Après la COVID-19, voici le 2ème Tentacule des Mondialistes : la Lutte aux Changements Climatiques !

Des fois quand tu lis des news, tu te demandes si tu vis dans le même monde qu'eux. S'ils sont juste stupides, ou s'ils sont tous des psychopathes en puissance.... https://t.co/hEYAWeWOhv pic.twitter.com/L659f6TD8c

— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) November 26, 2023

27 n0vembre 2023

« Les experts » suggèrent que votre niveau de vie soit réduit de plus de 85 %

Un rapport sur l’avenir des voyages et du tourisme, rédigé conjointement par l’agence de voyage Intrepid Travel et l’institut The Future Labs, envisage un avenir profondément marqué par le changement climatique et les restrictions imposées aux voyages touristiques pour le combattre.

Le rapport intitulé « A Sustainable Future for Travel » (Un avenir durable pour les voyages) met en garde contre « l’extinction des voyages« , où certaines régions subissent des changements climatiques si radicaux que tout tourisme y cesse, et contre les « quotas de carbone personnels » qui restreindront la fréquence des voyages.

Extrait du rapport :

« PASSEPORTS CARBONE »

Une limite personnelle d’émissions de carbone deviendra la nouvelle norme à mesure que la politique et les valeurs des gens conduiront une ère de grands changements.

Comme le montre l’essor du tourisme mondial, la fréquence à laquelle nous pouvons voler semble à nouveau illimitée.

Si notre conscience et notre budget le permettent, nous nous sentons libres de prendre l’avion pour aller d’un endroit à l’autre. Mais cela va changer. Selon Martin Raymond [Martin Raymond, cofondateur de Future Laboratories], « sur notre trajectoire actuelle, nous pouvons nous attendre à un retour de bâton contre la fréquence à laquelle les individus peuvent voyager, avec des passeports carbone prêts à changer le paysage du tourisme« .

Les quotas de carbone personnels pourraient contribuer à réduire les émissions de carbone et à diminuer l’empreinte globale des voyages.

Ces quotas se présenteront sous la forme de passeports qui obligeront les gens à rationner leurs émissions de carbone en fonction du budget carbone mondial, qui s’élève à 750 milliards de tonnes jusqu’en 2050.

D’ici à 2040, on peut s’attendre à ce que des limites soient imposées à la quantité de voyages autorisés chaque année.

Selon les experts, les individus devraient actuellement limiter leurs émissions de carbone à 2,3 tonnes par an, soit l’équivalent d’un aller-retour entre Rio de Janeiro (Brésil) et Riyad (Arabie saoudite). Cependant, l’empreinte carbone moyenne aux États-Unis est de 16 tonnes par personne et par an, de 15 tonnes en Australie et de 11,7 tonnes au Royaume-Uni. Le contraste est saisissant avec la situation dans laquelle nous pourrions nous trouver à l’avenir, les voyageurs de 2040 étant contraints de renoncer aux expériences d’élargissement de l’horizon si facilement adoptées par les touristes d’aujourd’hui »

En pratique, vos émissions de carbone correspondront à votre consommation d’énergie, à plus ou moins brève échéance (à moins d’une percée dans le domaine des énergies propres, et la seule viable que nous ayons, le nucléaire, n’est pas considérée comme une énergie propre par les adeptes de la lutte contre le changement climatique).

En d’autres termes, votre niveau de vie dépend de votre consommation d’énergie. Réduire la consommation d’énergie d’une société revient à réduire son niveau de vie.

En gardant cela à l’esprit, examinons les chiffres cités dans le rapport « Sustainable Future for Travel » :

« Les experts suggèrent que les individus devraient actuellement limiter leurs émissions de carbone à 2,3 tonnes par an. »

Le tableau ci-dessous montre exactement de combien le niveau de vie des habitants de chaque pays devra être réduit pour atteindre le quota de carbone recommandé par des experts non élus. C’est le niveau de « décroissance » qu’il faudra atteindre pour satisfaire les objectifs des alarmistes climatiques qui s’appuient sur des prémisses infalsifiables, des modèles informatiques arbitraires, et qui ignorent et suppriment délibérément les données qui vont à l’encontre de ces objectifs.


Dans quelle mesure nos dirigeants et nos décideurs politiques sont-ils sérieux lorsqu’ils décident de réduire le niveau de vie des citoyens de plus de 85 % ?

Voici le ministre canadien de l’Environnement, Steven Guilbeault, qui confirme allègrement que le gouvernement limitera l’utilisation du gaz naturel afin de lutter contre le changement climatique :

Journaliste : Il y aura des limitations sur la quantité de gaz naturel que vous pouvez utiliser en hiver ?

Guilbeault : Oui, absolument, c’est ça la lutte contre le changement climatique.

Pourquoi parlons-nous des passeports carbone dans la section sur les monnaies numériques des banques centrales ?

(Le billet d’aujourd’hui est un extrait de la section « Eye on Evilcoin » de l’aperçu macroéconomique de Bitcoin Capitalist de ce mois-ci).

Parce que nous pensons que les CBDC seront invariablement lancées comme, ou se transformeront en, quotas d’empreinte carbone personnelle.

À l’heure actuelle, ce que nous appelons « le système de monnaie fiduciaire » utilise la dette comme monnaie. Ce n’est plus viable, et nous nous attendons donc à une tentative de changement de ce que nous appelons vaguement « l’argent », pour passer de jetons symboliques garantis par la dette à des scores de crédit social, garantis par des quotas d’empreinte carbone personnelle.

Un autre rapport de Future Labs sur le « néo-collectivisme » développera probablement ce thème. Il pourrait nous donner un aperçu de la manière dont les décideurs politiques du mondialisme tardif chercheront à supplanter les marchés libres et les droits de l’homme universels par une réadaptation de ce qui est essentiellement du communisme, à savoir « nous sommes tous dans le même bateau » :

« La société est confrontée à une réorganisation massive. Unis par des valeurs d’empathie et de communauté, les consommateurs fuient l’individualisme au profit d’alliances qui décentralisent les industries et redistribuent le pouvoir à grande échelle »

LS:N Global et Future Laboratories semblent être des aspirants au Forum économique mondial. Beaucoup de pronoms sur la page « Team », et un fort recours à cet euphémisme du FEM qui fait passer le communisme technocratique pour bénin et à la mode.

J’ai fini par débourser 265 livres sterling pour acheter le rapport Neo-Collectivist Megatrend (un PDF de 40 pages) et ce que j’y ai trouvé correspondait à ce à quoi on pouvait s’attendre, mais c’était tout de même alarmant.

Dans le prochain billet, nous nous plongerons dans ce rapport et découvrirons comment la « Génération Zalpha » est prête à nous faire entrer dans une ère de socialisme systémique endémique.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/bientot-vos-deplacements-seront-limites-par-vos-quotas-de-carbone-personnels/

"La ville de New York sera la première ville d'Amérique à facturer aux Américains le simple fait d'aller travailler le matin"

« Les véhicules de tourisme seront facturés 15 $ pour entrer dans la zone de congestion »

"Camions entre 26$ et 36$"

"Les péages seront facturés une… pic.twitter.com/yq1SnNabk4

— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) December 6, 2023

Les médias font miroiter les « passeports carbone » pour restreindre les déplacements. Un sujet de discussion omniprésent dans les médias est l’idée que, dans un avenir proche, les voyages seront très probablement limités par l’introduction de ce que l’on appelle les « passeports carbone ».


11 décembre 2023

La semaine dernière, CNN a publié un article créé par une organisation appelée « The Conversation », dont le titre était « Il est temps de limiter la fréquence de nos voyages à l’étranger – les « passeports carbone » pourraient être la solution »

Dans cette « analyse », les lecteurs apprennent que les vagues de chaleur, les incendies de forêt et les phénomènes météorologiques extrêmes qui battent des records sont en partie dus au fait que les gens partent en vacances.

« Le tourisme fait partie du problème », affirme l’article, ajoutant que « le secteur du tourisme génère environ un dixième des émissions de gaz à effet de serre qui sont à l’origine de la crise climatique ».

L’article suggère ensuite que l’introduction de passeports carbone, qui verraient chaque « voyageur se voir attribuer un quota annuel de carbone qu’il ne pourrait pas dépasser », pourrait « rationner » les voyages.

« Ce concept peut sembler extrême », déclare l’auteur avant de préciser que ce n’est pas le cas et qu’il s’agit probablement d’une bonne idée étant donné que l’environnement est au bord de l’effondrement.

« Les températures en ébullition réduiront probablement l’attrait des destinations de plage traditionnelles », affirme l’auteur.

Il ne s’agit pas seulement d’une histoire alarmiste qui languit quelque part dans les profondeurs obscures du site web de CNN, elle est partout :


La propagande L’actualité, y compris un autre article publié cette semaine par Business Insider, citent toutes un rapport rédigé par une agence de conseil appelée The Future Laboratory et publié par une société de voyage appelée Intrepid.

Ce rapport indique que « ces quotas se manifesteront comme des passeports qui obligeront les gens à rationner leur carbone en fonction du budget carbone mondial, qui est de 750 milliards de tonnes jusqu’en 2050 ».

« D’ici 2040, nous pouvons nous attendre à ce que des limites soient imposées à la quantité de voyages autorisés chaque année », poursuit le rapport, ajoutant que d’ici là « il sera inhabituel de voir des membres de la génération Alpha sans un traqueur d’empreinte carbone sur leur smartphone ». Chaque trajet en Uber, chaque voyage en avion et chaque visite au supermarché seront enregistrés dans leurs appareils, notant leur empreinte carbone en temps réel ».

Cela semble très amusant.

Non seulement vous ne posséderez plus rien et vous aimerez cela, mais si cela progresse comme le suggèrent ces « experts », vous ne pourrez plus aller nulle part non plus.

Bien sûr, des gens comme Bill Gates, John Kerry et leurs semblables seront toujours autorisés à se déplacer en permanence dans leurs jets privés, parce qu’ils sont « la solution ».

Le gros problème, c’est votre vol Easyjet à bas prix vers Malaga tous les deux ans.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/les-medias-font-miroiter-les-passeports-carbone-pour-restreindre-les-deplacements/

De retour de la COP 28 à Dubaï, François Gemenne du GIEC, vient de faire des déclarations polémiques sur le plateau de LCI.

"Le chat est une catastrophe pour la biodiversité, le chien est une catastrophe pour le climat", l’attaque est claire et nette, et il poursuit « Le chat est un des responsables la perte de biodiversité en milieu urbain, notamment parce qu’il va chasser des petits oiseaux et mammifères. Quant aux chiens, ils sont des catastrophes pour le climat parce qu’il faut les alimenter et qu’une bonne partie de la déforestation aujourd’hui sert aux cultures qui vont servir aux aliments pour animaux domestiques »

Avant de conclure et de parler d’omerta: « Pour ne pas se mettre tout le monde à dos, on n’en parle généralement pas et on se concentre sur d’autres sources d’émissions. Il faut aussi reconnaître que les chats et les chiens remplissent une fonction sociale importante, ce sont des compagnons pour des personnes âgées. Mais il y a un vrai enjeu sur le fait de savoir comment limiter l’impact du chat pour la biodiversité, et celui du chien sur le climat, notamment via sa nourriture”.

SOURCE :

https://www.msn.com/fr-ca/actualites/other/les-chiens-et-les-chats-sont-les-ennemis-de-la-plan%C3%A8te/ar-AA1lunOS?ocid=msedgntp&cvid=87642180cda941769fa3c206f02146aa&ei=14

Le Forum économique mondial (FEM) exige que les contribuables du monde entier paient 3 500 milliards de dollars par an afin d’atteindre l’objectif « Net Zero » de l’organisation mondialiste pour « décarboniser » la planète.

Le FEM insiste sur le fait que cette facture faramineuse est nécessaire car elle financera les prétendus efforts de la noble élite du pouvoir mondial pour « atteindre le Net Zéro et restaurer la nature ».

Atteindre les objectifs « Net Zéro » du FEM fait partie de l’agenda vert des mondialistes qui cherchent prétendument à « sauver la planète » de la soi-disant « crise climatique ».

Cependant, les critiques soutiennent que la « décarbonisation » n’est qu’un euphémisme pour l’agenda anti-humain du FEM.

Bien entendu, la principale source de dioxyde de carbone sur Terre est l’homme et ses activités, telles que la combustion de combustibles fossiles.

L’homme moyen exhale environ 2,3 livres de dioxyde de carbone par jour.

Si l’on multiplie ce chiffre par une population mondiale de 8,1 milliards de personnes respirant 365,25 jours par an, on obtient une production annuelle de CO2 de 3,4 milliards de tonnes.

Toutefois, les experts s’empressent de souligner que ce chiffre n’a pas de sens puisque la respiration humaine fait partie d’un « cycle fermé » dans lequel notre production de dioxyde de carbone est compensée par le dioxyde de carbone absorbé par le blé, le maïs, le céleri et les fruits de l’Ougli que nous mangeons.

Néanmoins, l’agenda anti-carbone cible directement les humains et les activités humaines.

Selon le FEM, la réponse est que le grand public doit réduire considérablement sa qualité de vie tout en remettant d’importantes sommes d’argent à l’élite mondiale.

Mercredi, le FEM a publié un nouveau livre blanc en partenariat avec McKinsey & Company.

Selon ce livre blanc, il est temps d’imprimer plus d’argent pour dévaloriser davantage la richesse des citoyens ordinaires, afin de poursuivre l’objectif apparemment noble de la « décarbonisation ».

Le document s’intitule « The Role of Public-Private-Philanthropic Partnerships in Driving Climate and Nature Transitions » (Le rôle des partenariats public-privé-philanthropique dans la conduite des transitions climatiques et naturelles).

Le monde a besoin de 3 500 billions de dollars d’investissements supplémentaires chaque année pour atteindre le « Net Zero » et restaurer la nature », peut-on lire dans le rapport.

Le document ajoute qu’une organisation créée par le FEM, appelée Giving to Amplify Earth Action (GAEA), est chargée de secouer les chefs de gouvernement des nations souveraines pour obtenir cet argent.

Selon le livre blanc, les organisations privées devraient céder leur autonomie aux gouvernements en échange d’une quantité infinie de crédits et d’une protection en cas de faillite de leur entreprise sur le marché libre.

Il s’agit essentiellement de la structure gouvernementale exacte du Parti communiste chinois (PCC).

Comme Slay News l’a déjà rapporté, le fondateur du FEM, Klaus Schwab, a salué le PCC comme un modèle de gouvernance.

Pour mettre en perspective ces 3 500 milliards de dollars, il faut savoir qu’ils représentent près de 60 % du budget fédéral américain.

Comme nous l’avons vu avec les efforts internationaux public-privé, les contribuables américains seront les premiers à être ébranlés dans le processus.

Il y a deux semaines, le FEM a déclaré dans un autre rapport que 13,5 billions de dollars seraient nécessaires dès que possible pour éviter une catastrophe climatique.

Selon ce rapport, qui a été rédigé avec l’aide de la société de conseil payante Accenture, la date à laquelle la Terre fondra en raison de l' »ébullition mondiale » a été repoussée de 25 ans à 2050.

Dans le rapport, les partisans de la dépopulation soulignent la nécessité d’accélérer la « décarbonisation ».

Le mot « décarbonisation » est utilisé 91 fois dans le mémo publié.

Le FEM n’est pas le seul à lancer ces appels.

Plusieurs élites puissantes ont également demandé au public de faire des concessions lors du récent sommet de la COP28 des Nations unies à Dubaï.

Parmi ces riches mondialistes figurait le roi Charles III, membre du FEM.

Le roi britannique est cité comme l’un des architectes de l’agenda du « Great Reset » du FEM, aux côtés du fondateur de l’organisation, Klaus Schwab.

Comme l’a rapporté Slay News, Charles a prononcé un discours lors du sommet COP28 au début du mois, dans lequel il a demandé 5 000 milliards de dollars par an aux contribuables pour faire avancer l’agenda « Net Zero » du FEM.

Le mois prochain, le FEM tiendra sa réunion annuelle à Davos, en Suisse.

L’événement de cette année s’est concentré sur la lutte contre la « mésinformation ».

Le thème du sommet de 2024 est « Reconstruire la confiance ».

Traduction de Slay News par Aube Digitale.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/le-fem-demande-3-500-milliards-de-dollars-par-an-pour-decarboniser-la-planete/

Et voilà ! Taxe sur les animaux de compagnie jusque 100 euros au Luxembourg, taxe et « permis de détention » en Belgique depuis le 1er juillet 2022, nouvelle taxe à Québec de 11 $ sur les chats : l’offensive soudaine anti animaux de compagnie des climato-mondialistes passe à la… pic.twitter.com/RyzHvrDbGo

— Florian Philippot (@f_philippot) December 18, 2023

Les démocrates de l'État de Washington proposent une loi pour emprisonner les citoyens qui utilisent des outils de jardinage à essence. La loi proposée, qui vise à lutter contre le "changement climatique", pourrait punir les contrevenants dans l'État de Washington d'une peine de prison pouvant aller jusqu'à 364 jours ou d'une amende pouvant aller jusqu'à $10 000.


par Bob Unruh

18 décembre 2023

Cet article a été publié à l'origine par le Centre d'information WND.

(Centre d'information WND) - Les démocrates ont lancé une proposition dans l'État de Washington visant à mettre en prison les personnes qui utilisent des tondeuses à gazon à essence.

Nouvelles de Slay Le projet des députés Amy Walen et Liz Berry prévoit des peines de prison pour les "citoyens respectueux de la loi" qui utiliseraient des outils de jardinage à gaz. Amy Walen et Liz Berry prévoient des peines de prison pour les "citoyens respectueux de la loi" s'ils sont surpris en train d'utiliser des outils de jardinage fonctionnant au gaz.

Ils affirment que cela les aidera dans leur lutte contre le "changement climatique", un programme politique qu'une coalition de quelque 1 600 scientifiques a décrit comme n'étant pas une situation d'urgence.

Le projet des législateurs, House Bill 1868, exige qu'il n'y ait plus d'émissions "provenant d'équipements motorisés extérieurs".

Ces outils émettent en fait "une multitude de polluants atmosphériques", affirment les législateurs. Et ces polluants nuisent à la "santé publique".

L'Agence de protection de l'environnement de Joe Biden accuse ces machines à gazon d'être responsables de 5 % de la pollution atmosphérique du pays, et l'agence fédérale affirme que 17 millions de gallons d'essence sont "déversés" chaque année lors du ravitaillement en carburant des machines à gazon.

"Au niveau national, les données du ministère des transports montrent qu'une heure d'utilisation d'une tondeuse à gazon peut contribuer à la formation de smog autant que la conduite d'une voiture de tourisme sur une distance de 300 miles. "Une heure d'utilisation d'un souffleur de feuilles à essence peut contribuer à la formation de smog autant que la conduite d'une voiture de tourisme sur une distance de 1 100 miles.

En outre, selon eux, le bruit est également une nuisance.

Ils ont décidé de dire aux consommateurs qu'ils sont "prêts" à passer aux machines électriques, qu'ils le soient ou non.

Sont visés, à quelques exceptions près, "les tondeuses à gazon, les débroussailleuses, les taille-haies, les tronçonneuses, les souffleurs de feuilles, les tarières, les déchiqueteuses, les nettoyeurs haute pression, les souffleuses à neige et bien d'autres outils".

L'infraction serait considérée par les tribunaux comme un délit grave passible d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 364 jours ou d'une amende pouvant aller jusqu'à $10 000.

Ou les deux.

ZeroHedge a commenté le plan, et ce n'était pas pour faire l'éloge de l'idée.

Le rapport de Jason Rantz, de MyNorthwest, conclut que les démocrates ciblent en fait les minorités avec leur plan.

Le rapport indique que "bien que les démocrates affirment que leur législation devrait être considérée sous l'angle de l'équité, cette interdiction a un impact disproportionné sur les propriétaires d'entreprises latinos et noirs. Les données nationales indiquent que 22,8% des entreprises d'aménagement paysager appartiennent à des Hispaniques et 14,7% à des Noirs".

Le rapport explique que "le coût de la transition vers des solutions de remplacement sans émissions est également lourd, même avec l'aide financière prévue dans le projet de loi. Pour certaines entreprises, ce coût pourrait rester prohibitif. Cette charge financière pourrait affecter de manière disproportionnée les entreprises appartenant à des minorités, ce qui pourrait conduire à une réduction de la diversité au sein de l'industrie, si l'on en croit les discours des démocrates".

En outre, le plan est "anti-business", car les petites entreprises auraient du mal à faire face aux exigences.

"Il convient également de tenir compte des limites actuelles du matériel électrique d'aménagement paysager, telles que l'autonomie des batteries et la puissance, qui ne peuvent pas répondre aux exigences des projets d'aménagement paysager plus importants ou plus intensifs. Même avec des crédits d'impôt, ceux-ci dureront-ils assez longtemps pour couvrir le besoin constant de mise à niveau vers une technologie meilleure et plus efficace ?

Reproduit avec l'autorisation de la Centre d'information WND.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/fr/news/les-democrates-de-washington-proposent-une-loi-pour-emprisonner-les-citoyens-qui-utilisent-des-outils-de-jardinage-a-essence/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa