prédication de la fausse miséricorde

Dans les Écritures, recevoir la miséricorde de Dieu est toujours lié au repentir. Ceci est exprimé dans la parabole du fils prodigue. Cependant, la prédication de la fausse miséricorde élimine cette condition du salut, c’est-à-dire la repentance. Jésus nous exhorte : « Si vous ne vous repentez pas, vous périrez tous » (Lc, 13:3).

Bergoglio prêche les hérésies et exploite l'autorité papale usurpée afin de les enseigner publiquement. Il commet ce crime en connaissance de cause et ce, de façon volontaire. Il exige l'imitation, c'est-à-dire la mise en œuvre de ses hérésies. Il s’appuie sur un système de mensonges très efficace. C’est parce que ce système est composé de vérités très vives, véhiculées avec sensibilité et qui touchent le cœur.

Par exemple, il explique que Jésus est miséricordieux et indulgent et que, par conséquent, le diable est impuissant contre un pécheur repentant. Cependant, un pécheur repentant a aussi un désir sincère de rompre avec le péché. Mais Bergoglio n’en veut pas et ne le permettra pas. C’est pourquoi le terme « repentance » et d’autres termes bibliques ne sont que des expressions manipulatrices dans sa bouche. Alors ce n'est pas le diable, mais Jésus qui pardonne qui est impuissant parce que le pécheur n'accepte pas le pardon, il le rejette. En effet, Bergoglio enseigne à ne pas considérer le péché comme un péché mais à y persister. Il endort la conscience des sodomites avec des phrases comme « Dieu vous aime tel que vous êtes, alors aimez-vous ». Ce faisant, il les empêche de se repentir pour obtenir le salut.

Le Catéchisme de 1955 du cardinal Tomášek énumère les péchés commis contre le Saint-Esprit :

Le premier est : la confiance présomptueuse dans la miséricorde de Dieu. Bergoglio assure délibérément et unilatéralement les pécheurs de la miséricorde de Dieu afin qu'ils ne se détournent pas du péché mais qu'ils aient plutôt, comme le dit saint Basile, un plus grand courage pour pécher, car la vérité de la damnation éternelle ne doit pas être proclamée. Bergoglio maintient les pécheurs sur le chemin de la perdition en insistant délibérément sur la miséricorde de Dieu.

Le deuxième péché commis contre le Saint-Esprit est répertorié dans le Catéchisme comme suit : résister à la vérité chrétienne connue. Bergoglio, entre autres choses, s'oppose à la vérité de la sodomie, qui est clairement condamnée dans les Saintes Écritures comme étant un péché scandaleux qui fait descendre le feu du ciel.

Un autre péché commis contre le Saint-Esprit et répertorié dans le Catéchisme est : l'endurcissement du cœur jusqu'à la mort. En introduisant la bénédiction des unions homosexuelles et en mettant l'accent sur la fidélité dans cette relation pécheresse qu'il appelle l'amour, Bergoglio crée les conditions pour que les pécheurs restent endurcis dans ce péché jusqu'à la mort. Ce faisant, Bergoglio ne commet pas seulement lui-même des péchés contre le Saint-Esprit, mais il enseigne également aux autres à les commettre et crée les conditions de ces péchés.

Le deuxième domaine dans lequel Bergoglio se rend coupable d’hérésie est la légalisation de l’homosexualité par l’Église.
Il a répondu à la question sur l’homosexualité par une contre-question : « Qui suis-je… ? ». Ce faisant, il a effectivement répondu qu’il était un hérétique manifeste. S’il était chrétien, et plus encore s’il était vraiment pape, il serait obligé de qualifier clairement le péché de l’homosexualité de péché et de montrer au pécheur la nécessité du repentir salvateur. Mais en tant qu’hérétique manifeste, il a poursuivi l’objectif consistant à supprimer la loi de Dieu et à légaliser le péché.

Par une hérésie flagrante, qui s'est désormais pleinement manifestée dans son parcours synodal LGBTQ, il s'était depuis longtemps excommunié de l'Église et ne pouvait donc pas en être le chef. Cette vérité est soulignée par saint Bellarmin et d’autres Docteurs de l’Église ou Pères de l’Église, et est basée sur l’essence même de l’enseignement du Christ. Bergoglio a ouvertement encouragé la sodomie en paroles, en gestes et en actions à chaque occasion, aussi longtemps qu'il a occupé les plus hautes fonctions. Il n’a pas permis aux évêques des États-Unis d’aborder la question de la sodomie en 2018, lorsqu’ils le lui avaient demandé. Il a démis le cardinal Müller de son poste de préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi parce que ce cardinal refusait de défendre de façon injuste un homosexuel. Il a renvoyé un autre préfet de la Congrégation et son secrétaire parce qu'ils avaient déclaré que l'Église ne pouvait pas bénir le péché d'homosexualité. Il a lui-même embrassé de manière démonstrative les pieds d'un transsexuel dans le cadre du rite du Jeudi Saint. Le lavement des pieds est associé à la Dernière Cène. Jésus n'a pas lavé les pieds des ennemis de l'Église, ni des femmes, ni des transsexuels, mais de Ses apôtres choisis. Par ce geste, Bergoglio a révélé qui sont ses apôtres pro-LGBTQ.

Il a abusé par le fait même de l’autorité papale pour sanctionner le transsexualisme associé au crime de changement de sexe. De plus, Bergoglio ne se contentait pas de laver les pieds, il les embrassait même, ce qui est un acte de latria, c'est-à-dire d'adoration due à Dieu seul. Par ce geste, il a à la fois ouvert la porte aux démons LGBTQ impurs, et a commis une idolâtrie. En utilisant l'autorité papale, il reçut un autre dieu pour l'Église et s’est fait ensuite ostensiblement dédier à Satan au Canada. Cela s’est produit en 2022, déjà au moment du parcours synodal. Il a ainsi établi un modèle pour tous les catholiques sur la voie de l’apostasie du Christ.

Quant à la pureté morale, rappelons les paroles de Jésus : « Vous avez entendu qu'il a été dit : "Tu ne commettras pas d'adultère". Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme avec convoitise a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur. Si ton œil droit te fait pécher, arrache-le et jette-le loin de toi. Mieux vaut perdre une partie de ton corps que d’être jeté tout entier en enfer… » (Mt 5, 27-29).

Si le commandement « Tu ne commettras pas d’adultère » doit être traité avec un tel radicalisme, que dire de la sodomie perverse ou de tout le parcours synodal LGBTQ ? Rappelons au moins que la Parole de Dieu prévient clairement que le châtiment qui est appliqué à ce péché est à la fois temporel (2 Pierre, 2:6) et éternel (Jude, 1:7).

Les phrases du Synode selon lesquelles le Saint-Esprit leur a maintenant révélé que la sodomie n'est plus un péché, constituent un mensonge diabolique et un blasphème proféré contre le Saint-Esprit. Ce mensonge ne leur a pas été révélé par le Saint-Esprit, mais par l'esprit du diable, un esprit impur.

Le troisième domaine concerne les hérésies commises contre l'Eucharistie

Le but de recevoir le Corps et le Sang du Christ consiste à être fortifié dans la lutte contre le péché, et non d’être fortifié dans le péché. Bergoglio ordonne que l'Eucharistie soit reçue par des personnes sans confession, sans repentir et sans aucune volonté de reconnaître et de se repentir du péché, c'est-à-dire les personnes LGBTQ. C’est une incitation publique au sacrilège. L’Écriture avertit clairement qu’une telle personne mange et boit un jugement contre elle-même (1 Cor, 11:29).

D’ailleurs, dans le document final du Synode sur l’Amazonie, Bergoglio introduit directement dans la liturgie les rites païens et l’esprit païen. Il s’agit d’un faisceau d'hérésies contre l'Eucharistie. Le cardinal Brandmüller a déclaré qu’il ne s’agissait pas là de simples hérésies, mais d’une pure bêtise.

En appliquant par la force la pseudo-pandémie, Bergoglio a ordonné aux prêtres de porter des gants en caoutchouc lorsqu'ils tenaient le Saint-Sacrement. La promotion de l’ordination des femmes en tant que diacres, et par conséquent en tant que prêtresses et évêques, conduit également à la dégradation du Saint-Sacrement et du sacrement du sacerdoce.

Le quatrième domaine concerne les péchés commis contre le Premier Commandement

En plus des hérésies liées aux vérités dogmatiques dans le domaine de la foi, Bergoglio commet également une idolâtrie publique. Il a participé activement à un rituel païen dans les jardins du Vatican avec des sorciers et des sorcières. Puis, il a intronisé solennellement le démon Pachamama dans la basilique Saint-Pierre. Son idolâtrie a abouti à une dédicace publique à Satan sous la direction d'un chaman, au Canada. Ce sont des hérésies flagrantes. Dans cet esprit, Bergoglio promeut le dialogue interreligieux, qui est lui aussi une hérésie flagrante.

La déclaration hérétique signée par Bergoglio à Abu Dhabi contient l’hérésie selon laquelle la pluralité des religions est la volonté de Dieu, en d’autres termes, que le culte païen des démons est censé être la volonté de Dieu. Cette position manifestement hérétique détruit la véritable mission et fait des missionnaires de simples travailleurs culturels et sociaux.

Dieu punit l'idolâtrie jusqu'à la troisième et la quatrième génération (Dt, 5:9). Les idolâtres n’auront aucune part dans le royaume de Dieu (1Co, 6:9 ; 1Ti, 1:10 ; Apocalypse, 21:8).

Nous avons souligné quatre domaines fondamentaux des hérésies de Bergoglio. Il est tout à fait clair que Bergoglio est un hérétique multiple et manifeste qui abuse de la papauté afin de promouvoir les hérésies au sein de l’Église. La seule solution est que les évêques et les prêtres se séparent de lui, car lui et sa secte ne quitteront pas de leur plein gré les postes ecclésiastiques qu’ils occupent. Le plus grand obstacle à l’étape salvifique, c’est-à-dire à la séparation d’avec l’hérétique, est l’hérésie suicidaire de la papolâtrie !

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 11 décembre 2023

SOURCE : Reçu via le Patriarcat Catholique Byzantin.

20 janvier 2024

S'adressant à CrisisMagazine.com le 18 janvier, le cardinal Müller a abordé la nature de l'infaillibilité papale, les limites de l'autorité papale et la possibilité d'un pape hérétique.

Principales citations :

- L'infaillibilité papale n'est pas une grâce spéciale qui sauve un pape du péché et de l'apostasie.

- Les catholiques ne sont pas les sujets de supérieurs ecclésiastiques auxquels ils doivent une obéissance aveugle, comme dans un système totalitaire.

- Les souverains absolus qui éliminent leurs collègues récalcitrants et les punissent par l'exil, la confiscation de leurs biens et des simulacres de procès ne sont pas un modèle pour l'Église.

- L'histoire de la papauté [surtout à l'époque moderne] offre quelques spectacles indignes du pouvoir triomphant sur le droit.

- Un pape peut "se séparer schismatiquement de l'Église".

- L'apostasie, l'hérésie manifeste ou le schisme ouvert d'un pape en tant qu'individu est plutôt une question théorique [jusqu'à l'arrivée de François].

- Dans le sens technique actuel de l'hérésie formelle, c'est-à-dire la négation directe d'une doctrine révélée définie dogmatiquement par l'Église, il n'y a pas eu un seul pape hérétique (pas même en tant que personne privée), même [= seulement] dans la rétrospective historique.

- Si un pape contredit de manière flagrante et notoire l'Écriture ou la doctrine catholique, les fidèles ne sont plus obligés de lui obéir et il perdrait, pour ainsi dire, sa fonction lui-même. Dans la pratique, cependant, cela diviserait l'Église en différentes obédiences, selon que l'on considère tel ou tel pape comme le successeur légitime de Pierre.

- Les conciles de Constance et de Bâle (1431-1449) ont dû trouver un moyen pratique de sortir du schisme occidental [avec jusqu'à deux antipapes], malgré le faux enseignement des conciles sur la supériorité du concile sur le pape.

- Il ne peut y avoir de procédure canonique par laquelle un pape régnant pourrait être officiellement déclaré hérétique et légalement déposé. L'autorité suprême ne peut être jugée.

- Il ne peut y avoir de contradiction entre la doctrine et la pastorale.

- Citation bonus : Il ne suffit pas de se faire photographier avec des soi-disant "transsexuels", mais il faut avoir le courage de qualifier le changement corporel [superficiel] de sexe de péché grave contre la volonté du Créateur".

- Citation amusante : "La vie de l'Église se déroule dans les paroisses [= Église RIP]".

SOURCE :

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