Jordon Peterson dénonce l'effondrement du Canada dans un "Cauchemar Woke" sous Trudeau !

Jordan Peterson dénonce l’effondrement du Canada dans un « cauchemar woke » sous Trudeau. « Je ne crois pas que l’énigme dans laquelle nous nous trouvons en ce moment en Occident soit strictement politique », déclare le psychologue Jordan Peterson dans le nouveau documentaire « Canada’s Woke Nightmare – A Warning to the West ».


par Franck Wright

8 sept. 2023

VANCOUVER, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — « Vous obtenez ce que vous tolérez."

Dans son documentaire sur le Canada, sorti le 29 août, le journaliste britannique du Telegraph, Steven Edginton, détaille le déclin rapide de la nation et explore comment sa poursuite de politiques progressistes l’a conduit dans un chaos qui pourrait engloutir tout l’Occident.

Le cauchemar éveillé du Canada – Un avertissement à l’Occident détaille les niveaux croissants de criminalité, d’itinérance et de toxicomanie dans le pays. Il note également son adhésion consternante à l’avortement et au suicide assisté. Il soutient que la « tolérance » à l’égard de ces maux est motivée par le désir du premier ministre Justin Trudeau de transformer la société canadienne. En plus des mesures répressives liées à la COVID et des lois draconiennes limitant la liberté d’expression, M. Edginton raconte comment, sous le premier ministre libéral, « le Canada a cherché à se positionner comme le bastion mondial de la politique progressiste ».

Montrant les niveaux choquants de négligence et de décadence morale et sociale que l’on trouve au Canada, le film d’Edginton ne se contente pas de présenter les symptômes de ce qu’il appelle le « wokisme », il en diagnostique une cause.

« Je ne crois pas que l’énigme dans laquelle nous nous trouvons en ce moment en Occident soit strictement politique », déclare le psychologue canadien Jordan Peterson dans l’un des nombreux segments dans lesquels il apparaît.  

« Je pense que ce qui s’est passé, c’est que les psychopathes prédateurs ont compris comment se dissimuler sous le couvert de la compassion. »

Le documentaire fournit de nombreuses preuves à l’appui de ce point de vue.

« Le Canada est en train de mourir »

Edginton commence son enquête dans la ville de Vancouver, sur la côte ouest, où la possession de drogues dures, dont l’héroïne, la cocaïne et le fentanyl, a été légalisée. Comme le remarque un passant : « Les overdoses sont en hausse. Les crimes violents sont en hausse. C’est une jungle.

Le journaliste du Telegraph s’entretient ensuite avec le cinéaste Aaron Gunn, dont le travail s’est lui-même concentré sur l’escalade de la consommation de drogues, de l’itinérance et de la criminalité au Canada. Le récent documentaire de Gunn, Canada Is Dying, a été visionné plus d’un million de fois sur YouTube seulement.


Gunn dit qu’il documente « le chaos sociétal général et l’explosion de la consommation de drogues dans toutes les grandes villes canadiennes ».  

« Les décès par surdose ont augmenté de 1000 % au cours des 10 dernières années », a-t-il déclaré. Il a ajouté : « Chaque jour à Vancouver, quatre personnes sont attaquées au hasard. »

Gunn et Edginton sont agressivement défiés sur la tristement célèbre rue Hastings de Vancouver par des consommateurs de drogue apparents, ce qui les amène à arrêter le tournage et à continuer ailleurs.

Ayant été témoin de l’épidémie de drogue et de ses retombées antisociales, Edginton demande à Gunn qui est à blâmer pour le chaos à Vancouver.

Citant un propriétaire d’entreprise locale, le cinéaste a répondu : « Vous obtenez ce que vous tolérez »  

C’est une partie du message du film à l’Occident au sens large de l’héritage toxique de la « tolérance » woke.  

Meurtre par compassion

Le Canada meurt non seulement d’une surdose de drogue, mais aussi d’une industrie médicale légalement sanctionnée.

Le Canada autorise l’euthanasie depuis 2016. Ces dernières années, il a été accusé d’encourager les gens à demander le suicide médicalement assisté.

Edginton a interviewé un vétéran de l’armée, handicapé pendant son service militaire, dont « l’abandon » par l’État l’a amenée à envisager de se suicider. Lorsque Christine Gauthier a demandé de l’aide aux autorités pour construire une rampe d’accès à son domicile, elle a fait part de son désespoir face à son immobilité. Après avoir attendu cinq ans que les services de l’État remplacent son fauteuil roulant, elle sentait que sa situation était désespérée. En larmes, elle a raconté comment on lui avait offert l’option du « suicide assisté » comme alternative.  

Gauthier affirme que les anciens combattants comme elle sont laissés à eux-mêmes pour « ramper dans leur propre trou et mourir ».

— Croyez-vous qu’on veuille votre mort ? demanda Edginton.

"Oui, et je pense que c’est faux », a-t-elle répondu.  

Comme l’a rapporté Edginton, le groupe de défense pro-vie Euthanasia Prevention Coalition estime que 13 500 personnes ont choisi le suicide assisté par l’État, euphémisé sous le nom d'« aide médicale à mourir » ou AMM, l’année dernière.

La demande augmente dans un pays qui perd espoir.

Le suicide et l’avortement comme « progrès » social

M. Edginton s’entretient également avec la Dre Konia Trouton, médecin et « militante pour la justice sociale », membre fondatrice de l’Association canadienne des fournisseurs d’aide médicale à mourir (AMM). Trouton fournit des conseils et de la formation aux médecins et aux infirmières impliqués dans la prestation du suicide assisté. Vétéran de l’avortement, elle se considère comme un agent de justice sociale.  

« La plupart de mes soins ont été consacrés à l’avortement, aux droits reproductifs et à la justice sociale », dit-elle.

« J’ai juste essayé d’intégrer ce en quoi je crois avec ce qui se passe sur le terrain »

Trouton note avec enthousiasme que l’aide à mourir et la mifépristone – la pilule abortive en vente libre – ont toutes deux été légalisées en 2016. À la suite de la pilule abortive, elle a cessé de pratiquer des avortements chirurgicaux en 2019 dans le seul centre d’avortement dédié de Vancouver, une clinique qu’elle avait ouverte avec sa partenaire de même sexe Dawn Fowler.

Trouton a continué à pratiquer des avortements chirurgicaux à l’Hôpital général Victoria, tout en voyant une nouvelle opportunité dans l’introduction du suicide assisté par l’État, qu’elle a décrit comme un « changement intéressant qui concerne également la justice sociale et l’autonomie d’une personne ».

En novembre dernier, Mme Trouton a publié son point de vue selon lequel la demande d’aide au suicide dépassera très probablement l’offre de médecins qui l’offrent actuellement au Canada.  

Edginton demande à l’avorteuse si elle pense que le Canada est une nation « post-chrétienne ».

« Je ne pense pas que le Canada ait jamais été une nation entièrement chrétienne parce qu’il a une culture autochtone très forte », a-t-elle répondu.

À l’instar de son interlocuteur, Mme Touton ne sait apparemment pas que, jusqu’à tout récemment, la majorité des membres des Premières Nations du Canada étaient chrétiens et que près de la moitié des membres des Premières Nations du Canada sont encore chrétiens aujourd’hui.

La crise du « conservatisme »

Edginton conclut son documentaire par une mise en garde contre l’échec des partis politiques dits « conservateurs » à arrêter la folie qui engloutit l’Occident.

Il s’entretient avec Maxime Bernier, l’ancien député conservateur qui dirige aujourd’hui le Parti populaire du Canada, qu’il a fondé en 2018.

Le chef conservateur Pierre Poilievre, dont le parti jouit maintenant d’une avance considérable dans les sondages sur les libéraux de Trudeau, est décrit comme un homme qui « sait qu’il doit parler comme un conservateur pour être élu chef conservateur [...] mais il va à gauche pour être élu Premier ministre ».

C’est la raison, dit Bernier, de l’acquiescement de Poilievre face au chaos social croissant et « pourquoi il est d’accord avec l’idéologie croissante du genre ».

Serpents

Edginton conclut son reportage avec un retour à Jordan Peterson. Le psychologue clinicien, qui a d’abord fait la une des journaux en déclarant son refus d’utiliser des pronoms transgenres, a récemment été condamné par un tribunal canadien à suivre une « formation sur les médias sociaux » pour conserver son permis d’exercer.

« Toutes ces absurdités sur la compassion sont la manipulation des serpents – en attirant les idiots utiles qui sont peut-être sincèrement compatissants – et c’est le Canada », a déclaré Peterson.

Le documentaire d’Edginton regorge de preuves – sociales, politiques et médicales – à l’appui d’une affirmation qui donne à réfléchir.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/news/new-documentary-explores-canadas-decline-into-a-woke-nightmare/?utm_source=digest-catholic-2023-09-11&utm_medium=email

par Rastignac

9 août 2024

Il a osé partir en croisade contre le wokisme !

L’Ordre des psychologues de l’Ontario l’avait sanctionné à cause de ses propos sur les réseaux sociaux au sujet de la transidentité et de l’obésité.

Nos confrères du Figaro rapportent que “ses pairs lui reprochent de multiples prises de position jugées «inappropriées, scandaleuses, déshonorantes et contraires à l’éthique» de l’Ordre, en visant notamment ses propos tenus au sujet de la pandémie de Covid-19, de l’identité de genre et de la transidentité, ou encore de l’obésité.

Jordan Peterson a acquis une forte notoriété depuis une dizaine d’années, en intervenant dans ses conférences, ses livres ou ses messages postés sur les réseaux sociaux, sur plusieurs sujets clivants du débat contemporain.

Pourfendeur du wokisme et de l’approche victimaire de la place des minorités dans les sociétés occidentales, il déclare qu’il faut commencer par se surpasser soi-même avant de vouloir faire aboutir les revendications politiques des personnes transgenres.

Il avait également qualifié de «criminel» l’acte chirurgical par lequel l’acteur transgenre Elliot Page, une femme ayant déclaré en 2020 avoir transitionné pour devenir un homme, a obtenu l’ablation de ses seins.

Enfin en réaction à la photo de Une d’un magazine illustré par une mannequin obèse posant en bikini, Jordan Peterson avait déclaré : «désolé, pas pour moi, et aucun autoritarisme intolérant ne changera cela».

L’Ordre a donc décidé de le sanctionner, en l’obligeant à suivre un stage de mentorat pour l’aider à avoir une approche plus professionnelle de son expression sur les réseaux sociaux.

Ce que Jordan Peterson a refusé, en s’estimant être victime d’une condamnation rappelant les régimes totalitaires communistes en déclarant sur son compte X suivi par lus de cinq millions d’abonnés : «on m’envoie dans un camp de rééducation».

Tout cela sent bon son Vietmin et ses camps de lavage de cerveaux.

SOURCE :

https://www.medias-presse.info/le-psychologue-canadien-anti-woke-jordan-peterson-deboute-en-appel-devra-suivre-des-cours-de-reeducation-woke/194217/