LETTRE A NOS MILITAIRES SUR L'HONNEUR DES GOUVERNANTS ET DES POLITIQUES
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LETTRE A NOS MILITAIRES SUR L'HONNEUR DES GOUVERNANTS ET DES POLITIQUES
Lettre à nos militaires sur l’honneur le 29 avril 2021
des gouvernants et des politiques
de Mr JEROME SERRI, ancien collaborateur parlementaire, JOURNALISTE LITTERAIRE
Messieurs,
J’ai lu avec attention la lettre que vous avez adressée au président de la République, aux membres du
gouvernement et aux parlementaires.
Dénonçant « le délitement qui frappe notre patrie », vous expliquez que celui-ci a pris la forme de trois
graves dangers : la haine racialiste qui gangrène la France et dissout sa culture, ses traditions, son
histoire ; la soumission qui laisse les islamistes chasser la loi de la République de nombre de nos
quartiers ; l’instrumentalisation des forces de l’ordre et de groupuscules cagoulés afin d’étouffer dans
la violence le désespoir des gilets jaunes.
Tenant « ceux qui dirigent notre pays » pour responsables de ce délitement, vous les appelez à « trouver
le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers » en « appliquant sans faiblesse les lois qui existent
déjà ».
C’est la défense de votre « honneur », écrivez-vous, qui a motivé votre appel. Si une large majorité de
Français entendent encore ce mot que, collégiens, ils découvrirent en lisant le théâtre de Corneille,
pensez-vous qu’il fasse encore partie de l’imaginaire de nos responsables politiques, notamment du
premier d’entre eux ?
Que signifie, en effet, l’honneur pour un candidat à la présidence de la République qui prétend
qu’il n’y a pas de culture française ?
Que signifie l’honneur pour un candidat qui, depuis le sol algérien, accuse la France de crimes
contre l’humanité ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, en Martinique, se laisse enlacer par
un jeune homme torse nu tandis qu’un autre, sur la photo, fait un doigt d’honneur qui fera le tour
du monde ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, la veille du 14 Juillet, humilie
publiquement, devant des représentations étrangères et des familles de soldats morts au combatdans l’année, son chef d’état-major des armées en lui rappelant, avec une morgue déplacée, que
c’est lui le chef ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, le soir de la fête de la Musique,
livre la cour de l’Élysée à un groupe de musiciens dont l’un d’eux arbore, sur son T-shirt, le slogan
« fils d’immigrés, noir et pédé » ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, sur les marches de la Maison de
l’Amérique latine, entouré d’un gouvernement riant à chacun de ses mots, déclare aux députés de
sa majorité : « Alexandre Benalla, lui non plus, n’a jamais été mon amant » ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui accorde sa confiance à un ministre
qui, après avoir fait la promotion de l’écriture inclusive, envisage de mettre un genou à terre
devant des manifestants vociférant leur haine de la France ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, tout sourire, se fait photographier
au festival de la BD d’Angoulême avec, dans les mains, un T-shirt montrant un chat à l’œil crevé
sous lequel sont imprimées les lettres « LBD » ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, en pleine crise des gilets jaunes,
laisse son administration inaugurer, à l’intérieur de l’Opéra Garnier, des pneus de tracteur en or
réalisés par un plasticien qui sera poursuivi, un an plus tard, pour pédophilie ?
Que signifie l’honneur pour un chef des armées qui, dans la « guerre » qu’il entend conduire
contre le coronavirus, montre aux Français qu’il est effectivement le chef ? Et quel chef !
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, six mois après la décapitation du
professeur d’histoire Samuel Paty devant son collège, et quelques jours avant l’assassinat d’une
fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet, déclare en anglais, depuis l’Élysée, sur la
chaîne CBS, que « nous devons déconstruire notre propre histoire » ?
Saluant, Messieurs, votre décision de sortir de dessous le boisseau la question de l’honneur, je vous laisse
prendre la mesure, à travers toutes ces interrogations, du difficile « travail sur soi » que vous demandez
à nos gouvernants et à nos politiques.
Ne serait-il pas plus sûr, pour la France, de ne pas les renouveler en 2022 ?
des gouvernants et des politiques
de Mr JEROME SERRI, ancien collaborateur parlementaire, JOURNALISTE LITTERAIRE
Messieurs,
J’ai lu avec attention la lettre que vous avez adressée au président de la République, aux membres du
gouvernement et aux parlementaires.
Dénonçant « le délitement qui frappe notre patrie », vous expliquez que celui-ci a pris la forme de trois
graves dangers : la haine racialiste qui gangrène la France et dissout sa culture, ses traditions, son
histoire ; la soumission qui laisse les islamistes chasser la loi de la République de nombre de nos
quartiers ; l’instrumentalisation des forces de l’ordre et de groupuscules cagoulés afin d’étouffer dans
la violence le désespoir des gilets jaunes.
Tenant « ceux qui dirigent notre pays » pour responsables de ce délitement, vous les appelez à « trouver
le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers » en « appliquant sans faiblesse les lois qui existent
déjà ».
C’est la défense de votre « honneur », écrivez-vous, qui a motivé votre appel. Si une large majorité de
Français entendent encore ce mot que, collégiens, ils découvrirent en lisant le théâtre de Corneille,
pensez-vous qu’il fasse encore partie de l’imaginaire de nos responsables politiques, notamment du
premier d’entre eux ?
Que signifie, en effet, l’honneur pour un candidat à la présidence de la République qui prétend
qu’il n’y a pas de culture française ?
Que signifie l’honneur pour un candidat qui, depuis le sol algérien, accuse la France de crimes
contre l’humanité ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, en Martinique, se laisse enlacer par
un jeune homme torse nu tandis qu’un autre, sur la photo, fait un doigt d’honneur qui fera le tour
du monde ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, la veille du 14 Juillet, humilie
publiquement, devant des représentations étrangères et des familles de soldats morts au combatdans l’année, son chef d’état-major des armées en lui rappelant, avec une morgue déplacée, que
c’est lui le chef ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, le soir de la fête de la Musique,
livre la cour de l’Élysée à un groupe de musiciens dont l’un d’eux arbore, sur son T-shirt, le slogan
« fils d’immigrés, noir et pédé » ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, sur les marches de la Maison de
l’Amérique latine, entouré d’un gouvernement riant à chacun de ses mots, déclare aux députés de
sa majorité : « Alexandre Benalla, lui non plus, n’a jamais été mon amant » ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui accorde sa confiance à un ministre
qui, après avoir fait la promotion de l’écriture inclusive, envisage de mettre un genou à terre
devant des manifestants vociférant leur haine de la France ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, tout sourire, se fait photographier
au festival de la BD d’Angoulême avec, dans les mains, un T-shirt montrant un chat à l’œil crevé
sous lequel sont imprimées les lettres « LBD » ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, en pleine crise des gilets jaunes,
laisse son administration inaugurer, à l’intérieur de l’Opéra Garnier, des pneus de tracteur en or
réalisés par un plasticien qui sera poursuivi, un an plus tard, pour pédophilie ?
Que signifie l’honneur pour un chef des armées qui, dans la « guerre » qu’il entend conduire
contre le coronavirus, montre aux Français qu’il est effectivement le chef ? Et quel chef !
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, six mois après la décapitation du
professeur d’histoire Samuel Paty devant son collège, et quelques jours avant l’assassinat d’une
fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet, déclare en anglais, depuis l’Élysée, sur la
chaîne CBS, que « nous devons déconstruire notre propre histoire » ?
Saluant, Messieurs, votre décision de sortir de dessous le boisseau la question de l’honneur, je vous laisse
prendre la mesure, à travers toutes ces interrogations, du difficile « travail sur soi » que vous demandez
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Ne serait-il pas plus sûr, pour la France, de ne pas les renouveler en 2022 ?
Célestine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Date d'inscription : 18/07/2013
stjeanlagneau et HUBERT Jeannine aiment ce message
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