Les étapes de la Passion de Jésus expliquées par Jésus à Jennifer.
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Message  sylvia Jeu 5 Avr 2012 - 4:33

Les étapes de la Passion de Jésus expliquées par Jésus à Jennifer 26 septembre 2006.

« Mon enfant, pendant que j’errais dans le jardin, mon âme fut à nouveau inondée d’immenses souffrances. Je savais que mon sort s’en venait, en plus de la souffrance que j’ai endurée à la vue de toutes et chacune des âmes qui me rejetteraient tout au cours du temps. !

Mon enfant, j’ai sué tellement de sang et de plus chaque goutte de sang représente toutes et chacune des âmes qui ont déjà marché sur la surface de la terre. J’ai vu à l’intérieur de la coupe :

Chaque âme qui me renierait;
Chaque âme qui tuerait, qui commettrait l’avortement, qui adorerait l’argent, qui adorerait le pouvoir;
Chaque âme qui souffrirait à cause de l’injustice de son prochain;
Chaque famille qui serait divisée;
Chaque prêtre qui se détournerait à cause de ses propres désirs égoïstes.

Tout ce que vous voyez en ce monde aujourd’hui, et ce qui est à venir, je l’ai vu devant moi dans le calice.
Oh ! comme le sang coulerait de ma tête et encore plus de mon Très Saint Sacré Cœur, car je savais qu’un petit nombre serait sauvé. J’ai imploré mon Père car je savais que c’était sa volonté, cependant dans ma forme humaine, je savais que la souffrance serait immense.

À chaque fois que les soldats romains me fouettaient durant ma flagellation, je pouvais encore voir le visage des âmes qui me flagelleraient tout au long de l’histoire.
Pendant que je revenais vers les disciples, je pouvais les voir dormir. J’ai supplié : « Ne pouvez-vous pas veiller une heure avec moi? » Je pouvais voir, comment tout au cours de l’histoire, ceux qui dormiraient devant les souffrances de leur Maître; ceux qui dorment dans leur foi, leur amour et leur dévotion envers moi. Il s’endorment sur la vérité et sans moi, l’homme ne peut pas voir la vérité.

Mais je savais que les disciples n’en tenaient pas compte et que je souffrirais seul.

Je pouvais voir ceux qui se détourneraient, car leur âme étaient consumées de tellement de mal, que je voulais repousser ces âmes.

Je pouvais voir les tièdes et c’était les âmes qui m’ont causé ma plus grande souffrance. Elles sont les âmes qui ont la pleine connaissance de ma présence mais qui se détournent à cause de leur propre orgueil; ces âmes qui croient avoir la capacité de pacifier leur Maître mais dont les prières n’ont pas de mérite à cause de leurs cœurs orgueilleux.

Le démon m’est apparu et à nouveau le sang s’est mis à couler, car à l’intérieur du calice, je ne pouvais pas voir le mérite pour lequel j’avais dû souffrir pour chaque âme et qui je savais se détournerait pour toute l’éternité.

Mon agonie dans le jardin fut la plus grande souffrance que j’ai endurée durant toute ma passion. Donc j’ai recommencé à prier car je savais que seul mon Père pourrait me donner la force et de plus que les anges aussi me réconforteraient. Je savais que c’était une souffrance qui devait être endurée. Je pouvais encore voir dans le calice et ce qui a suivi fut une force profonde qui m’a permis de chasser Satan et ses tentations, car il savait que ma passion réclamerait toutes les âmes qu’il avait prises. Cette force fut celle des âmes qui viendraient et me réconforteraient pendant toute l’éternité, les âmes qui n’avaient que la pureté du cœur, les âmes qui reconnaîtraient leurs faiblesses mais qui faisaient confiance à ma miséricorde et à ma divine volonté.

Ensuite les soldats romains sont venus pour moi. Les disciples furent pris au dépourvu même si je les avais préparés avec mes paroles d’avertissement. Ils n’ont pas vu que mon temps sur cette terre expirait rapidement, car je fus envoyé ici en mission et ma mission devait bientôt s’accomplir.
J’ai vu devant moi celui qui bientôt rencontrerait également son destin, celui qui en représentait un grand nombre pour suivre qui me rejetterait au cours de l’histoire pour de faux dieux et l’argent.

Quand je fus approché par celui qui me trahissait, je pouvais voir le mal qui l’avait consumé. J’ai parlé et j’ai dit; « Judas, pourquoi trahis-tu ton Maître avec un baiser? » La lumière, mon enfant, a brillé dans l’obscurité qui avait consumé son âme. Je n’ai dit aucune parole, car ils ont sommé et demandé celui qui clamait être le vrai Messie. J’ai entendu les paroles, « Le soit disant choisi » et après ces paroles un grand rire a suivi.

Il n’y avait pas de paroles que je pouvais dire face aux idéologies de ceux qui étaient envoyés pour me réclamer. L’un après l’autre ils se relayaient pour battre mon visage, mon dos. Mes mains n’étaient pas libres mais déjà je savais que c’était mon destin et que cette torture du corps que je devais traverser ne supprimait pas l’agonie que j’avais à affronter dans mon âme.

Pendant que je regardais ces soldats qui croyaient que j’étais le fou parmi eux, eux suivaient les ordres qui leur avaient été donnés de faire taire celui qui, à tour de rôle, les rendraient silencieux. Il y a eu plusieurs moments où j’ai senti que je n’avais pas de force, car le démon m’avait dit qu’un seul homme ne pouvait pas sauver le monde entier, cependant le plan divin se déroulait à chaque étape où j’ai dû souffrir.

J’ai dû abandonner complètement ma volonté à mon Père, car si je n’avais pas souffert dans le jardin, je n’aurais pas eu la force de supporter tout ce qui devait suivre. Je fus amené dans la cour intérieure où plusieurs des grands-prêtres étaient réunis. Pendant que je me trouvais là, j’ai vu les visages de ceux que j’avais vus dans le calice. Je connaissais l’état des âmes de tous et chacun d’eux, de leurs enfants, de leurs mères et pères.

Pendant qu’ils me questionnaient je n’ai prononcé aucune parole, je n’ai répondu que de petites phrases, car encore là, c’était le seul moyen par lequel le salut pouvait venir pour l’humanité. L’un après l’autre, ils se relayaient pour cracher sur moi et pourtant mon cœur était envahi d’un amour profond même au milieu d’un total rejet.

Pendant que je me tenais là, quatre soldats m’ont agrippé et m’ont reconduit hors de la cour pour se rendre devant Pilate. Mon corps s’affaiblissait et mon esprit se fatiguait de ce que je savais qui s’en venait. Pendant que je marchais, j’ai vu le visage de celui qui me renierait trois fois. Son visage avait l’air perdu car il voyait se dérouler les paroles que je lui avais dites. Je l’ai fixé et mon cœur fut à nouveau envahi d’un amour profond pour la mission que Pierre s’apprêtait à accomplir. Je fus à nouveau entouré d’une profonde paix à la vue de ma Mère.

Je ne pouvais que lui offrir les yeux de l’amour, car dans son cœur elle savait que je devais faire face à la plus grande agonie qu’un être humain pouvait aller et endurer. Ma Mère souffrait pour chaque enfant qui serait rejeté, plus particulièrement dans le sein. Elle pouvait voir comment moi seul, par ma divine miséricorde, pouvait empêcher une âme d’être perdue pour toujours. Je savais que ce n’était que par ma miséricorde que l’éternel salut pouvait être accordé à l’humanité.

Devant Pilate

Pendant qu’on me conduisait à Pilate, la foule de gens grossissait et grossissait. Au moment où on m’a conduit dans cette pièce au-dessus de la cour intérieure, il se tenait là…Pilate…comme un empereur à son trône. Il m’a questionné mais encore là, je n’ai pas répondu par des paroles, mais par des paroles de vérité. Je ne pouvais pas raisonner avec lui qui ne voyait pas de raison pour me persécuter.

Je souffrais pour tous les faux jugements dans le monde. Ceux qui cherchent à trouver des raisons pour taire la vérité et d’ailleurs ce qu’ils ne savaient pas c’était que la vérité l’emportait, car le Fils de Dieu ne peut jamais être réduit au silence.

Devant Hérode

Je fus encore agrippé par les soldats romains et on m’a dit, sur l’ordre de Pilate, d’aller chez Hérode. Alors qu’on me conduisait à l’endroit où se trouvait Hérode, j’ai de nouveau rencontré le démon en raison des activités mauvaises d’Hérode. Il m’a adressé la parole mais par mon silence je les ai déboutés, tandis que je pouvais de nouveau voir le calice débordant des âmes qui me rejetteraient purement et simplement par la consommation du mal.

Pendant que je me tenais devant Hérode, la pièce dans laquelle il se trouvait était remplie des autres qui étaient devenus assujettis à ce mal. J’ai vu devant moi le total rejet de mes commandements, tous et chacun d’eux, et combien pendant toute l’éternité suivraient ces mêmes traces.

Puis je fus ramené devant Pilate

Puis je fus ramené devant Pilate qui m’a amené devant la foule qui s’était rassemblée. Pendant que je me tenais là, j’ai regardé mon peuple qui criait pour que je sois crucifié et je fus inondé d’un grand amour pour lui, pour toute l’humanité. Même si les hommes ne l’ont pas vu, leur rejet envers moi est devenu leur moyen de salut. Leur rejet de mes paroles, de mes mains, de mon amour, est devenu leur but qui les justifiaient de me mettre à mort.
Cependant, comme Pilate, celui qui se tenait devant eux, tour à tour, ils se tiendraient devant moi lors du jugement.

Barabbas

Mon amour pour eux débordait comme la lave du sommet d’une montagne. Pendant que les soldats libéraient Barabbas, je fus ensuite amené pour faire face au moment de la flagellation. Pendant qu’ils m’attachaient au pilier, j’ai commencé à voir le visage de ma Mère, ceci m’a donné une force inégalable face à la torture qui était sur le point d’avoir lieu.
J’ai commencé à prier mais mes prières ne m’ont apporté aucun réconfort, car je me sentais abandonné au milieu des hommes. Ils ont commencé à me fouetter puisque je pouvais sentir les morceaux de chair se déchirer.
Et pendant qu’ils brandissaient le fouet, l’un après l’autre, je pouvais sentir le fouet revenir sur mes blessures ouvertes. Lorsqu’ils s’arrêtèrent, sur l’ordre du soldat en chef, ils m’ont détaché du pilier, placé le roseau d’épines sur ma têtes et ont dit : « Que j’étais couronné comme un roi ».

Quand ils m’ont remis la robe, je fus envahi d’une telle douleur que le seul moyen de consolation que j’avais, c’était les âmes qui je savais demeureraient fidèles.
Les âmes qui verraient ma réelle présence dans le tabernacle. Les âmes qui témoigneraient de mes paroles dans le monde et qui accepteraient de tout sacrifier pour moi.

Durant ma flagellation, la plus grande agonie ne fut pas les continuels coups à ma chair, c’était les visages de plusieurs de mes fils prêtres qui me transperceraient, me flagelleraient, par leur manque de dévouement à leurs vocations, par leur manque à chercher à rapprocher les âmes de moi. Tellement de mes gens ont été induits en erreur par certains de mes fils choisis, car ma miséricorde est ouverte à tous ceux qui la cherchent.

Pendant qu’on me ramenait à Pilate, je pouvais sentir le sang qui coulait de ma tête. Les blessures étaient si profondes que le vent les perçait comme du sel pressé dans une blessure ouverte. Pilate m’a parlé, mais même avec la vérité qu’il connaissait, il s’en est détourné afin de plaire à ses semblables. Il a dit : « Ne vois-tu pas que j’ai le pouvoir de te libérer? » Pendant que je levais les yeux vers lui, le sang coulant de mon visage, j’ai fait des efforts pour ouvrir mon seul œil et j’ai dit : « Tu n’as aucun pouvoir sur moi, à moins qu’il ne t’ait été donné d’en haut ». Pendant qu’il recevait mes paroles, ses yeux m’ont transpercé et il a ordonné mon crucifiement.

(...) placé sur mon dos une poutre de bois qui était mon poteau de mort.

Les soldats m’ont amené plus loin et ont placé sur mon dos une poutre de bois qui était mon poteau de mort.
Pendant que je me déplaçais dans les rues avec la lourde poutre de bois, j’ai senti que mon corps ne pouvait en donner davantage. Je souffrais dans mon âme au son des voix que j’entendais venir de la foule. Ce n’était pas des acclamations de victoire, mais plutôt des acclamations d’une exécution injuste.
Mes genoux commencèrent à trembler car je sentais ma force se dissiper et je suis tombé sur les pierres de la rue. C’était la première des trois fois où je tomberais.
Alors que je me relevais, j’ai senti que mon corps ne pouvait pas en donner davantage. Je pouvais entendre la foule rire et pourtant dans le rire, il me fut donné une force intérieure dans mon âme pour continuer, car je voyais à l’intérieur du calice les besoins de mon peuple pour ma miséricorde.

Ils étaient peu nombreux parmi eux à m’avoir apporté consolation. J’ai imploré mon Père et puis, alors que je levais les yeux, j’ai vu ma Mère et mon cœur commença à se réjouir, car en un instant, je me suis souvenu, par la vue de ma Mère, comment cette souffrance doit être endurée. Je pouvais entendre un des soldats sommer un homme de la foule, mais il ne cherchait pas à m’aider avec un cœur ouvert. Il pouvait voir que je tremblais, mais à cause de la foule, il ne voulait pas qu’on sache qu’il aidait le Fils de Dieu.

Un simple linge dans la main de quelqu’un devint une empreinte de ma miséricorde

Le sang et la sueur commencèrent à recouvrir mon visage et je ne pouvais pas voir car mes yeux commençaient à enfler suite aux coups que j’avais subis.
Une femme est venue vers moi et a offert d’essuyer mon visage du sang et de la sueur. Mais, ce qu’elle ne savait pas, c’était que sa bonté m’a apporté une profonde consolation, car ce n’était pas son empressement à essuyer mon visage, mais sa foi, sachant que mon crucifiement était son moyen de salut.
Un simple linge dans la main de quelqu’un devint une empreinte de ma miséricorde et de réelle présence pour toute l’humanité. La croix est encore insupportable, car même celui qui a été choisi pour m’aider se fatiguait et réalisait que c’est une souffrance sans précédent.

Je pouvais entendre Simon qui luttait, non seulement physiquement mais aussi intérieurement, avec ce que son âme lui disait. J’ai tombé une deuxième fois car cette croix était grande et de plus, la foule me rappelait comment je devais continuer afin que ma miséricorde soit répandue. Alors que je retrouvais ma force et que je continuais, une femme m’a parlé avec ses larmes… »Ma fille, ma fille, ne pleure pas sur moi mais pleure plutôt sur toi-même et sur tes enfants, car je serai bientôt avec mon Père. »

Je pouvais voir tellement de larmes, des larmes de tristesse pour ce qui m’arrivait, et pourtant si seulement ils avaient su ce qui leur serait arrivé si je n’avais pas assujetti mon corps et mon âme à cette souffrance.

Tandis que je continuais à marcher vers le calvaire, la douleur dans mon côté est descendu dans mes jambes et mes pieds et je suis tombé une troisième fois. Les soldats continuaient de me crier de me relever mais je n’ai pas tenu compte de leurs paroles et j’ai continué en silence. Lorsque j’eus atteint le sommet, on m’a immédiatement enlevé ma robe et mis sur la croix que j’avais portée. Mes yeux étaient gonflés mais je pouvais voir le calice de toutes les offenses avec lesquelles l’humanité me transpercerait.

Mes bras étaient bien attachés avec une corde pour que je ne bouge pas pendant que les clous étaient plantés dans mes mains et mes pieds. Je pouvais voir les cœurs orgueilleux de plusieurs des soldats. Leur mission en était une d’exécution. Plus ils en exécutaient, plus grande était la mission qu’ils croyaient accomplir pour l’humanité. Ils croyaient qu’ils apportaient au monde la justice en me mettant à mort, mais tour à tour, ma mort donnait au monde la miséricorde. Pendant qu’un soldat venait à ma droite, un autre venait à ma gauche et un à mes pieds, ils commencèrent simultanément à planter les clous dans mes mains et mes pieds.

J’ai senti que mon corps commençait les étapes pour expirer. À chaque fois qu’ils enfonçaient les clous, je pouvais voir le nombre de fois où les âmes tièdes négligeraient de reconnaître ma réelle présence dans le tabernacle.
Le nombre de fois où mon peuple négligerait de venir à la messe, négligerait de nettoyer son âme et de s’ouvrir à ma miséricorde. Puis, j’ai senti une immense douleur pendant que les soldats commencèrent à lever la croix et la placer dans un trou qui avait été creusé.

Le haut du crucifix sur lequel j’étais suspendu était fixé à une poutre qui me reliait aux autres qui étaient mis à mort pour leurs crimes.

Pendant que la foule au-dessous continuait de crier des blasphèmes contre moi, j’ai parlé à mon Père et j’ai dit : « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Et au moment où je disais ces paroles, je pouvais voir devant moi dans le calice, les trois offenses qui me transperceraient grandement.

Je pouvais voir mon peuple vénérant la croix sans la présence de mon corps, car la croix ce n’est pas le moyen de miséricorde pour l’humanité, mais c’est plutôt celui qui a donné sa vie, car je suis Jésus. J’ai pu voir alors devant moi, beaucoup de mes fils choisis qui négligeraient de reconnaître le jour de fête de ma Divine Miséricorde et ses nombreuses promesses. Je pouvais voir devant moi mes petits qui feraient face à leur crucifiement dans le sein.

Un des criminels parla et me dit

Alors que je baissais les yeux sur la foule rassemblé, j’ai vu ma Mère. Ses yeux étaient remplis de souffrances qui ne traduisaient que l’agonie qu’elle subissait dans son âme. Un des criminels parla et me dit : « Si tu es qui tu dis que tu es, alors sauve-toi toi-même; descends de la croix. » « Ne vois-tu pas qui il est? » dit l’autre criminel. « Nous méritons le châtiment pour nos crimes, mais Lui il n’a rien fait de mal »

Il s’est alors tourné vers moi et a dit : « Jésus, te rappelleras-tu de moi quand tu arriveras dans ton Royaume? » Tandis que je faisais des efforts pour parler, je lui ai dit : « Mon fils, aujourd’hui même tu seras avec moi au paradis » Jean et Marie-Madeleine étaient parmi ceux qui s’étaient rassemblés. Je pouvais les voir qui cherchaient à consoler ma Mère alors qu’elle regardait le monde rejeter son Fils, car elle savait que ma mission était grande.

J’ai regardé Jean et j’ai dit : « Mon fils, voici ta Mère » car elle quittait une mission et s’en allait dans une autre en tant que la Mère de tous. L’obscurité s’installait puisque je savais que mon corps était sur le point d’expirer.

J’ai prononcé mes dernières paroles et mon esprit s’en est allé réclamer les âmes perdues qui étaient parties avant moi. Car j’avais vaincu le péché et la mort et je suis allé pour être avec mon Père au paradis, car aujourd’hui, la divine miséricorde était donnée au monde.


Et, mon enfant, elle expirera bientôt, car je suis Jésus et tout sera fait selon ma volonté.
(apparitions mariales).

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Message  Octo Ven 6 Avr 2012 - 10:44

@ Sylvia :

Merci, chère Sylvia, pour ce beau Message fort bienvenue en cette semaine de la Passion du Christ ! Croix ill.

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