Le Pape :" Le sport doit être au service de l'homme et pas l'homme au service du sport!"
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Le Pape :" Le sport doit être au service de l'homme et pas l'homme au service du sport!"
Le sport, bien pensé et pratiqué, une école de vie
Quand un pape théologien s’adresse à des sportifs, ce n’est pas pour les inciter à la compétition ni pour les féliciter d’avoir glané des médailles. C’est plutôt pour leur rappeler quelques principes moraux. Benoît XVI s’est livré une nouvelle fois à cet exercice lundi matin en recevant les athlètes qui ont représenté l’Italie aux récents Jeux Olympiques de Londres. Ils ont remporté 28 médailles dont 8 d’or.
Pour Benoît XVI, les athlètes sont des « champions-témoins » et ils ont une mission à accomplir : devenir des modèles à suivre. Le monde du sport peut, selon lui, être considéré comme un « parvis des gentils » du temps moderne, ouvert à tous. Mais cela exige un certain nombre de conditions que le Pape a énoncées dans son discours, citant le Concile et Jean-Paul II.
Le sport doit être au service de l'homme et pas l'homme au service du sport
Les sportifs doivent, en effet, posséder des qualités non seulement techniques mais aussi humaines, qui s’obtiennent au prix d’efforts, de rigueur et de constance. Toute activité sportive exige loyauté dans la compétition, respect de son propre corps, solidarité et altruisme, mais aussi joie et sens de la fête. Il ne s’agit pas seulement de respecter les règles mais de se souvenir que les hommes ont besoin d’éducation, de spiritualité et de valeurs transcendantes.
Tout cela suppose un chemin d’authentique maturation humaine, jalonné de renoncements, de ténacité, de patience et surtout d’humilité. Celle-ci ne sera pas récompensée par les ovations, mais elle constitue pourtant le vrai secret de la victoire. En clair, le sport doit être au service de l’homme et pas l’inverse. Et si l’Eglise s’intéresse au sport c’est en raison de son impact sur la formation des personnes, sur les relations humaines et sur la spiritualité.
Quant aux dirigeants et entraîneurs, Benoît XVI les invite à s’assurer que les pratiques sportives soient loyales et limpides ; le Pape condamne une nouvelle fois le dopage qu’il qualifie de raccourci menant à une impasse, mais il exhorte à soutenir et aider ceux qui y ont eu recours et qui l’ont regretté.
(Photo: le Pape avec une représentante de la délégation du Comité olympique italien)
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Quand un pape théologien s’adresse à des sportifs, ce n’est pas pour les inciter à la compétition ni pour les féliciter d’avoir glané des médailles. C’est plutôt pour leur rappeler quelques principes moraux. Benoît XVI s’est livré une nouvelle fois à cet exercice lundi matin en recevant les athlètes qui ont représenté l’Italie aux récents Jeux Olympiques de Londres. Ils ont remporté 28 médailles dont 8 d’or.
Pour Benoît XVI, les athlètes sont des « champions-témoins » et ils ont une mission à accomplir : devenir des modèles à suivre. Le monde du sport peut, selon lui, être considéré comme un « parvis des gentils » du temps moderne, ouvert à tous. Mais cela exige un certain nombre de conditions que le Pape a énoncées dans son discours, citant le Concile et Jean-Paul II.
Le sport doit être au service de l'homme et pas l'homme au service du sport
Les sportifs doivent, en effet, posséder des qualités non seulement techniques mais aussi humaines, qui s’obtiennent au prix d’efforts, de rigueur et de constance. Toute activité sportive exige loyauté dans la compétition, respect de son propre corps, solidarité et altruisme, mais aussi joie et sens de la fête. Il ne s’agit pas seulement de respecter les règles mais de se souvenir que les hommes ont besoin d’éducation, de spiritualité et de valeurs transcendantes.
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(Photo: le Pape avec une représentante de la délégation du Comité olympique italien)
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sylvia- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Date d'inscription : 06/02/2011
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