Re: En route vers l'Esclavage de l'Humanité - Harari, le Forum Économique Mondial et le N.O.M. !

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Paroles "incroyables" de Yuval Harari. Le très proche conseiller de Klaus Schwab compare les territoires palestiniens occupés par Israël à un laboratoire de 2,5 millions de cobayes :

« Pirater les gens signifie connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes… Et nous arrivons déjà à l’émergence des régimes de surveillance totale comme dans mon pays en Israël où nous avons un grand laboratoire de surveillance appelé « les territoires occupés » où il y a 2,5 millions de cobayes, qui montre comment surveiller et contrôler complètement une population avec très peu de soldats. »

Nous nous dirigeons rapidement vers la mise en place d'un Système Totalitaire Planétaire !



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LE PROGRAMME "NET ZERO" DU FÉM EST EN FAIT UN COMPLOT POUR ÉLIMINER LA CLASSE OUVRIÈRE !

Le programme « Net Zéro » du Forum économique mondial (FEM) est en fait un complot visant à détruire l’approvisionnement alimentaire et à éliminer la classe ouvrière, selon un nouveau rapport… Une enquête menée par l’Institute for Community Studies (ICS) a révélé que les mondialistes non élus du FEM et de l’Organisation des Nations unies (ONU) utilisent les craintes liées au « changement climatique » pour prendre le contrôle des masses.


07/03/2024

Une enquête menée par l’Institute for Community Studies (ICS) a révélé que les mondialistes non élus du FEM et de l’Organisation des Nations unies (ONU) utilisent les craintes liées au « changement climatique » pour prendre le contrôle des masses.

Tout en établissant l’ONU comme un gouvernement mondial unique pour lutter contre le « réchauffement climatique », le FEM cherche à détruire l’approvisionnement alimentaire tel que nous le connaissons et à remplacer la viande et les produits laitiers issus de l’élevage traditionnel par des produits destinés à la consommation publique de masse et contrôlés par les mondialistes.

Ces dernières années, les élites du FEM ont tenté de diaboliser l’agriculture par des discours alarmistes sur le « réchauffement climatique ».

Les membres du FEM, comme le « tsar du climat » sortant du président démocrate Joe Biden, John Kerry, insistent sur le fait que l’agriculture traditionnelle peut être fermée et remplacée parce qu’elle ne respecte pas les objectifs du « Net Zéro »

En interdisant la viande et les produits laitiers, les mondialistes tels que le FEM et Bill Gates (le plus grand propriétaire américain de terres agricoles) peuvent combler ces grandes lacunes dans l’approvisionnement alimentaire avec leurs propres produits fabriqués par l’homme.

Ces dernières années, Bill Gates s’est employé à promouvoir ses produits de « viande » cultivés en laboratoire, qui permettent de produire du faux « bœuf » et du faux « poulet » dans des usines sans avoir recours à du bétail ou à des exploitations agricoles.

Le FEM, quant à lui, pousse à l’interdiction de la viande et des produits laitiers pour « lutter contre le changement climatique. »

Selon le FEM, la solution consiste à remplacer la viande par des « aliments » à base « d’insectes. »

Un rapport de l’ICS, intitulé « Notre voyage vers le net zéro », conclut que le FEM pousse au « net zéro » pour « rendre les pauvres plus pauvres, et pousser les communautés en difficulté encore plus loin dans le dénuement et l’exclusion. »

Le rapport de l’ICS montre que la transition vers le net zéro entraînera une hausse du chômage, car les industries à forte intensité de carbone seront restructurées de force.

En conséquence, les denrées alimentaires deviendront plus rares et plus chères.

La viande et les produits laitiers deviendront un luxe dont seuls les riches pourront profiter, tandis que le grand public sera contraint de consommer des « aliments » transformés par l’homme.

Le rapport prévient que les changements « écologiques » que le public sera contraint de faire, tels que l’isolation de nos maisons ou le passage à la voiture électrique, seront extrêmement difficiles « pour les ménages à faible revenu ».

L’ICS conclut que les 40 % de ménages les plus pauvres risquent de « tomber dans la pauvreté de transition ».

Aussi choquante que soit cette statistique, le rapport n’est pas une divagation.

Une équipe de chercheurs de l’ICS, du Trinity College de Dublin et des universités de Leeds et de York a examiné en détail les changements de politique et les instruments – subventions, fiscalité, etc. – les plus susceptibles de s’avérer efficaces pour réduire les émissions de CO2.

Ils ont conclu que ces mesures « Net Zéro » entraîneraient une baisse du niveau de vie pour de nombreuses personnes aux États-Unis et dans d’autres pays occidentaux.

Pendant ce temps, des pays comme la Chine communiste, qui bénéficient d’un laissez-passer pour les politiques vertes, ne seront pas affectés par les changements du « Net Zéro » et leurs économies pourront prospérer.

Pour l’essentiel, l’effet général du « net zéro » est similaire à celui d’une taxation régressive.

De même qu’un impôt identique pour tous pénalise le plus ceux qui gagnent le moins, les politiques du « Net Zéro » pénalisent davantage les personnes les moins aisées.

Les plus pauvres ne seront pas les seuls touchés.

Comme le souligne l’ICS, même « les ménages à revenus moyens qui ne connaissaient pas auparavant la précarité financière » pourraient être confrontés à des difficultés.

Le rapport met également l’accent sur les autres déprédations engendrées par le « net zéro ».

Par exemple, le coût et la difficulté accrus des déplacements en voiture réduiront les possibilités de loisirs.

Le rapport ne mâche pas ses mots en ce qui concerne les inconvénients du « Net Zéro ».

Mais il ne remet pas en cause la transition verte elle-même.

Il appelle plutôt à une transition « juste » pour atténuer la douleur socio-économique causée – une cuillerée de sucre pour aider à faire passer le médicament.

Le rapport se plaint même que les désavantages engendrés par les politiques « net zéro » sont exploités « par ceux qui s’opposent à la transition vers le net zéro ».

Mentionnant l’opposition populiste aux programmes anti-voitures tels que les zones à faibles émissions et les quartiers à faible trafic, le rapport indique que certains activistes « provoquent des explosions politiques et des révoltes civiques concernant les ‘droits et libertés' ».

Pour contourner cette opposition, le rapport appelle à une plus grande participation de la population à l’élaboration de la politique du « Net Zéro ».

Selon le rapport, la transition peut être « gérée plus équitablement avec la voix et la participation des ménages et des communautés qu’elle affecte ».

Pourtant, dans le contexte d’un rapport exposant les terribles privations que le Net Zéro fera subir à la société, cet appel à une plus grande participation sonne creux.

Il ressemble à une tentative de mobilisation des pauvres pour leur propre appauvrissement.

En vérité, le Net Zéro sera un objectif d’appauvrissement, quelle que soit la manière dont on l’habille.

Nous marchons comme des somnambules vers un désastre économique et social.

Il est grand temps de se réveiller.

Traduction de Slay News par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/le-net-zero-est-un-complot-du-fem-visant-a-detruire-lapprovisionnement-alimentaire

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Voici l’idéologie de Davos : Yuval Noah Harari et les « inutiles » pic.twitter.com/TqtIjM8Gbe

— . Or-well (@GillesWell) June 1, 2022

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LE VRAI PROGRAMME DE MACRON, C'EST HARARI QUI EN PARLE LE MIEUX !

22 avril 2022

par Olivier Demeulenaere

Déclarations de Yuval Noah Harari :

« La grande question politique et économique du XXIème siècle sera de savoir pourquoi nous avons besoin des humains. Ou du moins, pour quelle raison avons-nous besoin de tant d’humains ? »

« Une fois que vous savez comment produire des corps, des cerveaux et des esprits, alors la main-d’oeuvre bon marché en Afrique ou en Asie, n’importe où, ne vaut plus rien ».

« Les êtres humains ne sont que des algorithmes biochimiques. Avec suffisamment de puissance de calcul, vous pouvez les hacker… donc les contrôler et les manipuler ».

SOURCE :

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/04/22/le-vrai-programme-de-macron-cest-harari-qui-en-parle-le-mieux/

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LE NOUVEAU LIVRE DE YUVAL NOAH HARARI SUR LE POSTHUMANISME DÉMONTRE LA VACUITÉ DU MONDIALISME !

Le nouveau livre de Yuval Noah Harari sur le posthumanisme démontre la vacuité du mondialisme. La dernière incursion de Yuval Noah Harari, chouchou du WEF, dans le futurisme posthumain n'apporte rien de nouveau au lecteur, se contentant de ressasser les idéaux mondialistes despotiques tout en affirmant que la nature humaine n'est pas différente de celle d'une machine programmable.


par Frank Wright

16 septembre 2024

(LifeSiteNews) - Le dernier livre de Yuval Noah Harari sur notre avenir posthumain est un manifeste de l'absence. Il est curieux qu'un prophète de la nouveauté n'apporte pas grand-chose de nouveau, mais à y regarder de plus près, c'est ce vide qui constitue le sens profond de la production de Harari - et de celle de ses sponsors au Forum économique mondial.

Harari est plus connu pour ses premiers ouvrages de fiction spéculative tels que Homo Deus et Sapiens dans lequel il réimagine également l'humanité à son image. Homosexuel sans enfant, il a qualifié Jésus-Christ de "fake news" et a également écrit une série de livres pour enfants.

Son travail est promu par le Forum économique mondial et de nombreux dirigeants libéraux-mondialistes associés à son agenda posthumain comme un signe de l'avenir de l'humanité. Formé à l'histoire, son profil est celui d'une sorte de visionnaire de la société technologique. Ses habitudes personnelles - pas de smartphone, "méditation" quotidienne - sont gentiment satirisées par L'Atlantique comme l'image d'un gourou autoproclamé très apprécié de Bill Gates et de Jeff Bezos.

Pourtant, à y regarder de plus près, il n'y a rien. C'est le centre profond du culte du posthumain dont Harari se fait le champion. Son dernier livre, SapiensIl commence par une description du Big Bang, célébration triomphale de la suprématie du néant chère à tous ceux qui cherchent à refondre Dieu à l'image de l'homme.

Le nouveau livre - Nexus - poursuit l'habitude de Harari d'affirmer comme réelles des choses qu'il n'a pas vues en dehors de sa propre imagination, combinées à des observations trouvées ailleurs. L'affirmation la plus audacieuse de Harari dans Nexus est que, selon Harari, les hommes ne sont pas vraiment différents des machines et que nous ne devrions donc pas nous inquiéter de la pénétration de la nature humaine par l'intelligence artificielle et ses algorithmes.

Ce qu'il est si facile d'oublier dans la prose démesurée de livres comme celui de Harari, c'est qu'ils sont mieux compris comme l'image qu'un homme se fait du monde. Harari ne nous décrit pas, il se décrit lui-même. L'apogée de sa vie "spirituelle" est l'atteinte du vide, sa pensée - telle qu'elle est - exprimée dans le genre d'écriture qui rappelle au lecteur un chatbot. Harari dit dans Nexus que "la plupart des informations ne sont pas une tentative de représentation de la réalité". Pour de telles déclarations, il est considéré comme l'un des "plus grands intellectuels du monde", ce qui prouve au moins qu'il a raison - ne serait-ce qu'à son sujet.

Bien qu'il ne soit pas un scientifique, il s'identifie comme tel, attaquant la foi chrétienne en tant qu'assemblage de croyances par le choix de l'Église catholique, contre la "correction des erreurs" de la "science".

Pour lui, bien sûr, le Christ n'est qu'une simple fiction, tout comme l'est vraisemblablement l'impact du suivi de la science sur les enfermements, le masquage et l'acceptation généralisée des soi-disant "vaccins". La base de la méthode scientifique de Descartes était l'application du doute, mais il n'y a aucune preuve de cela dans l'image du monde soigneusement conservée par Harari - aussi prévisible dans son contenu que le flux Instagram de presque n'importe quelle autre célébrité.

Harari prévient que l'humanité est en train de conjurer une "intelligence extraterrestre" dans ses expériences avec l'IA. On pourrait en dire autant de Harari lui-même, qui estime que "rien de bon" n'est sorti de l'humanité dans ses précédents livres et que, contrairement à lui, nous croyons tous en de simples "fictions".

Il parle au nom de ceux qui pensent qu'ils sont meilleurs et plus aptes à décider de notre avenir, en raison de ce qu'ils pensent d'eux-mêmes. Ce que les gens comme Harari pensent de l'humanité n'est pas non plus nouveau. L'argument en faveur du despotisme est plus ancien que Platon : il s'agit du règne d'une élite d'experts autoproclamés qui sait ce qui est le mieux parce qu'elle croit qu'elle sait mieux que vous. Le travail de Harari réaffirme l'idée que les plus sages doivent gouverner. Ce qui est nouveau ici, c'est que les "plus sages" parlent maintenant avec la voix robotique d'une file d'attente téléphonique automatisée.

Ses idées ressemblent au résultat superficiellement convaincant d'une machine. C'est un verdict sans âme sur la nature et l'avenir de l'humanité. Il aime dire l'homme moderne a abandonné le sens au profit du pouvoir. Ses manifestes en faveur de l'absence de sens ont certainement renforcé son compte en banque et son image publique, mais il ne fournit aucune preuve que la soustraction à grande échelle du sens de la vie des hommes modernes a amélioré leur vie. La plupart de ses propos sont des déclarations de convictions : les siennes.

Pour Harari, le sens auquel le modernisme a renoncé n'a pas de sens. Le modernisme, à travers les religions de l'homme du 20e siècle, a promu l'autonomisation par le démantèlement organisé de l'ordre naturel traditionnel. L'ordre envisagé au 21e siècle, présenté dans l'ouvrage de Harari intitulé "L'homme et la nature", n'a pas de sens. Homo DeusC'est le soleil de la célébrité qui éclaire le rien de nouveau. Depuis Pygmalion, les hommes rêvent de remplacer Dieu dans l'acte de création.

La célébrité et la richesse de Harari ne s'expliquent pas par le mérite, car ses idées ne sont pas nouvelles et n'ont pas un grand pouvoir explicatif. Que vous l'appréciiez ou non, ses notions ne sont pas nouvelles et n'apportent pas grand-chose à l'algorithme social.

Harari n'est pas un scientifique, mais un historien. Il est l'historien d'un mythe de la nature humaine qui commence par l'abiogenèse - la création de tout à partir de rien, par rien.

Ce qui fait de nous des êtres humains, selon lui, c'est une conscience qui est venue du néant et qui, selon Harari, nous y conduit à nouveau. En tant que New Scientist a souligné que la grande idée de Harari selon laquelle la civilisation humaine est le produit d'imaginations partagées, telles que "les dieux, les États, l'argent et les droits de l'homme", provient de Terry Pratchett, un auteur de bandes dessinées.

Ce nouveau livre, NexusIl s'intéresse à la manière dont l'information est transmise et à la façon dont cela affecte notre politique et notre société. Ses idées sur les institutions sociales et politiques ressemblent également au contenu généré par les machines et programmé par les progressistes, comme le sont en fait la plupart des chatbots d'IA. L'avertissement de Harari dans Nexus Le fait que la technologie puisse perturber la "démocratie" n'est un danger que pour ceux qui considèrent que le système actuel de gouvernement par les médias mondialistes est souhaitable.

Certaines de ses idées sont ridicules. "Le pouvoir découle toujours de la coopération entre un grand nombre d'êtres humains", affirme-t-il, ce qui est une contradiction aussi flagrante de la réalité de base qu'il est possible de le faire à propos de notre système actuel, dont les principales politiques survivent avec une immunité déprimante au cycle électoral.

Il affirme que la plupart des informations sont des fictions, mais il déclare également qu'elles constituent "l'élément le plus fondamental de la réalité", laissant la réalité elle-même comme une simple figuration à manipuler. C'est le désordre de l'impie fait chair, et son affirmation est circulaire. Si vous niez la réalité au-delà des mots et des images, alors vos idées à son sujet ne peuvent être falsifiées. C'est la forme la plus élevée de l'absurdité, et elle est présentée comme de la sagesse.

L'ambition globale des commanditaires de Harari est notablement absente de son résumé des systèmes d'information qu'il trouve dans l'histoire. Le vaste "complexe industriel de la censureL'absence de l'expression "l'homme qui nous gouverne" est notable dans cette analyse éclairée du système d'information qui façonne nos vies présentes et futures. Il cite une étude de 2022 sur les "bots" sur Twitter, mais ignore les "bots". fait que d'anciens agents des services de renseignement israéliens façonnent le contenu en utilisant des comptes automatisés sur la plateforme aujourd'hui.

Fait révélateur, Harari affirme que les personnes qui n'aiment pas être dirigées par des bureaucraties idéologiques sont tout simplement ignorantes. Son appel aux futurs maîtres du monde tels que Gates et Bezos est évident. Pourtant, ses observations sur les dangers les plus évidents de l'IA sont faites ailleurs, et Harari ne présente aucune solution à aucun d'entre eux.

Le danger pour les personnes comme Harari, c'est qu'ils pourraient perdre le contrôle, et non que les machines pourraient nous remplacer. Après tout, dit Harari, les humains sont simplement programmés comme des machines.

Le travail de Harari fait lui-même penser à un algorithme : une formule composée de données humaines, formalisée dans le langage des éclairés. Il parle comme à des enfants, n'en ayant pas lui-même, ce qui explique le ton condescendant.

Il est normal qu'un homme dont le destin est tracé par Davos parle comme du haut d'une montagne. Ce qu'il dit n'est pas aussi important que ce que nous voyons quand il le dit : c'est un prophète de la nouveauté, qui ne dit rien de nouveau, mais d'une manière qui est présentée comme pionnière. Bien sûr, l'avenir qu'il promeut est le même despotisme que celui imaginé par tous ceux qui, dans l'histoire, se sont crus supérieurs non pas par leur vertu, mais par leur pensée. La logique de Harari est circulaire, ses affirmations basées sur ses croyances, qui sont énoncées comme des faits contre les "fake news" du Christ, de la culture et de la civilisation qu'il a inspirées et dont le remplacement est la mission des Hommes de la Montagne.

La voix de Harari est comme un message enregistré d'un service dont personne ne veut. Sa vision de l'humanité est sa vision de lui-même : il n'y a rien à découvrir à l'intérieur de l'homme, et il est essentiellement identique à un robot.

Ce point de vue est le chauvinisme de ceux qui sont convaincus de leur propre sagesse ascendante. Le problème avec Harari, c'est qu'il veut être pris au sérieux en tant que prophète de la destinée humaine. Outre le fait que le prophète de la nouveauté ne dit rien de nouveau, sa mission est d'exporter son vide à tous ceux d'entre nous qui ne connaissent rien de mieux que le néant qu'il croit être la naissance de la réalité.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/fr/opinion/le-nouveau-livre-de-yuval-noah-hararis-sur-le-posthumanisme-demontre-la-vacuite-du-mondialisme/

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LA MAISON EST LA NOUVELLE PRISON - PRISONS NUMÉRIQUES DE HAUTE TECHNOLOGIE !

par Jade

1 novembre 2024

Cette pandémie est terminée, mais les autorités britanniques semblent très désireuses d’en lancer une autre, politique cette fois, où divers ministères semblent aligner des propositions visant à maintenir le plus grand nombre possible de personnes à la maison.

Ces ministres semblent très optimistes quant aux capacités de surveillance de divers dispositifs portables, allant jusqu’à permettre le fonctionnement de « prisons virtuelles » (cette fois-ci pour de vrais criminels, et non pour la population en général prise dans des mesures de confinement).

Les responsables des soins de santé aimeraient que les gens s’occupent eux-mêmes de leur santé, dans la mesure du possible, et sont prêts à distribuer des dispositifs portables aux patients pour qu’ils puissent surveiller chez eux tous les aspects de leur vie, de la glycémie à la guérison du cancer ; et maintenant, la ministre de la justice Shabana Mahmood envisage des « prisons virtuelles ».

Quelle serait la différence entre l’assignation à résidence et ces « alternatives à la prison » ? La première est généralement prononcée pour des délits mineurs ou pour permettre aux détenus de purger les six derniers mois de leur peine dans ces conditions (« HDC », comme on l’appelle au Royaume-Uni, qui impliquent un certain niveau de surveillance technologique), tandis que l’autre est nouvelle et implique un nouveau rôle de la technologie, dans l’esprit de Shabana Mahmood.

Il existe aujourd’hui des balises GPS, des téléphones et des montres (tous « intelligents », c’est-à-dire tout à fait capables d’assurer une surveillance 24 heures sur 24 – mais la question de savoir si cela serait légal et dans quelles juridictions reste à éclaircir).

Pour Mahmood (et ceux qui sont à l’origine des politiques dont il est le porte-parole), la solution pour que les prisons manquent de place (tout comme les hôpitaux manquent apparemment de personnel et de capacité) est de faire en sorte que les gens purgent leur peine de plus de cinq ans à domicile.

Et, tout comme le travail à domicile semble faire l’objet d’un retour de bâton, au Royaume-Uni du moins, le fait de se soigner ou de s’emprisonner chez soi, en payant ses propres charges, etc. semble gagner du terrain.

Les travaillistes n’hésitent pas à « travailler » avec les conservateurs, en particulier sur des initiatives qui laissent perplexe, voire qui heurtent le bon sens.

« Théoriquement, un juge pourrait prononcer une peine d’assignation à résidence. Nous avons aujourd’hui l’occasion de remodeler et de redéfinir ce à quoi ressemble une peine en dehors d’une prison », a déclaré Mahmood.

Selon le Telegraph, Mahmood devrait confirmer David Gauke, « l’ancien ministre conservateur de la justice, à la tête de la révision des peines qui vise à garantir qu’il y aura suffisamment d’espace pour enfermer les criminels les plus dangereux, à encourager les délinquants à tourner le dos à la criminalité et à étendre les peines en dehors de la prison ».

Selon les opposants issus des rangs des défenseurs des droits civils et numériques, il s’agit là d’un nouvel exercice dystopique qui mérite d’être critiqué, notamment parce que le plan prévoit de s’inspirer des (autres) États autoritaires de surveillance qui espionnent leurs propres citoyens – peut-être simplement, pour l’instant, parce qu’ils le font de manière plus efficace que le Royaume-Uni.

Nous savons ce que tout cela dit de ces régimes autoritaires ordinaires, mais que nous apprend cette « ambition » sur les autorités britanniques ?

Selon le Sun, la question et le problème sont réels – le journal cite « un initié » qui affirme que le problème réel ou perçu de la surpopulation – telle que nous la connaissons aujourd’hui – des prisons, devrait se répercuter sur le reste de la société.

Si l’on en croit le rapport – qui cite un initié anonyme – « nous (le Royaume-Uni) devons tirer les leçons des États de surveillance qui espionnent leurs propres citoyens et utilisent les mêmes tactiques avec nos criminels ».

Cela peut paraître incrédule à ceux qui considèrent encore que les gouvernements comme celui du Royaume-Uni sont, en ce qui concerne les pratiques démocratiques, purs comme la neige.

Mais la réalité semble être que la position officielle se rapproche de plus en plus d’une situation où les prisons de « sécurité maximale » peuvent, en fin de compte, être installées n’importe où. Y compris au domicile d’une personne.

Souvenez-vous de l’époque où la technologie était une force au service du bien, et au service des personnes qui l’utilisaient.

Et maintenant, apparemment, oubliez cette époque.

« Les personnes soumises à des couvre-feux en détention à domicile sont en pratique soumises à une forme d’assignation à résidence, avec une étiquette à la cheville et un capteur à leur domicile, elles sont soumises à des couvre-feux, généralement pendant 12 heures par jour », a déclaré Mahmood.

« D’une certaine manière, les peines prononcées en dehors d’une prison peuvent être encore plus restrictives que la prison. »

Il convient de répéter qu’une fois que l’utilisation généralisée de la technologie de reconnaissance faciale comme mesure de surveillance est en place dans une société, cela signifie que tout le monde y est soumis – et pas seulement ceux qui sont actuellement traités comme des suspects et/ou des détenus condamnés.

Une fois mis en place et opérationnel, ce système peut très facilement être « reconverti » dans un certain nombre de scénarios, y compris la capture d’individus qui n’enfreignent aucune loi, mais qui sont simplement des dissidents politiques, idéologiques ou d’opinion.

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/la-maison-est-la-nouvelle-prison-les-projets-britanniques-de-prisons-numeriques-de-haute-technologie-devraient-susciter-des-craintes-pour-la-protection-de-la-vie-privee-de-tous-les-citoyens/