LE CHRIST ROI DE FRANCE
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LE CHRIST ROI DE FRANCE Empty LE CHRIST ROI DE FRANCE

Message  Invité Ven 10 Sep 2010 - 5:42

Le Christ Roi de France

1. Sainte Jeanne d’Arc et sa mission céleste

Reprenant le marquis de la Franquerie, nous pouvons lire à la page 141 de l’ouvrage « Les deux voix de Sainte Jeanne d’Arc » de Jean-Baptiste Roussot, le descriptif de la délivrance de la ville de Bayonne, encore aux mains des anglais, le 20 août 1451. Il s’agit d’un véritable et grand miracle, dont le récit suivant, figure sur la plaque commémorative apposée sur les murs de la Cathédrale de Bayonne, dans la chapelle des Saints Anges gardiens :

« Le vendredi 20 ième d’août 1451, vers sept heures du matin, au moment où les Français victorieux entraient dans le chastel de Bayonne par moult beau temps, au-dessus et à droite de la ville du côté de l’Espagne, apparut dans le ciel une grande croix blanche, en forme de crucifix, la couronne sur la tête, laquelle couronne se tourna puis en fleur de lys. Assiégeants et assiégés purent contempler la croix l’espace d’une heure environ. Les habitants émerveillés firent le signe de la croix, ôtèrent leurs bannières et pennons à croix rouge disant qu’il plaisait à Dieu qu’ils fussent Français et portassent la croix blanche. Les comtes Gaston de Foix-Béarn et Dunois annoncèrent l’évènement au roi Charles VII qui en fit part à la France entière, ordonnant partout des processions d’actions de grâces et faisant frapper la médaille du miracle de Bayonne. Dieu confirmait ainsi la mission céleste de Jeanne d’Arc »

2. Témoignage du duc d’Alençon du 3 mai 1456

Du livret « La France - Textes fondateurs du Roi David à Jean-Paul II », page 78 :

« Le roi conduisit la Pucelle [Sainte Jeanne d’Arc] dans son appartement. Il retint le seigneur de la Trémoille, et moi qui parle et congédia les autres ; Jeanne fit au roi plusieurs requêtes : l’une de ses requêtes fut qu’il fît donation de son royaume au Roi du Ciel et qu’après cette donation le Roi du Ciel ferait pour lui ce qu’il avait fait pour ses prédécesseurs et le rétablirait dans l’état d’autrefois ».

3. Saint Pie X lors du décret de béatification de Jeanne d'Arc le 13 décembre 1908

Du livret « La France - Textes fondateurs du Roi David à Jean-Paul II », pages 29 et 30 :

Saint Pie X à Mgr Touchet, évêque d'Orléans

« Vous direz aux français qu'ils fassent trésor des testaments de Saint Rémy, de Charlemagne et de Saint Louis, ces testaments qui se résument dans les mots si souvent répétés par l'héroïne d'Orléans : "Vive le Christ qui est Roi des Francs !"
A ce titre seulement, la France est grande parmi les nations ; à cette clause, Dieu la protégera et la fera libre et glorieuse ; à cette condition, on pourra lui appliquer ce qui, dans les Livres Saints, est dit d'Israël : que personne ne s'est rencontré qui insultât ce peuple, sinon quand il s'est éloigné de Dieu.
Ce n'est pas un rêve, mais une réalité ; je n'ai pas seulement l'espérance, j'ai la certitude du plein triomphe ».

4. Notre Seigneur Jésus à Sœur Marie Lataste « Le premier Roi, le premier souverain de la France, c’est Moi »

De l’ouvrage « Demain », pages 254 à 256 :

7. Le premier Roi, le premier souverain de la France c’est Moi, Je suis le maître de tous les peuples, de tous les royaumes…Je suis particulièrement le maître de la France. Je lui donne prospérité, grandeur et puissance au-dessus de toutes les nations, quand elle est fidèle à écouter ma voix. J’élève ses princes au-dessus de tous les autres princes du monde, quand ils sont fidèles à Ma voix. Je bénis ses populations plus que toutes les autres populations de la terre, quand elles sont fidèles à écouter ma voix.
8. J’ai choisi la France pour la donner à mon Eglise, comme sa fille de prédilection…
9. Or, tout ce qu’on fait à mon Eglise, je le regarde comme fait à moi-même…
10. Et, bien, ma fille, je le dis à l’honneur, à la gloire de votre patrie, pendant des siècles la France a défendu, protégé mon Eglise…Du haut du ciel, je la protégeais, elle ses rois et ses sujets…
11. Ma générosité n’est point épuisée pour la France ; j’ai les mains pleines de grâces et de bienfaits que je voulais répandre sur elle. Pourquoi a-t-il fallu, faut-il encore et faudra t-il que je les armé de la verge de ma justice ?
12. Quel esprit de liberté a remplacé dans son cœur l’esprit de la seule liberté…la soumission à la volonté de Dieu ? Quel esprit d’égoïsme sec et plein de froideur a remplacé dans son cœur l’esprit ardent de la charité descendu du ciel, qui est l’amour de Dieu et du prochain ? Quel esprit de manœuvres injustes et de politique mensongère a remplacé dans son cœur la noblesse de sa conduite et la droiture de sa parole, conduite et paroles autrefois dirigées par la vérité descendue du ciel, qui est Dieu Lui-même !
Je vois encore, je verrai toujours dans le royaume de France, des hommes soumis à ma volonté, des hommes amis de la vérité ; mais à cette heure ma fille, le nombre en est petit.
13. Aussi elle brise les trônes de ses rois, exile, rappelle, exile encore ses monarques, souffle sur eux le vent des tempêtes révolutionnaires…Je lui ai suscité des rois, elle en a choisi d’autres à son gré…
14. Elle n’est point en paix. Tout est dans le silence à la surface, mais tout gronde, tout mugit, tout fermente en dessous, dans le peuple, dans ceux qui se trouvent immédiatement parmi les grands.
15. L’injustice marche tête levée et semble être revêtue d’autorité ; elle n’a pas d’obstacles, elle agit comme elle veut agir. L’impiété fait ses préparatifs pour dresser son front orgueilleux et superbe dans un temps qu’elle ne croit pas éloigné et qu’elle veut hâter de tout son pouvoir.
16. Mais, en vérité, je vous le dis, l’impiété sera renversée, ses projets dissipés, ses desseins réduits à néant, à l’heure où elle les croira accomplis ou exécutés pour toujours.
17. Quelquefois, une vieil arbre est découpé dans une forêt : il n’en reste plus que le tronc ; mais un rejeton pousse au printemps, et les années le développent et le font grandir, il devient lui-même un arbre magnifique, l’honneur de la forêt. Priez pour la France, ma fille, priez beaucoup, ne cessez point de prier ».

5. Notre Seigneur Jésus à Sœur Marie du Christ Roi : « Je serais Roi de France et de tous les pays de l’univers »

De l’ouvrage « La messagère du Christ-Roi » :

Notre Seigneur s’adressait ainsi à « Sa petite Reine » en juin 1927 comme retranscris pages 115 et 116 :

« Désormais je ne pourrai rien te refuser, demande, et Je te donnerai. Oui demande la paix pour la France, Je te la donnerai […]. Mais demande aussi que mon Cœur soit aimé, connu, adoré et respecté. Demande que mes commandements soient gardés, que mon Nom soit glorifié et ma Royauté honorée et respectée, que toutes les nations M’obéissent et Me prennent pour leur vrai Roi du Ciel et de la terre. Que tout genou fléchisse à mon Nom "Jésus-Christ-Roi" sur tout l’univers entier, que toutes les âmes qui Me sont consacrées Me restent fidèles et M’aiment plus qu’elles ne le font ; demande aussi qu’il n’y ait pas de mauvais exemples et de déshonneur dans le monde […]. Mais ma petite Reine, J’ai besoin d’une chapelle, il faut qu’elle soit faite quand Je dirai le moment et qu’il y aura de quoi la faire […]. Je désire et veux une belle chapelle pour honorer mon Divin Cœur, ce sera la Chapelle du Christ-Roi, Prince de la Paix et Maître de toutes les Nations. Je veux que cette chapelle soit faite pour mon Cœur et Je serai Roi de France et de tous les pays de l’univers.
Là viendront des âmes de tous les Etats pour chercher la paix et la force et même la lumière pour vivre et mourir sous mes lois […]. Maintenant tu diras à mes deux épouses [Mère Stanilas Koska, Prieure, et Mère Marie-Agnès, sous-prieure] que la France a besoin de prières et de communions ferventes. Mais mon Cœur demande en ce moment et surtout pendant ce mois de mon Cœur qu’elles soient fidèles à dire chaque soir l’acte de la Consécration de la France à mon Cœur adorable. Je me laisserai toucher et retoucher des prières faites avec ferveur. Toi, ma petite angélique, tu diras tous les jours ceci : "Mon Jésus, o mon Roi, sauvez, sauvez la France par pitié, par votre Cœur percé par la lance. Oui, sauve, sauve la France, je t’offre mes souffrances, laisse-moi entrer dans ton Cœur et la France sera victorieuse, tu seras le Grand Roi Sauveur" ».

6. Les apparitions de Versailles

Du livret « Les apparitions de Versailles », pages 13 à 18 :

Deux apparitions de Jésus « Roi de France », le 31 décembre 1914 et le 20 juin 1915

« Le 31 décembre 1914, le Sacré-Cœur s’est montré à une humble enfant de Marie [Marcelle Lanchon (1891-1933)] qui assistait au salut du Très Saint-Sacrement dans la chapelle de…Tout à coup son âme fut attirée irrésistiblement vers la divine Hostie exposée dans l’ostensoir ; et, au même instant, elle vit Notre-Seigneur debout sur l’autel. Il était d’une beauté incomparable et portait aux pieds et aux mains les plaies que son Amour lui a faites au temps de sa Passion et il était vêtu d’une longue robe d’un blanc ivoire. Bientôt apparurent à ses côtés deux personnages vêtus de blanc : l’un, Saint Michel, était debout, à sa droite, un peu en arrière ; l’autre, la bienheureuse Jeanne d’Arc, était à genoux, à sa gauche, et l’adorait. Chacun d’eux tenait l’extrémité d’une écharpe tricolore qui était posée sur la poitrine de Notre-Seigneur, à la manière de l’étole des diacres. Les trois couleurs de cette banderole n’étaient pas disposées dans le même sens que pour la ceinture de Notre-Dame de France, mais dans le sens de la longueur. Le Cœur divin tout resplendissant de lumière reposait sur cette écharpe. Il lui dit, parlant de la France et montrant son Cœur : ‘Vois comme je la chéris, quand donc répondra t-elle à mon plus cher désir ? Je veux voir l’image de mon Cœur peinte sur ses drapeaux. C’est mon Amour qui la châtie…Dis-le lui…‘. Tout cela ne dura qu’un instant, et l’âme favorisée de la visite divine ne vit là qu’une nouvelle demande en faveur du drapeau du Sacré-Cœur. Mais la grâce du 31 décembre n’était que le prélude de la grâce qu’il allait faire à la France le 20 juin 1915. La même enfant [Marcelle Lanchon] était en prière dans une chapelle dédiée au Sacré-Cœur, fixant le tabernacle où son Dieu se trouvait là, prisonnier par son Amour…Soudain, Il lui apparut au sein d’une éblouissante clarté, vêtu d’une longue robe blanche et portant l’écharpe tricolore ; mais, de plus, il avait sur sa tête adorable une couronne d’or, ornée de fleur de lis, et un manteau de pourpre avec large col en hermine, se continuant en revers jusqu’en bas, couvrait ses épaules. Ce manteau était, du reste, entièrement doublé d’hermine et retenu par une petite chaîne d’or et de riches agrafes ; il était assez ouvert pour laisser apercevoir les trois couleurs françaises. Ce divin Roi était monté sur un globe du monde, mais la partie supérieure duquel était écrit en lettre d’or le mot France. Son visage et tout son maintien étaient empreints d’une douce majesté et il avait aux pieds et aux mains ses Plaies divines. Quant à son Sacré-Cœur, il était sur le blanc de l’écharpe comme tout sanglant, environné de rayons d’or, entouré de la couronne d’épines et surmonté d’une petite croix. Au-dessous, sur le rouge, étaient écrits ces mots : "Il veut régner sur elle". De la main droite, il montrait cette inscription, et de la gauche, il montrait son divin Cœur… (Déposition de sœur Marguerite-Marie, supérieure).

Le message à transmettre

La demande en faveur du drapeau national n’était pas nouvelle puisque déjà formulée par Sainte Marguerite-Marie et Claire Ferchaud. Dans l’Ancien Testament, Dieu châtiait durement Israël, son peuple, toutes les fois qu’il était infidèle, qu’il s’adonnait à l’idolâtrie. Jésus, Roi de France, nous fait savoir que c’est par amour qu’il châtie ‘son’ pays. Et quel châtiment !...’La grippe espagnole, sorte de peste, fit encore plus de victimes que la guerre. Voulons-nous, dans la crise actuelle, éviter de pires châtiments ? Prions, réparons, faisons pénitence. Acceptons humblement ce que Dieu nous envoie. Ecoutons l’avertisement donné à Lourdes : ‘Pénitence, pénitence, pénitence !’.

Lieu et temps des apparitions

Une œuvre militaire, destinée à entourer les soldats isolés et à combler leurs besoins spirituels, prit naissance à Paris en 1862 sous la direction de R.P. Eudistes. Lors de la Commune, en 1871, cette œuvre fut transférée à Versailles et prit le nom de Notre-Dame du Soldat […]. Ce foyer du soldat est soutenu spirituellement par une association de prières, une archiconfrérie érigée canoniquement en 1875 par le Pape Léon XIII, Notre-Dame des Armées, qui compte plusieurs milliers de membres à travers toute la France […]. C’est dans la chapelle du foyer qu’eurent lieu les apparitions [4, impasse des Gendarmes à Versailles, derrière l’Hôtel de Ville]. Le Sacré-Cœur se manifeste dans une œuvre de la Congrégation de Saint Jean Eudes qui a tant fait pour promouvoir les cultes des Saints Cœurs de Jésus et de Marie. Le Christ, Victime innocente, mort pour nous sauver, apparaît en Roi de France dans ce foyer où d’humbles petits soldats, isolés, sans ressource, vont se regrouper, se former et qui seront les victimes innocentes de cette atroce guerre, mourant pour sauver la patrie. Et c’est au début et pendant ces années tragiques. Ce conflit fera près de deux millions de morts. Les très nombreux ex-voto qui garnissent la chapelle font comprendre que ce lieu a été favorisée par des grâces spéciales : guérisons, conversions, protections en temps de guerre ».

7. Notre-Seigneur Jésus à Sœur Josefa Menendez

De l’ouvrage « Un appel à l’amour » :

- extrait du message donné le 12 juin 1923, page 529 :

« Je veux pardonner. Je veux régner. Je veux pardonner aux âmes et aux nations. Je veux régner sur les âmes, sur les nations et sur le monde entier. Je veux répandre ma Paix jusqu’aux extrémités du monde entier. Je veux répandre ma Paix jusqu’aux extrémités du monde, mais, d’une manière spéciale sur cette terre bénie [la France], berceau de la dévotion à mon Cœur. Oui, Je veux être sa Paix, sa Vie, son Roi. Je suis la Sagesse et le Bonheur. Je suis l’Amour et la Miséricorde. Je suis la Paix, Je régnerai ! Pour effacer son ingratitude, Je répandrai un torrent de miséricorde. Pour réparer ses offenses, Je prendrai des victimes qui obtiendront le pardon…Oui, il y a dans le monde beaucoup d’âmes qui désirent me plaire…Il y a encore des âmes généreuses qui me donneront tout ce qu’elles ont, afin que je me serve d’elles selon mes désirs et ma volonté. Pour régner, Je commencerai par faire miséricorde, car mon Règne est de Paix et d’Amour : voilà la fin que Je veux réaliser, voilà mon Œuvre d’Amour ».

8. Notre-Seigneur Jésus à Jnsr

Du cinquième fascicule des « Messages depuis le Secret de Marie » :

- extrait du message « La Sainte Famille - Le grand Secret de la Croix » donné le 30 décembre 2005, page 48 :

« Personne ne peut effacer la Parole d’Or de Dieu. Je viens aujourd’hui redonner l’éclat de Vérité à tout ce que les aveugles de chaque Pays, à commencer par la France, ont effacé. La France est chrétienne. Son véritable Chef, c’est Jésus-Christ. Sa Loi, c’est Amour, Justice, Charité. Tout dans le Dieu Unique qui est à tous et à chacun, car Il est Père avant d’être Roi de tout l’Univers ».

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