LA PARABOLE DU FILS PRODIGUE
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LA PARABOLE DU FILS PRODIGUE
LA PARABOLE DU FILS PRODIGUE
(Maria Valtorta, tome 3, chapitre 66, pages 388/392)
«Ecoutez. C'est une belle parabole qui vous guidera par sa lumière dans tant de cas.
Un homme avait deux fils. L'aîné était sérieux, travailleur, affectueux, obéissant. Le second était intelligent plus que son aîné, qui en vérité était un peu borné et se laissait guider pour n'avoir pas à se donner la peine de décider par lui-même, mais il était aussi par contre, rebelle, distrait, ami du luxe et du plaisir, dépensier et paresseux. L'intelligence est un grand don de Dieu, mais c'est un don dont il faut user sagement. Autrement c'est comme certains remèdes qui employés indûment ne guérissent pas mais tuent. Le père suivait son droit et son devoir en le rappelant à une vie plus sage, mais c'était sans résultat, sauf d'essuyer des réponses méchantes et de voir son fils se durcir dans ses idées mauvaises.
Enfin, un jour, après une dispute plus envenimée, le cadet dit : "Donne-moi ma part des biens. Ainsi je n'entendrai plus tes reproches ni les plaintes du frère. Chacun sa part et que tout soit fini".
"Prends garde" répondit le père "tu seras bientôt ruiné. Que feras-tu, alors ? Réfléchis que je ne serai pas injuste en ta faveur et que je ne reprendrai pas la plus petite somme à ton frère pour te la donner".
"Je ne te demanderai rien. Sois tranquille. Donne-moi ma part". Le père fit estimer les terres et les objets précieux. Après avoir constaté que l'argent et les bijoux avaient autant de valeur que les terres, il donna à l'aîné les champs et les vignes, les troupeaux et les oliviers, et au cadet il donna l'argent et les bijoux que le cadet vendit tout de suite pour avoir tout en argent.
Cela fait, en peu de jours, il s'en alla dans un pays lointain où il vécut en grand seigneur, dépensant ce qu'il avait en bombances de toutes sortes, se faisant passer pour un fils de roi car il avait honte de dire : "Je suis un campagnard", reniant ainsi son père. Festins, amis et amies, vêtements, vins, jeux... vie dissolue... Il vit bien vite s'épuiser ses réserves et arriver la misère. Et avec la misère, pour l'alourdir, il survint dans le pays une grande disette qui fit fondre le reste de ses ressources. Il aurait voulu aller trouver son père, mais il était orgueilleux et ne s'y décida pas.
Il alla alors trouver un homme riche du pays qui avait été son ami dans l'abondance et il le pria en disant : "Prends-moi parmi tes serviteurs en souvenir des profits que je t'ai procurés".
"Voyez comme l'homme est sot ! Il préfère se mettre sous le joug d'un maître au lieu de dire à son père : "Pardon ! Je me suis trompé !"
Ce jeune avait appris tant de choses inutiles avec son intelligence éveillée, mais il n'avait pas voulu apprendre le dicton de l'Ecclésiaste : "Comme il est infâme, celui qui abandonne son père, et comme Dieu maudit celui qui tourmente sa mère". Il était intelligent, mais il n'était pas sage.
L'homme à qui il s'était adressé, en échange de tout ce dont il avait profité au détriment du jeune imbécile, mit ce sot à la garde des porcs. Il était en effet dans un pays païen où il y avait beaucoup de porcs. Il l 'envoya donc faire paître dans ses possessions les troupeaux de porcs. Crasseux, en lambeaux, puant, affamé --car la nourriture était mesurée pour tous les serviteurs et surtout pour les plus bas placés et lui, étranger, gardien de porcs et méprisé, il rentrait dans cette catégorie-- il voyait les porcs se rassasier de glands et il soupirait : "Si je pouvais au moins m'emplir le ventre de ces fruits ! Mais ils sont trop amers ! La faim elle-même ne me les fait pas trouver bons".
Et il pleurait en pensant aux riches festins de satrape qu'il avait fait peu de temps avant, au milieu des rires, des chants, des danses... et puis il pensait aux honnêtes repas abondants de sa maison lointaine, aux portions que le père faisait pour tous impartialement, ne gardant pour lui que la plus petite, heureux de voir le sain appétit de ses fils... et il pensait aussi aux portions que ce juste faisait pour ses serviteurs, et il soupirait : "Les domestiques de mon père, même les plus bas placés ont du pain en abondance... et moi, ici, je meurs de faim..."
Enfin, un jour, après une dispute plus envenimée, le cadet dit : "Donne-moi ma part des biens. Ainsi je n'entendrai plus tes reproches ni les plaintes du frère. Chacun sa part et que tout soit fini".
"Prends garde" répondit le père "tu seras bientôt ruiné. Que feras-tu, alors ? Réfléchis que je ne serai pas injuste en ta faveur et que je ne reprendrai pas la plus petite somme à ton frère pour te la donner".
"Je ne te demanderai rien. Sois tranquille. Donne-moi ma part". Le père fit estimer les terres et les objets précieux. Après avoir constaté que l'argent et les bijoux avaient autant de valeur que les terres, il donna à l'aîné les champs et les vignes, les troupeaux et les oliviers, et au cadet il donna l'argent et les bijoux que le cadet vendit tout de suite pour avoir tout en argent.
Cela fait, en peu de jours, il s'en alla dans un pays lointain où il vécut en grand seigneur, dépensant ce qu'il avait en bombances de toutes sortes, se faisant passer pour un fils de roi car il avait honte de dire : "Je suis un campagnard", reniant ainsi son père. Festins, amis et amies, vêtements, vins, jeux... vie dissolue... Il vit bien vite s'épuiser ses réserves et arriver la misère. Et avec la misère, pour l'alourdir, il survint dans le pays une grande disette qui fit fondre le reste de ses ressources. Il aurait voulu aller trouver son père, mais il était orgueilleux et ne s'y décida pas.
Il alla alors trouver un homme riche du pays qui avait été son ami dans l'abondance et il le pria en disant : "Prends-moi parmi tes serviteurs en souvenir des profits que je t'ai procurés".
"Voyez comme l'homme est sot ! Il préfère se mettre sous le joug d'un maître au lieu de dire à son père : "Pardon ! Je me suis trompé !"
Ce jeune avait appris tant de choses inutiles avec son intelligence éveillée, mais il n'avait pas voulu apprendre le dicton de l'Ecclésiaste : "Comme il est infâme, celui qui abandonne son père, et comme Dieu maudit celui qui tourmente sa mère". Il était intelligent, mais il n'était pas sage.
L'homme à qui il s'était adressé, en échange de tout ce dont il avait profité au détriment du jeune imbécile, mit ce sot à la garde des porcs. Il était en effet dans un pays païen où il y avait beaucoup de porcs. Il l 'envoya donc faire paître dans ses possessions les troupeaux de porcs. Crasseux, en lambeaux, puant, affamé --car la nourriture était mesurée pour tous les serviteurs et surtout pour les plus bas placés et lui, étranger, gardien de porcs et méprisé, il rentrait dans cette catégorie-- il voyait les porcs se rassasier de glands et il soupirait : "Si je pouvais au moins m'emplir le ventre de ces fruits ! Mais ils sont trop amers ! La faim elle-même ne me les fait pas trouver bons".
Et il pleurait en pensant aux riches festins de satrape qu'il avait fait peu de temps avant, au milieu des rires, des chants, des danses... et puis il pensait aux honnêtes repas abondants de sa maison lointaine, aux portions que le père faisait pour tous impartialement, ne gardant pour lui que la plus petite, heureux de voir le sain appétit de ses fils... et il pensait aussi aux portions que ce juste faisait pour ses serviteurs, et il soupirait : "Les domestiques de mon père, même les plus bas placés ont du pain en abondance... et moi, ici, je meurs de faim..."
Invité- Invité
Un long travail de réflexion, une longue lutte pour briser l'orgueil...
Un long travail de réflexion, une longue lutte pour briser l'orgueil... Enfin vint le jour où, revenu à l'humilité et à la sagesse, il se leva et dit : "Je vais trouver mon père ! C'est une sottise cet orgueil qui me tient captif. Et de quoi ? Pourquoi souffrir en mon corps et plus encore en mon coeur, alors que je peux obtenir le pardon et le soulagement ? Je vais trouver mon père. C'est dit. Que lui dirai-je ? Mais me voici, dans cette abjection, dans ces ordures, mordu par la faim !
Je lui dirai : 'Père, j'ai péché contre le Ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils; traite-moi donc comme le dernier de tes serviteurs, mais, tolère-moi sous ton toit. Que je te vois passer...'Je ne pourrai lui dire :'...parce que je t'aime'. Il ne le croirait pas. Mais ma vie le lui dira, et lui le comprendra et, avant de mourir, il me bénira encore... Oh ! je l'espère, parce que mon père m'aime".
Et revenu le soir au pays, il prit congé du maître et, mendiant le long du chemin, il revint à sa maison. Voici les champs paternels... et la maison... et le père qui dirigeait les travaux, vieilli, amaigri par la souffrance, mais toujours bon... Le coupable, en voyant cette ruine dont il était la cause, s'arrêta intimidé... mais le père, tournant son regard, le vit et courut à sa rencontre, car il était encore loin. Après l'avoir rejoint, il lui jeta les bras autour du cou et l'embrassa.
Le père était le seul à avoir reconnu son fils dans ce mendiant humilié et lui seul avait eu pour lui un mouvement d'amour.
Le fils, serré entre ses bras, la tête sur les épaules de son père, murmura au milieu de ses sanglots : "Père, permets-moi de me jeter à tes pieds". "Non, mon fils! Pas à mes pieds, sur mon coeur qui a tant souffert de ton absence et qui a besoin de revivre en sentant ta chaleur sur ma poitrine". Et le fils, pleurant plus fort, lui dit : "Oh ! mon père! J'ai péché contre le Ciel et contre toi. Je ne suis pas digne que tu m'appelles : fils. Mais permets-moi de vivre parmi tes serviteurs, sous ton toit, te voyant et mangeant ton pain, en te servant, en buvant ta respiration. Avec chaque bouchée de pain, avec chacune de tes respirations, se refera mon coeur si corrompu et il deviendra honnête..."
Mais le père, le tenant toujours embrassé, le conduisit vers les serviteurs qui s'étaient rassemblés à distance et qui observaient et il leur dit : "Vite, apportez ici le plus beau vêtement et des bassines d'eau parfumée, lavez-le, parfumez-le, habillez-le, mettez-lui des chaussures neuves et un anneau au doigt. Puis prenez un veau gras et tuez-le. Et qu'on prépare un banquet.
Car mon fils était mort, et maintenant il est ressuscité, il était perdu et il est retrouvé. Je veux que lui aussi retrouve son simple amour de petit enfant. Il faut que je lui donne mon amour et que la maison soit en fête pour son retour. Il doit comprendre qu'il est toujours pour moi le dernier-né, tel qu'il était dans son enfance lointaine, quand il marchait à mes côtés me rendant heureux par son sourire et son babil". Et les serviteurs firent tout cela.
Je lui dirai : 'Père, j'ai péché contre le Ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils; traite-moi donc comme le dernier de tes serviteurs, mais, tolère-moi sous ton toit. Que je te vois passer...'Je ne pourrai lui dire :'...parce que je t'aime'. Il ne le croirait pas. Mais ma vie le lui dira, et lui le comprendra et, avant de mourir, il me bénira encore... Oh ! je l'espère, parce que mon père m'aime".
Et revenu le soir au pays, il prit congé du maître et, mendiant le long du chemin, il revint à sa maison. Voici les champs paternels... et la maison... et le père qui dirigeait les travaux, vieilli, amaigri par la souffrance, mais toujours bon... Le coupable, en voyant cette ruine dont il était la cause, s'arrêta intimidé... mais le père, tournant son regard, le vit et courut à sa rencontre, car il était encore loin. Après l'avoir rejoint, il lui jeta les bras autour du cou et l'embrassa.
Le père était le seul à avoir reconnu son fils dans ce mendiant humilié et lui seul avait eu pour lui un mouvement d'amour.
Le fils, serré entre ses bras, la tête sur les épaules de son père, murmura au milieu de ses sanglots : "Père, permets-moi de me jeter à tes pieds". "Non, mon fils! Pas à mes pieds, sur mon coeur qui a tant souffert de ton absence et qui a besoin de revivre en sentant ta chaleur sur ma poitrine". Et le fils, pleurant plus fort, lui dit : "Oh ! mon père! J'ai péché contre le Ciel et contre toi. Je ne suis pas digne que tu m'appelles : fils. Mais permets-moi de vivre parmi tes serviteurs, sous ton toit, te voyant et mangeant ton pain, en te servant, en buvant ta respiration. Avec chaque bouchée de pain, avec chacune de tes respirations, se refera mon coeur si corrompu et il deviendra honnête..."
Mais le père, le tenant toujours embrassé, le conduisit vers les serviteurs qui s'étaient rassemblés à distance et qui observaient et il leur dit : "Vite, apportez ici le plus beau vêtement et des bassines d'eau parfumée, lavez-le, parfumez-le, habillez-le, mettez-lui des chaussures neuves et un anneau au doigt. Puis prenez un veau gras et tuez-le. Et qu'on prépare un banquet.
Car mon fils était mort, et maintenant il est ressuscité, il était perdu et il est retrouvé. Je veux que lui aussi retrouve son simple amour de petit enfant. Il faut que je lui donne mon amour et que la maison soit en fête pour son retour. Il doit comprendre qu'il est toujours pour moi le dernier-né, tel qu'il était dans son enfance lointaine, quand il marchait à mes côtés me rendant heureux par son sourire et son babil". Et les serviteurs firent tout cela.
Invité- Invité
" Il était perdu et Il est revenu à notre amour ". Et l'aîné se rendit à ces raisons.
Le fils aîné était dans la campagne et il ne sut rien jusqu'à son retour. Le soir, en revenant à la maison, il la vit toute illuminée et il entendit le son des instruments et le bruit des danses venir de l'intérieur. Il appela un serviteur qui courait affairé et lui dit: "Qu'est-ce qui arrive ?" Et le serviteur répondit : "Ton frère est revenu ! Ton père a fait tuer le veau gras parce qu'il a reçu le fils sain et guéri de son grand mal, et il a commandé un banquet. On n'attend que toi pour commencer". Mais l'aîné, en colère parce qu'il lui paraissait injuste de tant fêter son cadet qui, outre qu'il était le plus jeune avait été mauvais, ne voulut pas entrer et même il allait s'éloigner de la maison.
Mais le père, quand il en fut averti, courut dehors et le rejoignit, essayant de le convaincre et le priant de ne pas assombrir sa joie.
L'aîné répondit à son père : "Et tu veux que moi je n'en sois pas fâché ? Tu es injuste et méprisant à l'égard de ton aîné. Moi, dès que j'ai pu travailler, je t'ai servi, et cela fait bien des années. Je n'ai jamais transgressé tes ordres, ni même négligé tes désirs.
Je suis toujours resté près de toi et je t'ai aimé pour deux, pour guérir la blessure que t'avait faite mon frère. Et tu ne m'as même pas donné un chevreau pour faire la fête avec des amis. Et lui qui t'a offensé, qui t'a abandonné, qui a été paresseux et dissipateur et qui revient poussé par la faim, tu l'honores, et pour lui tu as tué le veau le plus beau. Est-ce que cela vaut la peine d'être travailleur et sans vices! Cela, tu ne devais pas me le faire!"
Le père lui dit alors en le serrant contre son cœur :
"Oh ! mon fils ! Et tu peux croire que je ne t'aime pas parce que je n'étends pas un voile de fête sur tes actions ? Tes actions sont saintes par elles-mêmes, et le monde te loue pour elles. Mais ton frère, au contraire, a besoin d'être relevé dans l'estime du monde et dans sa propre estime. Et tu crois que je ne t'aime pas parce que je ne te donne pas une récompense visible ?
Mais matin et soir, à chacune de mes respirations et de mes pensées, tu es présent à mon coeur et à chaque instant je te bénis.
Tu as la récompense continuelle d'être toujours avec moi et tout ce qui est à moi est à toi. Mais il était juste de faire un banquet et de festoyer ton frère qui était mort et qui est ressuscité au Bien, qui était perdu et qui est revenu à notre amour".
Et l'aîné se rendit à ces raisons.
1 Jean 2 :15-17
Mais le père, quand il en fut averti, courut dehors et le rejoignit, essayant de le convaincre et le priant de ne pas assombrir sa joie.
L'aîné répondit à son père : "Et tu veux que moi je n'en sois pas fâché ? Tu es injuste et méprisant à l'égard de ton aîné. Moi, dès que j'ai pu travailler, je t'ai servi, et cela fait bien des années. Je n'ai jamais transgressé tes ordres, ni même négligé tes désirs.
Je suis toujours resté près de toi et je t'ai aimé pour deux, pour guérir la blessure que t'avait faite mon frère. Et tu ne m'as même pas donné un chevreau pour faire la fête avec des amis. Et lui qui t'a offensé, qui t'a abandonné, qui a été paresseux et dissipateur et qui revient poussé par la faim, tu l'honores, et pour lui tu as tué le veau le plus beau. Est-ce que cela vaut la peine d'être travailleur et sans vices! Cela, tu ne devais pas me le faire!"
Le père lui dit alors en le serrant contre son cœur :
"Oh ! mon fils ! Et tu peux croire que je ne t'aime pas parce que je n'étends pas un voile de fête sur tes actions ? Tes actions sont saintes par elles-mêmes, et le monde te loue pour elles. Mais ton frère, au contraire, a besoin d'être relevé dans l'estime du monde et dans sa propre estime. Et tu crois que je ne t'aime pas parce que je ne te donne pas une récompense visible ?
Mais matin et soir, à chacune de mes respirations et de mes pensées, tu es présent à mon coeur et à chaque instant je te bénis.
Tu as la récompense continuelle d'être toujours avec moi et tout ce qui est à moi est à toi. Mais il était juste de faire un banquet et de festoyer ton frère qui était mort et qui est ressuscité au Bien, qui était perdu et qui est revenu à notre amour".
Et l'aîné se rendit à ces raisons.
C'est ce qui arrive, mes amis, dans la Maison du Père.
Et qui se reconnaît dans la situation du cadet de la parabole, qu'il pense aussi que s'il l'imite dans son retour au Père, le Père lui dit : "Non pas à mes pieds, mais sur mon coeur qui a souffert de ton absence et qui maintenant est heureux de ton retour".
Que celui qui se trouve dans la situation de l'aîné et sans faute à l'égard du Père, ne soit pas jaloux de la joie paternelle, mais qu'il y prenne part en donnant son amour à son frère racheté.
J'ai dit. »
Et qui se reconnaît dans la situation du cadet de la parabole, qu'il pense aussi que s'il l'imite dans son retour au Père, le Père lui dit : "Non pas à mes pieds, mais sur mon coeur qui a souffert de ton absence et qui maintenant est heureux de ton retour".
Que celui qui se trouve dans la situation de l'aîné et sans faute à l'égard du Père, ne soit pas jaloux de la joie paternelle, mais qu'il y prenne part en donnant son amour à son frère racheté.
J'ai dit. »
* * * * * * *
1 Jean 2 :15-17
15 N’aimez pas le monde ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui.
16 Car tout ce qui est dans le monde, que ce soit le désir de la chair, ou l’avidité des yeux, ou l’arrogance des riches — cela n’a rien à voir avec le Père, mais avec le monde.
17 Et le monde passe avec sa convoitise, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure pour toujours.
16 Car tout ce qui est dans le monde, que ce soit le désir de la chair, ou l’avidité des yeux, ou l’arrogance des riches — cela n’a rien à voir avec le Père, mais avec le monde.
17 Et le monde passe avec sa convoitise, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure pour toujours.
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