Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Luisa Piccarreta et la Divine Volonté (Italie)
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Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dixième jour
La glorieuse naissance de la Reine du Ciel. L’aurore qui se lève fait fuir la nuit de la volonté humaine.
L’âme à la Reine du Ciel :
Me voici, sainte Mère, au pied de ton berceau pour être témoin de ta prodigieuse naissance. Les cieux sont étonnés, la lumière du soleil se concentre sur toi, la terre exulte de joie et est honorée de porter sa Reine nouveau-née, et les anges se bousculent pour entourer ton berceau et répondre à tous tes désirs. Tous t’honorent et veulent célébrer ta naissance. M’unissant à eux, je me prosterne devant ton berceau sur lequel, dans le ravissement, sont penchés ta mère Anne et ton père Joachim.
Permets que je t’adresse mes premiers mots et te confie mes premiers secrets. Je veux déverser mon coeur dans le tien en te disant : « Ma petite Maman, tu es l’aurore du règne de la Divine Volonté sur la terre. Oh ! s’il te plaît, chasse de moi et de tous les humains les ténèbres de nos volontés humaines. »
Leçon de la Reine nouveau-née :
Fille de mon Coeur, ma naissance fut prodigieuse. Aucune autre naissance ne peut lui être comparée. J’enfermais en moi le soleil de la Divine Volonté ainsi que la terre de mon humanité, une terre bénie et sainte, porteuse des plus belles fleurs. Bien que je n’étais qu’une nouveau-née, je portais le plus grand des prodiges : la Divine Volonté qui régnait en moi, un ciel plus magnifique et un soleil plus resplendissant que ceux de la création dont j’étais la Reine. Je portais aussi en moi un océan de grâces qui murmurait constamment : « Amour, amour pour mon Créateur ! » Ma naissance était l’aube mettant en fuite la noirceur de la volonté humaine et présage de l’éclatante lumière du Verbe Éternel sur la terre.
Ma fille, viens à mon berceau et écoute ta petite Maman. À peine née, j’ouvris les yeux pour voir ce bas monde et me mettre à la recherche de tous mes enfants afin de les enfermer dans mon Coeur, de leur prodiguer mon amour maternel et de leur ouvrir le chemin du Royaume de la Divine Volonté que je possédais. Je désirais remplir auprès d’eux ma fonction de Mère et de Reine. Dans mon Coeur, j’avais une place pour chacun, car celui qui possède la Divine Volonté n’a aucune limite : il possède des immensités infinies. Je posai aussi mes yeux sur toi, ma fille. Personne ne m’échappait. Et puisque tous célébraient ma naissance ce jour-là, c’était aussi une fête pour moi. Néanmoins, je fus peinée de voir les créatures dans la nuit profonde de la volonté humaine.
Oh ! quelle noirceur enveloppe la créature qui se laisse dominer par sa propre volonté ! C’est pour elle la nuit, une nuit sans étoiles. Au plus, il y a des éclairs suivies de coups de tonnerre déversant sur elle la tempête : tempête de frayeurs, de faiblesses et de dangers qui la pousse au péché. Mon Coeur fut transpercé en voyant mes enfants dans cet état.
Maintenant, écoute bien ta Maman : je suis dans mon berceau, toute petite. Vois les larmes que je verse pour toi. Chaque fois que tu exerces ta propre volonté, tu formes une nuit en toi. Si tu savais combien de mal cette nuit peut te faire, tu pleurerais avec moi. Elle te fait perdre la lumière du jour de la Divine Volonté, te met sens dessus dessous et détruit l’amour en toi ; tu deviens comme une pauvre malade manquant de ce qu’il faut pour guérir. Ah ! ma fille, ma chère fille, ne fais jamais ta volonté ! Donne-moi ta parole que tu veux contenter ta Maman.
L’âme :
Petite sainte Maman, je me sens toute tremblante en t’entendant parler de la nuit de ma volonté humaine. C’est pourquoi je suis ici à ton berceau pour te demander, par ta prodigieuse naissance, la grâce de me faire renaître dans la Divine Volonté. Je serai toujours près de toi, petit bébé céleste. Je joindrai mes prières et mes larmes aux tiennes pour intercéder pour moi et pour tous, afin que le Royaume de la Divine Volonté vienne sur la terre.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras trois fois me visiter dans mon berceau en me disant à chaque fois : « Céleste petit bébé, fais-moi renaître avec toi à la vie dans la Divine Volonté. »
Oraison jaculatoire :
Petite Maman, fais poindre l’aube de la Divine Volonté dans mon âme.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dixième jour
La glorieuse naissance de la Reine du Ciel. L’aurore qui se lève fait fuir la nuit de la volonté humaine.
L’âme à la Reine du Ciel :
Me voici, sainte Mère, au pied de ton berceau pour être témoin de ta prodigieuse naissance. Les cieux sont étonnés, la lumière du soleil se concentre sur toi, la terre exulte de joie et est honorée de porter sa Reine nouveau-née, et les anges se bousculent pour entourer ton berceau et répondre à tous tes désirs. Tous t’honorent et veulent célébrer ta naissance. M’unissant à eux, je me prosterne devant ton berceau sur lequel, dans le ravissement, sont penchés ta mère Anne et ton père Joachim.
Permets que je t’adresse mes premiers mots et te confie mes premiers secrets. Je veux déverser mon coeur dans le tien en te disant : « Ma petite Maman, tu es l’aurore du règne de la Divine Volonté sur la terre. Oh ! s’il te plaît, chasse de moi et de tous les humains les ténèbres de nos volontés humaines. »
Leçon de la Reine nouveau-née :
Fille de mon Coeur, ma naissance fut prodigieuse. Aucune autre naissance ne peut lui être comparée. J’enfermais en moi le soleil de la Divine Volonté ainsi que la terre de mon humanité, une terre bénie et sainte, porteuse des plus belles fleurs. Bien que je n’étais qu’une nouveau-née, je portais le plus grand des prodiges : la Divine Volonté qui régnait en moi, un ciel plus magnifique et un soleil plus resplendissant que ceux de la création dont j’étais la Reine. Je portais aussi en moi un océan de grâces qui murmurait constamment : « Amour, amour pour mon Créateur ! » Ma naissance était l’aube mettant en fuite la noirceur de la volonté humaine et présage de l’éclatante lumière du Verbe Éternel sur la terre.
Ma fille, viens à mon berceau et écoute ta petite Maman. À peine née, j’ouvris les yeux pour voir ce bas monde et me mettre à la recherche de tous mes enfants afin de les enfermer dans mon Coeur, de leur prodiguer mon amour maternel et de leur ouvrir le chemin du Royaume de la Divine Volonté que je possédais. Je désirais remplir auprès d’eux ma fonction de Mère et de Reine. Dans mon Coeur, j’avais une place pour chacun, car celui qui possède la Divine Volonté n’a aucune limite : il possède des immensités infinies. Je posai aussi mes yeux sur toi, ma fille. Personne ne m’échappait. Et puisque tous célébraient ma naissance ce jour-là, c’était aussi une fête pour moi. Néanmoins, je fus peinée de voir les créatures dans la nuit profonde de la volonté humaine.
Oh ! quelle noirceur enveloppe la créature qui se laisse dominer par sa propre volonté ! C’est pour elle la nuit, une nuit sans étoiles. Au plus, il y a des éclairs suivies de coups de tonnerre déversant sur elle la tempête : tempête de frayeurs, de faiblesses et de dangers qui la pousse au péché. Mon Coeur fut transpercé en voyant mes enfants dans cet état.
Maintenant, écoute bien ta Maman : je suis dans mon berceau, toute petite. Vois les larmes que je verse pour toi. Chaque fois que tu exerces ta propre volonté, tu formes une nuit en toi. Si tu savais combien de mal cette nuit peut te faire, tu pleurerais avec moi. Elle te fait perdre la lumière du jour de la Divine Volonté, te met sens dessus dessous et détruit l’amour en toi ; tu deviens comme une pauvre malade manquant de ce qu’il faut pour guérir. Ah ! ma fille, ma chère fille, ne fais jamais ta volonté ! Donne-moi ta parole que tu veux contenter ta Maman.
L’âme :
Petite sainte Maman, je me sens toute tremblante en t’entendant parler de la nuit de ma volonté humaine. C’est pourquoi je suis ici à ton berceau pour te demander, par ta prodigieuse naissance, la grâce de me faire renaître dans la Divine Volonté. Je serai toujours près de toi, petit bébé céleste. Je joindrai mes prières et mes larmes aux tiennes pour intercéder pour moi et pour tous, afin que le Royaume de la Divine Volonté vienne sur la terre.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras trois fois me visiter dans mon berceau en me disant à chaque fois : « Céleste petit bébé, fais-moi renaître avec toi à la vie dans la Divine Volonté. »
Oraison jaculatoire :
Petite Maman, fais poindre l’aube de la Divine Volonté dans mon âme.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
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Age : 62
Localisation : Basse-Normandie
Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Onzième jour
Durant la première année de sa vie terrestre, la Reine du Ciel a formé la plus splendide des aurores
pour que naisse dans les coeurs un ardent désir du Rédempteur.
L’âme à la petite Reine bébé :
Me voici encore une fois près de ton berceau, petite Maman céleste. Mon coeur est fasciné par ta beauté dont je ne puis détourner mes yeux. Comme ton regard est doux ! Les gestes de tes petites mains m’invitent à t’embrasser et à te serrer sur mon coeur. Petite Maman, donne-moi tes flammes amoureuses pour qu’elles brûlent ma volonté et te rendent heureuse en m’amenant à vivre dans la Divine Volonté comme toi.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma fille, si tu savais à quel point mon petit Coeur maternel se réjouit de te voir près de mon berceau dans l’attente de mes enseignements ! Ainsi, je ne me sens pas une Mère stérile ou une Reine sans sujets puisque j’ai auprès de moi ma chère fille qui m’aime beaucoup et désire que j’accomplisse auprès d’elle mon rôle de Mère et de Reine. Tu es pour moi porteuse de joie, d’autant plus que tu es là pour que je t’enseigne la manière de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Avoir une fille qui veut vivre dans ce Royaume si saint est pour moi la plus belle fête, le plus bel hommage que tu puisses me rendre. Sois attentive, ma chère fille, et je continuerai à te raconter les merveilles relatives à ma naissance.
Mon berceau était entouré d’anges qui chantaient des berceuses à leur Souveraine. Puisque j’avais l’usage de mon intelligence (infusée en moi par mon Créateur), j’adorais la Très Sainte Trinité, ce qui était mon premier devoir, et ce que je faisais à travers mes babillages d’enfant. L’ardeur de mon amour pour cette sainte Majesté était si grand que je me sentis tomber dans le délire, délire accompagné du désir ardent de me trouver dans les bras de la Divinité pour recevoir ses baisers et lui donner les miens.
Les anges, pour qui mes désirs étaient des ordres, me prirent sur leurs ailes et me déposèrent dans les bras aimants de mon Père Céleste. Oh ! avec quel amour les trois Personnes divines me reçurent ! J’arrivais de l’exil et la brève pause de séparation d’avec eux fut la cause de nouvelles flambées d’amour. Ces nouveaux cadeaux de leur part me fournirent de nouvelles ressources pour demander pitié et indulgence pour mes enfants exilés vivant sous le joug de la divine justice. Remplie d’amour, je leur ai dit :
« Adorable Trinité, je me sens heureuse et Reine ; je ne sais pas ce que c’est que d’être malheureuse et esclave. Par votre Volonté qui règne en moi, je suis inondée de tellement de joie et d’allégresse que, dans ma petitesse, je ne peux porter tant de faveurs. Malgré ce grand bonheur, il y a de l’amertume dans mon petit Coeur. Je sens mes enfants malheureux et esclaves de leur volonté rebelle.
« Ayez pitié, Trinité Sainte, ayez pitié ! Rendez-moi totalement heureuse en rendant heureux ces malheureux enfants que je porte dans mon Coeur maternel. Faites descendre le Verbe Divin sur la terre et je serai comblée ! Père, je ne quitterai pas tes genoux si tu ne m’accordes pas la joie d’apporter à mes enfants la bonne nouvelle de leur Rédemption. »
La Divinité fut attendrie par ma prière et, me comblant de nouveaux cadeaux, me dit : « Retourne en exil et continue tes prières. Fais tous tes actes dans notre Volonté et, au temps voulu, nous te donnerons satisfaction. » Elle ne précisa ni le temps ni l’endroit où le Verbe allait se manifester.
Pour me conformer à la Divine Volonté, je quittai donc le Ciel. Cela fut pour moi un sacrifice extrême, mais je l’ai fait de bon gré, car seule la Divine Volonté pouvait décider de mon agir.
Ma fille, vois combien ton âme m’a coûté. Ce fut au point de changer en amertume l’immense mer de ma joie et de mon bonheur. Chaque fois que tu fais ta volonté, tu te rends esclave et malheureuse. Et moi, je ressens dans mon Coeur maternel la tristesse de ma fille. Quelle peine je ressens quand je vois mes enfants malheureux ! Comme tu devrais avoir à coeur d’accomplir la Divine Volonté en voyant que je me suis résignée à quitter le Ciel pour que ma volonté personnelle continue de n’avoir aucune vie en moi.
Ma fille, dans chacune de tes actions, aie comme premier devoir celui d’adorer ton Créateur, de le connaître et de l’aimer. Agir ainsi place l’âme dans l’ordre de la Création et l’amène à reconnaître celui qui l’a créée. Cette connaissance est le devoir le plus saint de chaque créature : connaître son origine. Mon départ du Ciel et mes prières ont fait poindre l’aurore, prélude du plein jour de la venue du Verbe Divin sur la terre.
L’âme :
Petite Maman céleste, te voir nouveau-née et me donner des leçons si saintes me bouleverse. Je comprends à quel point tu m’aimes quand je te vois devenir malheureuse à cause de moi. Sainte Maman, toi qui m’aimes tant, fais que la puissance, l’amour et les joies qui te remplissent descendent dans mon âme afin que, remplie de ces dons, ma volonté personnelle n’ait en moi aucun espace et cède totalement la place à la Divine Volonté.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu feras trois actes d’adoration à ton Créateur en récitant trois Gloire au Père pour le remercier pour toutes les fois où j’ai été admise en sa divine Présence.
Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, que l’aurore de la Divine Volonté s’élève dans mon âme.
Cordialement dans la croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Onzième jour
Durant la première année de sa vie terrestre, la Reine du Ciel a formé la plus splendide des aurores
pour que naisse dans les coeurs un ardent désir du Rédempteur.
L’âme à la petite Reine bébé :
Me voici encore une fois près de ton berceau, petite Maman céleste. Mon coeur est fasciné par ta beauté dont je ne puis détourner mes yeux. Comme ton regard est doux ! Les gestes de tes petites mains m’invitent à t’embrasser et à te serrer sur mon coeur. Petite Maman, donne-moi tes flammes amoureuses pour qu’elles brûlent ma volonté et te rendent heureuse en m’amenant à vivre dans la Divine Volonté comme toi.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma fille, si tu savais à quel point mon petit Coeur maternel se réjouit de te voir près de mon berceau dans l’attente de mes enseignements ! Ainsi, je ne me sens pas une Mère stérile ou une Reine sans sujets puisque j’ai auprès de moi ma chère fille qui m’aime beaucoup et désire que j’accomplisse auprès d’elle mon rôle de Mère et de Reine. Tu es pour moi porteuse de joie, d’autant plus que tu es là pour que je t’enseigne la manière de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Avoir une fille qui veut vivre dans ce Royaume si saint est pour moi la plus belle fête, le plus bel hommage que tu puisses me rendre. Sois attentive, ma chère fille, et je continuerai à te raconter les merveilles relatives à ma naissance.
Mon berceau était entouré d’anges qui chantaient des berceuses à leur Souveraine. Puisque j’avais l’usage de mon intelligence (infusée en moi par mon Créateur), j’adorais la Très Sainte Trinité, ce qui était mon premier devoir, et ce que je faisais à travers mes babillages d’enfant. L’ardeur de mon amour pour cette sainte Majesté était si grand que je me sentis tomber dans le délire, délire accompagné du désir ardent de me trouver dans les bras de la Divinité pour recevoir ses baisers et lui donner les miens.
Les anges, pour qui mes désirs étaient des ordres, me prirent sur leurs ailes et me déposèrent dans les bras aimants de mon Père Céleste. Oh ! avec quel amour les trois Personnes divines me reçurent ! J’arrivais de l’exil et la brève pause de séparation d’avec eux fut la cause de nouvelles flambées d’amour. Ces nouveaux cadeaux de leur part me fournirent de nouvelles ressources pour demander pitié et indulgence pour mes enfants exilés vivant sous le joug de la divine justice. Remplie d’amour, je leur ai dit :
« Adorable Trinité, je me sens heureuse et Reine ; je ne sais pas ce que c’est que d’être malheureuse et esclave. Par votre Volonté qui règne en moi, je suis inondée de tellement de joie et d’allégresse que, dans ma petitesse, je ne peux porter tant de faveurs. Malgré ce grand bonheur, il y a de l’amertume dans mon petit Coeur. Je sens mes enfants malheureux et esclaves de leur volonté rebelle.
« Ayez pitié, Trinité Sainte, ayez pitié ! Rendez-moi totalement heureuse en rendant heureux ces malheureux enfants que je porte dans mon Coeur maternel. Faites descendre le Verbe Divin sur la terre et je serai comblée ! Père, je ne quitterai pas tes genoux si tu ne m’accordes pas la joie d’apporter à mes enfants la bonne nouvelle de leur Rédemption. »
La Divinité fut attendrie par ma prière et, me comblant de nouveaux cadeaux, me dit : « Retourne en exil et continue tes prières. Fais tous tes actes dans notre Volonté et, au temps voulu, nous te donnerons satisfaction. » Elle ne précisa ni le temps ni l’endroit où le Verbe allait se manifester.
Pour me conformer à la Divine Volonté, je quittai donc le Ciel. Cela fut pour moi un sacrifice extrême, mais je l’ai fait de bon gré, car seule la Divine Volonté pouvait décider de mon agir.
Ma fille, vois combien ton âme m’a coûté. Ce fut au point de changer en amertume l’immense mer de ma joie et de mon bonheur. Chaque fois que tu fais ta volonté, tu te rends esclave et malheureuse. Et moi, je ressens dans mon Coeur maternel la tristesse de ma fille. Quelle peine je ressens quand je vois mes enfants malheureux ! Comme tu devrais avoir à coeur d’accomplir la Divine Volonté en voyant que je me suis résignée à quitter le Ciel pour que ma volonté personnelle continue de n’avoir aucune vie en moi.
Ma fille, dans chacune de tes actions, aie comme premier devoir celui d’adorer ton Créateur, de le connaître et de l’aimer. Agir ainsi place l’âme dans l’ordre de la Création et l’amène à reconnaître celui qui l’a créée. Cette connaissance est le devoir le plus saint de chaque créature : connaître son origine. Mon départ du Ciel et mes prières ont fait poindre l’aurore, prélude du plein jour de la venue du Verbe Divin sur la terre.
L’âme :
Petite Maman céleste, te voir nouveau-née et me donner des leçons si saintes me bouleverse. Je comprends à quel point tu m’aimes quand je te vois devenir malheureuse à cause de moi. Sainte Maman, toi qui m’aimes tant, fais que la puissance, l’amour et les joies qui te remplissent descendent dans mon âme afin que, remplie de ces dons, ma volonté personnelle n’ait en moi aucun espace et cède totalement la place à la Divine Volonté.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu feras trois actes d’adoration à ton Créateur en récitant trois Gloire au Père pour le remercier pour toutes les fois où j’ai été admise en sa divine Présence.
Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, que l’aurore de la Divine Volonté s’élève dans mon âme.
Cordialement dans la croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
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Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Douzième jour
La Reine du Ciel fait ses premiers pas et, à travers ses activités d’enfant, elle appelle Dieu à descendre sur la terre
et convoque les créatures à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
L’âme à la petite Reine céleste :
Me voici auprès de toi dans la maison de Nazareth, chère petite Reine. Je veux t’accompagner dans ta petite enfance, te donner la main pour t’aider à faire tes premiers pas et parler avec tes saints parents Anne et Joachim. Après avoir appris à marcher, tu aides sainte Anne par de petits travaux. Ma petite Maman, comme tu es charmante ! Donne-moi tes leçons pour que je connaisse mieux ta petite enfance et que, à travers tes activités d’enfant, tu m’apprennes l’art de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, mon plus grand désir est de te garder près de moi. Sans toi, je me sens seule et je ne sais pas à qui d’autre confier mes secrets. C’est dans mon souci maternel que je désire t’avoir près de moi, dans mon Coeur, pour te donner mes leçons et, ainsi, t’enseigner la manière de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
La volonté humaine ne peut entrer dans ce Royaume que si elle est broyée par des morts continuelles face à la lumière, la sainteté et la puissance de la Divine Volonté. Ne crois cependant pas que l’âme s’affligera à cause de cela. Au contraire, elle sera heureuse car, sur sa volonté vaincue, la Divine Volonté s’élèvera triomphante, lui apportant joie et félicité sans fin. Chère fille, comprendre ce que veut dire se laisser dominer par la Divine Volonté est une chose, mais être prêt à se laisser mettre en pièces plutôt que de la quitter est beaucoup plus.
Écoute-moi bien. Afin d’accomplir la Volonté de l’Éternel, j’ai quitté le Ciel, ma patrie céleste, ce Ciel où, toute petite, j’étais en présence des trois Personnes divines qui me berçaient dans leurs bras paternels, me faisant partager leur joie, leur bonheur, leur richesse et leur sainteté jusqu’à la limite du possible pour une créature.
Les Personnes divines se réjouissaient en voyant que, sans crainte et avec le plus grand amour, je me remplissais de leurs richesses. Je n’étais pas étonnée qu’elles me laissent prendre tout ce que je voulais, puisque j’étais leur fille, qu’une seule et même Volonté nous animait et que tout ce qu’elles désiraient, je le désirais aussi.
Ainsi, je sentais que leurs biens m’appartenaient. La seule différence était que, étant toute petite, je ne pouvais posséder tous leurs biens ; il en restait toujours que je ne pouvais pas contenir puisque je demeurais toujours une créature alors que, dans leur pouvoir infini, elles pouvaient tout embrasser en un seul acte.
Dès que les trois Personnes divines me firent comprendre que je devais me priver de ces joies célestes et des chastes étreintes que nous nous accordions, j’ai quitté le Ciel sans hésiter pour aller rejoindre mes chers parents. Mes parents m’aimaient beaucoup car j’étais très aimable, joyeuse, pacifique, remplie de charmes enfantins. Ils étaient très attentifs envers moi : j’étais leur joyau. Quand ils me prenaient dans leurs bras, ils percevaient des choses inhabituelles et la Vie divine qui palpitait en moi.
Maintenant, fille de mon Coeur, tu dois savoir que, dès que débuta ma vie sur la terre, la Divine Volonté animait tout en moi : mes prières, mes paroles, mes pas, la nourriture que je mangeais, le sommeil que je prenais, ainsi que les petits services que je rendais à ma Maman. D’autre part, dans toutes mes activités, je te portais dans mon Coeur et te considérais comme mon enfant. J’appelais tes actes, même les plus simples, à être unis aux miens pour qu’ils soient ainsi accomplis dans la Divine Volonté.
Je t’aime beaucoup, ma fille. Quand je priais, j’appelais tes prières à s’unir aux miennes pour qu’elles aient la même valeur et la même puissance que les miennes : celles de la Divine Volonté. Quand je parlais, marchais ou faisais les actes humains indispensables à la vie journalière — comme apporter de l’eau, balayer ou passer le bois à ma maman pour qu’elle allume le feu —, j’unissais ces actions aux actions similaires réalisées par toi, de telle manière que ces dernières appartiennent au Royaume de la Divine Volonté comme les miennes. À travers toutes ces actions, je demandais au Verbe Divin de descendre sur la terre.
Oh ! comme je t’ai aimée, ma fille ! Je voulais que tes actes soient unis aux miens pour te rendre heureuse et te faire régner avec moi. Combien de fois t’ai-je appelée, toi et tes actions, mais, à ma plus grande déception, mes actions restaient isolées et je pouvais voir les tiennes perdues dans ta volonté humaine. Tes actions — c’est horrible à dire — étaient d’un royaume humain, non pas divin : un royaume de passions, de péchés et de misères. Encore aujourd’hui, à chaque action que tu fais dans ta volonté humaine, mes larmes coulent, sachant à quel misérable royaume elles appartiennent.
Donc, si tu agis dans la Divine Volonté, joie et bonheur te seront donnés comme si cela était un droit, et tout en toi sera en commun avec ton Créateur. Les faiblesses et les misères seront bannies de ta vie et tu seras la plus chère de mes filles. Je te garderai dans mon Royaume pour que tu vives toujours dans la Divine Volonté.
L’âme :
Sainte Maman, qui pourrait supporter de te voir pleurer et ne pas prêter attention à tes saintes leçons ? De tout mon coeur, je te promets de ne plus jamais faire ma volonté. Et toi, céleste Maman, ne me laisse jamais seule, afin que ta présence captive ma volonté et me fasse régner sans cesse dans la Divine Volonté.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me donneras tous tes actes pour me tenir compagnie dans ma petite enfance. Tu me feras trois actes d’amour en souvenir des trois années que j’ai vécues avec ma mère sainte Anne.
Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, capture mon coeur pour l’emprisonner dans la Divine Volonté.
Cordialement dans la croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Douzième jour
La Reine du Ciel fait ses premiers pas et, à travers ses activités d’enfant, elle appelle Dieu à descendre sur la terre
et convoque les créatures à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
L’âme à la petite Reine céleste :
Me voici auprès de toi dans la maison de Nazareth, chère petite Reine. Je veux t’accompagner dans ta petite enfance, te donner la main pour t’aider à faire tes premiers pas et parler avec tes saints parents Anne et Joachim. Après avoir appris à marcher, tu aides sainte Anne par de petits travaux. Ma petite Maman, comme tu es charmante ! Donne-moi tes leçons pour que je connaisse mieux ta petite enfance et que, à travers tes activités d’enfant, tu m’apprennes l’art de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, mon plus grand désir est de te garder près de moi. Sans toi, je me sens seule et je ne sais pas à qui d’autre confier mes secrets. C’est dans mon souci maternel que je désire t’avoir près de moi, dans mon Coeur, pour te donner mes leçons et, ainsi, t’enseigner la manière de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
La volonté humaine ne peut entrer dans ce Royaume que si elle est broyée par des morts continuelles face à la lumière, la sainteté et la puissance de la Divine Volonté. Ne crois cependant pas que l’âme s’affligera à cause de cela. Au contraire, elle sera heureuse car, sur sa volonté vaincue, la Divine Volonté s’élèvera triomphante, lui apportant joie et félicité sans fin. Chère fille, comprendre ce que veut dire se laisser dominer par la Divine Volonté est une chose, mais être prêt à se laisser mettre en pièces plutôt que de la quitter est beaucoup plus.
Écoute-moi bien. Afin d’accomplir la Volonté de l’Éternel, j’ai quitté le Ciel, ma patrie céleste, ce Ciel où, toute petite, j’étais en présence des trois Personnes divines qui me berçaient dans leurs bras paternels, me faisant partager leur joie, leur bonheur, leur richesse et leur sainteté jusqu’à la limite du possible pour une créature.
Les Personnes divines se réjouissaient en voyant que, sans crainte et avec le plus grand amour, je me remplissais de leurs richesses. Je n’étais pas étonnée qu’elles me laissent prendre tout ce que je voulais, puisque j’étais leur fille, qu’une seule et même Volonté nous animait et que tout ce qu’elles désiraient, je le désirais aussi.
Ainsi, je sentais que leurs biens m’appartenaient. La seule différence était que, étant toute petite, je ne pouvais posséder tous leurs biens ; il en restait toujours que je ne pouvais pas contenir puisque je demeurais toujours une créature alors que, dans leur pouvoir infini, elles pouvaient tout embrasser en un seul acte.
Dès que les trois Personnes divines me firent comprendre que je devais me priver de ces joies célestes et des chastes étreintes que nous nous accordions, j’ai quitté le Ciel sans hésiter pour aller rejoindre mes chers parents. Mes parents m’aimaient beaucoup car j’étais très aimable, joyeuse, pacifique, remplie de charmes enfantins. Ils étaient très attentifs envers moi : j’étais leur joyau. Quand ils me prenaient dans leurs bras, ils percevaient des choses inhabituelles et la Vie divine qui palpitait en moi.
Maintenant, fille de mon Coeur, tu dois savoir que, dès que débuta ma vie sur la terre, la Divine Volonté animait tout en moi : mes prières, mes paroles, mes pas, la nourriture que je mangeais, le sommeil que je prenais, ainsi que les petits services que je rendais à ma Maman. D’autre part, dans toutes mes activités, je te portais dans mon Coeur et te considérais comme mon enfant. J’appelais tes actes, même les plus simples, à être unis aux miens pour qu’ils soient ainsi accomplis dans la Divine Volonté.
Je t’aime beaucoup, ma fille. Quand je priais, j’appelais tes prières à s’unir aux miennes pour qu’elles aient la même valeur et la même puissance que les miennes : celles de la Divine Volonté. Quand je parlais, marchais ou faisais les actes humains indispensables à la vie journalière — comme apporter de l’eau, balayer ou passer le bois à ma maman pour qu’elle allume le feu —, j’unissais ces actions aux actions similaires réalisées par toi, de telle manière que ces dernières appartiennent au Royaume de la Divine Volonté comme les miennes. À travers toutes ces actions, je demandais au Verbe Divin de descendre sur la terre.
Oh ! comme je t’ai aimée, ma fille ! Je voulais que tes actes soient unis aux miens pour te rendre heureuse et te faire régner avec moi. Combien de fois t’ai-je appelée, toi et tes actions, mais, à ma plus grande déception, mes actions restaient isolées et je pouvais voir les tiennes perdues dans ta volonté humaine. Tes actions — c’est horrible à dire — étaient d’un royaume humain, non pas divin : un royaume de passions, de péchés et de misères. Encore aujourd’hui, à chaque action que tu fais dans ta volonté humaine, mes larmes coulent, sachant à quel misérable royaume elles appartiennent.
Donc, si tu agis dans la Divine Volonté, joie et bonheur te seront donnés comme si cela était un droit, et tout en toi sera en commun avec ton Créateur. Les faiblesses et les misères seront bannies de ta vie et tu seras la plus chère de mes filles. Je te garderai dans mon Royaume pour que tu vives toujours dans la Divine Volonté.
L’âme :
Sainte Maman, qui pourrait supporter de te voir pleurer et ne pas prêter attention à tes saintes leçons ? De tout mon coeur, je te promets de ne plus jamais faire ma volonté. Et toi, céleste Maman, ne me laisse jamais seule, afin que ta présence captive ma volonté et me fasse régner sans cesse dans la Divine Volonté.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me donneras tous tes actes pour me tenir compagnie dans ma petite enfance. Tu me feras trois actes d’amour en souvenir des trois années que j’ai vécues avec ma mère sainte Anne.
Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, capture mon coeur pour l’emprisonner dans la Divine Volonté.
Cordialement dans la croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
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Date d'inscription : 24/04/2011
Age : 62
Localisation : Basse-Normandie
Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Treizième jour
La Reine du Ciel se prépare à quitter ses parents pour aller vivre au Temple.
Elle donne l’exemple du triomphe total dans le sacrifice.
L’âme à la Reine triomphante :
Céleste Maman, je me prosterne devant toi et te demande ton invincible force face à mes souffrances. Tu sais combien mon coeur en est accablé. Toi qui aimes tant être ma Maman, prends mon coeur dans tes mains et verses-y l’amour, la grâce et la force pour que je triomphe de mes souffrances et les convertisse en actes d’amour dans la Divine Volonté.
Leçon de la Reine triomphante :
Ma fille, prends courage et n’aie pas peur. Ta Maman est toute à toi. Aujourd’hui, je t’attends pour que mon héroïsme et mon triomphe dans le sacrifice infusent en toi force et courage et que tu puisses triompher de tes souffrances avec héroïsme et amour dans la Divine Volonté.
Ma fille, écoute-moi bien. Alors que je n’avais que trois ans, mes parents me firent savoir qu’ils voulaient me consacrer au Seigneur et m’envoyer vivre dans le Temple. Mon Coeur exulta de joie en apprenant que j’allais être consacrée et que j’allais passer ma vie dans la maison de Dieu. Ma joie était cependant accompagnée d’une grande peine : celle de devoir être privée de mes parents, les personnes qui m’étaient les plus chères sur la terre. J’étais petite, j’avais besoin de leurs soins paternels et maternels. De plus, j’allais être privée de la compagnie de deux grands saints. Je me rendais aussi compte qu’ils allaient être eux-mêmes privés de moi, leur enfant qui remplissait leur vie de tant de joie et de bonheur. Ils en ressentaient de la peine à en mourir. Malgré ces souffrances, ils étaient disposés à accomplir cet acte héroïque.
L’amour qu’ils me portaient était d’ordre divin. Ils me considéraient comme un cadeau de Dieu et cela leur donnait la force de faire ce si grand sacrifice. Ainsi, ma fille, si tu veux avoir la force invincible de souffrir les peines les plus douloureuses, considère toutes les choses qui te concernent comme étant d’ordre divin, comme étant des cadeaux précieux du Seigneur.
C’est avec courage que je me suis préparée à partir pour le Temple car, quand j’ai livré ma volonté à Dieu et qu’il prit possession de tout mon être, j’ai reçu toutes les vertus comme si elles m’appartenaient par nature. J’avais un contrôle complet sur moi-même. Toutes les vertus étaient en moi comme de nobles princesses et, selon les circonstances, elles remplissaient leur office sans aucune résistance. On m’aurait faussement appelée Reine si je n’avais pas d’abord été reine sur moi-même. J’avais sous ma domination une parfaite charité, une invincible patience, une douceur enchanteresse, une profonde humilité de même que toutes les autres vertus. La Divine Volonté avait fait de la petite terre de mon humanité un jardin magnifique toujours en fleurs et sans aucune des épines du vice.
Comprends-tu maintenant ce que signifie vivre dans la Divine Volonté ? Par sa lumière, sa sainteté et sa puissance, la Divine Volonté place toutes les vertus dans l’âme comme si elles lui étaient naturelles. La Divine Volonté ne s’abaisserait pas à régner dans une âme rebelle. Elle veut que l’âme soit sainte et en ordre pour pouvoir y régner.
Le sacrifice d’aller au Temple était pour moi une conquête et, à travers cette conquête, la Divine Volonté a triomphé en moi. Ce triomphe m’apporta d’autres océans de grâces, de sainteté et de lumière, au point que je me sentais heureuse dans mes souffrances et en quête de nouveaux triomphes.
Maintenant, ma fille, pose ta main sur ton coeur et réponds à ta Maman : ressens-tu en toi une attirance vers les vertus ou sens-tu plutôt les épines de l’impatience, les mauvaises herbes de l’agitation ou la mauvaise terre des affections malsaines ? Écoute, laisse ta Maman faire les changements en toi en remettant ta volonté entre ses mains. Prend la décision de cesser de faire ta volonté et je te ferai posséder la Divine Volonté. Ta Maman bannira tout de toi et tu accompliras en une journée ce que tu n’as pas pu accomplir durant de nombreuses années. Ce sera le commencement d’une réelle vie de bonheur et de sainteté.
L’âme :
Sainte Maman, aide ta fille. Visite mon âme et, de tes mains maternelles, déracine en moi tout ce que tu y trouves de non conforme à la Volonté de Dieu. Brûle en moi les ronces et les mauvaises herbes, et appelle la Divine Volonté à venir régner dans mon âme.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu m’appelleras trois fois à venir visiter ton âme en me donnant la liberté d’y faire tout ce que je veux.
Oraison jaculatoire :
Reine souveraine, prends mon âme dans tes mains et transforme-la complètement en Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Treizième jour
La Reine du Ciel se prépare à quitter ses parents pour aller vivre au Temple.
Elle donne l’exemple du triomphe total dans le sacrifice.
L’âme à la Reine triomphante :
Céleste Maman, je me prosterne devant toi et te demande ton invincible force face à mes souffrances. Tu sais combien mon coeur en est accablé. Toi qui aimes tant être ma Maman, prends mon coeur dans tes mains et verses-y l’amour, la grâce et la force pour que je triomphe de mes souffrances et les convertisse en actes d’amour dans la Divine Volonté.
Leçon de la Reine triomphante :
Ma fille, prends courage et n’aie pas peur. Ta Maman est toute à toi. Aujourd’hui, je t’attends pour que mon héroïsme et mon triomphe dans le sacrifice infusent en toi force et courage et que tu puisses triompher de tes souffrances avec héroïsme et amour dans la Divine Volonté.
Ma fille, écoute-moi bien. Alors que je n’avais que trois ans, mes parents me firent savoir qu’ils voulaient me consacrer au Seigneur et m’envoyer vivre dans le Temple. Mon Coeur exulta de joie en apprenant que j’allais être consacrée et que j’allais passer ma vie dans la maison de Dieu. Ma joie était cependant accompagnée d’une grande peine : celle de devoir être privée de mes parents, les personnes qui m’étaient les plus chères sur la terre. J’étais petite, j’avais besoin de leurs soins paternels et maternels. De plus, j’allais être privée de la compagnie de deux grands saints. Je me rendais aussi compte qu’ils allaient être eux-mêmes privés de moi, leur enfant qui remplissait leur vie de tant de joie et de bonheur. Ils en ressentaient de la peine à en mourir. Malgré ces souffrances, ils étaient disposés à accomplir cet acte héroïque.
L’amour qu’ils me portaient était d’ordre divin. Ils me considéraient comme un cadeau de Dieu et cela leur donnait la force de faire ce si grand sacrifice. Ainsi, ma fille, si tu veux avoir la force invincible de souffrir les peines les plus douloureuses, considère toutes les choses qui te concernent comme étant d’ordre divin, comme étant des cadeaux précieux du Seigneur.
C’est avec courage que je me suis préparée à partir pour le Temple car, quand j’ai livré ma volonté à Dieu et qu’il prit possession de tout mon être, j’ai reçu toutes les vertus comme si elles m’appartenaient par nature. J’avais un contrôle complet sur moi-même. Toutes les vertus étaient en moi comme de nobles princesses et, selon les circonstances, elles remplissaient leur office sans aucune résistance. On m’aurait faussement appelée Reine si je n’avais pas d’abord été reine sur moi-même. J’avais sous ma domination une parfaite charité, une invincible patience, une douceur enchanteresse, une profonde humilité de même que toutes les autres vertus. La Divine Volonté avait fait de la petite terre de mon humanité un jardin magnifique toujours en fleurs et sans aucune des épines du vice.
Comprends-tu maintenant ce que signifie vivre dans la Divine Volonté ? Par sa lumière, sa sainteté et sa puissance, la Divine Volonté place toutes les vertus dans l’âme comme si elles lui étaient naturelles. La Divine Volonté ne s’abaisserait pas à régner dans une âme rebelle. Elle veut que l’âme soit sainte et en ordre pour pouvoir y régner.
Le sacrifice d’aller au Temple était pour moi une conquête et, à travers cette conquête, la Divine Volonté a triomphé en moi. Ce triomphe m’apporta d’autres océans de grâces, de sainteté et de lumière, au point que je me sentais heureuse dans mes souffrances et en quête de nouveaux triomphes.
Maintenant, ma fille, pose ta main sur ton coeur et réponds à ta Maman : ressens-tu en toi une attirance vers les vertus ou sens-tu plutôt les épines de l’impatience, les mauvaises herbes de l’agitation ou la mauvaise terre des affections malsaines ? Écoute, laisse ta Maman faire les changements en toi en remettant ta volonté entre ses mains. Prend la décision de cesser de faire ta volonté et je te ferai posséder la Divine Volonté. Ta Maman bannira tout de toi et tu accompliras en une journée ce que tu n’as pas pu accomplir durant de nombreuses années. Ce sera le commencement d’une réelle vie de bonheur et de sainteté.
L’âme :
Sainte Maman, aide ta fille. Visite mon âme et, de tes mains maternelles, déracine en moi tout ce que tu y trouves de non conforme à la Volonté de Dieu. Brûle en moi les ronces et les mauvaises herbes, et appelle la Divine Volonté à venir régner dans mon âme.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu m’appelleras trois fois à venir visiter ton âme en me donnant la liberté d’y faire tout ce que je veux.
Oraison jaculatoire :
Reine souveraine, prends mon âme dans tes mains et transforme-la complètement en Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
- Messages : 895
Date d'inscription : 24/04/2011
Age : 62
Localisation : Basse-Normandie
Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Quatorzième jour
La Reine du Ciel arrive au Temple, sa nouvelle demeure, et devient le modèle des âmes consacrées à Dieu.
L’âme à la Reine du Ciel :
Céleste Maman, moi, ta pauvre fille, je sens un besoin irrésistible d’être avec toi, de marcher dans tes pas et d’examiner tes actions afin d’en faire des modèles pour ma vie. J’ai besoin d’être guidée car, par moi-même, je ne sais rien faire. Mais, avec ma Maman qui m’aime tellement, je saurai tout faire et comment vivre dans la Divine Volonté.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, c’est mon ardent désir que tu me voies en action afin que tu deviennes amoureuse et imitatrice de ta Maman. Donne-moi la main : je me sentirai plus heureuse en sachant que nous sommes ensemble.
Écoute bien. Je quittai la maison de Nazareth accompagnée de mes saints parents. Au moment de partir, j’ai jeté un dernier regard sur notre petite maison en remerciant mon Créateur de m’y avoir fait naître et en souhaitant que cet endroit demeure dans la Divine Volonté. De cette façon, mon enfance et tous mes précieux souvenirs — car, ayant le plein usage de ma raison, je comprenais tout — pouvaient être conservés dans la Divine Volonté comme gages de mon amour envers Celui qui m’avait créée.
Ma fille, remercier Dieu et déposer dans ses mains tous nos actes comme preuves de notre amour pour lui ouvrent de nouveaux canaux de grâces et de communications entre Dieu et notre âme. C’est aussi le plus bel hommage que l’on puisse donner à Celui qui nous aime tant. Apprends de moi à remercier Dieu pour tout ce qu’il met à ta disposition et, quand tu t’apprêtes à faire quelque chose, que ta devise soit : Merci Seigneur, je remets tout entre tes mains.
Puisque j’avais tout déposé dans la Divine Volonté qui régnait en moi et ne m’avait jamais quitté — pas même un seul instant de toute ma vie —, je portais cette Divine Volonté comme en triomphe dans mon petit Coeur. Ô prodigieuse Divine Volonté ! Par sa puissance, elle agissait dans toutes mes actions, petites et grandes. C’était son triomphe et le mien. Ainsi, je n’ai jamais perdu la mémoire d’aucune de mes actions. Cela me donnait tellement de gloire et d’honneur que je me sentais Reine. Chacune de mes actions, toutes faites dans la Divine Volonté, était plus que le soleil et j’étais inondée de lumière, de félicité et de joie. La Divine Volonté me maintenait dans son Paradis.
Ma fille, vivre dans la Divine Volonté devrait être le désir de tous, voire leur passion, tant est grande la beauté et le bien que l’âme acquiert en elle. La volonté humaine est tout à l’opposé. Elle infecte la pauvre créature, l’oppresse, la maintient dans la nuit et obscurcit son chemin. L’âme hésite toujours à faire le bien et, souvent, elle oublie le peu qu’elle a fait.
J’ai quitté la maison paternelle avec courage et détachement parce que je ne regardais que la Divine Volonté sur laquelle mon Coeur était toujours fixé. Pour moi, cela suffisait pour tout. Pendant que je me rendais au Temple, je contemplais la création et, quelle merveille, je sentais les palpitations de la Divine Volonté dans le soleil, le vent, les étoiles, le ciel ; je la sentais palpiter même sous mes pas.
La Divine Volonté, cachée en mon intérieur, ordonnait à toute la création de s’agenouiller et de rendre honneur à sa Reine. Ainsi, toutes les choses s’inclinaient en me donnant des signes de leur obéissance à Dieu. Même les petites fleurs des champs ne manquaient pas de me rendre leurs hommages. Je rendais toutes les choses en fête quand, par nécessité, je sortais de la maison ; la création se mettait en devoir de me donner des signes d’honneur et je devais ordonner aux choses de demeurer à leur place et de garder l’ordre établi par le Créateur.
Ma fille, écoute bien ta Maman et dis-moi : sens-tu dans ton coeur la joie, la paix et le détachement pour toutes les choses et toutes les personnes, de même que le courage de faire tout ce que la Divine Volonté te demande, pour ainsi sentir en toi une fête continuelle ? Ma fille, la paix, le détachement et le courage forment dans l’âme l’espace dans lequel la Divine Volonté trouve place. Être imperturbable quelle que soit sa souffrance apporte un état de fête continuel dans la créature. Par conséquent, prends courage, ma fille. Dis-moi que tu désires vivre dans la Divine Volonté, et ta Maman s’occupera de tout.
Demain, je te dirai comment je me comportais dans le Temple.
L’âme :
Chère Maman, tes leçons me ravissent et pénètrent profondément dans mon coeur. Toi qui désires tellement que ta fille vive dans la Divine Volonté, par ta souveraineté, vide-moi de tout et infuse en moi le courage de donner la mort à ma volonté. Et moi, avec confiance, je dirai : « Je désire vivre dans la Divine Volonté. »
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me donneras toutes tes actions comme preuve de ton amour pour moi en me disant : « Ma Maman, je t’aime. » Et moi je déposerai tes actions dans la Divine Volonté.
Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, vide-moi de tout et cache-moi dans la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Quatorzième jour
La Reine du Ciel arrive au Temple, sa nouvelle demeure, et devient le modèle des âmes consacrées à Dieu.
L’âme à la Reine du Ciel :
Céleste Maman, moi, ta pauvre fille, je sens un besoin irrésistible d’être avec toi, de marcher dans tes pas et d’examiner tes actions afin d’en faire des modèles pour ma vie. J’ai besoin d’être guidée car, par moi-même, je ne sais rien faire. Mais, avec ma Maman qui m’aime tellement, je saurai tout faire et comment vivre dans la Divine Volonté.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, c’est mon ardent désir que tu me voies en action afin que tu deviennes amoureuse et imitatrice de ta Maman. Donne-moi la main : je me sentirai plus heureuse en sachant que nous sommes ensemble.
Écoute bien. Je quittai la maison de Nazareth accompagnée de mes saints parents. Au moment de partir, j’ai jeté un dernier regard sur notre petite maison en remerciant mon Créateur de m’y avoir fait naître et en souhaitant que cet endroit demeure dans la Divine Volonté. De cette façon, mon enfance et tous mes précieux souvenirs — car, ayant le plein usage de ma raison, je comprenais tout — pouvaient être conservés dans la Divine Volonté comme gages de mon amour envers Celui qui m’avait créée.
Ma fille, remercier Dieu et déposer dans ses mains tous nos actes comme preuves de notre amour pour lui ouvrent de nouveaux canaux de grâces et de communications entre Dieu et notre âme. C’est aussi le plus bel hommage que l’on puisse donner à Celui qui nous aime tant. Apprends de moi à remercier Dieu pour tout ce qu’il met à ta disposition et, quand tu t’apprêtes à faire quelque chose, que ta devise soit : Merci Seigneur, je remets tout entre tes mains.
Puisque j’avais tout déposé dans la Divine Volonté qui régnait en moi et ne m’avait jamais quitté — pas même un seul instant de toute ma vie —, je portais cette Divine Volonté comme en triomphe dans mon petit Coeur. Ô prodigieuse Divine Volonté ! Par sa puissance, elle agissait dans toutes mes actions, petites et grandes. C’était son triomphe et le mien. Ainsi, je n’ai jamais perdu la mémoire d’aucune de mes actions. Cela me donnait tellement de gloire et d’honneur que je me sentais Reine. Chacune de mes actions, toutes faites dans la Divine Volonté, était plus que le soleil et j’étais inondée de lumière, de félicité et de joie. La Divine Volonté me maintenait dans son Paradis.
Ma fille, vivre dans la Divine Volonté devrait être le désir de tous, voire leur passion, tant est grande la beauté et le bien que l’âme acquiert en elle. La volonté humaine est tout à l’opposé. Elle infecte la pauvre créature, l’oppresse, la maintient dans la nuit et obscurcit son chemin. L’âme hésite toujours à faire le bien et, souvent, elle oublie le peu qu’elle a fait.
J’ai quitté la maison paternelle avec courage et détachement parce que je ne regardais que la Divine Volonté sur laquelle mon Coeur était toujours fixé. Pour moi, cela suffisait pour tout. Pendant que je me rendais au Temple, je contemplais la création et, quelle merveille, je sentais les palpitations de la Divine Volonté dans le soleil, le vent, les étoiles, le ciel ; je la sentais palpiter même sous mes pas.
La Divine Volonté, cachée en mon intérieur, ordonnait à toute la création de s’agenouiller et de rendre honneur à sa Reine. Ainsi, toutes les choses s’inclinaient en me donnant des signes de leur obéissance à Dieu. Même les petites fleurs des champs ne manquaient pas de me rendre leurs hommages. Je rendais toutes les choses en fête quand, par nécessité, je sortais de la maison ; la création se mettait en devoir de me donner des signes d’honneur et je devais ordonner aux choses de demeurer à leur place et de garder l’ordre établi par le Créateur.
Ma fille, écoute bien ta Maman et dis-moi : sens-tu dans ton coeur la joie, la paix et le détachement pour toutes les choses et toutes les personnes, de même que le courage de faire tout ce que la Divine Volonté te demande, pour ainsi sentir en toi une fête continuelle ? Ma fille, la paix, le détachement et le courage forment dans l’âme l’espace dans lequel la Divine Volonté trouve place. Être imperturbable quelle que soit sa souffrance apporte un état de fête continuel dans la créature. Par conséquent, prends courage, ma fille. Dis-moi que tu désires vivre dans la Divine Volonté, et ta Maman s’occupera de tout.
Demain, je te dirai comment je me comportais dans le Temple.
L’âme :
Chère Maman, tes leçons me ravissent et pénètrent profondément dans mon coeur. Toi qui désires tellement que ta fille vive dans la Divine Volonté, par ta souveraineté, vide-moi de tout et infuse en moi le courage de donner la mort à ma volonté. Et moi, avec confiance, je dirai : « Je désire vivre dans la Divine Volonté. »
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me donneras toutes tes actions comme preuve de ton amour pour moi en me disant : « Ma Maman, je t’aime. » Et moi je déposerai tes actions dans la Divine Volonté.
Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, vide-moi de tout et cache-moi dans la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
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Date d'inscription : 24/04/2011
Age : 62
Localisation : Basse-Normandie
Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Quinzième jour
La vie de la Reine du Ciel dans le Temple.
L’âme à la Reine du Ciel :
Maman Reine, ton enfant veut être auprès de toi pour suivre tes pas dans le Temple. Oh ! comme j’aimerais que ma Maman prenne mon âme et l’enferme dans le Temple de la Divine Volonté en l’isolant de tout excepté de sa douce compagnie et de celle de Jésus.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, comme tes mots sont doux à mes oreilles quand tu me dis que tu désires être enfermée avec moi dans le Temple pour y vivre dans la Divine Volonté en ne désirant d’autre compagnie que celle de Jésus et la mienne ! Chère fille, tu fais monter dans mon Coeur de grandes joies maternelles. Si tu me laisses vraiment faire ce que tu me demandes, je suis certaine que tu seras très heureuse et que tu partageras ma joie. Avoir un enfant heureux est le plus grand bonheur et la plus grande gloire d’un coeur maternel.
Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je suis allée au Temple pour y vivre uniquement de la Divine Volonté. À notre arrivée, mes saints parents me confièrent aux supérieurs du Temple et me consacrèrent à Dieu. On m’avait vêtue d’habits de fête et on chantait des hymnes et des prophéties relatives à la venue du Messie. Oh ! comme mon Coeur exultait !
Ensuite, je fis courageusement mes adieux à mes chers et saints parents. J’embrassai leur main droite et les remerciai pour tous les soins qu’ils m’avaient prodigués depuis ma naissance et pour m’avoir consacrée à Dieu avec autant d’amour et de renoncement. Mon attitude pacifique, courageuse et sans larmes infusa en eux la force de me quitter.
La Divine Volonté qui régnait en moi étendait son Royaume sur tous mes actes. Ô puissance de la Divine Volonté, toi seule pouvait me donner la force héroïque de me séparer de ceux que j’aimais tant, moi qui étais si petite et constatais à quel point leurs coeurs étaient brisés par notre séparation.
Écoute bien, ma fille. Comme le voulait le Seigneur, je m’enfermai dans le Temple pour que, par mes actions accomplies dans la Divine Volonté, j’instaure son Royaume en ce lieu et que toutes les âmes consacrées au Seigneur qui s’y trouvaient puissent en profiter.
J’étais très attentive à tout ce qui se passait dans ce saint lieu. J’étais en paix avec tous et ne causais jamais de peine ou de tracasserie à personne. J’étais soumise aux services les plus humbles. Je ne trouvais aucune difficulté en quoi que ce soit. Tout sacrifice était pour moi un honneur, un triomphe.
Pour moi, tout était Volonté de Dieu. Ainsi, j’entendais le son mystérieux de la Divine Volonté dans le tintement de la clochette qui m’appelait. Alors mon Coeur exultait et j’allais aussitôt à l’endroit où j’étais appelée. Ma loi était la Divine Volonté si sainte et je voyais mes supérieurs comme ses administrateurs. Le tintement de la cloche, la loi, les supérieurs, mes actions, même les plus humbles, étaient pour moi joie et félicité émanant de la Divine Volonté.
La Divine Volonté rayonnait autour de moi. Son Royaume se formait à travers tous mes actes, même les plus petits. Je faisais comme l’océan qui dissimule tout ce qu’il possède et ne laisse voir que de l’eau : je dissimulais tout dans l’immense océan de la Divine Volonté. Tout m’apportait bonheur et joie.
Ah ! ma fille, toi et toutes les âmes étiez présentes dans mes actes. Je ne faisais rien sans y adjoindre tous mes enfants. C’était précisément pour mes enfants que je préparais le Royaume de la Divine Volonté sur la terre.
Ah ! si toutes les âmes consacrées à Dieu dans les endroits saints faisaient tout disparaître dans la Divine Volonté, comme elles seraient heureuses ! Elles convertiraient leurs communautés en familles célestes et peupleraient la terre de saintes âmes ! Mais, hélas ! je dois reconnaître combien de perturbations et de discordes s’y trouvent parce que ces âmes ne savent pas se conformer à la Divine Volonté. La Divine Volonté est la pacificatrice des âmes, la force et le soutien dans les sacrifices les plus difficiles.
L’âme :
Sainte Maman, comme tes leçons sont magnifiques. Avec quelle douceur elles descendent dans mon coeur ! Je te prie d’emplir mon âme de l’océan de la Divine Volonté et d’élever autour un mur pour que je ne voie et ne sache rien d’autre que la Divine Volonté. Ainsi, je connaîtrai ses secrets, ses joies et son bonheur.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me feras douze actes d’amour en l’honneur des douze années que j’ai vécues dans le Temple, et tu me prieras d’unir tes actes aux miens.
Oraison jaculatoire :
Maman Reine, enferme-moi dans le Temple sacré de la Volonté de Dieu.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Quinzième jour
La vie de la Reine du Ciel dans le Temple.
L’âme à la Reine du Ciel :
Maman Reine, ton enfant veut être auprès de toi pour suivre tes pas dans le Temple. Oh ! comme j’aimerais que ma Maman prenne mon âme et l’enferme dans le Temple de la Divine Volonté en l’isolant de tout excepté de sa douce compagnie et de celle de Jésus.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, comme tes mots sont doux à mes oreilles quand tu me dis que tu désires être enfermée avec moi dans le Temple pour y vivre dans la Divine Volonté en ne désirant d’autre compagnie que celle de Jésus et la mienne ! Chère fille, tu fais monter dans mon Coeur de grandes joies maternelles. Si tu me laisses vraiment faire ce que tu me demandes, je suis certaine que tu seras très heureuse et que tu partageras ma joie. Avoir un enfant heureux est le plus grand bonheur et la plus grande gloire d’un coeur maternel.
Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je suis allée au Temple pour y vivre uniquement de la Divine Volonté. À notre arrivée, mes saints parents me confièrent aux supérieurs du Temple et me consacrèrent à Dieu. On m’avait vêtue d’habits de fête et on chantait des hymnes et des prophéties relatives à la venue du Messie. Oh ! comme mon Coeur exultait !
Ensuite, je fis courageusement mes adieux à mes chers et saints parents. J’embrassai leur main droite et les remerciai pour tous les soins qu’ils m’avaient prodigués depuis ma naissance et pour m’avoir consacrée à Dieu avec autant d’amour et de renoncement. Mon attitude pacifique, courageuse et sans larmes infusa en eux la force de me quitter.
La Divine Volonté qui régnait en moi étendait son Royaume sur tous mes actes. Ô puissance de la Divine Volonté, toi seule pouvait me donner la force héroïque de me séparer de ceux que j’aimais tant, moi qui étais si petite et constatais à quel point leurs coeurs étaient brisés par notre séparation.
Écoute bien, ma fille. Comme le voulait le Seigneur, je m’enfermai dans le Temple pour que, par mes actions accomplies dans la Divine Volonté, j’instaure son Royaume en ce lieu et que toutes les âmes consacrées au Seigneur qui s’y trouvaient puissent en profiter.
J’étais très attentive à tout ce qui se passait dans ce saint lieu. J’étais en paix avec tous et ne causais jamais de peine ou de tracasserie à personne. J’étais soumise aux services les plus humbles. Je ne trouvais aucune difficulté en quoi que ce soit. Tout sacrifice était pour moi un honneur, un triomphe.
Pour moi, tout était Volonté de Dieu. Ainsi, j’entendais le son mystérieux de la Divine Volonté dans le tintement de la clochette qui m’appelait. Alors mon Coeur exultait et j’allais aussitôt à l’endroit où j’étais appelée. Ma loi était la Divine Volonté si sainte et je voyais mes supérieurs comme ses administrateurs. Le tintement de la cloche, la loi, les supérieurs, mes actions, même les plus humbles, étaient pour moi joie et félicité émanant de la Divine Volonté.
La Divine Volonté rayonnait autour de moi. Son Royaume se formait à travers tous mes actes, même les plus petits. Je faisais comme l’océan qui dissimule tout ce qu’il possède et ne laisse voir que de l’eau : je dissimulais tout dans l’immense océan de la Divine Volonté. Tout m’apportait bonheur et joie.
Ah ! ma fille, toi et toutes les âmes étiez présentes dans mes actes. Je ne faisais rien sans y adjoindre tous mes enfants. C’était précisément pour mes enfants que je préparais le Royaume de la Divine Volonté sur la terre.
Ah ! si toutes les âmes consacrées à Dieu dans les endroits saints faisaient tout disparaître dans la Divine Volonté, comme elles seraient heureuses ! Elles convertiraient leurs communautés en familles célestes et peupleraient la terre de saintes âmes ! Mais, hélas ! je dois reconnaître combien de perturbations et de discordes s’y trouvent parce que ces âmes ne savent pas se conformer à la Divine Volonté. La Divine Volonté est la pacificatrice des âmes, la force et le soutien dans les sacrifices les plus difficiles.
L’âme :
Sainte Maman, comme tes leçons sont magnifiques. Avec quelle douceur elles descendent dans mon coeur ! Je te prie d’emplir mon âme de l’océan de la Divine Volonté et d’élever autour un mur pour que je ne voie et ne sache rien d’autre que la Divine Volonté. Ainsi, je connaîtrai ses secrets, ses joies et son bonheur.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me feras douze actes d’amour en l’honneur des douze années que j’ai vécues dans le Temple, et tu me prieras d’unir tes actes aux miens.
Oraison jaculatoire :
Maman Reine, enferme-moi dans le Temple sacré de la Volonté de Dieu.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
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Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Seizième jour
Poursuivant sa vie dans le Temple, la Reine du Ciel prépare et hâte la venue du Verbe Divin sur la terre.
L’âme à sa céleste Maman :
Ma douce Maman, j’accours vers toi. Je sens que tu as dérobé mon coeur et l’as déposé dans le tien comme gage de mon amour pour toi. Tu veux déposer dans mon coeur la Divine Volonté. Je viens dans tes bras pour que tu puisses me donner tes leçons et faire de moi tout ce que tu voudras. Daigne me garder toujours avec toi.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma très chère fille, comme je désire que tu sois toujours avec moi ! J’aimerais être les battements de ton coeur, ta respiration, le travail de tes mains et les pas de tes pieds pour te faire sentir ce que la Divine Volonté a opéré en moi. J’aimerais verser sa vie en toi ! Oh ! comme cette vie est douce, aimable, enchanteresse et paisible ! Oh ! comme tu me rendrais heureuse si tu étais complètement soumise à la Divine Volonté, laquelle a été toute ma richesse, mon bonheur et ma gloire.
Ma fille, sois attentive et écoute ta Maman qui désire tant partager sa richesse avec toi. Bien que je poursuivais ma vie dans le Temple, le Ciel ne m’était pas fermé. Je pouvais m’y rendre aussi souvent que je le voulais. J’avais libre passage pour y aller et en revenir. Au Ciel se trouvait ma divine Famille et j’aimais ardemment être avec elle. Les trois Personnes divines me recevaient avec beaucoup d’amour pour converser avec moi et me rendre plus joyeuse, plus heureuse, plus magnifique et plus chère à leurs yeux.
Après tout, elles ne m’avaient pas créée pour me garder à distance. Absolument pas ! Elles voulaient me combler de joie en tant que leur fille. Elles voulaient entendre mes paroles qui, animées par la Divine Volonté, avaient le pouvoir de mettre la paix entre Dieu et les créatures. Elles aimaient être vaincues par leur fille et m’entendre leur répéter : « Faites descendre le Verbe sur la terre. »
Souvent, c’était elles-mêmes qui m’appelaient, auquel cas, bien sûr, je volais vers elles. N’ayant jamais fait ma volonté humaine, ma présence auprès d’elles leur donnait un retour d’amour et de gloire pour la grande oeuvre de la Création. Elles me racontaient l’histoire de l’espèce humaine. Je priais beaucoup pour que la paix vienne entre Dieu et les hommes.
Ma fille, tu dois savoir que c’est la volonté humaine qui ferme le Ciel aux créatures et que c’est pour cette raison qu’elles ne peuvent avoir accès aux régions célestes et avoir des rapports familiers avec leur Créateur. La volonté humaine a éloigné l’homme de celui qui l’a créé.
Quand l’homme se sépara de la Divine Volonté, il devint peureux, timide ; il perdit la maîtrise de lui-même et de toute la création. Tous les éléments, parce qu’ils étaient dominés par la Divine Volonté, lui étaient supérieurs et pouvaient lui faire du mal. L’homme devint craintif de tout.
Cela ne te paraît-il pas surprenant que l’homme, qui avait été créé roi, maître de tout, en vint au point d’avoir peur de celui qui l’avait créé ? Cela est étrange, ma fille. En effet, il est contre nature qu’un enfant ait peur de son père. Il est naturel que lorsqu’un être engendre, l’amour et la confiance entre le père et l’enfant soient engendrés en même temps. On pourrait appeler cela l’héritage premier dû à l’enfant et le droit premier dû au père. En faisant sa propre volonté, Adam perdit l’héritage prévu par son Père Céleste. Il perdit sa royauté et devint la risée de toutes les choses créées.
Ma fille, écoute ta Maman et médite bien sur la grande méchanceté de la volonté humaine. Elle arrache les yeux de l’âme et, ainsi, tout devient obscurité et frayeur pour la pauvre créature. Pose ta main sur ton coeur et promets à ta Maman que tu voudras plutôt mourir que de faire usage de ta volonté humaine.
N’ayant jamais fait ma volonté, je n’avais aucune crainte de mon Créateur. Comment aurais-je pu en avoir peur, lui qui m’aimait tant ? Sa Royauté était tellement grande en moi que, par mes actes, je hâtais la venue du Verbe Éternel sur la terre. En voyant que cette venue se rapprochait graduellement, j’augmentais mes supplications pour que ce jour tant attendu de la paix entre le Ciel et la terre vienne encore plus rapidement.
Demain, je te raconterai une autre surprise concernant ma vie ici-bas.
L’âme :
Ma souveraine Maman, comme tes leçons me sont douces ! Elles me font comprendre la grande méchanceté de ma volonté humaine. Combien de fois, moi aussi, je me suis sentie effrayée et timide, pour ne pas dire très éloignée de mon Créateur. Ah ! c’était ma volonté humaine qui régnait en moi, non la Divine Volonté ! Ô sainte Maman, toi qui m’aimes comme ta fille, prends mon coeur dans tes mains et chasse la peur et la timidité qui l’empêchent de prendre son envol vers son Créateur. Remplace tout en moi par la Divine Volonté que tu aimes tant.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu déposeras dans mes mains tout trouble, toute peur, toute méfiance que tu pourrais ressentir, pour que je les convertisse en Volonté de Dieu. Tu me diras à trois reprises : « Maman, fais régner la Divine Volonté en mon âme. »
Oraison jaculatoire :
Maman, toi en qui j’ai tant confiance, fais s’élever le jour de la Divine Volonté dans mon âme.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Seizième jour
Poursuivant sa vie dans le Temple, la Reine du Ciel prépare et hâte la venue du Verbe Divin sur la terre.
L’âme à sa céleste Maman :
Ma douce Maman, j’accours vers toi. Je sens que tu as dérobé mon coeur et l’as déposé dans le tien comme gage de mon amour pour toi. Tu veux déposer dans mon coeur la Divine Volonté. Je viens dans tes bras pour que tu puisses me donner tes leçons et faire de moi tout ce que tu voudras. Daigne me garder toujours avec toi.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma très chère fille, comme je désire que tu sois toujours avec moi ! J’aimerais être les battements de ton coeur, ta respiration, le travail de tes mains et les pas de tes pieds pour te faire sentir ce que la Divine Volonté a opéré en moi. J’aimerais verser sa vie en toi ! Oh ! comme cette vie est douce, aimable, enchanteresse et paisible ! Oh ! comme tu me rendrais heureuse si tu étais complètement soumise à la Divine Volonté, laquelle a été toute ma richesse, mon bonheur et ma gloire.
Ma fille, sois attentive et écoute ta Maman qui désire tant partager sa richesse avec toi. Bien que je poursuivais ma vie dans le Temple, le Ciel ne m’était pas fermé. Je pouvais m’y rendre aussi souvent que je le voulais. J’avais libre passage pour y aller et en revenir. Au Ciel se trouvait ma divine Famille et j’aimais ardemment être avec elle. Les trois Personnes divines me recevaient avec beaucoup d’amour pour converser avec moi et me rendre plus joyeuse, plus heureuse, plus magnifique et plus chère à leurs yeux.
Après tout, elles ne m’avaient pas créée pour me garder à distance. Absolument pas ! Elles voulaient me combler de joie en tant que leur fille. Elles voulaient entendre mes paroles qui, animées par la Divine Volonté, avaient le pouvoir de mettre la paix entre Dieu et les créatures. Elles aimaient être vaincues par leur fille et m’entendre leur répéter : « Faites descendre le Verbe sur la terre. »
Souvent, c’était elles-mêmes qui m’appelaient, auquel cas, bien sûr, je volais vers elles. N’ayant jamais fait ma volonté humaine, ma présence auprès d’elles leur donnait un retour d’amour et de gloire pour la grande oeuvre de la Création. Elles me racontaient l’histoire de l’espèce humaine. Je priais beaucoup pour que la paix vienne entre Dieu et les hommes.
Ma fille, tu dois savoir que c’est la volonté humaine qui ferme le Ciel aux créatures et que c’est pour cette raison qu’elles ne peuvent avoir accès aux régions célestes et avoir des rapports familiers avec leur Créateur. La volonté humaine a éloigné l’homme de celui qui l’a créé.
Quand l’homme se sépara de la Divine Volonté, il devint peureux, timide ; il perdit la maîtrise de lui-même et de toute la création. Tous les éléments, parce qu’ils étaient dominés par la Divine Volonté, lui étaient supérieurs et pouvaient lui faire du mal. L’homme devint craintif de tout.
Cela ne te paraît-il pas surprenant que l’homme, qui avait été créé roi, maître de tout, en vint au point d’avoir peur de celui qui l’avait créé ? Cela est étrange, ma fille. En effet, il est contre nature qu’un enfant ait peur de son père. Il est naturel que lorsqu’un être engendre, l’amour et la confiance entre le père et l’enfant soient engendrés en même temps. On pourrait appeler cela l’héritage premier dû à l’enfant et le droit premier dû au père. En faisant sa propre volonté, Adam perdit l’héritage prévu par son Père Céleste. Il perdit sa royauté et devint la risée de toutes les choses créées.
Ma fille, écoute ta Maman et médite bien sur la grande méchanceté de la volonté humaine. Elle arrache les yeux de l’âme et, ainsi, tout devient obscurité et frayeur pour la pauvre créature. Pose ta main sur ton coeur et promets à ta Maman que tu voudras plutôt mourir que de faire usage de ta volonté humaine.
N’ayant jamais fait ma volonté, je n’avais aucune crainte de mon Créateur. Comment aurais-je pu en avoir peur, lui qui m’aimait tant ? Sa Royauté était tellement grande en moi que, par mes actes, je hâtais la venue du Verbe Éternel sur la terre. En voyant que cette venue se rapprochait graduellement, j’augmentais mes supplications pour que ce jour tant attendu de la paix entre le Ciel et la terre vienne encore plus rapidement.
Demain, je te raconterai une autre surprise concernant ma vie ici-bas.
L’âme :
Ma souveraine Maman, comme tes leçons me sont douces ! Elles me font comprendre la grande méchanceté de ma volonté humaine. Combien de fois, moi aussi, je me suis sentie effrayée et timide, pour ne pas dire très éloignée de mon Créateur. Ah ! c’était ma volonté humaine qui régnait en moi, non la Divine Volonté ! Ô sainte Maman, toi qui m’aimes comme ta fille, prends mon coeur dans tes mains et chasse la peur et la timidité qui l’empêchent de prendre son envol vers son Créateur. Remplace tout en moi par la Divine Volonté que tu aimes tant.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu déposeras dans mes mains tout trouble, toute peur, toute méfiance que tu pourrais ressentir, pour que je les convertisse en Volonté de Dieu. Tu me diras à trois reprises : « Maman, fais régner la Divine Volonté en mon âme. »
Oraison jaculatoire :
Maman, toi en qui j’ai tant confiance, fais s’élever le jour de la Divine Volonté dans mon âme.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
- Messages : 895
Date d'inscription : 24/04/2011
Age : 62
Localisation : Basse-Normandie
Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-septième jour
La Reine du Ciel quitte le Temple. Elle épouse saint Joseph.
Un exemple pour tous ceux qui sont appelés à l’état conjugal.
L’âme à sa céleste Maman :
Sainte Maman, aujourd’hui plus que jamais, je veux me réfugier dans tes bras maternels afin que la Divine Volonté qui règne en toi exerce un doux enchantement sur ma volonté et qu’ainsi je n’ose rien faire qui ne soit pas selon la Volonté de Dieu. Ta leçon d’hier m’a fait comprendre dans quelle prison la volonté humaine jette la pauvre créature. J’ai peur que ma volonté revienne en moi. Pour cette raison, je me confie totalement à ma Maman afin qu’elle me surveille. Ainsi, je serai certaine de toujours vivre dans la Divine Volonté.
Leçon de la Reine du Ciel :
Courage, ma fille ; aie confiance en ta Maman et prends la ferme décision de ne jamais donner vie à ta volonté. Oh ! comme j’aimerais entendre de ta bouche ces paroles : « Maman, ma volonté est morte et la Divine Volonté domine totalement en moi. » Ta Maman est prête à utiliser toutes ses astuces de maman afin que sa fille en vienne à vivre dans le même Royaume qu’elle.
Ce sera pour toi une mort douce qui te donnera la vraie vie et, pour moi, la victoire la plus belle dans le Royaume de la Divine Volonté. Prends courage et aie confiance en moi. La méfiance appartient aux lâches et à ceux qui ne sont pas réellement déterminés à obtenir la victoire ; ces gens sont toujours sans arme. Sans arme, on ne peut être victorieux, on est toujours hésitant dans le bien.
Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je poursuivais ma vie dans le Temple tout en faisant mes petites visites là-haut dans ma céleste patrie. J’exerçais mes droits de fille de visiter ma divine Famille. Quelle ne fut pas ma surprise quand, lors d’une de mes visites, les divines Personnes me firent savoir que c’était leur Volonté que je quitte le Temple et m’unisse par les liens du mariage à un saint homme nommé Joseph — me conformant ainsi aux usages de ce temps-là — pour aller vivre avec lui dans une maison de Nazareth.
Par cette demande, il me sembla que Dieu voulait me mettre à l’épreuve. Je n’avais jamais humainement aimé personne sur la terre et, comme la Divine Volonté remplissait tout mon être, ma volonté humaine n’avait jamais accompli aucun acte humain. Par conséquent, il manquait en moi le germe de l’amour humain. Comment arriverais-je à aimer un homme à la manière humaine, même un homme très saint ?
Il est vrai que j’aimais tout le monde et que mon amour envers tous était maternel. Le nom de chacun était inscrit dans mon coeur de mère avec des lettres de feu ineffaçables. Mais tout cela était dans l’ordre divin. L’amour humain, comparé au divin, est comme une ombre, un atome d’amour.
Cependant, chère fille, ce qui aurait pu me paraître en contradiction avec la sainteté de ma vie, Dieu l’utilisa admirablement dans la poursuite de ses desseins en accordant à l’humanité la grâce que je désirais si ardemment pour elle : celle de la venue du Verbe Divin sur la terre. De plus, Dieu me garantissait ainsi la protection pour que personne ne puisse douter de mon intégrité. Saint Joseph allait être le coopérateur fournissant le minimum d’humain indispensable, l’écho de la paternité divine dans la formation de notre petite famille terrestre.
En conséquence, malgré ma surprise, j’ai dit fiat immédiatement, sachant que la Divine Volonté ne me ferait jamais de mal et ne mettrait jamais ma sainteté en danger. Si j’avais voulu faire un acte de ma volonté humaine, même pour la raison de ne pas vouloir connaître un homme, j’aurais contrecarré les plans divins concernant la venue du Verbe sur la terre.
Ce n’est pas l’état de vie auquel Dieu nous appelle qui peut causer préjudice à la sainteté, mais l’exercice de notre volonté personnelle en opposition avec celle de Dieu. Tous les états de vie sont saints, y compris celui du mariage, du moment que la Divine Volonté y règne et que l’on sache faire les sacrifices qui y sont inhérents. La majorité des gens sont paresseux. En conséquence, ils ne deviennent pas saints et, de leur état de vie, ils font un purgatoire, voire un enfer.
Je n’ai dit à personne que j’allais devoir quitter le Temple. J’attendais que Dieu lui-même organise les choses pour que s’accomplisse son adorable Volonté. C’est d’ailleurs ce qui s’est produit : les supérieurs du Temple m’appelèrent et me dirent que, conformément à l’usage, je devais me préparer pour le mariage. J’ai accepté. Miraculeusement, parmi plusieurs hommes, le choix tomba sur saint Joseph. Nous nous sommes donc mariés et j’ai quitté le Temple.
Je te prie, fille bien-aimée, de te conformer en toute chose à la Divine Volonté, si tu veux que les divins desseins s’accomplissent pour toi.
L’âme :
Céleste Maman, ta fille se confie totalement à toi. Par ma confiance, je veux blesser ton Coeur maternel en espérant que cette blessure dise sans cesse : Fiat, fiat, fiat !
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras sur mes genoux et réciteras quinze Gloire au Père pour remercier le Seigneur pour toutes les grâces qu’il m’a accordées pendant les quinze premières années de ma vie et, en particulier, pour m’avoir donné la compagnie d’un homme si saint, saint Joseph.
Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, donne-moi les armes pour que je gagne la bataille dans ma conquête de la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-septième jour
La Reine du Ciel quitte le Temple. Elle épouse saint Joseph.
Un exemple pour tous ceux qui sont appelés à l’état conjugal.
L’âme à sa céleste Maman :
Sainte Maman, aujourd’hui plus que jamais, je veux me réfugier dans tes bras maternels afin que la Divine Volonté qui règne en toi exerce un doux enchantement sur ma volonté et qu’ainsi je n’ose rien faire qui ne soit pas selon la Volonté de Dieu. Ta leçon d’hier m’a fait comprendre dans quelle prison la volonté humaine jette la pauvre créature. J’ai peur que ma volonté revienne en moi. Pour cette raison, je me confie totalement à ma Maman afin qu’elle me surveille. Ainsi, je serai certaine de toujours vivre dans la Divine Volonté.
Leçon de la Reine du Ciel :
Courage, ma fille ; aie confiance en ta Maman et prends la ferme décision de ne jamais donner vie à ta volonté. Oh ! comme j’aimerais entendre de ta bouche ces paroles : « Maman, ma volonté est morte et la Divine Volonté domine totalement en moi. » Ta Maman est prête à utiliser toutes ses astuces de maman afin que sa fille en vienne à vivre dans le même Royaume qu’elle.
Ce sera pour toi une mort douce qui te donnera la vraie vie et, pour moi, la victoire la plus belle dans le Royaume de la Divine Volonté. Prends courage et aie confiance en moi. La méfiance appartient aux lâches et à ceux qui ne sont pas réellement déterminés à obtenir la victoire ; ces gens sont toujours sans arme. Sans arme, on ne peut être victorieux, on est toujours hésitant dans le bien.
Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je poursuivais ma vie dans le Temple tout en faisant mes petites visites là-haut dans ma céleste patrie. J’exerçais mes droits de fille de visiter ma divine Famille. Quelle ne fut pas ma surprise quand, lors d’une de mes visites, les divines Personnes me firent savoir que c’était leur Volonté que je quitte le Temple et m’unisse par les liens du mariage à un saint homme nommé Joseph — me conformant ainsi aux usages de ce temps-là — pour aller vivre avec lui dans une maison de Nazareth.
Par cette demande, il me sembla que Dieu voulait me mettre à l’épreuve. Je n’avais jamais humainement aimé personne sur la terre et, comme la Divine Volonté remplissait tout mon être, ma volonté humaine n’avait jamais accompli aucun acte humain. Par conséquent, il manquait en moi le germe de l’amour humain. Comment arriverais-je à aimer un homme à la manière humaine, même un homme très saint ?
Il est vrai que j’aimais tout le monde et que mon amour envers tous était maternel. Le nom de chacun était inscrit dans mon coeur de mère avec des lettres de feu ineffaçables. Mais tout cela était dans l’ordre divin. L’amour humain, comparé au divin, est comme une ombre, un atome d’amour.
Cependant, chère fille, ce qui aurait pu me paraître en contradiction avec la sainteté de ma vie, Dieu l’utilisa admirablement dans la poursuite de ses desseins en accordant à l’humanité la grâce que je désirais si ardemment pour elle : celle de la venue du Verbe Divin sur la terre. De plus, Dieu me garantissait ainsi la protection pour que personne ne puisse douter de mon intégrité. Saint Joseph allait être le coopérateur fournissant le minimum d’humain indispensable, l’écho de la paternité divine dans la formation de notre petite famille terrestre.
En conséquence, malgré ma surprise, j’ai dit fiat immédiatement, sachant que la Divine Volonté ne me ferait jamais de mal et ne mettrait jamais ma sainteté en danger. Si j’avais voulu faire un acte de ma volonté humaine, même pour la raison de ne pas vouloir connaître un homme, j’aurais contrecarré les plans divins concernant la venue du Verbe sur la terre.
Ce n’est pas l’état de vie auquel Dieu nous appelle qui peut causer préjudice à la sainteté, mais l’exercice de notre volonté personnelle en opposition avec celle de Dieu. Tous les états de vie sont saints, y compris celui du mariage, du moment que la Divine Volonté y règne et que l’on sache faire les sacrifices qui y sont inhérents. La majorité des gens sont paresseux. En conséquence, ils ne deviennent pas saints et, de leur état de vie, ils font un purgatoire, voire un enfer.
Je n’ai dit à personne que j’allais devoir quitter le Temple. J’attendais que Dieu lui-même organise les choses pour que s’accomplisse son adorable Volonté. C’est d’ailleurs ce qui s’est produit : les supérieurs du Temple m’appelèrent et me dirent que, conformément à l’usage, je devais me préparer pour le mariage. J’ai accepté. Miraculeusement, parmi plusieurs hommes, le choix tomba sur saint Joseph. Nous nous sommes donc mariés et j’ai quitté le Temple.
Je te prie, fille bien-aimée, de te conformer en toute chose à la Divine Volonté, si tu veux que les divins desseins s’accomplissent pour toi.
L’âme :
Céleste Maman, ta fille se confie totalement à toi. Par ma confiance, je veux blesser ton Coeur maternel en espérant que cette blessure dise sans cesse : Fiat, fiat, fiat !
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras sur mes genoux et réciteras quinze Gloire au Père pour remercier le Seigneur pour toutes les grâces qu’il m’a accordées pendant les quinze premières années de ma vie et, en particulier, pour m’avoir donné la compagnie d’un homme si saint, saint Joseph.
Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, donne-moi les armes pour que je gagne la bataille dans ma conquête de la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
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Date d'inscription : 24/04/2011
Age : 62
Localisation : Basse-Normandie
Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-huitième jour
La Reine du Ciel dans la maison de Nazareth.
Le Ciel et la terre sont sur le point de se donner le baiser de paix.
L’âme à sa Reine Maman :
Ma souveraine Maman, me revoici pour poursuivre ma route avec toi. Ton amour m’enchaîne et me rend tout attentive à écouter tes merveilleuses leçons. Mais cela ne me suffit pas. Si vraiment tu m’aimes comme ta fille, enferme-moi dans le Royaume de la Divine Volonté où tu as vécu et vis toujours, et fermes-en les frontières de telle façon que, même si je le veux, je ne puisse plus en ressortir. Alors, comme une mère avec sa fille, nous vivrons ensemble et serons heureuses.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma très chère fille, si tu savais à quel point je désire te garder enfermée dans le Royaume de la Divine Volonté ! Chacune des leçons que je te donne est une clôture que je dresse pour t’empêcher de sortir. Elles forment une forteresse qui emmure ta volonté pour qu’elle comprenne et aime la douce domination de la Divine Volonté. Sois donc attentive en m’écoutant, car mes leçons sont des oeuvres que ta Maman fait pour séduire et captiver ta volonté et pour rendre la Divine Volonté victorieuse en toi.
Ma chère fille, écoute-moi bien. J’ai quitté le Temple avec le même courage que lorsque j’y suis venue, uniquement pour accomplir la Divine Volonté. Je me suis rendue à Nazareth, mais je n’y ai pas trouvé mes chers et saints parents. Durant le voyage, j’étais accompagnée uniquement de saint Joseph, que je voyais comme un ange gardien donné par Dieu, bien que j’avais aussi une cohorte d’anges qui m’accompagnaient. Toutes les choses créées s’inclinaient à mon passage et moi, en tant que Reine, je les baisais et les saluais en guise de remerciement. C’est ainsi que nous arrivâmes à Nazareth.
Je dois te dire que saint Joseph et moi, nous nous regardions avec réserve et modestie ; nous avions le coeur gros parce que chacun voulait faire savoir à l’autre que nous avions fait à Dieu le voeu de virginité perpétuelle. Finalement, le silence fut rompu et chacun de nous déclara ce fait. Oh ! comme nous nous sommes sentis heureux ! En rendant grâce au Seigneur, nous nous sommes promis mutuellement de vivre comme frère et soeur. J’étais très attentionnée en le servant. Nous nous regardions l’un l’autre avec vénération, et une grande paix régnait entre nous. Oh ! si tous voulaient se refléter en moi, en m’imitant ! Je m’adaptai très bien à une vie ordinaire. Je ne laissais rien paraître extérieurement de ces grands océans de grâces que je possédais.
Maintenant, écoute-moi bien, ma fille. Dans la maison de Nazareth, je me sentais plus que jamais enflammée et je priais pour la descente du Verbe Divin sur la terre. La Divine Volonté qui régnait en moi ne faisait rien d’autre que de revêtir mes actes de lumière, de beauté, de sainteté et de puissance. Je sentais qu’elle formait en moi un royaume de lumière, mais d’une lumière toujours montante, un royaume de beauté, de sainteté et de puissance qui grandissait toujours. Ainsi, toutes les divines qualités que la Divine Volonté avait mises en moi par son règne m’apportaient la fécondité.
La lumière qui m’envahissait était tellement immense et mon humanité tellement embellie par le soleil de la Divine Volonté qu’elle ne faisait rien d’autre que de produire des fleurs célestes. Je sentais le Ciel s’incliner vers moi et la terre de mon humanité s’élever. Le Ciel et la terre s’étreignaient et se réconciliaient en se donnant un baiser de paix et d’amour. La terre se disposait à produire la semence pour former le Juste, le Saint ; et le Ciel s’ouvrait pour que le Verbe descende dans cette semence.
Je ne faisais rien d’autre que de descendre et remonter vers ma céleste Patrie et me jeter dans les bras paternels de mon Papa céleste en lui disant avec mon Coeur : « Père Saint, je ne peux plus résister ! Je me sens enflammée et, pendant que je brûle, je sens en moi une grande force qui désire gagner sur toi. Avec les chaînes de mon amour, je désire te lier, afin de pouvoir te désarmer, pour que tu n’attendes plus. Sur les ailes de mon amour, je désire transporter le Verbe Divin du Ciel vers la terre. » Je priais et pleurais pour qu’il m’entende.
La Divinité, vaincue par mes larmes et mes prières, me rassura en me disant : « Fille, qui peut te résister ? Tu as gagné. L’heure divine est proche. Retourne sur la terre et continue d’agir dans la puissance de la Divine Volonté et, par tes actes faits en elle, tout sera secoué et le Ciel et la terre échangeront le baiser de paix. » Mais, malgré tout cela, je ne savais pas encore que j’allais être la Mère du Verbe Éternel.
Chère enfant, écoute-moi et comprends bien ce que signifie vivre dans la Divine Volonté. En vivant en elle, je formai le Ciel et son divin Royaume dans mon âme. Si je n’avais pas formé ce Royaume en moi, le Verbe n’aurait jamais pu descendre du Ciel sur la terre. S’il descendit, c’est parce qu’il y avait en moi son propre Royaume formé par la Divine Volonté. Il trouva en moi son Ciel et ses joies divines. Le Verbe ne serait jamais descendu dans un royaume étranger. Oh ! non, non ! Il voulut d’abord former son Royaume en moi et, ensuite, y descendre en vainqueur.
En vivant toujours dans la Divine Volonté, j’ai acquis par grâce ce qui est en Dieu par nature : la divine fécondité, laquelle m’a rendue apte à former la semence sans intervention humaine pour que germe en moi l’Humanité du Verbe Éternel. Qu’est-ce que la Divine Volonté ne peut faire quand elle opère dans une créature ? Elle peut tout faire et produire tous les biens possibles et imaginables. Aie donc à coeur que tout soit Divine Volonté en toi, si tu veux imiter ta Maman et la rendre heureuse.
L’âme :
Sainte Maman, si tu veux, tu peux. Comme tu as eu la puissance pour vaincre Dieu au point de le faire descendre du Ciel sur la terre, tu ne manqueras pas non plus de puissance pour vaincre ma volonté afin qu’elle n’ait plus de vie. J’espère en toi et, de toi, je recevrai tout.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me feras une petite visite à la maison de Nazareth. Tu me donneras tous tes actes en hommage pour que je puisse les unir aux miens, afin de les convertir en Divine Volonté.
Oraison jaculatoire :
Céleste Impératrice, donne le baiser de la Volonté de Dieu à mon coeur.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-huitième jour
La Reine du Ciel dans la maison de Nazareth.
Le Ciel et la terre sont sur le point de se donner le baiser de paix.
L’âme à sa Reine Maman :
Ma souveraine Maman, me revoici pour poursuivre ma route avec toi. Ton amour m’enchaîne et me rend tout attentive à écouter tes merveilleuses leçons. Mais cela ne me suffit pas. Si vraiment tu m’aimes comme ta fille, enferme-moi dans le Royaume de la Divine Volonté où tu as vécu et vis toujours, et fermes-en les frontières de telle façon que, même si je le veux, je ne puisse plus en ressortir. Alors, comme une mère avec sa fille, nous vivrons ensemble et serons heureuses.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma très chère fille, si tu savais à quel point je désire te garder enfermée dans le Royaume de la Divine Volonté ! Chacune des leçons que je te donne est une clôture que je dresse pour t’empêcher de sortir. Elles forment une forteresse qui emmure ta volonté pour qu’elle comprenne et aime la douce domination de la Divine Volonté. Sois donc attentive en m’écoutant, car mes leçons sont des oeuvres que ta Maman fait pour séduire et captiver ta volonté et pour rendre la Divine Volonté victorieuse en toi.
Ma chère fille, écoute-moi bien. J’ai quitté le Temple avec le même courage que lorsque j’y suis venue, uniquement pour accomplir la Divine Volonté. Je me suis rendue à Nazareth, mais je n’y ai pas trouvé mes chers et saints parents. Durant le voyage, j’étais accompagnée uniquement de saint Joseph, que je voyais comme un ange gardien donné par Dieu, bien que j’avais aussi une cohorte d’anges qui m’accompagnaient. Toutes les choses créées s’inclinaient à mon passage et moi, en tant que Reine, je les baisais et les saluais en guise de remerciement. C’est ainsi que nous arrivâmes à Nazareth.
Je dois te dire que saint Joseph et moi, nous nous regardions avec réserve et modestie ; nous avions le coeur gros parce que chacun voulait faire savoir à l’autre que nous avions fait à Dieu le voeu de virginité perpétuelle. Finalement, le silence fut rompu et chacun de nous déclara ce fait. Oh ! comme nous nous sommes sentis heureux ! En rendant grâce au Seigneur, nous nous sommes promis mutuellement de vivre comme frère et soeur. J’étais très attentionnée en le servant. Nous nous regardions l’un l’autre avec vénération, et une grande paix régnait entre nous. Oh ! si tous voulaient se refléter en moi, en m’imitant ! Je m’adaptai très bien à une vie ordinaire. Je ne laissais rien paraître extérieurement de ces grands océans de grâces que je possédais.
Maintenant, écoute-moi bien, ma fille. Dans la maison de Nazareth, je me sentais plus que jamais enflammée et je priais pour la descente du Verbe Divin sur la terre. La Divine Volonté qui régnait en moi ne faisait rien d’autre que de revêtir mes actes de lumière, de beauté, de sainteté et de puissance. Je sentais qu’elle formait en moi un royaume de lumière, mais d’une lumière toujours montante, un royaume de beauté, de sainteté et de puissance qui grandissait toujours. Ainsi, toutes les divines qualités que la Divine Volonté avait mises en moi par son règne m’apportaient la fécondité.
La lumière qui m’envahissait était tellement immense et mon humanité tellement embellie par le soleil de la Divine Volonté qu’elle ne faisait rien d’autre que de produire des fleurs célestes. Je sentais le Ciel s’incliner vers moi et la terre de mon humanité s’élever. Le Ciel et la terre s’étreignaient et se réconciliaient en se donnant un baiser de paix et d’amour. La terre se disposait à produire la semence pour former le Juste, le Saint ; et le Ciel s’ouvrait pour que le Verbe descende dans cette semence.
Je ne faisais rien d’autre que de descendre et remonter vers ma céleste Patrie et me jeter dans les bras paternels de mon Papa céleste en lui disant avec mon Coeur : « Père Saint, je ne peux plus résister ! Je me sens enflammée et, pendant que je brûle, je sens en moi une grande force qui désire gagner sur toi. Avec les chaînes de mon amour, je désire te lier, afin de pouvoir te désarmer, pour que tu n’attendes plus. Sur les ailes de mon amour, je désire transporter le Verbe Divin du Ciel vers la terre. » Je priais et pleurais pour qu’il m’entende.
La Divinité, vaincue par mes larmes et mes prières, me rassura en me disant : « Fille, qui peut te résister ? Tu as gagné. L’heure divine est proche. Retourne sur la terre et continue d’agir dans la puissance de la Divine Volonté et, par tes actes faits en elle, tout sera secoué et le Ciel et la terre échangeront le baiser de paix. » Mais, malgré tout cela, je ne savais pas encore que j’allais être la Mère du Verbe Éternel.
Chère enfant, écoute-moi et comprends bien ce que signifie vivre dans la Divine Volonté. En vivant en elle, je formai le Ciel et son divin Royaume dans mon âme. Si je n’avais pas formé ce Royaume en moi, le Verbe n’aurait jamais pu descendre du Ciel sur la terre. S’il descendit, c’est parce qu’il y avait en moi son propre Royaume formé par la Divine Volonté. Il trouva en moi son Ciel et ses joies divines. Le Verbe ne serait jamais descendu dans un royaume étranger. Oh ! non, non ! Il voulut d’abord former son Royaume en moi et, ensuite, y descendre en vainqueur.
En vivant toujours dans la Divine Volonté, j’ai acquis par grâce ce qui est en Dieu par nature : la divine fécondité, laquelle m’a rendue apte à former la semence sans intervention humaine pour que germe en moi l’Humanité du Verbe Éternel. Qu’est-ce que la Divine Volonté ne peut faire quand elle opère dans une créature ? Elle peut tout faire et produire tous les biens possibles et imaginables. Aie donc à coeur que tout soit Divine Volonté en toi, si tu veux imiter ta Maman et la rendre heureuse.
L’âme :
Sainte Maman, si tu veux, tu peux. Comme tu as eu la puissance pour vaincre Dieu au point de le faire descendre du Ciel sur la terre, tu ne manqueras pas non plus de puissance pour vaincre ma volonté afin qu’elle n’ait plus de vie. J’espère en toi et, de toi, je recevrai tout.
Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me feras une petite visite à la maison de Nazareth. Tu me donneras tous tes actes en hommage pour que je puisse les unir aux miens, afin de les convertir en Divine Volonté.
Oraison jaculatoire :
Céleste Impératrice, donne le baiser de la Volonté de Dieu à mon coeur.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
- Messages : 895
Date d'inscription : 24/04/2011
Age : 62
Localisation : Basse-Normandie
Re: Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté
Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-neuvième jour
Les portes du Ciel s’ouvrent. Le Soleil du Verbe Éternel envoie son ange
pour informer la Vierge que l’heure de Dieu est arrivée.
L’âme à sa céleste Maman :
Sainte Maman, me voici de nouveau sur tes genoux. Je suis ton enfant qui désire être nourrie de tes douces paroles ; elles seront pour moi un baume pour guérir les blessures causées par ma misérable volonté humaine. Ô ma Mère, parle-moi. Que tes paroles pénétrantes descendent dans mon coeur et y forment une nouvelle création, afin que germe en mon âme la semence de la Divine Volonté.
Leçon de la Reine Souveraine :
Ma très chère fille, c’est justement pour cela que j’aime tant te parler des célestes secrets de la Divine Volonté. Je veux que tu connaisses tous les prodiges qu’elle peut accomplir là où elle règne totalement ainsi que les grands dommages que subissent ceux qui se laissent dominer par leur volonté humaine. Cela avec l’espoir que tu aimeras assez cette Divine Volonté pour la laisser trôner totalement en toi, tout en abhorrant ta volonté humaine au point d’en faire le marchepied de la Divine Volonté.
Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je poursuivais ma vie à Nazareth et la Divine Volonté continuait d’accroître son Royaume en moi. Elle utilisait mes actions les plus petites, même les plus banales, comme tenir la maison en ordre, allumer le feu, balayer : en somme, tous les travaux habituels dans une vie familiale. Cela me permettait de sentir palpiter la Divine Volonté dans le feu, l’eau, les aliments, l’air que je respirais, bref, en toute chose.
Avec toutes mes petites actions, la Divine Volonté formait des mers de lumière, de grâces, de sainteté car, partout où elle règne, la Divine Volonté fait des choses les plus petites des cieux nouveaux d’une beauté enchanteresse. Étant immense, elle ne sait pas faire de petites choses et, par sa puissance, elle donne de la valeur aux choses les plus simples en faisant d’elles des choses grandioses au point d’éblouir le Ciel et la terre. Tout devient saint, tout devient sacré pour qui vit dans la Divine Volonté.
Fille de mon coeur, écoute-moi bien. Plusieurs jours avant que le Verbe descende sur la terre, j’ai pu voir le Ciel s’entrouvrir et le Soleil du Verbe Divin se tenir à son entrée, comme à la recherche de la personne vers laquelle il allait prendre son envol pour en devenir le céleste Prisonnier. Oh ! comme il était beau de le voir aux portes du Ciel comme un veilleur, une sentinelle, à la recherche de l’heureuse créature qui allait accorder son hospitalité à son Créateur !
Les divines Personnes ne regardaient plus la terre comme un endroit inhospitalier parce qu’il s’y trouvait la petite Marie possédant la Divine Volonté. Elle constituait un Royaume divin où le Verbe pourra descendre en toute sécurité, comme dans sa propre demeure, et où il trouvera un Ciel décoré d’une multitude de soleils provenant de la multitude des actes accomplis dans mon âme par la Divine Volonté.
Débordante d’amour, la Divinité enleva le manteau de sa justice qu’elle portait à l’égard de ses créatures depuis tant de siècles et le remplaça par un manteau d’infinie miséricorde. De plus, elle décréta la descente du Verbe sur la terre, l’heure de ce grand événement étant venue. À cette nouvelle, le Ciel et la terre furent sidérés et se mirent à l’attention pour être les spectateurs de cet excès d’amour si grandiose, de ce prodige si extraordinaire !
Quant à moi, je me sentis brûlante d’amour et, me faisant l’écho de l’amour de mon Créateur, je voulus former un immense océan d’amour dans lequel le Verbe pourrait descendre sur la terre. Mes prières étaient incessantes et, pendant que je priais dans ma petite chambre, un ange me fut envoyé du Ciel comme un messager du grand Roi. Il se plaça devant moi et, se prosternant, il me salua en disant : « Salut, ô Marie, notre Reine. La Divine Volonté t’a comblée de grâces. Elle a prononcé son Fiat pour que descende sur la terre le Verbe Divin. Il est prêt, il est derrière moi, mais il désire ton fiat pour que s’accomplisse en toi son Fiat. »
Devant cette annonce si sublime et tellement désirée par moi, bien que je n’avais jamais pensé être l’élue, je fus stupéfiée et j’hésitai un moment. Mais l’ange du Seigneur me dit : « Notre Reine, n’aie pas peur, tu as trouvé grâce devant Dieu, tu as conquis ton Créateur ; aussi, pour que la victoire soit complète, prononce ton fiat. »
Je prononçai mon fiat et, ô merveille, les deux fiats fusionnèrent, ce qui eut comme conséquence la descente du Verbe Divin en moi. Mon fiat, auquel Dieu accorda la même valeur qu’au sien, donna vie à la toute petite Humanité du Verbe Divin, à partir de la semence que constituait mon humanité. Ainsi, le grand prodige de l’Incarnation fut accompli.
Ô puissance de la Divine Volonté, tu m’élevas si haut et me rendis si puissante, que tu as pu déposer en mon intérieur cette petite Humanité qui devait enfermer le Verbe Éternel que ni le Ciel ni la terre ne pouvaient contenir ! Les cieux furent secoués et toute la création prit une attitude de fête. Exultant de joie, ils se rassemblèrent autour de la petite maison de Nazareth pour rendre leurs hommages et leurs respects au Créateur devenu homme. Dans leur langage muet, ils disaient : « Ô prodige des prodiges que seul un Dieu pouvait accomplir ! L’Immensité est devenue petite, la Puissance s’est faite faiblesse, la Grandeur inaccessible s’est abaissée à s’enfermer dans le sein d’une vierge ! Elle est à la fois petite et immense, puissante et impuissante, forte et faible ! »
Ma chère fille, tu ne peux comprendre ce que ta Maman ressentit pendant l’acte de l’Incarnation du Verbe. Tout faisait pression sur moi pour que je prononce mon fiat, que je pourrais qualifier de “tout-puissant”.
Ma chère fille, écoute-moi bien. Combien tu devrais avoir à coeur de toujours accomplir la Divine Volonté et de vivre en elle ! Ma puissance est toujours là : laisse-moi prononcer ton fiat dans ton âme. Mais, pour que je puisse le faire, il me faut le tien. Le bien véritable ne peut s’accomplir par une seule personne ; les travaux les plus grands se font toujours à deux. Dieu lui-même ne voulut pas accomplir le grand prodige de l’Incarnation seul ; il m’a voulue avec lui dans cette entreprise. Par son action et la mienne, la vie de l’Homme-Dieu prit forme et la destinée de l’espèce humaine fut restaurée. Le Ciel ne fut plus fermé et tous les biens furent placés entre les deux fiats. Disons ensemble : fiat ! fiat ! et mon amour maternel déposera en toi la vie de la Divine Volonté.
C’est assez pour l’instant. Demain, je t’attendrai de nouveau pour te raconter la suite de l’histoire de l’Incarnation.
L’âme :
Belle Maman, je suis abasourdie par tes si magnifiques leçons. Je te prie de prononcer ton fiat sur moi ; je prononcerai le mien en même temps. Ainsi, le fiat que tu souhaites tant voir se réaliser dans ma vie prendra forme en moi.
Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer, tu viendras donner le premier baiser à Jésus et tu lui diras neuf fois que tu veux accomplir sa Volonté. Par la suite, je répéterai le prodige de la Conception de Jésus dans ton âme.
Oraison jaculatoire :
Reine toute-puissante, prononce ton fiat en mon âme pour que la Divine Volonté prenne vie en moi.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-neuvième jour
Les portes du Ciel s’ouvrent. Le Soleil du Verbe Éternel envoie son ange
pour informer la Vierge que l’heure de Dieu est arrivée.
L’âme à sa céleste Maman :
Sainte Maman, me voici de nouveau sur tes genoux. Je suis ton enfant qui désire être nourrie de tes douces paroles ; elles seront pour moi un baume pour guérir les blessures causées par ma misérable volonté humaine. Ô ma Mère, parle-moi. Que tes paroles pénétrantes descendent dans mon coeur et y forment une nouvelle création, afin que germe en mon âme la semence de la Divine Volonté.
Leçon de la Reine Souveraine :
Ma très chère fille, c’est justement pour cela que j’aime tant te parler des célestes secrets de la Divine Volonté. Je veux que tu connaisses tous les prodiges qu’elle peut accomplir là où elle règne totalement ainsi que les grands dommages que subissent ceux qui se laissent dominer par leur volonté humaine. Cela avec l’espoir que tu aimeras assez cette Divine Volonté pour la laisser trôner totalement en toi, tout en abhorrant ta volonté humaine au point d’en faire le marchepied de la Divine Volonté.
Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je poursuivais ma vie à Nazareth et la Divine Volonté continuait d’accroître son Royaume en moi. Elle utilisait mes actions les plus petites, même les plus banales, comme tenir la maison en ordre, allumer le feu, balayer : en somme, tous les travaux habituels dans une vie familiale. Cela me permettait de sentir palpiter la Divine Volonté dans le feu, l’eau, les aliments, l’air que je respirais, bref, en toute chose.
Avec toutes mes petites actions, la Divine Volonté formait des mers de lumière, de grâces, de sainteté car, partout où elle règne, la Divine Volonté fait des choses les plus petites des cieux nouveaux d’une beauté enchanteresse. Étant immense, elle ne sait pas faire de petites choses et, par sa puissance, elle donne de la valeur aux choses les plus simples en faisant d’elles des choses grandioses au point d’éblouir le Ciel et la terre. Tout devient saint, tout devient sacré pour qui vit dans la Divine Volonté.
Fille de mon coeur, écoute-moi bien. Plusieurs jours avant que le Verbe descende sur la terre, j’ai pu voir le Ciel s’entrouvrir et le Soleil du Verbe Divin se tenir à son entrée, comme à la recherche de la personne vers laquelle il allait prendre son envol pour en devenir le céleste Prisonnier. Oh ! comme il était beau de le voir aux portes du Ciel comme un veilleur, une sentinelle, à la recherche de l’heureuse créature qui allait accorder son hospitalité à son Créateur !
Les divines Personnes ne regardaient plus la terre comme un endroit inhospitalier parce qu’il s’y trouvait la petite Marie possédant la Divine Volonté. Elle constituait un Royaume divin où le Verbe pourra descendre en toute sécurité, comme dans sa propre demeure, et où il trouvera un Ciel décoré d’une multitude de soleils provenant de la multitude des actes accomplis dans mon âme par la Divine Volonté.
Débordante d’amour, la Divinité enleva le manteau de sa justice qu’elle portait à l’égard de ses créatures depuis tant de siècles et le remplaça par un manteau d’infinie miséricorde. De plus, elle décréta la descente du Verbe sur la terre, l’heure de ce grand événement étant venue. À cette nouvelle, le Ciel et la terre furent sidérés et se mirent à l’attention pour être les spectateurs de cet excès d’amour si grandiose, de ce prodige si extraordinaire !
Quant à moi, je me sentis brûlante d’amour et, me faisant l’écho de l’amour de mon Créateur, je voulus former un immense océan d’amour dans lequel le Verbe pourrait descendre sur la terre. Mes prières étaient incessantes et, pendant que je priais dans ma petite chambre, un ange me fut envoyé du Ciel comme un messager du grand Roi. Il se plaça devant moi et, se prosternant, il me salua en disant : « Salut, ô Marie, notre Reine. La Divine Volonté t’a comblée de grâces. Elle a prononcé son Fiat pour que descende sur la terre le Verbe Divin. Il est prêt, il est derrière moi, mais il désire ton fiat pour que s’accomplisse en toi son Fiat. »
Devant cette annonce si sublime et tellement désirée par moi, bien que je n’avais jamais pensé être l’élue, je fus stupéfiée et j’hésitai un moment. Mais l’ange du Seigneur me dit : « Notre Reine, n’aie pas peur, tu as trouvé grâce devant Dieu, tu as conquis ton Créateur ; aussi, pour que la victoire soit complète, prononce ton fiat. »
Je prononçai mon fiat et, ô merveille, les deux fiats fusionnèrent, ce qui eut comme conséquence la descente du Verbe Divin en moi. Mon fiat, auquel Dieu accorda la même valeur qu’au sien, donna vie à la toute petite Humanité du Verbe Divin, à partir de la semence que constituait mon humanité. Ainsi, le grand prodige de l’Incarnation fut accompli.
Ô puissance de la Divine Volonté, tu m’élevas si haut et me rendis si puissante, que tu as pu déposer en mon intérieur cette petite Humanité qui devait enfermer le Verbe Éternel que ni le Ciel ni la terre ne pouvaient contenir ! Les cieux furent secoués et toute la création prit une attitude de fête. Exultant de joie, ils se rassemblèrent autour de la petite maison de Nazareth pour rendre leurs hommages et leurs respects au Créateur devenu homme. Dans leur langage muet, ils disaient : « Ô prodige des prodiges que seul un Dieu pouvait accomplir ! L’Immensité est devenue petite, la Puissance s’est faite faiblesse, la Grandeur inaccessible s’est abaissée à s’enfermer dans le sein d’une vierge ! Elle est à la fois petite et immense, puissante et impuissante, forte et faible ! »
Ma chère fille, tu ne peux comprendre ce que ta Maman ressentit pendant l’acte de l’Incarnation du Verbe. Tout faisait pression sur moi pour que je prononce mon fiat, que je pourrais qualifier de “tout-puissant”.
Ma chère fille, écoute-moi bien. Combien tu devrais avoir à coeur de toujours accomplir la Divine Volonté et de vivre en elle ! Ma puissance est toujours là : laisse-moi prononcer ton fiat dans ton âme. Mais, pour que je puisse le faire, il me faut le tien. Le bien véritable ne peut s’accomplir par une seule personne ; les travaux les plus grands se font toujours à deux. Dieu lui-même ne voulut pas accomplir le grand prodige de l’Incarnation seul ; il m’a voulue avec lui dans cette entreprise. Par son action et la mienne, la vie de l’Homme-Dieu prit forme et la destinée de l’espèce humaine fut restaurée. Le Ciel ne fut plus fermé et tous les biens furent placés entre les deux fiats. Disons ensemble : fiat ! fiat ! et mon amour maternel déposera en toi la vie de la Divine Volonté.
C’est assez pour l’instant. Demain, je t’attendrai de nouveau pour te raconter la suite de l’histoire de l’Incarnation.
L’âme :
Belle Maman, je suis abasourdie par tes si magnifiques leçons. Je te prie de prononcer ton fiat sur moi ; je prononcerai le mien en même temps. Ainsi, le fiat que tu souhaites tant voir se réaliser dans ma vie prendra forme en moi.
Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer, tu viendras donner le premier baiser à Jésus et tu lui diras neuf fois que tu veux accomplir sa Volonté. Par la suite, je répéterai le prodige de la Conception de Jésus dans ton âme.
Oraison jaculatoire :
Reine toute-puissante, prononce ton fiat en mon âme pour que la Divine Volonté prenne vie en moi.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
Lacroixdedozulé- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
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