Benoît XVI propose les valeurs de l'humanisme chrétien pour surmonter la crise.
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Benoît XVI propose les valeurs de l'humanisme chrétien pour surmonter la crise.
Benoît XVI propose les valeurs de l'humanisme chrétien pour surmonter la crise.
Pour lutter contre la crise, il faut partager les ressources et changer de style de vie. Benoît XVI l’a affirmé ce dimance au cours de sa première visite pastorale en terre toscane. Une visite de quelques heures, bousculée par le mauvais temps. Le Pape a été contraint de renoncer à se rendre au sanctuaire franciscain de l’Averne où saint François a reçu les stigmates. Deux étapes auront finalement marqué sa journée, la messe en plein air le matin à Arezzo et la rencontre avec la population de Sansepolcro dans la soirée. Avec en toile de fond, la crise et le chômage qui touchent spécialement les jeunes, Benoît XVI a invité les Italiens à ne pas céder au découragement
Le lieu était bien choisi : la Toscane, patrie de la Renaissance et de l’humanisme chrétien. Benoît XVI y a prononcé des paroles éminemment politiques mais toutes en finesse. Pendant la messe, en présence du premier ministre italien Mario Monti, il a reconnu la complexité des problèmes actuels, la difficulté de trouver des solutions rapides et efficaces. Pour le Pape, il est essentiel de ne pas céder aux logiques purement matérialistes, de rejeter la culture de l’éphémère qui a leurré tant de personnes et causé une profonde crise spirituelle. Quelle conception de l’homme sommes-nous en train de transmettre aux nouvelles générations – s’est-il interrogé. Dans ce contexte de crise, il est urgent de retrouver des valeurs telles que la solidarité avec les plus faibles, le respect de la dignité de chacun, l’accueil des étrangers. D’où ces appels pressants : aux chrétiens, pour qu’ils soient le ferment de la société, audacieux et cohérents ; aux jeunes, pour qu’ils osent donner une nouvelle saveur à la société, en y mettant le sel de l’honnêteté et de l’altruisme désintéressé ; enfin aux chrétiens en politique appelés à dépasser leurs intérêts particuliers pour servir le bien commun. Aujourd’hui –a dit Benoît XVI – l’Eglise a besoin de laïcs éclairés, capables de contribuer à la naissance d’une nouvelle éthique publique.
Cette visite avait été placée sous le signe de la sobriété. La Curie d’Arezzo a organisé une collecte au profit des plus pauvres.
Pour lutter contre la crise, il faut partager les ressources et changer de style de vie. Benoît XVI l’a affirmé ce dimance au cours de sa première visite pastorale en terre toscane. Une visite de quelques heures, bousculée par le mauvais temps. Le Pape a été contraint de renoncer à se rendre au sanctuaire franciscain de l’Averne où saint François a reçu les stigmates. Deux étapes auront finalement marqué sa journée, la messe en plein air le matin à Arezzo et la rencontre avec la population de Sansepolcro dans la soirée. Avec en toile de fond, la crise et le chômage qui touchent spécialement les jeunes, Benoît XVI a invité les Italiens à ne pas céder au découragement
Le lieu était bien choisi : la Toscane, patrie de la Renaissance et de l’humanisme chrétien. Benoît XVI y a prononcé des paroles éminemment politiques mais toutes en finesse. Pendant la messe, en présence du premier ministre italien Mario Monti, il a reconnu la complexité des problèmes actuels, la difficulté de trouver des solutions rapides et efficaces. Pour le Pape, il est essentiel de ne pas céder aux logiques purement matérialistes, de rejeter la culture de l’éphémère qui a leurré tant de personnes et causé une profonde crise spirituelle. Quelle conception de l’homme sommes-nous en train de transmettre aux nouvelles générations – s’est-il interrogé. Dans ce contexte de crise, il est urgent de retrouver des valeurs telles que la solidarité avec les plus faibles, le respect de la dignité de chacun, l’accueil des étrangers. D’où ces appels pressants : aux chrétiens, pour qu’ils soient le ferment de la société, audacieux et cohérents ; aux jeunes, pour qu’ils osent donner une nouvelle saveur à la société, en y mettant le sel de l’honnêteté et de l’altruisme désintéressé ; enfin aux chrétiens en politique appelés à dépasser leurs intérêts particuliers pour servir le bien commun. Aujourd’hui –a dit Benoît XVI – l’Eglise a besoin de laïcs éclairés, capables de contribuer à la naissance d’une nouvelle éthique publique.
Cette visite avait été placée sous le signe de la sobriété. La Curie d’Arezzo a organisé une collecte au profit des plus pauvres.
sylvia- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Date d'inscription : 06/02/2011
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