Magnifique interview du Cardinal Burke sur la question des divorcés-remariés et l'accès Eucharistie
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Magnifique interview du Cardinal Burke sur la question des divorcés-remariés et l'accès Eucharistie
MAGNIFIQUE INTERVIEW DU CARDINAL BURKE SUR LA QUESTION DES DIVORCÉS-REMARIÉS ET L'ACCÈS À L'EUCHARISTIE!
Une magnifique interview du cardinal Burke !
Interrogé par Matteo Matzuzzi, pour Il Foglio, ill s'exprime avec une limpidité cristalline mais sans aucune connotation polémique sur les problèmes auxquels doit faire face l'Eglise aujourd'hui, notamment la réception de l'Eucharistie.
LE CARDINAL BURKE PARLE:
«OUI, JE SUIS UN FONDAMENTALISTE»
«JE SUIS OUVERT AU MONDE, MAIS J'INSISTE SUR LES CHOSES FONDAMENTALES. COMME L'EUCHARISTIE».
«L'ÉGLISE DOIT ÊTRE CLAIRE SUR SON IDENTITÉ».
14 octobre 2015
Matteo Matzuzzi
www.ilfoglio.it
Traduction par Anna
«Si par fondamentaliste on entend quelqu'un qui insiste sur les chose fondamentales, je suis un fondamentaliste. En tant que prêtre, je n'enseigne pas moi-même, je n'agis pas pour moi-même. J'appartiens au Christ. J'agis dans Sa personne. J'enseigne uniquement ce qu'Il enseigne dans Son Église, car cet enseignement sauvera les âmes».
Le cardinal Raymond Leo Burke, canoniste et depuis presque un an patron de l’Ordre Souverain Mmilitaire de Malte, répond ainsi à la question de Il Foglio, qui lui demande si son opposition connue et répétée à tout changement dans la pratique pastorale, dont on discute en ce moment au Synode, peut être qualifié de "fondamentalisme".
Burke nous invite à abandonner les étiquettes, dont l'utilisation «est une façon de dévaloriser une personne et de ne pas considérer la vérité de ce qu'elle enseigne ou accomplit. Je suis catholique romain, j'espère l'être toujours et, à la fin de ma vie terrestre, mourir dans les bras de l'Église».
Depuis aujourd'hui, son dernier livre "Divino Amore Incarnato - La santa Eucarestina sacramento di carità" (L'Amour Divin incarné - La Sainte Eucharistie sacrement de Charité) est en librairie, entièrement consacré au sacrement de la Communion. Burke écrit que l'eucharistie «est un mystère de foi, qui édifie l'Église». Un livre, explique-t-il, inspiré par les dernières années du Pontificat de Jean Paul II. Pendant les deux dernières années de son ministère pétrinien il a montré une préoccupation extraordinaire pour la perte de la foi eucharistique, dans l'Église, une situation très grave qu'il a affrontée depuis le début de son ministère pétrinien. Il est évident qu'au crépuscule de sa saison sur le Siège de Pierre il a voulu affronter la situation une fois de plus et avec une grande force, inspirant une nouvelle évangélisation sur l'eucharistie comme source et expression la plus haute de notre vie dans le Christ».
Au sujet de l'eucharistie on discute et on se bat à fleuret moucheté depuis deux ans, à travers livres, journaux et assemblées épiscopales. La donner ou ne pas la donner aux divorcés remariés, tel est le dilemme autour duquel se développe le débat synodal avec les deux camps occupés à identifier un compromis capable d'éviter des déchirements ultérieurs. Walter Kasper, théologien et cardinal allemand chargé par le Pontife de la Relation du consistoire sur la famille de février 2014, a récemment répété qu'on ne peut pas refuser la communion aux divorcés remariés, étant donné que l'eucharistie «est toujours pour les pécheurs».
Burke a les idées claires:
«La position du cardinal Walter Kasper n'est pas conciliable avec la doctrine de l'Église sur la sainte communion et l'indissolubilité du mariage. Certes, le très saint sacrement est pour les pécheurs, que nous sommes tous, mais pour les pécheurs repentis. La personne qui vit dans une union irrégulière est liée à un autre par le mariage, et vit donc publiquement en état d'adultère, d'après l'enseignement clair du Seigneur dans l'Évangile. Tant que la personne dans une union irrégulière, c'est-à-dire dans un contexte contraire à la vérité du Christ sur le mariage, ne corrige pas sa propre situation, elle ne peut pas s'approcher pour recevoir les sacrements, car elle n'a pas manifesté le repentir nécessaire pour la réconciliation avec Dieu».
Et pourtant on en discute, et nombreux sont ceux qui voudraient ouvrir à cette possibilité, aussi au nom de la miséricorde divine qui ne laisse personne derrière. Burke affirme:
«Si l'Église permettait la réception des sacrements (même dans un seul cas) à une personne dans une union irrégulière, cela signifierait ou bien que le mariage n'est pas indissoluble et donc la personne ne vit pas dans un état d'adultère, ou bien que la sainte communion n'est pas la communion dans le corps et le sang du Christ, qui nécessite la juste disposition de la personne, c'est à dire le repentir du péché grave et la ferme résolution de ne plus pécher».
« ll est triste, ajoute le cardinal, que toute la discussion qui a suivi la présentation de la thèse du cardinal Kasper, aussi bien avant qu'après l'assemblée du Synode des évêques en octobre 2014, ait déjà créé une grande confusion parmi de nombreux fidèles. Plusieurs prêtres et évêques me disent que de nombreuses personnes vivant en des unions irrégulières sont convaincues que l'Église a changé son enseignement et qu'elles peuvent donc recevoir les sacrements. Dans une grande ville que j'ai visitée en mai dernier, il y a un avis sur la porte d'une église paroissiale où il est indiqué que dans cette église les divorcés remariés ont accès aux sacrements. Dans certains pays, il semble que les évêques aient pris la décision d'admettre aux sacrements ceux qui sont dans une union irrégulière».
Raymond Burke voit la confusion:
«Il n'y a pas de doute que la confusion est déjà grande, et que l'Église doit, pour le bien des âmes et son fidèle témoignage au Christ dans le monde, affirmer clairement son enseignement constant au sujet de l'indissolubilité du mariage et de la sainte communion».
La façon de réaffirmer cet enseignement, observe-t-il, c'est de revenir avec la mémoire à 2003, quand Jean-Paul II «écrivit une très belle encyclique sur l'eucharistie, qu'il signa le Jeudi Saint». Dans ce texte «Il a transmis une instruction de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, en collaboration avec la Congrégation pour la doctrine de la foi, dans le but de corriger les nombreux abus dans la célébration de la Sainte Messe».
Mais ce n’est pas tout, puisqu’ il a également «convoqué l'assemblée du Synode des évêques sur l'eucharistie», un événement qui a été célébré «après sa mort, et présidé par le Pape Benoît XVI. Il a aussi inauguré l'Année de l'Eucharistie, afin defavoriser une catéchèse plus appropriée sur la communion, une participation plus active au sacrifice eucharistique et une dévotion plus ardente au très saint sacrement. Le Pape Benoît XVI a poursuivi sur cette voie d'attention au sacrement engagée par son prédécesseur, dirigeant le Synode sur l'eucharistie et rédigeant une extraordinaire exhortation post synodale, Sacramentum Caritatis».
Cette dernière est justement celle qui inspire le cardinal américain. Le risque est aujourd'hui, peut-être, d'en diminuer la signification, en faisant presque apparaître la communion comme une routine ou guère plus:
«Il ne fait pas de doute que beaucoup de personnes dans L’Eglise, pour diverses raisons, ne perçoivent pas dans sa réalité extraordinaire le bien suprême dont le Seigneur a doté son Corps mystique, l'Église, c'est à dire le sacrement de l'eucharistie. Si l'on considère la vérité énoncée par Saint Thomas d'Aquin, selon qui l'eucharistie contient tout le bien de notre salut, il est difficile de comprendre pourquoi ils sont aussi nombreux à s'absenter de la messe dominicale et pourquoi beaucoup affirment ne pas croire que la sainte hostie est le vrai Corps du Christ».
Mais il y a encore autre chose, comme par exemple la difficulté à comprendre cette façon «d'offrir la sainte messe centrée sur le prêtre et la congrégation plutôt que sur la présence réelle du Christ, assis à la droite du Père au ciel, qui descend sur l'autel pour rendre présent son sacrifice, nous offrir à nouveau le don de lui-même, comme il l'a fait la première fois lors de la Dernière Cène, anticipant sa passion et sa mort pour notre salut. Si quelqu'un croit vraiment au sacrement de l'eucharistie, il ne renoncera pas à être présent à l'assemblée eucharistique et voudra montrer sa foi de façon concrète, par la dignité de la célébration de la sainte messe et les dévotions eucharistiques, l'exposition du Très Saint Sacrement avec la bénédiction, les processions eucharistiques, les visites au Très Saint Sacrement, des actes de communion spirituelle pendant la journée, et ainsi de suite».
Il y a plusieurs années, Joseph Ratzinger remarquait la participation croissante des fidèles à la communion, une tendance qui est allée en se consolidant au cours des décennies. Dans certains endroits, comme aux Etats-Unis, presque personne ne reste assis à sa place pendant le rite. Le problème réside peut-être aussi dans la manière d'enseigner le Catéchisme?
«À mon avis, déclare le cardinal Burke, la cause principale de la perte de la foi eucharistique et de toutes les offenses au Seigneur en sa présence réelle dans le Très Saint Sacrement est une catéchèse vide et même erronée qui a imprégné l'Église aux Etats-Unis pendant au moins les quarante dernières années. Je ne peux pas me prononcer sur la situation de la catéchèse dans les autres pays. Déjà à l'époque de mon ordination, en 1975, j'avais découvert que les textes de catéchèse sur l'eucharistie étaient gravement absents. J'ai enseigné à des enfants, les préparant pour la première communion et j'ai dû - faisant face aussi à la résistance de certains catéchistes - travailler beaucoup afin de leur enseigner la doctrine essentielle sur l'eucharistie et le comportement dû au moment de la sainte communion et face au très saint sacrement. Je me rappelle que la première année, quand je demandais aux candidats à la première communion ce qu'est la sainte hostie, la réponse commune (apprise dans les textes de la catéchèse) était que c'est du 'pain spécial'. Lorsque j'ai essayé de préciser que, même si l'hostie sainte a l'apparence du pain, elle n'est plus du pain mais le corps du Christ, les enfants restaient stupéfaits: c'était une chose qu'ils n'avaient jamais entendue».
«Le fait - ajoute le cardinal américain - que certains parents, peut-être nombreux, n'enseignaient pas à la maison la vérité sur l'eucharistie et n'assistaient pas régulièrement à la messe dominicale, a de plus en plus aggravé l'ignorance de la foi eucharistique. Aux Etats-Unis on dit assez souvent que plus de cinquante pour cent des catholiques ne croient plus en la présence réelle. Mais ceci est le cœur de la foi catholique. Celui qui ne croit plus en la présence réelle n'est plus catholique. La situation est grave et ne peut être corrigée que par une catéchèse complète et répétée – tout au long des années de l'enfance et de la jeunesse, et pour les adultes aussi par l'homélie dominicale - sur la richesse de la doctrine sur l'eucharistie, sur la façon de célébrer la sainte messe qui mette en évidence l'action du Christ à travers la personne du prêtre guidant les fidèles dans le sacrifice eucharistique. Une catéchèse nécessaire, en référence aussi à la dévotion eucharistique qui s'est développée de façon extraordinaire tout au long des siècles chrétiens, comme le rappelle le Pape Benoît XVI dans l'exhortation postsynodale Sacramentum Caritatis».
Un exemple peut-il être donné par l'Afrique, où l'Église est jeune et dynamique et où le nombre des conversions est extraordinaire comparé à celles de l'occident épuisé et de plus en plus sécularisé?
Le cardinal Burke estime que «comme déjà le bienheureux Paul VI avait insisté à ce propos et comme saint Jean-Paul II l’avait répété tout au long de son long pontificat, l'Église dans les pays dits du 'premier monde' a un besoin urgent d'une nouvelle évangélisation, c''est à dire d'enseigner, célébrer et vivre la foi catholique avec l'enthousiasme et l'énergie des premiers chrétiens et des premiers missionnaires. L'Église jeune et vivace de l'Afrique, par exemple, nous enseigne cet enthousiasme et cette énergie fondés sans doute sur l'enseignement apostolique et la discipline qui le sauvegarde et le promeut».
Burke revient sur le Synode de l’an dernier, où l’ «on a insisté sur l'admission aux sacrements pour les personnes vivant dans une union irrégulière et sur la nécessité pour l'Église de modifier son approche vis à vis des couples en cohabitation - qui ne sont pas mariés mais vivent de manière conjugale - et des personnes de même sexe vivant une liaison homosexuelle».
«À mon avis, observe le cardinal, cette insistance fondamentalement erronée est inspirée par une fausse compréhension du rapport entre foi et culture. Si l'Église doit aller à la rencontre de la culture, aller aux périphéries, comme le Pape François nous y a souvent exhortés, cette rencontre avec la culture ne peut être salutaire et fructueuse que si l'Église agit et parle avec la clarté et la limpidité appropriées à son identité divine et humaine. Si l'Église n'est pas claire sur sa propre identité et sur ce qu'elle a à offrir à la culture, elle risque de contribuer à la confusion», et c’est «l'erreur qui est en train de détruire la culture dans de nombreux pays».
Au contraire, explique Burke «sa rencontre avec la culture doit être l'occasion pour la réforme de la culture même. Le Christ, lors de sa rencontre avec la Samaritaine au puits de Jacob, a bien été accueillant mais il lui a parlé clairement du grave désordre de ses multiples mariages et des critères inhérents au culte de Dieu 'en esprit et vérité'».
Notre interlocuteur revient sur ses récents voyages en Afrique et Asie, y compris celui récent au Sri Lanka:
«J'ai été très impressionné par les manifestations de foi profondément catholique, surtout de foi eucharistique. Il était évident que les fidèles n'avaient pas les yeux obscurcis ou aveuglés par la sécularisation, qui n'a rien à voir avec la foi car elle est fondamentalement - comme l'a affirmé le Pape Jean-Paul II - une manière de vivre 'comme si Dieu n'existait pas'. En revanche, la foi vécue avec clarté et limpidité illumine les ombres de la sécularisation et inspire une transformation".
Il Foglio a hébergé il y a quelques jours une tribune du philosophe Stanislaw Grygiel, élève et pendant de nombreuses années conseiller de Jean-Paul II. Grygiel y affirmait qu'au Synode la nature sacramentelle de l'Église est en jeu. Burke souligne que «lorsque les pharisiens ont essayé de tromper Jésus avec la question sur la possibilité pour les mariés de divorcer, il a répondu en insistant sur le fait que Dieu au début (de la Création) les a faits homme et femme pour participer, par leur union fidèle, durable et féconde, par leur chair une, à son amour divin qui est fidèle, durable et générateur de vie humaine nouvelle. Le Christ a clarifié qu'il n'est pas venu au monde pour changer la réalité matrimoniale comme Dieu le Père l'avait constituée au début du monde, mais bien pour la restituer à sa vérité, sa beauté et sa bonté originelles. Par sa passion, sa mort, sa résurrection et son ascension, le Christ a élevé le sacrement naturel comme participation à l'Amour divin, au sacrement surnaturel, conférant aux époux la grâce de vivre fidèlement, jusqu'à la fin, la vérité de leur état matrimonial».
«Si l'Église changeait l'enseignement au sujet de l'indissolubilité du mariage sacramentel, affirme Burke, cela signifierait attaquer le mariage en tant que sacrement naturel, le mariage comme Dieu l'a créé depuis le début».
Quant aux critiques qui lui sont souvent adressées, d'être indisponible à toute ouverture envers les réalités concrètes qui transcendent la doctrine abstraite, Raymond Burke sourit:
«Je suis tout à fait ouvert au monde et je suis plein de compassion pour la situation de notre monde, qui est dans la confusion et dans l'erreur en ce qui concerne les vérités les plus fondamentales: l'inviolabilité de la vie humaine, l'intégrité du mariage et son fruit incomparable, la famille, ainsi que la liberté religieuse comme expression du rapport irremplaçable de l'homme avec Dieu. Pour cette raison, je vais à la rencontre du monde avec la vraie compassion que la vérité dans la charité offre au monde. Pendant les quarante années de mon sacerdoce, j'ai découvert que ce que l'homme (même sécularisé) attend d'un prêtre, c’est le Christ, sa vérité, son amour. Un prêtre qui, face à la situation de la culture actuelle, n'annonce pas la vérité avec clarté, ne pratique pas la charité pastorale et manque au témoignage inhérent à son office ».
SOURCE : http://benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/une--magnifique--interview-du-cardinal-burke.html
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Re: Magnifique interview du Cardinal Burke sur la question des divorcés-remariés et l'accès Eucharistie
@ admin
Ce synode aura au moins le mérite de découvrir les vrais défenseurs de doctrine sainte de l'église.
Pour ma part , les débats à la corde sensible et sont le scanner de la lutte entre la lumière et les ténèbres.
Quoi qu'il en soit , ce qui résultera de ce synode , d'un côté ou de l'autre, il y aura des déçus.
Nous vivons le temps de décisions et de transparences ....
Le pape est maintenant tenu d'affirmer la continuité dans la tradition de l'église sinon....
Boumbadaboum c'est le schisme absolu.
Ce synode aura au moins le mérite de découvrir les vrais défenseurs de doctrine sainte de l'église.
Pour ma part , les débats à la corde sensible et sont le scanner de la lutte entre la lumière et les ténèbres.
Quoi qu'il en soit , ce qui résultera de ce synode , d'un côté ou de l'autre, il y aura des déçus.
Nous vivons le temps de décisions et de transparences ....
Le pape est maintenant tenu d'affirmer la continuité dans la tradition de l'église sinon....
Boumbadaboum c'est le schisme absolu.
Bobestparti- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Magnifique interview du Cardinal Burke sur la question des divorcés-remariés et l'accès Eucharistie
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