Valentina Papagna 05 Novembre 2020 Personne ne veut de Moi, personne ne M'offre quoi que ce soit

**métys** Mer 25 Nov 2020 - 5:49

Message Céleste Via Valentina Papagna (Sydney, Australie) : On ne veut de Moi, on ne M'offre rien - 05 Novembre 2020

Pendant toute la nuit, j'ai beaucoup souffert. C'était insupportable. Il était cinq heures du matin quand l'ange est venu et m'a emmené au Purgatoire.

L'ange m'a dit : "Tu dois finir ce travail. Pour abréger ta souffrance, tu dois venir avec moi à la blanchisserie."

Nous sommes entrés dans un immense bâtiment. À l'intérieur, il ressemblait à une grande blanchisserie commerciale avec des vêtements empilés partout.

L'ange a dit : "Pour achever ton travail, ta souffrance, tu dois laver tous ces vêtements."

En regardant de plus près, j'ai remarqué qu'il y avait toutes sortes de vêtements, mais surtout des manteaux de femmes. Je pouvais aussi voir des coussins, avec des garnitures à volants, le tout dans une couleur rose pâle.

J'ai commencé à laver les vêtements à l'aide d'une éponge pour enlever les taches et les marques. Ces taches et marques représentent les péchés des gens. Une fois le lavage et le nettoyage terminés, j'ai pris les vêtements et je suis sortie par une porte qui m'a conduite à l'extérieur du bâtiment. En sortant, je me suis retrouvée dans le plus beau et le plus luxuriant des parcs verts avec de nombreux arbres. Tout était vivant. J'ai compris que je me trouvais dans un jardin paradisiaque. Je n'y voyais aucune âme.

L'ange m'a accompagné dehors et m'a dit : "Tu dois accrocher les vêtements pour les faire sécher." J'y ai vu une corde à linge et j'ai fait ce qui m'était demandé.

J'ai répété cette tâche plusieurs fois jusqu'à ce que la corde à linge soit tellement pleine que j'ai dit à l'ange : "Il n'y a plus de place. Que vais-je faire de tous ces vêtements ? Je pensais aux piles de vêtements qui restaient dans la buanderie.

Il m'a répondu : "Tu dois les enlever de la corde à linge et les plier soigneusement."

À ce moment, je me suis retournée et j'ai remarqué quatre belles saintes dames, habillées tout en blanc, qui marchaient vers moi en souriant. Elles m'ont dit : "Valentina, nous venons t'aider à retirer les vêtements de la ligne et à les plier."

Je me suis dit : "Où allons-nous les mettre ?

Alors que je pensais cela, sorti de nulle part, est apparu un beau banc, juste devant nous. Les saintes dames ont pris les vêtements sur la ligne et ont procédé au pliage de chaque article de façon si soignée et si belle, comme des professionnels. Elles les ont ensuite placés sur le banc, l'un sur l'autre. Une fois qu'elles eurent fini de plier les vêtements, elles s'en allèrent.

L'ange a dit : "Tu dois reprendre tous les vêtements nettoyés et les placer dans une section propre du bâtiment".

J'ai pris une grande pile de vêtements nettoyés, et l'ange m'a montré où les mettre. J'ai fait cela deux fois. Je suis ensuite retournée au Jardin Céleste, pour prendre la troisième pile de vêtements.

Pendant que je le faisais, Dieu le Père a pratiquement couru vers moi et m'a demandé : "Qui t'a aidé à retirer tous les vêtements de la ligne ?" Il a levé les yeux vers la ligne et a vu qu'elle était vide.

J'ai répondu : "Des dames très gentilles sont venues m'aider, et elles ont plié tous les vêtements très gentiment."

Dieu le Père m'a dit : "C'est bien ! Mais maintenant, tu dois montrer à quel point tu as fait du bon travail avec les vêtements, si les vêtements sont propres".

Il a dit : "Montre-Moi !"

J'ai pris quelques manteaux, je les ai soulevés pour Lui montrer à quel point ils étaient propres.

Dieu le Père a dit : "Ça a l'air bien."

Quand j'ai soulevé certains manteaux, j'ai remarqué que les manches pendaient presque, car les coutures étaient défaites.

J'ai dit : "Certaines manches doivent être recousues, et certains vêtements ont besoin d'être repassés".

Il m'a répondu : "Il est très important qu'ils soient propres".

J'ai proposé de recoudre les manches et j'ai dit à Dieu le Père : "Père, je vais les raccommoder".

Il m'a répondu : "Non, pas maintenant. La prochaine fois !"

J'ai soulevé un autre manteau, complètement différent de tous les autres. Il était de couleur violette avec un col bleuâtre profond, fait de ce qui ressemblait à du polyester-plastique. Il était très écrasé. J'ai dit au Père : "Père, je peux repasser ça !"

Il m'a dit : "Non, non, ne fais pas ça ! Ça va fondre. Laisse-le."

Pendant cette expérience, je ne savais pas quelle était la signification de ce manteau. Cependant, c'est plus tard, après cette expérience, alors que je repensais à ce manteau particulier, que j'ai entendu Dieu le Père parler dans mon cœur.

Il m'a dit. "Elle était très perturbée pendant qu'elle vivait sur terre. Elle ne se souciait pas beaucoup de sa vie. C'est pourquoi son manteau est tout froissé et abîmé. Les couleurs bleu foncé et violet représentent la tristesse et la dépression. Tu vois comment je te dis et t'enseigne ce que tout cela représente et ce que cela signifie. Je vois les choses complètement différemment, et je juge différemment".

Dieu le Père m'a dit comment cette femme particulière a abusé de sa vie et ne s'en est pas beaucoup souciée. Sa vie a été perturbée. Il est triste de voir une personne perdre sa volonté de vivre. La vie est précieuse. Dieu le Père, il repassera son manteau écrasé et mutilé avec son amour et sa miséricorde. Lui seul sait comment lisser son manteau écrasé. Il sait comment lui pardonner, l'aimer, l'embrasser et la guérir. Avant qu'elle ne puisse entrer au Ciel, Il fera tout cela, surtout pour elle.

Nous sommes passés à autre chose. J'ai montré à Dieu le Père, d'autres manteaux. Alors que je les déplaçais, certains d'entre eux sont tombés sur le sol. J'ai dit : "Désolé, mon Père, je peux les nettoyer à nouveau."

Il a dit : "Non, non, ce n'est pas nécessaire. Il n'y a pas de saleté ni de poussière sur le sol. C'est le paradis, et il n'y a pas de péché au paradis pour qu'il se salisse."

Tout à coup, une autre belle dame céleste, aux cheveux blonds, s'est approchée de Dieu le Père et de moi-même. Elle s'est approchée de moi à bras ouverts et m'a embrassée, me serrant très affectueusement dans ses bras. Elle était plus grande que moi.

Elle m'a dit : "Oh Valentina, c'est si agréable de te voir. Il y a longtemps que nous ne nous sommes pas vus".

La dame avait l'air très familière. Je suis sûr que nous nous étions déjà rencontrés, mais je ne connaissais pas son nom. Elle ne me l'a pas révélé. Souvent, quand je rencontre des gens du ciel, ils me révèlent leur nom.

Nous étions toutes les deux debout avec Dieu le Père.

Dieu le Père a dit : "Maintenant, laissez tous les vêtements derrière vous. Vous deux, mesdames, venez avec moi. J'ai besoin que vous fassiez quelque chose pour moi." Nous avons ensuite marché ensemble sur une petite distance, en laissant les vêtements lavés derrière nous.

Nous sommes allés avec Dieu le Père au milieu du jardin, où il y avait un récipient ouvert avec beaucoup de choses dedans.

Nous avons regardé à travers le récipient, et la première chose que nous avons remarquée était une belle paire de bottes blanches.

La sainte dame a dit : "Oh, je les aime bien ! Mon Père, est-il possible que nous les prenions et les donnions à quelqu'un ?"

Dieu le Père a répondu d'une voix sévère : "Non ! Vous ne pouvez pas les donner à quelqu'un, et vous ne pouvez pas les prendre ! Laissez-les !"

J'ai donné un coup de coude à la sainte dame et lui ai murmuré : "Tu as eu le courage de le Lui demander."

Elle a juste souri et a dû obéir au Père.

Tout à coup, à quelques mètres à notre gauche, j'ai vu un petit enfant dans le jardin. Il portait une petite tunique blanche avec une petite veste rouge. Il pleurait et se plaignait. Dieu le Père nous a laissés et a couru vers lui. Il s'est penché et a doucement posé sa main sur l'épaule du petit enfant en L'embrassant et a dit : "Mon fils, pourquoi pleures-Tu ?

Le jeune enfant répondit : "Personne ne veut de Moi, personne ne M'offre quoi que ce soit ; pas de sucettes, pas de bonbons, rien ! Ils Me rejettent totalement ! Ils ne veulent pas Me connaître !"

Dieu le Père a dit : "Parce qu'ils sont trop égoïstes et mauvais."

Soudain, je me suis retrouvée à la maison.

Toute cette expérience allait au-delà des mots. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser à notre beau Seigneur Jésus qui pleurait et à Dieu le Père qui Le consolait.

Plus tard dans la journée, j'ai assisté à la Sainte Messe. Pendant la Messe, je n'arrêtais pas de penser à la façon de consoler le petit Enfant Jésus. Cela m'a touché profondément, plus que toute autre chose.

La Sainte Mère est apparue et m'a dit : "Vois comment mon Fils est rejeté dans ce monde. Il est apparu comme un petit Bébé parce qu'Il montrait que Son Amour est si tendre et si innocent, et Il montrait qu'Il a besoin d'amour comme un petit Bébé a besoin de l'amour de sa mère. Le monde ne s'en soucie pas. L'humanité veut juste continuer à vivre sans Dieu".

Les bottes appartiennent à notre Seigneur Jésus. Un jour, Il viendra sur terre en tant que Prince de la Paix, pour purifier le monde. Il est si pur et si saint. Il est le seul digne de porter ces bottes, pures et blanches. C'est pourquoi Dieu le Père les lui a réservées.

Dans ce message, la lessive est la dernière étape pour ces âmes du Purgatoire, pour qu'elles soient complètement purifiées ; pour qu'elles soient nettoyées de toutes les taches de péché restantes, afin qu'elles puissent venir au Ciel complètement pures et sans tache. Seul Dieu le Père, par Son amour et Sa Miséricorde, sait ce dont chaque âme a besoin.

Nous, ici sur terre, pouvons aider les âmes saintes, surtout pendant le mois de novembre, par nos prières quotidiennes, les offrandes de saintes messes, les sacrifices et les œuvres de charité.

Merci, Dieu le Père, de nous l'avoir révélé.

http://trinite-sainte-et-mariemamere.over-blog.com/