Un adversaire de Dozulé a écrit que Dozulé est intimement lié au "666" ! Qu'en penser ?

Voici ce qu'a écrit Pax et Bonum, cet adversaire de Dozulé :

Pax et Bonum a écrit:J'ai dit à plusieurs reprise que cette Croix qui veut rivaliser avec la tour de Babel ,de 738m est une aberration.Rien dans l'Evangile n'invite à réaliser cette sorte d'exploit qui est de l'ordre de la prouesse technique et non de la sainteté ou de la vie intérieure ou évangélique.

L'Abbé Laurentin dit dans sa dernière conférence sur le révélations qu'elles sont le plus souvent authentiques au début,puis soumises à des interférences humaintes voire du malin.

Et c'est bien le car car ce chiffre cache en son sein celui de la Bête:

Un triangle comportant le chiffre 6 à chaque sommet et 6 à chaque côté donne la somme;666+66+6=738.La signature de l'Adversaire.
Les autres révélations qui reprennent ce chifre sont des plus douteuses.Et les plus sérieuses n'en parlent pas.

Et vous, chers membres de VSJ, qu'en pensez-vous ?

Octo !

MADELEINE ET LA CROIX GLORIEUSE

Nous ne revenons pas sur les liens établis par le Christ Lui-même, entre la Madeleine de l’Évangile, et Madeleine Aumont de Dozulé. Dans notre ouvrage “Ultime Avertissement au Monde”, nous avons montré comment la Croix Glorieuse, par ses dimensions, identifie la pécheresse de l’Évangile et Marie de Bethanie à Marie de Magdala ou Marie-Madeleine qui se trouvait au pied de la Croix ! La hauteur 738 de la Croix Glorieuse et le multiple 123 communiqué par le Christ à Dozulé, désignent, en effet, de manière stupéfiante les deux versets-clés 7.38 et 12.3 des évangiles de Luc et Jean prouvant cette identité :

* LUC décrit LA PÉCHERESSE dont il préserve l’anonymat :

7.38 : “Se plaçant alors par derrière, tout en pleurs, à ses pieds, elle se mit à lui arroser les pieds DE SES LARMES; puis elle les essuyait AVEC SES CHEVEUX, les couvrait de baisers, les oignait DE PARFUM.”

* JEAN relate ce même moment particulier de la scène, concer-nant cette fois MARIE DE BETHANIE, qui étant devenue l’amie de Jésus, ne sera bien entendu jamais présentée comme une pécheresse, Jean s’abstenant de porter un jugement sur les amis rachetés par son Maître :

12.3 : “Marie donc prenant une livre de parfum de vrai nard d’un grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya AVEC SES CHEVEUX; et la maison s’emplit de la senteur du PARFUM.”

Scène touchante et merveilleuse reproduisant le même geste d’amour, nous amenant dès lors à comprendre par les mesures de LA CROIX GLORIEUSE, que la pécheresse et Marie de Bethanie ne font qu’un avec le personnage qui était au pied de LA CROIX DU GOLGOTHA : MARIE-MADELEINE !

Pourquoi la hauteur 738 de LA CROIX GLORIEUSE renvoie-t-elle à Luc, et non à Jean ?! Seul Luc parle, en effet, d’une PÉCHERESSE (7.37), et cette pécheresse PLEURE au point d’arroser les pieds du Christ DE SES LARMES, mention qui n’apparaît nullement chez Jean, ni Matthieu (26,7) ou Marc (14,3). Ainsi, par les larmes, la réponse authentifie-t-elle de la plus évocatrice des manières, LE MESSAGE DE REPENTIR de DOZULÉ !!!

Quant aux deux autres références issues des mêmes évangiles, elles s’appliquent pareillement au Message :

* Luc 12.3 : “Tout ce que vous avez dit dans les ténèbres sera entendu au grand jour et CE QUE VOUS AVEZ DIT À L’OREILLE dans les pièces les plus retirées, SERA PROCLAMÉ SUR LES TOITS.”

Jésus s’adresse ainsi à Madeleine Aumont, le 12 juin 1973 :

“Attendite, quod in aure auditis, predicate super tecta. Per te, MAGDALENA, Civitas Dozulea decorabitur per SANCTAM CRUCEM et aedificat SANCTUARIUM Domino IN MONTE EJUS.”

“Attention ! CE QUE VOUS AVEZ ENTENDU À L’OREILLE, PROCLAMEZ-LE SUR LES TOITS ! Par vous, MADELEINE, la Cité de Dozulé sera ornée par LA SAINTE CROIX, et elle édifie UN SANCTUAIRE au Seigneur, sur SA MONTAGNE.”

* Jean 7.38 : “Celui qui croit en moi, comme l’a dit l’Écriture, des fleuves d’eau vive couleront de son sein !”

Dans le Joie de l’Évangile (Luc 12,3), le Christ proclame à Dozulé l’érection de la Sainte Croix et du Sanctuaire sur Sa Montagne, rappelant LE SAINT DES SAINTS du Temple de Jérusalem contenant L’ARCHE. Cependant que chez Jean, Jésus livre cette promesse “le dernier jour, le GRAND JOUR de la GRANDE FÊTE” (7,37), c’est-à dire le Jour de “la Fête des Tentes” où L’ARCHE fut précisément introduite dans LE SAINT DES SAINTS du Temple, et par la Nuée lumineuse, “la Gloire de YHWH emplit le Temple” ! (I Rois 8,2-10)

Celui qui, comme Jean et Madeleine, aura cru et suivi Jésus jusqu’au pied de LA CROIX GLORIEUSE, celui qui s’y sera repenti, “des fleuves d’eau vive couleront de son sein” :

“PITIÉ MON DIEU pour ceux qui viendront SE REPENTIR au pied de LA CROIX GLORIEUSE, qu’ils y trouvent LA PAIX ET LA JOIE en Dieu, Notre Sauveur.” (Prière dictée par Jésus à Madeleine le 7 septembre 1973)
Pieds de Jésus, pied de la Croix Glorieuse, arrosé des larmes de REPENTIR de Madeleine... En ce Mystère d’Amour qui relie la Jérusalem de l’Évangile à la Nouvelle Jérusalem de Dozulé, Madeleine Aumont devient ainsi, par grâce, témoin du Crucifiement, le 31 mai 1974 :

“Je vois JÉSUS SUR LA CROIX, paraissant mort,
la tête penchée en avant, le torse nu,
une large plaie au côté droit,
et sous la plaie, un filet de sang coagulé, je crois.

Trois personnes se tiennent au pied de la Croix -
une de chaque côté debout -
regardant avec tristesse le Visage de Jésus.
CELLE DU MILIEU EST À GENOUX, À SES PIEDS,
et enserre de ses deux mains le pied de la Croix,
semblant vouloir BAISER LES PIEDS DE JÉSUS.

Je sens mes larmes couler. Les pieds de Jésus sont posés
sur un support de bois. L’image disparaît.”
(cf. Ultime Message du Christ à Dozulé, A.C.B., 14430 Dozulé, p. 45)

Cette évocation est d’autant plus émouvante que, tout entière à vivre la scène, Madeleine Aumont ne nomme pas “la personne du milieu” dont elle porte pourtant le prénom, et n’entreverra jamais, du moins dans ses compte-rendus d’apparitions et de messages, le rapport de sa mission avec celle de sa sainte patronne ! Mais quelle extraordinaire relation que celle des larmes qu’elle sent couler, l’unissant par delà le temps à Marie-Madeleine... Larmes précédant, chez Jean, la rencontre avec Jésus Ressuscité :

“Cependant Marie se tenait dehors près du tombeau et pleurait. Tout en pleurant, elle se pencha vers le tombeau, et elle voit DEUX ANGES VÊTUS DE BLANC, ASSIS là où reposait le Corps de Jésus, L’UN À LA TÊTE, L’AUTRE AUX PIEDS. Ceux-ci lui disent : “Femme, pourquoi pleures-tu ?” (Jn 20,11-12)

Ces DEUX ANGES rappellent en effet LES DEUX CHÉRUBINS qui veillaient sur L’ARCHE D’ALLIANCE, et déployaient leurs ailes AU JOUR DE LA GRANDE FÊTE, quand L’ARCHE FUT INTRODUITE dans LE TEMPLE bâti pour elle :
“Les prêtres introduisirent L’ARCHE D’ALLIANCE de YHWH à sa place, DANS LE SANCTUAIRE DE LA MAISON (LE TEMPLE), LE SAINT DES SAINTS, au-dessous des ailes des CHÉRUBINS, car LES CHÉRUBINS déployaient leurs ailes au-dessus de L’ENDROIT où était L’ARCHE, LES CHÉRUBINS recouvraient ainsi L’ARCHE et ses barres par dessus.” (I Rois 8,6-7)

Nous comprenons, à travers les références toujours plus évidentes de l’Écriture et du Message de Dozulé, la relation de Marie-Madeleine avec la France et le Mystère de l’Arche d’Alliance ! Attestée par les visions de Soeur Catherine Emmerich, sa venue en Gaule avec les porteurs du Calice de la Cène, trouve une vérification non moins troublante dans la valeur du lieu de la Sainte Baume, où elle aurait vécu selon une très ancienne tradition:

LA SAINTE BAUME : 13 + 68 + 42 = 123 !

Cette grotte en haut d’une montagne de Provence, où elle termina sa vie en ermite, n’est pas sans évoquer la grotte de montagne où l’Arche d’Alliance fut introduite : “Arrivé là, Jérémie trouva une maison en forme d’ANTRE; il y introduisit le Tabernacle, L’ARCHE et l’autel des PARFUMS.” (2 M 2,5)

Là encore, l’on pressent la relation entre l’onction parfumée de Madeleine sur Jésus, et l’autel des parfums accompagnant l’Arche.. Ses larmes et les lamentations attribuées au prophète Jérémie (“jérémiades”...) qui prophétisa la disparition de l’Arche... (Jr 3,16)

Le Mystère de la venue de Marie-Madeleine en Gaule avec Marthe et Lazare, s’ajoute donc au Mystère du “déplacement” de L’ARCHE D’ALLIANCE. C’est un fait que Luc l’évangéliste, qui est aussi l’auteur des Actes de Apôtres relatant la naissance de l’Église, ne fait aucunement mention dans son second ouvrage, de cette famille pourtant aimée de Jésus et intimement unie à Lui.

Tout porte à croire qu’elle s’est exilée dès les premières poursuites contre les apôtres, car St Jean (12,10-11) nous dit, après le récit de l’onction de Béthanie : “Les grands prêtres alors décidèrent de TUER AUSSI LAZARE, parce que BEAUCOUP DE JUIFS les quittaient À CAUSE DE LUI et CROYAIENT EN JÉSUS.” Après la Résurrection du Christ, il doit donc être activement recherché !...

SOURCE : Don Raymond, Ultime Avertissement au Monde, "Le Sacré-Coeur & La Royauté Française".