Adeptes de la Messe en Latin, Membres de la FSSP, de la FSSPX, de Groupes Sédévacantistes, le FBI vo

Un informateur du FBI publie des documents montrant que l'agence surveille les catholiques "radicaux" pratiquant la messe en latin. Le mémo cite une étude de 2021 de l'anticatholique Southern Poverty Law Center pour justifier les efforts de surveillance du FBI.


RICHMOND, Virginie (LifeSiteNews) - Un document publié par un dénonciateur du FBI indique que l'agence prévoit d'intensifier son "évaluation" et son "atténuation" des "catholiques traditionalistes radicaux" au cours des 12 à 24 prochains mois en raison de préoccupations présumées selon lesquelles les "nationalistes blancs" font de plus en plus cause commune en ligne avec les participants à la messe en latin.

As promised, the @FBIRichmond office pushing for source recruiting in the Catholic Church in order to mitigate #WhiteSupremacy on the advice of the Leftist and out of FBI Policy @splcenter "hate watch" activists.

New piece and source docs at @UncoverDC [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

— Kyle Seraphin (@KyleSeraphin) February 8, 2023

Le mémo de huit pages qui fait l'effet d'une bombe a été publié par l'ancien agent du FBI devenu lanceur d'alerte Kyle Seraphin sur UncoveredDC mercredi. Le rapport, rédigé par un analyste du FBI à Richmond, en Virginie, a été publié à l'usage interne de l'agence uniquement le 23 janvier. Il est intitulé "L'intérêt des extrémistes violents à motivation raciale ou ethnique pour l'idéologie catholique radicale-traditionaliste présente presque certainement de nouvelles possibilités d'atténuation".

Seraphin décrit le briefing comme un "produit de renseignement" qui, bien que n'étant pas exhaustif, peut être utilisé comme un point de référence initial pour l'agence afin de "soutenir" les futures enquêtes sur le sujet. Il dit avoir obtenu le document d'un employé baptiste anonyme de l'agence.

"Il s'agit du premier produit du domaine Richmond du FBI à se concentrer sur l'intérêt des extrémistes violents à motivation raciale ou ethnique dans le mouvement catholique traditionnel radical", indique le document. "Une recherche dans les bases de données du FBI indique qu'il s'agit également du premier produit de renseignement fini du FBI à traiter spécifiquement cette variable environnementale."

L'un des aspects les plus controversés du mémo est qu'il cite directement une étude diffamatoire menée par le Southern Poverty Law Center (SPLC) sur le sujet du "catholicisme traditionnel radical." Selon M. Seraphin, le SPLC a longtemps été rejeté comme une ressource légitime pour le FBI, mais dans ce cas, il est considéré comme une source primaire pour justifier ses efforts. Le mémo fait également référence à trois articles de diffamation anticatholiques (ici, ici et ici) publiés par les sites Web de gauche Salon et The Atlantic pour défendre sa surveillance.

En général, le rapport montre une compréhension supérieure à la moyenne des diverses communautés pro-messe latine dans l'église, y compris la Fraternité Saint-Pierre, la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, la "Résistance" de la FSSPX ainsi que les groupes sédévacantistes. Il note que la FSSP et la FSSPX ont des "lieux de culte" dans la région de Richmond. Il indique également que d'autres enquêtes du FBI, des rapports des forces de l'ordre locales et des agents de liaison anonymes ont contribué à la compilation de ses conclusions - ce qui indique que des personnes connaissant bien ces communautés ont été en contact avec des responsables du renseignement.

"Le FBI Richmond s'est appuyé sur l'hypothèse clé selon laquelle les extrémistes violents à motivation raciale ou ethnique continueront à trouver l'idéologie des catholiques traditionalistes radicaux (RTC) attrayante et à tenter d'entrer en contact avec les adeptes des RTC, à la fois via les médias sociaux et en personne dans les lieux de culte", peut-on lire. Il mentionne également l'influence du commentateur Nick Fuentes, qui est très populaire parmi les jeunes hommes catholiques traditionnels.

Le rapport indique en outre qu'il existe désormais "de nouvelles possibilités d'atténuation des menaces grâce à l'exploration de nouvelles voies pour le développement des fils-pièges et des sources."

Le rapport prétend que sa véritable motivation est la crainte que l'"idéologie catholique traditionaliste radicale" possède une vision "antisémite, anti-immigrés, anti-LGBT et de suprématie blanche", et que cela représente une menace pour le bien-être intérieur des États-Unis. Le rapport affirme en outre que les adhérents à l'idéologie RTC "partagent fréquemment un langage et un symbolisme, tels que des références aux croisés ou des discours antisémites" en ligne que les nationalistes blancs pro-vie soutiennent également.

Le document compare ensuite les adeptes de l'idéologie du RTC aux "catholiques traditionnels" ordinaires qui "préfèrent simplement la messe en latin et les enseignements et traditions d'avant Vatican II, mais sans les croyances idéologiques plus extrémistes et la rhétorique violente".

Le mémo identifie neuf organisations catholiques traditionnelles qui seraient coupables de promouvoir l'idéologie du RTC : Catholic Family News, The Remnant, The Fatima Center, Tradition in Action, Slaves of the Immaculate Heart of Mary, Culture Wars, In the Spirit of Chartres, Christ or Chaos, et Catholic Apologetics International. Ces groupes étaient tous répertoriés dans le rapport du SPLC.

L'évêque Joseph Strickland de Tyler, Texas, a fourni à LifeSite la déclaration suivante au sujet du document :

Malheureusement, l'expérience de Mark Houck prouve que ce type de surveillance n'est pas hors du domaine du possible. Elle souligne l'ignorance profonde de nos sociétés sur ce que signifie être un vrai disciple de Jésus-Christ ou, comme il est dit actuellement, un "catholique traditionnel radical". Notre Seigneur nous dit d'aimer nos ennemis et de prier pour ceux qui nous persécutent. Les catholiques profondément engagés sont les dernières personnes dont les autorités devraient se préoccuper. Oui, les catholiques traditionnels engagés défendront les enfants à naître et les autres personnes sans défense, mais les attaques violentes sont contraires à ce que signifie être un catholique traditionnel radicalement engagé. Prions pour tous ceux qui occupent des postes d'autorité, et en particulier pour ceux qui sont chargés de faire respecter la loi.

Le rédacteur en chef de Catholic Family News, Brian McCall, a partagé avec LifeSite la déclaration suivante :

La publication par un dénonciateur courageux de ce mémorandum interne du FBI confirme l'état dystopique du pays dans lequel nous vivons malheureusement. Cette note, combinée au ciblage et à la persécution de ceux qui travaillent à la protection de la vie des enfants à naître, prouve sans aucun doute que les personnes malveillantes qui contrôlent les leviers du pouvoir au sein du gouvernement américain utilisent ce pouvoir pour persécuter tous ceux qui ne sont pas d'accord avec leur idéologie impie. Le FBI espionne et infiltre des groupes catholiques romains traditionnels et même des paroisses pour avoir simplement exercé leur droit au premier amendement. L'absurdité des allégations scandaleuses du mémo du FBI est flagrante. Bien que l'auteur reconnaisse que les suprémacistes blancs sont et ont toujours été violemment anticatholiques (le KKK brûle des croix spécifiquement pour montrer son hostilité aux catholiques), l'auteur pense que ces groupes suprémacistes blancs sont maintenant profondément attirés par les paroisses et les groupes fortement catholiques qu'ils méprisent. Le catholicisme traditionnel n'a jamais rien eu à voir avec le sectarisme ou la haine raciale. En fait, les groupes suprématistes blancs qui ont été actifs tout au long de l'histoire des États-Unis (comme le Know Nothing Party) ont ciblé les catholiques parce que les catholiques ont toujours cherché le salut et l'amélioration dans ce monde du sort des races et des ethnies méprisées par les élitistes protestants blancs.

Ironiquement, chaque paroisse de messe latine traditionnelle à laquelle j'ai assisté est plus diversifiée sur le plan ethnique que les paroisses catholiques libérales qui séparent les participants selon des critères linguistiques et donc ethniques (c'est-à-dire les messes espagnoles, les messes vietnamiennes, etc.).

Les catholiques traditionnels cherchent la conversion de chacun, sans distinction de race, de couleur, d'ethnie ou de tout autre attribut, à la royauté du Christ. Ils cherchent à apporter l'amour du Christ et de son Église à toutes les races et ethnies.

La confiance proéminente du mémo envers le Southern Poverty Law Center, totalement discrédité et sectaire, qui n'est pas du tout un centre juridique mais simplement un front politique radical de gauche, discrédite davantage ce mémo et son auteur.

Le ministère de la Justice, dans sa persécution continue des défenseurs de la vie et maintenant de simples catholiques traditionnels, devrait être renommé de son titre orwellien en ministère plus précis de l'injustice.


LifeSite fournira des réactions supplémentaires à ce rapport lorsqu'elles seront disponibles.

SOURCE :

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Un mémo interne (23 janvier) du bureau local du FBI à Richmond a été divulgué à UncoverDC.com par le lanceur d'alerte Kyle Seraphin.

Seraphin a été agent du FBI pendant six ans avant d'être suspendu indéfiniment sans salaire en juin 2022.

Le mémo met en garde contre une "idéologie catholique traditionaliste radicale". Il affirme que les extrémistes trouveront la foi catholique attrayante et "continueront à tenter d'entrer en contact avec les RTC ["Radical Traditionalist Catholics"], à la fois virtuellement via les réseaux sociaux et en personne dans les lieux de culte."

Les RTC sont définis comme ceux qui rejettent l'échec de Vatican II et la plupart des papes de Vatican II, en particulier François et Jean-Paul II ; et qui adhèrent souvent à une idéologie "antisémite", "anti-immigrés", "anti-LGBTQ" et "suprémaciste blanche". Il s'agit de la litanie de déformations couramment utilisées par les extrémistes de gauche contre les personnes honnêtes.

Le document énumère les moyens de recruter des espions au sein même de l'Église.

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Suite à la fuite d'un document prouvant que le bureau du FBI de Richmond avait lancé une enquête sur ce qu'il appelle les catholiques "traditionalistes radicaux", le FBI a protesté qu'il avait "retiré" le document [quoi que cela veuille dire].

Le bureau de presse national du FBI a confirmé l'existence du document à CatholicNewsAgency.com (10 février), qui désigne les catholiques assistant à la messe romaine comme un "groupe extrémiste violent".

Ce n'est pas la première fois que le FBI justifie l'infiltration de communautés religieuses en prétendant rechercher des "extrémistes violents".

Au lendemain du 11 septembre 2001, un agent du FBI du nom de Craigh Monteilh s'était "converti à l'islam" afin de filmer et d'enregistrer secrètement des conversations dans des maisons privées, des mosquées et des entreprises.

Le document de Richmond prouve que le FBI fait de même avec les catholiques.

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(LifeSiteNews) - Le dénonciateur du FBI, Kyle Seraphin, a averti que la note de service du FBI qui a récemment fait l'objet d'une fuite et qui identifie "l'idéologie catholique traditionaliste radicale" comme un aimant pour les "extrémistes violents" est une "porte ouverte" pour cibler tous les chrétiens des États-Unis comme des criminels.

Le mémo de huit pages, rédigé par un analyste du FBI à Richmond, en Virginie, affirme que "l'intérêt de plus en plus marqué des extrémistes violents à motivation raciale ou ethnique (RMVE) pour l'idéologie catholique traditionaliste radicale (RTC) présente presque certainement de nouvelles possibilités d'atténuation des menaces" par le biais du "développement de fils-pièges et de sources".

Le document identifie les "catholiques traditionalistes radicaux" comme rejetant généralement Vatican II comme un "concile valide" et adoptant souvent "une idéologie antisémite, anti-immigrés, anti-LGBTQ et suprémaciste blanche". Il affirme en outre que les RMVE ont "recherché" le culte catholique traditionnel et utilisent le langage de l'idéologie du RTC sur les médias sociaux.

Seraphin a pesé sur les implications inquiétantes du mémo, qu'il a publié mercredi, sur Tucker Carlson Tonight.

"Je pense que c'est consternant", a déclaré Seraphin. "Cela ne semble pas raisonnable, mais c'est l'état du FBI à ce stade qu'ils sont tellement désespérés de trouver des suprémacistes blancs qu'ils vont regarder l'Église catholique."

Seraphin et Carlson s'accordent à dire que, en malmenant un ensemble particulier de croyances religieuses, le mémo est en contradiction avec la Constitution. "La Déclaration des droits interdit au gouvernement de s'immiscer dans les questions sectaires ou religieuses. Ils n'ont pas à décider si votre religion est bonne ou mauvaise. Ils doivent être agnostiques à ce sujet", a souligné M. Carlson.

M. Seraphin a déclaré que, selon lui, le document et les idées qui le sous-tendent constituent une menace non seulement pour les catholiques traditionnels, mais aussi pour tous les chrétiens du pays.

"Je pense que si nous sommes réalistes, ils ont trouvé une porte d'entrée dans ce qu'ils pensent être un catholicisme marginal afin de s'attaquer aux chrétiens en général et de les déclarer comme étant les véritables criminels de ce pays, ou des terroristes potentiels", a-t-il déclaré à Carlson.

Le dénonciateur a fait remarquer que le document avait été rédigé par une personne ayant des opinions "contraires au catholicisme", notamment une croyance dans le "droit" à l'avortement et dans "un programme LGBTQ qui doit être imposé au peuple américain".

Selon le document, une prétendue "augmentation de l'hostilité" envers les personnes pro-avortement en ligne a montré une "convergence" entre les RMVE et les RTC, et sa mention des croyances "anti-LGBTQ" des RTC semble vilipender la grande majorité des catholiques traditionnels ainsi que la majorité des chrétiens conservateurs, puisque la croyance biblique que le mariage n'existe qu'entre un homme et une femme est interprétée par les défenseurs du "LGBTQ" comme étant "anti-LGBTQ."

En fait, le Southern Poverty Law Center (SPLC), cité par le mémo en question, qualifie même d'"anti-LGBTQ" les lois qui empêchent les hommes de participer à des sports féminins. Sur son site web, le SPLC r

Un informateur du FBI : Le mémo sur les catholiques pratiquant la messe en latin est une "porte ouverte" pour déclarer tous les chrétiens "criminels".

Le dénonciateur du FBI, Kyle Seraphin, a souligné que la note de service qui a fait l'objet de la fuite a été rédigée d'un point de vue "antithétique", non seulement pour le catholicisme, mais aussi pour toutes les confessions chrétiennes conservatrices.
ejette la "liberté religieuse" comme un "prétexte" pour ce qu'il prétend être des croyances anti-LGBTQ.

"C'est une porte ouverte à tous les chrétiens de ce pays, c'est-à-dire à peu près tout le pays", a conclu M. Seraphin.

Il a souligné que le dénonciateur anonyme du FBI qui lui a communiqué le mémo n'est pas catholique, mais qu'il estime que "s'ils s'en prennent aux catholiques traditionnels "radicaux", les baptistes traditionnels "radicaux" sont les prochains, les évangéliques traditionnels radicaux, et tous ceux qui épousent ce qui est "radical", c'est-à-dire simplement une foi chrétienne".

Suite à d'intenses réactions, le FBI a maintenant publié une déclaration disant qu'il ne se rétracte pas seulement, mais qu'il enquête également sur les raisons pour lesquelles le mémo anti-catholique a été publié par son bureau de Richmond, en Virginie, le mois dernier.

"Bien que notre pratique habituelle soit de ne pas commenter des produits de renseignement spécifiques, ce produit particulier du bureau de terrain - diffusé uniquement au sein du FBI - concernant l'extrémisme violent à motivation raciale ou ethnique ne répond pas aux normes rigoureuses du FBI", indique la déclaration.

Dans sa déclaration, le FBI affirme que "dès qu'il a appris l'existence du document, le siège du FBI a rapidement pris des mesures pour le retirer des systèmes du FBI et procéder à un examen des fondements du document".

La déclaration poursuit : "Le FBI s'est engagé à appliquer des techniques analytiques solides, à enquêter sur les actes de violence et autres crimes et à les prévenir, tout en faisant respecter les droits constitutionnels de tous les Américains, et ne mènera jamais d'activités d'enquête ou n'ouvrira jamais une enquête sur la seule base d'une activité protégée par le premier amendement."

Une "étude" réalisée il y a plusieurs années par le SPLC sur les prétendus dangers du "catholicisme traditionnel radical" a été incluse dans le mémo du FBI comme ressource principale afin de justifier la surveillance de certains groupes catholiques traditionnels par l'agence.

La note fait référence à neuf organisations catholiques traditionnelles en tant que "groupes haineux du RTC", tels qu'identifiés et définis par le SPLC : Catholic Family News, The Remnant, The Fatima Center, Tradition in Action, Slaves of the Immaculate Heart of Mary, Culture Wars, In the Spirit of Chartres, Christ or Chaos, et Catholic Apologetics International. Ces groupes figurent tous dans le rapport du SPLC.

M. Seraphin a réagi sur Twitter à la nouvelle de la volte-face du FBI, suggérant que l'agence n'a fait marche arrière que parce qu'on lui a demandé des comptes. "Le FBI ne confirme pas les informations, mais ils ont confirmé ceci", a-t-il écrit. "Parce qu'ils ont été interpellés. Pas parce qu'ils ne l'auraient JAMAIS approuvé. Ils l'ont approuvé, et sont embarrassés. C'est la seule solution."

Le rédacteur en chef de Catholic Family News, Brian McCall, a fait remarquer à LifeSiteNews que la publication du mémo "confirme l'état dystopique du pays dans lequel nous vivons malheureusement."

McCall a poursuivi : "Le FBI espionne et infiltre des groupes catholiques romains traditionnels et même des paroisses pour avoir simplement exercé leurs droits du premier amendement. L'absurdité des allégations scandaleuses du mémo du FBI est flagrante."

Bien que l'auteur reconnaisse que les suprémacistes blancs sont et ont toujours été violemment anticatholiques (le KKK brûle des croix spécifiquement pour montrer son hostilité aux catholiques), l'auteur pense que ces groupes suprémacistes blancs sont maintenant profondément attirés par les paroisses et les groupes fortement catholiques qu'ils méprisent.

Le catholicisme traditionnel n'a jamais rien eu à voir avec le sectarisme ou la haine raciale. En fait, les groupes suprématistes blancs qui ont été actifs tout au long de l'histoire des États-Unis (comme le Know Nothing Party) ont ciblé les catholiques parce que les catholiques ont toujours cherché le salut et l'amélioration dans ce monde du sort des races et des ethnies méprisées par les élitistes protestants blancs.

Ironiquement, toutes les paroisses traditionnelles où l'on célèbre la messe en latin que j'ai fréquentées sont plus diversifiées sur le plan ethnique que les paroisses catholiques libérales qui séparent les participants selon des critères linguistiques, et donc ethniques (par exemple, les messes en espagnol, les messes en vietnamien, etc.)

Les catholiques traditionnels cherchent à convertir tout le monde, sans distinction de race, de couleur, d'ethnie ou de tout autre attribut, à la royauté du Christ. Ils cherchent à apporter l'amour du Christ et de son Église à toutes les races et ethnies.

Le fait que le mémo s'appuie sur le Southern Poverty Law Center, qui n'est pas du tout un centre juridique mais simplement un front politique radical de gauche, discrédite encore plus ce mémo et son auteur.

Le Département de la Justice, dans sa persécution continue des défenseurs de la vie et maintenant des simples catholiques traditionnels, devrait être renommé de son titre orwellien en Département de l'Injustice, plus précis.

LifeSiteNews a contacté la Conférence des évêques catholiques des États-Unis et le diocèse de Richmond pour obtenir des commentaires, mais n'a pas reçu de réponse au moment de la publication.

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Vingt - sur 94 - procureurs généraux des États-Unis se sont dits "horrifiés" d'apprendre que le bureau local du FBI à Richmond a établi un lien entre les catholiques et "l'extrémisme violent".

Dans une lettre du 10 février adressée au directeur du FBI, Christopher Wray, et au procureur général des États-Unis, Merrick Garland, ils ont demandé la publication de tous les documents relatifs à cette affaire, déclarant que "s'il y a une étoile fixe dans notre constellation constitutionnelle, c'est celle qui indique qu'aucun fonctionnaire, haut ou petit, ne peut prescrire ce qui est orthodoxe en matière de religion".

Les catholiques visés, disaient-ils, exerçaient leur droit constitutionnel de pratiquer leur culte. Après la publication du mémo, le FBI s'est "rétracté", affirmant qu'il n'était "plus" en train d'infiltrer des groupes catholiques.

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