COVID-19 : La Pandémie des Vaccinés !
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Re: COVID-19 : La Pandémie des Vaccinés !
421- Une HAUSSE INSENSÉE
du NOMBRE de CRISES CARDIAQUES et d’AVC
INCITE les SERVICES d’URGENCE ALLEMANDS
à DEMANDER la SUSPENSION
de la PRESCRIPTION du « VACCIN » ANTI-COVID
du NOMBRE de CRISES CARDIAQUES et d’AVC
INCITE les SERVICES d’URGENCE ALLEMANDS
à DEMANDER la SUSPENSION
de la PRESCRIPTION du « VACCIN » ANTI-COVID
Vous n’entendrez pas les médias en parler parce qu’ils ne veulent pas que vous sachiez. Même en Allemagne, les médias et le gouvernement tentent d’enterrer l’affaire, mais la vérité commence à sortir.
Il est extrêmement difficile d’obtenir des données médicales précises, en particulier en ce qui concerne les services d’urgence. Les différentes bases de données et services de suivi ont été manifestement en retard dans les rapports depuis que le Covid-19 a frappé le monde. Une personne conspirationniste pourrait en arriver à la conclusion que notre gouvernement essaie de nous cacher quelque chose.
Ils auraient raison d’en arriver à cette conclusion.
En Allemagne, il y a un meilleur suivi et un nouveau rapport soulève de sérieuses questions sur les dangers des vaccins Covid-19. Comme prévu, ni le gouvernement allemand ni son appareil médiatique corporatif ne s’attaquent à ces questions, mais les personnes qui répondent aux urgences demandent une suspension des mandats de vaccination après qu’un nouveau rapport montre une augmentation spectaculaire des problèmes cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux depuis le déploiement de la vaccination.
Le rapport, qui compare les données de 2018 à la fin de 2021, est extrêmement révélateur. Par rapport à la moyenne de 2018/19, il y a eu une augmentation massive de 31,2% pour les problèmes cardiaques et de 27,4% pour les accidents vasculaires cérébraux. C’est plus du double de l’augmentation enregistrée en 2020 avant que les vaccins ne soient lancés dans le monde.
Selon une traduction du journal allemand Berliner-Zeitung :
Le nombre d’opérations de sauvetage des pompiers de Berlin impliquant les mots-clés problèmes cardiaques et accidents vasculaires cérébraux a fortement augmenté en 2021. C’est ce qui ressort de la réponse de l’administration intérieure du Sénat à une demande du député SPD Robert Schaddach. On peut y lire :
« L’objectif de l’enquête est de déterminer le nombre d’interventions des pompiers de Berlin concernant des problèmes cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux au cours des quatre dernières années. »
Sous les mots-clés « troubles cardiaques / défibrillateur implanté » et « douleurs thoraciques / autres affections thoraciques », le nombre de missions enregistrées en 2021 a augmenté de 31% par rapport aux valeurs moyennes de 2018/2019 pour atteindre un total de 43 806 missions. Le nombre de déploiements enregistrés sous les mots-clés « AVC / attaque ischémique transitoire (TIA) » a augmenté de 27% par rapport aux valeurs moyennes de 2018/2019 pour atteindre un total de 13 096 déploiements.
De nombreux médecins et scientifiques, dont la plupart ont été réduits au silence et censurés, pensent que le Covid-19 et, de manière plus aiguë, les vaccins associés à la maladie provoquent des réactions indésirables à long terme dans le système circulatoire pouvant entraîner des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des myocardites et des péricardites, entre autres. Ces affections semblent être plus fréquentes chez les jeunes adultes et même chez les enfants, ce qui suscite des spéculations selon lesquelles les protéines de pointe contenues dans le Covid-19 et les vaccins provoquent des microcaillots dans tout le corps.
Cela aiderait à expliquer pourquoi des athlètes jeunes et en bonne santé sont tombés malades et sont même morts à un rythme alarmant depuis que les vaccins ont été déployés.
Comme l’a noté Berliner-Zeitung, des groupes au sein des services d’urgence de Berlin exigent que les mandats de vaccination soient suspendus jusqu’à ce qu’ils puissent les exclure comme la cause des problèmes de santé :
« La communauté des pompiers de Berlin, une association qui regroupe des centaines de pompiers critiques à l’égard des vaccinations, déclare avoir « pris note avec grand intérêt » de la demande du député SPD Robert Schaddach. Un porte-parole de la communauté des pompiers a déclaré au Berliner Zeitung : « De tels taux d’augmentation doivent être expliqués ». Il est frappant de constater que « le nombre total de problèmes cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux en 2018 et 2019 est relativement proche. En 2020, on observe une première augmentation par rapport à la moyenne 2018/19 de 12,4% pour les problèmes cardiaques et de 12,9% pour les AVC. En 2021, il y aura une deuxième augmentation encore plus importante. Par rapport à la moyenne 2018/19, cette augmentation plus massive est alors de 31,2% pour les problèmes cardiaques et de 27,4% pour les accidents vasculaires cérébraux. …
Pour l’année 2020, il pourrait « encore sembler plausible qu’une combinaison sinistre de l’émergence d’un nouveau type de virus et de l’introduction de mesures sans précédent avec tous les dommages collatéraux ait conduit à une augmentation tragique des chiffres ». Le porte-parole poursuit : « Pour l’année 2021, cependant, un autre facteur inconnu semble s’être ajouté, ce qui augmente à nouveau considérablement l’augmentation précédente ». En outre, en comparant les groupes d’âge, on remarque que « les taux d’augmentation les plus élevés se produisent précisément dans les groupes d’âge qui ne sont pas communément considérés comme des groupes vulnérables par rapport à la maladie de Covid-19 ».
En ce qui concerne la « netteté des augmentations, il faut vérifier s’il existe un lien de causalité avec les effets secondaires du vaccin corona, qui font de plus en plus l’objet de l’attention des médias », selon la communauté des pompiers. En ce qui concerne les « vaccinations obligatoires selon l’IfSG, que la direction des autorités applique sans distinction à tous les membres du corps des sapeurs-pompiers de Berlin », la demande du point de vue de la communauté des sapeurs-pompiers « représente une excellente occasion d’exclure complètement un tel lien – si des preuves scientifiquement fondées sont disponibles – et de briser ainsi les réserves ».
C’est pourquoi la communauté des sapeurs-pompiers demande instamment à la direction des sapeurs-pompiers de Berlin de mener une enquête scientifique et ouverte sur un éventuel lien, en collaboration avec les experts de l’Institut Robert Koch (RKI) et de l’Institut Paul Ehrlich (pour initier PEI). Les institutions sollicitées pourraient également « vérifier si les observations faites à Berlin peuvent être transférées à travers l’Allemagne ».
Si une telle enquête « ne devait pas être initiée malgré les questions sans réponse au vu des données mises en lumière », « il devrait y avoir des raisons tout aussi valables pour cela, notamment en tenant compte de la sécurité des citoyens et des membres du corps des pompiers de Berlin ».
Jusqu’à l’achèvement de « toutes les enquêtes » et « la disponibilité de preuves scientifiques correspondantes qui excluent clairement un lien de causalité », la communauté des sapeurs-pompiers demande maintenant « avec insistance la suspension pour tous les membres concernés des professions respectives – y compris et surtout au-delà des sapeurs-pompiers – de l’application de l’obligation de vaccination liée à la zone ». »
Dans le dernier épisode de End Medical Tyranny, j’ai expliqué pourquoi ce n’est pas seulement un phénomène aléatoire et devrait être considéré comme directement causé par les vaccins jusqu’à ce que cela puisse être prouvé faux… ce qu’il ne peut presque certainement pas. Ce serait une coïncidence unique en un siècle qu’une augmentation aussi massive des urgences liées au sang soit directement corrélée au déploiement de médicaments expérimentaux qui agissent directement dans le sang.
Les gouvernements, y compris ceux de l’Allemagne et de l’Amérique, n’accepteront pas un tel résultat. Ils feront tout ce qu’ils peuvent pour subvertir la vérité et gazer les gens jusqu’à ce qu’ils atteignent leur objectif d’injecter chaque homme, femme et enfant sur terre. C’est vraiment une conspiration et le peuple doit se tenir aux côtés de ceux qui exigent des réponses.
Comme prévu, le gouvernement allemand trouve déjà des excuses. Comme l’article l’a noté :
« Dans une autre question, le politicien du SPD veut savoir de l’administration du Sénat : « Comment un changement possible dans le nombre d’opérations en ce qui concerne les accidents vasculaires cérébraux (symptômes d’AVC de moins de 12 heures) est-il évalué du point de vue des pompiers de Berlin ? » La réponse : « En ce qui concerne les changements possibles en ce qui concerne la fréquence d’utilisation du registre principal des plaintes ‘ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL / accident ischémique transitoire (AIT)’ dans la requête d’appel d’urgence normalisée, il est fait référence à la réponse à la question 2, qui s’applique également de manière analogue à ces groupes de cas ». …
L’administration du Sénat rapporte également que « les demandes d’assistance médicale lors de la réponse à un appel d’urgence sont interrogées à l’aide du système de répartition des priorités médicales (MPDS) ». « Dans le cadre de cette requête d’appel d’urgence standardisée avec MPDS, les symptômes sont attribués à une plainte principale. Cela se fait sur la base de critères médicaux d’urgence. La ‘plainte cardiaque’ peut être caractérisée par divers symptômes. Par conséquent, « le choix de la raison de l’alarme sur la base du MPDS ne représente pas un diagnostic concluant ». Et plus loin : « Dans ce contexte, on ne peut pas conclure que les plaintes décrites étaient en fait des « problèmes cardiaques » ou qu’il y avait une autre maladie. »
À quel moment les gens se rendront-ils compte que le pouvoir en place nous ment à tous ? Le vieil adage « remettez tout en question » n’a jamais été aussi nécessaire qu’aujourd’hui. Les gouvernements et leurs mandataires dans les médias couvrent le véritable programme, qui devrait préoccuper tout le monde, qu’il soit vacciné ou non. Il ne s’agit pas seulement de rester en bonne santé et donc de ne pas se faire vacciner. Il s’agit de savoir comment l’angoisse des gens se manifestera lorsque les vaccins commenceront à avoir des effets encore plus notables.
Aucun insigne de mérite ne sera décerné à ceux d’entre nous qui ont eu raison au sujet des vaccins. Nous serons méprisés presque autant que les auteurs de cette odieuse escroquerie. On nous reprochera d’avoir été prudents alors qu’une population déséquilibrée commencera à se sentir victime. Ils ne nous féliciteront pas. Ils nous détesteront encore plus qu’ils ne le font aujourd’hui.
Il est impératif que nous fassions passer le mot. Certains scientifiques ont émis l’hypothèse que les effets indésirables du vaccin sont cumulatifs, donc si nous pouvons empêcher même les vaccinés de recevoir d’autres rappels, nous pourrons peut-être les aider à se remettre de ce qui a été injecté dans leur corps. Lorsque le chaos commencera, et il commencera, nous aurons besoin d’alliés car, pour l’instant, les vaccinés sont plus nombreux que les non-vaccinés et ils ont le poids du gouvernement derrière eux.
(Source : https://reseauinternational.net/une-hausse-insensee-du-nombre-de-crises-cardiaques-et-daccidents-vasculaires-cerebraux-incite-les-services-durgence-allemands-a-demander-la-suspension-de-la-prescription-du-va/ )
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« CELUI qui MOURRA REVÊTU de cet HABIT (le SCAPULAIRE du CARMEL) SERA PRÉSERVÉ des FEUX ÉTERNELS. »
« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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423- PROBLÈMES CARDIAQUES
et ACCIDENTS VASCULAIRES CÉRÉBRAUX :
le NOMBRE d’OPÉRATIONS de SAUVETAGE
AUGMENTE FORTEMENT
et ACCIDENTS VASCULAIRES CÉRÉBRAUX :
le NOMBRE d’OPÉRATIONS de SAUVETAGE
AUGMENTE FORTEMENT
Le député SPD Robert Schaddach a interrogé les opérations des pompiers de Berlin en raison de problèmes cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux.
Le nombre d’opérations de sauvetage des pompiers de Berlin sous les mots-clés problèmes cardiaques et accident vasculaire cérébral a fortement augmenté en 2021. C’est ce qui ressort de la réponse de l’administration de l’Intérieur du Sénat à une demande du député spd Robert Schaddach. Ici, il est dit :
« Le but de la demande est de déterminer l’évolution des chiffres de déploiement des pompiers de Berlin en ce qui concerne les plaintes cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux au cours des quatre dernières années. »
Sous les mots-clés « problèmes cardiaques/défibrillateur implanté » et « douleur thoracique/autres plaintes dans la poitrine », le nombre de missions enregistrées en 2021 a augmenté de 31% pour atteindre un total de 43 806 missions par rapport aux valeurs moyennes de 2018/2019. Le nombre de missions enregistrées sous les mots-clés « AVC/attaque ischémique transitoire (AIT) » a augmenté de 27% par rapport aux valeurs moyennes de 2018/2019 pour atteindre un total de 13 096 missions.
Dans l’enquête du 10 mars 2022, Schaddach veut savoir : « Comment un changement possible dans le nombre d’opérations en ce qui concerne les problèmes cardiaques est-il évalué du point de vue des pompiers de Berlin ? » La réponse du Département de l’intérieur, de la numérisation et du sport du Sénat du 7 avril 2022 : « Les changements dans la fréquence d’utilisation des principaux protocoles de plainte ‘Plaintes cardiaques/Défibrillateur implanté’ et ‘Douleur thoracique/Autres plaintes dans la poitrine’ dans le cadre de l’appel d’urgence standardisé peuvent être combinés avec une utilisation plus intensive du protocole, la classification des symptômes, le développement ultérieur de la gestion de la qualité, mais aussi le changement du nombre de demandes dans de sauvetage d’urgence, par exemple par la croissance démographique ou l’évolution démographique ».
Sénat : La raison de l’alarme n’est pas un diagnostic concluant
Dans une autre question, le politicien du SPD veut savoir de l’administration de l’intérieur du Sénat : « Comment un changement possible dans le nombre d’opérations en ce qui concerne les accidents vasculaires cérébraux (symptômes d’AVC inférieurs à 12 h) est-il évalué du point de vue des pompiers de Berlin ? » La réponse : « En ce qui concerne les changements possibles dans la fréquence d’utilisation du protocole de plainte principale « Avc/Accident ischémique transitoire (AIT) » dans l’appel d’urgence normalisé, il est fait référence à la réponse à la question 2, qui s’applique également mutatis mutandis à ces groupes de cas. »
L’administration du Sénat informe également que « les demandes d’aide médicales sont interrogées auprès du Système de répartition des priorités médicales (MPDS) » lorsqu’elles répondent à l’appel d’urgence. « Dans le cadre de cette intervention d’URGENCE normalisée avec MPDS, les symptômes sont attribués à une plainte principale. Cela se fait sur la base de critères médicaux d’urgence. La ‘plainte cardiaque’ peut être caractérisée par divers symptômes. Par conséquent, « le choix de l’occasion d’alarme sur la base du MPDS ne constitue pas un diagnostic concluant ». Et plus loin : « Dans ce contexte, on ne peut pas conclure que les plaintes décrites étaient en fin de compte en fait des « plaintes cardiaques » ou peut-être aussi une autre maladie était présente. »
« Ces taux d’augmentation doivent être expliqués »
La communauté des pompiers de Berlin, une association de centaines de pompiers et de pompiers critiques pour les vaccins, a pris note de la demande du député SPD Robert Schaddach selon sa propre déclaration « avec un vif intérêt ». Un porte-parole de la communauté des pompiers a déclaré au Berliner Zeitung : « De tels taux d’augmentation doivent être expliqués. » Il est frappant de constater que « le nombre total de plaintes cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux en 2018 et 2019 est relativement proche les uns des autres. En 2020, une première augmentation par rapport à la moyenne de 2018/19 de 12,4% pour les problèmes cardiaques et de 12,9% pour les accidents vasculaires cérébraux peut être observée. En 2021, une deuxième augmentation, encore plus élevée, peut être enregistrée. Par rapport à la moyenne de 2018/19, cette augmentation plus massive est alors de 31,2% pour les problèmes cardiaques et de 27,4% pour les accidents vasculaires cérébraux.
Pour l’année 2020, il peut « sembler encore quelque peu plausible qu’un mélange inquiétant de l’émergence d’un nouveau type de virus et l’introduction de mesures sans précédent avec tous les dommages collatéraux aient conduit à une augmentation tragique des chiffres ». Le porte-parole poursuit : « Pour l’année 2021, cependant, un autre facteur inconnu semble avoir été ajouté, ce qui intensifie considérablement l’augmentation précédente. » En outre, en comparant les groupes d’âge, il est frappant de constater que « les taux d’augmentation les plus élevés se produisent en particulier dans les groupes d’âge qui ne sont généralement pas compris comme des groupes vulnérables au regard de la maladie Covid-19 ».
Demande : RKI et PEI devraient traiter scientifiquement les chiffres de déploiement
En ce qui concerne les « anomalies des augmentations, il faut examiner s’il existe un lien de causalité avec les effets secondaires du vaccin causés par le vaccin corona, qui sont de plus en plus au centre de l’attention des médias », selon la communauté des pompiers. En ce qui concerne « l’obligation de vaccination selon l’IfSG, qui a été introduite sans discrimination par les autorités pour tous les membres des pompiers de Berlin », la demande représente « une excellente raison du point de vue de la communauté des pompiers d’exclure complètement un tel lien – si des preuves scientifiquement étayées sont disponibles – et donc de réduire les réserves ».
Par conséquent, la communauté des pompiers « exhorte la direction de la brigade de pompiers de Berlin à lancer une enquête scientifique et ouverte sur un lien possible en coopération avec les experts de l’Institut Robert Koch (RKI) et de l’Institut Paul Ehrlich (PEI) en ce qui concerne les chiffres de déploiement disponibles ». Les institutions mentionnées pourraient également « vérifier si les observations faites à Berlin peuvent être transmises dans toute l’Allemagne ». Si une telle enquête « n’était pas ouverte malgré les questions ouvertes au vu des données mises au jour », « il devrait y avoir des raisons tout aussi valables à cela, en particulier compte tenu de la sécurité des citoyens et des membres des pompiers de Berlin ».
Jusqu’à l’achèvement de « toute enquête » et « l’existence de preuves scientifiquement étayées appropriées qui excluent clairement une relation de causalité », la communauté des pompiers exige maintenant « pour tous les membres concernés des professions respectives – y compris et surtout au-delà des pompiers – une suspension catégorique de la mise en œuvre de l’obligation de vaccination liée au secteur ».
Berliner Zeitung
La question complète du député SPD Robert Schaddach et les réponses intégrales du département de l’Intérieur, de la Numérisation et du Sport du Sénat peuvent être trouvées ici
(Source : https://reseauinternational.net/une-hausse-insensee-du-nombre-de-crises-cardiaques-et-daccidents-vasculaires-cerebraux-incite-les-services-durgence-allemands-a-demander-la-suspension-de-la-prescription-du-va/ )
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« CELUI qui MOURRA REVÊTU de cet HABIT (le SCAPULAIRE du CARMEL) SERA PRÉSERVÉ des FEUX ÉTERNELS. »
« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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Re: COVID-19 : La Pandémie des Vaccinés !
425- PLUS d’un MILLION de BLESSURES
LIÉES au VACCIN COVID
et près de 27 000 DÉCÈS SIGNALÉS au VAERS,
selon les DONNÉES des CDC
LIÉES au VACCIN COVID
et près de 27 000 DÉCÈS SIGNALÉS au VAERS,
selon les DONNÉES des CDC
Les données VAERS publiées vendredi par les Centres de contrôle et de prévention des maladies comprennent un total de 1 226 314 rapports d'événements indésirables de tous les groupes d'âge suite aux vaccins COVID, dont 26 976 décès et 219 865 blessures graves entre le 14 décembre 2020 et le 8 avril 2022.
Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont publié aujourd’hui [15 avril] de nouvelles données montrant qu’un total de 1 226 314 rapports d’événements indésirables suite aux vaccins COVID ont été soumis entre le 14 décembre 2020 et le 8 avril 2022 au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Le VAERS est le principal système de pharmacovigilance financé par le gouvernement pour signaler les réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis.
Les données comprennent un total de 26 976 rapports de décès – soit une augmentation de 277 par rapport à la semaine précédente – et 219 865 blessures graves, dont des décès, au cours de la même période – soit une augmentation de 2 564 par rapport à la semaine précédente.
Si l’on exclut les “déclarations étrangères” au VAERS, 805 921 événements indésirables, dont 12 471 décès et 79 811 blessures graves, ont été signalés aux États-Unis entre le 14 décembre 2020 et le 8 avril 2022.
Les rapports étrangers sont des rapports que les filiales étrangères envoient aux fabricants de vaccins américains. En vertu de la réglementation de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, si un fabricant est informé d’un rapport de cas étranger décrivant un effet à la fois grave et ne figurant pas sur l’étiquetage du produit, il est tenu de soumettre le rapport au VAERS.
Sur les 12 471 décès signalés aux États-Unis au 8 avril, 17 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 21 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 59 % chez des personnes ayant présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.
Aux États-Unis, 564 millions de doses de vaccin COVID avaient été administrées au 8 avril, dont334 millions de doses de Pfizer, 212 millions de doses de Moderna et 19 millions de doses de Johnson & Johnson (J&J).
Chaque vendredi, le VAERS publie les rapports de blessures (effets indésirables) liées aux vaccins reçus à une date précise. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’une relation de cause à effet puisse être confirmée.
Historiquement, il a été démontré que le VAERS ne rapporte que 1 % des effets indésirables réels des vaccins.
Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 8 avril 2022, pour les enfants de 5 à 11 ans, montrent :
- 10 216 événements indésirables, dont 242 qualifiés de graves et 5 décès signalés.
- 18 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation du cœur).
- Les CDC utilisent une définition restreinte de la « myocardite », qui exclut les cas d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux ischémiques et de décès dus à des problèmes cardiaques qui surviennent avant que l’on ait la possibilité de se rendre aux urgences.
- 39 rapports de troubles de la coagulation sanguine.
Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 8 avril 2022, pour les jeunes de 12 à 17 ans, montrent :
- 31 048 événements indésirables, dont 1 792 qualifiés de graves et 44 décès signalés.
- 67 rapports d’anaphylaxie chez des jeunes de 12 à 17 ans, dans lesquels la réaction mettait en danger la vie du patient, nécessitait un traitement ou entraînait la mort – 96 % des cas étant attribués au vaccin de Pfizer.
- 651 rapports de myocardite et de péricardite, dont 639 cas attribués au vaccin de Pfizer.
- 166 rapports de troubles de la coagulation sanguine, tous les cas étant attribués à Pfizer.
Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 8 avril 2022, tous groupes d’âge confondus, montrent que :
- 20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques.
- 54 % des personnes décédées étaient des hommes, 41 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’indiquaient pas le sexe de la personne décédée.
- L’âge moyen du décès était de 73 ans.
- Au 8 avril, 5 404 femmes enceintes ont signalé des effets indésirables liés aux vaccins COVID, dont 1 696 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.
- Sur les 3 647 cas de paralysie de Bell signalés, 51% ont été attribués aux vaccins Pfizer, 40% à Moderna et 8% à J&J.
- 860 rapports de syndrome de Guillain-Barré, avec 42% des cas attribués à Pfizer, 30% à Moderna et 28% à J&J.
- 2 373 rapports d’anaphylaxie où la réaction a mis la vie en danger, a nécessité un traitement ou a entraîné la mort.
- 1 671 rapports d’infarctus du myocarde.
- 13 755 notifications de troubles de la coagulation sanguine aux États-Unis. Parmi ces notifications, 6 169 ont été attribuées à Pfizer, 4 911 à Moderna et 2 654 à J&J.
- 4 124 cas de myocardite et de péricardite dont 2 531 cas attribués à Pfizer, 1 402 cas à Moderna et 181 cas au vaccin COVID de J&J.
Une femme développe une maladie cérébrale mortelle après une deuxième dose de Moderna
Carol Beauchine est décédée de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) sporadique, une maladie cérébrale dégénérative mortelle à évolution rapide qu’elle a développée après sa deuxième dose du vaccin COVID de Moderna.
Dans une interview exclusive accordée au Defender, le fils de Carol, Jeffrey Beauchine, a déclaré que ce fut atroce de voir sa mère de 70 ans – qui était en bonne santé jusqu’à ce qu’elle soit vaccinée – mourir d’une maladie qu’il pense être causée par le vaccin.
M. Beauchine a déclaré que Carol avait reçu sa première dose de Moderna le 16 février 2021 et qu’elle n’avait signalé aucune plainte. Après avoir reçu la deuxième dose le 17 mars, Carol a immédiatement déclaré qu’elle « se sentait différente ». Elle a développé un engourdissement qui s’est étendu à tout le côté gauche de son corps, une cécité et une perte d’audition. Elle a perdu la capacité de marcher et de communiquer, et son cerveau a dégénéré jusqu’à ce qu’elle décède le 2 août 2021, cinq mois seulement après avoir reçu sa deuxième dose de Moderna.
La famille a soumis un rapport au VAERS, mais le CDC n’a pas donné suite au décès de Carol. Le Défenseur a reçu de nombreux rapports de personnes décédées de la MCJ sporadique après avoir reçu un vaccin COVID – toutes des femmes âgées de 60 à 70 ans, notamment Cheryl Cohenet Jennifer Deason Sprague.
L’administration Biden prolonge l’urgence de santé publique COVID nécessaire pour maintenir les vaccins sous EUA
L’administration Biden a prolongé mercredi l’urgence de santé publique COVID, qui dure depuis deux ans, pour 90 jours supplémentaires, permettant aux vaccins et autres médicaments de rester sous autorisation d’utilisation d’urgence (EUA). Le maintien des vaccins COVID et des autres contre-mesures dans le cadre de l’EUA protège les entreprises pharmaceutiques de la responsabilité des dommages causés par leurs produits.
Selon Reuters, une urgence de santé publique a été initialement annoncée en janvier 2020, lorsque la pandémie de COVID a commencé. Elle a été renouvelée chaque trimestre depuis lors et devait expirer le 16 avril.
Le département de la santé et des services sociaux (HHS) a déclaré dans un communiqué qu’il prolongeait l’urgence de santé publique et qu’il donnerait aux États un préavis de 60 jours avant la résiliation ou l’expiration. Selon les experts, ce pourrait être la dernière fois que le secrétaire au HHS, Xavier Becerra, la prolonge.
Pfizer va demander l’autorisation de la FDA pour l’injection de rappel du COVID pour les enfants de 5 à 11 ans.
Pfizer et BioNTech ont déclaré jeudi qu’ils prévoyaient demander l’autorisation de mise sur le marché d’une dose de rappel de COVID pour les enfants de 5 à 11 ans en bonne santé, sur la base des résultats d’une petite étude qui n’a pas été publiée ou analysée par des experts indépendants.
Pfizer a déclaré dans un communiqué de presse que la troisième dose de son vaccin a produit une protection significative contre la variante Omicron chez les enfants de 5 à 11 ans dans un petit essai clinique de phase 2/3. L’étude était basée sur les données de seulement 140 enfants âgés de 5 à 11 ans qui ont reçu une dose de rappel six mois après la deuxième dose du vaccin COVID de Pfizer-BioNTech dans le cadre de la série primaire.
Pfizer a affirmé qu’un examen plus approfondi de 30 enfants a montré une multiplication par 36 des anticorps anti-virus – des niveaux suffisamment élevés pour combattre la variante Omicron, et qu’une troisième dose a été “bien tolérée sans qu’aucun nouveau signal de sécurité ne soit observé”.
Bien que Pfizer ait déclaré que plus de 10 000 enfants de moins de 12 ans ont participé à des essais cliniques sur le vaccin COVID de Pfizer, seuls 140 d’entre eux ont été sélectionnés pour l’étude à l’origine de la demande d’autorisation de mise sur le marché de l’entreprise.
Le CDC lance une enquête interne sur l’échec de l’intervention du COVID
Les CDC ont annoncé lundi qu’ ils lançaient un examen complet d’une durée d’un mois à l’échelle de l’agence, à la suite de nombreuses critiques concernant la réponse de l’agence à la pandémie de COVID.
L’agence prévoit d’évaluer sa structure, ses systèmes et ses processus, a déclaré la directrice du CDC, le Dr Rochelle Walensky, au personnel dans un courriel obtenu par le Washington Post. M. Walensky a déclaré que l’objectif de cette révision était de “moderniser” l’agence et de “positionner les CDC, et la communauté de la santé publique, pour un plus grand succès à l’avenir”.
L’examen sera mené par Jim Mcrae, administrateur associé pour les soins de santé primaires à la Health Resources and Services Administration (HRSA). Le HRSA et le CDC font partie du département de la santé et des services sociaux.
Le mois dernier, la décision du CDC de retirer de son site Web de suivi des données des dizaines de milliers de décès liés au COVID – y compris près d’un quart des décès qui, selon l’agence, étaient survenus chez des enfants – a érodé la confiance du public dans le traitement par le CDC du nombre de cas.
Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi un effet indésirable, quel que soit le vaccin, de remplir un rapport en suivant ces trois étapes.
La source originale de cet article est The Defender
(Source : https://www.mondialisation.ca/plus-dun-million-de-blessures-liees-au-vaccin-covid-et-pres-de-27-000-deces-signales-au-vaers-selon-les-donnees-des-cdc/5667569 )
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« CELUI qui MOURRA REVÊTU de cet HABIT (le SCAPULAIRE du CARMEL) SERA PRÉSERVÉ des FEUX ÉTERNELS. »
« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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427- Les VACCINS à ARNm
PRODUISENT une PROTÉINE SPIKE PERSISTANTE
probablement à l’ORIGINE de CAILLOTS,
d’INFLAMMATIONS CARDIAQUES et de CANCERS
PRODUISENT une PROTÉINE SPIKE PERSISTANTE
probablement à l’ORIGINE de CAILLOTS,
d’INFLAMMATIONS CARDIAQUES et de CANCERS
Selon le Dr Ryan Cole, les vaccins à ARN messager produisent une protéine spike persistante qui peut gravement endommager la santé du receveur, entraîner des coagulations inhabituelles, des inflammations cardiaques ou des cancers.
Les vaccins Covid‑19 de Pfizer et Moderna sont les seuls vaccins à ARNmapprouvés ou autorisés pour une utilisation de rappel aux États‑Unis. Les vaccins Covid‑19 de Johnson & Johnson utilisent un vecteur viral, soit la version modifiée d’un virus, pour ordonner aux cellules de fabriquer des anticorps.
Le Dr Cole est un pathologiste qui dirige un laboratoire depuis 18 ans. Il a examiné, sans les rencontrer mais en étudiant leurs échantillons au microscope, près de 500 000 patients au cours de sa carrière.
« [Avec] un ARNm normal, les cellules produisent des messages tout au long de la journée (…) l’ARNm se décompose généralement en quelques minutes, voire en une heure ou deux. L’ARNm ne devrait pas persister », explique le Dr Cole dans l’émission Facts Matter d’EpochTV (en parallèle du sommet mondial sur le Covid à Houston, au Texas, le 8 avril).
L’ARNm, explique le Dr Cole, est un messager envoyé par l’ADN qui ordonne à la cellule de fabriquer une certaine protéine pour engendrer différents types de réactions physiques.
« Mais quand vous introduisez cette pseudouridine synthétique [dans votre corps], le corps ne sait pas quoi en faire. Il la regarde et dit : ‘Hmm, je ne sais pas quoi faire. Donc, je ne vais pas la décomposer.’ Elle échappe à ce processus de destruction, elle échappe aussi à une réponse immunitaire. Elle affaiblit également notre système immunitaire, ce qui n’est pas bon car d’autres choses ‑ cancers, virus ‑ peuvent se réveiller. »
Le Dr Ryan Cole dans une interview accordée à Epoch Times lors du sommet mondial Covid-19 à Houston, au Texas, le 8 avril 2022. (York Du/Epoch Times)
Dans une interview accordée au mois de février pour EpochTV, le Dr Cole a affirmé avoir constaté une augmentation du nombre de cancers qui n’avaient pas lieu d’être. Il a également remarqué une augmentation et une persistance des facteurs de coagulation après la vaccination. Cependant, lorsqu’il a fait part de ses inquiétudes, aucune agence gouvernementale n’a voulu se pencher sur cette observation.
Actuellement, le Dr Cole effectue près de 40 000 biopsies par an.
Le point de vue du Dr Cole rejoint celui du Dr Robert Malone, souvent présenté comme l’inventeur de la technologie des vaccins à ARNm. Dans un article publié par Epoch Times le 11 avril, le Dr Malone affirme que l’ « ARNm » des vaccins Pfizer et Moderna n’est pas vraiment de l’ARNm. « Ces molécules possèdent des éléments génétiques similaires à ceux de l’ARNm naturel, mais sont clairement beaucoup plus résistantes aux enzymes qui dégradent normalement l’ARNm naturel. Elles sont capables de produire des niveaux élevés de protéines pendant des périodes prolongées et semblent échapper aux mécanismes immunologiques normaux d’élimination des cellules. Elles produisent des protéines étrangères que nous n’observons pas dans le corps habituellement. »
Le Dr Robert Malone à Washington le 29 juin 2021. (Zhen Wang/Epoch Times)
Selon le Dr Joseph Mercola, médecin ostéopathe, la protéine spike des vaccins Covid‑19 est à l’origine de graves lésions organiques.
« La science a démontré que ce n’était pas le virus qui causait des lésions endothéliales à l’origine de lésion organiques, telles que constatées dans le cœur, le foie et les reins des patients atteints du Covid‑19. En fait, c’était la protéine spike, qui était aussi injectée dans le cadre d’un programme de thérapie génique », a écrit le Dr Mercola dans un article récent.
Certaines études ont montré que la protéine spike induite par le vaccin persiste dans le corps humain, explique le Dr Cole, mais « nous n’avons aucune idée de combien de temps persiste cette séquence synthétique ».
Une étude réalisée à Stanford par Katharina Röltgen et d’autres a montré que la séquence synthétique persiste pendant au moins 60 jours. Une étude menée à Harvard par Alana Ogata et d’autres a montré que la protéine spike pouvait circuler pendant des semaines.
Le Dr Cole évoque un professeur allemand, le Dr Arne Burkhardt, ayant montré dans une étude portant sur des autopsies que la protéine spike pouvait persister dans le corps humain pendant 128 jours.
« Et la [protéine] spike que les [vaccins à ARNm] produisent induit des changements pathologiques dans le corps. Elle peut provoquer la formation de caillots », poursuit le Dr Cole. « Nous voyons ces jeunes gens mourir de caillots, de micro‑caillots, pas des caillots normaux. Il s’agit d’un type unique de caillot qui persiste, prive le corps d’oxygène, étouffe des parties du corps, enflamme le cœur, provoque des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des cancers chez les jeunes… Des choses inhabituelles qui ne devraient pas se produire et qui sont probablement liées à une séquence synthétique, génétiquement modifiée, que nous avons introduit dans les corps de milliards de personnes. »
Selon le Dr Cole, nos cellules disposent de mécanismes de réparation de l’ADN, mais l’ADN ne peut pas se réparer lorsque la protéine spike pénètre dans le noyau des lymphocytes T, un des principaux globules blancs jouant un rôle central dans le système immunitaire.
« Une étude réalisée en Suède le montre », continue‑t‑il, faisant référence à une étude récente montrant que l’ARNm du vaccin Covid‑19 de Pfizer peut pénétrer dans les cellules du foie humain et être converti en ADN à l’intérieur du noyau. « Désormais dans la cellule, l’ADN ne peut plus être réparé. La cellule va donc faire une des deux choses suivantes : soit elle va s’autodétruire, c’est ce qu’on appelle l’apoptose, soit elle va muter. Elle se transforme en une cellule maligne atypique. »
« Donc, concernant cette question également, la suppression immunitaire due à la [protéine] spike (à cause de la pseudouridine) modifie le type de récepteurs sur les cellules », explique le Dr Cole, ajoutant que ces récepteurs pouvaient permettre aux lymphocytes T de lutter contre toutes sortes de virus.
« À présent, vous n’avez plus de système de défense. Cette cellule cancéreuse peut envahir la paroi. Cet agent pathogène peut envahir la paroi parce que votre système immunitaire a été détruit à un degré qui rend cela est possible. Quand cela va‑t‑il s’arrêter ? On ne le sait pas. Comment l’inverser ? On l’ignore. Est‑ce que ça arrive à tout le monde ? Non, Dieu merci. Est‑ce que ça arrive à un degré qui peut être alarmant ? Bien sûr. »
Une étude publiée le 15 avril a également révélé que les vaccins à ARNm « favorisent la synthèse soutenue de la protéine spike du SRAS‑CoV‑2 » et que « la protéine spike est neurotoxique et entrave les mécanismes de réparation de l’ADN ».
Ni Pfizer ni Moderna n’ont répondu à une demande de commentaires.
Sur leur site Internet ( https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/different-vaccines/mRNA.html?s_cid=11344:what%20is%20mrna%20vaccine:sem.ga:p:RG:GM:gen:PTN:FY21 ), les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) affirment que les vaccins à ARNm Covid‑19 n’affectent pas l’ADN et n’interagissent pas avec lui, et que l’ARNm et la protéine spike ne subsistent pas longtemps dans l’organisme.
« L’ARNm ne pénètre jamais dans le noyau de la cellule où se trouve notre ADN (matériel génétique), il ne peut donc pas modifier ou influencer nos gènes », indiquent les CDC. « Nos cellules décomposent l’ARNm et s’en débarrassent quelques jours après la vaccination. Les scientifiques estiment que la protéine spike, comme d’autres protéines créées par notre corps, peut rester dans l’organisme pendant quelques semaines. »
Les intérêts communs des gouvernements et de l’industrie pharmaceutique
Selon le Dr Cole, les fabricants de vaccins et les organismes publics de la santé savent depuis le début que les vaccins à ARNm sont problématiques. Ils l’ont dissimulé pour préserver leurs intérêts communs.
« Nous connaissons les problèmes de modulation immunitaire de ce produit depuis 2006, ou du moins depuis la publication de quelques articles », explique le Dr Cole. « Moderna n’avait jamais mis sur le marché de produit à base d’ARNm pour une raison précise. Des essais ont été réalisés sur les troubles génétiques. Ils comptaient utiliser ce moyen pour modifier les gènes. Ça n’a jamais été commercialisé compte tenu des effets secondaires trop nombreux observés sur les animaux. Ils étaient tous au courant. Pfizer était‑il au courant ? Oui. »
« [La Food and Drug Administration (FDA)] est totalement contrôlée par des grandes corporations. Près de la moitié des revenus de la FDA proviennent de l’industrie pharmaceutique », poursuit le Dr Cole. « Les CDC possèdent 57, 58 brevets sur des vaccins… Pensez‑vous qu’ils ont un quelconque intérêt à dire du mal d’un vaccin ? Bien sûr que non. »
« Les [National Institutes of Health (NIH)] détiennent le brevet de la protéine spike et de son séquençage, ils l’ont partagé avec Moderna. Chaque milliard qui rejoint les coffres de Moderna, rejoint également les coffres des NIH. Les intérêts du gouvernement et ceux des corporations se rejoignent‑ils ? Évidemment. »
Epoch Times a contacté la FDA, les CDC et les NIH pour une demande de commentaires.
Selon la fiche d’information de la FDA, pour l’année fiscale 2019, 54 % de son budget a reçu une approbation fédérale. Les 46 % restants, soit 2,8 milliards de dollars, ont été payés par les taxes des industries productrices de médicaments.
Les CDC répertorient sur leur site Web plus de 60 technologies de « vaccins et produits thérapeutiques candidats » pour l’octroi de licences et l’établissement de collaborations. La FDA dispose également de son propre programme de transfert de technologie.
Selon le site Web des NIH : « Chaque année, des centaines de nouvelles inventions sont réalisées dans les laboratoires des NIH et des CDC. Neuf instituts ou centres (IC) des NIH transfèrent les inventions des NIH et des CDC, au moyen de licences, au secteur privé pour qu’il poursuive des activités de recherche et de développement et les commercialise éventuellement. »
Les modèles d’accords de licence montrent que ces agences de santé réclament des redevances pour transférer leurs technologies.
Selon le site d’informations Axios, en mai 2020, Francis Collins, alors directeur des NIH, a déclaré : « Nous avons un intérêt particulier dans la propriété intellectuelle » du vaccin contre le coronavirus de Moderna.
« En discutant avec les entreprises, je n’ai entendu aucune d’entre elles dire qu’elles pensaient que ce [vaccin] permettrait de gagner de l’argent », poursuivait le Dr Collins. « Personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ».
Le Dr Francis Collins (à gauche), directeur des Instituts nationaux de la santé, et le Dr Robert Redfield (à droite), directeur des Centres de contrôle et de prévention des maladies, témoignent lors d’une audience du Sénat à Washington le 2 juillet 2020. (Saul Loeb-Pool/Getty Images)
« Donc, personne ne va faire des choix qui le priveraient d’un emploi dans ces agences », poursuit le Dr Cole. « En refusant leur utilisation, les taxes qui découlent de leur utilisation ou [les bénéfices qui découlent] de la vérification des médicaments de toutes ces grandes corporations, ils n’auront pas assez de revenus pour faire fonctionner leur agence non plus. C’est vraiment une situation paradoxale perdant‑perdant. »
« Vérité plus transparence égale confiance », poursuit le Dr Cole. Or, les agences gouvernementales sont en train de « détruire la confiance » du public à leur égard.
Même le New York Times, qui penche à gauche, a récemment rapporté que les CDC dissimulent des données essentielles sur le Covid‑19 concernant les rappels, les hospitalisations et autres analyses.
S’il avait été aux commandes, le Dr Cole aurait géré la crise du Covid conformément à la déclaration de Great Barrington.
« Nous protégeons les personnes vulnérables. Nous savions dès le début qui allait être affecté. Nous gardons les écoles grandes ouvertes. Nous n’enfermons personne. Nous nous concentrons sur les traitements précoces. Nous savions depuis le SRAS Covid‑1 que les chloroquines fonctionnent contre cette famille de virus. Nous nous tournons vers les anciens médicaments réadaptés comme nous le faisons toujours pour toute nouvelle maladie émergente. Nous traitons rapidement. Nous reconnaissons ceux qui sont guéris du Covid grâce à leur immunité naturelle. Et nous ne faisons pas ce que nous avons fait. Il ne faut jamais laisser un remède devenir plus dangereux que la maladie elle‑même. »
La source originale de cet article est The Epoch Times
(Source : https://www.mondialisation.ca/les-vaccins-a-arnm-produisent-une-proteine-spike-persistante-probablement-a-lorigine-de-caillots-dinflammations-cardiaques-et-de-cancers/5667561 )
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429- GREAT RESET :
POURQUOI l’OMS PROMEUT l’AVORTEMENT
JUSQU’à la NAISSANCE
POURQUOI l’OMS PROMEUT l’AVORTEMENT
JUSQU’à la NAISSANCE
L’OMS – et plus généralement le système des Nations unies - qui sert d’instrument légaliste à la mise en place de la nouvelle dictature mondiale, a publié un document dans lequel elle préconise aux gouvernements de supprimer la limite de temps légale pour l’avortement quelles que soient les circonstances et sans justification médicale. L’OMS promeut donc l’avortement jusqu'à la naissance dans un objectif simple et programmé depuis de nombreuses années : déposséder les femmes de la grossesse et instaurer l’ectogenèse comme processus artificiel de reproduction unique sous prétexte d’éviter les risques pour la mère et pour l’enfant en contrôlant la transmission de maladies génétiques à ce dernier.
Le Daily Mail a fait remonter l’information le 26 mars 2022 sur la parution d’un rapport de recommandations sur l’avortement de 210 pages publié le 9 mars dernier. Epoch Time rappelle quelques grands principes de ce rapport, l’OMS indique clairement son « opposition aux lois et autres réglementations qui interdisent l’avortement en fonction d’une limite d’âge gestationnel ».
L’OMS conseille que les femmes n’aient plus besoin d’une prescription d’un personnel de santé pour pouvoir interrompre leur grossesse. Le rapport préconise que des systèmes d’envoi de pilules par la poste soient mis en place pour permettre aux femmes de recevoir des médicaments abortifs sur simple appel téléphonique. L’organisation onusienne suggère également de limiter les droits des professionnels de la santé à faire valoir leur objection de conscience sur l’avortement.
Emmanuel Macron avait profité de la vague Omicron en février 2022 pour faire passer le rallongement de l’IVG de 12 à 14 semaines sous prétexte que 2000 patientes seraient contraintes chaque année de se rendre à l’étranger pour avorter.
Dépénaliser l’infanticide et faire de l’enfant à naître un objet de consommation
L’idée pourrait donc bien être de faire disparaitre le crime d’infanticide prénatal et néonatal ; d’ailleurs une publication très sérieuse de 2 jeunes chercheurs argumentait dès 2012 que puisque dans certains pays et dans certaines situations, il était permis de mettre fin à la vie d’un enfant à naitre juste avant la naissance, pourquoi ne pas l’autoriser précisément juste après la naissance car le délai entre ces 2 événements théoriques ne justifiait pas que l’on interdise l’infanticide post natal. Après avoir suscité l’émoi, cette publication n’a jamais été retirée. Aujourd’hui, l’OMS va dans le sens de cette proposition et considère – sur la base d’un artefact purement juridique – que l’enfant in utéro n’a pas la reconnaissance de personne tant qu’il n’a pas pris sa première respiration.
Quel est le véritable objectif de cette politique ? Mais il est très clair… il consiste à prendre le contrôle de la vie naissante et à déposséder les femmes de leur maternité. La PMA – également portée par l’OMS et donc en cascade par l’ensemble des pays membres qui ont pour obligation d’ajuster leurs lois nationales aux lois internationales (effet contraignant), se justifierait par la sélection des gènes afin d’atteindre le « zéro défaut », choisir la couleur des cheveux, des yeux, etc. Les cliniques de procréation assistée se sont développées comme jamais dans le monde durant les 10 dernières années. Le marché mondial est estimé à plusieurs centaines de milliards. La finalité de cette politique est sans aucun doute le développement de l’utérus artificiel, c’est-à-dire un dispositif d’ectogenèse qui permet une gestation de l’être humain en dehors du corps de la femme. L’affranchissement du corps reste l’objectif suprême des transhumanistes. Le projet de l’utérus artificiel est en cours, il est justifié par la prise en charge des grands prématurés et a déjà prouvé sa faisabilité technique avec l’expérience réussie de Flake et al. en 2017 sur un fœtus d’Agneau. Personne n’est dupe sur la finalité de ces recherches.
Pour développer le marché et s’octroyer l’acceptation de l’opinion publique, il faut d’abord discréditer la grossesse, mettre en avant les risques pour la mère et pour l’enfant, permettre aux femmes de mettre fin à la vie de leur enfant in utéro… il faut « chosifier » l’enfant à naître, en faire un produit de consommation courante, ce qui a d’ailleurs été facilité en France par la loi de Mme Taubira sur la GPA qui ne cache ni son appartenance à la franc-maçonnerie où est né le projet transhumaniste ni son idéologie mortifère.
Là aussi, le Covid représente étrangement un autre effet d’opportunité : la vaccination contre Sars-Cov 2, notamment les vaccins à ARNm affecteraient le cycle féminin et la fertilité des femmes. L’ancien responsable de la recherche respiratoire chez Pfizer, le Dr Mike Yeadon, et le spécialiste des poumons, le Dr Wodarg, ont déposé une pétition auprès de l’Agence médicale européenne pour avertir que les vaccins COVID peuvent provoquer une stérilité féminine. “Les anticorps produits par le vaccin COVID pourraient rendre les femmes infertiles en attaquant une protéine nécessaire à la formation d’un placenta”. Cette déclaration a été contestée par la presse subventionnée. Cependant, une étude conduite en 2021 montre clairement qu’un nombre important de femmes rapportent une modification du cycle menstruel après vaccination contre Covid-19. Ces constats serviront sans nul doute à justifier l’utilisation d’une gestation artificielle de la procréation au profit du biopouvoir tenu par la même industrie pharmaceutique qui blesse les femmes (et les hommes) avec ses vaccins.
Déposséder la femme de sa fonction reproductive et s’affranchir du corps pour procréer
Déposséder la femme de sa fonction reproductive est depuis longtemps un objectif de fond de l’eugénisme d’ailleurs promu par Michel Simon dans son livre « De la vie avant toute chose » rédigé en 1979. Ayant fait voter en France la loi Veil sur l’avortement, qu’il qualifie de bienfait pour l’humanité, ce franc-maçon de 33ème grade vantait également dans son livre les progrès de la cybernétique pour le contrôle des individus. Henri Callaivet, ancien sénateur et autre frère en maçonnerie, a lui œuvré à l’autre extrémité de la politique mortifère de la France en défendant âprement l’euthanasie qui a depuis progressé avec les lois de bioéthique, outil destiné à transgresser le respect de la vie et à permettre l’élimination légale des plus faibles. Le Sars-Cov 2, dont on sait qu’il a été façonné par l’homme – représente le point de départ du Great Reset où rien n’est laissé au hasard. Il a permis d’accélérer le départ prématuré de nos ainés puisqu’en 2020 la moyenne d’âge des personnes décédées du Covid était de 83 ans. Un succédané de l’euthanasie en fin de vie.
Quelle belle opportunité que le Covid – comme l’a officiellement annoncé l’économiste mondialiste Pippa Malmgren (World Governement Summit 2022) anciennement conseillère du président des Etats-Unis qui travaille à la mise en place d’une monnaie numérique mondiale et à la disparition de la monnaie papier, prochaine étape de la dictature mondiale – car il permet cette fois d’instaurer les lois nécessaires à l’assujettissement de nos vies. La dictature parfaite est celle qui ne permet plus aucune échappatoire. Cela aussi, ils y travaillent : Shangaï où sont enfermés les citoyens sans nourriture dans des tours d’habitation préfigure les camps où les réfractaires à la vaccination et les cas contacts pourraient être enfermés. Penser que l’Europe ne travaille pas à ces projets est illusoire.
(Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/04/21/great-reset-pourquoi-loms-promeut-lavortement-jusqua-la-naissance/ )
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Re: COVID-19 : La Pandémie des Vaccinés !
(Source : https://gloria.tv/post/N2XEGWPScoD83MyF4UnQrQFzu/replies )
432- GÉNOCIDE par les "VACCINS"COVID en COURS : TÉMOIGNAGES 1643 à 1651
https://catholique.forumactif.com/t977p880-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-2#12716
https://catholique.forumactif.com/t977p880-les-piquouses-ne-vivront-pas-plus-de-10-ans-2#12716
433- Le VRAI PROGRAMME de MACRON,
c’est HARARI qui en PARLE le MIEUX !
c’est HARARI qui en PARLE le MIEUX !
https://gloria.tv/post/6j3pP6Khwx2C2CktTRY6JiN6J#85
Si vous ne le connaissez pas encore, je vous invite à découvrir Yuval Noah Harari, le charmant gourou de l’oligarchie mondialiste :
« La grande question politique et économique du XXIème siècle sera de savoir pourquoi nous avons besoin des humains ? Ou du moins, pour quelle raison avons-nous besoin de tant d’humains ? »
« Une fois que vous savez comment produire des corps, des cerveaux et des esprits, alors la main-d’oeuvre bon marché en Afrique ou en Asie, n’importe où, ne vaut plus rien ».
« Les êtres humains ne sont que des algorithmes biochimiques. Avec suffisamment de puissance de calcul, vous pouvez les hacker… donc les contrôler et les manipuler ».
« La grande question politique et économique du XXIème siècle sera de savoir pourquoi nous avons besoin des humains ? Ou du moins, pour quelle raison avons-nous besoin de tant d’humains ? »
« Une fois que vous savez comment produire des corps, des cerveaux et des esprits, alors la main-d’oeuvre bon marché en Afrique ou en Asie, n’importe où, ne vaut plus rien ».
« Les êtres humains ne sont que des algorithmes biochimiques. Avec suffisamment de puissance de calcul, vous pouvez les hacker… donc les contrôler et les manipuler ».
(Source : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/04/22/le-vrai-programme-de-macron-cest-harari-qui-en-parle-le-mieux/ )
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Re: COVID-19 : La Pandémie des Vaccinés !
435- Des CAS d’ULCÈRES VULVAIRES RARES
SIGNALÉS chez des ADOLESCENTES
après des INJECTIONS PFIZER
SIGNALÉS chez des ADOLESCENTES
après des INJECTIONS PFIZER
Selon le numéro d’avril du Journal ofPediatric & Adolescent Gynecology, des cas d’ulcères vulvaires rares ont été diagnostiqués chez des adolescentes après avoir reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer à ARN messager (ARNm).
La revue médicale a rapporté six cas d’adolescentes âgées de 12 à 16 ans ayant développé des ulcères génitaux douloureux dans les quatre jours suivant leur deuxième dose de vaccin, dont deux cas survenus après une infection au Covid‑19.
C’est la première fois que des cas d’ulcères vulvaires chez des adolescentes et des jeunes femmes sont abordés et discutés dans la littérature médicale.
Les médecins ayant constaté ces cas affirment qu’il est « important d’identifier et d’expliquer les effets indésirables possibles pour aider à dissiper l’hésitation que certains patients peuvent ressentir à l’idée de recevoir un nouveau vaccin. »
Les ulcères vulvaires (connus sous le nom d’ulcères vulvaires aphteux, d’ulcères de lipschütz ou d’ulcérations génitales aiguës) sont des lésions douloureuses non sexuellement acquises formées sur les structures externes des organes génitaux féminins, ou la vulve. Cette affection touche principalement les adolescents et les jeunes femmes, mais des cas de femmes plus âgées ont également été signalés.
Contrairement aux aphtes, qui constituent un effet indésirable avéré de certains vaccins, dont les injections Covid‑19, les ulcérations vulvaires ne le sont pas.
Au 14 avril, une simple recherche sur le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le système américain de signalement d’effets secondaires, pour ulcèreaphteux, ulcération vaginale, ulcération vulvaire, liés vaccin Pfizer Covid‑19, résultait sur 282 événements indésirables.
Parmi ceux‑ci, plus de 40 rapports étaient liés à des ulcères génitaux chez des adolescentes et des jeunes femmes quelques jours après la deuxième injection Pfizer, tandis que les autres étaient des rapports d’ulcères buccaux. Plusieurs cas sont également survenus après la première et la troisième dose.
La plus jeune à avoir présenté des ulcères vulvaires était une fillette de 10 ans de Caroline du Nord, qui a développé plusieurs lésions douloureuses 24 heures après sa deuxième injection Pfizer le 29 janvier 2022 (numéro d’identification VAERS : 2087752‑1). Elle a été testée négative pour le virus de l’herpès simplex. Le rapport ne mentionne pas si elle a été testée au Covid‑19.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) mettent en garde contre le fait que les rapports transmis au VAERS ne constituent pas nécessairement une preuve du lien de causalité.
« Bien qu’ils soient très importants pour surveiller la sécurité des vaccins, les rapports VAERS ne peuvent pas être utilisés de manière isolée pour déterminer si un vaccin a causé ou contribué à un événement indésirable ou une maladie », ont écrit les CDC.
Rapports de cas
Le premier rapport de cas décrivant un lien de causalité potentiel entre le développement d’ulcères vulvaires et la vaccination Pfizer Covid‑19 concernait une patiente de 16 ans du Minnesota. Elle a présenté de la fièvre, des douleurs corporelles, de la fatigue et des lésions vaginales dans les 24 heures qui ont suivi l’administration d’une deuxième dose du vaccin Covid‑19 à ARNm. Les ulcères sont devenus extrêmement douloureux et la patiente avait des difficultés à marcher, à uriner et à déféquer lorsqu’elle a été examinée à la clinique de gynécologie pédiatrique six jours après sa vaccination.
La patiente a été testée pour le Covid‑19, pour des maladies sexuellement transmissibles et deux virus courants ‑ le virus d’Epstein‑Barr (EBV) et le cytomégalovirus (CMV). Tous les tests se sont révélés négatifs, à l’exception du test EBV, qui indiquait qu’elle avait déjà été infectée.
Les ulcères vulvaires non sexuellement acquis ont été associés à plusieurs infections virales, notamment l’EBV, la grippe et, plus récemment, le Covid‑19. Cependant, sur la base de la présentation clinique de la patiente, les médecins ont conclu que les ulcères étaient associés au vaccin à ARNm de Pfizer.
En l’absence de protocole de traitement standard pour ces types d’ulcères, le traitement consiste généralement à administrer des médicaments oraux et topiques pour contrôler la douleur. Des bains de siège sont également prescrits pour soulager la douleur, le gonflement et d’autres symptômes.
Le deuxième rapport de cas (pdf) concerne une jeune fille de 14 ans du Nebraska qui a signalé des douleurs et des lésions vulvaires deux jours après avoir reçu son deuxième vaccin Pfizer. Avant d’éprouver des douleurs vulvaires, la patiente présentait « des symptômes transitoires mais graves de fatigue, de douleurs corporelles et d’insomnie » 12 heures après l’injection d’ARNm. Tous ses tests, y compris pour le Covid‑19, étaient négatifs.
« Nous pensons que ce cas démontre une nouvelle association possible entre le vaccin Pfizer et le développement d’un ulcère vulvaire aphteux chez une patiente adolescente », ont écrit les auteurs du rapport.
La revue médicale a rapporté six cas d’adolescentes âgées de 12 à 16 ans ayant développé des ulcères génitaux douloureux dans les quatre jours suivant leur deuxième dose de vaccin, dont deux cas survenus après une infection au Covid‑19.
C’est la première fois que des cas d’ulcères vulvaires chez des adolescentes et des jeunes femmes sont abordés et discutés dans la littérature médicale.
Les médecins ayant constaté ces cas affirment qu’il est « important d’identifier et d’expliquer les effets indésirables possibles pour aider à dissiper l’hésitation que certains patients peuvent ressentir à l’idée de recevoir un nouveau vaccin. »
Les ulcères vulvaires (connus sous le nom d’ulcères vulvaires aphteux, d’ulcères de lipschütz ou d’ulcérations génitales aiguës) sont des lésions douloureuses non sexuellement acquises formées sur les structures externes des organes génitaux féminins, ou la vulve. Cette affection touche principalement les adolescents et les jeunes femmes, mais des cas de femmes plus âgées ont également été signalés.
Contrairement aux aphtes, qui constituent un effet indésirable avéré de certains vaccins, dont les injections Covid‑19, les ulcérations vulvaires ne le sont pas.
Au 14 avril, une simple recherche sur le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le système américain de signalement d’effets secondaires, pour ulcèreaphteux, ulcération vaginale, ulcération vulvaire, liés vaccin Pfizer Covid‑19, résultait sur 282 événements indésirables.
Parmi ceux‑ci, plus de 40 rapports étaient liés à des ulcères génitaux chez des adolescentes et des jeunes femmes quelques jours après la deuxième injection Pfizer, tandis que les autres étaient des rapports d’ulcères buccaux. Plusieurs cas sont également survenus après la première et la troisième dose.
La plus jeune à avoir présenté des ulcères vulvaires était une fillette de 10 ans de Caroline du Nord, qui a développé plusieurs lésions douloureuses 24 heures après sa deuxième injection Pfizer le 29 janvier 2022 (numéro d’identification VAERS : 2087752‑1). Elle a été testée négative pour le virus de l’herpès simplex. Le rapport ne mentionne pas si elle a été testée au Covid‑19.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) mettent en garde contre le fait que les rapports transmis au VAERS ne constituent pas nécessairement une preuve du lien de causalité.
« Bien qu’ils soient très importants pour surveiller la sécurité des vaccins, les rapports VAERS ne peuvent pas être utilisés de manière isolée pour déterminer si un vaccin a causé ou contribué à un événement indésirable ou une maladie », ont écrit les CDC.
Rapports de cas
Le premier rapport de cas décrivant un lien de causalité potentiel entre le développement d’ulcères vulvaires et la vaccination Pfizer Covid‑19 concernait une patiente de 16 ans du Minnesota. Elle a présenté de la fièvre, des douleurs corporelles, de la fatigue et des lésions vaginales dans les 24 heures qui ont suivi l’administration d’une deuxième dose du vaccin Covid‑19 à ARNm. Les ulcères sont devenus extrêmement douloureux et la patiente avait des difficultés à marcher, à uriner et à déféquer lorsqu’elle a été examinée à la clinique de gynécologie pédiatrique six jours après sa vaccination.
La patiente a été testée pour le Covid‑19, pour des maladies sexuellement transmissibles et deux virus courants ‑ le virus d’Epstein‑Barr (EBV) et le cytomégalovirus (CMV). Tous les tests se sont révélés négatifs, à l’exception du test EBV, qui indiquait qu’elle avait déjà été infectée.
Les ulcères vulvaires non sexuellement acquis ont été associés à plusieurs infections virales, notamment l’EBV, la grippe et, plus récemment, le Covid‑19. Cependant, sur la base de la présentation clinique de la patiente, les médecins ont conclu que les ulcères étaient associés au vaccin à ARNm de Pfizer.
En l’absence de protocole de traitement standard pour ces types d’ulcères, le traitement consiste généralement à administrer des médicaments oraux et topiques pour contrôler la douleur. Des bains de siège sont également prescrits pour soulager la douleur, le gonflement et d’autres symptômes.
Le deuxième rapport de cas (pdf) concerne une jeune fille de 14 ans du Nebraska qui a signalé des douleurs et des lésions vulvaires deux jours après avoir reçu son deuxième vaccin Pfizer. Avant d’éprouver des douleurs vulvaires, la patiente présentait « des symptômes transitoires mais graves de fatigue, de douleurs corporelles et d’insomnie » 12 heures après l’injection d’ARNm. Tous ses tests, y compris pour le Covid‑19, étaient négatifs.
« Nous pensons que ce cas démontre une nouvelle association possible entre le vaccin Pfizer et le développement d’un ulcère vulvaire aphteux chez une patiente adolescente », ont écrit les auteurs du rapport.
Une fillette reçoit le vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19 au Fairfax County Government Center à Annandale, en Virginie, le 4 novembre 2021.
Au Children’s Mercy Hospital du Missouri, trois patientes âgées de 12 à 15 ans ont reçu un diagnostic d’ulcère génital entre juin et septembre 2021. Toutes trois se sont présentées aux urgences avec des douleurs et de multiples ulcères de la vulve dans les 24 à 48 heures après leur deuxième dose de vaccin Pfizer. Elles ont été testées négatifs pour le cytomégalovirus et le virus d’Epstein‑Barr, et aucune n’avait récemment été exposée au Covid‑19. Leurs symptômes se sont atténués spontanément à la troisième semaine.
Le sixième rapport concerne une jeune fille de 16 ans du Massachusetts qui a développé des douleurs à la miction, des démangeaisons et des écoulements vulvaires, ainsi qu’un gonflement labial quatre jours après sa deuxième dose de vaccin Pfizer. Le jour suivant, elle s’est présentée à la clinique gynécologique avec des ulcères de la vulve. Elle a été testée négative pour le virus de l’herpès simplex 1 et 2, le virus d’Epstein‑Barr, le cytomégalovirus et le mycoplasme, une bactérie.
« En cette période de pandémie, il faut envisager de tester l’infection au Covid‑19 ou de s’enquérir d’une vaccination récente au Covid‑19 chez toutes les jeunes femmes présentant des ulcérations génitales aiguës », ont déclaré les auteurs du rapport de cas.
Les six patientes n’ont eu aucune réaction indésirable à leur première injection Pfizer. Le temps nécessaire à la disparition des ulcères et de la douleur a varié pour chacune d’entre elle, allant d’une semaine à trois semaines avec des médicaments et d’autres soins de soutien.
Les responsables de Pfizer n’ont pas répondu à l’heure de la mise sous presse à une demande de commentaires d’Epoch Times.
Le sixième rapport concerne une jeune fille de 16 ans du Massachusetts qui a développé des douleurs à la miction, des démangeaisons et des écoulements vulvaires, ainsi qu’un gonflement labial quatre jours après sa deuxième dose de vaccin Pfizer. Le jour suivant, elle s’est présentée à la clinique gynécologique avec des ulcères de la vulve. Elle a été testée négative pour le virus de l’herpès simplex 1 et 2, le virus d’Epstein‑Barr, le cytomégalovirus et le mycoplasme, une bactérie.
« En cette période de pandémie, il faut envisager de tester l’infection au Covid‑19 ou de s’enquérir d’une vaccination récente au Covid‑19 chez toutes les jeunes femmes présentant des ulcérations génitales aiguës », ont déclaré les auteurs du rapport de cas.
Les six patientes n’ont eu aucune réaction indésirable à leur première injection Pfizer. Le temps nécessaire à la disparition des ulcères et de la douleur a varié pour chacune d’entre elle, allant d’une semaine à trois semaines avec des médicaments et d’autres soins de soutien.
Les responsables de Pfizer n’ont pas répondu à l’heure de la mise sous presse à une demande de commentaires d’Epoch Times.
(Source : https://www.mondialisation.ca/des-cas-dulceres-vulvaires-rares-signales-chez-des-adolescentes-apres-des-injections-pfizer/5667490 )
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« CELUI qui MOURRA REVÊTU de cet HABIT (le SCAPULAIRE du CARMEL) SERA PRÉSERVÉ des FEUX ÉTERNELS. »
« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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Re: COVID-19 : La Pandémie des Vaccinés !
437- Les PSEUDO-VACCINS
TOUCHENT les 15-44 ANS au CŒUR
TOUCHENT les 15-44 ANS au CŒUR
On constate une augmentation de 67 % des personnes âgées de 15 à 44 ans souffrant de crises cardiaques, d'arrêts cardiaques, de myocardites, d'accidents vasculaires cérébraux et d'autres maladies cardiovasculaires, depuis que cette tranche d'âge a reçu des injections de pseudo-vaccins.
Les chiffres pour la seule année 2022 montrent même une augmentation de 73 %, a révélé Public Health Scotland.
Après les injections, il y a eu environ 110-185 cas de maladies cardiovasculaires dans cette tranche d'âge (avant : 60-100).
La plus forte augmentation a été enregistrée en septembre 2021, avec une hausse de 82 % (décembre : 81 %) par rapport à la moyenne.
Le Covid-19 n'y est pour rien, sinon les chiffres seraient similaires pour 2020, écrit DailyExpose.uk (21 avril). L'autre événement majeur après le second semestre 2021 est l'introduction des injections expérimentales.
Les chiffres pour la seule année 2022 montrent même une augmentation de 73 %, a révélé Public Health Scotland.
Après les injections, il y a eu environ 110-185 cas de maladies cardiovasculaires dans cette tranche d'âge (avant : 60-100).
La plus forte augmentation a été enregistrée en septembre 2021, avec une hausse de 82 % (décembre : 81 %) par rapport à la moyenne.
Le Covid-19 n'y est pour rien, sinon les chiffres seraient similaires pour 2020, écrit DailyExpose.uk (21 avril). L'autre événement majeur après le second semestre 2021 est l'introduction des injections expérimentales.
(Source : https://gloria.tv/post/Tn9TFbq3RTsF1ZkBnjsbuZmxn )
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Une Bombe - Alexandra Henrion-Caude y va d'une Bombe :
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L'Administrateur
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439- Le FILS DÉCRIT la MORT de sa MÈRE
après l’INJECTION de MODERNA
après l’INJECTION de MODERNA
Dans une interview exclusive accordée au Defender, Jeffrey Beauchine a déclaré que sa mère, Carol, savait que sa maladie de Creutzfeldt-Jakob était liée à l'injection de Moderna. Assister à sa mort était comme « quelque chose que l'on voit dans un film », a-t-il dit.
Carol Beauchine est décédée le 2 août 2021 des suites de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) sporadique, une maladie cérébrale dégénérative mortelle à évolution rapide qu’elle a développée après sa deuxième dose du vaccin contre la COVID-19 de Moderna.
Dans une interview exclusive accordée au Defender, le fils de Carol, Jeffrey Beauchine, a déclaré qu’il était atroce de voir sa mère de 70 ans – qui était en bonne santé jusqu’à ce qu’elle soit vaccinée – mourir d’une maladie qu’il pense être causée par le vaccin.
« J’ai vu beaucoup de choses au cours de mes 20 années en tant qu’officier de police », a déclaré Beauchine. « J’ai vu des centaines de personnes se faire tirer dessus et cela m’a affecté plus que tout. »
M. Beauchine a déclaré que Carol avait reçu sa première dose de Moderna le 16 février 2021 et qu’elle n’avait signalé aucune plainte. Après avoir reçu la deuxième dose le 17 mars, Carol a immédiatement déclaré qu’elle « se sentait différente ».
A dit M. Beauchine :
« Le 17 mars, elle a reçu sa deuxième dose et a immédiatement commencé à avoir des réactions à la deuxième dose. Elle avait un malaise. Elle ne se sentait pas bien et a dit qu’elle se sentait « bizarre ». Elle a eu ce qu’elle a décrit comme une douleur et une sensation de brûlure au point d’injection – comme si quelqu’un attachait une corde chaude autour de son bras. Puis elle a expliqué que c’était un engourdissement qui s’installait autour du site d’injection. »
M. Beauchine a déclaré que lui et les membres de sa famille ne pensaient pas que c’était un effet secondaire habituel, mais ils ne pensaient pas non plus que c’était inhabituel.
« Nous avons simplement pensé que c’était le résultat de l’injection qui passait dans le système », a déclaré M. Beauchine. « Puis l’engourdissement s’est propagé dans son cou et dans son bras gauche. »
L’engourdissement a altéré l’audition de Carol et s’est propagé « dans ses mains » jusqu’à ce que la main gauche perde toute sensation et mobilité.
A dit M. Beauchine :
« À ce stade, c’était tout son bras gauche. Elle a commencé à souffrir d’insomnie. Elle passait deux ou trois jours sans dormir, puis elle était fatiguée. L’engourdissement a continué à se propager. Il est descendu jusqu’à sa hanche et s’est déplacé vers ses genoux, puis vers tout le côté gauche. On pouvait presque diviser son corps en deux : le côté gauche était engourdi et le côté droit était normal. »
M. Beauchine a déclaré que Carol s’est rendue chez les médecins – qui ont d’abord pensé qu’elle avait subi un accident vasculaire cérébral – mais que ses scanners IRM étaient tout à fait normaux.
« Personne n’a pu trouver quoi que ce soit d’anormal chez elle, alors ils l’ont renvoyée chez elle », a déclaré M. Beauchine. « C’était presque comme une réassurance, alors qu’en même temps je me demandais pourquoi ils ne pouvaient pas. »
Carol a ensuite développé des tremblements dans son bras gauche.
« C’était presque comme si son bras se mettait à trembler involontairement », a déclaré M. Beauchine. « Puis les tremblements se sont déplacés vers la jambe gauche. »
Ajoute M. Beauchine :
« Ma mère a commencé à se plaindre que quelque chose n’allait pas avec son cerveau. Elle disait qu’elle n’arrivait plus à rassembler ses idées ou à donner un sens aux choses, mais qu’elle pouvait encore communiquer. Au téléphone, vous ne verriez pas la version altérée de ma mère que j’ai connue pendant 44 ans. »
Puis Carol a développé une double vision qui a fini par la rendre aveugle, et elle a commencé à avoir des hallucinations.
« Elle se voyait tomber de la chaise et elle se voyait physiquement sur le sol », a déclaré M. Beauchine. « C’était bizarre à comprendre. Elle a développé une peur de l’eau et avait peur lorsqu’elle était près d’un plan d’eau. »
Les médecins ont cru que Carol souffrait d’anxiété à cause de la piqûre et ont commencé à la traiter pour l’anxiété. Pendant ce temps, Carol a perdu la capacité de marcher.
Dit M. Beauchine :
« Elle était encore à la maison à ce moment-là parce que l’hôpital ne trouvait rien d’anormal chez elle. Elle était pratiquement en fauteuil roulant. Elle est passée de celle qui s’occupe de tout le monde à mon père de 70 ans qui s’occupe d’elle. Puis c’est devenu trop dur pour lui et lors d’une visite chez le médecin, ils l’ont admise pour voir s’ils pouvaient approfondir la question. »
M. Beauchine a déclaré que les médecins avaient effectué tous les tests possibles, y compris une IRM, mais qu’ils n’avaient rien trouvé. Les seules choses que les médecins ont remarquées sont les problèmes évidents de mobilité du côté gauche de son corps et les problèmes d’équilibre.
Les médecins ont également dit qu’il y avait « quelque chose d’anormal avec son cervelet, mais ils ne savaient pas ce que c’était », a-t-il ajouté. Carol a essayé d’expliquer aux médecins que quelque chose d’ « interne » n’allait pas chez elle.
« Elle a ensuite été placée dans une maison de retraite », a déclaré M. Beauchine. « C’était la première fois que je voyais ma mère vraiment malade. »
Il a dit :
« Elle était dans une maison de retraite où il y avait toute cette COVID et nous devions nous tenir devant la fenêtre et crier à travers le trou du climatiseur pour parler à ma mère. Elle se sentait vaincue et effrayée, et mon père s’est occupé d’elle 18 heures par jour – la nourrissant à la cuillère – jusqu’à la fin. Tout s’est passé si vite. »
Finalement, Carol a pu être placée dans une maison de soins spécialisés, mais son état s’est rapidement détérioré.
« Elle a perdu la capacité de se nourrir parce qu’elle ne pouvait pas mettre la nourriture sur sa fourchette pour la mettre dans sa bouche », a déclaré M. Beauchine. « Ça m’a anéanti parce que je pouvais voir dans ses yeux, sans que nous ayons aucune conversation, la peur et comme si elle était vaincue. »
M. Beauchine a dit qu’il n’y avait plus de bons jours et que sa mère avait perdu la capacité de communiquer.
« À la mi-juillet, ma mère était devenue complètement rigide », a-t-il déclaré. « Les lèvres ont cessé de bouger. Elle ne pouvait sortir que quelques syllabes. Elle tombait presque d’un fauteuil roulant en position avancée. Elle ne pouvait pas dire si elle était assise. »
M. Beauchine a déclaré que sa mère savait depuis le début que son état était lié à l’injection.
« Nous savions tous depuis le début que c’était lié à l’injection, mais nous ne savions pas à quel point la situation allait s’aggraver », a déclaré M. Beauchine. « Les gens ont tout le temps de mauvaises réactions, mais on s’en remet. Elle ne s’en est pas remise. »
M. Beauchine a dit que les médecins ne savaient pas quoi faire car « c’était tellement nouveau ».
« Je suis plus satisfait d’un médecin qui me dit qu’il ne sait pas si c’est le vaccin parce qu’il n’y a pas de recherche que des médecins qui disent que ce n’est certainement pas le vaccin », a-t-il déclaré. « J’ai eu plus de « je ne sais pas » que de démentis. »
Fin juillet, le mari de Carol n’arrivait pas à la réveiller à la maison de retraite. La famille s’est réunie et a décidé que leur mère devait retourner à l’hôpital.
Dit M. Beauchine :
« Quand j’ai tourné le coin, j’ai vu ma mère et c’était comme si elle criait ou hurlait. Ses yeux étaient complètement fixés dans la position ouverte. Sa bouche était coincée en position ouverte et elle avait de violents tremblements qui ne s’arrêtaient pas. Elle ne comprenait pas ce qui se passait. La seule façon de le dire, c’est qu’une bombe a explosé dans sa tête. »
« C’était atroce pour nous tous. Mon père était comme un cerf dans les phares – un regard vide que je n’avais jamais vu auparavant. Et j’ai vu beaucoup de choses dans ma vie avec mon travail mais là c’était comme… une bombe a explosé dans la tête de ma mère et tous ses membres ont été pris de convulsions et de tremblements. »
« C’est comme si on sortait d’un film. On dit qu’avec cette maladie, on arrive à la falaise et qu’il n’y a qu’une chute et qu’une fois qu’on tombe, on est capable de voir physiquement ce point de chute – et on pouvait le voir cette nuit-là. »
Les médecins ont envoyé Carol au Strong Memorial de Rochester, dans l’État de New York, et ont confirmé en quelques semaines qu’elle était atteinte de la MCJ.
« Nous ne savions pas ce qu’était la MCJ, mais on nous a dit que c’était comme la maladie de la vache folle, mais avec une variante différente ou un mode de transmission différent », a déclaré M. Beauchine. « Même maladie mais une façon différente de l’attraper. »
Le pronostic vital de Carol était engagé et on a dit à la famille qu’il ne lui restait que quelques jours à vivre. M. Beauchine a déclaré qu’un groupe composé de médecins et d’étudiants qui supervisaient le cas de Carol était ouvert au fait qu’ils ne savaient pas ce qui avait causé sa MCJ.
« Les gens apprenaient et ils disaient nous ne savons pas si cela est lié au vaccin ou non . Nous ne savons pas parce que le vaccin est nouveau et qu’il n’y a pas eu beaucoup d’études sur le vaccin. Nous ne le saurons pas avant le long terme. »
Carol est décédée le 2 août 2021 de la MCJ – une maladie qu’elle n’avait pas avant de recevoir sa deuxième dose de Moderna quelques mois plus tôt. Ses médecins ont déposé un rapport auprès du Vaccine Adverse Event Reporting System des Centers for Disease Control and Prevention (VAERS I.D. 2180699).
Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les effets indésirables des vaccins aux États-Unis. Selon le site Web des CDC, « les cliniciens des CDC et de la [U.S. Food and Drug Administration] examinent les rapports de décès transmis au VAERS, y compris les certificats de décès, les autopsies et les dossiers médicaux. »
M. Beauchine a confirmé que la famille n’a jamais été contactée par les CDC au sujet de la mort de sa mère et, à sa connaissance, les médecins de celle-ci ne l’ont pas été non plus.
M. Beauchine a déclaré que Carol était une personne relativement saine, sans antécédents de COVID. Sa seule condition sous-jacente était l’arthrite.
« Elle s’occupait toujours des autres et lorsque toute l’affaire COVID a éclaté dans les médias, elle a voulu rester protégée pour pouvoir voir ses enfants et petits-enfants », a déclaré M. Beauchine. « Elle ne voulait pas être gênée par le virus, alors quand l’occasion s’est présentée pour sa tranche d’âge, elle a reçu la première dose sans se plaindre. »
M. Beauchine a déclaré qu’il avait également reçu le vaccin contre la COVID parce qu’il était requis pour son travail.
« À l’époque, il y avait une petite pointe d’excitation parce qu’ils vous avaient tant fait craindre pour la COVID-19 et qu’il y avait enfin une petite lumière au bout du tunnel », a-t-il déclaré. « Et tout allait bien se passer. »
Il a ajouté :
« J’ai reçu le vaccin. Ma femme a reçu le vaccin. Mon père a reçu le vaccin. Mes enfants n’auront jamais le vaccin. Je ne suis pas contre un vaccin contre la COVID-19, mais il faut des années et des années et des années d’essais et d’études cliniques pour juger que quelque chose est sûr à mettre dans le corps humain, et cela n’a pas été fait. Nous avons tous fermé les yeux à l’époque dans des moments d’espoir. »
« Je ne savais rien de tout ce que nous savons maintenant, et puis vous découvrez que la hydroxychloroquine et l’ivermectine a été utilisée hors étiquette pendant des années, mais pour obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), vous devez montrer qu’il n’y a pas de traitement disponible pour pouvoir donner cette autorisation, donc ils ont tué les traitements, donné l’EUA, mais il n’y a aucune responsabilité de leur côté. »
« C’est juste effrayant que personne ne le savait à l’époque. Si quelqu’un veut prendre une décision en connaissance de cause, qu’il sache à quoi il s’expose. »
M. Beauchine a déclaré que lorsqu’il parle aux gens, ou que sa mère est évoquée dans une conversation, tout le monde semble connaître quelqu’un qui a eu une réaction très grave à un vaccin contre la COVID.
« Je ne suis pas un anti-vaxx. Je ne suis pas fou ou quelque chose comme ça », a déclaré M. Beauchine. « Mais si moi ou ma famille pouvons faire quoi que ce soit pour aider quelqu’un, informer quelqu’un ou même être une statistique qui pourrait aboutir à une sorte de résolution positive dans tout cela, ainsi soit-il. »
Il a ajouté :
« Voir quelqu’un emprunter lentement ce chemin et sa santé se dégrader sous vos yeux de jour en jour pendant quelques mois est terrible. C’est affreux. Personne ne devrait avoir à vivre cela. Nous avons tous eu de la peine pour ma mère pendant tout ce temps. Cela nous a tous affectés. »
Le Defender a reçu de nombreux rapports de personnes décédées de la MCJ sporadique après avoir reçu un vaccin contre la COVID – toutes des femmes âgées de 60 à 70 ans. Cela inclut Cheryl Cohen et Jennifer Deason Sprague.
Selon les dernières données du VAERS, entre le 14 décembre 2020 et le 1er avril 2022, 19 décès dus à la MCJ attribués aux vaccins contre la COVID ont été signalés. La majorité des cas sont survenus dans la tranche d’âge de 65 à 75 ans, avec une apparition soudaine des symptômes.
Quinze des 19 cas ont été attribués au vaccin de Pfizer-BioNTech et quatre cas ont été attribués à l’injection de Moderna.
(Source : https://childrenshealthdefense.org/defender/exclusif-le-fils-decrit-la-mort-de-sa-mere-apres-linjection-de-moderna/?lang=fr )
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