Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Ukraine : trois soldats ukrainiens tués
De violents combats ont agité l'est séparatiste de l'Ukraine, en proie depuis plus de deux ans à un conflit opposant son armée à des séparatistes pro-russes.
SOURCE AFP
Publié le 10/07/2016 à 16:17 | Le Point.fr
L'Ukraine est en proie depuis plus de deux ans à un conflit opposant son armée à des séparatistes pro-russes. L'Ukraine est en proie depuis plus de deux ans à un conflit opposant son armée à des séparatistes pro-russes. © AFP/ ANATOLII STEPANOV
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Trois soldats ukrainiens ont été tués et seize autres blessés dans de violents combats dans l'est séparatiste de l'Ukraine, ont annoncé dimanche les autorités ukrainiennes. Huit soldats blessés ont été touchés lors d'échanges de tirs d'artillerie près de Lougansk, un village situé à environ 50 kilomètres au nord-est de la « capitale » rebelle de Donetsk, a déclaré un porte-parole militaire ukrainien, Andriï Lyssenko. Le ministre de la Défense de la république autoproclamée de Donetsk, Édouard Bassourine, a de son côté accusé les forces ukrainiennes d'avoir bombardé les villes de Gorlivka et de Donetsk, blessant quatre civils.
L'Ukraine est en proie depuis plus de deux ans à un conflit opposant son armée à des séparatistes pro-russes, soutenus militairement par la Russie selon Kiev et les Occidentaux, ce que Moscou dément. Plus de 9 400 personnes ont été tuées depuis le déclenchement des hostilités en avril 2014. Malgré l'instauration de plusieurs trêves, des affrontements meurtriers ont toujours lieu le long de la ligne de front.
De violents combats ont agité l'est séparatiste de l'Ukraine, en proie depuis plus de deux ans à un conflit opposant son armée à des séparatistes pro-russes.
SOURCE AFP
Publié le 10/07/2016 à 16:17 | Le Point.fr
L'Ukraine est en proie depuis plus de deux ans à un conflit opposant son armée à des séparatistes pro-russes. L'Ukraine est en proie depuis plus de deux ans à un conflit opposant son armée à des séparatistes pro-russes. © AFP/ ANATOLII STEPANOV
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Trois soldats ukrainiens ont été tués et seize autres blessés dans de violents combats dans l'est séparatiste de l'Ukraine, ont annoncé dimanche les autorités ukrainiennes. Huit soldats blessés ont été touchés lors d'échanges de tirs d'artillerie près de Lougansk, un village situé à environ 50 kilomètres au nord-est de la « capitale » rebelle de Donetsk, a déclaré un porte-parole militaire ukrainien, Andriï Lyssenko. Le ministre de la Défense de la république autoproclamée de Donetsk, Édouard Bassourine, a de son côté accusé les forces ukrainiennes d'avoir bombardé les villes de Gorlivka et de Donetsk, blessant quatre civils.
L'Ukraine est en proie depuis plus de deux ans à un conflit opposant son armée à des séparatistes pro-russes, soutenus militairement par la Russie selon Kiev et les Occidentaux, ce que Moscou dément. Plus de 9 400 personnes ont été tuées depuis le déclenchement des hostilités en avril 2014. Malgré l'instauration de plusieurs trêves, des affrontements meurtriers ont toujours lieu le long de la ligne de front.
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Syrie : 18 djihadistes de l'EI tués
Des "djihadistes européens" se trouvaient parmi les combattants tués dans des frappes russes près de la ville d'Al-Soukhna et la région d'Al-Soukkari.
SOURCE AFP
Publié le 15/07/2016 à 17:27 | Le Point.fr
Dix-huit djihadistes du groupe État islamique (EI) ont été tués en 24 heures. Dix-huit djihadistes du groupe État islamique (EI) ont été tués en 24 heures. © PLANET PIX/ZUMA-REA
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Dix-huit djihadistes du groupe État islamique (EI) ont été tués en 24 heures par des frappes russes dans la région de Palmyre dans le centre de la Syrie, rapporte vendredi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Des « djihadistes européens » se trouvaient parmi les combattants tués dans des frappes près de la ville d'Al-Soukhna (70 kilomètres à l'est de Palmyre) et la région d'Al-Soukkari près de la cité antique, d'après l'Observatoire qui dispose d'un large réseau de sources à travers la Syrie en guerre.
Jeudi, Moscou a annoncé que son aviation avait réalisé depuis mardi plus de 50 frappes aériennes sur des positions de l'EI dans la région rattachée à la cité antique de Palmyre d'où l'organisation ultraradicale a été chassée fin mars. Principal allié du régime de Bachar el-Assad, Moscou mène depuis le 30 septembre dernier une campagne militaire visant à la fois rebelles et djihadistes. « L'aviation russe a récemment augmenté l'intensité de ses frappes contre les cibles terroristes dans la région de Palmyre. Depuis le 12 juillet, [elle] a mené plus de 50 frappes sur des cibles vivantes et du matériel de l'EI », avait indiqué le ministère de la Défense.
Plus de coopération entre Américains et Russes
Ces frappes sont survenues après la mort près de Palmyre la semaine dernière de deux pilotes russes, tués quand l'hélicoptère syrien dans lequel ils volaient a été abattu. Au départ guerre entre régime et rebelles syriens, le conflit s'est complexifié avec la montée en puissance de groupes djihadistes comme l'EI et le Front al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda. La lutte contre ces groupes, notamment l'EI, est au centre de la politique américaine et d'autres pays occidentaux.
Après l'attentat de Nice en France, le secrétaire d'État américain John Kerry a prôné vendredi une plus grande coopération entre Américains et Russes pour mettre fin au « fléau terroriste » en Syrie. Lors d'entretiens avec le président russe Vladimir Poutine, l'idée d'une collaboration militaire directe n'a pas été discutée selon le Kremlin. Selon le Washington Post, John Kerry était venu avec l'idée de proposer à Moscou l'établissement d'un centre de commandement commun en Jordanie pour coordonner les raids aériens de la coalition internationale dirigée par les États-Unis et ceux de la Russie contre les djihadistes.
Des "djihadistes européens" se trouvaient parmi les combattants tués dans des frappes russes près de la ville d'Al-Soukhna et la région d'Al-Soukkari.
SOURCE AFP
Publié le 15/07/2016 à 17:27 | Le Point.fr
Dix-huit djihadistes du groupe État islamique (EI) ont été tués en 24 heures. Dix-huit djihadistes du groupe État islamique (EI) ont été tués en 24 heures. © PLANET PIX/ZUMA-REA
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Dix-huit djihadistes du groupe État islamique (EI) ont été tués en 24 heures par des frappes russes dans la région de Palmyre dans le centre de la Syrie, rapporte vendredi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Des « djihadistes européens » se trouvaient parmi les combattants tués dans des frappes près de la ville d'Al-Soukhna (70 kilomètres à l'est de Palmyre) et la région d'Al-Soukkari près de la cité antique, d'après l'Observatoire qui dispose d'un large réseau de sources à travers la Syrie en guerre.
Jeudi, Moscou a annoncé que son aviation avait réalisé depuis mardi plus de 50 frappes aériennes sur des positions de l'EI dans la région rattachée à la cité antique de Palmyre d'où l'organisation ultraradicale a été chassée fin mars. Principal allié du régime de Bachar el-Assad, Moscou mène depuis le 30 septembre dernier une campagne militaire visant à la fois rebelles et djihadistes. « L'aviation russe a récemment augmenté l'intensité de ses frappes contre les cibles terroristes dans la région de Palmyre. Depuis le 12 juillet, [elle] a mené plus de 50 frappes sur des cibles vivantes et du matériel de l'EI », avait indiqué le ministère de la Défense.
Plus de coopération entre Américains et Russes
Ces frappes sont survenues après la mort près de Palmyre la semaine dernière de deux pilotes russes, tués quand l'hélicoptère syrien dans lequel ils volaient a été abattu. Au départ guerre entre régime et rebelles syriens, le conflit s'est complexifié avec la montée en puissance de groupes djihadistes comme l'EI et le Front al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda. La lutte contre ces groupes, notamment l'EI, est au centre de la politique américaine et d'autres pays occidentaux.
Après l'attentat de Nice en France, le secrétaire d'État américain John Kerry a prôné vendredi une plus grande coopération entre Américains et Russes pour mettre fin au « fléau terroriste » en Syrie. Lors d'entretiens avec le président russe Vladimir Poutine, l'idée d'une collaboration militaire directe n'a pas été discutée selon le Kremlin. Selon le Washington Post, John Kerry était venu avec l'idée de proposer à Moscou l'établissement d'un centre de commandement commun en Jordanie pour coordonner les raids aériens de la coalition internationale dirigée par les États-Unis et ceux de la Russie contre les djihadistes.
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Syrie: 43 civils tués dans des bombardements
Par Lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 21/07/2016 à 15:30 Publié le 21/07/2016 à 15:29
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Au moins 43 civils, dont 11 enfants, ont péri aujourd'hui dans des bombardements, en majorité menés par le régime syrien, sur des zones tenues par la rébellion, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Au moins 13 civils ont péri dans la Ghouta orientale, fief des insurgés près de Damas, 15 dans une localité dans la province d'Idleb (nord-ouest) contrôlée par la branche d'Al-Qaïda et ses alliés rebelles, et 15 autres dans deux quartiers de la partie rebelle de la métropole d'Alep (nord), selon l'Observatoire.
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Au moins 43 civils, dont 11 enfants, ont péri aujourd'hui dans des bombardements, en majorité menés par le régime syrien, sur des zones tenues par la rébellion, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Au moins 13 civils ont péri dans la Ghouta orientale, fief des insurgés près de Damas, 15 dans une localité dans la province d'Idleb (nord-ouest) contrôlée par la branche d'Al-Qaïda et ses alliés rebelles, et 15 autres dans deux quartiers de la partie rebelle de la métropole d'Alep (nord), selon l'Observatoire.
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Syrie/Qamichli: au moins 44 morts dans l'attentat
Par Lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 27/07/2016 à 12:58 Publié le 27/07/2016 à 11:48
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Au moins 44 personnes sont mortes et 140 ont été blessées dans un attentat ayant visé des bâtiments de la sécurité kurde aujourd'hui dans la ville syrienne de Qamichli (nord-est), non loin de la frontière turque, selon un nouveau bilan des médias officiels.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme fait état d'un bilan de 48 morts.
Dans un précédent bilan, les médias officiels syriens avaient fait état d'au moins 31 morts et 170 blessés au cours de cette attaque, marquée par deux explosions. Elle a eu lieu dans un quartier où sont installés de nombreux organismes -notamment de sécurité- de l'administration autonome que les Kurdes ont installée dans les territoires qu'ils contrôlent dans le nord-est syrien.
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Au moins 44 personnes sont mortes et 140 ont été blessées dans un attentat ayant visé des bâtiments de la sécurité kurde aujourd'hui dans la ville syrienne de Qamichli (nord-est), non loin de la frontière turque, selon un nouveau bilan des médias officiels.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme fait état d'un bilan de 48 morts.
Dans un précédent bilan, les médias officiels syriens avaient fait état d'au moins 31 morts et 170 blessés au cours de cette attaque, marquée par deux explosions. Elle a eu lieu dans un quartier où sont installés de nombreux organismes -notamment de sécurité- de l'administration autonome que les Kurdes ont installée dans les territoires qu'ils contrôlent dans le nord-est syrien.
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Fusillade sur un marché en Inde, 12 morts
Par Lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 05/08/2016 à 13:27 Publié le 05/08/2016 à 13:26
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Des hommes armés ont ouvert le feu aujourd'huisur un marché bondé de l'Etat d'Assam, dans le nord-est de l'Inde, tuant au moins 12 personnes, a annoncé la police locale.
"Des extrémistes ont attaqué des personnes non armées sur un marché. Douze personnes ont perdu la vie", a déclaré Mukesh Sahay, directeur général de la police de l'Etat d'Assam, attribuant l'attaque aux séparatistes du Front démocratique national de Bodoland (NDFB). L'un des "cinq ou six" assaillants a été abattu par la police, a-t-il précisé. Les hommes armés ont également lancé une grenade qui a provoqué un incendie dans un bâtiment très fréquenté du marché de Balajan, à 220 km à l'ouest de Guwahati, la capitale de l'Etat d'Assam. L'attaque a fait un nombre indéterminé de blessés.
La ville de Balajan est située dans une zone proche de la frontière avec le Bhoutan qui a par le passé été en proie à une rébellion des séparatistes du NDFB, qui revendique depuis des décennies un territoire indépendant pour les tribus indigènes Bodo. L'Etat d'Assam, également frontalier du Bangladesh, a une longue histoire de conflits fonciers, souvent violents, entre les tribus indigènes Bodo, les colons musulmans et la communauté Adivasi.
Au cours des dernières années, les Bodo ont lancé plusieurs raids sanglants contre les musulmans et les Adivasi.
En 2014, des milliers de personnes avaient fui la zone après une série d'attaques coordonnées par des rebelles armés qui avaient fait au moins 69 morts, dont 18 enfants. La dernière attaque est "particulièrement malheureuse", a commenté le secrétaire d'Etat à l'Intérieur Kiren Rijiju, "parce que la paix était revenue dans toute la zone Bodo" de l'Etat d'Assam.
Par Lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 05/08/2016 à 13:27 Publié le 05/08/2016 à 13:26
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Des hommes armés ont ouvert le feu aujourd'huisur un marché bondé de l'Etat d'Assam, dans le nord-est de l'Inde, tuant au moins 12 personnes, a annoncé la police locale.
"Des extrémistes ont attaqué des personnes non armées sur un marché. Douze personnes ont perdu la vie", a déclaré Mukesh Sahay, directeur général de la police de l'Etat d'Assam, attribuant l'attaque aux séparatistes du Front démocratique national de Bodoland (NDFB). L'un des "cinq ou six" assaillants a été abattu par la police, a-t-il précisé. Les hommes armés ont également lancé une grenade qui a provoqué un incendie dans un bâtiment très fréquenté du marché de Balajan, à 220 km à l'ouest de Guwahati, la capitale de l'Etat d'Assam. L'attaque a fait un nombre indéterminé de blessés.
La ville de Balajan est située dans une zone proche de la frontière avec le Bhoutan qui a par le passé été en proie à une rébellion des séparatistes du NDFB, qui revendique depuis des décennies un territoire indépendant pour les tribus indigènes Bodo. L'Etat d'Assam, également frontalier du Bangladesh, a une longue histoire de conflits fonciers, souvent violents, entre les tribus indigènes Bodo, les colons musulmans et la communauté Adivasi.
Au cours des dernières années, les Bodo ont lancé plusieurs raids sanglants contre les musulmans et les Adivasi.
En 2014, des milliers de personnes avaient fui la zone après une série d'attaques coordonnées par des rebelles armés qui avaient fait au moins 69 morts, dont 18 enfants. La dernière attaque est "particulièrement malheureuse", a commenté le secrétaire d'Etat à l'Intérieur Kiren Rijiju, "parce que la paix était revenue dans toute la zone Bodo" de l'Etat d'Assam.
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Syrie:plus de 500 morts dans la bataille d'Alep
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 06/08/2016 à 15:53 Publié le 06/08/2016 à 15:45
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Plus de 500 combattants du régime syrien et de ses adversaires ont péri en une semaine dans la bataille pour Alep, la deuxième ville du pays (nord), a affirmé samedi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
"Plus de 500 combattants dans les rangs du régime et dans ceux des djihadistes et rebelles islamistes ont perdu la vie à Alep depuis dimanche. La majorité des morts sont des insurgés en raison des bombardements aériens", a indiqué le directeur de l'OSDH Rami Abdel Rahmane.
130 civils tués
Le régime de Bachar al-Assad dispose d'avions de chasse contrairement aux groupes rebelles engagés dans la bataille qui n'ont pas d'aviation.
Le 31 juillet, les rebelles aidés du groupe jihadiste Fateh al-Cham (ex-Front al-Nosra qui a renoncé à son rattachement à Al-Qaïda) ont lancé au sud d'Alep une contre-offensive pour briser le siège imposé par le régime aux quartiers qu'ils contrôlent dans cette ville du nord de la Syrie.
Depuis cette date, outre les quelque 500 combattants tués, au moins 130 civils ont également péri dans les affrontements, en majorité dans les quartiers contrôlés par le régime syrien, a indiqué l'OSDH.
Alep, deuxième plus grande ville du pays et enjeu majeur du conflit, est divisée depuis 2012 entre quartiers est contrôlés par les rebelles et quartiers ouest prorégime.
La guerre en Syrie a débuté en mars 2011 après la répression sanglante par le régime de manifestations pro-démocratie. Elle a fait plus de 280.000 morts.
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 06/08/2016 à 15:53 Publié le 06/08/2016 à 15:45
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Plus de 500 combattants du régime syrien et de ses adversaires ont péri en une semaine dans la bataille pour Alep, la deuxième ville du pays (nord), a affirmé samedi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
"Plus de 500 combattants dans les rangs du régime et dans ceux des djihadistes et rebelles islamistes ont perdu la vie à Alep depuis dimanche. La majorité des morts sont des insurgés en raison des bombardements aériens", a indiqué le directeur de l'OSDH Rami Abdel Rahmane.
130 civils tués
Le régime de Bachar al-Assad dispose d'avions de chasse contrairement aux groupes rebelles engagés dans la bataille qui n'ont pas d'aviation.
Le 31 juillet, les rebelles aidés du groupe jihadiste Fateh al-Cham (ex-Front al-Nosra qui a renoncé à son rattachement à Al-Qaïda) ont lancé au sud d'Alep une contre-offensive pour briser le siège imposé par le régime aux quartiers qu'ils contrôlent dans cette ville du nord de la Syrie.
Depuis cette date, outre les quelque 500 combattants tués, au moins 130 civils ont également péri dans les affrontements, en majorité dans les quartiers contrôlés par le régime syrien, a indiqué l'OSDH.
Alep, deuxième plus grande ville du pays et enjeu majeur du conflit, est divisée depuis 2012 entre quartiers est contrôlés par les rebelles et quartiers ouest prorégime.
La guerre en Syrie a débuté en mars 2011 après la répression sanglante par le régime de manifestations pro-démocratie. Elle a fait plus de 280.000 morts.
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Syrie: raids aériens sur le nord rebelle, près de 70 morts en 24h
AFP
Modifié le 14/08/2016 à 17:25 - Publié le 14/08/2016 à 13:04 | AFP
Un tank de combattants rebelles patrouille dans un quartier d'Alep, le 5 août 2016Un tank de combattants rebelles patrouille dans un quartier d'Alep, le 5 août 2016
Le régime syrien et son allié russe ont intensifié ces dernières 24 heures leurs frappes sur les zones tenues par des rebelles et des jihadistes à Alep et sur d'autres régions du nord du pays, tuant près de 70 civils.
Enjeu majeur de la guerre qui ravage la Syrie depuis plus de cinq ans, Alep est divisée en quartiers rebelles à l'est et quartiers prorégime à l'ouest.
Les deux camps renforcent leurs effectifs et se préparent pour la bataille qui leur permettrait de s'emparer de la totalité de cette deuxième ville du pays.
Depuis deux semaines, les combats se concentrent au sud et au sud-est d'Alep, mais dimanche les rebelles ont annoncé une nouvelle attaque contre le quartier gouvernemental de Zahra, à la périphérie ouest de la métropole.
"Début d'une opération militaire (...) pour libérer Zahra", a tweeté le groupe rebelle Faylaq al-Cham.
Un Syrien vend de l'essence dans un quartier d'Alep tenu par les rebelles, le 12 août 2016 © THAER MOHAMMED AFPUn Syrien vend de l'essence dans un quartier d'Alep tenu par les rebelles, le 12 août 2016 © THAER MOHAMMED AFP
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) et des militants antirégime ont fait état dans l'après-midi d'un attentat à la voiture piégée dans ce même quartier, sans donner de bilan.
L'armée régulière, appuyée par des combattants iraniens, irakiens et du Hezbollah libanais, fait face à l'Armée de la conquête, une alliance entre les rebelles et les jihadistes du Front Fateh al-Cham (ex-Front al-Nosra qui a renoncé à son rattachement avec Al-Qaïda).
Les troupes prorégime sont en difficulté à Alep depuis que les combattants antigouvernementaux se sont emparés le 6 août du quartier gouvernemental de Ramoussa (sud) qui leur a permis de briser le siège imposé aux secteurs rebelles de la ville.
L'armée de l'air syrienne et l'allié russe ont visé ces dernières 24H des secteurs rebelles à Alep et dans la province voisine d'Idleb aux mains de l'Armée de la conquête depuis 2015, a indiqué dimanche l'OSDH, soulignant que "la province d'Idleb est le réservoir humain des combattants de l'Armée de la conquête".
Au moins 45 civils ont péri en zone rebelle à Alep et dans sa province, alors que 22 ont été tués dans la ville et la province d'Idleb dans ces bombardements qui se poursuivaient dimanche selon l'OSDH. En outre, neuf civils ont péri dans l'ouest d'Alep par des tirs rebelles.
- Le régime 'sous pression' -
"Les forces du régime et leurs alliés sont actuellement sous pression à Alep après la grande défaite qu'elles ont subie face à l'Armée de la conquête au sud-ouest de la ville", a dit M. Abdel Rahmane.
Décombres après un raid aérien qui a visé des habitations d'un quartier d'Alep contrôlé par les rebelles, le 14 juillet 2016 © THAER MOHAMMED AFP/ArchivesDécombres après un raid aérien qui a visé des habitations d'un quartier d'Alep contrôlé par les rebelles, le 14 juillet 2016 © THAER MOHAMMED AFP/Archives
Selon un correspondant de l'AFP dans les quartiers rebelles d'Alep, des raids aériens intenses visent le quartier de Ramoussa depuis que les insurgés s'en sont emparés il y a une semaine.
Ce quartier était la principale voie d'approvisionnement des secteurs gouvernementaux de cette ville où vivent dans l'angoisse d'un siège près de 1,5 million d'habitants -250.000 à l'est et environ 1,2 million à l'ouest.
Les rebelles tout comme le régime ont toutefois trouvé des routes alternatives pour faire parvenir nourriture, médicaments et carburants dans leurs secteurs respectifs, alors que l'ONU a réclamé de longues pauses humanitaires pour pouvoir acheminer l'aide nécessaire.
Déclenché en mars 2011 par la répression de manifestations prodémocratie, le conflit en Syrie s'est complexifié avec l'intervention de parties étrangères et la montée en puissance de jihadistes. La guerre a fait plus de 290.000 morts et jeté sur les routes des millions de personnes.
- Une fillette évacuée -
Dans ce pays morcelé, le groupe Etat islamique (EI) occupe également de vastes territoires, même s'il a encore perdu du terrain avec la perte de la ville de Minbej face à une formation de combattants arabes et kurdes qui a bénéficié du soutien aérien de la coalition internationale antijihadistes dirigée par les Etats-Unis.
Des Syriens font leurs courses dans un quartier d'Alep contrôlé par les rebelles, le 12 août 2016 © THAER MOHAMMED AFPDes Syriens font leurs courses dans un quartier d'Alep contrôlé par les rebelles, le 12 août 2016 © THAER MOHAMMED AFP
La Russie, elle aussi, vise l'EI. Dimanche, elle a mené des raids aériens sur la ville de Deir Ezzor occupée en grande partie par les jihadistes, détruisant six dépôts d'armes, deux centres de commandement et des véhicules de l'EI, selon le ministère de la Défense à Moscou, qui a fait état d'un nombre indéterminé de jihadistes tués.
Sur une note plus positive, une fillette de 10 ans blessée par un sniper à Madaya, ville rebelle assiégée par le régime au sud-ouest de Damas, a été évacuée dimanche vers un hôpital de Damas, après un appel à l'aide lancé par sa tante depuis Londres.
Le Croissant-Rouge syrien a évacué Ghina Qouwayder avec sa mère Sahar à Damas pour recevoir des soins, selon l'OSDH et un responsable syrien. Une photo partagée sur les réseaux sociaux a montré la fillette assise sur un brancard.
14/08/2016 17:22:12 - Beyrouth (AFP) - © 2016 AFP
AFP
Modifié le 14/08/2016 à 17:25 - Publié le 14/08/2016 à 13:04 | AFP
Un tank de combattants rebelles patrouille dans un quartier d'Alep, le 5 août 2016Un tank de combattants rebelles patrouille dans un quartier d'Alep, le 5 août 2016
Le régime syrien et son allié russe ont intensifié ces dernières 24 heures leurs frappes sur les zones tenues par des rebelles et des jihadistes à Alep et sur d'autres régions du nord du pays, tuant près de 70 civils.
Enjeu majeur de la guerre qui ravage la Syrie depuis plus de cinq ans, Alep est divisée en quartiers rebelles à l'est et quartiers prorégime à l'ouest.
Les deux camps renforcent leurs effectifs et se préparent pour la bataille qui leur permettrait de s'emparer de la totalité de cette deuxième ville du pays.
Depuis deux semaines, les combats se concentrent au sud et au sud-est d'Alep, mais dimanche les rebelles ont annoncé une nouvelle attaque contre le quartier gouvernemental de Zahra, à la périphérie ouest de la métropole.
"Début d'une opération militaire (...) pour libérer Zahra", a tweeté le groupe rebelle Faylaq al-Cham.
Un Syrien vend de l'essence dans un quartier d'Alep tenu par les rebelles, le 12 août 2016 © THAER MOHAMMED AFPUn Syrien vend de l'essence dans un quartier d'Alep tenu par les rebelles, le 12 août 2016 © THAER MOHAMMED AFP
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) et des militants antirégime ont fait état dans l'après-midi d'un attentat à la voiture piégée dans ce même quartier, sans donner de bilan.
L'armée régulière, appuyée par des combattants iraniens, irakiens et du Hezbollah libanais, fait face à l'Armée de la conquête, une alliance entre les rebelles et les jihadistes du Front Fateh al-Cham (ex-Front al-Nosra qui a renoncé à son rattachement avec Al-Qaïda).
Les troupes prorégime sont en difficulté à Alep depuis que les combattants antigouvernementaux se sont emparés le 6 août du quartier gouvernemental de Ramoussa (sud) qui leur a permis de briser le siège imposé aux secteurs rebelles de la ville.
L'armée de l'air syrienne et l'allié russe ont visé ces dernières 24H des secteurs rebelles à Alep et dans la province voisine d'Idleb aux mains de l'Armée de la conquête depuis 2015, a indiqué dimanche l'OSDH, soulignant que "la province d'Idleb est le réservoir humain des combattants de l'Armée de la conquête".
Au moins 45 civils ont péri en zone rebelle à Alep et dans sa province, alors que 22 ont été tués dans la ville et la province d'Idleb dans ces bombardements qui se poursuivaient dimanche selon l'OSDH. En outre, neuf civils ont péri dans l'ouest d'Alep par des tirs rebelles.
- Le régime 'sous pression' -
"Les forces du régime et leurs alliés sont actuellement sous pression à Alep après la grande défaite qu'elles ont subie face à l'Armée de la conquête au sud-ouest de la ville", a dit M. Abdel Rahmane.
Décombres après un raid aérien qui a visé des habitations d'un quartier d'Alep contrôlé par les rebelles, le 14 juillet 2016 © THAER MOHAMMED AFP/ArchivesDécombres après un raid aérien qui a visé des habitations d'un quartier d'Alep contrôlé par les rebelles, le 14 juillet 2016 © THAER MOHAMMED AFP/Archives
Selon un correspondant de l'AFP dans les quartiers rebelles d'Alep, des raids aériens intenses visent le quartier de Ramoussa depuis que les insurgés s'en sont emparés il y a une semaine.
Ce quartier était la principale voie d'approvisionnement des secteurs gouvernementaux de cette ville où vivent dans l'angoisse d'un siège près de 1,5 million d'habitants -250.000 à l'est et environ 1,2 million à l'ouest.
Les rebelles tout comme le régime ont toutefois trouvé des routes alternatives pour faire parvenir nourriture, médicaments et carburants dans leurs secteurs respectifs, alors que l'ONU a réclamé de longues pauses humanitaires pour pouvoir acheminer l'aide nécessaire.
Déclenché en mars 2011 par la répression de manifestations prodémocratie, le conflit en Syrie s'est complexifié avec l'intervention de parties étrangères et la montée en puissance de jihadistes. La guerre a fait plus de 290.000 morts et jeté sur les routes des millions de personnes.
- Une fillette évacuée -
Dans ce pays morcelé, le groupe Etat islamique (EI) occupe également de vastes territoires, même s'il a encore perdu du terrain avec la perte de la ville de Minbej face à une formation de combattants arabes et kurdes qui a bénéficié du soutien aérien de la coalition internationale antijihadistes dirigée par les Etats-Unis.
Des Syriens font leurs courses dans un quartier d'Alep contrôlé par les rebelles, le 12 août 2016 © THAER MOHAMMED AFPDes Syriens font leurs courses dans un quartier d'Alep contrôlé par les rebelles, le 12 août 2016 © THAER MOHAMMED AFP
La Russie, elle aussi, vise l'EI. Dimanche, elle a mené des raids aériens sur la ville de Deir Ezzor occupée en grande partie par les jihadistes, détruisant six dépôts d'armes, deux centres de commandement et des véhicules de l'EI, selon le ministère de la Défense à Moscou, qui a fait état d'un nombre indéterminé de jihadistes tués.
Sur une note plus positive, une fillette de 10 ans blessée par un sniper à Madaya, ville rebelle assiégée par le régime au sud-ouest de Damas, a été évacuée dimanche vers un hôpital de Damas, après un appel à l'aide lancé par sa tante depuis Londres.
Le Croissant-Rouge syrien a évacué Ghina Qouwayder avec sa mère Sahar à Damas pour recevoir des soins, selon l'OSDH et un responsable syrien. Une photo partagée sur les réseaux sociaux a montré la fillette assise sur un brancard.
14/08/2016 17:22:12 - Beyrouth (AFP) - © 2016 AFP
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Ukraine: 3 soldats tués
Par lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 18/08/2016 à 16:52 Publié le 18/08/2016 à 16:48
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Trois soldats ukrainiens ont été tués et six autres blessés lors de nouveaux affrontements entre les séparatistes prorusses et les forces gouvernementales dans l'Est de l'Ukraine, a annoncé aujourd’hui un porte-parole militaire à Kiev.
"La dernière fois que nous avons observé des tirs aussi nourris, avec recours à des armes lourdes, c'était il y a un an", a déclaré Olexandre Motouzianyk lors d'une conférence de presse en annonçant que "trois soldats ukrainiens ont été tués et six autres blessés au cours des dernières 24 heures". "Hier, la situation dans la zone de l'opération antiterroriste (nom donné par Kiev au conflit dans l'Est, ndlr) s'est de nouveau détériorée. Les rebelles ont presque doublé le nombre de leurs attaques contre nos positions", a-t-il affirmé.
Le président ukrainien Petro Porochenko a également confirmé aujourd’hui l'aggravation de la situation. Les rebelles "ont considérablement augmenté le nombre de tirs contre nos positions dans l'est du pays", a-t-il dit. "La possibilité d'une escalade du conflit reste très grande. Et nous n'excluons pas une invasion russe à grande échelle. Nous sommes prêts", a-t-il déclaré, selon des images télévisées. L'Ukraine est en proie depuis deux ans à un conflit opposant ses forces armées à des séparatistes prorusses qui sont, selon Kiev et les Occidentaux, soutenus militairement par la Russie ce que Moscou dément.
Ce conflit a fait plus de 9 500 morts depuis son déclenchement en avril 2014. Malgré l'instauration de plusieurs trêves, des affrontements meurtriers ont régulièrement lieu le long de la ligne de front. Récemment, la tension est encore montée d'un cran entre l'Ukraine et la Russie autour de la Crimée. Moscou a affirmé avoir déjoué des "attentats" fomentés selon elle par Kiev dans cette péninsule annexée en 2014, qui se seraient soldés par la mort d'un agent des services de sécurité russes et d'un militaire.
Plus de deux ans après le rattachement de ce territoire ukrainien à l'issue d'un référendum jugé illégal par les Occidentaux, les accusations russes ont poussé les deux pays à muscler leurs dispositifs militaires respectifs dans la zone, au risque de faire dérailler les efforts de résolution pacifique de la crise ukrainienne. Dans son dernier communiqué, relatif aux évènements du 16 août, l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a affirmé continuer "d'observer un grand nombre de tirs dans la région de Donetsk". Elle a noté "que des combats se poursuivaient dans la zone Iassynouvata-Avdiïvka (deux villes situées à quelques kilomètres du fief rebelle de Donetsk, ndlr), avec utilisation de lance-roquettes multiples Grad".
Par lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 18/08/2016 à 16:52 Publié le 18/08/2016 à 16:48
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Trois soldats ukrainiens ont été tués et six autres blessés lors de nouveaux affrontements entre les séparatistes prorusses et les forces gouvernementales dans l'Est de l'Ukraine, a annoncé aujourd’hui un porte-parole militaire à Kiev.
"La dernière fois que nous avons observé des tirs aussi nourris, avec recours à des armes lourdes, c'était il y a un an", a déclaré Olexandre Motouzianyk lors d'une conférence de presse en annonçant que "trois soldats ukrainiens ont été tués et six autres blessés au cours des dernières 24 heures". "Hier, la situation dans la zone de l'opération antiterroriste (nom donné par Kiev au conflit dans l'Est, ndlr) s'est de nouveau détériorée. Les rebelles ont presque doublé le nombre de leurs attaques contre nos positions", a-t-il affirmé.
Le président ukrainien Petro Porochenko a également confirmé aujourd’hui l'aggravation de la situation. Les rebelles "ont considérablement augmenté le nombre de tirs contre nos positions dans l'est du pays", a-t-il dit. "La possibilité d'une escalade du conflit reste très grande. Et nous n'excluons pas une invasion russe à grande échelle. Nous sommes prêts", a-t-il déclaré, selon des images télévisées. L'Ukraine est en proie depuis deux ans à un conflit opposant ses forces armées à des séparatistes prorusses qui sont, selon Kiev et les Occidentaux, soutenus militairement par la Russie ce que Moscou dément.
Ce conflit a fait plus de 9 500 morts depuis son déclenchement en avril 2014. Malgré l'instauration de plusieurs trêves, des affrontements meurtriers ont régulièrement lieu le long de la ligne de front. Récemment, la tension est encore montée d'un cran entre l'Ukraine et la Russie autour de la Crimée. Moscou a affirmé avoir déjoué des "attentats" fomentés selon elle par Kiev dans cette péninsule annexée en 2014, qui se seraient soldés par la mort d'un agent des services de sécurité russes et d'un militaire.
Plus de deux ans après le rattachement de ce territoire ukrainien à l'issue d'un référendum jugé illégal par les Occidentaux, les accusations russes ont poussé les deux pays à muscler leurs dispositifs militaires respectifs dans la zone, au risque de faire dérailler les efforts de résolution pacifique de la crise ukrainienne. Dans son dernier communiqué, relatif aux évènements du 16 août, l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a affirmé continuer "d'observer un grand nombre de tirs dans la région de Donetsk". Elle a noté "que des combats se poursuivaient dans la zone Iassynouvata-Avdiïvka (deux villes situées à quelques kilomètres du fief rebelle de Donetsk, ndlr), avec utilisation de lance-roquettes multiples Grad".
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Maria DM 04 Mars 2014 Les guerres vont s’intensifier, jusqu’à ce que la Grande Guerre soit déclarée
Afghanistan : 16 morts dans l'attaque contre l'université américaine
Cette attaque, qui a tué des étudiants et des policiers à Kaboul, intervient 15 jours après l'enlèvement de deux enseignants de cette université privée.
SOURCE AFP
Modifié le 25/08/2016 à 17:02 - Publié le 24/08/2016 à 18:00 | Le Point.fr
Des étudiants enfermés à l'intérieur du bâtiment ont fait état d'explosions et de tirs. Des étudiants enfermés à l'intérieur du bâtiment ont fait état d'explosions et de tirs. © AFP/ MASSOUD HOSSAINI
Seize personnes ont été tuées lors d'un assaut contre l'Université américaine d'Afghanistan à Kaboul qui a duré plus de dix heures dans la nuit de mercredi à jeudi, pendant lesquelles des étudiants ont lancé de poignants appels à l'aide. L'attaque contre cet établissement d'élite qui accueille 1 700 étudiants n'a pas été revendiquée. Deux de ses professeurs, un Australien et un Américain, avaient déjà été enlevés au début du mois, sans que leur rapt ne soit revendiqué non plus.
"Sept étudiants, un garde de l'université, et un garde de l'établissement voisin pour les aveugles ont été tués", a indiqué le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Sediq Sediqqi, ajoutant que trois policiers avaient également trouvé la mort. Un précédent décompte faisait état de 9 morts. Selon ce nouveau bilan, au moins 45 personnes ont été blessées, dont certaines grièvement.
Des centaines d'étudiants évacués
Le nombre d'assaillants n'est pas clair, mais la police de Kaboul a indiqué avoir tué deux d'entre eux lors de leur opération de sécurisation du campus à l'aube. L'armée afghane, assistée par des conseillers militaires de la coalition internationale dirigée par les Américains, a rapidement encerclé le campus. Des centaines d'étudiants ont été évacués pendant la nuit. Une poignée d'étudiantes, certaines terrifiées et en pleurs, ont été escortées hors du campus par des policiers à la fin de l'assaut. "La fille de mon beau-frère, étudiante, a disparu", lance une femme anxieuse devant l'université. "On la cherche depuis le début de l'attaque, on a vérifié tous les hôpitaux, mais il n'y a pas de trace d'elle."
Explosions et fusillades avaient retenti sur le campus en début de soirée mercredi, à l'heure où de nombreux étudiants s'y trouvaient pour assister à des cours du soir, une pratique fréquente en Afghanistan où nombre d'étudiants sont également salariés. Dès les débuts de l'attaque, nombre d'étudiants avaient émis des messages de détresse sur Twitter. "#AUAF attaquée. Des amis et moi nous sommes échappés, plusieurs autres amis et des enseignants sont coincés dedans", a ainsi tweeté le journaliste Ahmad Mukhtar. "J'ai entendu des explosions, et il y a des tirs près d'ici. [...] Notre classe est remplie de fumée et de poussière", a raconté un étudiant joint par téléphone par l'Agence France-Presse. "Nous sommes coincés à l'intérieur et nous avons très peur."
L'éducation, rare source d'espoir pour les jeunes Afghans
Cette attaque, la première de cette ampleur contre une université d'envergure en Afghanistan, jette une ombre sur tout le secteur de l'éducation, considéré comme une rare source d'espoir pour les jeunes Afghans grandissant au milieu d'une insécurité croissante. L'augmentation du nombre d'étudiants et surtout d'étudiantes allant à l'université est saluée comme une réussite depuis la chute en 2001 du régime taliban qui avait interdit l'éducation des femmes. "En s'en prenant aux civils, aux établissements d'éducation, aux zones résidentielles, aux ponts et centrales électriques, les groupes terroristes veulent (...) entraver le développement et le renforcement des valeurs auxquelles croient les Afghans", a déploré le président Ashraf Ghani.
L'université américaine d'Afghanistan, qui entretient des partenariats avec de prestigieuses universités américaines comme Georgetown, Stanford et l'université de Californie, est considérée comme une cible en partie en raison de la présence d'enseignants occidentaux. On ignore le sort des deux professeurs enlevés le 7 août par des hommes armés qui ont brisé les fenêtres de leur véhicule à proximité de l'établissement, mais les enlèvements crapuleux d'étrangers sont relativement fréquents à Kaboul.
Cette nouvelle attaque d'ampleur en plein Kaboul intervient alors que les rebelles talibans sont à l'offensive dans tout le pays contre le gouvernement soutenu par les Occidentaux. Les forces afghanes soutenues par l'armée américaine tentent de repousser les insurgés islamistes qui s'approchent de Lashkar Gah, capitale de la province du Helmand, haut lieu du pavot. L'intensification des combats dans cette zone du sud de l'Afghanistan, qui entraîne une crise humanitaire, montre à quelle vitesse la sécurité se détériore, près de quinze ans après l'intervention menée par les Américains. Les talibans se rapprochent d'une autre capitale provinciale, Kunduz, nœud stratégique dans le nord du pays qu'ils avaient brièvement conquis il y a un an, leur principale victoire depuis 2001.
Syrie: au moins 11 enfants tués par des barils d'explosifs à Alep
AFP
Publié le 25/08/2016 à 17:05 | AFP
Un homme évacue un enfant blessé des décombres d'un immeuble détruit par des barils explosifs lancés par le régime sur un quartier rebelle du sud d'Alep, le 25 août 2016Un homme évacue un enfant blessé des décombres d'un immeuble détruit par des barils explosifs lancés par le régime sur un quartier rebelle du sud d'Alep, le 25 août 2016
Au moins onze enfants et quatre femmes ont été tués jeudi par des barils d'explosif lancés par des hélicoptères du régime sur un quartier rebelle du sud d'Alep, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
"Onze enfants et quatre femmes ont perdu la vie à cause de la chute de barils d'explosifs sur des maisons d'habitation à Bab al-Nayrab", dans le sud de la ville. "Deux femmes et six enfants étaient de la même famille", a affirmé l'Observatoire.
Par ailleurs, huit civils, dont deux enfants, ont été tués par des bombardements rebelles sur des quartiers gouvernementaux, selon la même source.
Ancienne capitale économique du pays, Alep est coupée en deux depuis juillet 2012, avec à l'est les quartiers rebelles et à l'ouest les quartiers tenus par le régime.
25/08/2016 17:02:31 - Beyrouth (AFP) - © 2016 AFP
Cette attaque, qui a tué des étudiants et des policiers à Kaboul, intervient 15 jours après l'enlèvement de deux enseignants de cette université privée.
SOURCE AFP
Modifié le 25/08/2016 à 17:02 - Publié le 24/08/2016 à 18:00 | Le Point.fr
Des étudiants enfermés à l'intérieur du bâtiment ont fait état d'explosions et de tirs. Des étudiants enfermés à l'intérieur du bâtiment ont fait état d'explosions et de tirs. © AFP/ MASSOUD HOSSAINI
Seize personnes ont été tuées lors d'un assaut contre l'Université américaine d'Afghanistan à Kaboul qui a duré plus de dix heures dans la nuit de mercredi à jeudi, pendant lesquelles des étudiants ont lancé de poignants appels à l'aide. L'attaque contre cet établissement d'élite qui accueille 1 700 étudiants n'a pas été revendiquée. Deux de ses professeurs, un Australien et un Américain, avaient déjà été enlevés au début du mois, sans que leur rapt ne soit revendiqué non plus.
"Sept étudiants, un garde de l'université, et un garde de l'établissement voisin pour les aveugles ont été tués", a indiqué le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Sediq Sediqqi, ajoutant que trois policiers avaient également trouvé la mort. Un précédent décompte faisait état de 9 morts. Selon ce nouveau bilan, au moins 45 personnes ont été blessées, dont certaines grièvement.
Des centaines d'étudiants évacués
Le nombre d'assaillants n'est pas clair, mais la police de Kaboul a indiqué avoir tué deux d'entre eux lors de leur opération de sécurisation du campus à l'aube. L'armée afghane, assistée par des conseillers militaires de la coalition internationale dirigée par les Américains, a rapidement encerclé le campus. Des centaines d'étudiants ont été évacués pendant la nuit. Une poignée d'étudiantes, certaines terrifiées et en pleurs, ont été escortées hors du campus par des policiers à la fin de l'assaut. "La fille de mon beau-frère, étudiante, a disparu", lance une femme anxieuse devant l'université. "On la cherche depuis le début de l'attaque, on a vérifié tous les hôpitaux, mais il n'y a pas de trace d'elle."
Explosions et fusillades avaient retenti sur le campus en début de soirée mercredi, à l'heure où de nombreux étudiants s'y trouvaient pour assister à des cours du soir, une pratique fréquente en Afghanistan où nombre d'étudiants sont également salariés. Dès les débuts de l'attaque, nombre d'étudiants avaient émis des messages de détresse sur Twitter. "#AUAF attaquée. Des amis et moi nous sommes échappés, plusieurs autres amis et des enseignants sont coincés dedans", a ainsi tweeté le journaliste Ahmad Mukhtar. "J'ai entendu des explosions, et il y a des tirs près d'ici. [...] Notre classe est remplie de fumée et de poussière", a raconté un étudiant joint par téléphone par l'Agence France-Presse. "Nous sommes coincés à l'intérieur et nous avons très peur."
L'éducation, rare source d'espoir pour les jeunes Afghans
Cette attaque, la première de cette ampleur contre une université d'envergure en Afghanistan, jette une ombre sur tout le secteur de l'éducation, considéré comme une rare source d'espoir pour les jeunes Afghans grandissant au milieu d'une insécurité croissante. L'augmentation du nombre d'étudiants et surtout d'étudiantes allant à l'université est saluée comme une réussite depuis la chute en 2001 du régime taliban qui avait interdit l'éducation des femmes. "En s'en prenant aux civils, aux établissements d'éducation, aux zones résidentielles, aux ponts et centrales électriques, les groupes terroristes veulent (...) entraver le développement et le renforcement des valeurs auxquelles croient les Afghans", a déploré le président Ashraf Ghani.
L'université américaine d'Afghanistan, qui entretient des partenariats avec de prestigieuses universités américaines comme Georgetown, Stanford et l'université de Californie, est considérée comme une cible en partie en raison de la présence d'enseignants occidentaux. On ignore le sort des deux professeurs enlevés le 7 août par des hommes armés qui ont brisé les fenêtres de leur véhicule à proximité de l'établissement, mais les enlèvements crapuleux d'étrangers sont relativement fréquents à Kaboul.
Cette nouvelle attaque d'ampleur en plein Kaboul intervient alors que les rebelles talibans sont à l'offensive dans tout le pays contre le gouvernement soutenu par les Occidentaux. Les forces afghanes soutenues par l'armée américaine tentent de repousser les insurgés islamistes qui s'approchent de Lashkar Gah, capitale de la province du Helmand, haut lieu du pavot. L'intensification des combats dans cette zone du sud de l'Afghanistan, qui entraîne une crise humanitaire, montre à quelle vitesse la sécurité se détériore, près de quinze ans après l'intervention menée par les Américains. Les talibans se rapprochent d'une autre capitale provinciale, Kunduz, nœud stratégique dans le nord du pays qu'ils avaient brièvement conquis il y a un an, leur principale victoire depuis 2001.
Syrie: au moins 11 enfants tués par des barils d'explosifs à Alep
AFP
Publié le 25/08/2016 à 17:05 | AFP
Un homme évacue un enfant blessé des décombres d'un immeuble détruit par des barils explosifs lancés par le régime sur un quartier rebelle du sud d'Alep, le 25 août 2016Un homme évacue un enfant blessé des décombres d'un immeuble détruit par des barils explosifs lancés par le régime sur un quartier rebelle du sud d'Alep, le 25 août 2016
Au moins onze enfants et quatre femmes ont été tués jeudi par des barils d'explosif lancés par des hélicoptères du régime sur un quartier rebelle du sud d'Alep, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
"Onze enfants et quatre femmes ont perdu la vie à cause de la chute de barils d'explosifs sur des maisons d'habitation à Bab al-Nayrab", dans le sud de la ville. "Deux femmes et six enfants étaient de la même famille", a affirmé l'Observatoire.
Par ailleurs, huit civils, dont deux enfants, ont été tués par des bombardements rebelles sur des quartiers gouvernementaux, selon la même source.
Ancienne capitale économique du pays, Alep est coupée en deux depuis juillet 2012, avec à l'est les quartiers rebelles et à l'ouest les quartiers tenus par le régime.
25/08/2016 17:02:31 - Beyrouth (AFP) - © 2016 AFP
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