Humilité, secours des pauvres (Message de Jésus à J.N.S.R. le 12 Octobre 2002)

Invité Sam 15 Déc 2012 - 10:48

Humilité, secours des pauvres

Message de Jésus à J.N.S.R. le Samedi 12 Octobre 2002

JÉSUS :

"Mon enfant, c'est lorsque le vent violent de la tempête s'arrête, que tous peuvent évaluer les dégâts causés par cette mauvaise force destructrice.

Mais lorsque le Vent de Dieu, qu'est l'Esprit d'Amour, use de Sa Force constructive, Je te demande de ne pas être, toi, l'obstacle. Arrête-toi de te démolir.

Ne deviens pas ce vent destructeur. Si tu tombes, tu casses tout ce que l'Esprit de Dieu a commencé à bâtir en toi, pour toi et pour chaque enfant de la Terre qui reçoit Ma Parole et la Joie de Ma Connaissance. Il devient nécessaire de la connaître et de la suivre en ces jours où l'Esprit veut Se déverser à flots.

Tu as le Don merveilleux
que Dieu t'a donné d'animer les corps, morts à la Vie en Dieu
et de réanimer les âmes égarées qui tombent malades
au point de devenir subitement la proie du Mal qui rôde de partout.

Si l'âme brille,
le corps devient miroir de Pureté.
Le Mal disparaît.

"Qui a touché ma robe ?" dit JÉSUS,
et la femme est guérie par la Force qui sortait du Maître de la Vie.

J'ai choisi quelques-uns pour devenir cette Force que Mon Sacré Coeur veut distribuer en passant par leur personne.

Vous le saurez. Ne cherchez pas comment. Ne demandez rien à personne car, si cela vient de Dieu, vous en serez avertis simplement et secrètement en votre coeur.

Je ne choisis pas spécialement ceux qui se pensent les meilleurs à cause de leur profonde éducation chrétienne. Ce Serviteur Me dit :

"Je ne Te demande rien, Seigneur,
mais je désire l'Humilité pour accomplir Tes desseins
dans Ta Sagesse Infinie."

Alors, Je dirai à ce Serviteur :

"Crois-tu que ce que tu Me demandes n'est rien ?
L'Humilité est la Reine de toutes les vertus.
Si tu la désires, Je te mettrai à l'épreuve."

Alors vous verrez, petit à petit, disparaître vos biens, votre confort matériel, votre confort familial.

Votre vie devient alors un océan d'amertume et, sans que vous vous en doutiez, vous êtes au bord de perdre la Foi en Dieu.

Vous vous verrez seuls, abandonnés, désespérément rejetés par votre propre famille qui ira jusqu'à vous haïr, car les moins que rien ne servent plus à rien, rien qu'à encombrer les autres.

Vous n'aurez plus le droit de vous disculper de tout ce dont on vous accuse si injustement, car votre parole dérange autant que votre pauvre présence.

Vous devenez comme le lépreux
que l'on fuit et qu'on abandonne à son triste sort,
seul avec sa maladie.

Invité Sam 15 Déc 2012 - 10:55

Vous entendrez :

"A présent, débrouille-toi tout seul.
Il y en a tant comme toi de par le monde. Fais comme eux.

Habitue-toi à ta solitude et reste-s-y; Ne demande rien.
Ta présence vient détruire nos familles.

Alors, enfonce-toi dans ta peine, dans ta douleur, dans ton désespoir.
Pleure si tu le veux, tu n'arriveras plus à toucher la sensibilité des autres.

Même si tu es malade, débrouille-toi."

Mais où sont les autres ? Ceux qui te disaient : "Je ne t'abandonnerai jamais". Ils sont dans ce tombeau où tu as vu disparaître ce qui fut autrefois ta vie, ta santé, ta jeunesse. Dans ce trou qui se referme soudainement devant toi et que tu voudrais ouvrir à nouveau. Je te dis :

"Éloigne-toi vite.
Ne retourne pas en arrière et surtout ne retourne pas sur ce passé mort.

Car Je suis la Vie.
Et la Vie a surgi du tombeau.

Alors, toi
à qui Je confie Mon Don dans ton Humilité,
acceptée puisque vécue, va jusqu'au bout.

Et à celui qui veut t'arracher un pan de ton manteau,
donne-le lui tout entier.

Donne, Je pourvoirai pour toi."

Alors, si votre Foi est toujours présente dans ce corps à corps du fort contre le faible, devenez comme ce petit boiteux que les gens aux jambes raides, droites comme des i, regardaient avec mépris :

- Habituez-vous à toutes sortes de moqueries.

- Habituez-vous à voir le dédain à travers les yeux qui vous regardent et les bouches d'où sort le mépris des gens qui se croient parfaits dans leur maintien.

Car le vent violent, dont Je t'ai parlé au début de cet écrit, va bientôt souffler soudainement, faisant tomber, comme dans un jeu de quilles, celles-ci par terre à cause de la précision de la boule qui va les heurter.

Ils tomberont, ces gens raides au coeur de pierre. Vous verrez alors ce petit boiteux louer Dieu, debout devant l'Éternel et chantant sa Foi :

"Seigneur,
je Te loue pour la FOI que Tu m'a donnée à mon Baptême
et que Tu maintiens toujours fraîche en moi.

Je te loue, Dieu de Bonté,
pour l'ESPÉRANCE qui habite mon pauvre corps,
car Tu as préservé toujours mon âme de toute attaque du Mal.

Je te loue, mon Dieu et mon Maître,
de m'avoir toujours donné la CHARITÉ de Ton Divin Sacré Coeur.
Ainsi je peux pardonner à mes ennemis
et Te les offrir libérés du Mal."

Puis il dit encore :

"Seigneur, je bénis mon infortune.
Par elle j'ai connu l' HUMlLITÉ de Ta Très Sainte Mère qui m'a toujours consolé.

Seigneur, je ne T'ai jamais perdu et Tu ne m'as jamais abandonné.
J'ai toujours suivi Ton Chemin, celui qui conduit à Ta Très Sainte Croix,
Porte du Salut Éternel.

Seigneur, Tu es la Vie Éternelle.
Seigneur, Tu es le Dieu Fidèle.
Je Te bénirai éternellement."

Je suis Amour et Pardon.

†
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Humilité, secours des pauvres (Message de Jésus à J.N.S.R. le 12 Octobre 2002)

Humilité, secours des pauvres (Message de Jésus à J.N.S.R. le 12 Octobre 2002)

Je te loue, Dieu de Bonté, pour la FOI, pour l'ESPÉRANCE, pour la CHARITE qui m'habitent.