500 Millions de Vues - Cette vidéo condamne la Vaccination anti-COVID-19 de Crime contre l'Humanité

 

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L'Administrateur

4 décembre 2023

Un lanceur d’alerte du gouvernement néo-zélandais a présenté des données officielles explosives qui montrent que plus de 20 % des citoyens du pays sont décédés après avoir reçu leur injection anti covid à ARNm.

À l’instar de nombreux autres pays, la Nouvelle-Zélande a connu un pic de surmortalité sans précédent au cours des deux dernières années.

En raison de mandats stricts et d’une forte pression gouvernementale pendant la pandémie de Covid, la grande majorité de la population néo-zélandaise est entièrement vaccinée.

Les données officielles montrent que 95,8 % de la population néo-zélandaise éligible âgée de 12 ans et plus a reçu une dose d’ARNm anti Covid.

Alors qu’un pourcentage stupéfiant de 94,7 % de la population néo-zélandaise âgée de 12 ans et plus est considéré comme entièrement vacciné.

Un administrateur de la base de données du gouvernement néo-zélandais, qui a contribué à cataloguer les données officielles sur les personnes vaccinées, a révélé des informations explosives.

Le lanceur d’alerte a dévoilé des données officielles du gouvernement qui montrent que le pic de surmortalité enregistré dans le pays est lié à la campagne d’injections anti covid.

Selon le statisticien lanceur d’alerte, qui se fait appeler « Winston Smith« , un grand nombre de Néo-Zélandais vaccinés sont aujourd’hui décédés.

Winston Smith travaillait sur un programme d’enregistrement des indemnisations vaccinales pour les prestataires de soins.

Grâce à son accès unique, il a pu déterminer avec précision comment les décès ont commencé à se produire peu de temps après l’introduction des vaccins.

Le spécialiste des technologies de l’information a fait ces révélations lors d’une récente interview avec la journaliste d’investigation Liz Gunn.

Au cours de l’entretien, M. Smith a expliqué comment il avait établi la corrélation entre les vaccins administrés et les décès qui s’ensuivaient.

« Lorsque j’ai examiné les données, ce qui fait partie de mon travail, j’ai remarqué des divergences dans les dates de décès, des personnes mourant dans la semaine suivant leur vaccination », a déclaré le lanceur d’alerte à Liz Gunn.

« Il s’agit du premier lot de Pfizer. »

« Nous avons vacciné 711 personnes du premier lot, dont 152 sont décédées, ce qui représente un taux de mortalité de 21 % », a déclaré Gunn en examinant les données, dont Smith a confirmé l’exactitude.

« Il s’agit de personnes réelles », a ajouté Smith.

« Ce sont de vrais chiffres. »

« Il s’agit de données gouvernementales. »

« Le top V1 a donc vacciné 246 personnes et 60 d’entre elles ne sont plus de ce monde. »

« C’est près de 25 % », note Gunn.

« Une personne vaccinée sur quatre, presque une sur quatre, est aujourd’hui décédée », a confirmé Smith.

Smith a précisé que si certains lots de vaccins d’AstraZeneca et de Moderna contre le covid ont été administrés, ces injections étaient « peu nombreuses et très espacées ».

« La plupart du temps, il s’agit de Pfizer, principalement en Nouvelle-Zélande », a confirmé Smith.


Voici quelques extraits des commentaires de Smith au cours de l’entretien :

« J’ai participé à l’élaboration d’un projet et à la mise en œuvre d’un système de paiement des vaccins pour nos fournisseurs. «

« Il s’agit d’un système de paiement par dose. »

« Cela signifie qu’à chaque fois qu’une personne se fait vacciner, le prestataire reçoit un paiement. »

« J’ai participé à son élaboration et à sa mise en œuvre. »

« Lorsque j’ai examiné les données, ce qui fait partie de mon travail, j’ai remarqué des incohérences dans les dates de décès, des personnes décédant dans la semaine suivant leur vaccination. »

« Les chances que cela se produise naturellement par hasard sont presque impossibles. »

« Dès que le système a été mis en place, nous avons remarqué que les gens mouraient presque immédiatement après l’injection. »

« Cela a éveillé ma curiosité et j’ai donc creusé un peu plus loin. »

« Je suis un scientifique par nature. J’adore la science. C’est ce que je préfère depuis toujours. »

« J’ai une maîtrise en sciences. »

« Parce que c’est un système de paiement et que je suis l’administrateur de la base de données. Je suis le seul. »

« La Nouvelle-Zélande étant un petit pays, on peut s’en sortir avec un seul administrateur de base de données. »

« Je suis donc dans une position unique au monde. »

« Et comme la Nouvelle-Zélande est un pays de premier plan, doté d’une très bonne technologie de l’information, j’ai pu gérer et mettre en place le système et être le seul administrateur de base de données nécessaire pour s’en occuper. »

« Dans d’autres pays comme l’Amérique ou la Grande-Bretagne, il faudrait une équipe entière. »

« Il serait donc très difficile pour une seule personne d’avoir accès à toutes ces informations. »

« Mais en Nouvelle-Zélande, en raison de la taille du pays et de la qualité de ses technologies de l’information, il se trouve que c’est moi qui ai accès à ces informations. »

Commentant la bombe de Smith, le célèbre entrepreneur technologique Kim Dotcom a exigé que « cela fasse l’objet d’une enquête ».

« Si ces données sur les pertes massives dues aux vaccins sont réelles, il faut rendre des comptes », a-t-il ajouté.

À ce jour, le gouvernement néo-zélandais n’a pas contesté les affirmations alarmantes de Smith.

Pendant la pandémie de covid, l’ancien Premier ministre néo-zélandais, Jacinda Ardern, a imposé la vaccination des employés du secteur de l’hôtellerie et a lié les taux de vaccination aux confinements.

Ardern a démissionné au début de cette année.

Traduction de Slay News par Aube Digitale.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/lanceur-dalerte-20-de-la-population-neo-zelandaise-vaccinee-est-decedee/

5 décembre 2023

L’Islande interdit les injections d’ARNm anti- COVID en raison de la montée en flèche des morts subites.

Le gouvernement islandais a pris des mesures décisives et a interdit les injections d’ARNm Covid dans le pays insulaire, alors que la surmortalité, les accidents vasculaires cérébraux, les caillots sanguins, les arrêts cardiaques soudains et d’autres problèmes de santé « inexpliqués » continuent de grimper en flèche dans le monde.

Une conférence intitulée « Let the Science Speak » s’est tenue début octobre à Reykjavik, capitale de l’Islande.

Le principal sujet de discussion était l’impact négatif des injections d’ARNm anti covid sur la santé publique.

Les orateurs de la conférence ont également mis en garde contre la prise de pouvoir de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) des Nations unies, qui n’est pas élue.

La journaliste d’investigation Sasha Latypova était l’un des six orateurs de la conférence.

REGARDEZ :

Quelques semaines après la conférence, les organisateurs de « Let the Science Speak » ont informé Latypova que le gouvernement islandais avait annoncé sa réponse à la hausse des décès et des arrêts cardiaques soudains au sein de la population.

Depuis cette semaine, les injections anti COVID-19 ne sont plus disponibles en Islande après avoir été interdites par le gouvernement.

« Il y avait plus de 200 personnes dans une salle de conférence bondée [en Islande], et plus de 300 personnes en direct », a déclaré Latypova lorsqu’elle a écrit sur l’événement.

« Même les médias d’État se sont montrés brièvement (probablement pour filmer tous les participants en vue d’une surveillance future). Peu importe. »

« Tout le monde se connaît dans ce petit pays, et on nous a dit que les hauts fonctionnaires étaient désormais extrêmement nerveux. »

« Il semble qu’en conséquence directe de cet événement public, les organisateurs aient prévu une réunion de suivi avec le ministère islandais de la santé », a-t-elle ajouté.

Le gouvernement a informé la population islandaise de l’interdiction dans un communiqué publié la semaine dernière dans le quotidien islandais Morgunbladid.

L’article se termine ainsi : « La semaine prochaine, le public pourra se faire vacciner contre la grippe au centre de santé, mais pas contre le covid pour le moment. »

Ce qui suit est une traduction de l’article de Morgunbladid avec des commentaires ajoutés par Latypova.

Traduction de l’article de Morgunbladid avec [commentaires ajoutés] :

Selon Ragnheidur Óskar Erlendsdóttir, directeur des soins infirmiers du service de santé de la région de la capitale, les infections respiratoires ont fortement augmenté ces derniers temps. [Ce service de santé national dessert l’ensemble de la capitale et les villes avoisinantes.]

« Nous avons constaté une affluence considérable pour les consultations » [les gens se présentent malades], dit-elle.

Il est clair que le covid-19 est très répandu dans la société, au même titre que d’autres fléaux.

« Le covid est maintenant comme n’importe quelle autre grippe, mais comme pour les autres grippes, nous aimerions demander aux gens de faire une pause lorsque les symptômes sont graves et de pratiquer la prévention des infections. »

[Dans la phrase précédente, il s’agissait d’une peste, ici il s’agit simplement d’une grippe et nous voulons que vous restiez chez vous, afin que nous ne soyons pas confrontés au résultat de l’empoisonnement de masse que nous avons causé par des élixirs « sûrs et efficaces »].

Depuis le 18 octobre, les personnes âgées de 60 ans et plus et les personnes souffrant de maladies sous-jacentes peuvent se faire vacciner contre le covid et la grippe, mais Ragnheidur affirme que l’affluence a été modérée.

La semaine prochaine, le public pourra se faire vacciner contre la grippe au centre de santé, mais pas contre le covid pour le moment.

Cette nouvelle intervient alors que l’Islande, comme beaucoup d’autres pays, a connu des taux de surmortalité très élevés dus à des morts subites et inattendues.

Le graphique suivant montre que toute la surmortalité islandaise s’est produite après que les injections anti Covid ont été distribuées au public, et non pendant la pandémie :


Traduction de Slay News par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/lislande-interdit-les-injections-darnm-anti-covid-en-raison-de-la-montee-en-fleche-des-morts-subites/

Surmortalité mondiale
C'est plus d'un demi-million, soit 651'512 excès de mortalité, rien qu'aux USA depuis 2022.
100'000 excès de mortalité en Angleterre, soit 60'000 décès de plus que lors de l'apogée du Blitz (bombardements de la Seconde Guerre mondiale, en 1942 et mai 1941)… pic.twitter.com/6k8p83ogWt

— Le Déclencheur (@LDeclencheur) December 26, 2023