Vierge Marie : Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles ! (Monique Marie)
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Vierge Marie : Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles ! (Monique Marie)
Le 10 février 2006
Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles !
Regardez, regardez la Vierge Marie, Porte du Ciel que j’ai voulu, pour vous, dans ce cahier.
Icône Marie Porte du Ciel
Cette icône de ma très Sainte Vierge fera de nombreux miracles d’Amour pour vous. Elle est la Porte du Ciel.
Contemplez-la et reconnaissez-vous en Elle. Ne porte-t-elle pas le vêtement que vous portez ? N’est-elle pas habillée comme vous : les cheveux recouverts d’un beau tissu galonné d’or, la robe longue, pudique, qui préserve le corps de tout regard impur ? Oui, la très Sainte Mère s’est toujours habillée comme vous.
Oui, vous avez raison, mes aimées, de préserver vos corps, et d’en faire les temples de Dieu. Car votre corps, oui, est le temps de mon Esprit et il m’est réservé. Il est fait à mon Image et à ma Ressemblance et il est donné pour un seul homme qui sera votre époux. Il n’est pas donné aux autres. Il est un cadeau extrême d’amour qui est réservé à cet époux, et cet époux doit le garder et l’aime avec infiniment de tendresse, de douceur et de respect. C’est un corps saint, fait pour se donner à un homme saint, pour que naisse l’enfant saint qui m’honorera dans sa joie !
Oui, votre corps ne doit pas être dévoilé et jeté aux opprobres comme vous le voyez partout autour de vous. Ma très Sainte Mère vous en remercie. Ma très Sainte Mère que vous aimez, vous a suggéré cet habillement pour rappeler à chacun la Pureté.
Regardez-la bien, longuement, en silence ; laissez-vous pénétrer de son Amour pour chacune d’entre vous. Elle est votre Maman et combien vous savez ce que cela veut dire ! Car la maternité, vous la connaissez, le don total pour eux, vous le connaissez !
Elle va vous aider à comprendre les Secrets du Royaume que vous ignorez encore. Regardez, regardez-la. Qui tient-elle entre ses bras Immaculés ? Qui vous montre-t-elle ? Elle vous montre mon Fils bien-aimé, Jésus. Mais elle fait plus que vous le montrer : elle vous l’offre, elle vous le donne, ce Fils chérit plus que sa vie !
Elle vous supplie de le recevoir. Car il est LE SAINT DES SAINTS, celui qui a toutes les complaisances de Dieu, moi-même, celui qui est l’AGNEAU SANS TACHE qui sera supplicié ignominieusement pour chaque homme, pour le sauver et transformer ses péchés en grâces.
Oui, sur la Croix, mon Fils, en Moi, transforme tous les péchés en grâces ! Par notre Amour extrême, par son sacrifice, le Sacrifice de l’Innocent suprême, il transforme le mal en bien. Il réduit à rien Satan et ses œuvres. Il renouvelle l’humanité toute entière. Il offre à chacun de devenir fils et filles de Dieu, il prend en son Corps et son Cœur suppliciés tout le mal, tous les péchés : les plus petits, les plus graves, les plus laids, les plus répétés, les plus ignorés, les plus cachés. Tous les péchés, il les élève avec lui sur la Croix ! Il les élève avec lui sur la Croix !
Chacune de ses souffrances ôte le péché des hommes ! Oui, vos péchés, il les connaît, mais il les a soufferts pour que vous en soyez délivrés ! Il les a pris sur lui-même pour que vous soyez purifiés, pour que vous puissiez rentrer purs et saints dans mon Royaume.
Oui, mon Fils a pris tous les péchés, tous vos péchés, tous, dans sa Passion qui est une passion d’Amour extrême, qui est une passion de Miséricorde pour l’homme !
Et quelques minutes avant de mourir, il cria ces mots qui ont déchirés tous les espaces, tous les abîmes, toutes les planètes et l’enfer même ; des mots qui réjouiront les hommes et les femmes jusqu’à la fin des temps, ces mots qui réjouissent tous les habitants du Royaume du Ciel : « TOUT EST CONSOMME. »
Oui, tout est consommé ! Ce qui veut dire : tous les péchés des hommes depuis le début du monde et jusqu’à la fin des temps, ont été consommés par mon Fils, dans sa Passion.
Tous les péchés ! Pas un qui ait été oublié, pas un qui n’ait été réparé par mon Fils Unique, le Verbe de Dieu.
Tous les péchés ! Mon Fils, en moi-même les a tous rachetés ! C’est cela la merveilleuse nouvelle qui vous est révélée en ces temps nouveaux, mes aimés !
La très Sainte Vierge Marie vous donne le SAINT DES SAINTS !
C’est un cadeau extrême, c’est un cadeau royal, c’est un cadeau qu’aucun prophète d’aucun pays ne peut donner.
C’est un cadeau offert aux princes, aux princesses, aux habitants du palais.
C’est un cadeau que personne ne mérité, mais qui vous est donné par pure grâce, pour répondre à vos instantes prières, pour couronner votre foi, pour vous délivrer de l’oppression de la faute, pour vous donner la vérité toute entière !
Regardez la très Sainte Vierge Marie, Porte du Ciel !
Elle vous donne ce qu’elle a de meilleur, celui pour qui elle souffrira tant ! Elle est la mère des douleurs. Au pied de la Croix, elle vous donne celui pour qui elle souffre encore tant, le voyant méconnu ou rejeté, le voyant si peu aimé, lui, l’Amour extrême ! Elle vous le donne, lui, la Sagesse incarnée, la Douceur incarnée, lui, votre Roi !
Regardez le visage de votre Mère !
Sur sa joue droite il y a une marque ! C’est celle laissée par un poignard !
Oui, cette icône a une histoire, une histoire vraie ! Elle n’est pas ici par hasard. Ce n’est pas une icône ordinaire. Elle est ici par miracle et elle n’a pas cessé de faire des miracles. Voici cette histoire vraie :
C’était au XIVème siècle. Cette icône était honorée et priée dans une église russe en ces temps malheureux où commença la persécution, inspirée par Satan, qui détruisit la plupart des merveilleuses icônes.
Or, une fidèle et son fils Gabriel cacha l’icône que vous voyez, chez elle.
Mais un jour, on la dénonça et deux soldats pénétrèrent dans sa maison. Dans leur rage, l’un d’entre eux voulut éventrer l’icône et frappa de son épée la joue gauche de la Mère de Dieu. Aussitôt, il en coula du Sang.
Effrayés de ce geste, bouleversés, les deux soldats tombèrent à genoux en pleurant : le visage de la Très Sainte Vierge saignait ! Ils se convertirent et décidèrent alors de sauver l’icône.
La persécution était si violente qu’ils eurent l’idée de faire un acte de Foi. Ils la déposèrent sur les flots, suppliant la très Saint Vierge Marie de se garder de tout danger et de se sauver pour montrer sa Gloire au Ciel.
Ensuite, un des soldats et Gabriel se firent moine et allèrent en Grèce, dans un monastère du Mont Athos, qui donnait sur la mer.
Or, un jour, ils virent flotter quelque chose qui se dirigeait vers le rivage. C’était l’icône de la Mère de Dieu. Imaginez comment ils la recueillirent et quelle joie fut la leur !
Ils la vénérèrent avec infiniment de respect et voulurent la mettre dans la chapelle. A peine l’avaient-ils fait, que le lendemain matin, ils trouvèrent l’icône au-dessus de la porte de la chapelle. Ne comprenant pas, ils la remirent à sa place, dans la chapelle. Le lendemain, elle était encore sur la porte, et de même le surlendemain. Ils comprirent, alors, que la Mère de Dieu voulait être sur la porte, ce qui signifiait qu’elle était LA PORTE DU CIEL.
La suite de cette histoire vraie, de ce récit réel, est que cette icône exsuda très souvent un huile extrêmement parfumée et que, parmi les milliers de reproductions qui en ont été faites et distribuées dans le monde, beaucoup ont exsudé aussi de cette huile !
Ainsi, moi votre Dieu, j’ai choisi pour vous, dans mon Amour, cette icône miraculeuse. Je n’ai pas choisi n’importe qu’elle icône. Regardez bien la blessure de la très Sainte Vierge Marie, cette blessure sur sa joue droite.
C’est la blessure qu’elle vit toujours pour tous ceux de ses enfants qui, croyant connaître Dieu, ignorent son Fils. Elle portera cette blessure, ce saignement, jusqu’à la fin des temps, pour vous, pour que vous croyiez en celui que j’ai envoyé, celui qui vous sauve, CELUI QUI EST.
Il vous a sauvés de tous vos péchés, de vos aveuglements même. Il suffit maintenant de vous abandonner à lui. Tout est fait. Il ne vous est demandé que de l’accepter, que de le reconnaître comme votre Dieu, votre Roi, votre Rédempteur !
Oh, laissez-vous faire, mes enfants, car votre joie sera complète.
Le Père, votre Dieu.
(La suite un autre jour)
(apparitions mariales).
Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles !
Regardez, regardez la Vierge Marie, Porte du Ciel que j’ai voulu, pour vous, dans ce cahier.
Icône Marie Porte du Ciel
Cette icône de ma très Sainte Vierge fera de nombreux miracles d’Amour pour vous. Elle est la Porte du Ciel.
Contemplez-la et reconnaissez-vous en Elle. Ne porte-t-elle pas le vêtement que vous portez ? N’est-elle pas habillée comme vous : les cheveux recouverts d’un beau tissu galonné d’or, la robe longue, pudique, qui préserve le corps de tout regard impur ? Oui, la très Sainte Mère s’est toujours habillée comme vous.
Oui, vous avez raison, mes aimées, de préserver vos corps, et d’en faire les temples de Dieu. Car votre corps, oui, est le temps de mon Esprit et il m’est réservé. Il est fait à mon Image et à ma Ressemblance et il est donné pour un seul homme qui sera votre époux. Il n’est pas donné aux autres. Il est un cadeau extrême d’amour qui est réservé à cet époux, et cet époux doit le garder et l’aime avec infiniment de tendresse, de douceur et de respect. C’est un corps saint, fait pour se donner à un homme saint, pour que naisse l’enfant saint qui m’honorera dans sa joie !
Oui, votre corps ne doit pas être dévoilé et jeté aux opprobres comme vous le voyez partout autour de vous. Ma très Sainte Mère vous en remercie. Ma très Sainte Mère que vous aimez, vous a suggéré cet habillement pour rappeler à chacun la Pureté.
Regardez-la bien, longuement, en silence ; laissez-vous pénétrer de son Amour pour chacune d’entre vous. Elle est votre Maman et combien vous savez ce que cela veut dire ! Car la maternité, vous la connaissez, le don total pour eux, vous le connaissez !
Elle va vous aider à comprendre les Secrets du Royaume que vous ignorez encore. Regardez, regardez-la. Qui tient-elle entre ses bras Immaculés ? Qui vous montre-t-elle ? Elle vous montre mon Fils bien-aimé, Jésus. Mais elle fait plus que vous le montrer : elle vous l’offre, elle vous le donne, ce Fils chérit plus que sa vie !
Elle vous supplie de le recevoir. Car il est LE SAINT DES SAINTS, celui qui a toutes les complaisances de Dieu, moi-même, celui qui est l’AGNEAU SANS TACHE qui sera supplicié ignominieusement pour chaque homme, pour le sauver et transformer ses péchés en grâces.
Oui, sur la Croix, mon Fils, en Moi, transforme tous les péchés en grâces ! Par notre Amour extrême, par son sacrifice, le Sacrifice de l’Innocent suprême, il transforme le mal en bien. Il réduit à rien Satan et ses œuvres. Il renouvelle l’humanité toute entière. Il offre à chacun de devenir fils et filles de Dieu, il prend en son Corps et son Cœur suppliciés tout le mal, tous les péchés : les plus petits, les plus graves, les plus laids, les plus répétés, les plus ignorés, les plus cachés. Tous les péchés, il les élève avec lui sur la Croix ! Il les élève avec lui sur la Croix !
Chacune de ses souffrances ôte le péché des hommes ! Oui, vos péchés, il les connaît, mais il les a soufferts pour que vous en soyez délivrés ! Il les a pris sur lui-même pour que vous soyez purifiés, pour que vous puissiez rentrer purs et saints dans mon Royaume.
Oui, mon Fils a pris tous les péchés, tous vos péchés, tous, dans sa Passion qui est une passion d’Amour extrême, qui est une passion de Miséricorde pour l’homme !
Et quelques minutes avant de mourir, il cria ces mots qui ont déchirés tous les espaces, tous les abîmes, toutes les planètes et l’enfer même ; des mots qui réjouiront les hommes et les femmes jusqu’à la fin des temps, ces mots qui réjouissent tous les habitants du Royaume du Ciel : « TOUT EST CONSOMME. »
Oui, tout est consommé ! Ce qui veut dire : tous les péchés des hommes depuis le début du monde et jusqu’à la fin des temps, ont été consommés par mon Fils, dans sa Passion.
Tous les péchés ! Pas un qui ait été oublié, pas un qui n’ait été réparé par mon Fils Unique, le Verbe de Dieu.
Tous les péchés ! Mon Fils, en moi-même les a tous rachetés ! C’est cela la merveilleuse nouvelle qui vous est révélée en ces temps nouveaux, mes aimés !
La très Sainte Vierge Marie vous donne le SAINT DES SAINTS !
C’est un cadeau extrême, c’est un cadeau royal, c’est un cadeau qu’aucun prophète d’aucun pays ne peut donner.
C’est un cadeau offert aux princes, aux princesses, aux habitants du palais.
C’est un cadeau que personne ne mérité, mais qui vous est donné par pure grâce, pour répondre à vos instantes prières, pour couronner votre foi, pour vous délivrer de l’oppression de la faute, pour vous donner la vérité toute entière !
Regardez la très Sainte Vierge Marie, Porte du Ciel !
Elle vous donne ce qu’elle a de meilleur, celui pour qui elle souffrira tant ! Elle est la mère des douleurs. Au pied de la Croix, elle vous donne celui pour qui elle souffre encore tant, le voyant méconnu ou rejeté, le voyant si peu aimé, lui, l’Amour extrême ! Elle vous le donne, lui, la Sagesse incarnée, la Douceur incarnée, lui, votre Roi !
Regardez le visage de votre Mère !
Sur sa joue droite il y a une marque ! C’est celle laissée par un poignard !
Oui, cette icône a une histoire, une histoire vraie ! Elle n’est pas ici par hasard. Ce n’est pas une icône ordinaire. Elle est ici par miracle et elle n’a pas cessé de faire des miracles. Voici cette histoire vraie :
C’était au XIVème siècle. Cette icône était honorée et priée dans une église russe en ces temps malheureux où commença la persécution, inspirée par Satan, qui détruisit la plupart des merveilleuses icônes.
Or, une fidèle et son fils Gabriel cacha l’icône que vous voyez, chez elle.
Mais un jour, on la dénonça et deux soldats pénétrèrent dans sa maison. Dans leur rage, l’un d’entre eux voulut éventrer l’icône et frappa de son épée la joue gauche de la Mère de Dieu. Aussitôt, il en coula du Sang.
Effrayés de ce geste, bouleversés, les deux soldats tombèrent à genoux en pleurant : le visage de la Très Sainte Vierge saignait ! Ils se convertirent et décidèrent alors de sauver l’icône.
La persécution était si violente qu’ils eurent l’idée de faire un acte de Foi. Ils la déposèrent sur les flots, suppliant la très Saint Vierge Marie de se garder de tout danger et de se sauver pour montrer sa Gloire au Ciel.
Ensuite, un des soldats et Gabriel se firent moine et allèrent en Grèce, dans un monastère du Mont Athos, qui donnait sur la mer.
Or, un jour, ils virent flotter quelque chose qui se dirigeait vers le rivage. C’était l’icône de la Mère de Dieu. Imaginez comment ils la recueillirent et quelle joie fut la leur !
Ils la vénérèrent avec infiniment de respect et voulurent la mettre dans la chapelle. A peine l’avaient-ils fait, que le lendemain matin, ils trouvèrent l’icône au-dessus de la porte de la chapelle. Ne comprenant pas, ils la remirent à sa place, dans la chapelle. Le lendemain, elle était encore sur la porte, et de même le surlendemain. Ils comprirent, alors, que la Mère de Dieu voulait être sur la porte, ce qui signifiait qu’elle était LA PORTE DU CIEL.
La suite de cette histoire vraie, de ce récit réel, est que cette icône exsuda très souvent un huile extrêmement parfumée et que, parmi les milliers de reproductions qui en ont été faites et distribuées dans le monde, beaucoup ont exsudé aussi de cette huile !
Ainsi, moi votre Dieu, j’ai choisi pour vous, dans mon Amour, cette icône miraculeuse. Je n’ai pas choisi n’importe qu’elle icône. Regardez bien la blessure de la très Sainte Vierge Marie, cette blessure sur sa joue droite.
C’est la blessure qu’elle vit toujours pour tous ceux de ses enfants qui, croyant connaître Dieu, ignorent son Fils. Elle portera cette blessure, ce saignement, jusqu’à la fin des temps, pour vous, pour que vous croyiez en celui que j’ai envoyé, celui qui vous sauve, CELUI QUI EST.
Il vous a sauvés de tous vos péchés, de vos aveuglements même. Il suffit maintenant de vous abandonner à lui. Tout est fait. Il ne vous est demandé que de l’accepter, que de le reconnaître comme votre Dieu, votre Roi, votre Rédempteur !
Oh, laissez-vous faire, mes enfants, car votre joie sera complète.
Le Père, votre Dieu.
(La suite un autre jour)
(apparitions mariales).
sylvia- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 6068
Date d'inscription : 06/02/2011
c’est vous que j’appelle pour devenir chrétien et sauver ensuite mon peuple chrétien !
La suite
"Jésus-Christ, mon Fils Unique, se rend corporellement présent dans chaque Tabernacle, caché sous l’apparence d’une Hostie où il est"
Maintenant apprenez de la Très Sainte Mère, apprenez d’elle que mon Fils bien-aimé se trouve aujourd’hui sur la terre, oui, sur la terre, dans chacune de Mes églises !
Apprenez ce mystère inouï, ce mystère de fournaise d’Amour : mon Fils chéri est toujours sur la terre, par un miracle permanent, sous la forme, ô mystère insondable ! D’un simple Hostie, elle-même cachée dans ce que mon Eglise appelle : les très Saints Tabernacles de toutes mes églises !
Il a voulu, j’ai voulu, dans notre Amour extrême, ne pas laisser mon peuple sans ma Présence ; nous avons voulu et fait l’inouï, le jamais entendu, le jamais vu, le jamais conçu : Jésus-Christ, mon Fils Unique, se rend corporellement présent dans chaque Tabernacle, caché sous l’apparence d’une Hostie où il est.
C’est un mystère d’Amour inconcevable, sauf par l’Amour. C’est pourquoi je vous le livre aujourd’hui, car l’Amour appelle l’Amour !
Comment aurais-je pu vous laisser seuls, mes enfants ? Comment moi, qui suis l’Amour extrême, qui vous désire, vous aime, ne vit que pour vous, qui ai racheté en mon Fils tous les fils de la terre, comment aurais-je pu vous abandonner, quitter la terre où mon Fils est venu, s’est incarné, a souffert ? Comment aurais-je pu vous abandonner ? Je n’ai pas pu.
J’ai conçu en mon Fils chéri ce mystère inouï, indicible, de rester parmi les hommes, caché, mais réellement présent dans la sainte Hostie, dans le Tabernacle.
Ceux qui me connaissent et m’aiment savent, sentent, vivent de cette Hostie, en reçoivent toutes grâces, toutes bénédictions, toutes forces, toutes consolations, tous pardons, tous réconforts, toutes joies.
« JE SUIS » descend en leurs corps pour nourrir leur âme, la rendre pure et sans tache, la vivifier, la sanctifier, la protéger de tout mal. Et ce grand Mystère, je veux aujourd’hui vous le donner !
O mes chers enfants ! Je ne veux plus qu’il soit réservé. Je veux vous le dévoiler, car mon Cœur éclate ! Mon Cœur transpercé en Celui de mon Fils fait jaillir sur l’humanité le Sang du Pardon, le Sang de la Vie. Votre Dieu ne peut plus vous laisser ignorer le Trésor des Trésors, car il a pour vous un Amour extrême !
Oh ! Écoutez, mes aimés, écoutez !
Continue, mon aimée, continue, car vous, mes âmes musulmanes, vous avez une mission aujourd’hui, une mission extraordinaire, que je vous confie et que je vous supplie de réaliser, une mission d’amour envers ma Sainteté suprême, envers votre Dieu qui vous aime !
Voyez ma tristesse, voyez la tristesse de votre Dieu, voyez mes larmes, ma Passion, voyez ! Mes églises où mon Très Saint Fils se cache, oui, certaines de mes églises se vident, car on ne me connaît plus !
A qui demander de l’aide ? Beaucoup de chrétiens ont perdu la foi parce qu’on ne leur apprend plus la Vérité. Mes enfants ne viennent plus me visiter. On leur a fait croire que je n’existais plus, on leur a prouvé par mille mensonges que je n’existais pas, et ils se sont éloignés de mon Cœur.
Qui me visitera dans mes saintes églises ? Je cherche, je cherche des âmes qui aiment Dieu ! Je crie, j’appelle ! Qui m’entendra ? Vous ! Vous qui m’aimez, vous qui priez sans me connaître vraiment, comprenez !
Comprenez que l’église est la maison de votre Dieu, que c’est le seul Dieu qui soit véritable et que c’est là que je vous attends. Je sais que, pour vous, il est difficile d’y croire, mais je prépare vos cœurs. Vous m’avez donné trop de prières pour que je vous laisse encore dans l’ignorance de la ma Vérité. Vous m’écouterez, car votre Dieu pleure.
Vous m’aimez et vous passez à côté de ma présence réelle en mon Fils dans les églises, sans vous y arrêter, sans entrer, sans venir le consoler et vous consoler !
Qui, qui viendra ? J’appelle ! Je pleure ! Je gémis ! Qui, qui m’entendra ? Mons peuple m’a oublié. On l’a nourri d’athéisme et d’idées fausses. Il mettra tant de temps à me retrouver ! Il ne me connaît plus et se meurt de désespoir.
J’appelle ! J’appelle ! QUI VIENDRA M’AIDER A SAUVER TOUTES MES ÂMES ?
Vous les femmes musulmanes et les hommes qui m’aimez !
Écoutez mon Cri ! Les églises sont mes maisons, les maisons de votre Dieu qui est en Trois personnes ! Le Dieu des chrétiens est le Dieu véritable. L’église ne doit pas devenir une mosquée, mais ELLE EST VOTRE MAISON, venez-y, priez-y. Demandez à mon chez Fils qu’il vous enseigne toutes choses. Je vous en supplie !
A qui crierai-je ma Peine, moi votre Dieu ? Qui m’écoutera ? Je suis Dieu, mais je suis Dieu Trinitaire et mon Fils Jésus-Christ est Dieu et vous attends dans toutes les églises du monde. A qui, à qui puis-je demander cela, puisqu’on ne connaît plus le Nom de Dieu ?
Comprenez-vous, ô mon peuple musulman ? Convertissez-vous à ma Vérité et venez remplir mes églises vides de votre présence. Adorez-moi et choisissez Jésus-Christ, le Parfait.
Mahomet m’est soumis, Mahomet qui est mort, sait la Vérité. Il sait que l’Eglise du Christ est Celle de mon Royaume. Je viens vous chercher car je veux vous faire partager tout mon Amour, tous mes Trésors, toutes ma Douceur, toutes mes Merveilles !
Regardez la très Sainte Vierge Marie, Porte du Ciel, que je vous donne d’une manière toute particulière. Entendez bien, comprenez bien ! Elle est la Porte du Ciel, elle est celle qui vous fera rentrer au ciel ! Or, elle vous montre mon Divin Fils, Roi du Monde, votre Roi.
Contemplez-la ! Observez ces mains : vous n’apercevez distinctement que quatre doigts.
C’est que, bien qu’elle soit la plus pure des créatures, celle qui a été conçue sans péché, celle qui est l’Immaculée Conception, au-dessus de toute créature, elle est une créature, elle n’est pas Dieu.
Regardez maintenant la main droite de mon cher Fils : ses cinq doigts y sont nettement visibles. Or, ce signe des cinq doigts symbolise traditionnellement la Sagesse. Ce qui signifie qu’il est la totalité de cette Sagesse, qu’il l’incarne totalement, donc qu’il est Dieu.
Quand à la Main gauche de mon cher Fils qui tient un parchemin enroulé qui est la Parole de Dieu : elle a le pouce caché, et c’est ce pouce invisible qui maintient le sceau fermé du parchemin.
Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que c’est lui et lui seul qui peut dérouler ce parchemin, donc révéler cette Parole de Dieu qui reste cachée sans lui. C’est lui le VERBE DE DIEU qui éclaire tout homme en ce monde.
Voyez mon Amour pour vous !
Interrogez chaque jour la Vierge Sainte, priez-la, demandez-lui qu’elle vous enseigne, mettez-vous dans ses bras. Elle vous emmènera vers lui et vers moi.
Je vous aime.
Votre Dieu.
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"C’est vous que je cherche, c’est vous que j’appelle pour devenir chrétien et pour sauver ensuite ceux de mon peuple chrétien qui m’ont oublié, qui ne savent plus de j’existe, pour les faire revenir à moi !"
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Le 16 février 2006.
Enseigne encore par ma Voix, par mes Mots. Sois confiante. J’ai besoin d’aide.
Souviens-toi ! Pour porter la Croix des péchés du monde, j’ai été aidé par Simon le Cyrénéen qui l’a portée avec moi. J’AI BESOIN DE TOI, J’AI BESOIN DE VOUS, J’AI BESOIN DE MES ENFANTS MUSULMANS. La croix aujourd’hui des péchés est si lourde. J’appelle, j’appelle, pour que l’on m’aide à la porter jusqu’au Golgotha,
QUE JE PUISSE SAUVER LES ÂMES QUI SE PERDENT PAR MILLIERS.
Écoutez, écoutez mon Cri. Regardez-moi sur la Croix. Je crie, je pleure, je demande à boire pour les hommes, de la vraie nourriture, la vraie parole nourrissante, la parole de Vie. Je dis, je répète : j’ai soif… j’ai soif pour tous ceux qui n’ont pas la Vérité, la Boisson céleste, les onguents de ma Miséricorde, de mon Cœur Transpercé d’Amour, les baumes de mon Pardon, les baumes de mes Caresses, de mes Parfums, pour tous les pécheurs qui ne savent pas qui JE SUIS !
J’ai besoin d’aide ! Oui, votre Dieu tout-puissant a besoin d’aide. Et c’est vous que je cherche, vous, mon peuple musulman. C’est vous que je cherche, c’est vous que j’appelle pour devenir chrétien et pour sauver ensuite ceux de mon peuple chrétien qui m’ont oublié, qui ne savent plus de j’existe, pour les faire revenir à moi !
C’EST UN PROJET INOUÏ AUQUEL NUL N’AVAIT SONGE !
Seul Dieu qui vous aime tant peut vous faire une telle confiance car j’entends vos prières, je connais vos cœurs, je sais que vous m’écouterez, je sais que vous aurez pitié de votre Dieu qui pleure ! N’ayez pas peur ! Oh non, n’ayez pas peur ! Je vous aime tant, je vous chéris tant ! N’ayez pas peur, n’ayez plus peur !
A force de me chercher, a force de me prier chaque jour, n’est-ce pas juste que vous me trouviez vraiment ? Qu’enfin je me révèle à vous tel que je suis ?
JE SUIS est Père, Fils, Saint-Esprit. C’est la Vérité. Il n’y a qu’un Vérité et elle est tout entière.
Le Père Céleste, votre Dieu.
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Le même jour.
Les miracles de Jésus
Enseigne, parle des miracles de mon Fils.
Jésus a fait de très nombreux miracles pendant trois années où il a enseigné. Il en a fait plus que tous les prophètes réunis. Il a constamment accompagné ses Paroles de miracles. Il a guéri des milliers de malades, si bien que lorsqu’il se déplaçait, aveugles, lépreux, handicapés, paralysés, tous le suivaient… les prêtes juifs qui le jalousaient se disaient entre eux : « Si on le laisse faire, tous croiront en lui. »
Naturellement, si on avait laissé Jésus vivant, tout le peuple aurait cru en lui, tous !
Comme refuser l’évidence de sa Sainteté ? Quand les 5000 hommes, femmes, enfants qui avaient suivi Jésus, s’étaient sentis affamés et sans rien à manger, et qu’il leur avait donné à manger, alors qu’on n’avait trouvé que 5 pains et 2 poissons, ils avaient tous cru en lui. Tous !
Quand les amis de Lazare avaient vu leur ami mort et mis au tombeau, et qu’ils entendirent Jésus, TROIS JOURS après cette mort, dire d’une voix forte : « Lazare, sors de ton tombeau ! ». Et qu’ils virent Lazare sortir de son tombeau encore tout entouré de bandelettes, ils crurent en Jésus, car personne jamais n’avait fait de tels signes !
Quand les disciples, pourtant pêcheurs chevronnés, se virent engloutis par la tempête sur le lac de Tibériade et que Jésus, qu’ils réveillèrent brusquement, commanda à la mer et au vent de s’apaiser et que cette mer s’apaisa, ils ne purent douter qu’il était Dieu !
Lorsqu’ils le virent marcher sur les eaux, lorsqu’ils l’entendirent commander au paralytique immobilisé depuis 38 ans : « lève-toi, prends ton grabat et marche » et que le paralytique se leva, prit son grabat et s’en alla…
Lorsqu’ils le virent ouvrir les yeux des aveugles, faire entendre les sourds, lorsqu’ils le virent ressusciter la fille de Jaïre, devant tous les témoins, ils surent que Jésus n’est pas un prophète ordinaire, car personne jamais n’avait fait ces signes et personnes jamais n’en fera de semblables !
« Si vous ne croyez pas en Moi, croyez au moins à cause des signes que je fais » disait-il. Car les juifs savaient que le Messie, le Sauveur du monde, ferait ces signes-là. Ils avaient été annoncés dans la Bible : « Les aveugles voient, les boiteux marchent, les sourds entendent, la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres. »
Oui, la Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres ! Les pauvres sont tous ceux qui ne me connaissent pas encore, moi, le vrai Dieu en Trois personnes, moi qui ai envoyé mon Fils chéri sur la terre pour vous !
Les pauvres sont ceux qui ne peuvent pas déjà sur la terre vivre ma vie de grâces entièrement, qui n’ont qu’une image déformée est faible de ma Miséricorde, de ma Compassion, de ma folie d’Amour pour les hommes ! Les pauvres sont ceux qui ne me connaissent pas en Jésus-Christ, dans son visage supplicié, dans sa couronne d’épines qu’il a supportée pour chacun d’entre vous, tous ceux qui ne savent pas que moi, le Père, je ne suis qu’un avec ce Fils chéri, que je ne cesse de tenir entre mes bras, dans la douceur du Saint-Esprit !
Moi Dieu, votre Père Céleste.
(apparitions mariales)
"Jésus-Christ, mon Fils Unique, se rend corporellement présent dans chaque Tabernacle, caché sous l’apparence d’une Hostie où il est"
Maintenant apprenez de la Très Sainte Mère, apprenez d’elle que mon Fils bien-aimé se trouve aujourd’hui sur la terre, oui, sur la terre, dans chacune de Mes églises !
Apprenez ce mystère inouï, ce mystère de fournaise d’Amour : mon Fils chéri est toujours sur la terre, par un miracle permanent, sous la forme, ô mystère insondable ! D’un simple Hostie, elle-même cachée dans ce que mon Eglise appelle : les très Saints Tabernacles de toutes mes églises !
Il a voulu, j’ai voulu, dans notre Amour extrême, ne pas laisser mon peuple sans ma Présence ; nous avons voulu et fait l’inouï, le jamais entendu, le jamais vu, le jamais conçu : Jésus-Christ, mon Fils Unique, se rend corporellement présent dans chaque Tabernacle, caché sous l’apparence d’une Hostie où il est.
C’est un mystère d’Amour inconcevable, sauf par l’Amour. C’est pourquoi je vous le livre aujourd’hui, car l’Amour appelle l’Amour !
Comment aurais-je pu vous laisser seuls, mes enfants ? Comment moi, qui suis l’Amour extrême, qui vous désire, vous aime, ne vit que pour vous, qui ai racheté en mon Fils tous les fils de la terre, comment aurais-je pu vous abandonner, quitter la terre où mon Fils est venu, s’est incarné, a souffert ? Comment aurais-je pu vous abandonner ? Je n’ai pas pu.
J’ai conçu en mon Fils chéri ce mystère inouï, indicible, de rester parmi les hommes, caché, mais réellement présent dans la sainte Hostie, dans le Tabernacle.
Ceux qui me connaissent et m’aiment savent, sentent, vivent de cette Hostie, en reçoivent toutes grâces, toutes bénédictions, toutes forces, toutes consolations, tous pardons, tous réconforts, toutes joies.
« JE SUIS » descend en leurs corps pour nourrir leur âme, la rendre pure et sans tache, la vivifier, la sanctifier, la protéger de tout mal. Et ce grand Mystère, je veux aujourd’hui vous le donner !
O mes chers enfants ! Je ne veux plus qu’il soit réservé. Je veux vous le dévoiler, car mon Cœur éclate ! Mon Cœur transpercé en Celui de mon Fils fait jaillir sur l’humanité le Sang du Pardon, le Sang de la Vie. Votre Dieu ne peut plus vous laisser ignorer le Trésor des Trésors, car il a pour vous un Amour extrême !
Oh ! Écoutez, mes aimés, écoutez !
Continue, mon aimée, continue, car vous, mes âmes musulmanes, vous avez une mission aujourd’hui, une mission extraordinaire, que je vous confie et que je vous supplie de réaliser, une mission d’amour envers ma Sainteté suprême, envers votre Dieu qui vous aime !
Voyez ma tristesse, voyez la tristesse de votre Dieu, voyez mes larmes, ma Passion, voyez ! Mes églises où mon Très Saint Fils se cache, oui, certaines de mes églises se vident, car on ne me connaît plus !
A qui demander de l’aide ? Beaucoup de chrétiens ont perdu la foi parce qu’on ne leur apprend plus la Vérité. Mes enfants ne viennent plus me visiter. On leur a fait croire que je n’existais plus, on leur a prouvé par mille mensonges que je n’existais pas, et ils se sont éloignés de mon Cœur.
Qui me visitera dans mes saintes églises ? Je cherche, je cherche des âmes qui aiment Dieu ! Je crie, j’appelle ! Qui m’entendra ? Vous ! Vous qui m’aimez, vous qui priez sans me connaître vraiment, comprenez !
Comprenez que l’église est la maison de votre Dieu, que c’est le seul Dieu qui soit véritable et que c’est là que je vous attends. Je sais que, pour vous, il est difficile d’y croire, mais je prépare vos cœurs. Vous m’avez donné trop de prières pour que je vous laisse encore dans l’ignorance de la ma Vérité. Vous m’écouterez, car votre Dieu pleure.
Vous m’aimez et vous passez à côté de ma présence réelle en mon Fils dans les églises, sans vous y arrêter, sans entrer, sans venir le consoler et vous consoler !
Qui, qui viendra ? J’appelle ! Je pleure ! Je gémis ! Qui, qui m’entendra ? Mons peuple m’a oublié. On l’a nourri d’athéisme et d’idées fausses. Il mettra tant de temps à me retrouver ! Il ne me connaît plus et se meurt de désespoir.
J’appelle ! J’appelle ! QUI VIENDRA M’AIDER A SAUVER TOUTES MES ÂMES ?
Vous les femmes musulmanes et les hommes qui m’aimez !
Écoutez mon Cri ! Les églises sont mes maisons, les maisons de votre Dieu qui est en Trois personnes ! Le Dieu des chrétiens est le Dieu véritable. L’église ne doit pas devenir une mosquée, mais ELLE EST VOTRE MAISON, venez-y, priez-y. Demandez à mon chez Fils qu’il vous enseigne toutes choses. Je vous en supplie !
A qui crierai-je ma Peine, moi votre Dieu ? Qui m’écoutera ? Je suis Dieu, mais je suis Dieu Trinitaire et mon Fils Jésus-Christ est Dieu et vous attends dans toutes les églises du monde. A qui, à qui puis-je demander cela, puisqu’on ne connaît plus le Nom de Dieu ?
Comprenez-vous, ô mon peuple musulman ? Convertissez-vous à ma Vérité et venez remplir mes églises vides de votre présence. Adorez-moi et choisissez Jésus-Christ, le Parfait.
Mahomet m’est soumis, Mahomet qui est mort, sait la Vérité. Il sait que l’Eglise du Christ est Celle de mon Royaume. Je viens vous chercher car je veux vous faire partager tout mon Amour, tous mes Trésors, toutes ma Douceur, toutes mes Merveilles !
Regardez la très Sainte Vierge Marie, Porte du Ciel, que je vous donne d’une manière toute particulière. Entendez bien, comprenez bien ! Elle est la Porte du Ciel, elle est celle qui vous fera rentrer au ciel ! Or, elle vous montre mon Divin Fils, Roi du Monde, votre Roi.
Contemplez-la ! Observez ces mains : vous n’apercevez distinctement que quatre doigts.
C’est que, bien qu’elle soit la plus pure des créatures, celle qui a été conçue sans péché, celle qui est l’Immaculée Conception, au-dessus de toute créature, elle est une créature, elle n’est pas Dieu.
Regardez maintenant la main droite de mon cher Fils : ses cinq doigts y sont nettement visibles. Or, ce signe des cinq doigts symbolise traditionnellement la Sagesse. Ce qui signifie qu’il est la totalité de cette Sagesse, qu’il l’incarne totalement, donc qu’il est Dieu.
Quand à la Main gauche de mon cher Fils qui tient un parchemin enroulé qui est la Parole de Dieu : elle a le pouce caché, et c’est ce pouce invisible qui maintient le sceau fermé du parchemin.
Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que c’est lui et lui seul qui peut dérouler ce parchemin, donc révéler cette Parole de Dieu qui reste cachée sans lui. C’est lui le VERBE DE DIEU qui éclaire tout homme en ce monde.
Voyez mon Amour pour vous !
Interrogez chaque jour la Vierge Sainte, priez-la, demandez-lui qu’elle vous enseigne, mettez-vous dans ses bras. Elle vous emmènera vers lui et vers moi.
Je vous aime.
Votre Dieu.
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"C’est vous que je cherche, c’est vous que j’appelle pour devenir chrétien et pour sauver ensuite ceux de mon peuple chrétien qui m’ont oublié, qui ne savent plus de j’existe, pour les faire revenir à moi !"
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Le 16 février 2006.
Enseigne encore par ma Voix, par mes Mots. Sois confiante. J’ai besoin d’aide.
Souviens-toi ! Pour porter la Croix des péchés du monde, j’ai été aidé par Simon le Cyrénéen qui l’a portée avec moi. J’AI BESOIN DE TOI, J’AI BESOIN DE VOUS, J’AI BESOIN DE MES ENFANTS MUSULMANS. La croix aujourd’hui des péchés est si lourde. J’appelle, j’appelle, pour que l’on m’aide à la porter jusqu’au Golgotha,
QUE JE PUISSE SAUVER LES ÂMES QUI SE PERDENT PAR MILLIERS.
Écoutez, écoutez mon Cri. Regardez-moi sur la Croix. Je crie, je pleure, je demande à boire pour les hommes, de la vraie nourriture, la vraie parole nourrissante, la parole de Vie. Je dis, je répète : j’ai soif… j’ai soif pour tous ceux qui n’ont pas la Vérité, la Boisson céleste, les onguents de ma Miséricorde, de mon Cœur Transpercé d’Amour, les baumes de mon Pardon, les baumes de mes Caresses, de mes Parfums, pour tous les pécheurs qui ne savent pas qui JE SUIS !
J’ai besoin d’aide ! Oui, votre Dieu tout-puissant a besoin d’aide. Et c’est vous que je cherche, vous, mon peuple musulman. C’est vous que je cherche, c’est vous que j’appelle pour devenir chrétien et pour sauver ensuite ceux de mon peuple chrétien qui m’ont oublié, qui ne savent plus de j’existe, pour les faire revenir à moi !
C’EST UN PROJET INOUÏ AUQUEL NUL N’AVAIT SONGE !
Seul Dieu qui vous aime tant peut vous faire une telle confiance car j’entends vos prières, je connais vos cœurs, je sais que vous m’écouterez, je sais que vous aurez pitié de votre Dieu qui pleure ! N’ayez pas peur ! Oh non, n’ayez pas peur ! Je vous aime tant, je vous chéris tant ! N’ayez pas peur, n’ayez plus peur !
A force de me chercher, a force de me prier chaque jour, n’est-ce pas juste que vous me trouviez vraiment ? Qu’enfin je me révèle à vous tel que je suis ?
JE SUIS est Père, Fils, Saint-Esprit. C’est la Vérité. Il n’y a qu’un Vérité et elle est tout entière.
Le Père Céleste, votre Dieu.
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Le même jour.
Les miracles de Jésus
Enseigne, parle des miracles de mon Fils.
Jésus a fait de très nombreux miracles pendant trois années où il a enseigné. Il en a fait plus que tous les prophètes réunis. Il a constamment accompagné ses Paroles de miracles. Il a guéri des milliers de malades, si bien que lorsqu’il se déplaçait, aveugles, lépreux, handicapés, paralysés, tous le suivaient… les prêtes juifs qui le jalousaient se disaient entre eux : « Si on le laisse faire, tous croiront en lui. »
Naturellement, si on avait laissé Jésus vivant, tout le peuple aurait cru en lui, tous !
Comme refuser l’évidence de sa Sainteté ? Quand les 5000 hommes, femmes, enfants qui avaient suivi Jésus, s’étaient sentis affamés et sans rien à manger, et qu’il leur avait donné à manger, alors qu’on n’avait trouvé que 5 pains et 2 poissons, ils avaient tous cru en lui. Tous !
Quand les amis de Lazare avaient vu leur ami mort et mis au tombeau, et qu’ils entendirent Jésus, TROIS JOURS après cette mort, dire d’une voix forte : « Lazare, sors de ton tombeau ! ». Et qu’ils virent Lazare sortir de son tombeau encore tout entouré de bandelettes, ils crurent en Jésus, car personne jamais n’avait fait de tels signes !
Quand les disciples, pourtant pêcheurs chevronnés, se virent engloutis par la tempête sur le lac de Tibériade et que Jésus, qu’ils réveillèrent brusquement, commanda à la mer et au vent de s’apaiser et que cette mer s’apaisa, ils ne purent douter qu’il était Dieu !
Lorsqu’ils le virent marcher sur les eaux, lorsqu’ils l’entendirent commander au paralytique immobilisé depuis 38 ans : « lève-toi, prends ton grabat et marche » et que le paralytique se leva, prit son grabat et s’en alla…
Lorsqu’ils le virent ouvrir les yeux des aveugles, faire entendre les sourds, lorsqu’ils le virent ressusciter la fille de Jaïre, devant tous les témoins, ils surent que Jésus n’est pas un prophète ordinaire, car personne jamais n’avait fait ces signes et personnes jamais n’en fera de semblables !
« Si vous ne croyez pas en Moi, croyez au moins à cause des signes que je fais » disait-il. Car les juifs savaient que le Messie, le Sauveur du monde, ferait ces signes-là. Ils avaient été annoncés dans la Bible : « Les aveugles voient, les boiteux marchent, les sourds entendent, la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres. »
Oui, la Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres ! Les pauvres sont tous ceux qui ne me connaissent pas encore, moi, le vrai Dieu en Trois personnes, moi qui ai envoyé mon Fils chéri sur la terre pour vous !
Les pauvres sont ceux qui ne peuvent pas déjà sur la terre vivre ma vie de grâces entièrement, qui n’ont qu’une image déformée est faible de ma Miséricorde, de ma Compassion, de ma folie d’Amour pour les hommes ! Les pauvres sont ceux qui ne me connaissent pas en Jésus-Christ, dans son visage supplicié, dans sa couronne d’épines qu’il a supportée pour chacun d’entre vous, tous ceux qui ne savent pas que moi, le Père, je ne suis qu’un avec ce Fils chéri, que je ne cesse de tenir entre mes bras, dans la douceur du Saint-Esprit !
Moi Dieu, votre Père Céleste.
(apparitions mariales)
sylvia- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 6068
Date d'inscription : 06/02/2011
La religion musulmane n'est pas la vraie car elle se trompe en de nombreux points.
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"La religion musulmane qui vous a aidés à vous élever vers votre Dieu, n’est cependant pas la vraie religion, car elle se trompe en de nombreux points. Moi, votre Maman, je viens du Ciel vous le dire. N’ayez pas peur de voir la vérité, car la vérité vous rendra Libres et Joyeux !"
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Monique-Marie
Le 24 février, 5 heures du matin
C’est moi, votre Sainte Mère qui veut maintenant vous enseigner. Moi, la Très Sainte Vierge Marie, toujours Vierge, ayant enfanté par l’action de l’Esprit-Saint, Jésus.
Je viens à vous parce que je suis votre Maman, la Maman de chacun d’entre vous et, comme une maman, je me soucie de vous, je veux vous enseigner la Vérité.
Regardez-moi de nouveau. Non seulement j’ai inspiré à vos femmes leur habillement, mais je leur ai communiqué mes vertus : la pureté, la simplicité, l’humilité, la fidélité, la patience, la douceur et la crainte de Dieu. Ce sont toutes les qualités que Dieu m’a données et que j’ai cultivées chaque jour, avec amour, pour sa Gloire.
Vous les cultivez aussi, car Dieu les inspire à celles qui l’invoquent avec ferveur et c’est par cette ferveur même, à cause d’elle, qu’il m’envoie vous instruire.
Sur la terre Dieu m’a souvent envoyée, mais en ce moment si grave pour toute l’humanité il m’envoie d’avantage pour l’aider à sauver l’humanité en plein désarroi. Venez, venez, mes chers enfants, dans les lieux où je suis venue et où j’apparais encore aujourd’hui.
Je vous y attends pour vous donner toutes grâces !
La France, que mon Cœur aime particulièrement, m’a vue venir souvent sur son sol pour l’encourager ou la sauver. Venez à Lourdes, où j’ai donné mon Saint Nom, celui par lequel toute l’humanité me reconnaîtra un jour : « L'IMMACULÉE CONCEPTION ».
Oui, j’ai révélé à Lourdes, à une jeune fille ignorante, la petite Bernadette Soubirous, mon Nom, pour elle complètement inconnu. Je lui ai donné en patois, car elle ne connaissait pas le français.
« QUE SOY ERA IMMACULADA COUNCEPCIOU ».
Ce qui signifie : « JE SUIS L'IMMACULÉE CONCEPTION ».
La pauvre petite Bernadette ne comprenait pas ces termes, mais voulait les communiquer au curé de sa paroisse qui ne croyait pas à ces apparitions et qui lui avait demandé le nom de la belle dame en se moquant.
Elle fut donc obligée de les répéter en courant depuis la grotte où je me tenais jusqu’à la maison du prêtre. Or, elle était asthmatique et il y avait 2 kilomètres, ce qui était beaucoup ! Elle arriva essoufflée devant le prêtre et lui dit : « Que soy era Immaculada Councepciou. »
Le prêtre, incrédule jusqu’alors, fut consterné ! Comment cette petite jeune fille ignorante connaissait-elle ce terme qui était inconnu de tous, sauf de quelques théologiens ? Alors il pleura ! Oui, il pleura, car il sut que Bernadette me voyait vraiment, que ce n’était pas une affabulation. Il devint alors sont plus ardent défenseur, alors qu’il l’avait beaucoup rudoyée jusqu’alors !
Venez à Lourdes !
Je vous y donnerai de nombreuses grâces. J’y guéris depuis plus d’un siècle de nombreux malades. Oh, mes enfants, je vous reconnaîtrai parmi tous et mon Cœur bondira de Joie quand je vous y verrai ! Là, vous viendrez vous laver dans l’eau de la source que j’ai fait faillir sous les doigts de Bernadette et qui coule encore depuis 1858. Oui, elle coule encore et l’on peut y être plongé !
Vous irez ensuite voir le corps de ma petite privilégiée à Nevers, car Sainte Bernadette, après m’avoir vu 18 fois, devint religieuse et fut envoyée dans une congrégation dans cette ville. Là, elle vécut dans l’humilité totale et y mourut.
Cependant, lorsqu’on ouvrit sa tombe 50 ans plus tard, pour voir l’état de son corps, on s’aperçut qu’il était intact. Oui, Dieu a permis ce miracle pour que vous croyiez ! Allez contempler le visage de celle qui m’a vue !
Allez ensuite, mes chers enfants, à Paris, dans le 7ème arrondissement, au lieu dit « la médaille miraculeuse » rue du Bac. Là, vous verrez des hommes et des femmes de tous pays : européens, africains, asiatiques. Là, vous recevrez tant de grâces !
Là, je suis venue pour apporter cette médaille qui est appelée « médaille miraculeuse », parce qu’elle a fait des milliers de miracles. C’est moi-même qui ai indiqué ce qu’il fallait frapper sur cette médaille.
Je l’ai demandé à une religieuse qui s’appelait « sœur Catherine Labouré ». Je lui ai parlé de la France. Je lui ai demandé de prier pour ce pays que j’aime tant. Je lui ai dit que la médaille protégerait tous ceux qui la porteraient, et elle l’a fait, et elle le fait toujours.
Ma petite sœur Catherine Labouré n’a jamais dit, à aucune des religieuses, qu’elle me voyait, car je lui avais demandé de n’en parler qu’à son confesseur qui ne la croyait pas et qui ne voulait pas faire frapper la médaille que je demandais. Catherine souffrit beaucoup et pendant de longues années. On la méprisa.
Ce n’est que quelques jours avant sa mort qu’elle révéla à sa supérieure les apparitions dont elle avait été gratifiée. Elle le lui dit, car ce que j’avais demandé n’était pas encore complètement réalisé. La médaille avait été frappée, car le confesseur de sœur Catherine avait fini par croire sa confidente et cette médaille avait fait tout de suite des milliers de miracles, d’où le nom qu’on lui donna. Mais, tout n’avait pas été réalisé : j’avais demandé aussi qu’on érige à mon intention une statue où je tenais dans ma main le monde, pour l’offrir à Dieu.
Catherine mourut et ma dernière demande fut exaucée.
Le corps de celle qui est Sainte Catherine ne se décomposa jamais et vous pourrez voir, à Paris, dans la chapelle de la médaille miraculeuse, ses yeux magnifiquement bleus qui frappaient tous ceux qu’elle rencontrait. Portez, portez ma médaille. Elle vous protégera, vous instruira, vous sauvera de mille maux.
Je suis aussi apparue à Pontmain, au nord-ouest de la France, à des enfants, dans la nuit au milieu des étoiles. Ils ont lu ensemble les mots qui se sont inscrits autour de ma Vision !
« Priez, priez mes enfants, mon Fils, se laisse toucher. » Ce message est aussi pour vos enfants. Le Père a besoin des prières des petits et des tout-petits.
Pontmain est un lieu privilégié d’Amour pour les enfants et de supplication, afin qu’ils nous aident à sauver l’humanité. Là, aucun adulte ne vit mon apparition. Seuls les enfants eurent cette extrême grâce de lire dans le ciel ce que la main de Dieu écrivait.
Ces faits sont vrais. Mon apparition et les prières que les enfants m’adressèrent sauvèrent alors la France de l’arrivée des prussiens, comme aujourd’hui je veux sauver la France de l’emprise de Satan et en faire le pays de la joie et de la Paix.
Mon pays de préférence et la France, car il est le pays de préférence de mon Dieu. Et vous voyez que c’est ce pays qui vous a accueillis. Malgré ses fautes quelquefois à votre égard, vous y vivez. Pardonnez-lui, car votre Dieu vous le demande, devenez français et chrétiens, entrez complètement dans nos cœurs pour sauver le monde !
Oh, mes enfants, croyez, croyez que je suis envoyée par Dieu pour vous, dans un amour de compassion extrême et dans une grande confiance, je vous appelle, je vous appelle, Dieu me le demande !
Il y a encore de très nombreux lieux où je suis apparue en France, aussi bien dans le nord que dans le sud. Cherchez-les et venez, venez me voir dans ces lieux privilégiés où je vous donnerai beaucoup de grâces ! Le temps est venu où le règne de l’immaculée conception va pénétrer vos cœurs et rendre à Dieu Trinité sa véritable place. Le temps est venu de la Joie !
Je viens aujourd’hui, je parle, je supplie, l’implore ! Priez, priez, priez, car la terre est devenue la proie de Satan ! S’il n’y a pas assez d’âmes qui prient, la terre sera dévastée ! Les épidémies, les maladies de toutes sortes, les guerres en feront un cloaque de détresse. Mes enfants, m’entendrez-vous ?
Et si ce n’était que la terre ! Mais les âmes, les âmes qui vivront éternellement, les âmes de mes enfants qui ne se seront pas converties, iront en enfer pour l’éternité.
Et c’est cela qui, plus que tout, désole votre maman et la très Sainte Trinité. C’est cela qui pousse votre Dieu à m’envoyer encore, par les faibles mains de mon aimée, pour vous dire de vous convertir, car, en vous convertissant au Christ dans la religion dite catholique, vous vous sauverez vous-mêmes et sauverez avec vous des milliers d’âmes !
Le temps est venu, mes aimés le temps est venu ! Ne prenez pas les choses à la légère ne pensez pas qu’il reste beaucoup de temps pour chercher et entrer dans la Vérité toute entière.
Non, il ne reste pas beaucoup de temps, car vous voyez ce qui se passe aujourd’hui sur votre terre ; les lois iniques, l’oubli des lois Saintes, vont désoler la terre ! Les erreurs de religion vont séparer les hommes, alors qu’ils sont faits pour s’aimer et nous louer.
La religion musulmane qui vous a aidés à vous élever vers votre Dieu, n’est cependant pas la vraie religion, car elle se trompe en de nombreux points. Moi, votre Maman, je viens du Ciel vous le dire. N’ayez pas peur de voir la vérité, car la vérité vous rendra Libres et Joyeux !
N’ayez pas peur ! Ce qui est vrai est vrai. Vous saurez d’une manière certaine que vous ne vous trompez pas, car vous ressentirez la Joie et la Paix qui sont les marques du Royaume de Dieu en vous.
Votre Maman du Ciel vient vous suppliez et vous bénit.
La suite un autre jour
"La religion musulmane qui vous a aidés à vous élever vers votre Dieu, n’est cependant pas la vraie religion, car elle se trompe en de nombreux points. Moi, votre Maman, je viens du Ciel vous le dire. N’ayez pas peur de voir la vérité, car la vérité vous rendra Libres et Joyeux !"
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Monique-Marie
Le 24 février, 5 heures du matin
C’est moi, votre Sainte Mère qui veut maintenant vous enseigner. Moi, la Très Sainte Vierge Marie, toujours Vierge, ayant enfanté par l’action de l’Esprit-Saint, Jésus.
Je viens à vous parce que je suis votre Maman, la Maman de chacun d’entre vous et, comme une maman, je me soucie de vous, je veux vous enseigner la Vérité.
Regardez-moi de nouveau. Non seulement j’ai inspiré à vos femmes leur habillement, mais je leur ai communiqué mes vertus : la pureté, la simplicité, l’humilité, la fidélité, la patience, la douceur et la crainte de Dieu. Ce sont toutes les qualités que Dieu m’a données et que j’ai cultivées chaque jour, avec amour, pour sa Gloire.
Vous les cultivez aussi, car Dieu les inspire à celles qui l’invoquent avec ferveur et c’est par cette ferveur même, à cause d’elle, qu’il m’envoie vous instruire.
Sur la terre Dieu m’a souvent envoyée, mais en ce moment si grave pour toute l’humanité il m’envoie d’avantage pour l’aider à sauver l’humanité en plein désarroi. Venez, venez, mes chers enfants, dans les lieux où je suis venue et où j’apparais encore aujourd’hui.
Je vous y attends pour vous donner toutes grâces !
La France, que mon Cœur aime particulièrement, m’a vue venir souvent sur son sol pour l’encourager ou la sauver. Venez à Lourdes, où j’ai donné mon Saint Nom, celui par lequel toute l’humanité me reconnaîtra un jour : « L'IMMACULÉE CONCEPTION ».
Oui, j’ai révélé à Lourdes, à une jeune fille ignorante, la petite Bernadette Soubirous, mon Nom, pour elle complètement inconnu. Je lui ai donné en patois, car elle ne connaissait pas le français.
« QUE SOY ERA IMMACULADA COUNCEPCIOU ».
Ce qui signifie : « JE SUIS L'IMMACULÉE CONCEPTION ».
La pauvre petite Bernadette ne comprenait pas ces termes, mais voulait les communiquer au curé de sa paroisse qui ne croyait pas à ces apparitions et qui lui avait demandé le nom de la belle dame en se moquant.
Elle fut donc obligée de les répéter en courant depuis la grotte où je me tenais jusqu’à la maison du prêtre. Or, elle était asthmatique et il y avait 2 kilomètres, ce qui était beaucoup ! Elle arriva essoufflée devant le prêtre et lui dit : « Que soy era Immaculada Councepciou. »
Le prêtre, incrédule jusqu’alors, fut consterné ! Comment cette petite jeune fille ignorante connaissait-elle ce terme qui était inconnu de tous, sauf de quelques théologiens ? Alors il pleura ! Oui, il pleura, car il sut que Bernadette me voyait vraiment, que ce n’était pas une affabulation. Il devint alors sont plus ardent défenseur, alors qu’il l’avait beaucoup rudoyée jusqu’alors !
Venez à Lourdes !
Je vous y donnerai de nombreuses grâces. J’y guéris depuis plus d’un siècle de nombreux malades. Oh, mes enfants, je vous reconnaîtrai parmi tous et mon Cœur bondira de Joie quand je vous y verrai ! Là, vous viendrez vous laver dans l’eau de la source que j’ai fait faillir sous les doigts de Bernadette et qui coule encore depuis 1858. Oui, elle coule encore et l’on peut y être plongé !
Vous irez ensuite voir le corps de ma petite privilégiée à Nevers, car Sainte Bernadette, après m’avoir vu 18 fois, devint religieuse et fut envoyée dans une congrégation dans cette ville. Là, elle vécut dans l’humilité totale et y mourut.
Cependant, lorsqu’on ouvrit sa tombe 50 ans plus tard, pour voir l’état de son corps, on s’aperçut qu’il était intact. Oui, Dieu a permis ce miracle pour que vous croyiez ! Allez contempler le visage de celle qui m’a vue !
Allez ensuite, mes chers enfants, à Paris, dans le 7ème arrondissement, au lieu dit « la médaille miraculeuse » rue du Bac. Là, vous verrez des hommes et des femmes de tous pays : européens, africains, asiatiques. Là, vous recevrez tant de grâces !
Là, je suis venue pour apporter cette médaille qui est appelée « médaille miraculeuse », parce qu’elle a fait des milliers de miracles. C’est moi-même qui ai indiqué ce qu’il fallait frapper sur cette médaille.
Je l’ai demandé à une religieuse qui s’appelait « sœur Catherine Labouré ». Je lui ai parlé de la France. Je lui ai demandé de prier pour ce pays que j’aime tant. Je lui ai dit que la médaille protégerait tous ceux qui la porteraient, et elle l’a fait, et elle le fait toujours.
Ma petite sœur Catherine Labouré n’a jamais dit, à aucune des religieuses, qu’elle me voyait, car je lui avais demandé de n’en parler qu’à son confesseur qui ne la croyait pas et qui ne voulait pas faire frapper la médaille que je demandais. Catherine souffrit beaucoup et pendant de longues années. On la méprisa.
Ce n’est que quelques jours avant sa mort qu’elle révéla à sa supérieure les apparitions dont elle avait été gratifiée. Elle le lui dit, car ce que j’avais demandé n’était pas encore complètement réalisé. La médaille avait été frappée, car le confesseur de sœur Catherine avait fini par croire sa confidente et cette médaille avait fait tout de suite des milliers de miracles, d’où le nom qu’on lui donna. Mais, tout n’avait pas été réalisé : j’avais demandé aussi qu’on érige à mon intention une statue où je tenais dans ma main le monde, pour l’offrir à Dieu.
Catherine mourut et ma dernière demande fut exaucée.
Le corps de celle qui est Sainte Catherine ne se décomposa jamais et vous pourrez voir, à Paris, dans la chapelle de la médaille miraculeuse, ses yeux magnifiquement bleus qui frappaient tous ceux qu’elle rencontrait. Portez, portez ma médaille. Elle vous protégera, vous instruira, vous sauvera de mille maux.
Je suis aussi apparue à Pontmain, au nord-ouest de la France, à des enfants, dans la nuit au milieu des étoiles. Ils ont lu ensemble les mots qui se sont inscrits autour de ma Vision !
« Priez, priez mes enfants, mon Fils, se laisse toucher. » Ce message est aussi pour vos enfants. Le Père a besoin des prières des petits et des tout-petits.
Pontmain est un lieu privilégié d’Amour pour les enfants et de supplication, afin qu’ils nous aident à sauver l’humanité. Là, aucun adulte ne vit mon apparition. Seuls les enfants eurent cette extrême grâce de lire dans le ciel ce que la main de Dieu écrivait.
Ces faits sont vrais. Mon apparition et les prières que les enfants m’adressèrent sauvèrent alors la France de l’arrivée des prussiens, comme aujourd’hui je veux sauver la France de l’emprise de Satan et en faire le pays de la joie et de la Paix.
Mon pays de préférence et la France, car il est le pays de préférence de mon Dieu. Et vous voyez que c’est ce pays qui vous a accueillis. Malgré ses fautes quelquefois à votre égard, vous y vivez. Pardonnez-lui, car votre Dieu vous le demande, devenez français et chrétiens, entrez complètement dans nos cœurs pour sauver le monde !
Oh, mes enfants, croyez, croyez que je suis envoyée par Dieu pour vous, dans un amour de compassion extrême et dans une grande confiance, je vous appelle, je vous appelle, Dieu me le demande !
Il y a encore de très nombreux lieux où je suis apparue en France, aussi bien dans le nord que dans le sud. Cherchez-les et venez, venez me voir dans ces lieux privilégiés où je vous donnerai beaucoup de grâces ! Le temps est venu où le règne de l’immaculée conception va pénétrer vos cœurs et rendre à Dieu Trinité sa véritable place. Le temps est venu de la Joie !
Je viens aujourd’hui, je parle, je supplie, l’implore ! Priez, priez, priez, car la terre est devenue la proie de Satan ! S’il n’y a pas assez d’âmes qui prient, la terre sera dévastée ! Les épidémies, les maladies de toutes sortes, les guerres en feront un cloaque de détresse. Mes enfants, m’entendrez-vous ?
Et si ce n’était que la terre ! Mais les âmes, les âmes qui vivront éternellement, les âmes de mes enfants qui ne se seront pas converties, iront en enfer pour l’éternité.
Et c’est cela qui, plus que tout, désole votre maman et la très Sainte Trinité. C’est cela qui pousse votre Dieu à m’envoyer encore, par les faibles mains de mon aimée, pour vous dire de vous convertir, car, en vous convertissant au Christ dans la religion dite catholique, vous vous sauverez vous-mêmes et sauverez avec vous des milliers d’âmes !
Le temps est venu, mes aimés le temps est venu ! Ne prenez pas les choses à la légère ne pensez pas qu’il reste beaucoup de temps pour chercher et entrer dans la Vérité toute entière.
Non, il ne reste pas beaucoup de temps, car vous voyez ce qui se passe aujourd’hui sur votre terre ; les lois iniques, l’oubli des lois Saintes, vont désoler la terre ! Les erreurs de religion vont séparer les hommes, alors qu’ils sont faits pour s’aimer et nous louer.
La religion musulmane qui vous a aidés à vous élever vers votre Dieu, n’est cependant pas la vraie religion, car elle se trompe en de nombreux points. Moi, votre Maman, je viens du Ciel vous le dire. N’ayez pas peur de voir la vérité, car la vérité vous rendra Libres et Joyeux !
N’ayez pas peur ! Ce qui est vrai est vrai. Vous saurez d’une manière certaine que vous ne vous trompez pas, car vous ressentirez la Joie et la Paix qui sont les marques du Royaume de Dieu en vous.
Votre Maman du Ciel vient vous suppliez et vous bénit.
La suite un autre jour
sylvia- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 6068
Date d'inscription : 06/02/2011
Re: Vierge Marie : Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles ! (Monique Marie)
Merci Sylvia !
Quels merveilleux messages !
Je le dis sans aucune gêne : ils m'ont fait pleuré.
Nous attendons la suite avec impatience.
Quels merveilleux messages !
Je le dis sans aucune gêne : ils m'ont fait pleuré.
Nous attendons la suite avec impatience.
Invité- Invité
Votre Dieu est uniquement dans les églises Catholiques pas dans les temples protestants
Votre Dieu est uniquement dans les églises Catholiques. Il faut me chercher dans les églises Catholiques. ... car Je suis uniquement dans les églises et je ne suis pas dans les temples protestants.
Le même jour, 7 heures du matin.
Vous rentrerez dans les églises, mes chers enfants, vous y entrerez. Non pas dans n’importe quel édifice, car Je suis uniquement dans les églises et je ne suis pas dans les temples protestants.
Votre Dieu est uniquement dans les églises Catholiques. Il faut me chercher dans les églises Catholiques. Il faut me chercher, mes enfants, car je vous cherche, moi, depuis tant de temps et il me tarde de vous voir enfin franchir les portes de Ma Maison !
Oh, ma Joie quand je vous y verrai !
Ici, maintenant cependant, je dois vous faire des confidences qui brisent mon Cœur.
Dans certaines de mes Maisons, de mes Églises, alors que je suis réellement présent dans le Saint-Tabernacle en mon Fils Jésus-Christ, caché dans l’Hostie Sainte, vous ne trouverez pas toujours ce que vous devriez y trouvez !
Vous devriez y trouver l’extrême respect de ma Présence, une Adoration constante, des gestes d’Amour et de Crainte de Dieu. Mais beaucoup de mes enfants chrétiens n’ont plus reçu ma Parole. On les a trompés, on les a sevrés de ma Réalité.
Depuis plus de 50 ans, on ne leur parle plus de Moi.
Ils entrent dans les églises, sans plus savoir que j’y suis. Ils y parlent, y viennent en visiteurs, y admirent l’architecture, les vitraux, les splendeurs que j’ai inspirées aux peintres, aux architectes, aux sculpteurs, mais ils ne viennent pas me visiter, si bien qu’ils passent à côté de moi, leur Dieu, sans me voir !
Ils ne savent pas ! Ils ne savent plus ! C’est pourquoi j’ai pitié d’eux.
Quelques-uns encore heureusement me connaissent et vous trouverez des âmes ferventes agenouillées, en adoration devant ma Face, et vous saurez que vous avez là des frères et des sœurs. C’est vers elles qu’il faudra que vous alliez. Elles vous guideront, car je parlerai en leurs cœurs pour vous.
Avec ces âmes vous m’honorerez. Vous ne rentrerez jamais dans une église sans m’avoir à l’entrée longuement adoré, dans une prosternation d’Amour et de ferveur. Puis vous connaîtrez la Messe où je me donne par mon Fils bien-aimé et votre Joie sera complète. Vous ne serez pas séparés de vos frères encore musulmans, car vous prierez intensément pour eux, et très vite, beaucoup d’entre eux se convertiront, car leur prière attire la Vérité qui vient à eux.
Vos visites dans ma Sainte Église Catholique, Sainte non pas aujourd’hui par tous ceux qui la fréquentent, mais Sainte par ma Présence en mon Fils, vos visites qui réjouiront mon Cœur, interrogeront ceux qui vous y verront, car vous m’honorerez entièrement, vous ne serez distraits par rien, vous viendrez uniquement pour Moi, vous me regarderez, vous me louerez, mous me chanterez en vos âmes, vous me remercierez, vous serez entièrement tournés vers moi, votre corps tout entier en adoration. Et cela mes pauvres enfants si éloignés de moi le verront. Et leurs âmes seront bouleversées et ainsi, peu à peu, comprendront-ils que JE SUIS là.
C’est une œuvre de miséricorde que je vous demande. C’est une œuvre de réparation. C’est aussi une œuvre d’enseignement, car vos tenues respectables, vos vêtements décents, rappelleront aux éloignés, que l’église n’est pas un lieu ordinaire, qu’on ne peut s’y présenter n’importe comment ! Peu à peu, ce respect leur inspirera ce qu’on ne leur a plus enseigné : la Crainte de Dieu.
Mais, mes enfants, quelle joie vous aurez, quand vous serez près de mon cher Fils ! Quelle Joie ! Vous ne pourrez plus vous passez d’y venir. Vous y serez attirés irrésistiblement, comme par un aimant d’Amour et de Feu qui vous appellera sans cesse, et vous chercherez, partout où vous serez, une église. Et vous y rentrerez, poussés par l’Amour, poussés par la reconnaissance et vous ne voudrez pas qu’elle devienne une mosquée, parce que vous saurez définitivement qu’elle est ma Présence-même et que rien ne peut lui être comparé !
Peu à peu vous découvrirez aussi que des Chrétiens que vous ne connaissiez pas m’honorent, m’aiment et donnent leur vie pour moi. Dans certaines églises vous trouverez une ferveur extraordinaire, et dans certaines autres, une adoration constante. Vous serez heureux, car vous les reconnaîtrez vos frères.
Votre Dieu d’Amour en Trois Personnes.
(apparitions mariales)
Le même jour, 7 heures du matin.
Vous rentrerez dans les églises, mes chers enfants, vous y entrerez. Non pas dans n’importe quel édifice, car Je suis uniquement dans les églises et je ne suis pas dans les temples protestants.
Votre Dieu est uniquement dans les églises Catholiques. Il faut me chercher dans les églises Catholiques. Il faut me chercher, mes enfants, car je vous cherche, moi, depuis tant de temps et il me tarde de vous voir enfin franchir les portes de Ma Maison !
Oh, ma Joie quand je vous y verrai !
Ici, maintenant cependant, je dois vous faire des confidences qui brisent mon Cœur.
Dans certaines de mes Maisons, de mes Églises, alors que je suis réellement présent dans le Saint-Tabernacle en mon Fils Jésus-Christ, caché dans l’Hostie Sainte, vous ne trouverez pas toujours ce que vous devriez y trouvez !
Vous devriez y trouver l’extrême respect de ma Présence, une Adoration constante, des gestes d’Amour et de Crainte de Dieu. Mais beaucoup de mes enfants chrétiens n’ont plus reçu ma Parole. On les a trompés, on les a sevrés de ma Réalité.
Depuis plus de 50 ans, on ne leur parle plus de Moi.
Ils entrent dans les églises, sans plus savoir que j’y suis. Ils y parlent, y viennent en visiteurs, y admirent l’architecture, les vitraux, les splendeurs que j’ai inspirées aux peintres, aux architectes, aux sculpteurs, mais ils ne viennent pas me visiter, si bien qu’ils passent à côté de moi, leur Dieu, sans me voir !
Ils ne savent pas ! Ils ne savent plus ! C’est pourquoi j’ai pitié d’eux.
Quelques-uns encore heureusement me connaissent et vous trouverez des âmes ferventes agenouillées, en adoration devant ma Face, et vous saurez que vous avez là des frères et des sœurs. C’est vers elles qu’il faudra que vous alliez. Elles vous guideront, car je parlerai en leurs cœurs pour vous.
Avec ces âmes vous m’honorerez. Vous ne rentrerez jamais dans une église sans m’avoir à l’entrée longuement adoré, dans une prosternation d’Amour et de ferveur. Puis vous connaîtrez la Messe où je me donne par mon Fils bien-aimé et votre Joie sera complète. Vous ne serez pas séparés de vos frères encore musulmans, car vous prierez intensément pour eux, et très vite, beaucoup d’entre eux se convertiront, car leur prière attire la Vérité qui vient à eux.
Vos visites dans ma Sainte Église Catholique, Sainte non pas aujourd’hui par tous ceux qui la fréquentent, mais Sainte par ma Présence en mon Fils, vos visites qui réjouiront mon Cœur, interrogeront ceux qui vous y verront, car vous m’honorerez entièrement, vous ne serez distraits par rien, vous viendrez uniquement pour Moi, vous me regarderez, vous me louerez, mous me chanterez en vos âmes, vous me remercierez, vous serez entièrement tournés vers moi, votre corps tout entier en adoration. Et cela mes pauvres enfants si éloignés de moi le verront. Et leurs âmes seront bouleversées et ainsi, peu à peu, comprendront-ils que JE SUIS là.
C’est une œuvre de miséricorde que je vous demande. C’est une œuvre de réparation. C’est aussi une œuvre d’enseignement, car vos tenues respectables, vos vêtements décents, rappelleront aux éloignés, que l’église n’est pas un lieu ordinaire, qu’on ne peut s’y présenter n’importe comment ! Peu à peu, ce respect leur inspirera ce qu’on ne leur a plus enseigné : la Crainte de Dieu.
Mais, mes enfants, quelle joie vous aurez, quand vous serez près de mon cher Fils ! Quelle Joie ! Vous ne pourrez plus vous passez d’y venir. Vous y serez attirés irrésistiblement, comme par un aimant d’Amour et de Feu qui vous appellera sans cesse, et vous chercherez, partout où vous serez, une église. Et vous y rentrerez, poussés par l’Amour, poussés par la reconnaissance et vous ne voudrez pas qu’elle devienne une mosquée, parce que vous saurez définitivement qu’elle est ma Présence-même et que rien ne peut lui être comparé !
Peu à peu vous découvrirez aussi que des Chrétiens que vous ne connaissiez pas m’honorent, m’aiment et donnent leur vie pour moi. Dans certaines églises vous trouverez une ferveur extraordinaire, et dans certaines autres, une adoration constante. Vous serez heureux, car vous les reconnaîtrez vos frères.
Votre Dieu d’Amour en Trois Personnes.
(apparitions mariales)
sylvia- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 6068
Date d'inscription : 06/02/2011
Maintenant, ô mon peuple musulman, mon Fils lui-même vous enseigne
Maintenant, ô mon peuple musulman, mon Fils lui-même vous enseigne :
O mes chères âmes !
Enfin, enfin est venu le temps où vous pouvez nous écouter et comprendre le grand Mystère de la Sainte Trinité, le grand Mystère de l’Incarnation de votre Dieu en ma personne, sur la terre d’Israël en l’an I, à Bethléem de Judée, dans une simple grotte, plus pauvre que pauvre, pauvre au milieu des pauvres, tout petit, innocent, déjà pourchassé par la méchanceté des hommes, par la haine des grands, et devant être emmené dans les bras de ma Sainte Mère, en pleine nuit, dans le froid et la peur, fuyant la persécution d’Hérode qui veut me tuer, fuyant, grâce à Joseph qui a reçu la nuit même la visite de l’archange qui l’a prévenu.
Oui, c’est moi d’abord qui commence à vous parler. Oui, je suis un enfant pourchassé que ma mère serre dans la nuit, dans le froid de décembre. La route est si sombre, on ne voit rien. Joseph, le chaste époux de la Vierge, cherche le chemin. Il n’y en a pas. Chaque pas est un danger et chaque bruit, l’arrivée probable des soldats. Ma Mère pleure, mais ne le montre pas, elle essuie furtivement ses larmes…
Où iront-ils dans cette nuit ? Vers quel abri ? Où diriger leurs pas ? Qui prendra soin du Fils de Dieu ? Qui l’empêchera de mourir à peine né ?
Marie prie, ma Très Sainte Mère ne cesse de prier et c’est moi, cahoté sur cet âne, sentant derrière moi déjà la haine qui me cherche, ressentant déjà tout le mal qui me crucifiera sur la croix, moi, si petit enfant qui ne pleure pas, mais qui sanglote en mon âme des larmes invisibles de ma Mère.
Oui, c’est moi, ce tout petit enfant dans le froid de décembre qui vient vous parler, celui même qui sera crucifié et qui le suis déjà, à peine né, qui viens vous supplier de m’écouter.
Je suis Dieu, oui, Incarné !
Acceptez ce mystère insondable, indicible, qu’aucun raisonnement humain ne peut comprendre. Et parce qu’aucun raisonnement humain ne peut l’admettre, ni l’envisager, ni le démontrer, sachez, sachez d’une manière certaine qu’il est vrai !
Car Dieu est le tout autre, CELUI DONT NUL HOMME NE PEUT SONDER LA PENSÉE.
Si vous compreniez Dieu, alors vous seriez vous-mêmes Dieu. Il y a – et c’est cela qui est une preuve – le Mystère, le Mystère inouï de l’incarnation que nul croyant, même le plus sincère, ne peut expliquer raisonnablement. Non, il ne l’explique pas. Il tombe prosterné parce qu’il sent que ce mystère dépasse toutes les pensées humaines, qu’il dépasse tout ce qui aurait pu être imaginé par l’homme en ce qui concerne Dieu !
Non, ce Mystère dépasse tout ! Et c’est pour cela qu’il est Vrai, qu’il est la réalité de votre Dieu qui dépasse tout.
Jusqu’ici vous n’avez pas pu l’admettre parce que vous cherchiez à l’expliquer, à le raisonner. Mais justement,
il ne se raisonne pas,
il ne se comprend pas.
Il s’accueille, il se donne,
il s’impose à l’âme priante et aimante.
Il la comble de Joie.
Il s’engouffre en elle, pour ne plus en sortir, car il est inimaginable !
Il est le projet de votre Dieu ! Projet d’Amour au-delà de tout projet, projet de folie d’Amour au-delà de toute pensée humaine, projet de feu, projet de pur Amour.
Jésus,
Votre Doux Ami,
Vrai Dieu, Vrai Homme
(apparitions mariales).
O mes chères âmes !
Enfin, enfin est venu le temps où vous pouvez nous écouter et comprendre le grand Mystère de la Sainte Trinité, le grand Mystère de l’Incarnation de votre Dieu en ma personne, sur la terre d’Israël en l’an I, à Bethléem de Judée, dans une simple grotte, plus pauvre que pauvre, pauvre au milieu des pauvres, tout petit, innocent, déjà pourchassé par la méchanceté des hommes, par la haine des grands, et devant être emmené dans les bras de ma Sainte Mère, en pleine nuit, dans le froid et la peur, fuyant la persécution d’Hérode qui veut me tuer, fuyant, grâce à Joseph qui a reçu la nuit même la visite de l’archange qui l’a prévenu.
Oui, c’est moi d’abord qui commence à vous parler. Oui, je suis un enfant pourchassé que ma mère serre dans la nuit, dans le froid de décembre. La route est si sombre, on ne voit rien. Joseph, le chaste époux de la Vierge, cherche le chemin. Il n’y en a pas. Chaque pas est un danger et chaque bruit, l’arrivée probable des soldats. Ma Mère pleure, mais ne le montre pas, elle essuie furtivement ses larmes…
Où iront-ils dans cette nuit ? Vers quel abri ? Où diriger leurs pas ? Qui prendra soin du Fils de Dieu ? Qui l’empêchera de mourir à peine né ?
Marie prie, ma Très Sainte Mère ne cesse de prier et c’est moi, cahoté sur cet âne, sentant derrière moi déjà la haine qui me cherche, ressentant déjà tout le mal qui me crucifiera sur la croix, moi, si petit enfant qui ne pleure pas, mais qui sanglote en mon âme des larmes invisibles de ma Mère.
Oui, c’est moi, ce tout petit enfant dans le froid de décembre qui vient vous parler, celui même qui sera crucifié et qui le suis déjà, à peine né, qui viens vous supplier de m’écouter.
Je suis Dieu, oui, Incarné !
Acceptez ce mystère insondable, indicible, qu’aucun raisonnement humain ne peut comprendre. Et parce qu’aucun raisonnement humain ne peut l’admettre, ni l’envisager, ni le démontrer, sachez, sachez d’une manière certaine qu’il est vrai !
Car Dieu est le tout autre, CELUI DONT NUL HOMME NE PEUT SONDER LA PENSÉE.
Si vous compreniez Dieu, alors vous seriez vous-mêmes Dieu. Il y a – et c’est cela qui est une preuve – le Mystère, le Mystère inouï de l’incarnation que nul croyant, même le plus sincère, ne peut expliquer raisonnablement. Non, il ne l’explique pas. Il tombe prosterné parce qu’il sent que ce mystère dépasse toutes les pensées humaines, qu’il dépasse tout ce qui aurait pu être imaginé par l’homme en ce qui concerne Dieu !
Non, ce Mystère dépasse tout ! Et c’est pour cela qu’il est Vrai, qu’il est la réalité de votre Dieu qui dépasse tout.
Jusqu’ici vous n’avez pas pu l’admettre parce que vous cherchiez à l’expliquer, à le raisonner. Mais justement,
il ne se raisonne pas,
il ne se comprend pas.
Il s’accueille, il se donne,
il s’impose à l’âme priante et aimante.
Il la comble de Joie.
Il s’engouffre en elle, pour ne plus en sortir, car il est inimaginable !
Il est le projet de votre Dieu ! Projet d’Amour au-delà de tout projet, projet de folie d’Amour au-delà de toute pensée humaine, projet de feu, projet de pur Amour.
Jésus,
Votre Doux Ami,
Vrai Dieu, Vrai Homme
(apparitions mariales).
sylvia- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 6068
Date d'inscription : 06/02/2011
Re: Vierge Marie : Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles ! (Monique Marie)
Encore merci à vous Sylvia !
Sylvia a écrit:Vos visites dans ma Sainte Église Catholique, Sainte non pas aujourd’hui par tous ceux qui la fréquentent, mais Sainte par ma Présence en mon Fils, vos visites qui réjouiront mon Cœur, interrogeront ceux qui vous y verront, car vous m’honorerez entièrement, vous ne serez distraits par rien, vous viendrez uniquement pour Moi, vous me regarderez, vous me louerez, mous me chanterez en vos âmes, vous me remercierez, vous serez entièrement tournés vers moi, votre corps tout entier en adoration. Et cela mes pauvres enfants si éloignés de moi le verront. Et leurs âmes seront bouleversées et ainsi, peu à peu, comprendront-ils que JE SUIS là.
C’est une œuvre de miséricorde que je vous demande. C’est une œuvre de réparation. C’est aussi une œuvre d’enseignement, car vos tenues respectables, vos vêtements décents, rappelleront aux éloignés, que l’église n’est pas un lieu ordinaire, qu’on ne peut s’y présenter n’importe comment ! Peu à peu, ce respect leur inspirera ce qu’on ne leur a plus enseigné : la Crainte de Dieu.
Et si ces femmes musulmanes, tellement nombreuses dans nos pays européens, venaient redonner à nos églises, de plus en plus désespérément vides, leur véritable sens ... Bénis sois-Tu Seigneur !
Invité- Invité
Re: Vierge Marie : Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles ! (Monique Marie)
@ Tous :
L'on sait que l'islam est un système religieux qui a pour objectif la domination du prochain et qu'il est d'une violence inouïe !
Néanmoins, l'on voit chez les femmes musulmanes une pudeur admirable que l'on ne retrouve plus chez nos femmes occidentales décadentes, fornicatrices et exhibitionnistes !
Je vais vous faire un aveu, ici, sur VSJ : J'AIME LE VOILE - J'AIME LES FEMMES VOILÉES !
En effet, cela redonne à la femme une dignité, une innocence, une pureté qu'elle a depuis longtemps perdue !
Pourquoi pensez-vous que la Vierge Marie, qui est la Mère de l'Humanité et le Modèle par excellence à suivre, porte TOUJOURS un voile quand elle apparaît à des voyants ?
L'Administrateur
L'on sait que l'islam est un système religieux qui a pour objectif la domination du prochain et qu'il est d'une violence inouïe !
Néanmoins, l'on voit chez les femmes musulmanes une pudeur admirable que l'on ne retrouve plus chez nos femmes occidentales décadentes, fornicatrices et exhibitionnistes !
Je vais vous faire un aveu, ici, sur VSJ : J'AIME LE VOILE - J'AIME LES FEMMES VOILÉES !
En effet, cela redonne à la femme une dignité, une innocence, une pureté qu'elle a depuis longtemps perdue !
Pourquoi pensez-vous que la Vierge Marie, qui est la Mère de l'Humanité et le Modèle par excellence à suivre, porte TOUJOURS un voile quand elle apparaît à des voyants ?
L'Administrateur
_________________
"Le garant de ces révélations l'affirme :
"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"
Apocalypse, 22, 20
*Venez prier et adorer en direct sur le Forum VSJ via le Web* :
http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/
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