Enseignement de Jésus, à Lucie, sur l'humilité, 21 avril 2013

Première Partie :

« Voilà mes enfants, qu’en ce beau dimanche, j’ai un petit enseignement à vous donner concernant l’humilité dont vous devez avoir, de plus en plus, dans Mon Église. Car, pour bien me servir, il vous faut entrer de plus en plus dans une grande humilité, dans ce que vous dites, dans ce que vous faites, dans ce que vous êtes, mes enfants.

L’humilité commence d’abord par un grand désir de se faire tout petit aux yeux des autres, tout petit aux yeux de votre Dieu. Cela signifie donc ne pas prendre la première place, rechercher les honneurs ou travailler pour moi pour sa propre gloire, pour se faire remarquer, pour qu’on applaudisse.

Vous devez être tout petits, mes enfants pour mieux me plaire. Vous devez aussi apprendre à beaucoup moins féliciter les autres, afin de vous aider les uns les autres à entrer dans cette humilité qui est nécessaire pour me faire aimer et connaître et pour proclamer mes Paroles d’Évangile ou prophétiques.
Vous devez avoir des cœurs simples, mes enfants. Recherchez la simplicité; cela va de pair avec l’humilité.

Il y a certaines choses, certaines attitudes qui m’agacent, moi votre Dieu, et que je vois et j’entends dans mes paroisses particulièrement. C’est lorsque l’on félicite à tour de bras tous les équipes à mon service. Que ce soit la liturgie, les chorales, les diacres, parce qu’ils proclament ma Parole d’Évangile. Que ce soit des bénévoles qui aident à toutes sortes de petites tâches, le concierge ou d’autres personnes et même les assistants aux messes, mes tout petits.

À mon humble avis, on félicite beaucoup trop et on remercie que trop peu. La reconnaissance par des mercis ne signifie pas du tout la même chose que de féliciter. Féliciter, à tour de bras, peut amener plusieurs de mes enfants à croire que tout vient d’eux : tous les dons, tous les talents et finalement plusieurs tombent dans le piège de l’orgueil, de la fierté personnelle.

Quant au fond, aucun de mes enfants n’a de mérite car c’est Moi qui vous donne tout : les dons, les talents, les charismes. Vous pouvez féliciter une maman qui met un bébé au monde, cela est correct. Féliciter les nouveaux mariés, les parents qui font baptiser leur enfant. Mais il ne faut pas féliciter ceux qui me servent car ils doivent se faire tout petits à mes yeux et aux yeux de leurs frères et sœurs.

Il y a aussi une expression souvent entendue qui m’agace, de plus en plus, j’espère que bientôt on va l’abandonner. C’est cette expression : d’être fiers, fiers d’être chrétiens, fiers d’être des pratiquants catholiques. « Soyons fiers que l’on dit » Eh bien, on n’a pas à être fiers. Pensez-y. Pourquoi être fiers, la fierté ce n’est que de l’orgueil. Il n’y a que Moi, mes enfants, qui peut être fier de vous lorsque vous êtes devenus humbles. Oui, un père, une mère peut être fier de ses enfants lorsqu’ils se comportent bien. C’est comme un cadeau d’avoir de bons enfants et il faut surtout remercier le Ciel avant tout, si on est fier de ses enfants.

Mes enfants, cessez d’être de fiers chrétiens. Soyez seulement heureux que je vous aie donné le don de la foi, heureux d’être chrétiens. Mais ne vous vantez plus d’être des chrétiens. Soyez simples, mes enfants et humbles.

Vous n’êtes pas meilleurs que les autres parce que vous êtes des pratiquants catholiques ou bien parce que vous avez retrouvé la foi. Non, mes enfants, c’est seulement que votre cœur s’est ouvert pour accueillir mes grâces, et dire oui à mon Amour, pour dire oui à retourner à la messe, par exemple. Ou bien pour vivre les sacrements de mon Église Catholique ».

Jésus, à sa Messagère Lucie, 21 avril 2013

Traduction de l’Audio Humilité. Deuxième partie.

Mes enfants, je vous prie de cesser d’être fiers et de répéter ce mot. Contentez-vous d’être fiers de votre Père du Ciel car c’est Lui le plus grand, le plus fort, le Tout-Puissant.

Et une autre chose qui me dérange, mes enfants, ce sont les spectacles profanes devant ma Très Sainte Présence dans les paroisses. La grande majorité ne conviennent pas devant Moi, car ils ne parlent pas de moi, ils ne font pas honneur à mon Nom. Ils ne glorifient pas votre Père. Ce que je veux, ce sont des chants de louange et d’amour du Sacré-Cœur de Mon Fils et de mon Coeur sous la mouvance de l’Esprit Saint.

Je ne veux pas n’importe quoi dans mes paroisses, sous prétextes de plaire à un plus grand nombre ou de faire de l’argent, de récolter des fonds.
Soyez prudents sur le choix de vos chants, qu’ils me rendent gloire, qu’ils me fassent plus aimer, qu’ils soient reconnaissance pour votre Dieu, qu’ils soient louange, paix et joie pour mes enfants qui les écoutent.

Ce n’est pas l’esprit du monde que je vous ai donné, mais mon Esprit Saint pour me servir avec honneur, pour ma gloire.

Et lorsque vous applaudissez, que ce soit à moi que vous pensiez et non à rendre gloire à mes enfants qui me servent avec les dons que je leur donne; signes de mon Amour pour mon peuple.

J’aimerais entendre, par exemple, lorsque vous faites de belles rencontres devant Moi, des paroles un peu comme celles-ci : Rendons gloire à Dieu de nous avoir unis pour chanter pour sa gloire, pour le faire aimer et connaître.

Remercions l’Esprit Sant d’avoir été avec nous, d’agir en nous. Bien souvent, on dit beaucoup de mercis et encore plus, dans bien des cas, des félicitations à tour de bras à mes enfants à mon service. Mais on oublie cette reconnaissance qui me revient de le dire devant mes enfants. On oublie de me louer, de me remercier, de me rendre grâces. On oublie la prière finale d’amour à mon égard, bien des fois.

Lorsqu’on fait des prières de reconnaissance, un peu comme je viens de vous expliquer, on enseigne à mes enfants la reconnaissance envers leur Dieu.
Je veux remercier tous mes enfants qui me servent et qui font leur possible, dans mes paroisses, tous ceux qui donnent de leur temps, tous ceux qui le font avec amour, avec respect, avec dignité, avec simplicité, avec humilité, dans la joie.

Mes enfants, soyez vraiment humbles et doux de cœur.
Je vous reviendrai ultérieurement pour un autre petit enseignement.

Merci mes enfants d’être à mon écoute, merci à ceux qui croient en moi et qui, par Mes Paroles, font des progrès et feront encore des progrès pour mieux me ressembler, pour mieux aimer, pour être humbles, tout petits, vraiment tout petits.

Mes enfants, je vous bénis, soyez dans la paix, soyez aussi dans l’espérance car ce monde est appelé à changer pour le mieux, à mieux aimer; et je vous guide, je vous parle, par mes instruments d’amour, pour vous y aider justement.

Je veux toujours me faire près de vos cœurs, chacun de vous.
Tendrement, je vous aime.
Que ma Lumière et mon Esprit Saint soient sur vous.
AMEN.
Votre Père du Ciel en sa messagère Lucie, 21 avril 2013

@ tous

En effet, ce message du PÈRE ÉTERNEL est très important.

Et il se veut d'être lu. C'est ce que Jésus a demandé.

@ Francine

Un grand " Merci" pour ce message qui mérite effectivement d'être lu et relu .

[b]@ francine 2
@ TOUS
Dans nos paroisses, nous avons perdus le sens du sacré, le Seigneur vient nous le réaprendre.

  Francine-2,

Il y a beaucoup de petites choses qu'on ne connait pas, mais qui sont très importantes aux yeux de Dieu. Prions toujours et toujours pour demander le don d'humilité.