Samedi prochain, 6 avril 2024 : 1 er samedi du mois N’oublions pas de réciter un acte de réparation
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Samedi prochain, 6 avril 2024 : 1 er samedi du mois N’oublions pas de réciter un acte de réparation

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Message  Célestine Ven 5 Avr 2024 - 12:52

Samedi prochain, 6 avril 2024 : 1
er samedi du mois
N’oublions pas de réciter un acte de réparation ce jour-là.
Méditations proposées
3
e mystère joyeux : La nativité (voir explication ci-après)
Méditations proposées par Cap Fatima : cliquer ICI
Méditations proposées par Salve Corda : cliquer ICI
Blasphèmes à réparer Les offenses de ceux qui outragent Notre-Dame directement dans ses saintes
images
Lettre de liaison n° 160 (3 avril 2024)
Chers amis,
Il y a quelques jours, nous vous avons fait part de l’initiative lancée par Salve Corda de faire une journée
de réparation samedi, 1er samedi du mois d’avril, pour réparer l’offense faite à Dieu que constitue l’inscription
dans la constitution française d’un prétendu droit des femmes à avorter. On ne se moque pas Dieu ; aussi estil à craindre que Dieu ne punisse un jour la fille aînée de l’Église pour un tel affront.
Mais l’Écriture Sainte nous enseigne aussi que si Dieu est infiniment juste, il est également infiniment
miséricordieux et se laisse toucher par notre repentir. Voilà pourquoi il est important, même si nous ne sommes
pas directement responsables de cette modification de la constitution, de réparer cet affront fait à la bonté
divine. Or un des moyens de réparer indiqué par Dieu Lui-même est la dévotion au Cœur Immaculé de Marie
et plus particulièrement la communion réparatrice du premier samedi du mois. C’est pourquoi, samedi, en
union avec Salve Corda, nous vous proposons de faire un acte de réparation en faisant une fervente communion
réparatrice et en ajoutant, dans la mesure du possible, la récitation de l’acte de réparation proposé par Cap
Fatima. Salve Corda propose de méditer le mystère de la nativité (3e mystère joyeux) ; nous vous proposons
de méditer avec eux sur le même mystère.
En poursuivant nos réflexions sur le message de Fatima, nous arrivons providentiellement à la communion
réparatrice. En effet, dans la précédente lettre de liaison, nous avons réfléchi sur la vision de l’enfer que NotreDame montra aux petits voyants. Nous avons vu combien cette vision avait eu des conséquences dans leur vie
quotidienne et nous terminions en disant que nous aborderions dans la lettre suivante les raisons qui
conduisirent la Sainte Vierge à montrer les horreurs de l’enfer à de si jeunes enfants.
Juste après la vision, Notre-Dame reprit la parole et dit : « Vous avez vu l’enfer où vont les âmes des pauvres
pécheurs. Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. » C’est le
grand secret de Fatima, le point le plus important du message de la Sainte Vierge ; Dieu Lui-même nous donne
un moyen pour éviter l’enfer : la dévotion au cœur de sa Mère. Ainsi tous ceux qui ont péché gravement,
notamment en favorisant ou en pratiquant un avortement, peuvent être sauvés par la dévotion au Cœur
Immaculé de Marie. Et comme la plupart ne connaissent pas cette dévotion, Dieu nous demande de la pratiquer
pour eux.
Après cette révélation, déjà faite une première fois au cours de la précédente apparition, la Sainte Vierge
annonça une nouvelle guerre (nous verrons ce point dans la prochaine lettre), puis donna un moyen pour éviter
cette guerre. En effet, elle dit : « Pour l’empêcher, je viendrai demander la consécration de la Russie à mon
Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis du mois. Si l’on écoute mes demandes,
2
la Russie se convertira et l’on aura la paix. » Ainsi, après avoir dit que Dieu voulait établir dans le monde la
dévotion à son Cœur Immaculé, Notre-Dame en précise deux pratiques : la communion réparatrice des
premiers samedis du mois.
Voilà donc une des raisons pour lesquelles Notre-Dame a montré l’enfer aux petits voyants. Elle montre
l’importance de prier pour les pécheurs, de réparer les fautes qu’ils commettent, fautes qui peuvent avoir pour
conséquences la guerre ici-bas et pire encore l’enfer dans l’au-delà. Et Notre-Dame nous révèle que Dieu nous
donne un moyen pour empêcher l’un comme l’autre : la dévotion au Cœur de sa Très Sainte Mère. Or, sans
vouloir minimiser l’utilité des autres dévotions, il convient de prêter une attention particulière à celle que Dieu
a si précisément demandée.
La dévotion au Cœur Immaculé de Marie comprend cinq pratiques. Les deux premières sont l’offrande des
prières et des sacrifices de la vie quotidienne – dont l’Ange a parlé dans l’apparition de l’été 1916, ainsi que
Notre-Dame juste avant la vision de l’enfer – et la récitation quotidienne du chapelet dont Notre-Dame a déjà
parlé 3 fois. Ici Notre-Dame ajoute deux pratiques : la consécration à son Cœur Immaculé et la communion
réparatrice des premiers samedis du mois. La cinquième pratique, le port du scapulaire de Notre-Dame du
Mont Carmel, sera révélée à la fin des apparitions.
Nous avons déjà parlé de ces différentes pratiques dans de précédentes lettres de liaison, mais tout le monde
ne les a peut-être pas lues ou reçues et il n’est pas mauvais, surtout pour nous préparer à la journée de réparation
de samedi, de rappeler en quoi elle consiste la communion réparatrice du premier samedi du mois.
La communion réparatrice des premiers samedis du mois
Dans l’apparition du 13 juillet, la Sainte Vierge parle des premiers samedis du mois de façon générale, sans
en préciser le nombre. Et elle parle au futur : « Je viendrai demander la communion réparatrice des premiers
samedis du mois ». C’est le 10 décembre 1925 à Pontevedra qu’elle en fera formellement la demande. Et en
décembre 1927, sœur Lucie confia à son confesseur, le père Aparicio, ce que Notre-Dame lui avait dit ce jourlà :
Vois, ma fille, mon Cœur entouré des épines que les hommes m’enfoncent à chaque instant, par leurs
blasphèmes et leurs ingratitudes. Toi, du moins, tâche de me consoler et dis que tous ceux qui,
– pendant cinq mois, le premier samedi,
– se confesseront,
– recevront la sainte Communion,
– réciteront un chapelet
– et me tiendront compagnie pendant quinze minutes, en méditant sur les quinze mystères du Rosaire
– en esprit de réparation,
je promets de les assister à l’heure de la mort, avec toutes les grâces nécessaires pour le salut de
leur âme.
Les assouplissements de l’Enfant-Jésus
Deux mois plus tard, le 15 février 1926, l’Enfant Jésus apparut à sœur Lucie et assouplit les conditions
posées par Notre-Dame. Voici un extrait du dialogue qui s’établit entre eux, propos qu’elle rapporta quelques
jours plus tard à Mgr Pereira Lopès, un de ses confesseurs :
— Mon confesseur [Mgr Lopès] disait dans sa lettre que cette dévotion ne faisait pas défaut dans le
monde, parce qu’il y avait déjà beaucoup d’âmes qui Vous recevaient chaque premier samedi, en l’honneur
de Notre-Dame et des quinze mystères du Rosaire.
— C’est vrai ma fille, que beaucoup d’âmes commencent, mais peu vont jusqu’au bout et celles qui
persévèrent, le font pour recevoir les grâces qui y sont promises. Les âmes qui font les cinq premiers
samedis avec ferveur et dans le but de faire réparation au Cœur de ta Mère du Ciel me plaisent davantage
que celles qui en font quinze, tièdes et indifférents.
— Mon Jésus ! Bien des âmes ont de la difficulté à se confesser le samedi. Permettriez-Vous que la
confession dans les huit jours soit valide ?
— Oui. Elle peut être faite même au-delà, pourvu que les âmes soient en état de grâce le premier
samedi lorsqu’elles me recevront, et que, dans cette confession antérieure, elles aient l’intention de
faire ainsi réparation au Sacré-Cœur de Marie.
— Mon Jésus ! Et celles qui oublieront de formuler cette intention ?
— Elles pourront la formuler à la confession suivante, profitant de la première occasion qu’elles
auront pour se confesser.
3
Les précisions de Notre-Seigneur
Quatre ans plus tard, le père Gonçalvès, qui avait remplacé le père Aparicio comme confesseur, demanda
à sœur Lucie de répondre par écrit à plusieurs questions sur la dévotion des premiers samedis du mois. Voici
ses réponses (lettre du 12 juin 1930 au père Gonzalès) :
1. Quand [cette dévotion a-t-elle été révélée] ? Le 10 décembre 1925.
Comment ? Par une apparition de Notre-Seigneur et de la Très Sainte Vierge qui me montra son Cœur
Immaculé entouré d’épines et demandant réparation.
Où ? À Pontevedra (Passage Isabelle II). La première apparition (eut lieu) dans ma chambre, la seconde
près du portail du jardin où je travaillais.
2. Les conditions requises ?
Durant cinq mois, le premier samedi, recevoir la Sainte Communion, dire le chapelet, tenir compagnie
quinze minutes à Notre-Dame en méditant les mystères du Rosaire, et se confesser avec la même intention.
La confession peut se faire un autre jour, pourvu qu’on soit en état de grâce en recevant la Sainte
Communion.
3. Avantages ou promesses.
« Aux âmes qui chercheront à me faire réparation de cette manière (dit Notre-Dame), je promets de les
assister à l’heure de la mort avec toutes les grâces nécessaires au salut. »
4. Pourquoi cinq samedis et non neuf, ou sept en l’honneur des douleurs de Notre-Dame ?
Me trouvant dans la chapelle avec Notre-Seigneur une partie de la nuit du 29 au 30 de ce mois de mai
1930, et parlant à Notre-Seigneur des questions quatre et cinq, je me sentis soudain possédée plus
intimement par la divine présence et, si je ne me trompe, voici ce qui m’a été révélé :
« Ma fille, le motif en est simple. Il y a cinq espèces d’offenses et de blasphèmes proférés contre le Cœur
Immaculé de Marie :
– les blasphèmes contre l’Immaculée Conception,
– les blasphèmes contre sa virginité,
– les blasphèmes contre sa maternité divine, en refusant en même temps de la reconnaître comme Mère
des hommes,
– les blasphèmes de ceux qui cherchent publiquement à mettre dans le cœur des enfants l’indifférence
ou le mépris, ou même la haine à l’égard de cette Mère Immaculée,
– les offenses de ceux qui l’outragent directement dans ses saintes images.
Voilà, ma fille, le motif pour lequel le Cœur Immaculé de Marie m’a inspiré de demander cette petite
réparation, et, en considération de celle-ci, d’émouvoir ma miséricorde pour pardonner aux âmes qui ont
eu le malheur de l’offenser. Quant à toi, cherche sans cesse, par tes prières et tes sacrifices, à émouvoir
ma miséricorde à l’égard de ces pauvres âmes. »
5. Ceux qui ne pourront accomplir les conditions le samedi, ne peuvent-ils y satisfaire le dimanche ?
« La pratique de cette dévotion sera également acceptée le dimanche qui suit le premier samedi, quand
mes prêtres, pour de justes motifs, le permettront aux âmes. »
L’esprit de la dévotion
Pour bien comprendre le but des premiers samedis du mois, il est important de noter les points suivants.
Dans la réponse à la quatrième question, Notre-Seigneur dit à sœur Lucie que c’est Lui qui demande cette
dévotion : « … le Cœur Immaculé de Marie M’a inspiré de demander cette petite réparation et, en
considération de celle-ci, d’émouvoir Ma miséricorde ».
Si la possibilité de choisir un autre jour que le premier samedi pour la confession est laissé au libre choix
de chacun, la possibilité de communier le lendemain ne peut être accordée que par un prêtre. Toutefois, il est
clair que ce ne sont que des exceptions : la règle générale fixée par le Ciel est de se confesser et de communier
le samedi. Pour pouvoir le faire un autre jour, il faut un empêchement réel.
Le point le plus important, celui duquel cette dévotion tire toute son efficacité, c’est la volonté de réparer
les outrages subis par Notre-Dame de la part des pécheurs. C’est l’un des points essentiels du message de
Fatima : réparer les offenses commises envers les saints cœurs de Jésus et Marie. Et l’inscription d’un droit à
l’avortement dans la constitution française, en rejetant clairement une volonté divine de ne jamais attenter à la
vie d’un innocent, est une véritable offense envers le divine Législateur. En octobre 1928, dans une lettre
adressée à son évêque, Mgr da Silva, sœur Lucie écrivit :
Le bon Dieu, dans son infinie miséricorde, se plaint de ne pouvoir supporter plus longtemps les offenses
qui se commettent contre l’Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge. Il dit qu’à cause de ce péché,
4
un grand nombre d’âmes tombent en enfer, et il promet de les sauver, dans la mesure où l’on pratiquera
la dévotion suivante [les premiers samedis du mois], avec l’intention de faire réparation au Cœur
Immaculé de notre très Sainte Mère.
Sœur Lucie confia également au père Aparicio (lettre du 19 mars 1939) :
De la pratique de cette dévotion, unie à la consécration au Cœur Immaculé de Marie, dépendent
pour le monde la paix ou la guerre. C’est pourquoi j’ai tant désiré sa propagation ; et puis, surtout parce
que telle est la volonté de notre bon Dieu et de notre si chère Mère du Ciel.
Plus tard, sœur Lucie indiqua qu’il fallait pratiquer cette dévotion chaque premier samedi du mois, car à
chaque fois, nous pouvions obtenir la conversion d’un plus grand nombre de pécheurs :
Voici ma façon de faire les méditations sur les mystères du rosaire, les premiers samedis. Premier
mystère : l’annonciation de l’ange Gabriel à Notre-Dame. (…) [Ici, sœur Lucie donne sa méthode pour
méditer sur un mystère.]
Le deuxième mois, je fais la méditation du deuxième mystère joyeux. Le troisième, du troisième et ainsi
de suite, en suivant la même méthode pour méditer. Quand j’ai fini ces cinq premiers samedis, j’en
recommence cinq autres et je médite les mystères douloureux, ensuite les glorieux et, quand je les ai
terminés, je recommence les joyeux.
Cette précision de sœur Lucie indique bien que le Ciel souhaite nous voir accomplir cette dévotion chaque
premier samedi du mois et non pas uniquement cinq fois, car cette pratique est avant tout pour sauver des âmes.
C’est d’ailleurs le sens de la première demande de Notre-Dame le 13 juillet 1917 : « Je viendrai demander
(…) la communion réparatrice des premiers samedis du mois ». La Sainte Vierge n’a pas dit : « Je viendrai
demander la communion réparatrice des cinq premiers samedis du mois ». La demande divine est la pratique de
cette communion chaque premier samedi du mois. Et Dieu tient tant à cette dévotion qu’Il accorde une grâce
particulière à tous ceux qui la pratiqueront cinq premiers samedis consécutifs : celle de l’assistance de NotreDame au moment de notre mort. Mais c’est une grâce supplémentaire, : la grâce principale obtenue pour
chaque communion faite le premier samedi, c’est la conversion des pécheurs et la paix dans le monde.
Il ne faut pas confondre la pratique générale et la grâce supplémentaire accordée à ceux qui la font
cinq premiers samedis de suite. Cette dernière grâce, si extraordinaire pour nous, est avant tout la marque
que le Ciel attache une très grande importance à cette dévotion.
Alors, samedi prochain, et si possible chaque premier samedi, communions en esprit de réparation sans
omettre les demandes complémentaires : la confession, le chapelet et la méditation de 15 minutes sur les
mystères du rosaire.
En union de prière dans le Cœur Immaculé de Marie
Yves de Lassus
Réponse à quelques objections
Certains ont fait remarquer que nous n’avons pas à réparer pour des fautes que nous n’avons pas commises.
C’est tout à fait exact. Mais le Ciel nous demande par contre de réparer pour les fautes des autres, surtout s’ils
ne le font pas eux-mêmes. Cette demande est omniprésente dans les paroles de l’Ange ou de Notre-Dame :
« Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne Vous
aiment pas » ; « Offrez à Dieu un sacrifice en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé » ;
« Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu’Il voudra vous envoyer, en acte de
réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ? » ;
« Sacrifiez-vous pour les pécheurs, et dites souvent, spécialement chaque fois que vous ferez un sacrifice … ».
On peut difficilement être plus clair : Dieu veut que nous réparions, non seulement pour les fautes que nous
avons commises, mais aussi pour les fautes de notre prochain. C’est même un des plus beaux actes de charité
envers notre prochain que nous puissions faire. Le Christ Lui-même nous en a donné l’exemple en mourant
sur la croix.
Beaucoup ont des difficultés à pouvoir communier le samedi et demandent que faire dans ce cas. S’il y a
un juste motif empêchant de communier le samedi, la communion peut être faite le lendemain dimanche, sous
réserve d’en demander au préalable l’autorisation à un prêtre, comme cela vient d’être rappelé. Or, il est plus
rare de ne pas pouvoir assister à la messe le dimanche. Et demander au prêtre avant la messe n’est pas très
compliqué. Quant à ceux qui ne peuvent pas non plus communier le dimanche, cas des marins en mer par
exemple, ils ne leur restent que la possibilité d’attendre le premier samedi suivant. Ils peuvent aussi faire une
communion spirituelle le jour où ils sont empêchés, même si celle-ci ne peut remplacer une communion
sacramentelle
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Message  Admin Ven 5 Avr 2024 - 14:58

@ ParAmourPourJésus :

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"Oui, mon retour est proche!
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Apocalypse, 22, 20


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Message  Solstice Ven 5 Avr 2024 - 15:34

Célestine a écrit:Samedi prochain, 6 avril 2024 : 1
Les samedi du mois
N’oublions pas de réciter un acte de réparation ce jour-là.
Méditations proposées
3
Le mystère joyeux : La nativité (voir explication ci-après)
Méditations proposées par Cap Fatima : cliquer ICI
Méditations proposées par Salve Corda : cliquer ICI


désolé mais les liens ne fonctionnent pas Drapeau de la Paix
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Message  Célestine Sam 6 Avr 2024 - 13:48

Mystère à méditer

3e mystère glorieux : La nativité (Voir explication ci-après)
Méditations proposées par Cap Fatima : cliquer ICI
Méditation proposée par Salve Corda : cliquer ICI

Blasphèmes à réparer

les offenses de ceux qui outragent Notre-Dame directement dans ses saintes images
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Message  Célestine Sam 6 Avr 2024 - 13:51

Méditations pour les 1ers samedis du mois
Les méditations qui suivent sont destinées à aider à faire les 15 minutes demandées par Notre-Dame pour la communion réparatrice des premiers samedis du mois. Il n'est pas obligatoire de les lire complètement : on peut n'en lire que quelques lignes si ces quelques lignes peuvent nous suffire à méditer 15 minutes.

Pour satisfaire aux demandes de Notre-Dame pour la communion réparatrice des premiers samedis du mois, il n'est pas nécessaire de méditer sur tous les mystères. Voici comment faisait sœur Lucie (tiré d'une lettre au père Martins) :

Voici ma façon de faire les méditations sur les mystères du rosaire, les premiers samedis. Premier mystère : l’annonciation de l’ange Gabriel à Notre-Dame. Premier préambule : me représenter, voir et entendre l’ange saluer Notre-Dame avec ces paroles : « Je vous salue Marie, pleine de grâce ». Deuxième préambule : je demande à Notre-Dame qu’elle infuse dans mon âme un profond sentiment d’humilité. Premier point : Je méditerai la manière dont le Ciel proclame que la très Sainte Vierge est pleine de grâce, bénie entre toutes les femmes et destinée à être la Mère de Dieu. Deuxième point : L’humilité de Notre-Dame se reconnaissant et se disant la servante du Seigneur. Troisième point : comment je dois imiter Notre-Dame dans son humilité, quelles sont les fautes d’orgueil et de superbe par lesquelles j’ai l’habitude de déplaire à Notre-Seigneur, et quels sont les moyens que je dois employer pour les éviter, etc.
Le deuxième mois, je fais la méditation du deuxième mystère joyeux. Le troisième, du troisième et ainsi de suite, en suivant la même méthode pour méditer. Quand j’ai fini ces cinq premiers samedis, j’en recommence cinq autres et je médite les mystères douloureux, ensuite les glorieux et, quand je les ai terminés, je recommence les joyeux.

Version internet Version Pdf
Mystères
joyeux

1er mystère :
L'annonciation

par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par Dom Guéranger pdf
par le père Dupont (2e méditation) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
2e mystère :
La visitation

par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par Dom Guéranger pdf
par le père Dupont (2e méditation) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
3e mystère :
La nativité

par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par Dom Guéranger pdf
par le père Dupont (2e méditation) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
2e méditation proposée par Salve Corda /
4e mystère :
La présentation de Jésus au temple

par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par Dom Guéranger pdf
par le père Dupont (2e méditation) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
5e mystère :
Le recouvrement de Jésus au temple par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par le père Dupont (Noces de Cana) pdf
par le père Dupont (Vie cachée à Nazareth) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
Mystères
douloureux

1er mystère :
L'agonie de Jésus au jardin des oliviers par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par Dom Guéranger pdf
par le père Dupont (2e méditation) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
2e mystère :
La flagellation par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par la bienheureuse AC Emmerich pdf
par le père Dupont (Reniement de saint Pierre) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
3e mystère :
Le couronnement d'épines par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par la bienheureuse AC Emmerich pdf
par le père Dupont (Ecce Homo) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
4e mystère :
Le portement de croix par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par la bienheureuse AC Emmerich pdf
par Henri Pourrat pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
5e mystère :
La crucifixion par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par Dom Guéranger pdf
par la bienheureuse AC Emmerich pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
Mystères
glorieux

1er mystère :
La Résurrection

par le père Dupont pdf
par Dom Delatte pdf
par Dom Guéranger pdf
par le père Dupont (Marie-Madeleine) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
2e mystère :
L'Ascension par le père Dupont pdf
par Dom Guéranger pdf
par le père Dupont (2e méditation) pdf
par saint Alphonse de Liguori pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
3e mystère :
La Pentecôte par le père Dupont pdf
par Dom Guéranger pdf
par Ludolphe le Chartreux pdf
par le père Dupont (2e méditation) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
4e mystère :
L'Assomption par le père Dupont pdf
par Dom Guéranger pdf
par Ludolphe le Chartreux pdf
par le père Dupont (2e méditation) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
5e mystère :
Le couronnement de la Sainte Vierge par le père Dupont pdf
par saint Alphonse de Liguori pdf
par Marie d'Agreda pdf
par le père Dupont (2e méditation) pdf
Méditation proposée par Salve Corda /
Célestine
Célestine
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Samedi prochain, 6 avril 2024 : 1 er samedi du mois N’oublions pas de réciter un acte de réparation  Empty Re: Samedi prochain, 6 avril 2024 : 1 er samedi du mois N’oublions pas de réciter un acte de réparation

Message  Célestine Sam 6 Avr 2024 - 13:56

MÉDITATION RÉPARATION 1ER SAMEDI D’AVRIL 2024
Retour à la liste
3ème mystère joyeux : La Nativité Fruit du mystère: l’esprit de pauvreté

Voir et télécharger le PDF
Nous poursuivons notre cycle de cinq “1er samedi du mois“ sur les mystères joyeux. Après la méditation sur la Visitation en mars dernier nous allons maintenant tenir compagnie à Notre Dame sur ce grand mystère de la Nativité. Compte tenu du contexte de la réparation de l’acte du gouvernement, la méditation sera un peu plus longue que d’habitude.

Lors de la Visitation nous avions vu que le Christ a délivré Saint Jean-Baptiste et sa famille du péché originel. En réalisant ce premier acte de notre rédemption, alors qu’Il est présent dans le sein de sa Mère depuis seulement quelques jours, le Christ lui-même nous montre de façon éclatante que la vie commence à la conception.

Son choix de débuter sa vie sur terre dès la conception montre d’ailleurs à quel point cette période est pour Lui importante. En effet, Il aurait parfaitement pu venir dans le monde directement comme une personne adulte. Non. Il décide de s’incarner comme un enfant à naître, et Il va ainsi donner une immense dignité à cette période de la vie entre la conception et la naissance. S’imaginer que le Fils de Dieu lui-même a eu une semaine dans le sein de sa Mère, puis deux semaines, puis trois semaines (âge où physiquement le cœur commence à battre) et ainsi de suite jusqu’à la naissance change le regard de tout chrétien sur cette période de la vie : tout ce que vit un enfant dans le ventre de sa mère, le Christ l’a vécu.


Alors, on peut tout à fait se demander pourquoi Dieu a voulu vivre cela ? Il n’est pas besoin de chercher bien loin. C’est Lui qui a créé cette présence de neuf mois d’un enfant à naître dans le sein de sa mère. Il a voulu ainsi que se tisse entre une maman et son enfant qui grandit en elle un lien d’amour incomparable. Et quand lui-même s’est incarné, il a voulu établir ce même lien d’amour entre Lui et son Auguste Mère. Il a voulu que son Sacré-Cœur batte à quelques centimètres du Cœur Immaculé de Marie pendant ces neuf mois jusqu’à sa Nativité.

C’est pour cela que si l’avortement est un acte terrible vis-à-vis de l’enfant à naître, il est en même temps une très grave offense vis-à-vis de Dieu car le Christ nous a bien dit : “Ce que vous ferez aux plus petits d’entre les miens, c’est à moi que vous le faites.“ Ces paroles appliquées à l’avortement doivent nous bouleverser. Dans son ouvrage, Réflexions sur chacune des sept douleurs de Marie, Saint Alphonse de Liguori nous fait part d’une vision : “Un jour Marie apparut à la bienheureuse Colette, de l’ordre de saint François, et lui montrant dans un berceau l’enfant Jésus mis en pièces, Elle lui dit : c’est ainsi que les pécheurs traitent continuellement mon Fils, en renouvelant sa mort et mes douleurs ; ma fille, priez pour eux, afin qu’ils se convertissent.“ Quelle vision prophétique du monde d’aujourd’hui où effectivement, lors des avortements chirurgicaux (à partir de quatorze semaines), l’enfant est mis en pièces, car le “médecin“ va devoir d’abord arracher un à un ses membres avant de pouvoir extraire le reste du petit corps mutilé.

Si ces atrocités sont insupportables aux yeux de Dieu, que dire de l’offense envers la Sainte Vierge. Elle, la femme qui de toute l’histoire du monde a le plus aimé son enfant et qui plus que toute autre mère a le plus aimé le développement de cette vie en Elle jusqu’à la Nativité. Elle qui enfin est devenue la propre Mère de tous les enfants à naître, combien il doit être douloureux pour son Cœur de Mère de voir que l’on tue ces millions d’êtres qui ne naîtront jamais et ne seront jamais baptisés. Si Notre Dame pleurait déjà à la Salette en 1846 sur le monde, combien Elle doit pleurer encore plus aujourd’hui ! En ce 1er samedi du mois, il est temps de nous jeter à ses pieds pour réparer une telle offense qui plus est, élevée au rang de fondement de la constitution française.

Consolons-La comme Elle nous a demandé de le faire en méditant avec ferveur sur ce mystère de la Nativité.

Toute méditation commence par une chose très simple : savoir contempler en silence. Alors, tels de nouveaux bergers, regardons la beauté et la paix de ce moment de la Nativité. Laissons-nous saisir par l’intensité de cette scène. Sous la voûte du ciel étoilé, dans la pureté de votre création, de la roche, des plantes et des animaux, en présence de Saint Joseph et de la Sainte Vierge, oh mon doux Jésus, vous venez de naître, au terme de vos neuf premiers mois de vie au sein de votre Auguste Mère.

Dom Guéranger, grand moine bénédictin du XIXème siècle décrit ainsi la naissance de Notre Seigneur. “Cependant, à l’heure de minuit, la Vierge a senti que le moment suprême est arrivé. Son cœur maternel est tout à coup inondé de délices inconnus ; il se fond dans l’extase de l’amour. Soudain, franchissant par sa toute-puissance les barrières du sein maternel, comme il pénétrera un jour la pierre du sépulcre, le Fils de Dieu, Fils de Marie apparaît étendu sur le sol, sous les yeux de sa mère, vers laquelle il tend ses bras.“ Tout comme l’incarnation a été miraculeuse, la naissance de Jésus a été de même miraculeuse. La Sainte Vierge n’ayant pas le péché originel – Immaculée Conception – Elle ne connaîtra pas les conséquences de ce péché que sont les douleurs de l’enfantement. Alors continue Don Guéranger “La Vierge-Mère adore cet enfant divin qui lui sourit ; elle ose le presser contre son cœur ; elle l’enveloppe des langes qu’elle lui a préparés ; elle le couche dans la crèche. Le fidèle Joseph adore avec elle ; les saints Anges, selon la prophétie de David, rendent leurs profonds hommages à leur Créateur, dans ce moment de son entrée sur cette terre. Le ciel est ouvert au-dessus de l’étable, et les premiers vœux du Dieu nouveau-né montent vers le Père des siècles (…) arrivent à l’oreille du Dieu offensé, et préparent déjà le salut du monde. “

Oui, la beauté de cette scène doit nous conduire à la mission du Christ. A peine né il poursuit son œuvre de Rédemption commencée à l’Annonciation et à la Visitation. Il va alors faire appeler des bergers. Les anges envoyés prononceront ces paroles : “Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. “ Le terme “bonne volonté“ est très important. En effet si les premiers hommes appelés par l’Enfant Jésus sont de “bonne volonté“ c’est que cette caractéristique est majeure. La “bonne volonté“, c’est une volonté humble, qui se conforme à celle de Dieu et est entièrement soumise à sa loi. C’est l’attitude qui nous est demandée par Dieu. Saint Joseph en est un magnifique exemple et les bergers viennent à sa suite. Chez eux pas de doutes, pas de raisonnements complexes, pas d’esprit orgueilleux qui remet toujours tout en question. Non la simplicité de la foi. Ils entendent un appel ? Sur le champ ils viennent. Et dans la beauté de leur cœur pur, lorsqu’ils se retrouvent face à l’Enfant Jésus, ils voient et ils croient, se mettant à genoux pour l’adorer. Comment une telle foi instantanée a-t-elle été possible ? Par la naissance de la grâce apportée par le Christ comme l’explique Dom Guéranger : “ Que s’est-il donc passé au cœur de ces hommes simples ? Le Christ y est né, il y habite désormais par la foi et l’amour. Ils sont nos pères dans l’Église ; et c’est à nous de leur devenir semblables. Arrivés en présence de l’Enfant, leurs cœurs déjà préparés le reconnaissent ; et Jésus, par sa grâce, prend naissance en eux. “ Plus que jamais la bonne volonté, la spontanéité et la foi des bergers doivent être notre modèle.

Après les bergers, viendront ensuite les rois mages. Notons ici le symbole de ces deux catégories de personnes si différentes présentes à la crèche que sont les bergers et les rois. Cela montre que Jésus vient en ce monde pour appeler tous les hommes des plus petits aux plus grands. C’est le caractère universel de Sa nouvelle Alliance et de son Église, une, sainte, catholique et apostolique. L’adoration des rois mages, vient aussi compléter celle des bergers car elle apporte une véritable profession de foi, une sorte de premier Credo. Le pape Saint Grégoire le Grand déclare dans sa 10ème homélie sur l’Épiphanie : “Les mages proclament, par leurs présents symboliques, qui est Celui qu’ils adorent. Voici l’or : c’est un Roi ; voici l’encens : c’est un Dieu ; voici la myrrhe : c’est un mortel.“

Mais après les rois mages, hélas, le temps de la paix de Noël s’estompe car déjà Satan se déchaîne. La nativité c’est aussi cela : un combat qui commence et mènera Jésus à la mort de la Croix par amour pour nous. Face à l’adoration des rois mages se dresse la haine du roi Hérode. Face à la douceur des simples bergers se dresse la violence des simples soldats. Face à la naissance de Jésus se dresse le massacre des nouveaux nés. Deux mille ans plus tard, ce combat continue. Comme le roi Hérode qui a utilisé son pouvoir pour faire tuer les saints innocents de son royaume, les dirigeants actuels utilisent leur pouvoir pour faire périr dans leurs pays d’autres innocents. Avec une différence de taille : nous sommes passés de plusieurs centaines d’innocents à Bethléem à plusieurs centaines de millions aujourd’hui dans le monde. Alors comment réparer une telle abomination ? C’est humainement impossible. Face à ce mystère d’iniquité seul le mystère de la Nativité permet une réparation. Jésus est né dans la crèche pour venir réparer l’irréparable. Sa naissance a pour but son agonie au jardin des oliviers où lui-même se chargera de tous les péchés du monde pour les expier devant son Père à notre place et nous permettre de nous ouvrir le Ciel en mourant sur la Croix.

Mais dans son océan d’amour et de miséricorde à notre égard, Dieu attend maintenant qu’à la suite de Jésus nous réparions à notre tour. Ne nous trompons pas. Un des plus grands pièges de Satan aujourd’hui est de faire croire que nous irons tous automatiquement au Ciel, sans efforts et que nous pouvons vivre une vie de plaisir. A Fatima Notre Dame a montré l’Enfer à trois petits enfants pour nous montrer combien cela est totalement faux. Nous tous, nous avons aussi à mener un combat. Combat contre nous-même et nos mauvais penchants. Combat contre “Satan et les esprits mauvais qui rôdent dans le monde en vue de perdre les âmes“ (prière à Saint Michel Archange du pape Léon XIII). Ainsi, à la suite du Christ venu réparer les fautes des hommes, nous devons faire nous-même des actes de réparation, non seulement pour nos propres fautes mais aussi pour celles des autres. C’est ce que font les moines et moniales qui prient pour le monde dans les monastères. Et c’est là que la demande de Notre Dame de Fatima prend tout son sens. La Très Sainte Vierge est en effet venue demander à tous les fidèles de réparer les offenses qui lui sont faites et de prier pour les pécheurs. L’avortement est une immense offense faite à son Cœur de Mère car, comme nous le disions, Elle est la Mère de chaque enfant à naître. Et Elle nous a dit à Fatima, avec une grande précision, comment elle voulait qu’on répare : avec les “1er samedi du mois“ et le Rosaire. Et nous devons respecter Sa volonté.

On peut remarquer que dans les quatre actions demandées par Notre Dame chaque 1er samedi du mois, la “communion réparatrice“ est au centre. Pourquoi ? Parmi les multiples raisons il en est une dont nous pouvons parler plus spécialement aujourd’hui. Nous savons que communier c’est recevoir le Christ qui est alors réellement présent en nous. C’est-à-dire que Dieu, dans sa bonté infinie, a voulu que nous connaissions nous aussi à notre niveau ce lien d’amour que la Sainte Vierge a vécu pendant neuf mois avec son Divin Fils Jésus. Lors de la communion, comme Elle, nous portons Jésus en nous (pendant 15 min environ juste après la communion). Alors, en ce jour de réparation, aimons plus que jamais Notre Seigneur présent en nous. Développons ce lien d’amour avec ce Cœur “qui a tant aimé le monde“ et offrons en esprit de réparation à Dieu le Père cette présence du Christ en nous.

Enfin, prions pour toutes ces âmes innocentes privées de naissance et de baptême. Prions aussi particulièrement pour toutes ces mamans qui ont décidé de ne plus porter leur enfant en elles. Prions pour qu’elles découvrent à la lumière du mystère de la Nativité le sens et la beauté de toute vie naissante et que, touchées par la grâce, elles demandent pardon à Dieu. Qu’elles soient comme l’enfant prodigue retournant chez son Père. Elles ont dilapidé un héritage qui leur avait été confié. Mais dans le pardon, comme l’enfant prodigue, elles seront accueillies par un Père plein d’amour pour elles. Aucune faute, aussi grave soit elle, n’est impardonnable dès lors qu’on la regrette avec sincérité. L’Amour de Dieu et sa Miséricorde sont plus puissants que tous les péchés du genre humain réunis. La Naissance de Jésus-Christ dans la crèche en est la démonstration.

Et pour terminer, redisons tous ensemble, en ce jour de réparation, la prière de l’ange à Fatima :

“Mon Dieu je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et ne vous aiment pas.“

Célestine
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C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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