Le Cardinal Marx et l'Église Catholique d'Allemagne veulent revoir l'enseignement sexuel de celle-ci

Nous savions déjà que les Evêques et Cardinaux allemands étaient des traitres de la foi… Mais maintenant nous en avons la preuve…. C’est eux qui préparent avec malice le synode d’Amazonie pour y introduire tout ce qui est contraire à la foi catholique…. Fin du célibat, mariage des prêtres, hommes mariés prêtres, contraception autorisée, fornication et adultère permis…..

Bref tout ce qui est contraire à la Sainte Loi de Dieu ….. Voilà pourquoi notre sainte maman, la Vierge Marie, nous averti par divers prophètes de rester fidèle à la Bible et au vrai Magistère de l’Eglise Catholique. Les Evêques et les cardinaux francs-maçons sont en train de tout prévoir pour déstabiliser la foi et la trahir…. pour faire place prochainement à l’Antéchrist….

Le Synode Amazonien n’est qu’un prétexte pour commencer la fausse Eglise, le schisme….

Sortons le Rosaire et prions sans cesse pour que Dieu humilie ces prélats qui servent Lucifer
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14 mars 2019 (LifeSiteNews) – Le cardinal Reinhard Marx a annoncé aujourd’hui que l’Église catholique en Allemagne était ouverte à revoir l’enseignement sexuel catholique qui interdit la contraception, la cohabitation et les relations homosexuelles.

Lors de leur assemblée de printemps à Lingen, en Allemagne, les 11 et 14 mars, la Conférence des évêques allemands a examiné les causes et les causes possibles de la crise actuelle des sévices sexuels commis en Allemagne. Les orateurs invités ont évoqué l’idée d’ordonner les soi-disant viri probati (hommes éprouvés moralement), ainsi que d’accepter la contraception, la cohabitation, les relations homosexuelles, ainsi que la théorie du genre.

Les évêques allemands ont maintenant décidé de poursuivre la discussion sur ces thèmes dans une série de discussions qu’ils qualifient de «voie synodale».

Le cardinal Marx, président de la Conférence des évêques allemands et archevêque de Munich-Freising, a donné une conférence de presse aujourd’hui à l’issue des travaux de l’Assemblée de printemps. Il a souligné que les évêques allemands traitaient des problèmes «systémiques» liés à la crise des abus, ce qui «n’a pas été discuté à Rome» lors du récent sommet sur les abus sexuels. Ici, il s’agit de «dangers de nature systémique». Pour autant qu’il sache, Marx a ajouté: «Nous sommes la seule église locale à affronter cette question maintenant».

La conférence de presse avait été retardée parce que, comme le révélait Marx, les évêques allemands ne pouvaient se mettre d’accord que sur le lancement d’un «processus synodal» en Allemagne dans les trente dernières minutes de leur rassemblement. Pour cela, trois forums de discussion seront dirigés par Mgr Felix Genn (sur le célibat), Mgr Franz-Josef Bode (sur la moralité sexuelle) et par Mgr Wiesemann (sur les questions de pouvoir et de participation). En septembre, les premiers résultats doivent être présentés. Ce processus doit être entrepris « avec le Comité central des catholiques allemands » (ZdK), a expliqué le cardinal Marx, très satisfait du résultat de cette assemblée de printemps. Il a ensuite déclaré au public qu’il avait rapidement appelé le professeur Thomas Sternberg, responsable du ZdK, afin de recevoir son engagement à collaborer.

Sternberg est connu pour avoir promu l’idée de prêtres mariés, de Communion pour les divorcés «remariés» et d’autres thèmes progressistes.

En expliquant les sujets proposés qui seront discutés plus en détail par les évêques allemands, le cardinal Marx a souligné trois aspects: la question du pouvoir, du célibat et de la moralité sexuelle de l’Église.

« La question est autorisée: le célibat doit-il toujours l’être? », A-t-il expliqué, ajoutant que « l’Église catholique a déjà épousé des prêtres ». Marx a également fait référence à l’un des orateurs candides de la réunion épiscopale, le professeur Eberhard Schockenhoff, a proposé un relâchement de l’enseignement moral de l’Église pour inclure l’acceptation de la contraception, la cohabitation, la théorie du genre et les couples homosexuels. Le cardinal Marx a commenté avec sympathie la contribution de cet orateur, affirmant que Schockenhoff « l’a très bien présenté [le débat sur la moralité sexuelle] ». Il a également ajouté « qu’il est nécessaire de discuter du Catéchisme ».

Schockenhoff avait déjà participé à une journée d’étude controversée à Rome, en mai 2015, en vue du deuxième Synode sur la famille, organisé notamment par la Conférence des évêques allemands. Le cardinal Marx a expliqué lors de la conférence de presse que «la majorité des évêques» pensaient qu’il était «nécessaire de changer» en ce qui concerne la moralité sexuelle de l’Église. Les évêques allemands ont convenu à l’unanimité d’entamer un «processus synodal» au terme duquel ils pourraient, dit Marx, envoyer une «lettre à Rome, lorsqu’il y a des points que nous ne pouvons clarifier», introduisant ainsi leurs thèmes dans l’Église universelle. Il a ensuite ajouté qu’autrefois, les évêques allemands avaient déjà compris la nécessité d’une telle discussion – ils avaient même envoyé, après leur synode national de Würzburg dans les années 1970, une série de questions à Rome – mais qu’ils n’avaient ensuite reçu aucune réponse. De Rome. À l’époque, certaines choses ne pouvaient toujours pas être discutées ouvertement, a-t-il ajouté, «car il pourrait y avoir des problèmes avec Rome». «Mais, a-t-il conclu,« le temps est maintenant écoulé ». Le cardinal Marx a précisé qu’il y avait eu un «tournant» dans l’Église. « Les choses ne peuvent plus continuer comme elles l’ont fait », a-t-il déclaré.

Lors de l’assemblée de printemps du 13 mars, l’un des orateurs officiellement invités, le professeur Philipp Müller, a proposé de discuter plus avant de l’idée d’ordonner les soi-disant viri probati, des hommes mariés prouvés moralement.

Selon sa proposition (sur laquelle il a travaillé avec un de ses collègues, le professeur Helmut Hoping), des hommes mariés âgés de 50 ans ou plus pourraient être ordonnés. Il a explicitement évoqué ici les déclarations du pape François, mais a admis que même le pape n’avait pas encore pris de décision à ce sujet « .

Le professeur Eberhard Schockenhoff, qui s’est également exprimé le 13 mars à l’Assemblée de printemps des évêques allemands, propose maintenant une refonte complète de l’enseignement moral de l’Église catholique.

Après avoir rejeté les prétentions traditionnelles fondamentales selon lesquelles la sexualité est ordonnée vers la procréation – et qu’elle ne soit donc licite qu’entre un homme et une femme et dans un mariage sacramentel – et que la nature humaine a été blessée par le péché originel et a donc besoin de directives morales faisant autorité, Un professeur de théologie de Fribourg propose les points suivants :
que la sexualité et la luxure soient considérées dans leurs caractéristiques positives comme aidant les gens à « s’assurer de leur identité », et donc à être considérées comme une « fin en soi », sans référence à la procréation; « La sexualité détermine toute l’existence de l’homme », affirme Schockenhoff ; tout en affirmant «la fin sociale de la sexualité et son importance pour la préservation de la société humaine» à l’aide de la procréation, il convient néanmoins d’accepter la contraception artificielle: «la planification familiale, même à l’aide de moyens de contraception artificiels, ne constitue pas un acte contre la vie (insinuées par des condamnations magistrales), mais plutôt au service de la vie. « «Auto-sexe», c’est-à-dire masturbation, «peut signifier une gestion responsable de sa propre sexualité» «Les actes homosexuels réalisent des valeurs positives de signification [sic], dans la mesure où ils peuvent être une expression d’amitié, de fiabilité, de fidélité et d’assistance dans la vie. »Alors que le mariage monogame est «le meilleur cadre biographique et institutionnel» en matière de sexualité humaine, Schockenhoff se réfère avec sympathie à un document du synode de Würzburg qui demande «si une relation de couple non marié est orientée vers la durée et l’exclusivité –

Schockenhoff affirme qu’une telle approche pourrait considérer la vie sexuelle de tels couples «de manière positive», tant qu’ils «ne nuisent à personne».les relations homosexuelles doivent être «acceptées sans condition» et leurs activités sexuelles ne doivent pas être «moralement exclues».l’Église devrait «accepter avec un langage approuvé qu’il existe des personnes qui ne peuvent pas s’identifier entièrement comme appartenant à l’homme du sexe féminin». Ce n’est pas chez chaque personne que se trouve l’identification sexuelle claire.alors que Schockenhoff continue de dire que l’Eglise devrait «conserver la conception du mariage comme un partenariat de vie affectif et intégral entre un homme et une femme», il tient à s’assurer que «le peuple homosexuel et intersexuel ainsi que les personnes transgenres» personnes « ne doivent pas être injustement » discriminés « .

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