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Tous le mois mai avec Marie dans la Divine Volonté

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Message  Lacroixdedozulé Lun 30 Mai 2011 - 6:54

Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai

Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.

Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.

Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai

Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »


Trentième jour
Marie, Barque de la nouvelle Église, instruit les apôtres. La descente du Saint-Esprit.
L’âme à sa céleste Maman :

Me voici de nouveau avec toi, ô céleste Souveraine. Je me sens si attirée vers toi que je compte les minutes quand le temps approche où tu vas me donner une nouvelle leçon. Ton amour maternel m’enchante et m’inonde de joie. Je suis persuadée que ma Maman me donnera tant d’amour et de grâces que ma volonté humaine se laissera attirer par la Divine Volonté qui remplira mon âme de ses mers de lumière et mettra son sceau sur chacune de mes actions. Ô sainte Maman, ne me laisse plus jamais seule et fais descendre l’Esprit Saint en moi pour qu’il brûle tout ce qui n’appartient pas à la Divine Volonté.
Leçon de la Reine du Ciel :

Ma fille bénie, tes propos rejoignent mon Coeur et m’amènent à verser en toi des océans de grâces. Oh ! comme elles coulent à flots en toi pour te donner la vie de la Divine Volonté. Si tu me fais totalement confiance, je ne te laisserai plus jamais, je serai toujours avec toi pour te donner la nourriture de la Divine Volonté dans chacune de tes actions, chacun de tes mots et chacun de tes battements de coeur.

Maintenant, écoute-moi bien, ma fille. Notre plus grand Bien, Jésus, monta au Ciel où il est maintenant avec son Père Céleste, plaidant pour ses enfants et ses frères de la terre. De sa Patrie céleste, il regarde chacun. Personne ne lui échappe. Son amour pour ses enfants — et les miens — était si grand qu’il laissa sa Mère sur la terre pour les consoler, les assister, les instruire et leur tenir compagnie.

Tu dois savoir que lorsque mon Fils partit pour le Ciel, je suis demeurée avec les apôtres dans le Cénacle pour y attendre le Saint-Esprit avec eux. Ils se tenaient autour de moi et nous priions ensemble. Ils ne faisaient rien sans me demander conseil. Quand je prenais la parole pour les instruire et leur raconter des anecdotes qu’ils ne connaissaient pas concernant mon Fils — par exemple les détails de sa naissance, ses pleurs d’enfant, son caractère aimable, divers incidents de notre séjour en Égypte, les si nombreuses merveilles de notre vie cachée à Nazareth —, oh ! comme ils m’écoutaient avec attention ! Ils étaient enchantés d’apprendre tant de choses et d’entendre tant d’enseignements que Jésus m’avait donnés pour que je les leur communique.

En fait, mon Fils ne leur avait presque rien révélé sur lui-même, me réservant la tâche de leur dire combien il les aimait et de leur faire connaître beaucoup de détails sur lui-même que seule sa Mère connaissait. Ma fille, j’étais pour les apôtres plus que la lumière du jour, j’étais la barque dans laquelle ils trouvaient refuge pour y être en sécurité, à l’abri des dangers. Je peux dire que je portais l’Église naissante sur mes genoux maternels que mes bras étaient la barque avec laquelle je la menais à bon port — ce que je fais toujours.

Puis arriva le moment de la descente du Saint-Esprit que mon Fils leur avait promise. Quelle transformation s’ensuivit, ma fille ! Ils reçurent une science nouvelle, une force d’âme invincible, un amour ardent. Une nouvelle vie commença pour eux. Courageux et braves, ils se séparèrent et allèrent partout dans le monde pour faire connaître la Rédemption et donner leur vie pour leur Maître. Je restai avec le bien-aimé Jean et fus obligée de quitter Jérusalem quand débuta le temps des persécutions.

Ma chère fille, tu dois savoir que mon magistère se continue encore dans l’Église. Il n’y a rien qui ne vienne par moi. Je peux dire que je me dévoue totalement par amour pour mes enfants et que je les nourris de mon lait maternel. Dans les temps actuels, je manifeste à mes enfants un amour encore plus spécial en leur faisant connaître comment toute ma vie s’est déroulée dans le Royaume de la Divine Volonté.

C’est pourquoi je te veux sur mes genoux, dans mes bras maternels, comme dans une barque où tu seras certaine de vivre dans l’océan de la Divine Volonté. Je ne pourrais te donner une plus grande grâce. Ah ! je t’en prie, rends heureuse ta Maman, viens vivre dans ce Royaume si saint ! Et quand tu t’apercevras que ta volonté veut reprendre vie, viens te réfugier dans la barque sécuritaire de mes bras en me disant : « Maman, ma volonté veut me trahir, je te la confie afin que tu la remplaces par la Divine Volonté. »

Oh ! comme je serai heureuse quand je pourrai dire : « Ma fille est toute mienne parce qu’elle vit dans la Divine Volonté. » Je ferai descendre l’Esprit Saint dans ton âme pour qu’il y brûle tout ce qui s’y trouve d’humain et que, par son souffle rafraîchissant, il te dirige et te confirme dans la Divine Volonté.
L’âme :

Divine Maîtresse, je sens mon coeur attristé au point de mouiller tes mains maternelles de mes larmes, car je crains de ne pas pouvoir mettre à profit tes enseignements et tes soins maternels. Ma chère Maman, aide-moi, fortifie-moi et fais fuir mes craintes. En m’abandonnant dans tes bras, je serai certaine de vivre complètement immergée dans la Divine Volonté.
Petite pratique :

Aujourd’hui, pour m’honorer, tu réciteras sept Gloire au Père en l’honneur du Saint-Esprit, le priant pour que ses prodiges soient renouvelés dans toute la sainte Église.
Oraison Jaculatoire :

Maman céleste, verse les flammes du Saint-Esprit dans mon coeur afin qu’elles brûlent en moi tout ce qui n’est pas Volonté de Dieu.

Cordialement dans la Croix Glorieuse
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Message  Lacroixdedozulé Mar 31 Mai 2011 - 5:48

Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai

Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.

Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.

Je te salue Marie…
Petite pratique pour chaque jour du mois de mai

Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »




Trente et unième jour
Passage de la terre au Ciel. Entrée glorieuse dans le Ciel. Le Ciel et la terre célèbrent.
L’âme à sa glorieuse Reine :

Ma chère Maman du Ciel, me voici de nouveau dans tes bras maternels. Un sourire doux et radieux apparaît sur tes lèvres très pures. J’ai l’impression que tu vas me raconter quelque chose qui me surprendra. Sainte Maman, je te prie de toucher mon esprit de tes mains maternelles et de libérer mon coeur pour que je puisse bien comprendre tes saintes leçons et les mettre en pratique.
Leçon de la Reine du Ciel :

Ma fille chérie, ta Maman a le coeur en fête aujourd’hui, parce que je vais te parler de mon départ de la terre pour le Ciel le jour où prit fin mon accomplissement de la Volonté Divine sur la terre. En fait, durant toute ma vie, aucune respiration, aucun battement de coeur, aucune action ne se sont produits en moi sans la participation totale et exclusive de la Divine Volonté. Cela m’a tellement embellie, enrichie et sanctifiée que les anges eux-mêmes en sont émerveillés.

Tu dois savoir qu’avant mon départ pour la Patrie céleste, je me rendis une dernière fois à Jérusalem avec mon Jean bien-aimé. C’était la dernière fois que je voyageais sur la terre dans mon corps mortel et, comme si la création elle-même le savait, elle se prosternait à mon passage. Depuis les poissons de la mer jusqu’aux plus petits oiseaux que je croisais, tous voulaient être bénis par leur Reine. Je les bénissais et leur faisais mes adieux. C’est ainsi que je suis arrivée à Jérusalem où je me suis retirée dans un appartement que Jean avait choisi pour moi et où je me suis enfermée pour ne plus en ressortir.

Là, j’ai commencé à ressentir un tel martyre d’amour, un tel ardent désir de rejoindre mon Fils au Ciel, que je me sentais consumée, malade d’amour, défaillante à en perdre connaissance. En réalité, je n’avais jamais connu la maladie ni même la plus légère indisposition. Ayant été conçue sans péché et ayant toujours vécu dans la Divine Volonté, je n’avais aucun germe de mal en moi.

Si j’ai connu tant de souffrances dans ma vie, elles étaient toutes d’ordre surnaturel et elles étaient des triomphes et des honneurs pour moi. Par elles, ma maternité n’était pas stérile et me permettait de conquérir beaucoup d’enfants. Vois-tu, ma chère fille, ce que signifie vivre dans la Divine Volonté ? Cela signifie perdre le germe de ce qui produit, non pas les honneurs et les triomphes, mais les faiblesses, les misères et les défaites.

Chère fille, écoute bien les dernières paroles de ta Maman qui va partir pour le Ciel. Je ne partirais pas heureuse si je ne te savais pas en sûreté. C’est pourquoi je veux te donner mon testament en te laissant comme dot cette Divine Volonté que je possédais et qui m’a rendue pleine de grâces, au point de faire de moi la Mère du Verbe, la Dame et Reine du Coeur de Jésus, et la Mère et Reine de chacun.

Ma fille, nous sommes au dernier jour du mois de mai, ce mois qui m’est consacré. Je t’ai parlé avec beaucoup d’amour de ce que la Divine Volonté a accompli en moi, des grands bienfaits qu’elle sait accorder et de ce que signifie se laisser dominer par elle. Je t’ai aussi parlé des grands maux que peut causer la volonté humaine. Crois-tu que ces propos n’étaient que de simples narrations ? Non, non ! Quand ta Maman parle, c’est qu’elle veut donner dans toute l’ardeur de son amour. Avec chaque mot que je t’ai dit, j’ai uni ton âme à la Divine Volonté et préparé pour toi une dot par laquelle tu pourras vivre riche, heureuse et remplie de force divine.

Maintenant que je suis sur le point de partir, accepte mon testament. Puisse ton âme être le papier sur lequel j’inscrirai l’attestation de la dot que je te laisse avec la plume d’or de la Divine Volonté et l’encre de l’amour ardent qui me consume.

Fille bénie, assure-moi que tu ne feras plus jamais ta volonté. Place ta main sur mon Coeur maternel et promets-moi de l’y enfermer. Ainsi, ne l’ayant pas en ta possession, tu n’auras plus l’occasion de t’en servir. Je l’emporterai avec moi dans le Ciel comme le trophée de la victoire de mon enfant.

Chère fille, écoute les dernières paroles de ta Maman qui se meurt de pur amour. Reçois ma dernière bénédiction comme le sceau de la vie de la Divine Volonté que je te laisse, laquelle sera ton ciel, ton soleil, ton océan d’amour et de grâces. Durant ces derniers moments, ta Maman céleste veut t’inonder d’amour et se verser complètement en toi pour qu’elle puisse t’entendre dire que tu es prête à faire n’importe quel sacrifice, y compris mourir, plutôt que de donner un souffle de vie à ta volonté. Dis-le-moi, ma fille, dis-le-moi !
L’âme :

Sainte Maman, dans l’ardeur de ma souffrance, je te dis en pleurant que si tu vois que je suis sur le point de faire un seul acte de ma volonté, fais-moi mourir. Viens toi-même prendre mon âme dans tes bras et emmène-moi dans le Ciel. De tout mon coeur, je jure de ne plus jamais faire ma volonté.
La Reine d’amour :

Fille bienheureuse, comme je suis contente ! Je n’aurais pas pu me décider à te raconter mon départ pour le Ciel sans être sûre que ma fille soit en sécurité sur la terre, avec le cadeau de la Divine Volonté en sa possession. Sache que, du haut du Ciel, je ne te laisserai pas orpheline : je te guiderai en toutes choses, des plus petites jusqu’aux plus grandes. Appelle-moi et je viendrai aussitôt pour agir auprès de toi comme ta Maman.

Chère fille, écoute-moi bien. J’étais malade d’amour. Pour consoler les apôtres et pour me consoler moi-même, la Divine Volonté permit, en intervenant même d’une manière prodigieuse, que tous les apôtres, sauf un, puissent se trouver autour de moi comme une couronne quand j’allais partir pour le Ciel. Tous pleuraient d’émotion. Je les consolai et leur confiai d’une façon toute spéciale l’Église naissante. Je leur donnai ma bénédiction maternelle, renforçant ainsi dans leur coeur leur paternité d’amour pour les âmes.

Mon cher Fils ne faisait que venir du Ciel et y remonter ; il ne pouvait attendre sa Maman plus longtemps. Je rendis mon dernier souffle dans l’infini de la Divine Volonté et dans le pur amour, et mon Fils me reçut dans ses bras et m’emmena au Ciel au milieu des choeurs angéliques qui me louaient en tant que leur Reine.

Je peux dire que le Ciel s’est vidé pour venir à ma rencontre. Tous célébraient et disaient en choeur : « Quelle est celle-ci qui vient de l’exil, toute fidèle à son Seigneur, toute belle, toute sainte, avec le sceptre de Reine ? Sa grandeur est telle que les Cieux s’inclinent pour la recevoir. Aucune autre créature n’est entrée dans ces régions célestes aussi parée et brillante. Elle est si puissante qu’elle a la suprématie sur tout. »

Maintenant, ma fille, veux-tu savoir qui est celle que tout le Ciel chanta avec tant de ravissement ? Elle est celle qui n’a jamais fait sa propre volonté. La Divine Volonté fut d’une telle abondance envers moi qu’elle déploya pour moi des cieux encore plus beaux, des soleils encore plus brillants, des mers de beauté, d’amour et de sainteté me permettant de communiquer lumière, amour et sainteté à tous, et de tout enclore en moi.

C’est la Divine Volonté agissant en moi qui a accompli de si grands prodiges. Je fus la seule créature à s’être présentée au Ciel en ayant accompli sur la terre la Divine Volonté comme elle l’est au Ciel. Cette Divine Volonté avait établi son Royaume dans mon âme. En me regardant, la cour céleste s’émerveillait : elle retrouvait en moi le soleil, l’océan, le Ciel. Elle trouvait aussi en moi la très resplendissante terre de mon humanité, ornée des plus belles fleurs. Enchantée, toute la cour céleste s’exclamait : « Comme elle est belle ! Tout est rassemblé en elle ! Il ne lui manque rien ! Elle est la seule oeuvre complète de toute la Création ! »

Maintenant, fille bénie, tu dois savoir que ce fut la première fête à être célébrée dans le Ciel en l’honneur de la Divine Volonté qui avait accompli tant de prodiges en moi. Avec mon entrée au Ciel, la cour céleste célébra les choses belles et grandioses que la Divine Volonté peut accomplir dans une créature. Une telle fête ne s’est jamais répétée depuis. C’est pourquoi ta Maman veut tant que la Divine Volonté règne d’une façon absolue dans les âmes, pour que puisse se répéter de si grands prodiges et de si merveilleuses fêtes.
L’âme :

Ô Maman d’amour, Impératrice souveraine, du Ciel où tu règnes glorieusement, tourne ton regard miséricordieux vers la terre et aie pitié de moi. Oh ! comme j’ai besoin de ma chère Maman ! Sans elle, tout est chancelant en moi. Ne m’abandonne pas au plein milieu de ma route, mais continue de me guider jusqu’à ce que tout soit converti en Volonté de Dieu en moi.
Petite pratique :

Pour m’honorer aujourd’hui, tu réciteras trois Gloire au Père à la Très Sainte Trinité pour la remercier, en mon nom, pour la grande gloire qu’elle m’a donnée quand je fus reçue dans le Ciel. De plus, tu me prieras pour que je vienne t’assister au moment de ta mort.
Oraison jaculatoire :

Maman céleste, enferme ma volonté dans ton Coeur et place le soleil de la Divine Volonté dans mon âme.



Cordialement dans la Croix Glorieuse
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Message  Lacroixdedozulé Mer 1 Juin 2011 - 5:50

APPENDICES
Appendice 1
Dans l’ardeur de son amour, et se sachant Mère de Jésus, Marie se met à la recherche de coeurs à sanctifier.
Visite de sainte Élisabeth. Sanctification de saint Jean.
L’âme à sa Mère céleste :

Céleste Maman, ta pauvre fille a un extrême besoin de toi. Puisque tu es à la fois ma Maman et celle de Jésus, je sens que j’ai le droit de me tenir à tes côtés pour modeler mes pas sur les tiens. Sainte Maman, prends-moi avec toi et tends-moi la main pour que je puisse apprendre à bien faire chacune de mes actions.
Leçon de la Reine du Ciel :

Fille bénie, comme ta compagnie m’est douce ! En voyant que tu veux me suivre et m’imiter, je sens un rafraîchissement dans les flammes d’amour qui me dévorent. T’ayant tout près de moi, je pourrai t’enseigner plus facilement comment vivre dans la Divine Volonté.

Écoute-moi bien. Quand je suis devenue la Maman de Jésus — et la tienne —, mes océans d’amour ont doublé et, ne pouvant les contenir, j’ai senti le besoin de les déverser à l’extérieur et, même au prix de grands sacrifices, d’être la première porteuse de Jésus aux créatures. Mais, qu’est-ce que je dis : sacrifices ? Lorsqu’on aime véritablement, les sacrifices et les souffrances sont des rafraîchissements et des moyens de déverser son amour.

Oh ! ma fille, si tu n’expérimentes pas les bienfaits des sacrifices, si tu n’éprouves pas les joies intimes qu’ils donnent, c’est un signe que ton âme n’est pas totalement remplie de l’amour divin et que la Divine Volonté ne règne pas comme une reine en toi ! Elle seule peut donner une telle force à l’âme, la rendre invincible et la rendre capable de supporter n’importe quelle souffrance.

Pose ta main sur ton coeur et observe combien de vides d’amour s’y trouvent ? Cet amour-propre secret, ce trouble à chaque petite contrariété, ces petits attachements pour les personnes et les choses, cette lassitude de faire le bien, cet agacement causé par ce qui n’est pas à ton goût : voilà autant de vides d’amour dans ton coeur. Pareils à de petites fièvres, ils te privent de la force et du désir d’être remplie par la Divine Volonté. Oh ! si tu combles ces vides d’amour, comme tu sentiras, toi aussi, la vertu rafraîchissante et conquérante des sacrifices !

Ma fille, donne-moi ta main et suis-moi pendant que je vais continuer à te donner mes leçons. Accompagnée de saint Joseph, j’ai quitté Nazareth pour me rendre en Judée, affrontant un long voyage à travers les montagnes pour visiter Élisabeth qui, malgré son âge avancée, était miraculeusement devenue maman. Je me rendais chez elle, non pas simplement pour lui rendre visite, mais surtout parce que je brûlais du désir de lui apporter Jésus. La plénitude de grâces, d’amour et de lumière que je ressentais me poussait à porter et à multiplier au centuple la vie de mon Fils chez les créatures.

Oui, ma fille, l’amour maternel que j’avais pour tous les hommes — et pour toi en particulier — était tellement grand que je sentais l’extrême besoin de donner mon cher Jésus à tous, afin que chacun puisse le posséder et l’aimer. Le statut de Mère qui m’avait été accordé par le Fiat me conférait le pouvoir de multiplier Jésus autant de fois qu’il y a de créatures désirant le recevoir. C’était le plus grand des miracles que je pouvais accomplir : donner Jésus à qui le désirait. Comme j’étais heureuse et comme j’aimerais que toi aussi, ma fille, en approchant et visitant les gens, tu sois porteuse de Jésus et impatiente de le faire connaître et aimer !

Après plusieurs jours de voyage, nous sommes finalement arrivés en Judée où je me suis hâtée vers la maison d’Élisabeth. Elle m’a saluée le coeur en fête. Avec les souhaits que je lui ai donnés, un phénomène merveilleux s’est produit : mon petit Jésus exulta dans mon sein et, fixant le petit Jean dans le sein de sa maman avec les rayons de sa Divinité, il le sanctifia, lui donna l’usage de sa raison et lui révéla qu’il était le Fils de Dieu. Jean fit un tel soubresaut d’amour et de joie Élisabeth en fut secouée.

Touchée par la lumière de la Divinité de mon Fils, elle comprit, elle aussi, que j’étais devenue la Mère de Dieu et, dans l’ardeur de son amour, pleine de reconnaissance, elle s’exclama : « D’où me vient cet honneur que la Mère de mon Seigneur vienne me visiter ? »

Je ne niai pas ce très grand mystère. Au contraire, je le confirmai humblement en exaltant Dieu par le sublime cantique du Magnificat que l’Église utilise encore pour m’honorer. Par ce cantique, je disais que le Seigneur avait fait de grandes choses en moi, sa servante, et que tous les âges allaient me dire bienheureuse.

Ma fille, je me sentais dévorée par le désir de répandre les flammes d’amour qui me consumaient, de révéler mon secret à Élisabeth qui désirait ardemment elle aussi la venue du Messie. Un secret est un besoin du cœur que l’on révèle irrésistiblement aux personnes capables de nous comprendre.

Qui pourrait dire tout le bien que ma visite apporta à Élisabeth, à Jean et à toute leur maison ? Chacun fut sanctifié, connut des joies inhabituelles et comprit des choses extraordinaires. Jean reçut toutes les grâces nécessaires pour le préparer à devenir le précurseur de mon Fils.

Ma chère fille, la Divine Volonté accomplit des choses extraordinaires partout où elle règne. Si je fis plusieurs prodiges, c’était parce que la Divine Volonté avait sa place royale en moi. Toi aussi, si tu laisses la Divine Volonté régner dans ton âme, tu deviendras porteuse de Jésus aux créatures, tu sentiras le besoin irrésistible de le donner à tous.
L’âme :

Sainte Maman, comment te remercier pour tes magnifiques leçons ? Je sens qu’elles ont un grand impact sur moi, au point de me faire sans cesse désirer vivre dans la Divine Volonté. Mais, pour que je puisse obtenir cette grâce, viens avec Jésus dans mon âme, renouvelle en moi la visite que tu fis à sainte Élisabeth et les prodiges que tu as accomplis pour elle. Oh ! oui, douce Maman, apporte-moi Jésus, sanctifie-moi ! Avec Jésus, je saurai comment accomplir sa Très Sainte Volonté.
Petite pratique :

Pour m’honorer aujourd’hui, tu réciteras trois fois le Magnificat en remerciement pour la visite que je fis à sainte Élisabeth.
Oraison jaculatoire :

Sainte Mère, visite mon âme et prépare en elle une digne demeure pour la Divine Volonté.

Cordialement dans la Croix Glorieuse
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