Homélie du dimanche avec Normandt
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Re: Homélie du dimanche avec Normandt
A 32 TO 12no23
Mt 25, 1-13 1Th 4, 13-18 Sg 6, 12-16
Il semble qu’il y a des choses dans la vie qui ne se partagent pas. Dans l’Évangile, ce sont les vierges sages qui ne peuvent pas partager leur huile pour ajouter de la lumière aux autres filles, qui souhaitent aussi aller aux noces et voir l’époux.
« Au milieu de la nuit, il y eut un cri : ‘Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.’ Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe. Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes : ‘Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.’ Les prévoyantes leur répondirent : ‘Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.’ »
Comment concilier la sagesse et décider de ne pas partager ce que nous avons aux autres. Pourquoi, lorsque Jésus n’a pas cessé de nous parler et de nous vanter la justice et la charité, semble-t-il fait-il volte-face et nous inviter à ne pas partager de l’huile avec d’autres?
Jésus, nous le savons, ne peut pas nous demander quelque chose contraire à sa volonté. L’Amour de Dieu est unique et sera toujours donné à tous et à toutes. Donc, Jésus, comme nous le connaissons, essaie de nous dire autre chose. Nous ne pouvons pas tout partager. Il y a de ces choses qui ne se partagent pas.
L’attention constante à Jésus et le suivre pendant notre vie est sûrement dans l’intention de Jésus. Lorsque nous tenons notre cœur uni au Cœur Sacré de Jésus, c’est quelque chose que nous ne pouvons pas donner aux autres, nous le vivons. Cela dépend du « oui » de chaque personne et de vivre une relation avec Jésus, tout simplement.
Chaque personne est unique et leur relation avec Dieu est aussi unique. Si les autres recherchent Dieu et le reçoivent, ils vont aussi saisir que c’est le seul passage, afin d’entrer dans le Royaume de Dieu. Mais si les personnes sont insouciantes, elles ne verront pas, pire encore, elles ne comprendront pas qu’elles puissent être sauvés par le Christ. Et lorsque l’Époux arrivera, elles seront ailleurs, dans le passé ou le futur.
Qui va leur dire? Où sont les pasteurs humains qui vont leur dire que Dieu les Aime?
Puisque nos lampes sont pleines, quel est le message que nous pouvons dire aux personnes de l’Amour de Dieu. Et en plus nous savons que l’Amour de Dieu ne s’explique pas. Saint Jean nous dit que Dieu est Amour. Nous le croyons que Dieu est Amour. C’est la première partie.
Ensuite, nous avons à accepter l’Amour de Dieu en nous. Cela semble aller de soi, mais pas tant que ça. Pour cela, nous sommes invités à tout remettre à Jésus, vraiment tout. Et à permettre à Dieu de nous Aimer. Nous retrouvons Dieu dans le présent, lorsque nous sommes en paix et dans la joie. La paix, la joie et l’Amour, c’est Dieu en nous. La vie en nous est l’Amour de Dieu.
Puis, nous ressentons l’élan de l’Amour de Dieu en nous. Cet élan, c’est l’Amour qui passe par notre cœur pour toucher le cœur de chaque personne que nous rencontrons. Le savoir c’est permettre à Dieu d’être Amour en nous et autour de nous.
La prière c’est ce moment où nous avons confiance en Dieu et nous lui remettons tout ce qui est positif et négatif.
Vivre le moment présent est une joie intense. Souvent nous l’appelons « le vide » et nous y pensons trop en nous disant que c’est très difficile et compliqué. Mais c’est nous qui le compliquons, puisque ce vide, c’est la paix et le moment présent.
Il ne reste qu’à le dévoiler aux personnes autour de nous. Quelle est la plus grande joie que tu as vécue? L’Amour de Dieu est à l’infini de la plus grande joie que tu as vécue.
Chaque fois que nous découvrons les beautés de Dieu dans une personne et que nous leur disons, chaque fois cela augmente l’huile de la vie, de la paix, de la joie et en Premier, de l’Amour de Dieu en la personne.
C’est beau la joie qui est en toi, c’est beau la paix qui est en toi, c’est beau l’Amour de Dieu qui est en toi.
Recevons l’Amour de Dieu à 100% dans l’Eucharistie et portons-le à chaque personne sur la route. Permettons à Dieu en nous de rayonner hors de nous. Cela demande simplement de le savoir que Dieu est en nous et qu’il rayonne hors de nous.
Mt 25, 1-13 1Th 4, 13-18 Sg 6, 12-16
Il semble qu’il y a des choses dans la vie qui ne se partagent pas. Dans l’Évangile, ce sont les vierges sages qui ne peuvent pas partager leur huile pour ajouter de la lumière aux autres filles, qui souhaitent aussi aller aux noces et voir l’époux.
« Au milieu de la nuit, il y eut un cri : ‘Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.’ Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe. Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes : ‘Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.’ Les prévoyantes leur répondirent : ‘Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.’ »
Comment concilier la sagesse et décider de ne pas partager ce que nous avons aux autres. Pourquoi, lorsque Jésus n’a pas cessé de nous parler et de nous vanter la justice et la charité, semble-t-il fait-il volte-face et nous inviter à ne pas partager de l’huile avec d’autres?
Jésus, nous le savons, ne peut pas nous demander quelque chose contraire à sa volonté. L’Amour de Dieu est unique et sera toujours donné à tous et à toutes. Donc, Jésus, comme nous le connaissons, essaie de nous dire autre chose. Nous ne pouvons pas tout partager. Il y a de ces choses qui ne se partagent pas.
L’attention constante à Jésus et le suivre pendant notre vie est sûrement dans l’intention de Jésus. Lorsque nous tenons notre cœur uni au Cœur Sacré de Jésus, c’est quelque chose que nous ne pouvons pas donner aux autres, nous le vivons. Cela dépend du « oui » de chaque personne et de vivre une relation avec Jésus, tout simplement.
Chaque personne est unique et leur relation avec Dieu est aussi unique. Si les autres recherchent Dieu et le reçoivent, ils vont aussi saisir que c’est le seul passage, afin d’entrer dans le Royaume de Dieu. Mais si les personnes sont insouciantes, elles ne verront pas, pire encore, elles ne comprendront pas qu’elles puissent être sauvés par le Christ. Et lorsque l’Époux arrivera, elles seront ailleurs, dans le passé ou le futur.
Qui va leur dire? Où sont les pasteurs humains qui vont leur dire que Dieu les Aime?
Puisque nos lampes sont pleines, quel est le message que nous pouvons dire aux personnes de l’Amour de Dieu. Et en plus nous savons que l’Amour de Dieu ne s’explique pas. Saint Jean nous dit que Dieu est Amour. Nous le croyons que Dieu est Amour. C’est la première partie.
Ensuite, nous avons à accepter l’Amour de Dieu en nous. Cela semble aller de soi, mais pas tant que ça. Pour cela, nous sommes invités à tout remettre à Jésus, vraiment tout. Et à permettre à Dieu de nous Aimer. Nous retrouvons Dieu dans le présent, lorsque nous sommes en paix et dans la joie. La paix, la joie et l’Amour, c’est Dieu en nous. La vie en nous est l’Amour de Dieu.
Puis, nous ressentons l’élan de l’Amour de Dieu en nous. Cet élan, c’est l’Amour qui passe par notre cœur pour toucher le cœur de chaque personne que nous rencontrons. Le savoir c’est permettre à Dieu d’être Amour en nous et autour de nous.
La prière c’est ce moment où nous avons confiance en Dieu et nous lui remettons tout ce qui est positif et négatif.
Vivre le moment présent est une joie intense. Souvent nous l’appelons « le vide » et nous y pensons trop en nous disant que c’est très difficile et compliqué. Mais c’est nous qui le compliquons, puisque ce vide, c’est la paix et le moment présent.
Il ne reste qu’à le dévoiler aux personnes autour de nous. Quelle est la plus grande joie que tu as vécue? L’Amour de Dieu est à l’infini de la plus grande joie que tu as vécue.
Chaque fois que nous découvrons les beautés de Dieu dans une personne et que nous leur disons, chaque fois cela augmente l’huile de la vie, de la paix, de la joie et en Premier, de l’Amour de Dieu en la personne.
C’est beau la joie qui est en toi, c’est beau la paix qui est en toi, c’est beau l’Amour de Dieu qui est en toi.
Recevons l’Amour de Dieu à 100% dans l’Eucharistie et portons-le à chaque personne sur la route. Permettons à Dieu en nous de rayonner hors de nous. Cela demande simplement de le savoir que Dieu est en nous et qu’il rayonne hors de nous.
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Re: Homélie du dimanche avec Normandt
A Dimanche 19 novembre 2023
Mt 25, 14-30 1Th 5, 1-6 Pr 31, 10-13.19-20.30-31
Aujourd’hui, il est question des efforts que nous déployons pour demeurer solides dans la foi. Dans la lecture des Proverbes, nous lisons : « Une femme parfaite, qui la trouvera ? Elle est précieuse plus que les perles ! » La vaillance chez la femme et chez l’homme, c’est une grâce dont nous avons la chance d’observer. Nous louons ces personnes pour le travail et le bien qu’elles réalisent où l’Amour de Dieu passe par leur cœur.
Il y a une différence entre une personne qui se donne avec équilibre et une personne qui se donne jusqu’à l’épuisement. Si l’équilibre d’une personne est loué, l’épuisement d’une personne fait craindre pour sa santé et la santé des personnes autour d’elle. Si elle est trop exigeante avec elle-même combien plus elle sera trop exigeante avec les autres?
Nous savons que nous pouvons faire fructifier nos talents un jour à la fois et progressivement. Lorsque nous pensons à sainte Thérèse de Lisieux dans son cloître, nous savons qu’elle n’était pas appelée à faire les milles pas chaque jour pour rejoindre des personnes sur les routes de la vie. Par contre, elle portait au Seigneur toutes les personnes à qui elle pouvait penser.
Elle priait pour le bien de l’Église et pour les prêtres. C’était sa mission. En plus, pour la garder occupée, elle avait ses tâches quotidiennes. Si ce n’était pas pour le froid cuisant de l’hiver dans un cloître sans chauffage, en Europe, la petite Thérèse aurait vécu plus longtemps. Elle est décédée de tuberculose.
Si ce n’était de la reconnaissance des sœurs à son endroit, sa vie aurait été autant sainte mais non pas connue de millions de personnes.
Combien de personnes autour de nous dont nous pouvons dire avec beaucoup de justesse qu’elles sont saintes. Ces personnes avaient un but particulier qui très souvent a échappé à beaucoup de personnes.
Quel est ce but si particulier que les saintes personnes ont? Ce n’est pas tant le travail qu’elles font que de la manière qu’elles le font. Ce n’est pas tant la quantité de travail qui est remarqué.
C’est surtout le talent qui est déployé. Or, une personne peut faire beaucoup de choses, mais le plus important est sa relation à Dieu. Parce que Dieu est celui qui nous offre les talents et il est le seul qui peut les faire fructifier en nous.
Ce que les saintes et les saints ont de si remarquable est leur relation à Jésus. Avant tout le talent qu’une personne peut disposer, c’est la relation à Jésus qui domine. Placer notre confiance en Jésus nous permet de recevoir exactement ce dont nous avons besoin pour la mission.
Nous n’avons pas à tous faire pareil, nous sommes en mission lorsque notre mission vient de Jésus et que nous déployons les talents que Jésus nous offre pour la mission. Quelle que soit la mission. Thérèse s’était réservée à Dieu dans une clôture, dont elle ne sortirait jamais.
Elle vivait dans un lieu de prière et d’adoration. Elle vivait déjà la béatitude qu’elle retrouverait aussi à son entrée au ciel. Elle vivait des moments uniques avec Dieu dans le silence. Quelle grâce de se laisser aller à la bienveillance de Dieu et de placer toute sa confiance en lui. Ça c’est du talent.
Cela dit, nous avons tous et toutes du talent lorsque nous laissons à Jésus le soin de guider notre journée, chaque journée.
Remarquons dans ce qui suit ce que Jésus dit que la personne a reçu ses 5 talents. Elle n’a rien fait pour recevoir ses talents, mais c’est avec Jésus qu’elle les a faits fructifier : « Celui qui avait reçu les cinq talents s'avança en apportant cinq autres talents et dit : ‘Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres.’ Son maître lui déclara : ‘Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.’ »
Cette personne était déjà dans la joie de son maître. Et le Seigneur vient lui confirmer que la joie va demeurer éternellement. Demandons encore à Jésus de nous dévoiler nos talents et entrons dès maintenant dans la joie de notre Roi. Recevons la joie, la paix et l’Amour de Dieu dans l’Eucharistie.
Mt 25, 14-30 1Th 5, 1-6 Pr 31, 10-13.19-20.30-31
Aujourd’hui, il est question des efforts que nous déployons pour demeurer solides dans la foi. Dans la lecture des Proverbes, nous lisons : « Une femme parfaite, qui la trouvera ? Elle est précieuse plus que les perles ! » La vaillance chez la femme et chez l’homme, c’est une grâce dont nous avons la chance d’observer. Nous louons ces personnes pour le travail et le bien qu’elles réalisent où l’Amour de Dieu passe par leur cœur.
Il y a une différence entre une personne qui se donne avec équilibre et une personne qui se donne jusqu’à l’épuisement. Si l’équilibre d’une personne est loué, l’épuisement d’une personne fait craindre pour sa santé et la santé des personnes autour d’elle. Si elle est trop exigeante avec elle-même combien plus elle sera trop exigeante avec les autres?
Nous savons que nous pouvons faire fructifier nos talents un jour à la fois et progressivement. Lorsque nous pensons à sainte Thérèse de Lisieux dans son cloître, nous savons qu’elle n’était pas appelée à faire les milles pas chaque jour pour rejoindre des personnes sur les routes de la vie. Par contre, elle portait au Seigneur toutes les personnes à qui elle pouvait penser.
Elle priait pour le bien de l’Église et pour les prêtres. C’était sa mission. En plus, pour la garder occupée, elle avait ses tâches quotidiennes. Si ce n’était pas pour le froid cuisant de l’hiver dans un cloître sans chauffage, en Europe, la petite Thérèse aurait vécu plus longtemps. Elle est décédée de tuberculose.
Si ce n’était de la reconnaissance des sœurs à son endroit, sa vie aurait été autant sainte mais non pas connue de millions de personnes.
Combien de personnes autour de nous dont nous pouvons dire avec beaucoup de justesse qu’elles sont saintes. Ces personnes avaient un but particulier qui très souvent a échappé à beaucoup de personnes.
Quel est ce but si particulier que les saintes personnes ont? Ce n’est pas tant le travail qu’elles font que de la manière qu’elles le font. Ce n’est pas tant la quantité de travail qui est remarqué.
C’est surtout le talent qui est déployé. Or, une personne peut faire beaucoup de choses, mais le plus important est sa relation à Dieu. Parce que Dieu est celui qui nous offre les talents et il est le seul qui peut les faire fructifier en nous.
Ce que les saintes et les saints ont de si remarquable est leur relation à Jésus. Avant tout le talent qu’une personne peut disposer, c’est la relation à Jésus qui domine. Placer notre confiance en Jésus nous permet de recevoir exactement ce dont nous avons besoin pour la mission.
Nous n’avons pas à tous faire pareil, nous sommes en mission lorsque notre mission vient de Jésus et que nous déployons les talents que Jésus nous offre pour la mission. Quelle que soit la mission. Thérèse s’était réservée à Dieu dans une clôture, dont elle ne sortirait jamais.
Elle vivait dans un lieu de prière et d’adoration. Elle vivait déjà la béatitude qu’elle retrouverait aussi à son entrée au ciel. Elle vivait des moments uniques avec Dieu dans le silence. Quelle grâce de se laisser aller à la bienveillance de Dieu et de placer toute sa confiance en lui. Ça c’est du talent.
Cela dit, nous avons tous et toutes du talent lorsque nous laissons à Jésus le soin de guider notre journée, chaque journée.
Remarquons dans ce qui suit ce que Jésus dit que la personne a reçu ses 5 talents. Elle n’a rien fait pour recevoir ses talents, mais c’est avec Jésus qu’elle les a faits fructifier : « Celui qui avait reçu les cinq talents s'avança en apportant cinq autres talents et dit : ‘Seigneur, tu m’as confié cinq talents ; voilà, j’en ai gagné cinq autres.’ Son maître lui déclara : ‘Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.’ »
Cette personne était déjà dans la joie de son maître. Et le Seigneur vient lui confirmer que la joie va demeurer éternellement. Demandons encore à Jésus de nous dévoiler nos talents et entrons dès maintenant dans la joie de notre Roi. Recevons la joie, la paix et l’Amour de Dieu dans l’Eucharistie.
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Re: Homélie du dimanche avec Normandt
A dimanche 26 novembre 2023 Christ Roi
Mt 25, 31-46 1Co 15, 20-26.28 Ez 34, 11-12.15-17
La première lecture tirée du livre d’Ézéchiel est très réconfortante. Dieu dit qu’il va s’occuper lui-même de ses brebis. Dieu s’occupe lui-même de nous. Il nous dit : « C’est moi qui ferai paître mon troupeau, et c’est moi qui le ferai reposer, – oracle du Seigneur Dieu. La brebis perdue, je la chercherai ; l’égarée, je la ramènerai. Celle qui est blessée, je la panserai. Celle qui est malade, je lui rendrai des forces. »
Dieu s’occupe de nous. Il n’a que ça à faire, s’occuper de nous. Et c’est à nous de lui permettre de veiller sur nous, de nous retrouver, de nous aider à sortir des endroits où nous avons possiblement errés, où nous avons possiblement sorti de la route qui mène au salut. Parfois, nous nous égarons dans des sentiers qui nous éloignent de l’Amour de Dieu, surtout à vouloir trop en faire, mais Dieu fait tout pour nous ramener à sa suite.
Quelle grâce de savoir que Dieu est constamment à notre recherche. Il aime nous trouver, il est avec nous déjà. Et il est avec chaque personne sans distinction, de la plus pauvre à la plus à l’aise. Nous n’avons qu’à nous rendre disponible et à le laisser nous rejoindre, puis nous transformer, puis nous laisser Aimer. Plus nous laissons à Dieu le soin de nous prendre en main, de nous aimer, plus nous allons être transformés et ressembler à son Amour.
Relisons le Psaume sans le répond : « Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien. Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer. Il me mène vers les eaux tranquilles et me fait revivre ; il me conduit par le juste chemin pour l’honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ton bâton me guide et me rassure. Tu prépares la table pour moi devant mes ennemis ; tu répands le parfum sur ma tête, ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent tous les jours de ma vie ; j’habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours. »
Plus nous allons nous approcher de Jésus, mieux notre vie va se transformer et nous deviendrons l’être humain que Dieu a créé.
Jésus est notre soleil dont nous pouvons nous approcher sans voyager et sans payer. Nous laisser illuminer par Jésus nous permet de voir mieux dans notre vie et dans ce qui nous entoure. De toute manière nous sommes toujours devant Jésus. Il ne suffit que de l’accueillir.
Voici ce qui est dit dans l’Évangile : « Quand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui. » Le mal qui peut se trouver caché dans notre vie, nous pouvons le remettre à Jésus et il nous éclairera de sa lumière.
Comme ça nous devenons de plus en plus libres, de plus en plus joyeux, sachant que Jésus nous ramène vie. Avec cette transformation et à laisser Jésus être le Roi de notre vie, cela nous permet de le porter aux autres, par nos actions, par nos paroles et par notre prière et notre confiance en Jésus.
Lorsque Jésus passe dans notre vie, il y a une transformation évidente. Et les personnes autour de nous peuvent reconnaître en nous ce que Jésus dit : « J'avais faim, et vous m'avez donné à manger ; j'avais soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais un étranger, et vous m'avez accueilli ; j'étais nu, et vous m'avez habillé ; j'étais malade, et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venus jusqu'à moi !' »
Continuons de permettre à Jésus de nous servir son Amour et de le servir à nos sœurs et frères, même si parfois nous pensons que ça ne donne rien. Et à notre grande surprise nous entendrons Jésus nous dire dans notre cœur, dès maintenant : « Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume. »
Mt 25, 31-46 1Co 15, 20-26.28 Ez 34, 11-12.15-17
La première lecture tirée du livre d’Ézéchiel est très réconfortante. Dieu dit qu’il va s’occuper lui-même de ses brebis. Dieu s’occupe lui-même de nous. Il nous dit : « C’est moi qui ferai paître mon troupeau, et c’est moi qui le ferai reposer, – oracle du Seigneur Dieu. La brebis perdue, je la chercherai ; l’égarée, je la ramènerai. Celle qui est blessée, je la panserai. Celle qui est malade, je lui rendrai des forces. »
Dieu s’occupe de nous. Il n’a que ça à faire, s’occuper de nous. Et c’est à nous de lui permettre de veiller sur nous, de nous retrouver, de nous aider à sortir des endroits où nous avons possiblement errés, où nous avons possiblement sorti de la route qui mène au salut. Parfois, nous nous égarons dans des sentiers qui nous éloignent de l’Amour de Dieu, surtout à vouloir trop en faire, mais Dieu fait tout pour nous ramener à sa suite.
Quelle grâce de savoir que Dieu est constamment à notre recherche. Il aime nous trouver, il est avec nous déjà. Et il est avec chaque personne sans distinction, de la plus pauvre à la plus à l’aise. Nous n’avons qu’à nous rendre disponible et à le laisser nous rejoindre, puis nous transformer, puis nous laisser Aimer. Plus nous laissons à Dieu le soin de nous prendre en main, de nous aimer, plus nous allons être transformés et ressembler à son Amour.
Relisons le Psaume sans le répond : « Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien. Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer. Il me mène vers les eaux tranquilles et me fait revivre ; il me conduit par le juste chemin pour l’honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ton bâton me guide et me rassure. Tu prépares la table pour moi devant mes ennemis ; tu répands le parfum sur ma tête, ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent tous les jours de ma vie ; j’habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours. »
Plus nous allons nous approcher de Jésus, mieux notre vie va se transformer et nous deviendrons l’être humain que Dieu a créé.
Jésus est notre soleil dont nous pouvons nous approcher sans voyager et sans payer. Nous laisser illuminer par Jésus nous permet de voir mieux dans notre vie et dans ce qui nous entoure. De toute manière nous sommes toujours devant Jésus. Il ne suffit que de l’accueillir.
Voici ce qui est dit dans l’Évangile : « Quand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui. » Le mal qui peut se trouver caché dans notre vie, nous pouvons le remettre à Jésus et il nous éclairera de sa lumière.
Comme ça nous devenons de plus en plus libres, de plus en plus joyeux, sachant que Jésus nous ramène vie. Avec cette transformation et à laisser Jésus être le Roi de notre vie, cela nous permet de le porter aux autres, par nos actions, par nos paroles et par notre prière et notre confiance en Jésus.
Lorsque Jésus passe dans notre vie, il y a une transformation évidente. Et les personnes autour de nous peuvent reconnaître en nous ce que Jésus dit : « J'avais faim, et vous m'avez donné à manger ; j'avais soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais un étranger, et vous m'avez accueilli ; j'étais nu, et vous m'avez habillé ; j'étais malade, et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venus jusqu'à moi !' »
Continuons de permettre à Jésus de nous servir son Amour et de le servir à nos sœurs et frères, même si parfois nous pensons que ça ne donne rien. Et à notre grande surprise nous entendrons Jésus nous dire dans notre cœur, dès maintenant : « Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume. »
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Re: Homélie du dimanche avec Normandt
B Dimanche 10 Décembre 2023 2e Avent
Mc 1, 1-8 2P 3, 8-14 Is 40, 1-5.9-11
Ce deuxième dimanche de l’Avent nous invite à préparer notre cœur. Mais comment? Comment préparer notre cœur? Comment nous préparons-nous pour recevoir Dieu?
Imaginons que nous attendons un enfant. Toute notre attention se porte sur l’être qui va venir. C’est spécial, parce que nous ne le voyons pas, mais nous sommes conscients qu’il est dans le ventre de maman. Même si nous ne le voyons pas, nous vivons une grande joie. Nous imaginons bien à quel point les parents sont dans la joie.
Notre cœur se prépare à recevoir cet enfant. Nous continuons à réaliser ce que nous faisons, mais notre attention est différente, nous vivons quelque chose de plus, de remarquable. Ce petit enfant retient notre attention. Il devient notre préoccupation principale.
De la même manière, notre être est tourné vers Dieu. Mais est-ce que nous attendons Dieu autant qu’un bébé? Peut-être que oui, peut-être que non. Et c’est en ce moment que nous sommes invités à nouveau à nous recentrer sur la naissance prochaine de Dieu au cœur de notre monde. Non seulement il est Dieu qui est au-dessus de nous, mais notre Dieu est un Dieu au milieu de nous. Présentement, il est au milieu de nous dans le ventre de Marie.
Prenons souvent le temps d’ici la naissance de Jésus, de nous recentrer sur le ventre de Marie et entrons dans sa joie et dans la joie des anges et des saintes et saints au ciel comme des personnes attentives à Dieu, ici sur terre.
Écoutons dans notre cœur ce que Dieu nous dit déjà. Prenons un exemple dans le Psaume suggéré aujourd’hui : « Ce qu'il dit, c'est la paix pour son peuple. » Ce que Dieu nous dit, c’est la paix pour nos familles. Dieu veut la paix dans le monde pour toutes les familles, pour chacun de nous.
Saint Pierre ajoute : « C’est pourquoi, bien-aimés, en attendant cela, faites tout pour qu’on vous trouve sans tache ni défaut, dans la paix. »
« Sans tache ni défaut. » Laissons-nous nettoyer par le Saint Esprit. Trouvons des manières de laisser aller certaines choses conscientes ou inconscientes qui nous gardent enchainées. Devenons plus libres pour le jour où le Seigneur viendra tout refaire en neuf, en nous. Ouvrons-nous à la Lumière de Dieu. Ouvrons-nous à la joie de Dieu. Ouvrons-nous à la vie et à l’Amour de Dieu. Revenons de tout cœur pour entrer dans le Cœur de Dieu.
Saint Marc nous rappelle ce passage du prophète Isaïe. « Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers. » Préparons le chemin du Seigneur dans notre cœur, dans notre être. Offrons à Dieu tous les moyens de trouver sa place dans notre cœur.
Cela veut aussi dire de trouver Dieu dans le cœur de nos frères et sœurs que nous rencontrons chaque jour sur le chemin. Nous sommes invités à offrir la joie et la paix à tout le monde et à le recevoir pleinement.
Nous avons besoin de tous les éléments de l’Amour de Dieu pour continuer à espérer contre toute espérance dans notre monde. La paix, la joie, l’Amour, l’espérance, nous avons besoin de tout cela pour continuer sur une route aplanie avec nos sœurs et frères, avec Dieu.
En ce temps de l’Avent, continuons d’accepter que Dieu trouve sa place dans notre vie, chaque jour, comme des parents qui attende joyeusement l’arrivé de leur bébé.
Accueillons en nous Jésus comme Marie l’a accueilli en elle.
Mc 1, 1-8 2P 3, 8-14 Is 40, 1-5.9-11
Ce deuxième dimanche de l’Avent nous invite à préparer notre cœur. Mais comment? Comment préparer notre cœur? Comment nous préparons-nous pour recevoir Dieu?
Imaginons que nous attendons un enfant. Toute notre attention se porte sur l’être qui va venir. C’est spécial, parce que nous ne le voyons pas, mais nous sommes conscients qu’il est dans le ventre de maman. Même si nous ne le voyons pas, nous vivons une grande joie. Nous imaginons bien à quel point les parents sont dans la joie.
Notre cœur se prépare à recevoir cet enfant. Nous continuons à réaliser ce que nous faisons, mais notre attention est différente, nous vivons quelque chose de plus, de remarquable. Ce petit enfant retient notre attention. Il devient notre préoccupation principale.
De la même manière, notre être est tourné vers Dieu. Mais est-ce que nous attendons Dieu autant qu’un bébé? Peut-être que oui, peut-être que non. Et c’est en ce moment que nous sommes invités à nouveau à nous recentrer sur la naissance prochaine de Dieu au cœur de notre monde. Non seulement il est Dieu qui est au-dessus de nous, mais notre Dieu est un Dieu au milieu de nous. Présentement, il est au milieu de nous dans le ventre de Marie.
Prenons souvent le temps d’ici la naissance de Jésus, de nous recentrer sur le ventre de Marie et entrons dans sa joie et dans la joie des anges et des saintes et saints au ciel comme des personnes attentives à Dieu, ici sur terre.
Écoutons dans notre cœur ce que Dieu nous dit déjà. Prenons un exemple dans le Psaume suggéré aujourd’hui : « Ce qu'il dit, c'est la paix pour son peuple. » Ce que Dieu nous dit, c’est la paix pour nos familles. Dieu veut la paix dans le monde pour toutes les familles, pour chacun de nous.
Saint Pierre ajoute : « C’est pourquoi, bien-aimés, en attendant cela, faites tout pour qu’on vous trouve sans tache ni défaut, dans la paix. »
« Sans tache ni défaut. » Laissons-nous nettoyer par le Saint Esprit. Trouvons des manières de laisser aller certaines choses conscientes ou inconscientes qui nous gardent enchainées. Devenons plus libres pour le jour où le Seigneur viendra tout refaire en neuf, en nous. Ouvrons-nous à la Lumière de Dieu. Ouvrons-nous à la joie de Dieu. Ouvrons-nous à la vie et à l’Amour de Dieu. Revenons de tout cœur pour entrer dans le Cœur de Dieu.
Saint Marc nous rappelle ce passage du prophète Isaïe. « Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers. » Préparons le chemin du Seigneur dans notre cœur, dans notre être. Offrons à Dieu tous les moyens de trouver sa place dans notre cœur.
Cela veut aussi dire de trouver Dieu dans le cœur de nos frères et sœurs que nous rencontrons chaque jour sur le chemin. Nous sommes invités à offrir la joie et la paix à tout le monde et à le recevoir pleinement.
Nous avons besoin de tous les éléments de l’Amour de Dieu pour continuer à espérer contre toute espérance dans notre monde. La paix, la joie, l’Amour, l’espérance, nous avons besoin de tout cela pour continuer sur une route aplanie avec nos sœurs et frères, avec Dieu.
En ce temps de l’Avent, continuons d’accepter que Dieu trouve sa place dans notre vie, chaque jour, comme des parents qui attende joyeusement l’arrivé de leur bébé.
Accueillons en nous Jésus comme Marie l’a accueilli en elle.
_________________
Dieu te dis: Je t'Aime
-
Merci Seigneur de m'Aimer
et de passer de mon coeur
au coeur des autres.
Re: Homélie du dimanche avec Normandt
B 17 Décembre 2023 3e Avent
Jn 1,6-8.19-28 1Th 5,16-24 Is 61,1-2a.10-11
Nous préparer le cœur, nous conduit à la joie.
Isaïe reçoit et partage ce que Dieu lui dit : « L’esprit du Seigneur Dieu est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé annoncer la bonne nouvelle aux humbles, guérir ceux qui ont le cœur brisé, proclamer aux captifs leur délivrance, aux prisonniers leur libération, proclamer une année de bienfaits accordée par le Seigneur. » Par cette prophétie, Isaïe annonce la venue de notre Seigneur dans notre monde. Le Seigneur est le seul qui saura guérir les cœurs brisés.
L’Ancien Testament est le livre qui nou
s partage le mieux l’espoir du peuple d’Israël de rencontrer un jour le Messie. La première mission qui convenait au peuple d’Israël était de constamment se préparer le cœur pour le Sauveur annoncé par Isaïe.
Cette réalité est encore vraie aujourd’hui. Nous sommes invités à nous préparer le cœur pour la venue de Notre Seigneur et Sauveur. La première mission de tous chrétiens et chrétiennes est de nous préparer le cœur, afin d’en faire une demeure pour la présence de Dieu. Nous n’avons pas à craindre notre Dieu, qui est Amour. Au fond, notre être ne fait que gémir tant que nous ne recevons pas entièrement Dieu dans notre vie. Nous gémissons tant que Dieu n’est pas entièrement accueilli par nous.
Notre vie entière est une préparation à recevoir Dieu totalement dans notre vie. Dieu ne peut pas être seulement un être de passage pour nous, il ne peut pas seulement être un invité qui repart de notre vie, il ne peut pas être seulement un besoin, lorsque ça va mal dans notre vie.
Dieu ne peut pas être à moitié présent en nous. Dieu doit obtenir une présence permanente dans notre vie. Il veut que nous l’accueillions à 100%, rien de moins. Et notre cœur guérira de l’éloignement, du vide et de la peur.
La préparation de notre cœur est nécessaire, chaque jour. Marie est vraiment le modèle d’avoir laissé pleinement la place à Jésus dans tout son être. Elle s’exclame avec raison et foi : « Mon âme exalte le Seigneur. J'exulte de joie en Dieu, mon Sauveur ! Désormais tous les âges me diront bienheureuse! Dieu comble de bien les affamés, il renvoie les riches les mains vides. Il se souvient de son Amour, de la promesse faite à nos pères en faveur d’Abraham et de sa race à jamais. »
Marie a ouvert grand son cœur et Joseph en était le témoin privilégié de la sainteté de Marie. Ils sont dans la joie!
Marie nous invite au même accueil, pour accueillir la vie et la joie de Dieu. Nous allons dire que nous ne pouvons pas porter Jésus dans notre ventre comme Marie, mais nous pouvons porter Dieu en nous. Comme Marie, comme Joseph et comme tous les saintes et saints, nous avons en nous tout le nécessaire pour accueillir la présence de Dieu. La lumière et la joie peuvent aussi passer par notre vie, dès que nous les voulons.
Jean Baptiste avait aussi le cœur ouvert à Dieu. Il annonce que Jésus est la Lumière du monde. La lumière de Dieu passe dans notre vie dès que nous la souhaitons. Saint Jean l’Évangéliste témoigne de Jean Baptiste en ces mots : « Cet homme n'était pas la Lumière, mais il était là pour rendre témoignage à la Lumière. »
Voilà notre mission qui semble double, même si elle est unique : Accueillir Dieu dans notre vie et rendre témoignage de sa Lumière et de sa joie dans le monde. Permettre à Dieu de rendre son témoignage par notre vie. C’est le meilleur moment, pendant ce temps de réjouissance, pendant cette descente vers la crèche, où nous découvrirons l’Enfant qui y sera déposé, c’est le meilleur moment, de rendre témoignage de notre foi à notre famille et à nos amis par la présence de la Lumière de Dieu en nous et en la partageant simplement par nos actions, nos paroles et nos prières.
Jn 1,6-8.19-28 1Th 5,16-24 Is 61,1-2a.10-11
Nous préparer le cœur, nous conduit à la joie.
Isaïe reçoit et partage ce que Dieu lui dit : « L’esprit du Seigneur Dieu est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé annoncer la bonne nouvelle aux humbles, guérir ceux qui ont le cœur brisé, proclamer aux captifs leur délivrance, aux prisonniers leur libération, proclamer une année de bienfaits accordée par le Seigneur. » Par cette prophétie, Isaïe annonce la venue de notre Seigneur dans notre monde. Le Seigneur est le seul qui saura guérir les cœurs brisés.
L’Ancien Testament est le livre qui nou
s partage le mieux l’espoir du peuple d’Israël de rencontrer un jour le Messie. La première mission qui convenait au peuple d’Israël était de constamment se préparer le cœur pour le Sauveur annoncé par Isaïe.
Cette réalité est encore vraie aujourd’hui. Nous sommes invités à nous préparer le cœur pour la venue de Notre Seigneur et Sauveur. La première mission de tous chrétiens et chrétiennes est de nous préparer le cœur, afin d’en faire une demeure pour la présence de Dieu. Nous n’avons pas à craindre notre Dieu, qui est Amour. Au fond, notre être ne fait que gémir tant que nous ne recevons pas entièrement Dieu dans notre vie. Nous gémissons tant que Dieu n’est pas entièrement accueilli par nous.
Notre vie entière est une préparation à recevoir Dieu totalement dans notre vie. Dieu ne peut pas être seulement un être de passage pour nous, il ne peut pas seulement être un invité qui repart de notre vie, il ne peut pas être seulement un besoin, lorsque ça va mal dans notre vie.
Dieu ne peut pas être à moitié présent en nous. Dieu doit obtenir une présence permanente dans notre vie. Il veut que nous l’accueillions à 100%, rien de moins. Et notre cœur guérira de l’éloignement, du vide et de la peur.
La préparation de notre cœur est nécessaire, chaque jour. Marie est vraiment le modèle d’avoir laissé pleinement la place à Jésus dans tout son être. Elle s’exclame avec raison et foi : « Mon âme exalte le Seigneur. J'exulte de joie en Dieu, mon Sauveur ! Désormais tous les âges me diront bienheureuse! Dieu comble de bien les affamés, il renvoie les riches les mains vides. Il se souvient de son Amour, de la promesse faite à nos pères en faveur d’Abraham et de sa race à jamais. »
Marie a ouvert grand son cœur et Joseph en était le témoin privilégié de la sainteté de Marie. Ils sont dans la joie!
Marie nous invite au même accueil, pour accueillir la vie et la joie de Dieu. Nous allons dire que nous ne pouvons pas porter Jésus dans notre ventre comme Marie, mais nous pouvons porter Dieu en nous. Comme Marie, comme Joseph et comme tous les saintes et saints, nous avons en nous tout le nécessaire pour accueillir la présence de Dieu. La lumière et la joie peuvent aussi passer par notre vie, dès que nous les voulons.
Jean Baptiste avait aussi le cœur ouvert à Dieu. Il annonce que Jésus est la Lumière du monde. La lumière de Dieu passe dans notre vie dès que nous la souhaitons. Saint Jean l’Évangéliste témoigne de Jean Baptiste en ces mots : « Cet homme n'était pas la Lumière, mais il était là pour rendre témoignage à la Lumière. »
Voilà notre mission qui semble double, même si elle est unique : Accueillir Dieu dans notre vie et rendre témoignage de sa Lumière et de sa joie dans le monde. Permettre à Dieu de rendre son témoignage par notre vie. C’est le meilleur moment, pendant ce temps de réjouissance, pendant cette descente vers la crèche, où nous découvrirons l’Enfant qui y sera déposé, c’est le meilleur moment, de rendre témoignage de notre foi à notre famille et à nos amis par la présence de la Lumière de Dieu en nous et en la partageant simplement par nos actions, nos paroles et nos prières.
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Re: Homélie du dimanche avec Normandt
Homélie du dimanche 31 Décembre 2023 B Sainte Famille
Lc 2,22-40 Hé 11,8.11-12.17-19 Gn 15,1-6.21,1-3
Aujourd’hui, c’est la fête de la Sainte Famille. Et l’Église nous propose Marie, Joseph et Jésus comme modèles. Nous pouvons imaginer comment la Sainte Famille a vécu. Joseph est charpentier. Il travaille le bois et il est très gentil. Il est un homme qui est présent à Marie et à Jésus. Il aime tellement Marie. Joseph veille sur la famille et il lui offre sécurité et soutien.
Marie, Mère de Dieu, veille sur Jésus et Joseph. Elle a porté Jésus et elle l’a offert au monde, aussi aux Roi Mages et aux Bergers, à ses amis et à ses voisins, voisines. Marie préparait la nourriture simplement, du pain, de l’huile, du lait et de la viande. Et elle présentait une belle table à Jésus et Joseph.
Ensemble, Marie et Joseph, ont vu grandir Jésus. Ils lui ont enseigné comme à tous les enfants de son âge. Jésus a appris et il a continué à grandir en sagesse et en grâce.
Jésus, dans la Sainte Famille a apporté avec lui la douceur. Il devait aussi être espiègle et il devait courir et chanter. Comme tous les enfants, il a fait des découvertes intéressantes. J’aurais aimé être là pour voir Jésus grandir.
La Sainte Famille est la famille exemplaire. L’Église nous l’offre aujourd’hui pour méditer sur la sainteté familiale. Dans les situations les plus simples de la vie, la Sainte Famille était discrète et rendait service aux personnes de leur village. C’était une famille qui priait et qui vivait la joie et l’Amour de Dieu.
Bon, on va dire que je peins la Sainte Famille avec un pinceau qui est trop beau et avec des couleurs qui sont trop belles. Mais en réalité, ce qui est beau dans une famille, c’est justement ce qui est simple, spécialement avec le cœur de personnes qui s’aiment de l’Amour de Dieu.
C’est sûr que personnellement, ce n’est pas simple d’essayer d’être aussi bons que Marie, Joseph et surtout Jésus, mais nous avons besoins de modèles de foi. Ils sont des personnes que nous pouvons suivre comme exemple.
Comme pour Anne et Syméon de l’Évangile, nous continuons de vivre une vie bonne, vraie et réelle, afin que nous aussi nous soyons unis à la Sainte Famille et à tous les saintes et saints. Nous voulons être avec eux éternellement.
Demandons à Dieu en cette veille du jour de l’an d’entrer davantage dans l’élan de foi qui nous garde uni à lui, de laisser ce qui peut nous avoir blessé ou déçu et de vivre la nouvelle année remplis d’espérance pour un monde plus beau, un monde plus en paix, un monde plus réel.
Pardonnons aux membres de nos familles et créons de nouveaux ponts entre nous. Devenons créatifs à répandre le bien et le bonheur en grande quantité. Devenons des êtres de lumières sous le regard bienveillant de Dieu et rendons-lui grâce pour tout ce qu’il fait et réalise pour nous.
Jésus est notre Consolateur. Il est la Bonne Nouvelle, il est Dieu et il est au milieu de nous.
Que Marie, Mère de Dieu, nous accompagne en cette nouvelle année, à la suite de Jésus.
Que Dieu vous bénisse, toutes les personnes de votre famille et vos amis, spécialement les personnes qui sont le plus éloignées…
Lc 2,22-40 Hé 11,8.11-12.17-19 Gn 15,1-6.21,1-3
Aujourd’hui, c’est la fête de la Sainte Famille. Et l’Église nous propose Marie, Joseph et Jésus comme modèles. Nous pouvons imaginer comment la Sainte Famille a vécu. Joseph est charpentier. Il travaille le bois et il est très gentil. Il est un homme qui est présent à Marie et à Jésus. Il aime tellement Marie. Joseph veille sur la famille et il lui offre sécurité et soutien.
Marie, Mère de Dieu, veille sur Jésus et Joseph. Elle a porté Jésus et elle l’a offert au monde, aussi aux Roi Mages et aux Bergers, à ses amis et à ses voisins, voisines. Marie préparait la nourriture simplement, du pain, de l’huile, du lait et de la viande. Et elle présentait une belle table à Jésus et Joseph.
Ensemble, Marie et Joseph, ont vu grandir Jésus. Ils lui ont enseigné comme à tous les enfants de son âge. Jésus a appris et il a continué à grandir en sagesse et en grâce.
Jésus, dans la Sainte Famille a apporté avec lui la douceur. Il devait aussi être espiègle et il devait courir et chanter. Comme tous les enfants, il a fait des découvertes intéressantes. J’aurais aimé être là pour voir Jésus grandir.
La Sainte Famille est la famille exemplaire. L’Église nous l’offre aujourd’hui pour méditer sur la sainteté familiale. Dans les situations les plus simples de la vie, la Sainte Famille était discrète et rendait service aux personnes de leur village. C’était une famille qui priait et qui vivait la joie et l’Amour de Dieu.
Bon, on va dire que je peins la Sainte Famille avec un pinceau qui est trop beau et avec des couleurs qui sont trop belles. Mais en réalité, ce qui est beau dans une famille, c’est justement ce qui est simple, spécialement avec le cœur de personnes qui s’aiment de l’Amour de Dieu.
C’est sûr que personnellement, ce n’est pas simple d’essayer d’être aussi bons que Marie, Joseph et surtout Jésus, mais nous avons besoins de modèles de foi. Ils sont des personnes que nous pouvons suivre comme exemple.
Comme pour Anne et Syméon de l’Évangile, nous continuons de vivre une vie bonne, vraie et réelle, afin que nous aussi nous soyons unis à la Sainte Famille et à tous les saintes et saints. Nous voulons être avec eux éternellement.
Demandons à Dieu en cette veille du jour de l’an d’entrer davantage dans l’élan de foi qui nous garde uni à lui, de laisser ce qui peut nous avoir blessé ou déçu et de vivre la nouvelle année remplis d’espérance pour un monde plus beau, un monde plus en paix, un monde plus réel.
Pardonnons aux membres de nos familles et créons de nouveaux ponts entre nous. Devenons créatifs à répandre le bien et le bonheur en grande quantité. Devenons des êtres de lumières sous le regard bienveillant de Dieu et rendons-lui grâce pour tout ce qu’il fait et réalise pour nous.
Jésus est notre Consolateur. Il est la Bonne Nouvelle, il est Dieu et il est au milieu de nous.
Que Marie, Mère de Dieu, nous accompagne en cette nouvelle année, à la suite de Jésus.
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Re: Homélie du dimanche avec Normandt
B Dimanche 7 Janvier 2024 Épiphanie
Mt 2, 1-12 Ep 3, 2-3a.5-6 Is 60, 1-6
« Debout, Jérusalem, resplendis ! Elle est venue, ta lumière, et la gloire du Seigneur s’est levée sur toi. » Debout tous les humains, debout (paroisse), « Resplendis! Elle est venue, ta lumière, et la gloire du Seigneur s’est levée sur toi. » Notre Lumière brille en Jésus, le Roi de notre coeur.
« Voici que les ténèbres couvrent la terre, et la nuée obscure couvre les peuples. Mais sur toi se lève le Seigneur, sur toi sa gloire apparaît. » Ce qui nous est offert dans le monde n’est pas si évident à discerner et choisir. C’est difficile de savoir ce qui est vrai et réel de ce qui ne l’est pas. Il y a un manque de confiance accru dans le monde.
Pour voir clair, plongeons dans le Cœur de Jésus, si nous voulons échapper à la manière de penser des femmes et des hommes d’aujourd’hui qui prônent que la vie humaine n’est qu’un objet de science, réduit à être des humains de consommation et de compétition. Y’a de quoi avoir peur de la vérité et de la réalité quand il y a constamment de faussetés et d’illusions. Ces faussetés, ces illusions, ces peurs ne sont pas de Dieu.
Aujourd’hui, nous sommes devant trois scènes importantes. La première, [[dans le coin gauche]], nous retrouvons Hérode le Grand qui est forcené, dans son monde sans valeurs humaines, qui ne pense qu’à lui; un roi qui vit dans son château et qui ose lancer une offensive contre des enfants de deux ans et moins. Nous voyons aussi que le monde dans lequel nous vivons est souvent aux prises avec de la violence et de l’orgueil. Hérode veut détruire la vie de Jésus, parce qu’il craint de perdre sa royauté sur un monde qu’il pense posséder.
La deuxième scène se trouve [[au centre]] de l’arène de l’humanité. Saint Paul nous le déclare : Dieu « par révélation, il m'a fait connaître le mystère » du Christ. Connaître le Christ et demeurer dans le Christ, c’est la base de notre vie.
Jésus, qui est le centre, le cœur de l’humanité, est endormi dans sa mangeoire. Marie et Joseph sont près de lui et la chaleur des animaux le gardent au chaud. Jésus vient pour régner, avec Amour.
Dans la troisième scène, [[dans le coin droit]], des rois, ils sont dans un passage. Il est écrit qu’ils ont été guidés par une étoile, mais une étoile seule ne peut pas guider des personnes aussi clairement. Il doit y avoir plus. Les Rois Mages ont été guidé, par Dieu, dans leur cœur. Ils devaient déjà être en recherche du Sauveur de l’humanité.
Normalement, l’or, l’encens et la myrrhe était des cadeaux offerts aux rois de la terre, par obligation. Le peuple n’a pas d’autre choix que de leur remettre. Ce qui est particulier avec Jésus, c’est qu’il n’a rien demandé et il les a reçus. Ces rois mages ont suivi le message dans leur cœur qui dit que Jésus est le Sauveur du monde. Tous les grands livres de science et les étoiles ne leur ont pas appris ça.
Les Rois Mages nous ressemblent. Ils choisissent dans leur cœur qui ils veulent servir. Ils sont premièrement confrontés à Hérode. Non seulement qu’Hérode ne connait pas les plans de Dieu, il essaie de passer par les Mages pour piéger Jésus. Les Mages continuent de chercher, ils trouvent Jésus et ils l’adorent. Ensuite : « avertis en songe », ils n’informent pas Hérode et : « ils regagnent leur pays par un autre chemin. »
Si nous cherchons Jésus, il se laisse trouver. Lorsque nous trouvons Jésus, nous pouvons resplendir de sa Lumière, vibrer dans son Amour et demeurer avec Lui pour l’éternité. Comme pour les Rois Mages, nous décidons de choisir Jésus. Trouver Jésus, c’est accueillir sa Lumière, son Amour et lui permettre de nous Aimer, c’est espérer un monde plus beau, une vie qui a du sens, une vie de confiance et de foi en Jésus.
Pendant cette Eucharistie, remettons à Jésus tout ce qui nous coupe de l’Amour et plongeons-nous dans le Cœur de Jésus-Enfant afin de grandir avec Lui en sagesse, en profondeur et en grâce.
Mt 2, 1-12 Ep 3, 2-3a.5-6 Is 60, 1-6
« Debout, Jérusalem, resplendis ! Elle est venue, ta lumière, et la gloire du Seigneur s’est levée sur toi. » Debout tous les humains, debout (paroisse), « Resplendis! Elle est venue, ta lumière, et la gloire du Seigneur s’est levée sur toi. » Notre Lumière brille en Jésus, le Roi de notre coeur.
« Voici que les ténèbres couvrent la terre, et la nuée obscure couvre les peuples. Mais sur toi se lève le Seigneur, sur toi sa gloire apparaît. » Ce qui nous est offert dans le monde n’est pas si évident à discerner et choisir. C’est difficile de savoir ce qui est vrai et réel de ce qui ne l’est pas. Il y a un manque de confiance accru dans le monde.
Pour voir clair, plongeons dans le Cœur de Jésus, si nous voulons échapper à la manière de penser des femmes et des hommes d’aujourd’hui qui prônent que la vie humaine n’est qu’un objet de science, réduit à être des humains de consommation et de compétition. Y’a de quoi avoir peur de la vérité et de la réalité quand il y a constamment de faussetés et d’illusions. Ces faussetés, ces illusions, ces peurs ne sont pas de Dieu.
Aujourd’hui, nous sommes devant trois scènes importantes. La première, [[dans le coin gauche]], nous retrouvons Hérode le Grand qui est forcené, dans son monde sans valeurs humaines, qui ne pense qu’à lui; un roi qui vit dans son château et qui ose lancer une offensive contre des enfants de deux ans et moins. Nous voyons aussi que le monde dans lequel nous vivons est souvent aux prises avec de la violence et de l’orgueil. Hérode veut détruire la vie de Jésus, parce qu’il craint de perdre sa royauté sur un monde qu’il pense posséder.
La deuxième scène se trouve [[au centre]] de l’arène de l’humanité. Saint Paul nous le déclare : Dieu « par révélation, il m'a fait connaître le mystère » du Christ. Connaître le Christ et demeurer dans le Christ, c’est la base de notre vie.
Jésus, qui est le centre, le cœur de l’humanité, est endormi dans sa mangeoire. Marie et Joseph sont près de lui et la chaleur des animaux le gardent au chaud. Jésus vient pour régner, avec Amour.
Dans la troisième scène, [[dans le coin droit]], des rois, ils sont dans un passage. Il est écrit qu’ils ont été guidés par une étoile, mais une étoile seule ne peut pas guider des personnes aussi clairement. Il doit y avoir plus. Les Rois Mages ont été guidé, par Dieu, dans leur cœur. Ils devaient déjà être en recherche du Sauveur de l’humanité.
Normalement, l’or, l’encens et la myrrhe était des cadeaux offerts aux rois de la terre, par obligation. Le peuple n’a pas d’autre choix que de leur remettre. Ce qui est particulier avec Jésus, c’est qu’il n’a rien demandé et il les a reçus. Ces rois mages ont suivi le message dans leur cœur qui dit que Jésus est le Sauveur du monde. Tous les grands livres de science et les étoiles ne leur ont pas appris ça.
Les Rois Mages nous ressemblent. Ils choisissent dans leur cœur qui ils veulent servir. Ils sont premièrement confrontés à Hérode. Non seulement qu’Hérode ne connait pas les plans de Dieu, il essaie de passer par les Mages pour piéger Jésus. Les Mages continuent de chercher, ils trouvent Jésus et ils l’adorent. Ensuite : « avertis en songe », ils n’informent pas Hérode et : « ils regagnent leur pays par un autre chemin. »
Si nous cherchons Jésus, il se laisse trouver. Lorsque nous trouvons Jésus, nous pouvons resplendir de sa Lumière, vibrer dans son Amour et demeurer avec Lui pour l’éternité. Comme pour les Rois Mages, nous décidons de choisir Jésus. Trouver Jésus, c’est accueillir sa Lumière, son Amour et lui permettre de nous Aimer, c’est espérer un monde plus beau, une vie qui a du sens, une vie de confiance et de foi en Jésus.
Pendant cette Eucharistie, remettons à Jésus tout ce qui nous coupe de l’Amour et plongeons-nous dans le Cœur de Jésus-Enfant afin de grandir avec Lui en sagesse, en profondeur et en grâce.
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Re: Homélie du dimanche avec Normandt
B Dimanche 14 janvier 2024
Jn 1,35-42 1Co 6,13c-15a.17-20 1Sa 3,3b-10.19
André et Jean l’Apôtre posent une question à Jésus dont il vaut la joie de continuer à approfondir. Jésus : « se retourne, il voit qu'ils le suivent, et leur dit : « Que cherchez-vous ? » Ils lui répondent : « Rabbi (c'est-à-dire : Maître), où demeures-tu ? » Il leur dit : « Venez, et vous verrez. »
Il y a cinq mouvements dans cette petite séquence. Le premier pas est que André et Jean suivent Jésus. Le deuxième pas est que Jésus se retourne et il voit que ces futurs Apôtres le suivent. En troisième position, Jésus leur pose une question : « Que cherchez-vous ? ». [Quatrième,] Jean et André lui répondent : « Rabbi (c'est-à-dire : Maître), où demeures-tu ? » Puis en cinquième place, Jésus leur répond : « Venez, et vous verrez. »
Jean et André, d’un pas décidé, commencent à suivre Jésus. C’est un commencement. Ils ont bien entendu la voix de Jean le Baptiste qui criait dans leur désert : « Posant son regard sur Jésus qui allait et venait, Jean le Baptiste dit : « Voici l'Agneau de Dieu. » Ces quelques mots du Baptiste : « Voici l'Agneau de Dieu », et les deux hommes commencent à marcher derrière Jésus.
« Voici l'Agneau de Dieu ». Sûrement que cette phrase du Baptiste et son attitude aura saisi les deux hommes, afin qu’ils posent leur regard sur Jésus, l’observer et le trouver spécial, tandis que le reste du monde autour d’eux continue leur chemin, continue de vivre normalement leur journée.
Jésus les a invités simplement par qui il est. Rien de compliqué. Il leur a donné le goût de le suivre. L’élan du cœur d’André et de Jean l’Évangéliste les conduit à Jésus.
Le deuxième mouvement est que Jésus : « se retourne, [il] voit qu'ils le suivent. » À ce moment, Jésus ne voit pas seulement ces deux hommes, il voit le désir de leur cœur. Jésus sait que Jean et André sont en mouvement dans leur cœur et par leur corps. Pour suivre Jésus, il est nécessaire d’être en mouvement.
Jésus : « leur dit : « Que cherchez-vous ? » Ça c’est toute une question : « Que cherchez-vous ? » La question de Jésus ne peut pas avoir de réponse immédiate ni de Jean, ni d’André. Comment ces deux hommes peuvent-ils savoir ce qu’ils veulent, ce qu’ils cherchent? C’est Jésus qui a la réponse.
Mais il est très pédagogue, puisqu’il pose la question pour démarrer leur réflexion. Ils vont se poser cette question toute leur vie. C’est la même question pour nous : ‘Que cherchons-nous ?’ Ou plutôt : ‘qui cherchons-nous ?’.
Ils répondent : « Maître, où demeures-tu ? » Preuve qu’ils ne savent pas répondre à la question de Jésus. Mais, ils s’en sortent bien : « Maître, où demeures-tu ? » Où demeures-tu Jésus? Et Jésus ne leur répond rien de concret. Ils n’ont pas de place où poser les pieds, ils n’auront pas plus de place où poser leur question et même où poser leur tête.
Ils aimeraient avoir une réponse et Jésus leur offre, tout simplement, un cheminement, un chemin à suivre et il leur répond pour clore cette étape : « Venez, et vous verrez. » ooook « Venez, et vous verrez. » Aucune réponse de Jésus. Et Jésus sait en même temps que ces deux futurs Apôtres, André et Jean, vont le suivre pareil, parce qu’ils ont vu et ressenti quelque chose chez Jésus qui les interpellent. Mais, ils n’ont aucune réponse précise et Jésus ne leur offre rien qui peut satisfaire leur question à savoir où Jésus demeure.
C’est certain que Jésus ne leur répond pas immédiatement, puisqu’il n’a pas son Royaume dans notre monde. C’est là qu’il demeure, dans son Royaume.
Il est venu instaurer le Royaume de Dieu dans notre cœur et dans notre vie.
Les Apôtres vont découvrir où Jésus vit, non pas en un jour, mais au fil des années avec Jésus.
Alors, nous aussi, nous sommes en cheminement et nous cherchons à comprendre qui est Jésus et surtout comment le trouver. Et Jésus nous offre la même réponse qu’à Jean et André : « Venez, et vous verrez. » C’est à nous de suivre Jésus de près, de le laisser nous interpeller, même si le monde nous offre d’autres possibilités qui pourrait nous éloigner de Jésus, suivons Jésus, avec Jésus.
Jn 1,35-42 1Co 6,13c-15a.17-20 1Sa 3,3b-10.19
André et Jean l’Apôtre posent une question à Jésus dont il vaut la joie de continuer à approfondir. Jésus : « se retourne, il voit qu'ils le suivent, et leur dit : « Que cherchez-vous ? » Ils lui répondent : « Rabbi (c'est-à-dire : Maître), où demeures-tu ? » Il leur dit : « Venez, et vous verrez. »
Il y a cinq mouvements dans cette petite séquence. Le premier pas est que André et Jean suivent Jésus. Le deuxième pas est que Jésus se retourne et il voit que ces futurs Apôtres le suivent. En troisième position, Jésus leur pose une question : « Que cherchez-vous ? ». [Quatrième,] Jean et André lui répondent : « Rabbi (c'est-à-dire : Maître), où demeures-tu ? » Puis en cinquième place, Jésus leur répond : « Venez, et vous verrez. »
Jean et André, d’un pas décidé, commencent à suivre Jésus. C’est un commencement. Ils ont bien entendu la voix de Jean le Baptiste qui criait dans leur désert : « Posant son regard sur Jésus qui allait et venait, Jean le Baptiste dit : « Voici l'Agneau de Dieu. » Ces quelques mots du Baptiste : « Voici l'Agneau de Dieu », et les deux hommes commencent à marcher derrière Jésus.
« Voici l'Agneau de Dieu ». Sûrement que cette phrase du Baptiste et son attitude aura saisi les deux hommes, afin qu’ils posent leur regard sur Jésus, l’observer et le trouver spécial, tandis que le reste du monde autour d’eux continue leur chemin, continue de vivre normalement leur journée.
Jésus les a invités simplement par qui il est. Rien de compliqué. Il leur a donné le goût de le suivre. L’élan du cœur d’André et de Jean l’Évangéliste les conduit à Jésus.
Le deuxième mouvement est que Jésus : « se retourne, [il] voit qu'ils le suivent. » À ce moment, Jésus ne voit pas seulement ces deux hommes, il voit le désir de leur cœur. Jésus sait que Jean et André sont en mouvement dans leur cœur et par leur corps. Pour suivre Jésus, il est nécessaire d’être en mouvement.
Jésus : « leur dit : « Que cherchez-vous ? » Ça c’est toute une question : « Que cherchez-vous ? » La question de Jésus ne peut pas avoir de réponse immédiate ni de Jean, ni d’André. Comment ces deux hommes peuvent-ils savoir ce qu’ils veulent, ce qu’ils cherchent? C’est Jésus qui a la réponse.
Mais il est très pédagogue, puisqu’il pose la question pour démarrer leur réflexion. Ils vont se poser cette question toute leur vie. C’est la même question pour nous : ‘Que cherchons-nous ?’ Ou plutôt : ‘qui cherchons-nous ?’.
Ils répondent : « Maître, où demeures-tu ? » Preuve qu’ils ne savent pas répondre à la question de Jésus. Mais, ils s’en sortent bien : « Maître, où demeures-tu ? » Où demeures-tu Jésus? Et Jésus ne leur répond rien de concret. Ils n’ont pas de place où poser les pieds, ils n’auront pas plus de place où poser leur question et même où poser leur tête.
Ils aimeraient avoir une réponse et Jésus leur offre, tout simplement, un cheminement, un chemin à suivre et il leur répond pour clore cette étape : « Venez, et vous verrez. » ooook « Venez, et vous verrez. » Aucune réponse de Jésus. Et Jésus sait en même temps que ces deux futurs Apôtres, André et Jean, vont le suivre pareil, parce qu’ils ont vu et ressenti quelque chose chez Jésus qui les interpellent. Mais, ils n’ont aucune réponse précise et Jésus ne leur offre rien qui peut satisfaire leur question à savoir où Jésus demeure.
C’est certain que Jésus ne leur répond pas immédiatement, puisqu’il n’a pas son Royaume dans notre monde. C’est là qu’il demeure, dans son Royaume.
Il est venu instaurer le Royaume de Dieu dans notre cœur et dans notre vie.
Les Apôtres vont découvrir où Jésus vit, non pas en un jour, mais au fil des années avec Jésus.
Alors, nous aussi, nous sommes en cheminement et nous cherchons à comprendre qui est Jésus et surtout comment le trouver. Et Jésus nous offre la même réponse qu’à Jean et André : « Venez, et vous verrez. » C’est à nous de suivre Jésus de près, de le laisser nous interpeller, même si le monde nous offre d’autres possibilités qui pourrait nous éloigner de Jésus, suivons Jésus, avec Jésus.
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Re: Homélie du dimanche avec Normandt
Homélie Dimanche 21 janvier 2024 B
Mc 1,14-20 1Co 7,29-31 Jo 3,1-5.10
Lorsque nous regardons le monde, il est encore difficile de croire que si peu de personnes suivent réellement Jésus, autant en dehors de l’Église que même à l’intérieur de l’Église. Nous avons tellement de choses à réaliser, de choses à faire, qu’il serait très facile de sortir de la route et de ne pas suivre Jésus. Nous devons être très prudents pour ne pas nous égarer.
Saint Paul nous offre une option, mais encore là, il n’est pas simple de bien le saisir : « Je dois vous le dire, dit-il : le temps est limité. Dès lors, que ceux qui ont une femme soient comme s’ils n’avaient pas de femme, ceux qui pleurent, comme s’ils ne pleuraient pas, ceux qui ont de la joie, comme s’ils n’en avaient pas, ceux qui font des achats, comme s’ils ne possédaient rien,
ceux qui profitent de ce monde, comme s’ils n’en profitaient pas vraiment.
Car il passe, ce monde tel que nous le voyons. »
Ce que nous pouvons ressortir de l’invitation de saint Paul est que : « le temps est limité ». Le temps est court et la vie passe très vite.
Puis, ces phrases de saint Paul sont encore plus difficiles à comprendre. Nous en choisissons une seule. Que : « ceux qui sont heureux, comme s'ils n'étaient pas heureux. » Nous cherchons à être heureux, mais saint Paul nous invite à faire comme si nous n’étions pas heureux. Cette subtilité de Paul nous invite à être nous-mêmes, tout simplement. Nous pourrions le rephraser de cette manière : ‘Être heureux ou pas heureux, ce n’est pas ça l’essentiel, c’est d’être soi-même qui compte.’ Être nous-mêmes et nous fier sur Jésus va nous rendre heureux, heureuse. Vivons la joie plutôt que de la chercher. La joie est en nous, en ce moment.
Rien de matériel dans ce monde ne peut nous rendre heureuse ou heureux. Seul Jésus peut nous donner le bonheur et la joie.
Ce texte de saint Paul va très bien avec ce que saint Jean Baptiste nous dit maintenant : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle. » Saint Jean Baptiste nous dit que : « Les temps sont accomplis, » ce qui veut dire que le bon moment est en ce moment. Et il continue : « le règne de Dieu est tout proche.
Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle. » Nous devons nous convertir chaque jour, sinon nous ne nous convertissons pas. La conversion humaine doit être répétée chaque jour et plus encore en ce moment. Il est impérieux de demander à Jésus, en ce moment, de nous convertir pour de vrai, de vouloir être avec Jésus et que Jésus soit en nous, qu’il ouvre notre cœur et le remplisse de son Amour.
Nous voulons nous redire, comme pour saint Paul, nous voulons nous redire de nous convertir à la volonté de Dieu, à l’Amour de Dieu. Croyons à la Bonne Nouvelle de Dieu, parce que c’est juste ça qui restera, le reste passe très vite.
La vie comme nous la connaissons sur terre passe très vite. Tout ce que nous voyons va disparaitre, mais Jésus est Éternel et notre vie est en Lui. L’Amour, la paix, la joie, la vie, demeurent, en Dieu.
Avec cette conversion de chaque instant, Jésus va nous dire : « Venez à ma suite. Je vous ferai devenir pêcheurs d'hommes. » Continuons de marcher derrière Jésus et juste parce que nous osons le suivre, d’autres voudront suivre Jésus. L’important est que nous soyons en marche, en mouvement avec Jésus.
6 paroisses pour un prêtre, c’est beaucoup et ça risque de devenir plus difficile encore. Heureusement, des personnes aident à rendre la foi présente dans leur milieu.
Nous avons la responsabilité de notre foi, de vouloir suivre Jésus. Que chaque personne trouve des moyens pour que d’autres découvre la foi qu’ils ont en eux et l’Amour de Dieu qui est toujours avec eux. Puissions-nous dire aux gens qu’ils sont aimés, qu’ils n’ont qu’à puiser la Parole qui est Amour du Cœur de Dieu. Nous retrouvons l’Amour de Dieu dans notre cœur.
Les Apôtres suivent Jésus et Jésus n’avait pas beaucoup de confort terrestre à leur offrir. Jésus leur offre pourtant ce qu’il y a de meilleur, la vie éternelle, comme il nous l’offre à nous. Acceptons que Jésus nous convertisse, encore aujourd’hui, et continuons notre route dans son Amour.
Mc 1,14-20 1Co 7,29-31 Jo 3,1-5.10
Lorsque nous regardons le monde, il est encore difficile de croire que si peu de personnes suivent réellement Jésus, autant en dehors de l’Église que même à l’intérieur de l’Église. Nous avons tellement de choses à réaliser, de choses à faire, qu’il serait très facile de sortir de la route et de ne pas suivre Jésus. Nous devons être très prudents pour ne pas nous égarer.
Saint Paul nous offre une option, mais encore là, il n’est pas simple de bien le saisir : « Je dois vous le dire, dit-il : le temps est limité. Dès lors, que ceux qui ont une femme soient comme s’ils n’avaient pas de femme, ceux qui pleurent, comme s’ils ne pleuraient pas, ceux qui ont de la joie, comme s’ils n’en avaient pas, ceux qui font des achats, comme s’ils ne possédaient rien,
ceux qui profitent de ce monde, comme s’ils n’en profitaient pas vraiment.
Car il passe, ce monde tel que nous le voyons. »
Ce que nous pouvons ressortir de l’invitation de saint Paul est que : « le temps est limité ». Le temps est court et la vie passe très vite.
Puis, ces phrases de saint Paul sont encore plus difficiles à comprendre. Nous en choisissons une seule. Que : « ceux qui sont heureux, comme s'ils n'étaient pas heureux. » Nous cherchons à être heureux, mais saint Paul nous invite à faire comme si nous n’étions pas heureux. Cette subtilité de Paul nous invite à être nous-mêmes, tout simplement. Nous pourrions le rephraser de cette manière : ‘Être heureux ou pas heureux, ce n’est pas ça l’essentiel, c’est d’être soi-même qui compte.’ Être nous-mêmes et nous fier sur Jésus va nous rendre heureux, heureuse. Vivons la joie plutôt que de la chercher. La joie est en nous, en ce moment.
Rien de matériel dans ce monde ne peut nous rendre heureuse ou heureux. Seul Jésus peut nous donner le bonheur et la joie.
Ce texte de saint Paul va très bien avec ce que saint Jean Baptiste nous dit maintenant : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle. » Saint Jean Baptiste nous dit que : « Les temps sont accomplis, » ce qui veut dire que le bon moment est en ce moment. Et il continue : « le règne de Dieu est tout proche.
Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle. » Nous devons nous convertir chaque jour, sinon nous ne nous convertissons pas. La conversion humaine doit être répétée chaque jour et plus encore en ce moment. Il est impérieux de demander à Jésus, en ce moment, de nous convertir pour de vrai, de vouloir être avec Jésus et que Jésus soit en nous, qu’il ouvre notre cœur et le remplisse de son Amour.
Nous voulons nous redire, comme pour saint Paul, nous voulons nous redire de nous convertir à la volonté de Dieu, à l’Amour de Dieu. Croyons à la Bonne Nouvelle de Dieu, parce que c’est juste ça qui restera, le reste passe très vite.
La vie comme nous la connaissons sur terre passe très vite. Tout ce que nous voyons va disparaitre, mais Jésus est Éternel et notre vie est en Lui. L’Amour, la paix, la joie, la vie, demeurent, en Dieu.
Avec cette conversion de chaque instant, Jésus va nous dire : « Venez à ma suite. Je vous ferai devenir pêcheurs d'hommes. » Continuons de marcher derrière Jésus et juste parce que nous osons le suivre, d’autres voudront suivre Jésus. L’important est que nous soyons en marche, en mouvement avec Jésus.
6 paroisses pour un prêtre, c’est beaucoup et ça risque de devenir plus difficile encore. Heureusement, des personnes aident à rendre la foi présente dans leur milieu.
Nous avons la responsabilité de notre foi, de vouloir suivre Jésus. Que chaque personne trouve des moyens pour que d’autres découvre la foi qu’ils ont en eux et l’Amour de Dieu qui est toujours avec eux. Puissions-nous dire aux gens qu’ils sont aimés, qu’ils n’ont qu’à puiser la Parole qui est Amour du Cœur de Dieu. Nous retrouvons l’Amour de Dieu dans notre cœur.
Les Apôtres suivent Jésus et Jésus n’avait pas beaucoup de confort terrestre à leur offrir. Jésus leur offre pourtant ce qu’il y a de meilleur, la vie éternelle, comme il nous l’offre à nous. Acceptons que Jésus nous convertisse, encore aujourd’hui, et continuons notre route dans son Amour.
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Dieu te dis: Je t'Aime
-
Merci Seigneur de m'Aimer
et de passer de mon coeur
au coeur des autres.
Re: Homélie du dimanche avec Normandt
Homélie, Dimanche 28 janvier 2024
B Mc 1,21-28 1Co 7,32-35 Dt 18,15-20
Jésus est venu dans notre monde, pas avec des ailes, pas avec un corps d’ange, mais il est venu comme un Homme. Il a pris chair de la Vierge Marie et il ressemblait en tout, aux humains. Ça c’est la sagesse de Dieu. Il est venu dans notre monde et il était l’un de nous.
Saint Paul nous dit : « Soyez attachés au Seigneur sans partage. » Il nous invite à demeurer avec le Seigneur.
Jésus est Dieu. Il est le Roi de l’univers visible. Il est aussi le Roi de l’univers invisible.
Dans la mesure où nous permettons à Jésus d’être le Seigneur de notre vie, nous lui permettons également de réaliser sa volonté en nous. Placer notre confiance en Jésus lui permet de nous laver, de nous purifier et de nous sanctifier. Jésus n’est pas celui qui nous conduit à nous perdre, il est celui qui nous conduit dans sa gloire.
Jésus est venu nous reconduire dans son Amour. Sur sa route, il repousse les ténèbres. L’Amour qui circule éloigne le mal de notre vie. Dans l’Évangile selon saint Marc, Jésus enseigne avec autorité.
Jésus enseigne avec autorité, puisqu’il est la première autorité. Il enseigne la Vérité que peu connaissent et que peu comprennent. Il nous transmet la Vérité en nous enseignant sur le Royaume de Dieu.
Jésus guérit une personne possédée, une personne qui ne se possède plus. Une personne qui a tenté sa chance dans la vie, mais qui n’a pas eu de chance, qui a perdu la route et qui a glissé dans le sentier du désespoir : « Il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. » Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. »
Jésus n’a eu qu’à parler avec autorité : ‘Tais-toi!’ Tais-toi veut dire : Fais le silence en toi, en ton cœur. Aah, le silence, le silence, nous l’entendons? … le silence? Lorsque nous entendons le silence, ça veut dire qu’il n’y a pas de son à entendre. Ça s’entend bien, le silence.
C’est comme pour l’eau, l’eau qui ne goûte rien, c’est une bonne eau. Le silence, lorsqu’il n’y a pas de son, habituellement cela démontre qu’il y a la paix. […….] Le silence est bon. En ce silence, Jésus peut prendre sa place et la personne peut redevenir elle-même. Faire le silence en soi calme la peur.
Être soi, dans la paix, c’est ce que nous souhaitons. Nous pouvons aussi demander au Seigneur la paix pour son peuple, sa paroisse, pour notre famille, nos amis et pour nous. Nous demandons au Seigneur la paix pour tous et toutes.
Puissions-nous faire le silence dans notre cœur, afin d'accueillir la Présence de Dieu dans notre vie.
Vivons chaque instant de notre vie, puisque c’est en ce moment que nous rencontrons Jésus. Que la Présence de Dieu, qui est Amour pour nous, nous touche le coeur et qu'elle rejoigne toutes les personnes que nous aimons. Que l’Amour rejoigne aussi les personnes à qui nous pensons moins. Que l’Amour règne dans tous les cœurs.
Pendant cette Eucharistie, que le Christ creuse le silence en nous pour y faire sa demeure et nous ramener dans la paix. Lorsque Jésus a partagé le pain aux Apôtres, il voulait aussi que les Apôtre partage ce pain de sa Présence aux autres, comme il nous demande de partager le pain de sa Présence avec les personnes que nous rencontrons.
B Mc 1,21-28 1Co 7,32-35 Dt 18,15-20
Jésus est venu dans notre monde, pas avec des ailes, pas avec un corps d’ange, mais il est venu comme un Homme. Il a pris chair de la Vierge Marie et il ressemblait en tout, aux humains. Ça c’est la sagesse de Dieu. Il est venu dans notre monde et il était l’un de nous.
Saint Paul nous dit : « Soyez attachés au Seigneur sans partage. » Il nous invite à demeurer avec le Seigneur.
Jésus est Dieu. Il est le Roi de l’univers visible. Il est aussi le Roi de l’univers invisible.
Dans la mesure où nous permettons à Jésus d’être le Seigneur de notre vie, nous lui permettons également de réaliser sa volonté en nous. Placer notre confiance en Jésus lui permet de nous laver, de nous purifier et de nous sanctifier. Jésus n’est pas celui qui nous conduit à nous perdre, il est celui qui nous conduit dans sa gloire.
Jésus est venu nous reconduire dans son Amour. Sur sa route, il repousse les ténèbres. L’Amour qui circule éloigne le mal de notre vie. Dans l’Évangile selon saint Marc, Jésus enseigne avec autorité.
Jésus enseigne avec autorité, puisqu’il est la première autorité. Il enseigne la Vérité que peu connaissent et que peu comprennent. Il nous transmet la Vérité en nous enseignant sur le Royaume de Dieu.
Jésus guérit une personne possédée, une personne qui ne se possède plus. Une personne qui a tenté sa chance dans la vie, mais qui n’a pas eu de chance, qui a perdu la route et qui a glissé dans le sentier du désespoir : « Il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. » Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. »
Jésus n’a eu qu’à parler avec autorité : ‘Tais-toi!’ Tais-toi veut dire : Fais le silence en toi, en ton cœur. Aah, le silence, le silence, nous l’entendons? … le silence? Lorsque nous entendons le silence, ça veut dire qu’il n’y a pas de son à entendre. Ça s’entend bien, le silence.
C’est comme pour l’eau, l’eau qui ne goûte rien, c’est une bonne eau. Le silence, lorsqu’il n’y a pas de son, habituellement cela démontre qu’il y a la paix. […….] Le silence est bon. En ce silence, Jésus peut prendre sa place et la personne peut redevenir elle-même. Faire le silence en soi calme la peur.
Être soi, dans la paix, c’est ce que nous souhaitons. Nous pouvons aussi demander au Seigneur la paix pour son peuple, sa paroisse, pour notre famille, nos amis et pour nous. Nous demandons au Seigneur la paix pour tous et toutes.
Puissions-nous faire le silence dans notre cœur, afin d'accueillir la Présence de Dieu dans notre vie.
Vivons chaque instant de notre vie, puisque c’est en ce moment que nous rencontrons Jésus. Que la Présence de Dieu, qui est Amour pour nous, nous touche le coeur et qu'elle rejoigne toutes les personnes que nous aimons. Que l’Amour rejoigne aussi les personnes à qui nous pensons moins. Que l’Amour règne dans tous les cœurs.
Pendant cette Eucharistie, que le Christ creuse le silence en nous pour y faire sa demeure et nous ramener dans la paix. Lorsque Jésus a partagé le pain aux Apôtres, il voulait aussi que les Apôtre partage ce pain de sa Présence aux autres, comme il nous demande de partager le pain de sa Présence avec les personnes que nous rencontrons.
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Merci Seigneur de m'Aimer
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