BENOIT DE NURSI FETE DEUX FOIS LE 21 MARS ET 11 JUILLET
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BENOIT DE NURSI FETE DEUX FOIS LE 21 MARS ET 11 JUILLET
/07 /2010 23:49
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Benoit de Nursie:Saint fêté deux fois dans l'année (21 mars-11 juillet)
L’ensemble de la communauté bénédictine fête le 11 juillet, son fondateur Saint Benoît de Nursie.
Né vers 380 dans une très bonne famille libre de la province de Nursie (Ombrie méridionale), ses parents l'envoyèrent à Rome perfectionner ses études de grammaire et de rhétorique. Mais il s’aperçut que c’était l’occasion pour beaucoup de tomber dans l’abîme des vices : aussi craignant de se pervertir au contact des mauvais exemples que donnaient ses condisciples, il se retira dans la solitude, savamment ignorant et sagement inculte. Son intimité poussée à l'extrême avec le Seigneur fait que sa vie fut une suite d'évènements où le miracle se mêle au quotidien. Il y aurait tant à conter le concernant qu'il n'est point ici question de tous les mentionner. Nous n'en relaterons que quelques uns.
I - Le vase brisé.
Dans son choix de solitude, sa nourrice qui l’aimait passionnément fut seule à le suivre.
Ils séjournèrent dans l’église saint Pierre. La nourrice avait emprunté un crible pour purifier le grain, elle le laissa imprudemment sur la table : il tomba et se brisa en deux ! La nourrice se mit à pleurer à chaudes larmes. Benoît, ému de compassion, emporta les morceaux du crible et se mit à prier en pleurant. Sa prière achevée, il se releva et découvrit à ses côtés le vase en bon état au point qu’on ne pouvait y voir aucune trace de l’accident.
La chose fut connue de tout le monde dans le pays et elle suscita une telle admiration que les gens du coin accrochèrent l'objet à l’entrée de l’église et pendant bien des années, l’objet demeura là.
Mais Benoît, désireux de fuir les louanges, quitta sa nourrice en secret et gagna une retraite située dans un lieu désert appelé Subiaco à quelques 40 milles de Rome.
Parvenu à cet endroit, un moine, du nom de Romain le découvrit et ayant pris connaissance de son désir, il en garda le secret, et lui accorda son aide. Lui donnant l’habit de sainte vie, Romain lui rendit tous les services qu’il était en droit de lui rendre. L’homme de Dieu, gagna une grotte très exiguë où, pendant trois ans, il demeura inconnu des hommes, à l’exception du moine Romain qui vivant non loin de là dans un monastère sous la règle du Père Adéodat dérobait pieusement des heures aux yeux de son Père, et le pain qu’il pouvait soustraire à sa propre portion, et le portait, certains jours, à Benoît.,
Il n’y avait pas de chemin de la grotte au monastère de Romain, Ce dernier, en se mettant du haut d’un rocher très élevé qui surplombait la grotte, descendait le pain à l’aide d’une très longue corde munie d’une petite clochette afin que l’homme de Dieu soit averti. Cependant, l’antique ennemi, jaloux de la charité de l’un et du repas de l’autre, un jour tandis qu’on faisait descendre le pain, il jeta une pierre et brisa la sonnette. Romain cependant continua à le servir en usant de moyens adéquats.
Mais le Dieu Tout-Puissant leur vint aide : Il apparut en vision à un prêtre qui demeurait un peu plus loin et Il lui dit : " Toi, tu te prépares un délice et mon serviteur, en ce lieu, est torturé par la faim ". Le prêtre se leva aussitôt, en cette solennité de Pâques, avec les aliments qu’il s’était préparés. Il se dirigea vers l’endroit et se mit en quête du serviteur de Dieu qu’après bien des périples, il trouva enfin caché dans la grotte.
La prière faite et après avoir béni le Seigneur, ils s’assirent et ils échangèrent sur la Vie. Après quoi, le prêtre qui était venu dit : " Lève-toi et prenons de la nourriture car c’est Pâques aujourd’hui ". Puis, ayant achevé le repas et l’entretien, le prêtre revint à l’église.
A la même époque, des bergers aussi le trouvèrent, et le voyant couvert de peaux au milieu des fourrés, ils crurent que c’était une bête féroce. Puis reconnurent en lui un serviteur de Dieu. Beaucoup d’entre eux passèrent d’une mentalité bestiale à la grâce de la piété. Aussi son nom fut connu dans tout le voisinage, et à partir de ce moment-là, beaucoup se mirent à le fréquenter : on lui apportait de la nourriture pour le corps, et on remportait, sortis de sa bouche, des aliments pour son propre cœur.
II - La tentation
Un jour, alors qu'il était seul, le tentateur se trouva là. Un merle, se mit à voleter autour de sa tête et à insister près de son visage à tel point qu'on pouvait le prendre à la main, si du moins le saint homme avait voulu le saisir. Mais, sur un signe de croix, l'oiseau s'en alla. Cependant, l'oiseau parti, il s'ensuivit une telle tentation de la chair que jamais l'homme de Dieu n'en avait connu de si grande. En effet, il avait vu une certaine femme autrefois que l'esprit malin lui ramena devant les yeux de l'âme et la beauté de celle-ci alluma un si grand feu dans l'esprit du serviteur de Dieu que la flamme de l'amour pouvait à peine se contenir dans sa poitrine, et déjà, presque vaincu par la volupté, il songeait quitter le désert.
Mais, bien vite, sous le regard de la grâce d'en haut, il revint à lui-même et, avisant tout près de lui un fourré épais d'orties et de ronces, il se dépouilla de son vêtement et se jeta tout nu au milieu de ces épines acérées et dans le feu des orties : s'y étant roulé longtemps, il en sortit le corps tout meurtri et grâce à ces blessures de la peau, il fit sortir de sa chair la blessure de l'âme, car la volupté se traduisit en douleur ; en souffrant d'une brûlure externe, il éteignit celle qui le consumait illicitement à l'intérieur.
A partir de ce moment-là, et il en témoignait lui-même à ses disciples, la tentation de la volupté fut à ce point domptée en lui qu'il ne ressentit plus jamais rien de tel.
III - Le vase de verre brisé par un signe de Croix.
Bien qu'il vécût en ermite, sa renommée de sainteté ne tarda pas à s'étendre.
En effet, il vivait depuis trois ans dans la pénitence et la prière lorsque les moines de Vicovaro, dont l'abbé venait de mourir, lui demandèrent de venir diriger leur communauté.
Pendant longtemps il différa de leur donner satisfaction en leur opposant son refus et en leur prédisant qu'il ne pourrait s'accommoder de leurs mœurs ni de celles de leurs frères ; mais un jour enfin, vaincu par leurs prières, il leur donna son assentiment.
Néanmoins, comme il prenait garde à la vie régulière dans le monastère et qu'il n'accordait à personne de poser des actes illicites en déviant du droit chemin, les frères ainsi repris, devenus fous de colère, s'appliquèrent à rechercher ensemble un bon moyen pour le faire mourir.
Ils mélangèrent du poison au vin et présentèrent le récipient de verre contenant ce funeste breuvage au père qui se mettait à table afin qu'il le bénisse selon la coutume du monastère. Benoît étendant la main fit un signe de croix et le récipient qui était tenu à distance se brisa à ce signe. Benoît comprit tout de suite, et, se levant aussitôt, avec un visage placide et un esprit tranquille, il s'adressa aux frères, les admonesta et s'en retourna vivre dans la solitude.
Et, seul sous le regard de Celui qui voit d'en-haut, il habita avec lui-même parce qu'il veillait sans cesse à sa propre garde, se voyait toujours sous les yeux de son Créateur, s'examinait sans cesse lui-même et ainsi il n'a pas avili le regard de son âme en le promenant partout à l'extérieur de lui-même.
Comme dans cette solitude, le saint homme croissait en vertus et en miracles, beaucoup attirés par lui, se rassemblèrent en ce lieu en vue de servir le Dieu Tout-puissant. Rapidement, quelques nobles et pieuses personnes de la ville de Rome se mirent à converger aussi vers Benoît et à lui confier leurs fils pour qu'ils soient nourris sous les auspices du Seigneur Tout-puissant. C'est à ce moment-là qu'Euthicius confia son fils Maur et le patricien Tertullus, son fils Placide: des enfants pleins d'espoir. Le jeune Maur, déjà fort d'une bonne éducation, commença à être un auxiliaire pour son Maître, tandis que Placide avait encore l'âge et le tempérament d'un enfant.
Suivant l'exemple de St. Pacôme le grand, fondateur de la vie monastique à Tabenna, il créa dans la vallée de l'Aniene douze petits monastères dans lesquels il installa ses disciples sous la direction d'un chef, mais il en garda quelques-uns avec lui, jugeant que sa présence était encore nécessaire pour leur formation. Ces monastères ont tous été détruits au cours des années, à l'exception d'un, l'actuel monastère de Sainte Scholastique.
Par monSeigneur et monDieu -
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Benoit de Nursie:Saint fêté deux fois dans l'année (21 mars-11 juillet)
L’ensemble de la communauté bénédictine fête le 11 juillet, son fondateur Saint Benoît de Nursie.
Né vers 380 dans une très bonne famille libre de la province de Nursie (Ombrie méridionale), ses parents l'envoyèrent à Rome perfectionner ses études de grammaire et de rhétorique. Mais il s’aperçut que c’était l’occasion pour beaucoup de tomber dans l’abîme des vices : aussi craignant de se pervertir au contact des mauvais exemples que donnaient ses condisciples, il se retira dans la solitude, savamment ignorant et sagement inculte. Son intimité poussée à l'extrême avec le Seigneur fait que sa vie fut une suite d'évènements où le miracle se mêle au quotidien. Il y aurait tant à conter le concernant qu'il n'est point ici question de tous les mentionner. Nous n'en relaterons que quelques uns.
I - Le vase brisé.
Dans son choix de solitude, sa nourrice qui l’aimait passionnément fut seule à le suivre.
Ils séjournèrent dans l’église saint Pierre. La nourrice avait emprunté un crible pour purifier le grain, elle le laissa imprudemment sur la table : il tomba et se brisa en deux ! La nourrice se mit à pleurer à chaudes larmes. Benoît, ému de compassion, emporta les morceaux du crible et se mit à prier en pleurant. Sa prière achevée, il se releva et découvrit à ses côtés le vase en bon état au point qu’on ne pouvait y voir aucune trace de l’accident.
La chose fut connue de tout le monde dans le pays et elle suscita une telle admiration que les gens du coin accrochèrent l'objet à l’entrée de l’église et pendant bien des années, l’objet demeura là.
Mais Benoît, désireux de fuir les louanges, quitta sa nourrice en secret et gagna une retraite située dans un lieu désert appelé Subiaco à quelques 40 milles de Rome.
Parvenu à cet endroit, un moine, du nom de Romain le découvrit et ayant pris connaissance de son désir, il en garda le secret, et lui accorda son aide. Lui donnant l’habit de sainte vie, Romain lui rendit tous les services qu’il était en droit de lui rendre. L’homme de Dieu, gagna une grotte très exiguë où, pendant trois ans, il demeura inconnu des hommes, à l’exception du moine Romain qui vivant non loin de là dans un monastère sous la règle du Père Adéodat dérobait pieusement des heures aux yeux de son Père, et le pain qu’il pouvait soustraire à sa propre portion, et le portait, certains jours, à Benoît.,
Il n’y avait pas de chemin de la grotte au monastère de Romain, Ce dernier, en se mettant du haut d’un rocher très élevé qui surplombait la grotte, descendait le pain à l’aide d’une très longue corde munie d’une petite clochette afin que l’homme de Dieu soit averti. Cependant, l’antique ennemi, jaloux de la charité de l’un et du repas de l’autre, un jour tandis qu’on faisait descendre le pain, il jeta une pierre et brisa la sonnette. Romain cependant continua à le servir en usant de moyens adéquats.
Mais le Dieu Tout-Puissant leur vint aide : Il apparut en vision à un prêtre qui demeurait un peu plus loin et Il lui dit : " Toi, tu te prépares un délice et mon serviteur, en ce lieu, est torturé par la faim ". Le prêtre se leva aussitôt, en cette solennité de Pâques, avec les aliments qu’il s’était préparés. Il se dirigea vers l’endroit et se mit en quête du serviteur de Dieu qu’après bien des périples, il trouva enfin caché dans la grotte.
La prière faite et après avoir béni le Seigneur, ils s’assirent et ils échangèrent sur la Vie. Après quoi, le prêtre qui était venu dit : " Lève-toi et prenons de la nourriture car c’est Pâques aujourd’hui ". Puis, ayant achevé le repas et l’entretien, le prêtre revint à l’église.
A la même époque, des bergers aussi le trouvèrent, et le voyant couvert de peaux au milieu des fourrés, ils crurent que c’était une bête féroce. Puis reconnurent en lui un serviteur de Dieu. Beaucoup d’entre eux passèrent d’une mentalité bestiale à la grâce de la piété. Aussi son nom fut connu dans tout le voisinage, et à partir de ce moment-là, beaucoup se mirent à le fréquenter : on lui apportait de la nourriture pour le corps, et on remportait, sortis de sa bouche, des aliments pour son propre cœur.
II - La tentation
Un jour, alors qu'il était seul, le tentateur se trouva là. Un merle, se mit à voleter autour de sa tête et à insister près de son visage à tel point qu'on pouvait le prendre à la main, si du moins le saint homme avait voulu le saisir. Mais, sur un signe de croix, l'oiseau s'en alla. Cependant, l'oiseau parti, il s'ensuivit une telle tentation de la chair que jamais l'homme de Dieu n'en avait connu de si grande. En effet, il avait vu une certaine femme autrefois que l'esprit malin lui ramena devant les yeux de l'âme et la beauté de celle-ci alluma un si grand feu dans l'esprit du serviteur de Dieu que la flamme de l'amour pouvait à peine se contenir dans sa poitrine, et déjà, presque vaincu par la volupté, il songeait quitter le désert.
Mais, bien vite, sous le regard de la grâce d'en haut, il revint à lui-même et, avisant tout près de lui un fourré épais d'orties et de ronces, il se dépouilla de son vêtement et se jeta tout nu au milieu de ces épines acérées et dans le feu des orties : s'y étant roulé longtemps, il en sortit le corps tout meurtri et grâce à ces blessures de la peau, il fit sortir de sa chair la blessure de l'âme, car la volupté se traduisit en douleur ; en souffrant d'une brûlure externe, il éteignit celle qui le consumait illicitement à l'intérieur.
A partir de ce moment-là, et il en témoignait lui-même à ses disciples, la tentation de la volupté fut à ce point domptée en lui qu'il ne ressentit plus jamais rien de tel.
III - Le vase de verre brisé par un signe de Croix.
Bien qu'il vécût en ermite, sa renommée de sainteté ne tarda pas à s'étendre.
En effet, il vivait depuis trois ans dans la pénitence et la prière lorsque les moines de Vicovaro, dont l'abbé venait de mourir, lui demandèrent de venir diriger leur communauté.
Pendant longtemps il différa de leur donner satisfaction en leur opposant son refus et en leur prédisant qu'il ne pourrait s'accommoder de leurs mœurs ni de celles de leurs frères ; mais un jour enfin, vaincu par leurs prières, il leur donna son assentiment.
Néanmoins, comme il prenait garde à la vie régulière dans le monastère et qu'il n'accordait à personne de poser des actes illicites en déviant du droit chemin, les frères ainsi repris, devenus fous de colère, s'appliquèrent à rechercher ensemble un bon moyen pour le faire mourir.
Ils mélangèrent du poison au vin et présentèrent le récipient de verre contenant ce funeste breuvage au père qui se mettait à table afin qu'il le bénisse selon la coutume du monastère. Benoît étendant la main fit un signe de croix et le récipient qui était tenu à distance se brisa à ce signe. Benoît comprit tout de suite, et, se levant aussitôt, avec un visage placide et un esprit tranquille, il s'adressa aux frères, les admonesta et s'en retourna vivre dans la solitude.
Et, seul sous le regard de Celui qui voit d'en-haut, il habita avec lui-même parce qu'il veillait sans cesse à sa propre garde, se voyait toujours sous les yeux de son Créateur, s'examinait sans cesse lui-même et ainsi il n'a pas avili le regard de son âme en le promenant partout à l'extérieur de lui-même.
Comme dans cette solitude, le saint homme croissait en vertus et en miracles, beaucoup attirés par lui, se rassemblèrent en ce lieu en vue de servir le Dieu Tout-puissant. Rapidement, quelques nobles et pieuses personnes de la ville de Rome se mirent à converger aussi vers Benoît et à lui confier leurs fils pour qu'ils soient nourris sous les auspices du Seigneur Tout-puissant. C'est à ce moment-là qu'Euthicius confia son fils Maur et le patricien Tertullus, son fils Placide: des enfants pleins d'espoir. Le jeune Maur, déjà fort d'une bonne éducation, commença à être un auxiliaire pour son Maître, tandis que Placide avait encore l'âge et le tempérament d'un enfant.
Suivant l'exemple de St. Pacôme le grand, fondateur de la vie monastique à Tabenna, il créa dans la vallée de l'Aniene douze petits monastères dans lesquels il installa ses disciples sous la direction d'un chef, mais il en garda quelques-uns avec lui, jugeant que sa présence était encore nécessaire pour leur formation. Ces monastères ont tous été détruits au cours des années, à l'exception d'un, l'actuel monastère de Sainte Scholastique.
Par monSeigneur et monDieu -
Invité- Invité
Re: BENOIT DE NURSI FETE DEUX FOIS LE 21 MARS ET 11 JUILLET
Merci Violaine
C'est l'Avatar d'Oméga3,
Je l'aime beaucoup St_benoit
J'ai sa croix bénite autour du cou, il me protège.
Merci !
C'est l'Avatar d'Oméga3,
Je l'aime beaucoup St_benoit
J'ai sa croix bénite autour du cou, il me protège.
Merci !
Invité- Invité
Saint Benoît de Nurcie
Oui, c'était la fête de Saint Benoît de Nurcie, hier, dimanche.
Oui, c'est l'avatar que l'on m'a donné, mais je n'ai pas d'objection à l'utiliser.
Cependant j'espère qu'on ne cherchera pas à m'empoisonner.
Oui, c'est l'avatar que l'on m'a donné, mais je n'ai pas d'objection à l'utiliser.
Cependant j'espère qu'on ne cherchera pas à m'empoisonner.
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
- Messages : 1256
Date d'inscription : 14/04/2010
Re: BENOIT DE NURSI FETE DEUX FOIS LE 21 MARS ET 11 JUILLET
Merci Violaine car j'ai beaucoup travaillé avec St Benoît sans connaître son histoire...
Je porte sa médaille en permanence. Quant à la croix portant la médaille de St Benoît que j'ai ramené de Medjugoge, elle est indispensable dans certaines circonstances.
Mon Père spirituel, aujourd'hui décédé m'avait fait la prière de bénédiction de St Benoît.
Un jour une amie était en présence de l'ennemi et portait cette croix, il lui a dit : "alors tu a mis ton armure!..."
Lily-Anne
Je porte sa médaille en permanence. Quant à la croix portant la médaille de St Benoît que j'ai ramené de Medjugoge, elle est indispensable dans certaines circonstances.
Mon Père spirituel, aujourd'hui décédé m'avait fait la prière de bénédiction de St Benoît.
Un jour une amie était en présence de l'ennemi et portait cette croix, il lui a dit : "alors tu a mis ton armure!..."
Lily-Anne
Invité- Invité
Re: BENOIT DE NURSI FETE DEUX FOIS LE 21 MARS ET 11 JUILLET
oui Lily-Anne tu as raison St benoit protège la famille, les maisons, je pense que c est dans Marie-julie que j'ai lu qu 'il fallait mettre des croix avec des médailles de St benoit dans les jardins pour protèger les récoltes.
j 'ai une médaille de St Benoit à l'entrée de ma maison , elle nous protegera des "impies courreurs" comme le dit Marie-Julie
j 'ai une médaille de St Benoit à l'entrée de ma maison , elle nous protegera des "impies courreurs" comme le dit Marie-Julie
Invité- Invité
Re: BENOIT DE NURSI FETE DEUX FOIS LE 21 MARS ET 11 JUILLET
@ Violaine
J'ai lu (quelque part) que Maman Marie nous disait de mettre la médaille de St-Benoit a nos Chiens, Jessy mon petit Yorkshir,
porte cette médaille depuis !
J'ai lu je crois dans le livret de Marie???
J'ai lu (quelque part) que Maman Marie nous disait de mettre la médaille de St-Benoit a nos Chiens, Jessy mon petit Yorkshir,
porte cette médaille depuis !
J'ai lu je crois dans le livret de Marie???
Invité- Invité
Re: BENOIT DE NURSI FETE DEUX FOIS LE 21 MARS ET 11 JUILLET
@Célinette
moi aussi mon sisko et ma vénus ont une médaille de st Benoit
et tu sais j avais un chien qui s' appelait Jessie moi aussi, ( par rapport à Jessie James)
moi aussi mon sisko et ma vénus ont une médaille de st Benoit
et tu sais j avais un chien qui s' appelait Jessie moi aussi, ( par rapport à Jessie James)
Invité- Invité
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