Si vous imploriez Ma Miséricorde ! (Message de Jésus à J.N.S.R. le 8 Mai 2003)

Invité Lun 14 Jan - 10:54

Si vous imploriez Ma Miséricorde !

Message de Jésus à J.N.S.R. le 8 Mai 2003

JÉSUS :

T'écrire de longues pages ne suffiront plus pour vous avertir que vous êtes tous en grand danger. N'écoutez plus les paroles d'hommes qui ne savent faire que des promesses non tenues. D'ailleurs, au point où en sont arrivées toutes choses, ils n'ont plus les moyens de contenter chacun.

Mais voulez-vous également rétablir tout ce qui s'est détruit,
abîmé ou anéanti complètement ?

Vous êtes tous fautifs.

Dans une famille, si les membres se désunissent, si chacun se désintéresse de l'autre, la famille entière se démolit. Il en est de même pour chaque pays. La patrie, comme la famille, se meurt faute d'unité. Et si vous en établissez la liste, vous verrez la division s'étendre dans chaque pays de la Terre.

Plus personne ne s'intéresse véritablement à son prochain,
ni à ses parents, ni à ses propres enfants livrés à eux-mêmes;
encore moins au voisin qui vit dans la maladie et la misère.

La solitude est le lot de chacun.
La Charité a déserté la Terre.

Croyez-vous que l'on puisse appeler cela une "doctrine nouvelle" ?
Vient-elle de Moi ?
Serait-ce une loi faite pour améliorer votre vie ?

Vous oubliez la veuve, l'orphelin, le malade, et surtout les handicapés car vous en trouverez de plus en plus à cause de vos guerres meurtrières.

Mais vous avez trouvé le moyen idéal : vous condamnez l'innocent et vous glorifiez les chercheurs, ceux qui ont mis en place l'euthanasie et les avortements, légalisés par vos hauts dignitaires, les mêmes qui luttent contre Ma Sainte Croix qui les dérange : elles sont trop voyantes sur le bord des chemins, plus encombrantes que vos panneaux géants qui invitent la jeunesse et les adultes à la pornographie.

Il n'y eut jamais une époque
aussi sale et aussi dégradante que la vôtre.

Sodome et Gomorrhe sont loin d'être citées en exemple
devant ce nouveau cataclysme géant qui touche même Mon Église.

Les offenses faites à Dieu sont bien plus graves que celles que l'on peut recevoir des hommes :

Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur,
de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit,
et ton prochain comme toi-même.

Enfants de ce siècle, vous ne vous aimez pas. Vous vous salissez. Vous vous vautrez dans le Mal.

Comment aimez-vous votre Dieu ?
Je ne suis pas une idole, Je suis le Vivant !

Si vous aviez la Foi, aussi grosse qu'un petit grain de riz, vous viendriez vous réfugier dans Ma Miséricorde divine, au lieu de supputer chaque guerre pouvant arriver d'un moment à l'autre à cause des divisions de plus en plus apparentes entre les divers pays.

Oui, les insectes sont porteurs de maladies nouvelles inconnues des chercheurs. Les insectes sortiront des terres que vous creusez à outrance pour de nouvelles routes.

Oui, les paysages se transformeront, tout comme vos vies qui vont de plus en plus vite sans apprécier le temps que Je vous donne encore pour vivre sur cette Terre avec ma nature que Je commence à renouveler.

Vous ne savez que crier dans les rues pour revendiquer, et vous ne voyez pas tous ceux que vous rejetez et qui sont obligés de repartir pour mourir dans ce qui leur reste comme patrie, pauvre et meurtrie, où les attendent la misère et la mort.

Vos bêtes domestiques sont mieux traitées qu'eux, vos frères !
Le réalisez-vous ?

Tournez vos regards vers vos frères dans la souffrance.

Ô Miséricorde divine !
Qui va T'implorer pour tous Tes enfants oubliés et rejetés ?

Ô Dieu de Pitié et de Miséricorde, ouvre-leur Ton Divin Sacré Coeur,
ils sont Tes enfants, protège-les !

Quand allez-vous implorer Ma Sainte Miséricorde qui peut tout et qui vous attend impatiemment. Dieu, Seul, peut TOUT, mais il Me manque votre Confiance en Moi.

Implorez Ma Sainte Miséricorde
et surtout, demandez-Moi la Foi, celle que Je donne
à chacun de Mes enfants qui veulent changer, avec Moi,
ce monde de misère en un monde merveilleux de Lumière,
dans la Paix de votre Dieu trois fois Saint.
Amen.

Louange à Toi, Seigneur JÉSUS !

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