la messe est le sacrifice que Dieu fait à l'homme de son corps et de son sang.(Curé d'Ars)
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la messe est le sacrifice que Dieu fait à l'homme de son corps et de son sang.(Curé d'Ars)
Paroles du Saint Curé d'Ars :
Toutes les bonnes oeuvres réunies n'équivalent pas au saint sacrifice de la messe, parce qu'elles sont l'oeuvre des hommes, et la messe est l'oeuvre de Dieu. Le martyre n'est rien en comparaison; c'est le sacrifice que l'homme fait à Dieu de sa vie; la messe est le sacrifice que Dieu fait à l'homme de son corps et de son sang.
Lorsque nous sommes devant le Saint Sacrement, au lieu de regarder autour de nous, fermons nos yeux et ouvrons notre coeur; le bon Dieu ouvrira le sien. Nous irons à lui, il viendra à nous, l'un pour donner et l'autre pour recevoir: ce sera comme un souffle de l'un à l'autre.
Notre-Seigneur a dit: "Tout ce que vous demanderez à mon Père en mon nom, il vous l'accordera." Jamais nous n'aurions pensé à demander à Dieu son propre Fils. Mais ce que l'homme n'aurait pu imaginer, Dieu l'a fait; ce que l'homme ne peut pas dire ni concevoir, et qu'il n'eût jamais osé désirer, Dieu, dans son amour, l'a dit, l'a conçu et l'a exécuté. Eussions-nous jamais osé dire à Dieu de faire mourir son Fils pour nous, de nous donner sa chair à manger et son sang à boire? Si tout cela n'était pas vrai, l'homme aurait donc pu imaginer des choses que Dieu ne peut pas faire? Il serait allé plus loin que Dieu dans les inventions de l'amour?... Ce n'est pas possible.
Tous les êtres de la création ont besoin de se nourrir pour vivre, c'est pour cela que le bon Dieu a fait croître les arbres et les plantes; c'est une table bien servie où tous les animaux viennent prendre la nourriture qui leur convient. Mais il faut aussi que l'âme se nourrisse. Lorsque Dieu voulut donner une nourriture à notre âme pour la soutenir dans le pèlerinage de la vie, il promena ses regards sur la création et ne trouva rien qui fût digne d'elle. Alors il se replia sur lui-même et résolut de se donner... O mon âme, que tu es grande, puisqu'il n'y a que Dieu qui puisse te contenter!
Le bon Dieu, voulant se donner à nous dans le sacrement de son amour, nous a donné un désir vaste et grand que Lui seul peut satisfaire...
A côté de ce beau sacrement, nous sommes comme une personne qui meurt de soif à côté d'une rivière: elle n'aurait cependant qu'à courber la tête!... comme une personne qui reste pauvre à côté d'un trésor; elle n'aurait qu'à tendre la main!
Que fait Notre-Seigneur dans le sacrement de son amour? Il a pris son bon coeur pour nous aimer. Il sort de ce coeur une transpiration de tendresse et de miséricorde pour noyer les péchés du monde.
Sans la divine Eucharistie, il n'y aurait point de bonheur en ce monde; la vie ne serait pas supportable. Quand nous recevons la sainte communion, nous recevons notre joie et notre bonheur.
Quand on fait la sainte communion, on sent quelque chose d'extraordinaire, un bien-être qui parcour le corps et se répand jusqu'aux extrémités. Qu'est-ce que ce bien-être? C'est Notre-Seigneur qui se communique à toutes les parties de notre corps et les fait tressaillir. Nous sommes obligés de dire comme saint Jean: "C'est le Seigneur!" Ceux qui ne sentent tout à fait rien sont bien à plaindre.
Quand nous venons de communier, si quelqu'un nous disait: "Qu'emportez-vous dans votre maison?" nous pourrions répondre: "J'emporte le ciel."
En sortant de la table sainte, nous sommes aussi heureux que les mages s'ils avaient pu emporter l'Enfant Jésus.
Lorsqu'on a communié, l'âme se roule dans le baume de l'amour comme l'abeille dans les fleurs.
On sait quand une âme a reçu dignement le sacrement de l'Eucharistie. Elle est tellement noyée dans l'amour, pénétrée et changée qu'on ne la reconnaît plus dans ses actions et dans ses paroles... Elle est humble, douce, mortifiée, charitable, modeste. C'est une âme capable des plus grands sacrifices.
Au jour du jugement, on verra briller la chair de Notre-Seigneur à travers le corps glorifié de ceux qui l'auront reçu dignement sur la terre, comme on voit briller de l'or dans du cuivre, ou de l'argent dans du plomb.
Allez à la communion, allez à Jésus avec amour et confiance! allez vivre de lui, afin de vivre pour lui! Ne dites pas que vous avez trop à faire. Le divin Sauveur n'a-t-il pas dit: "Venez à moi, vous qui travaillez!" Ne dites pas que vous n'en êtes pas digne. C'est vrai, vous n'en êtes pas digne, mais vous en avez besoin.
Si Notre-Seigneur avait eu en vue notre dignité, il n'aurait jamais institué son beau sacrement d'amour; car personne au monde n'en est digne, ni les saints, ni les anges, ni les archanges, ni la Sainte Vierge, mais il a eu en vue nos besoins, et nous en avons tous besoin. Ne dites pas que vous avez trop de misères et que c'est pour cela que vous n'osez pas en approcher. J'aimerais autant vous entendre dire que vous êtes trop malade, et que c'est pour cela que vous ne voulez point faire de remède ni appeler de médicin..
Toutes les bonnes oeuvres réunies n'équivalent pas au saint sacrifice de la messe, parce qu'elles sont l'oeuvre des hommes, et la messe est l'oeuvre de Dieu. Le martyre n'est rien en comparaison; c'est le sacrifice que l'homme fait à Dieu de sa vie; la messe est le sacrifice que Dieu fait à l'homme de son corps et de son sang.
Lorsque nous sommes devant le Saint Sacrement, au lieu de regarder autour de nous, fermons nos yeux et ouvrons notre coeur; le bon Dieu ouvrira le sien. Nous irons à lui, il viendra à nous, l'un pour donner et l'autre pour recevoir: ce sera comme un souffle de l'un à l'autre.
Notre-Seigneur a dit: "Tout ce que vous demanderez à mon Père en mon nom, il vous l'accordera." Jamais nous n'aurions pensé à demander à Dieu son propre Fils. Mais ce que l'homme n'aurait pu imaginer, Dieu l'a fait; ce que l'homme ne peut pas dire ni concevoir, et qu'il n'eût jamais osé désirer, Dieu, dans son amour, l'a dit, l'a conçu et l'a exécuté. Eussions-nous jamais osé dire à Dieu de faire mourir son Fils pour nous, de nous donner sa chair à manger et son sang à boire? Si tout cela n'était pas vrai, l'homme aurait donc pu imaginer des choses que Dieu ne peut pas faire? Il serait allé plus loin que Dieu dans les inventions de l'amour?... Ce n'est pas possible.
Tous les êtres de la création ont besoin de se nourrir pour vivre, c'est pour cela que le bon Dieu a fait croître les arbres et les plantes; c'est une table bien servie où tous les animaux viennent prendre la nourriture qui leur convient. Mais il faut aussi que l'âme se nourrisse. Lorsque Dieu voulut donner une nourriture à notre âme pour la soutenir dans le pèlerinage de la vie, il promena ses regards sur la création et ne trouva rien qui fût digne d'elle. Alors il se replia sur lui-même et résolut de se donner... O mon âme, que tu es grande, puisqu'il n'y a que Dieu qui puisse te contenter!
Le bon Dieu, voulant se donner à nous dans le sacrement de son amour, nous a donné un désir vaste et grand que Lui seul peut satisfaire...
A côté de ce beau sacrement, nous sommes comme une personne qui meurt de soif à côté d'une rivière: elle n'aurait cependant qu'à courber la tête!... comme une personne qui reste pauvre à côté d'un trésor; elle n'aurait qu'à tendre la main!
Que fait Notre-Seigneur dans le sacrement de son amour? Il a pris son bon coeur pour nous aimer. Il sort de ce coeur une transpiration de tendresse et de miséricorde pour noyer les péchés du monde.
Sans la divine Eucharistie, il n'y aurait point de bonheur en ce monde; la vie ne serait pas supportable. Quand nous recevons la sainte communion, nous recevons notre joie et notre bonheur.
Quand on fait la sainte communion, on sent quelque chose d'extraordinaire, un bien-être qui parcour le corps et se répand jusqu'aux extrémités. Qu'est-ce que ce bien-être? C'est Notre-Seigneur qui se communique à toutes les parties de notre corps et les fait tressaillir. Nous sommes obligés de dire comme saint Jean: "C'est le Seigneur!" Ceux qui ne sentent tout à fait rien sont bien à plaindre.
Quand nous venons de communier, si quelqu'un nous disait: "Qu'emportez-vous dans votre maison?" nous pourrions répondre: "J'emporte le ciel."
En sortant de la table sainte, nous sommes aussi heureux que les mages s'ils avaient pu emporter l'Enfant Jésus.
Lorsqu'on a communié, l'âme se roule dans le baume de l'amour comme l'abeille dans les fleurs.
On sait quand une âme a reçu dignement le sacrement de l'Eucharistie. Elle est tellement noyée dans l'amour, pénétrée et changée qu'on ne la reconnaît plus dans ses actions et dans ses paroles... Elle est humble, douce, mortifiée, charitable, modeste. C'est une âme capable des plus grands sacrifices.
Au jour du jugement, on verra briller la chair de Notre-Seigneur à travers le corps glorifié de ceux qui l'auront reçu dignement sur la terre, comme on voit briller de l'or dans du cuivre, ou de l'argent dans du plomb.
Allez à la communion, allez à Jésus avec amour et confiance! allez vivre de lui, afin de vivre pour lui! Ne dites pas que vous avez trop à faire. Le divin Sauveur n'a-t-il pas dit: "Venez à moi, vous qui travaillez!" Ne dites pas que vous n'en êtes pas digne. C'est vrai, vous n'en êtes pas digne, mais vous en avez besoin.
Si Notre-Seigneur avait eu en vue notre dignité, il n'aurait jamais institué son beau sacrement d'amour; car personne au monde n'en est digne, ni les saints, ni les anges, ni les archanges, ni la Sainte Vierge, mais il a eu en vue nos besoins, et nous en avons tous besoin. Ne dites pas que vous avez trop de misères et que c'est pour cela que vous n'osez pas en approcher. J'aimerais autant vous entendre dire que vous êtes trop malade, et que c'est pour cela que vous ne voulez point faire de remède ni appeler de médicin..
sylvia- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 6068
Date d'inscription : 06/02/2011
Quand vous voyez le prêtre, pensez à Notre-Seigneur (Curé d'Ars)
Quand vous voyez le prêtre, pensez à Notre-Seigneur.
Qui est-ce qui a reçu notre âme à son entrée dans la vie? Le prêtre. Qui la nourrit pour lui donner la force de faire son pèlerinage? Le prêtre. Qui la préparera à paraître devant Dieu, en lavant cette âme, pour la dernière fois, dans le sang de Jésus-Christ? Le prêtre, toujours le prêtre. Et si cette âme vient à mourir, qui la ressuscitera, qui lui rendra le calme et la paix? Encore le prêtre. Nous ne pouvons pas nous rappeler un seul bienfait de Dieu sans rencontrer, à côté de ce souvenir, l'image du prêtre.
Les autres bienfaits de Dieu ne nous serviraient de rien sans le prêtre. A quoi servirait une maison remplie d'or si nous n'avions personne pour nous en ouvrir la porte? Le prêtre a la clef des trésors célestes: c'est lui qui en ouvre la porte; il est l'économe de Dieu, l'adminstrateur de ses biens.
Après Dieu, le prêtre c'est tout!... Laissez une paroisse vingt ans sans prêtre, on y adorera les bêtes.
On attache un grand prix aux objets qui ont été déposés dans l'écuelle de la Sainte Vierge et de l'Enfant Jésus, à Lorette. Mais les doigts du prêtre, qui ont touché la chair adorable de Jésus-Christ, qui se sont plongés dans le calice où a été son sang, dans le ciboire où a été son corps, ne sont-ils pas plus précieux?
Le sacerdoce, c'est l'amour du Coeur de Jésus. Quand vous voyez le prêtre, pensez à Notre-Seigneur.
Un enfant, quand il voit sa mère, s'élance vers elle; il se débat contre ceux qui le retiennent; il ouvre sa petite bouche et tend ses petites mains pour l'embrasser. Notre âme, en présence du prêtre, s'élance naturellement vers lui; elle court à sa rencontre
la messe est le sacrifice que Dieu fait à l'homme de son corps et de son sang..
Qui est-ce qui a reçu notre âme à son entrée dans la vie? Le prêtre. Qui la nourrit pour lui donner la force de faire son pèlerinage? Le prêtre. Qui la préparera à paraître devant Dieu, en lavant cette âme, pour la dernière fois, dans le sang de Jésus-Christ? Le prêtre, toujours le prêtre. Et si cette âme vient à mourir, qui la ressuscitera, qui lui rendra le calme et la paix? Encore le prêtre. Nous ne pouvons pas nous rappeler un seul bienfait de Dieu sans rencontrer, à côté de ce souvenir, l'image du prêtre.
Les autres bienfaits de Dieu ne nous serviraient de rien sans le prêtre. A quoi servirait une maison remplie d'or si nous n'avions personne pour nous en ouvrir la porte? Le prêtre a la clef des trésors célestes: c'est lui qui en ouvre la porte; il est l'économe de Dieu, l'adminstrateur de ses biens.
Après Dieu, le prêtre c'est tout!... Laissez une paroisse vingt ans sans prêtre, on y adorera les bêtes.
On attache un grand prix aux objets qui ont été déposés dans l'écuelle de la Sainte Vierge et de l'Enfant Jésus, à Lorette. Mais les doigts du prêtre, qui ont touché la chair adorable de Jésus-Christ, qui se sont plongés dans le calice où a été son sang, dans le ciboire où a été son corps, ne sont-ils pas plus précieux?
Le sacerdoce, c'est l'amour du Coeur de Jésus. Quand vous voyez le prêtre, pensez à Notre-Seigneur.
Un enfant, quand il voit sa mère, s'élance vers elle; il se débat contre ceux qui le retiennent; il ouvre sa petite bouche et tend ses petites mains pour l'embrasser. Notre âme, en présence du prêtre, s'élance naturellement vers lui; elle court à sa rencontre
la messe est le sacrifice que Dieu fait à l'homme de son corps et de son sang..
sylvia- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Date d'inscription : 06/02/2011
Re: la messe est le sacrifice que Dieu fait à l'homme de son corps et de son sang.(Curé d'Ars)
@ Sylvia :
J.N.S.R. le 6/7/1999 a écrit:Aime Mon Église. Ma fille, parle avec force à ceux que Je mettrai devant toi. Je veux réparer Mon Église en commençant par tous ses Membres branlants.
Je n'ai plus une Église qui se remplit des marchands du Temple, J'ai une Église qui se vend elle-même, faisant de Mon Corps Sacré un festin qui réunit tous ceux qui ne sont pas appelés.
Où sont Mes pauvres ? Je ne vois que l'ARGENT qui démolit toute sa sainteté. A vouloir s'enrichir, cette Église s'appauvrit.
Qui occupe la place de dignitaires ? Ce ne sont pas des humbles, mais des hommes préoccupés par leur propre gloire.
Où est Ma Loi ? Elle est déchirée, éparpillée, réduite.
Où se trouve Ma Sainte Parole ? Elle est étouffée par les mots pleins de charme qui sortent de la bouche de ceux qui se disent pêcheurs d'hommes, alors que la plupart sont remplis de péchés.
Où est Mon pardon ? Là où est votre Foi. Hommes de peu de Foi, vos confessions ressemblent à cette eau de lessive qui sort de lavoirs gluants. Et les âmes souffrent. Et elles vont chercher leur délivrance dans les fausses églises où les filets du Malin sont prêts à les cueillir ; l'appât, c'est le miel de Satan avec ses fausses promesses.Que dire alors de Ma Sainte Eucharistie ? Vous ne Me donnez pas à Mes enfants dans leur coeur, mais dans leur main. Le loup attend l'Agneau et Mon Corps Sacré, contenu dans chaque Hostie consacrée, est vendu quelquefois juste devant la porte de vos églises. Vous avez reçu le Sacrement de l'Ordre...et vous choisissez des mains dans lesquelles Je ne peux descendre des Cieux pour M'offrir dans le coeur de Mes enfants. Prêtres de Dieu, prenez-Moi dans vos mains consacrées, déposez-Moi dans la bouche de Mon enfant; Je descends dans son coeur où Je Me blottis.
Ne laissez pas l'Innocent vivre l'Enfer des messes noires.
Prêtres de Dieu, Réparez vite ce blasphème, bientôt il sera trop tard.
Certes, il y a encore de bons prêtres, de bons évêques et de bons cardinaux, mais en nombre restreint. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est Mgr Ottavio Michelini qui lui-même le sait de Jésus par les messages qu'il a reçus en 1975/1976. Sa mission était de faire parvenir ces messages à tous les évêques du monde.
L'époque du saint curé d'Ars est malheureusement révolue. Aujourd'hui, nous devons être extrêmement vigilants ... tout en continuant à aimer l'Eglise, dont Marie est la Mère, en priant pour tous les prêtres mais en nous étonnant auprès d'eux, avec humilité et douceur, lorsque nous constatons des paroles, des attitudes, des gestes, des modifications qui sont contraires au respect et à l'amour que nous devons à Notre Seigneur Jésus.
L'époque du saint curé d'Ars est malheureusement révolue. Aujourd'hui, nous devons être extrêmement vigilants ... tout en continuant à aimer l'Eglise, dont Marie est la Mère, en priant pour tous les prêtres mais en nous étonnant auprès d'eux, avec humilité et douceur, lorsque nous constatons des paroles, des attitudes, des gestes, des modifications qui sont contraires au respect et à l'amour que nous devons à Notre Seigneur Jésus.
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