Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
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mlp
fabienne
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Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Vassula Ryden (Grecque Orthodoxe)
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Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille
20 novembre,de 9h à 20h, Palais des Congrès (Parc Chanot), 2 Bd Rabatau. Conférences, Messe à 10h30, prière de délivrance et de guérison. Entrée libre, ouverture des portes à 8h30, parking. Rens.: 06 16 17 62 19 ou 01 69 09 77 33. Service de cars au départ de Menton: 04 93 96 72 13.
20 novembre,de 9h à 20h, Palais des Congrès (Parc Chanot), 2 Bd Rabatau. Conférences, Messe à 10h30, prière de délivrance et de guérison. Entrée libre, ouverture des portes à 8h30, parking. Rens.: 06 16 17 62 19 ou 01 69 09 77 33. Service de cars au départ de Menton: 04 93 96 72 13.
fabienne- Troisième Demeure : J'évite tous les péchés.
- Messages : 242
Date d'inscription : 10/07/2011
Re: Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
La suivante mise en garde, signée par divers évêques du sud de la France – dont trois archevêques - a été diffusée le 22 octobre 2011 (Source: site officiel du Diocèse de Marseille [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
MISE EN GARDE
De diverses sources est annoncée la venue à Marseille, le 20 novembre 2011, de Mme Vassula Ryden. Le programme mentionne des conférences, messe, prières de délivrance et de guérison.
La Congrégation romaine pour la doctrine de la foi s’est prononcée à plusieurs reprises à son sujet, en émettant de grandes réserves et en ne reconnaissant pas le caractère surnaturel de ses prétendus messages. Elle recommande aux catholiques de ne pas cautionner les activités de cette personne en participant à ses initiatives.
Le Saint-Synode du Patriarcat œcuménique de Constantinople s’est prononcé de la même manière récemment, puisque Mme Vassula Ryden était membre de cette Eglise.
Les évêques de la Province de Marseille tiennent à porter à la connaissance des catholiques de leurs diocèses que cette manifestation n’est d’aucune manière reliée à notre Eglise. Les actes à caractère religieux - messe, prières de délivrance et de guérison - s’ils ont lieu, le seront hors de la communion avec l’Eglise catholique.
A Marseille, le 22 octobre 2011
+ Georges PONTIER
Archevêque de Marseille
+ Christophe DUFOUR
Archevêque d’Aix-en-Provence et Arles
+ Jean-Pierre CATTENOZ
Archevêque d’Avignon
+ François-Xavier LOIZEAU
Évêque de Digne
+ Dominique REY
Évêque de Fréjus-Toulon
+ Jean-Michel di FALCO LEANDRI
Évêque de Gap et Embrun
+ Louis SANKALÉ
Évêque de Nice
+ Jean BONFILS
Administrateur apostolique d’Ajaccio
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MISE EN GARDE
De diverses sources est annoncée la venue à Marseille, le 20 novembre 2011, de Mme Vassula Ryden. Le programme mentionne des conférences, messe, prières de délivrance et de guérison.
La Congrégation romaine pour la doctrine de la foi s’est prononcée à plusieurs reprises à son sujet, en émettant de grandes réserves et en ne reconnaissant pas le caractère surnaturel de ses prétendus messages. Elle recommande aux catholiques de ne pas cautionner les activités de cette personne en participant à ses initiatives.
Le Saint-Synode du Patriarcat œcuménique de Constantinople s’est prononcé de la même manière récemment, puisque Mme Vassula Ryden était membre de cette Eglise.
Les évêques de la Province de Marseille tiennent à porter à la connaissance des catholiques de leurs diocèses que cette manifestation n’est d’aucune manière reliée à notre Eglise. Les actes à caractère religieux - messe, prières de délivrance et de guérison - s’ils ont lieu, le seront hors de la communion avec l’Eglise catholique.
A Marseille, le 22 octobre 2011
+ Georges PONTIER
Archevêque de Marseille
+ Christophe DUFOUR
Archevêque d’Aix-en-Provence et Arles
+ Jean-Pierre CATTENOZ
Archevêque d’Avignon
+ François-Xavier LOIZEAU
Évêque de Digne
+ Dominique REY
Évêque de Fréjus-Toulon
+ Jean-Michel di FALCO LEANDRI
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+ Louis SANKALÉ
Évêque de Nice
+ Jean BONFILS
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mlp- Messages : 1
Date d'inscription : 19/08/2011
Re: Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
S'ils condamnent Vassula, ils vont aussi condamner JNSR et Madeleine Aumont pour Dozulé, ils condamnent et lapident les prophètes que Dieu leur envoie mais bientôt voici venir Le Jour où ils se frapperont la poitrine .
Re: Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
@ mlp :
Je regrette de devoir vous le dire, mais Vassula n'a jamais été condamnée par l'Église !
Octo !
Je regrette de devoir vous le dire, mais Vassula n'a jamais été condamnée par l'Église !
Octo !
_________________
"N'éteignez pas l'Esprit, ne dépréciez pas les dons de prophétie; mais vérifiez tout : ce qui est bon, retenez-le; gardez-vous de toute espèce de mal." 1 Thess 5, 19-22
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Re: Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
Vous aimez les blondes ? :Petit sourire
Je suis blonde aussi, et pourquoi ne pas rire un peu de cela ! moi au moins, je suis (presque), une vraie blonde...
Je suis blonde aussi, et pourquoi ne pas rire un peu de cela ! moi au moins, je suis (presque), une vraie blonde...
Re: Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
à Octo et à tous
Je ne crains hélas que l'Eglise orthodoxe ait vraiment condamné Vassula, d'après ce que je viens de trouver sur l'internet, c'est bien ce que je dis ils lapident les prophètes que Dieu leur envoie. ça va être pareil pour JNSR et Madeleine Aumont avec l'Eglise catholique et avec Sylvie Bourcier aussi qui dit avoir eu des visions du Christ , de la Croix Glorieuse etc ... et qui défend Dozulé en prétendant que la première Apparition de la Croix Glorieuse à Dozulé que Madeleine Aumont a vu le 28 mars 1972 est ce passage dans l'évangile de St Matthieu ch 24 v 27 : " Comme l'éclair, en effet, part du levant et brille jusqu'au couchant ainsi en sera-t-il de l'Avènement du Fils de l'homme ", et qui en plus sur son mur FB annonce que le gouvernement mondial qui va être bientôt mis en place va être le gouvernement de l'Antechrist, ah ça y est aujourd'hui même, j'ai entendu au sénat , en France qu'ils allaient instaurer une carte d'identité biométrique obligatoire en France et que tous ceux qui la refuseront n'auront plus accès aux administrations etc ... et dans cette carte il va y avoir 2 puces dont une qui servira aux achats donc ceux qui ne l'auront pas ne pourront plus rien acheter, tout s'accomplit , mes amis , sous nos yeux en ce moment, dès que cette carte sera obligatoire, on ne pourra plus rien faire si on la refuse. Tout s'accélère très vite en ce moment, le G20 à Cannes dont le symbole est la tour Eiffel franc-maçonne avec à l'intérieur des rayons qui rappellent ceux de la statue de la liberté franc-maçonne mais qui représente aussi les degrés maçonniques et l'antique culte solaire des égyptiens. L'Antechrist lorsqu'il sera au pouvoir ira se faire oindre par des prêtres occultes en Egypte adorateurs des dieux anciens qui sont des démons. Le plan Pike-illuminati s'accomplit sous nos yeux , le seul moyen qu'il y avait pour stopper tout cela était de reconnaître ce qu' a dit Le Christ à Dozulé et de faire ce qu'Il a dit en construisant la Croix de 738 m qu'Il a demandé à Dozulé qui aurait anéanti toute la puissance de Satan et de ceux qui lui obéissent mais les Eglises n'ont pas obéi au Christ et donc bientôt ce sera tous aux abris !!!!!!!! Toutes les sonnettes d'alarme sont tirées et rien n'est fait par l'Eglise .
Je ne crains hélas que l'Eglise orthodoxe ait vraiment condamné Vassula, d'après ce que je viens de trouver sur l'internet, c'est bien ce que je dis ils lapident les prophètes que Dieu leur envoie. ça va être pareil pour JNSR et Madeleine Aumont avec l'Eglise catholique et avec Sylvie Bourcier aussi qui dit avoir eu des visions du Christ , de la Croix Glorieuse etc ... et qui défend Dozulé en prétendant que la première Apparition de la Croix Glorieuse à Dozulé que Madeleine Aumont a vu le 28 mars 1972 est ce passage dans l'évangile de St Matthieu ch 24 v 27 : " Comme l'éclair, en effet, part du levant et brille jusqu'au couchant ainsi en sera-t-il de l'Avènement du Fils de l'homme ", et qui en plus sur son mur FB annonce que le gouvernement mondial qui va être bientôt mis en place va être le gouvernement de l'Antechrist, ah ça y est aujourd'hui même, j'ai entendu au sénat , en France qu'ils allaient instaurer une carte d'identité biométrique obligatoire en France et que tous ceux qui la refuseront n'auront plus accès aux administrations etc ... et dans cette carte il va y avoir 2 puces dont une qui servira aux achats donc ceux qui ne l'auront pas ne pourront plus rien acheter, tout s'accomplit , mes amis , sous nos yeux en ce moment, dès que cette carte sera obligatoire, on ne pourra plus rien faire si on la refuse. Tout s'accélère très vite en ce moment, le G20 à Cannes dont le symbole est la tour Eiffel franc-maçonne avec à l'intérieur des rayons qui rappellent ceux de la statue de la liberté franc-maçonne mais qui représente aussi les degrés maçonniques et l'antique culte solaire des égyptiens. L'Antechrist lorsqu'il sera au pouvoir ira se faire oindre par des prêtres occultes en Egypte adorateurs des dieux anciens qui sont des démons. Le plan Pike-illuminati s'accomplit sous nos yeux , le seul moyen qu'il y avait pour stopper tout cela était de reconnaître ce qu' a dit Le Christ à Dozulé et de faire ce qu'Il a dit en construisant la Croix de 738 m qu'Il a demandé à Dozulé qui aurait anéanti toute la puissance de Satan et de ceux qui lui obéissent mais les Eglises n'ont pas obéi au Christ et donc bientôt ce sera tous aux abris !!!!!!!! Toutes les sonnettes d'alarme sont tirées et rien n'est fait par l'Eglise .
Re: Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
Ah j'oubliais, il y a 33 délégations qui composent le G 20 de cannes comme les 33 degrés de la franc-maçonnerie
Re: Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
@ Sycier :
Vous affirmez quelque chose de gros, de très gros même :
Vous êtes la première à rapporter cette nouvelle !
Oû l'avez-vous entendue ?
Pourriez-vous être plus précise avec des références svp ?
C'est gros comme info, chère Sylvie !
Octo !
Vous affirmez quelque chose de gros, de très gros même :
Sycier a écrit:ah ça y est aujourd'hui même, j'ai entendu au sénat , en France qu'ils allaient instaurer une carte d'identité biométrique obligatoire en France et que tous ceux qui la refuseront n'auront plus accès aux administrations etc ... et dans cette carte il va y avoir 2 puces dont une qui servira aux achats donc ceux qui ne l'auront pas ne pourront plus rien acheter, tout s'accomplit , mes amis , sous nos yeux en ce moment, dès que cette carte sera obligatoire, on ne pourra plus rien faire si on la refuse.
Vous êtes la première à rapporter cette nouvelle !
Oû l'avez-vous entendue ?
Pourriez-vous être plus précise avec des références svp ?
C'est gros comme info, chère Sylvie !
Octo !
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Re: Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
Mani a écrit:Vous aimez les blondes ? :Petit sourire
Je suis blonde aussi, et pourquoi ne pas rire un peu de cela ! moi au moins, je suis (presque), une vraie blonde...
@ Mani :
Je n'ose pas vous conter toutes les blagues qui circulent, au Québec, sur les blondes !
Je ne voudrais pas vous faire rougir de honte !
Octo !
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Re: Vassula (Vraie vie en Dieu) à Marseille 20 novembre,de 9h à 20h,
Je l'ai entendu hier sur la chaine public sénat où il débattait des différents amendements , je n'ai tout de même pas rêver et en plus c'était écrit en bas de l'écran télé , et en plus j'ai entendu un député dire de sa bouche que ceux qui n'accepterait pas , n'aurait pas accès aux administrations.
Carte d’identité biométrique > Quand l’Assemblée nationale décide de ficher 45 millions de français (VIDEO)
Par Philippe Crouzillacq le juil 8th, 2011 . Classé dans Breaking News, Grand Angle. RSS 2.0.
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Dormez braves gens, partez en vacances…Ou plutôt, « souriez, vous êtes fichez », l’Assemblée nationale s’occupe de tout…
Car les députés (ou tout du moins la majorité des onze parlementaires présents en séance) ont adopté hier, jeudi 7 juillet 2011, la proposition de loi relative à la carte nationale d’identité sécurisée. Ainsi qu’un amendement qui prévoit fichage administratif de 45 millions de personnes de plus de 15 ans en France.
Sur le papier la nouvelle carte d’identité devrait se rapprocher de l’actuel passeport biométrique, avec un objectif (officiel) affiché : lutter contre l’usurpation et la falsification d’identité.
Le Sénat s’était déjà prononcer en faveur d’une telle réforme, l’Assemblée nationale vient de faire de même…A une exception près et elle est de taille. La majorité de parlementaires présents en séance ont en effet voté un amendement soutenu par le rapporteur du texte, le député UMP de Paris, Philippe Goujon.
Un amendement qui « pour sécuriser les deux catégories de titres d’identité » (la carte et le passeport) prévoit la création d’un seul et même fichier central biométrique. Un fichier de 45 millions de personnes (âgées de plus de 15 ans) dont la possible mise en place soulève déjà la polémique.
Une carte d’identité et deux puces
Les différents orateurs du PS se sont montrés inquiets de la création d’un fichier central unique. «Cela ne peut se faire à travers une proposition de loi adoptée à la va-vite», a lancé le député PS de Paris, Serge Blisko (qui s’explique longuement sur les risques inhérents à une telle réforme dans la vidéo ci-dessous). «Imaginez que cette base de données tombe aux mains d’une mafia!», a lancé pour sa part le député UMP Lionel Tardy.
En pratique, la nouvelle carte d’identité biométrique intégrera deux puces. La première, dite «régalienne», contiendra les informations d’identité de son propriétaire (état civil, empreintes digitales etc…), indique l’AFP.
Une seconde puce, facultative, dite «e-services», permettra de réaliser des signatures électroniques sur internet pour des échanges commerciaux et administratifs. Le Sénat avait adopté à la mi-mai cette proposition de loi relative à la protection de l’identité. L’Assemblée nationale a donc à son tour voté ce texte.
Cependant les termes retenus étant différents, la réforme pour être définitivement adoptée devra être examinée vraisemblablement à la rentrée par une CMP (Commission mixte paritaire composée de députés et de sénateurs). Pour qu’enfin les deux assemblées puissent voter ce texte en des termes analogues.
_____________________________________________________________________________
Dimanche 30 octobre 2011
Carte d'identité biométrique : La CNIL tire le signal d'alarme
La CNIL a décidé de rendre public ses observations sur un débat parlementaire en cours : c’est celui sur la Carte Nationale d’Identité sécurisée. Une initiative signée Isabelle Falque Pierrotin, toute récente présidente de la CNIL, qui vient pointer plusieurs bugs et risques dans le dispositif soutenu par Claude Guéant, tout juste arrivé en seconde lecture au Sénat
La future carte comprendra deux puces. L’une régalienne, avec, outre les informations d’Etat civil, des données biométriques (taille, couleur des yeux, empreintes digitales, photographie). Une seconde puce, optionnelle, distincte et cloisonnée, sera destinée à sécuriser les transactions de e-commerce. Au niveau serveur, une base commune avec les passeports centralisera le fichage des porteurs. Ce fichage pourra accueillir ceux des 45 millions de personnes âgées de 15 ans et plus qui voudraient basculer sur cette CNI sécurisée.
Les données biométriques, des données pas comme les autres
Dans sa consultation, la CNIL souligne et explique d’entrée pourquoi les données biométriques ne sont pas des données comme les autres. « Elles présentent en effet la particularité de permettre à tout moment l’identification de la personne concernée sur la base d’une réalité biologique qui lui est propre, permanente dans le temps et dont elle ne peut s’affranchir ». La Commission poursuit : « à la différence de toute autre donnée à caractère personnel, la donnée biométrique n’est donc pas attribuée par un tiers ou choisie par la personne : elle est produite par le corps lui-même et le désigne ou le représente, lui et nul autre, de façon immuable. Elle appartient donc à la personne qui l’a générée et tout détournement ou mauvais usage de cette donnée fait alors peser un risque majeur sur l’identité de celle-ci »
Les données à trace
La sensibilité de ces données est encore plus forte quand elles sont dites « à trace » comme les empreintes digitales, qui ont « la particularité de pouvoir être capturées et utilisées à l’insu des personnes concernées, comme par exemple à des fins d’usurpation d’identité ». Même situation pour les caractéristiques du visage. « Si [ces caractéristiques] ci ne donnent pas lieu à dépôt de traces, l’association entre vidéoprotection et dispositifs de reconnaissance faciale aboutit à un résultat similaire en créant des traces informatiques en lieu et place des traces physiques laissées par les empreintes digitales ».
Base centralisée, lien fort ou faible ?
Voilà justement la difficulté soulevée par la CNI sécurisée : elle intègrera ces deux données biométriques (empreintes et visage) en plus d’être couplée à une base centralisée. Autre chose, un débat oppose actuellement le ministère de l’Intérieur et le Sénat sur l’exploitation de cette base. Les sénateurs veulent une étanchéité de ce fichier. Ils militent pour la technique du « lien faible » entre cette base centralisée et les données biométriques afin d’interdire l’exploitation aux fins de recherches criminelles. Ce « lien faible » est cependant suffisant pour détecter 99,9% des cas d’usurpation de titre.
Claude Guéant lui veut décloisonner les bases pour permettre les recherches dans tous les sens à partir de cette base, avec pour pas, à l’avenir un système permettant d’identifier à la volée les personnes par captation de leur visage… « La reconnaissance faciale, qui n’apporte pas, à l’heure actuelle, toutes les garanties de fiabilité nécessaires, est une technologie qui évolue très rapidement : on peut donc penser que, très bientôt, elle sera aussi fiable que la reconnaissance digitale ».
Grille de lecture de la CNIL
Pour la CNIL, la grille de lecture est simple et évidente : compte tenu de la sensibilité de ces informations et de la généralisation de ces titres d’identité, un dispositif biométrique doit impérativement répondre à deux principes. Le principe de finalité (les traitements de données doivent poursuivre des finalités « déterminées, explicites et légitimes ») et le principe de proportionnalité (les données traitées doivent être « adéquates, pertinentes et non excessives » au regard des finalités attribuées au traitement, leur durée de conservation ne doit pas excéder la durée nécessaire à ces finalités et elles ne doivent être rendues accessibles qu’aux destinataires ayant un intérêt légitime à en connaître).
Partant de là, l’analyse de la CNIL n’est pas la même selon qu’elle se penche sur le titre sécurisé ou la base centralisée.
Le titre sécurisé
Pour le premier, la Commission considère qu’abriter une reconnaissance biométrique dans un titre répond aux impératifs énumérés. Pourquoi ? Car « la personne concernée, et elle seule, conserve la maîtrise de ses données biométriques qui restent sous sa responsabilité et ne peuvent pas être utilisées pour l’identifier à son insu ». C’est là « une mesure efficace de protection contre la falsification ou la contrefaçon des documents dès lors qu’elle permet de s’assurer par des mécanismes cryptographiques de l’authenticité de la puce et de l’intégrité des données qu’elle contient »
La base centralisée
Pour la base centralisée, la CNIL se montre évidemment plus tatillonne compte tenu des risques importants en termes de sécurité ou de menace pour les libertés individuelles.
La CNIL va aussi émettre une série d’observation au dispositif soutenu par Claude Guéant.
Les observations de la CNIL sur la CNI sécurisée
Il faut déjà prévoir de manière claire et nette, une dispense de collecte pour les enfants.
La comparaison entre la donnée enregistrée et l’empreinte lue en direct peut ne pas passer par un système centralisé, mais se faire directement par la technique du « match on card » tout en prévoyant des garanties pour éviter la copie de ces informations.
Pour le système centralisé, on le sait, Guéant veut doubler sa finalité : garantir la sécurité des titres mais également fournir un nouvel outil à la police judiciaire sur réquisition judiciaire. Pour la CNIL, « une consultation systématique du fichier [sur réquisition, NDLR] aurait pour effet de le doter de facto d’une finalité de police judiciaire, qui constitue une finalité distincte ». Et la CNIL d'évoquer un détournement de finalité.
Autre critique : la Commission considère que toutes les mesures destinées à sécuriser les titres « devrait être précisément évaluée avant d’envisager la généralisation du traitement en base centralisée des identifiants biométriques des individus ». Or en l’état actuel, « la proportionnalité de la conservation sous forme centralisée de données biométriques, au regard de l’objectif légitime de lutte contre la fraude documentaire, n’est pas à ce jour démontrée. »
La CNIL milite aussi pour la limitation du nombre d’empreintes digitales enregistrées dans la base centrale. « La limitation à deux doigts constituerait une garantie matérielle contre le détournement de finalité du système, en empêchant les recherches en identification sur la base des empreintes digitales, tout en permettant de vérifier la correspondance entre l’identité revendiquée et les empreintes présentées ».
La Commission soutient, contrairement au ministère de l’intérieur, qu’il faut limiter les possibilités d’utilisation de la base de données biométriques à la seule fin de lutte contre la fraude à l’identité. Comment ? En interdisant le « lien univoque entre les données biométriques enregistrées dans le traitement central et les données d’état civil des personnes auxquelles ces données correspondent » ou encore en interdisant « de procéder à des recherches en identification sur la base des éléments biométriques enregistrées dans la base ».
Autre chose, la CNIL se méfie comme de la peste des systèmes de reconnaissances faciales, en cette période où les caméras de vidéosurveillances pullulent. Du coup, elle « exprime sa plus grande réserve sur la possibilité, ouverte par la proposition de loi, de recourir à de telles fonctionnalités dans le cadre des demandes de titres d’identité et de voyage »
Enfin, la CNIL considère que la puce optionnelle, si elle est une idée légitime ne doit pas faire oublier qu’elle peut permettre « la constitution d’un identifiant unique pour tous les citoyens français ainsi que la constitution d’un savoir public sur les agissements privés ». D’où l’importance des garanties qui doivent encadrer son utilisation et son déploiement. Par exemple ? Imposer une divulgation sélective des données selon la nature du téléservice, tout en informant clairement le citoyen avant la transaction.
Enfin, « de telles fonctionnalités ne devraient pas permettre le suivi des personnes sur internet ou l’exploitation par l’État d’informations sur les transactions privées effectuées par les citoyens. Une telle interdiction serait utilement rappelée dans le texte prévoyant ces nouvelles fonctionnalités de la carte électronique ».
Claude Guéant réintroduit un amendement pour casser le "lien faible"
Claude Guéant n’a visiblement que peu à faire de ces remarques sur la base centralisée. Alors que les sénateurs militent pour ce système de lien faible, le ministère de l’intérieur vient de réintroduire un amendement pour permettre le lien univoque entre les données, exception faite de la biométrie du visage.
Rédigée par Marc Rees le vendredi 28 octobre 2011 à 10h06
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Carte d’identité biométrique > Quand l’Assemblée nationale décide de ficher 45 millions de français (VIDEO)
Par Philippe Crouzillacq le juil 8th, 2011 . Classé dans Breaking News, Grand Angle. RSS 2.0.
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Dormez braves gens, partez en vacances…Ou plutôt, « souriez, vous êtes fichez », l’Assemblée nationale s’occupe de tout…
Car les députés (ou tout du moins la majorité des onze parlementaires présents en séance) ont adopté hier, jeudi 7 juillet 2011, la proposition de loi relative à la carte nationale d’identité sécurisée. Ainsi qu’un amendement qui prévoit fichage administratif de 45 millions de personnes de plus de 15 ans en France.
Sur le papier la nouvelle carte d’identité devrait se rapprocher de l’actuel passeport biométrique, avec un objectif (officiel) affiché : lutter contre l’usurpation et la falsification d’identité.
Le Sénat s’était déjà prononcer en faveur d’une telle réforme, l’Assemblée nationale vient de faire de même…A une exception près et elle est de taille. La majorité de parlementaires présents en séance ont en effet voté un amendement soutenu par le rapporteur du texte, le député UMP de Paris, Philippe Goujon.
Un amendement qui « pour sécuriser les deux catégories de titres d’identité » (la carte et le passeport) prévoit la création d’un seul et même fichier central biométrique. Un fichier de 45 millions de personnes (âgées de plus de 15 ans) dont la possible mise en place soulève déjà la polémique.
Une carte d’identité et deux puces
Les différents orateurs du PS se sont montrés inquiets de la création d’un fichier central unique. «Cela ne peut se faire à travers une proposition de loi adoptée à la va-vite», a lancé le député PS de Paris, Serge Blisko (qui s’explique longuement sur les risques inhérents à une telle réforme dans la vidéo ci-dessous). «Imaginez que cette base de données tombe aux mains d’une mafia!», a lancé pour sa part le député UMP Lionel Tardy.
En pratique, la nouvelle carte d’identité biométrique intégrera deux puces. La première, dite «régalienne», contiendra les informations d’identité de son propriétaire (état civil, empreintes digitales etc…), indique l’AFP.
Une seconde puce, facultative, dite «e-services», permettra de réaliser des signatures électroniques sur internet pour des échanges commerciaux et administratifs. Le Sénat avait adopté à la mi-mai cette proposition de loi relative à la protection de l’identité. L’Assemblée nationale a donc à son tour voté ce texte.
Cependant les termes retenus étant différents, la réforme pour être définitivement adoptée devra être examinée vraisemblablement à la rentrée par une CMP (Commission mixte paritaire composée de députés et de sénateurs). Pour qu’enfin les deux assemblées puissent voter ce texte en des termes analogues.
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Dimanche 30 octobre 2011
Carte d'identité biométrique : La CNIL tire le signal d'alarme
La CNIL a décidé de rendre public ses observations sur un débat parlementaire en cours : c’est celui sur la Carte Nationale d’Identité sécurisée. Une initiative signée Isabelle Falque Pierrotin, toute récente présidente de la CNIL, qui vient pointer plusieurs bugs et risques dans le dispositif soutenu par Claude Guéant, tout juste arrivé en seconde lecture au Sénat
La future carte comprendra deux puces. L’une régalienne, avec, outre les informations d’Etat civil, des données biométriques (taille, couleur des yeux, empreintes digitales, photographie). Une seconde puce, optionnelle, distincte et cloisonnée, sera destinée à sécuriser les transactions de e-commerce. Au niveau serveur, une base commune avec les passeports centralisera le fichage des porteurs. Ce fichage pourra accueillir ceux des 45 millions de personnes âgées de 15 ans et plus qui voudraient basculer sur cette CNI sécurisée.
Les données biométriques, des données pas comme les autres
Dans sa consultation, la CNIL souligne et explique d’entrée pourquoi les données biométriques ne sont pas des données comme les autres. « Elles présentent en effet la particularité de permettre à tout moment l’identification de la personne concernée sur la base d’une réalité biologique qui lui est propre, permanente dans le temps et dont elle ne peut s’affranchir ». La Commission poursuit : « à la différence de toute autre donnée à caractère personnel, la donnée biométrique n’est donc pas attribuée par un tiers ou choisie par la personne : elle est produite par le corps lui-même et le désigne ou le représente, lui et nul autre, de façon immuable. Elle appartient donc à la personne qui l’a générée et tout détournement ou mauvais usage de cette donnée fait alors peser un risque majeur sur l’identité de celle-ci »
Les données à trace
La sensibilité de ces données est encore plus forte quand elles sont dites « à trace » comme les empreintes digitales, qui ont « la particularité de pouvoir être capturées et utilisées à l’insu des personnes concernées, comme par exemple à des fins d’usurpation d’identité ». Même situation pour les caractéristiques du visage. « Si [ces caractéristiques] ci ne donnent pas lieu à dépôt de traces, l’association entre vidéoprotection et dispositifs de reconnaissance faciale aboutit à un résultat similaire en créant des traces informatiques en lieu et place des traces physiques laissées par les empreintes digitales ».
Base centralisée, lien fort ou faible ?
Voilà justement la difficulté soulevée par la CNI sécurisée : elle intègrera ces deux données biométriques (empreintes et visage) en plus d’être couplée à une base centralisée. Autre chose, un débat oppose actuellement le ministère de l’Intérieur et le Sénat sur l’exploitation de cette base. Les sénateurs veulent une étanchéité de ce fichier. Ils militent pour la technique du « lien faible » entre cette base centralisée et les données biométriques afin d’interdire l’exploitation aux fins de recherches criminelles. Ce « lien faible » est cependant suffisant pour détecter 99,9% des cas d’usurpation de titre.
Claude Guéant lui veut décloisonner les bases pour permettre les recherches dans tous les sens à partir de cette base, avec pour pas, à l’avenir un système permettant d’identifier à la volée les personnes par captation de leur visage… « La reconnaissance faciale, qui n’apporte pas, à l’heure actuelle, toutes les garanties de fiabilité nécessaires, est une technologie qui évolue très rapidement : on peut donc penser que, très bientôt, elle sera aussi fiable que la reconnaissance digitale ».
Grille de lecture de la CNIL
Pour la CNIL, la grille de lecture est simple et évidente : compte tenu de la sensibilité de ces informations et de la généralisation de ces titres d’identité, un dispositif biométrique doit impérativement répondre à deux principes. Le principe de finalité (les traitements de données doivent poursuivre des finalités « déterminées, explicites et légitimes ») et le principe de proportionnalité (les données traitées doivent être « adéquates, pertinentes et non excessives » au regard des finalités attribuées au traitement, leur durée de conservation ne doit pas excéder la durée nécessaire à ces finalités et elles ne doivent être rendues accessibles qu’aux destinataires ayant un intérêt légitime à en connaître).
Partant de là, l’analyse de la CNIL n’est pas la même selon qu’elle se penche sur le titre sécurisé ou la base centralisée.
Le titre sécurisé
Pour le premier, la Commission considère qu’abriter une reconnaissance biométrique dans un titre répond aux impératifs énumérés. Pourquoi ? Car « la personne concernée, et elle seule, conserve la maîtrise de ses données biométriques qui restent sous sa responsabilité et ne peuvent pas être utilisées pour l’identifier à son insu ». C’est là « une mesure efficace de protection contre la falsification ou la contrefaçon des documents dès lors qu’elle permet de s’assurer par des mécanismes cryptographiques de l’authenticité de la puce et de l’intégrité des données qu’elle contient »
La base centralisée
Pour la base centralisée, la CNIL se montre évidemment plus tatillonne compte tenu des risques importants en termes de sécurité ou de menace pour les libertés individuelles.
La CNIL va aussi émettre une série d’observation au dispositif soutenu par Claude Guéant.
Les observations de la CNIL sur la CNI sécurisée
Il faut déjà prévoir de manière claire et nette, une dispense de collecte pour les enfants.
La comparaison entre la donnée enregistrée et l’empreinte lue en direct peut ne pas passer par un système centralisé, mais se faire directement par la technique du « match on card » tout en prévoyant des garanties pour éviter la copie de ces informations.
Pour le système centralisé, on le sait, Guéant veut doubler sa finalité : garantir la sécurité des titres mais également fournir un nouvel outil à la police judiciaire sur réquisition judiciaire. Pour la CNIL, « une consultation systématique du fichier [sur réquisition, NDLR] aurait pour effet de le doter de facto d’une finalité de police judiciaire, qui constitue une finalité distincte ». Et la CNIL d'évoquer un détournement de finalité.
Autre critique : la Commission considère que toutes les mesures destinées à sécuriser les titres « devrait être précisément évaluée avant d’envisager la généralisation du traitement en base centralisée des identifiants biométriques des individus ». Or en l’état actuel, « la proportionnalité de la conservation sous forme centralisée de données biométriques, au regard de l’objectif légitime de lutte contre la fraude documentaire, n’est pas à ce jour démontrée. »
La CNIL milite aussi pour la limitation du nombre d’empreintes digitales enregistrées dans la base centrale. « La limitation à deux doigts constituerait une garantie matérielle contre le détournement de finalité du système, en empêchant les recherches en identification sur la base des empreintes digitales, tout en permettant de vérifier la correspondance entre l’identité revendiquée et les empreintes présentées ».
La Commission soutient, contrairement au ministère de l’intérieur, qu’il faut limiter les possibilités d’utilisation de la base de données biométriques à la seule fin de lutte contre la fraude à l’identité. Comment ? En interdisant le « lien univoque entre les données biométriques enregistrées dans le traitement central et les données d’état civil des personnes auxquelles ces données correspondent » ou encore en interdisant « de procéder à des recherches en identification sur la base des éléments biométriques enregistrées dans la base ».
Autre chose, la CNIL se méfie comme de la peste des systèmes de reconnaissances faciales, en cette période où les caméras de vidéosurveillances pullulent. Du coup, elle « exprime sa plus grande réserve sur la possibilité, ouverte par la proposition de loi, de recourir à de telles fonctionnalités dans le cadre des demandes de titres d’identité et de voyage »
Enfin, la CNIL considère que la puce optionnelle, si elle est une idée légitime ne doit pas faire oublier qu’elle peut permettre « la constitution d’un identifiant unique pour tous les citoyens français ainsi que la constitution d’un savoir public sur les agissements privés ». D’où l’importance des garanties qui doivent encadrer son utilisation et son déploiement. Par exemple ? Imposer une divulgation sélective des données selon la nature du téléservice, tout en informant clairement le citoyen avant la transaction.
Enfin, « de telles fonctionnalités ne devraient pas permettre le suivi des personnes sur internet ou l’exploitation par l’État d’informations sur les transactions privées effectuées par les citoyens. Une telle interdiction serait utilement rappelée dans le texte prévoyant ces nouvelles fonctionnalités de la carte électronique ».
Claude Guéant réintroduit un amendement pour casser le "lien faible"
Claude Guéant n’a visiblement que peu à faire de ces remarques sur la base centralisée. Alors que les sénateurs militent pour ce système de lien faible, le ministère de l’intérieur vient de réintroduire un amendement pour permettre le lien univoque entre les données, exception faite de la biométrie du visage.
Rédigée par Marc Rees le vendredi 28 octobre 2011 à 10h06
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