Re: CBDC : Identité Numérique et Argent Numérique - Dans la mire du Forum VSJ !

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VIDÉO-666 : "ILS VEULENT METTRE LA PUCE CBDC DANS VOTRE MAIN" !

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BIDEN PROPOSE QUE LES AMÉRICAINS NE POSSÈDENT PLUS D'ARGENT PAPIER - EN ROUTE VERS L'ARGENT NUMÉRIQUE !

Le président démocrate Joe Biden fait rapidement avancer les projets visant à éliminer l'argent liquide et à préparer le terrain pour que les Américains ne puissent plus posséder leur propre argent.

La Maison Blanche de Joe Biden et la Réserve fédérale ont commencé à développer une monnaie numérique contrôlée par la Banque Centrale.

Sous les ordres de M. Biden, la Fed a jeté les bases d'un dollar numérique programmable, traçable et facilement manipulable qui rendra l'argent physique obsolète.

On pourrait croire qu'il s'agit d'un roman de science-fiction dystopique, mais c'est bien réel.

Il ne s'agit pas non plus d'un projet pour un avenir lointain, car il est imminent et pourrait bientôt changer à jamais la vie des Américains.

En mars 2022, l'administration Biden a publié un décret de grande envergure qui ordonnait à de nombreuses agences fédérales de sévir contre les actifs numériques.

Les crypto-monnaies les plus populaires sont concernées par cette répression.

Le décret ordonnait également à la Fed d'étudier le développement potentiel d'une monnaie numérique de banque centrale (CBDC).

Bien qu'elle soit souvent qualifiée de "dollar numérique", une CBDC n'est pas une version numérique du papier dollar existant.
Il s'agit plutôt d'une monnaie entièrement nouvelle qui existerait exclusivement sous une forme électronique et non physique.
Contrairement aux monnaies traditionnelles adossées à l'or, par exemple, une CBDC n'aurait pas de contrepartie physique.

En septembre 2022, la Maison Blanche a annoncé l'achèvement des rapports sur les CBDC.

Bien que l'administration n'ait pas officiellement proposé une CBDC à la suite de la publication des rapports, elle a annoncé qu'elle avait développé des "objectifs politiques" pour un système de CBDC américain.

M. Biden a également demandé aux dirigeants du Conseil économique national, du Conseil de sécurité nationale, de l'Office of Science and Technology Policy et du département du Trésor de "se réunir régulièrement" avec la Réserve fédérale afin de poursuivre la conception d'une éventuelle CBDC.

Depuis la vague d'actions de septembre, l'administration a travaillé sans relâche - et discrètement - pour faire avancer la création d'une CBDC.

Divers groupes de travail ont coordonné leurs efforts avec des groupes non gouvernementaux.

Selon les diverses propositions de CBDC présentées par l'administration Biden et la Réserve fédérale, une CBDC américaine serait programmable, traçable et conçue pour promouvoir divers objectifs sociaux de gauche.

Des objectifs idéologiques radicaux "woke" tels que l'amélioration de "l'inclusion financière" et de la soi-disant "équité" sont intégrés dans le système.

Le système des CBDC serait également conçu pour faire avancer l'agenda vert en poussant le public à aider à la "transition vers une économie à zéro émission nette et à l'amélioration de la justice environnementale".

Contrairement aux crypto-monnaies décentralisées, telles que le bitcoin, chaque transaction effectuée à l'aide d'une CBDC pourrait être facilement tracée jusqu'aux utilisateurs individuels par les institutions financières, les agents du gouvernement et/ou la Réserve fédérale (en fonction des détails de la conception finale).

En outre, étant donné qu'une CBDC serait numérique et programmable, des règles pourraient être imposées pour limiter les dépenses à des activités approuvées.

Ainsi, si le gouvernement fédéral ou la Réserve fédérale devait déterminer que les Américains achètent trop d'essence, par exemple, il pourrait empêcher les gens d'utiliser les CBDC dans les stations-service en quelques clics sur un ordinateur.

Comme l'argent liquide serait obsolète, les gens n'auraient pas d'autres options pour faire leurs achats.

Dans un autre exemple, le gouvernement pourrait surveiller les dépenses d'une personne pour calculer son "empreinte carbone", puis émettre des amendes directement déduites ou appliquer des plafonds de dépenses.

Mais le plus inquiétant est peut-être le projet de l'administration Biden de faire en sorte que le public ne possède plus d'argent.

Dans la plupart des projets de CBDC discutés par l'administration Biden et la Réserve fédérale, presque toutes les formes de propriété de l'argent de la CBDC seraient également strictement limitées.

Seules les grandes institutions telles que les banques, le gouvernement fédéral et/ou la Réserve fédérale seraient réellement propriétaires des CBDC.

Tous les autres seraient empêchés d'avoir un contrôle absolu sur leur monnaie numérique.

Cela signifie que dans l'avenir de M. Biden, vous ne serez pas propriétaire de l'argent des CBDC et que vous n'aurez pas non plus de droit à la vie privée.

Comment, exactement, l'administration Biden empêcherait-elle la plupart des formes de propriété privée de l'argent numérique ?

Pour mieux comprendre la réponse à cette question, il faut d'abord connaître les détails importants du système bancaire actuel.

Actuellement, lorsque vous vous rendez à la banque et que vous déposez de l'argent sur un compte courant ou un compte d'épargne, vous cessez immédiatement d'être propriétaire de l'argent.

L'argent devient la propriété de la banque.

Dans la plupart des cas, la banque est tenue de vous rendre l'argent que vous lui avez remis à votre demande, mais l'argent appartient en fin de compte à la banque jusqu'à ce que vous le retiriez de votre compte de dépôt.

Dans le système actuel, il existe un moyen de reprendre le contrôle de votre argent, en retirant de l'argent d'un compte de dépôt, et les lois sur la protection de la vie privée empêchent les banques, dans de nombreuses situations, de donner des détails sur vos comptes financiers à des tiers, y compris au gouvernement.

Mais comme les CBDC n'existeraient que sous forme numérique sur un compte de dépôt et qu'elles seraient programmées pour fournir des données au gouvernement, il n'y aurait aucun moyen de retirer physiquement les CBDC d'un compte de dépôt, de les stocker en privé, de les posséder directement ou de les utiliser sans être surveillé par une grande institution.

L'administration Biden a directement reconnu qu'un avenir où vous ne possédez pas de CBDC est exactement ce qu'elle et la Réserve fédérale envisagent actuellement.

Par exemple, dans un rapport de 2022 sur les CBDC, le département du Trésor a déclaré : "Il existe deux architectures générales pour l'intermédiation des CBDC : (1) une CBDC à un seul niveau (c'est-à-dire directe) avec la banque centrale, et (2) une CBDC à deux niveaux où les intermédiaires (potentiellement des banques ou des intermédiaires financiers non bancaires) embarqueraient et géreraient les paiements tandis que la banque centrale enregistrerait les soldes des comptes".

En d'autres termes, il n'existe aucun scénario dans lequel vous pourriez stocker votre argent numérique sur un disque dur local ou un compte de stockage privé.

Tout votre argent serait conservé par une banque ou par la Réserve fédérale directement, ce qui signifie qu'ils seraient propriétaires de tout votre argent CBDC.

Quel que soit l'endroit où vos CBDC sont conservées, il est probable que le gouvernement fédéral ait accès aux données relatives à vos achats et à d'autres informations - un choix de conception que les partisans des CBDC jugent nécessaire pour que les autorités puissent limiter les activités criminelles.

Les seules questions importantes en matière de protection de la vie privée que se posent les partisans des CBDC concernent l'étendue de la collecte de données.

Par exemple, Nellie Liang, sous-secrétaire aux finances nationales de Joe Biden, a expliqué dans un discours sur les CBDC prononcé en mars 2022 que "l'un des moyens de concilier la protection de la vie privée et les préoccupations liées au financement illicite dans une CBDC de détail pourrait consister à mettre en place une structure à plusieurs niveaux dans laquelle moins de données seraient collectées pour les transactions de faible montant ou les comptes de faible volume".

Notez que Liang dit que "moins de données" "pourraient" être collectées pour les comptes de faible montant.

Elle ne dit pas qu'aucune donnée ne sera collectée.

Si une CBDC programmable est mise en place dans un avenir proche, vous ne posséderez pas d'argent et votre vie privée sera très limitée, voire inexistante.

C'est une excellente nouvelle pour les partisans d'un gouvernement plus important et pour ceux qui veulent donner plus de pouvoir aux grandes institutions financières.

Mais pour le reste d'entre nous, il pourrait s'agir d'une perte de liberté catastrophique.

SOURCE :

https://slaynews.com/news/biden-advances-plans-americans-no-longer-own-money/

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@ Tous :

Pierre Hillard sur le Krach économique en cours et l'instauration des monnaies numériques :

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LA MONNAIE NUMÉRIQUE DES BANQUES CENTRALES (CBDC) ET L'IDENTITÉ NUMÉRIQUE SONT LES DEUX INSTRUMENTS DE LA DICTATURE ET DE L'ESCLAVAGE !

27/05/2023 (2023-05-27)

[Sources : sentadepuydt.substack.com et @Plusjamais]

Mike Yeadon explique pourquoi les vaccins sont une arme de génocide et les Afro-Américains voient le retour de l’esclavage, de la ségrégation et de l’eugénisme.

Par SENTA DEPUYDT

UN PLAN MONDIAL D’EXTERMINATION ET D’ESCLAVAGE

« Cette fois nous sommes tous Juifs », le Dr Zelenko revient en détail sur le plan eugéniste des Rockefeller. Il montre comment ils étaient le principal financier des recherches sur l’eugénisme dans l’Allemagne nazie, jusqu’à financer le fameux docteur Mengele et l’usine d’IG Farben qui a fabriqué le fameux Zyklon B. Il explique aussi comment ils ont ensuite complètement éliminé les médecines et la pharmacopée traditionnelles par l’infiltration et la corruption des universités américaines et l’imposition de médicaments chimiques à base de pétrole. Enfin, il montre comment ils étaient à nouveau à la manœuvre dans le Covid, par exemple en bloquant les traitements à l’hydroxychloroquine.

Si vous remarquez bien, toutes les initiatives de cette famille ont pour thème l’anéantissement des êtres humains. La raison pour laquelle je m’en prends à cette famille, c’est que la Fondation Rockefeller est encore partout avec ses recherches insensées. Prenons l’exemple d’un des complices de ce génocide, le Dr Rick Bright, qui a saboté l’ordre du président Trump de rendre l’hydroxychloroquine disponible pour chaque Américain par le biais du stock national de médicaments. Il les a littéralement sabotés et a été renvoyé pour insubordination. Eh bien, il travaille maintenant en tant que directeur à la Fondation Rockefeller.

LA LISTE DE REVENU DE BASE UNIVERSEL EST LA FUTURE LISTE D’EXTERMINATION DES « BOUCHES INUTILES ».

Dr Zelenko met aussi en garde contre les effets « collatéraux » du Grand Reset :

Il y a un thème récurrent : beaucoup de ces grandes familles comme les Rockefeller sont au mieux démoniaques. Elon Musk a présenté ses robots humanoïdes et Yuval Harari a déclaré textuellement que ces robots remplaceraient 90 % de la main-d’œuvre humaine. Par conséquent, nous avons besoin d’un revenu de base universel. Laissez-moi vous dire ce qu’est cette liste de revenus de base universels. Vous pensez que les dégénérés qui ne valorisent pas la vie, qui nous considèrent comme de la vermine, veulent donner de l’argent gratuit à des mangeurs inutiles ?

Note : Elon Musk vient d’obtenir l’autorisation pour tester les implants cérébraux Neuralink sur les êtres humains.

LA MONNAIE NUMÉRIQUE DES BANQUES CENTRALES (CENTRAL BANK DIGITAL CURRENCY) ET L’IDENTITÉ NUMÉRIQUE SONT LES DEUX INSTRUMENTS DE LA DICTATURE ET DE L’ESCLAVAGE

Vera Sharav attire l’attention sur les dangers des « camps de concentration numériques ».

En ce moment, ils poussent la monnaie unique, la monnaie numérique centralisée pour remplacer l’argent liquide. C’est un extrême — cela et la carte d’identité numérique sont les deux méthodes pour pousser tout le monde vers la dictature et l’esclavage, l’esclavage personnel. Si nous optons pour ces deux solutions, c’est perdu d’avance. Ce n’est pas pour rien que, par exemple, l’Union européenne n’a pas fonctionné. Tout le monde pensait que cela permettrait d’éviter les guerres. Mais il s’agissait de petites guerres comparées à celle-ci. Lorsque vous donnez le contrôle mondial à un groupe, il peut détruire la majeure partie du monde, pour un simple caprice, parce qu’il n’a aucun compte à rendre.

C’est une arme fabriquée par l’homme pour changer totalement la société. Et ils ont un nom pour cela : la Grande Réinitialisation, le Nouvel Ordre Mondial. Personne ne nous a demandé si nous voulions changer notre monde et quand d’autres le font à notre place, c’est souvent catastrophique.

C’est également ce que craint Mike Yeadon, sous couvert de passeport vaccinal, d’identité numérique et de monnaie numérique, c’est en réalité un système de contrôle total qui se profile.

S’il n’y a pas d’argent liquide et que tout est numérique, je peux vous assurer que le grand ordinateur dans le ciel sait exactement ce que vous êtes sur le point d’acheter, à qui et où, et s’il ne le veut pas, l’algorithme vous le refusera. Ce ne sera pas personnel. Ils n’auront pas besoin de vous contrôler individuellement. Mais si l’algorithme vous dit : « Vous n’avez pas le droit d’être à plus de huit kilomètres de chez vous », et que vous êtes à huit kilomètres et demi de chez vous et que vous essayez d’acheter une pizza, l’algorithme vous dira : « Désolé, vous ne pouvez pas faire cet achat ».

C’est aussi la fin de la politique. Actuellement en Chine. Ils transforment le passeport vaccinal des gens en rouge sur un simple clic. Ces gens ne peuvent littéralement plus quitter leur immeuble. Ou ils ne peuvent plus monter dans un train parce qu’ils doivent utiliser leur carte d’identité numérique obligatoire pour se déplacer ou que leur compte le leur interdit.

Voilà ce que sont les passeports vaccinaux. Il s’agit d’une répétition de la carte d’identité numérique obligatoire. Vous devrez porter une pièce d’identité numérique à tout moment pour que la machine, peu importe, Skynet sache où vous êtes à chaque instant. Vous n’avez aucune liberté. Vous ne pouvez plus jamais décider de votre propre droit d’être où que ce soit ou de faire quoi que ce soit. Le pire, c’est qu’une fois en place, vous ne pouvez pas vous y opposer. Vous ne pouvez pas voter contre. Vous ne pouvez pas faire campagne sur ce thème. On ne pourra pas l’arrêter. Ne laissez pas cela se produire. Je pense que tout cela est proche, très proche maintenant.

Note : L’Union européenne avance bon train sur son programme d’identité numérique européenne.

Mike Yeadon est parmi les personnes plus qualifiées pour comprendre ce qui se passe réellement :

Je suis diplômé en biochimie et en toxicologie. J’ai un doctorat en pharmacologie respiratoire, c’est-à-dire l’étude des médicaments sur la respiration des mammifères. Ensuite, j’ai travaillé pendant 32 ans pour la Recherche et le Développement en biopharmaceutique. Je suis un chercheur, et jusqu’en 2011, j’étais responsable de la recherche mondiale pour le groupe Allergie et Pneumologie de Pfizer. Mon travail s’étendait de l’idée du développement d’un médicament jusqu’à la preuve de concept chez les patients.

Au début de l’interview il explique comment chaque mesure de réponse la pandémie a été un mauvais choix intentionnel, basé sur des fraudes scientifiques.

Toutes les mesures imposées, y compris les confinements et les masques, n’ont rien faire d’utile. Les personnes qui n’ont pas de symptômes, par exemple, ne peuvent pas infecter une autre personne. Cette idée de séparer les gens les uns des autres est totalement absurde. Même les médecins de plateau doivent savoir que ce que je viens de dire est vrai. Si vous vous portez parfaitement bien et que vous n’avez pas de symptômes, vous ne pouvez pas transmettre une maladie que vous n’avez pas à quelqu’un d’autre. Tout de même, il faut reste sérieux !

Non, vous n’avez pas besoin de vous éloigner de quelqu’un d’autre. On n’a jamais eu besoin de le faire. C’était un mensonge pour séparer les gens. Pourquoi ? Pour les empêcher de parler entre eux. Sinon : « Ils auraient discuté et ils auraient compris ». Ils savaient que s’ils ne séparaient pas les gens au cours des premières semaines, ça n’aurait pas marché.

Quant aux masques, ils répètent qu’ils ne servent à rien et que leur usage prolongé représente plutôt un danger pour la santé.

Ils ne filtrent rien dans les voies respiratoires. Ce sont tout au plus des protections contre les éclaboussures. Les personnes qui portent des masques en tissu toute la journée, jour après jour après jour, ça arrive, portent l’équivalent d’un sous-vêtement sale. Le masque devient littéralement une boîte de Petri où se développent des bactéries, des champignons. Et devinez quoi ? Vous les respirez dans vos voies respiratoires et si vous n’avez pas de chance, elles s’incrustent.

Mais surtout il démontre de manière édifiante comment et pourquoi les vaccins à base de la protéine Spike sont dangereux.

MIKE YEADON SOULÈVE ALORS UNE QUESTION EXTRÊMEMENT LOURDE DE CONSÉQUENCES :

Pourquoi tous les fabricants de vaccins Covid, ont-ils choisi d’utiliser la protéine Spike pour leur vaccin, la protéine qui est l’agent toxique dans la maladie, alors que d’autres protéines de Coronavirus (inoffensives) auraient pu être utilisées ?

On peut décomposer le virus en six ou sept petits éléments. Si vous les aviez devant vous sur la table, ces morceaux de l’agent pathogène, et que vous vous demandiez : « Quels sont les critères de choix pour en sélectionner un pour le vaccin ? », vous seriez probablement d’accord avec ce raisonnement : « Le virus est un agent pathogène, ne prenons pas l’élément qui est toxique en soi ».

Le seul élément qui produit des effets indésirables importants, dans toutes les espèces testées, est la protéine Spike. Elle est vraiment mauvaise. Elle a des conséquences neurologiques néfastes. Elle peut déclencher l’activation des plaquettes, ce qui peut conduire à la formation de caillots sanguins et à de nombreuses autres choses.

Devinez lequel ils ont choisi ? La protéine Spike !

Les quatre entreprises ont choisi la protéine Spike. Si vous et moi dirigions des séances de brainstorming concurrentes dans différentes parties de l’entreprise, sur la manière de concevoir ce vaccin, vous et moi — je ne peux pas croire que l’un d’entre nous quitterait ces salles de réunion en choisissant la protéine Spike comme réponse. Je suis sûr que vous diriez : « Ne choisissez pas quelque chose qui, une fois exprimé dans le corps humain, pourrait être toxique. »

Quatre entreprises, à mon avis, ont choisi la mauvaise réponse, la réponse contraire à la sécurité, à chaque fois ! Et je crains, mesdames et messieurs, que ce ne soit pas de la chance. Vous n’êtes pas stupides. C’est délibéré. Je pense que c’est coordonné et qu’il s’agit d’une malversation. Vous devez savoir que ce que vous avez fait est mal. Vous devez savoir.

À ses yeux, il n’y a aucun doute qu’il s’agit d’un agissement criminel, et que ces injections sont une arme biologique.

Il adresse une mise en garde publique à trois de ses anciens collègues, directeurs scientifiques des laboratoires ayant fabriqué des vaccins Covid :

Il vous faut démissionner, passer aux aveux, me débattre ou de me poursuivre en justice. Vous êtes responsable d’une activité criminelle. Faites au moins l’une des quatre choses que je viens de citer, ou vous êtes un lâche !

Bonjour Mene, nous avons travaillé ensemble chez Pfizer il y a quelque temps et vous sembliez être un homme raisonnable. Que faites-vous à présent ? Votre entreprise fabrique, une fois de plus, une expérience humaine mal testée, épouvantablement conçue et inappropriée, qui enfreint le code de Nuremberg comme les autres.

Note : comme la plupart des serviteurs du génocide de l’élite globale, Menelas Pangalos a reçu les honneurs publics, en l’occurrence, il a été anobli par le prince William du Royaume-Uni.

Bonjour Mathai, il est temps que tu avoues, que tu démissionnes ou que tu débattes avec moi. Parce que vous ne pouvez pas vous cacher derrière l’idée que les choses dont je viens de parler avec Vera ne sont pas correctes et que vous êtes responsable de ce vaccin qui nuit aux gens. Il tue des gens.

Note : Mathai Mammen a démissionné peu après, le 8 août 2022.

Au sein de mon ancien employeur Pfizer que j’ai quitté en très bons termes, j’ai adoré travailler chez Pfizer, je salue donc le Dr James Merson. Il a occupé le bureau voisin du mien pendant des années. Il était vice-président senior et responsable de la recherche sur les vaccins.

Alors James, il est temps de démissionner, d’avouer, de débattre avec moi ou de me poursuivre en justice. Tu dois faire l’une de ces quatre choses, car tous les auditeurs savent que ce que je dis est vrai.

Vous savez quoi ? Un mensonge déteste être remis en question. La vérité, elle, ne craint pas d’être confrontée. Si vous étiez assez nombreux à démissionner d’un seul coup, vous y mettriez fin. Je pense que vous pourriez sauver le monde si dix cadres supérieurs de la R&D, de n’importe laquelle de ces entreprises, rédigeaient une lettre ouverte de trois paragraphes et démissionnaient. Vous y mettriez fin.

Andrew Barr est historien et il a démarré l’association « Jews For Justice » pour parler des violations actuelles du code de Nuremberg et des similitudes avec le passé, en particulier avec le traitement réservé aux personnes non vaccinées et le traitement des Juifs dans l’Allemagne nazie. En tant que descendant de victimes de l’Holocauste, il lui semble nécessaire d’avoir un débat entre Juifs.

Les seules personnes qui peuvent nous dire de nous taire sont d’autres Juifs, et nous aurons alors un débat.

Ici, en Grande-Bretagne, le COVID a été annoncé le 23 février, lorsque le Premier ministre a soudainement levé toutes les restrictions. La guerre en Ukraine a commencé le 24 février, une coïncidence étonnante. Mon point de vue sur la politique COVID tend à être qu’il s’agissait d’un test d’obéissance massif…

L’objectif est de conditionner la population pour qu’elle laisse le gouvernement lui imposer des choses qu’elle n’aurait jamais acceptées autrement. Après les avoir poussés si loin, les gouvernements peuvent faire marche arrière, mais ils peuvent recommencer. Ils ont établi le principe. C’est ce qui est effrayant. Non pas que cela se produira nécessairement pour une autre maladie, mais le principe de forcer les gens à faire ce que l’on veut qu’ils fassent est établi.

Beaucoup de gens ont complètement perdu confiance dans le corps médical, ainsi que, évidemment, dans les médias. Israël a une longue histoire de vente de ses citoyens aux sociétés pharmaceutiques des États-Unis et au complexe pharmaceutique américain pour qu’ils fassent l’objet d’expériences. Il y a le scandale de la teigne, qui impliquait l’exposition de Juifs séfarades à des doses massives de radiations, soi-disant pour traiter la teigne, mais en fait c’était une expérience pour voir quel niveau de radiations ils pourraient tolérer. Dans les années 1950, à une époque où Israël était un pays incroyablement pauvre, les États-Unis leur ont donné plusieurs fois leur budget annuel pour soumettre les Juifs séfarades à cette horrible expérience.

Je ne sais pas si vous avez eu les mêmes informations aux États-Unis, mais les médias grand public britanniques ont fait état de ce nouveau phénomène du « syndrome de la mort subite de l’adulte », un phénomène inexplicable d’adultes qui tombent soudainement raides morts. Quelle pourrait en être la cause ? Ils n’en ont aucune idée. Il faut enquêter sur ce phénomène. Mais je parie qu’il y a une cause qui ne sera pas étudiée. Comme le fait que lorsqu’ils étaient censés fermer tout le pays au printemps 2020 pour protéger toutes les personnes âgées, en réalité ils assassinaient toutes les personnes âgées en leur donnant du midazolam (ndlr : proche du Rivotril) et de la morphine.

Kevin Jenkins est co-président de la Fondation du Dr Zelenko. Il se bat contre les oligarques parce qu’il estime que c’est LA bataille de l’humanité.

Ce combat est le nôtre. Il est temps pour nous de sortir et de nous battre pour nos enfants, parce que je pense que c’est la chose la plus importante. Leur laisser un endroit où ils peuvent être libres et comprendre que la souveraineté de leur corps et leur droit de choisir est « Mon corps, mon choix ».

Nous devons maintenant arrêter cette industrie maléfique et ses partenaires, le système monétaire et les grandes entreprises technologiques.

Nous avons du pain sur la planche. On nous a menti. Nous ne nous laisserons pas transformer en marchandise. Nous nous battrons contre cet esclavage mondial. Nous continuerons à éduquer les gens. Nous allons nous battre pour nos enfants, pour cette terre et pour ce pays.

C’est facile pour moi de le dire parce que je suis un Noir américain et que je comprends l’esclavage. Une meilleure compréhension de l’histoire m’a permis de voir les choses plus rapidement.

Pour moi le pass, je l’ai appelé le passeport de l’esclavage depuis le début. Il y a 60 ans, je ne pouvais pas rentrer dans un magasin parce que « je n’étais pas propre »…

Pensez à la communauté juive, à la communauté noire, aux personnes qui ont vécu dans la Russie communiste, aux personnes qui ont vécu dans le monde entier. Pensez à la façon dont ils ont vraiment oublié les horreurs que leurs ancêtres ont vécues, que leurs ancêtres ont vécues en abandonnant leur corps et en renonçant à leur liberté simplement pour dire : « Regardez-moi, je suis propre. Je suis propre. » C’est déchirant.

Dr Aaron Lewis est un évêque protestant, afro-américain et juif. Il a été éduqué dans la religion protestante tout en étant très proche de la religion et de la communauté juive hassidique de Brooklyn, dont ses grands-parents faisaient partie.

Il rappelle qu’une des leçons les plus importantes à retenir de l’Holocauste, c’est de ne pas assister à l’horreur en silence :

Lorsque je pense à l’Holocauste et à ses leçons — l’une d’entre elles étant que le silence était dangereux, traître — cela m’a toujours poussé à dire quelque chose, à faire une déclaration, à prendre les mesures nécessaires pour ne pas dire, à un moment donné de ma vie : « J’aurais aimé avoir fait ceci. J’aurais aimé dire ceci. J’aurais pu sauver cette vie, mais je n’ai rien fait ». Je ne veux pas que ce soit l’épitaphe sur ma pierre tombale. Je veux que ce soit : « Il a agi. À défaut d’autre chose, il a agi. » Aujourd’hui, tout mon temps est consacré à sauver des vies.

Il insiste aussi sur l’importance de faire comprendre ce qui se déroule en ce moment :

L’une de mes abolitionnistes préférées de l’histoire est Harriet Tubman. Je l’adore. Elle a dit : « J’ai libéré des milliers d’esclaves. » Et elle a ajouté : « J’aurais pu en libérer des milliers d’autres si seulement ils avaient su qu’ils étaient des esclaves. »

C’est une déclaration puissante parce que je crois que c’est là où nous en sommes aujourd’hui. Nous sommes à un moment où les gens ne savent même pas ce qui se passe. Ils sont dans le déni le plus total. Ils ne relient même pas les points entre eux. Ils ignorent complètement les signes flagrants de ce qui se passe dans la société. Même avec la propagande, la personne moyenne d’aujourd’hui ne comprendrait pas à quel point ce que nous vivons aujourd’hui est un parallèle direct avec ce que nous vivions dans les années trente et quarante. Et c’est effrayant, car si nous faisions attention à ce qui s’est passé, nous pourrions éviter ce qui se passe aujourd’hui.

C’est le même film que l’on rejoue aujourd’hui… https://crowdbunker.com/embed/BRKCJtQy6bp

SOURCE :

https://nouveau-monde.ca/plus-jamais-episode-4-cette-fois-nous-sommes-tous-juifs/

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LES BANQUES DE HONG KONG DÉPLATEFORMENT LES MILITANTS PRO-DÉMOCRATIE !

Le déplateformage financier est à la hausse.

HSBC, Bank of China et Hang Seng Bank ont suspendu les comptes de quatre membres de la Ligue des sociaux-démocrates (LSD), une organisation pro-démocratique de Hong Kong.

Protestant contre cette mesure devant le siège de HSBC Hong Kong, Chan Po-Ying, président de la LSD, a déclaré que la décision de la banque ternissait la réputation de centre financier international de la ville.

« C’est comme si nous retournions à l’âge de pierre », a déclaré Chan.

Dans une déclaration au média local HKFP, HSBC a indiqué qu’elle examinait régulièrement les activités et les relations de ses clients.

« Nous pouvons décider de ne plus maintenir les relations bancaires avec certains clients », a ajouté la banque.

La LSD était cliente de HSBC depuis 17 ans.

La LSD est l’un des derniers partis d’opposition à Hong Kong qui a le courage de s’exprimer. Il organise régulièrement des rassemblements et des stands dans la rue.

En octobre dernier, PayPal a refusé de continuer à fournir des services au parti, invoquant sans explication des « risques excessifs ».

Le vice-président du parti, Dickson Chau, a déclaré qu’il serait difficile pour le parti de recevoir des dons après la perte des comptes bancaires, et a ajouté que les économies de la LSD ne dureraient qu’un ou deux ans.

Chau a également déclaré que la LSD n’envisageait pas d’ouvrir des comptes dans d’autres banques.

« Je ne pense pas que nous puissions ouvrir un nouveau compte en tant que LSD. Nous n’avons pas essayé, mais je pense que ce n’est pas possible », a-t-il déclaré.

Raphael Wong, l’ancien président du parti, a déclaré : « Lorsqu’une organisation perd ses comptes pour recevoir des dons et se voit infliger une amende pour avoir collecté des fonds dans la rue, que peut-elle faire ? [Elle attendra sa propre mort [alors que Hong Kong] perdra une autre voix ».

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/les-banques-de-hong-kong-deplateforment-les-militants-pro-democratie/

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ANGLETERRE : LE REVENU DE BASE UNIVERSEL SERA TESTÉ !

7 Juin


Les participants recevront 1 600 livres sterling par mois pendant deux ans. Des plans ont été annoncés pour tester un revenu de base universel (RBU) en Angleterre. Jusqu’à 30 personnes recevraient un paiement inconditionnel de 1 600 livres sterling (1 854 euros) par mois.


Dans le cadre de ce projet, qui est le premier du genre en Angleterre, des résidents du centre de Jarrow, dans le nord-est de l’Angleterre, et d’East Finchley, dans le nord de Londres, recevront les fonds chaque mois pendant deux ans, et des chercheurs surveilleront l’effet du paiement sur leur éthique du travail et leur bien-être mental.

L’essai a été organisé par le groupe de réflexion progressiste Autonomy, qui cherche à financer le programme de 1,6 million de livres sterling (1,85 million d’euros) par l’intermédiaire de donateurs privés.

L’initiative n’est pas financée par les contribuables britanniques et n’est pas affiliée au gouvernement britannique.

« Notre société aura besoin d’une forme de revenu de base dans les années à venir, compte tenu des bouleversements climatiques, des perturbations technologiques et de la transition industrielle qui s’annoncent », a déclaré Will Stronge, directeur de la recherche chez Autonomy.

« C’est pourquoi il est si important d’établir une base de données et d’impliquer le public dès maintenant, afin que le terrain soit bien préparé pour la mise en œuvre au niveau national. »

Il explique que les chercheurs se sont intéressés à l’effet du versement d’un RBU sur la santé mentale et physique des personnes, ainsi que sur leur désir de continuer à travailler.

Les bénéficiaires seront libres de continuer à gagner leur propre salaire s’ils le souhaitent et recevront le paiement en plus de tout revenu d’emploi.

« Toutes les données montrent que le revenu universel de base permettrait de réduire directement la pauvreté et d’améliorer le bien-être de millions de personnes : les avantages potentiels sont tout simplement trop importants pour être ignorés », a ajouté Stronge.

Des projets de RBU ont récemment été expérimentés ailleurs en Europe, notamment en Finlande, où une initiative soutenue par le gouvernement a permis à 2 000 chômeurs en âge de travailler de recevoir un revenu plus modeste de 560 euros par mois en janvier 2017.

L’un des partisans du RBU est le milliardaire américain Elon Musk, qui estime que ce système pourrait constituer une réponse adéquate à l’inévitable violation continue de l’intelligence artificielle sur le lieu de travail.

« Le RBU signifie que les chômeurs seront payés partout dans le monde », a déclaré Elon Musk lors d’un sommet technologique à Dubaï en 2017.

« Les machines et les robots prennent le dessus. Il y aura de moins en moins d’emplois qu’un robot ne pourra pas mieux faire », a-t-il ajouté.

Les critiques considèrent toutefois que le concept est beaucoup trop coûteux pour être déployé à l’échelle nationale, qu’il nuirait à la productivité et empêcherait le gouvernement d’investir dans d’autres priorités, et qu’il aurait pour conséquence que les citoyens dépendent encore plus de l’État.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/le-revenu-de-base-universel-sera-teste-en-angleterre/

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@ Tous :

Bien sûr la Commission européenne veut un « #EuroNumérique accessible à tous » puisque c’est un moyen de contrôler intégralement les gens !
De mettre en place Pass et crédit social !

Infernal !

Il faut parler de ce sujet essentiel : stop euro numérique ! Liberté ! pic.twitter.com/PRwJyU9KYf

— Florian Philippot (@f_philippot) June 15, 2023

Veux, veux pas, les Mondialistes qui sont derrière le Projet de Nouvel Ordre Mondial vont nous y amener, de gré, ou de force !



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UN RAPPORT DU FEM RECONNAÎT QUE LES CARTES D'IDENTITÉ NUMÉRIQUES POURRAIENT ÊTRE UTILISÉES À DES FINS DE SURVEILLANCE ET DE PERSÉCUTION !

Un rapport du FEM admet que les cartes d'identité numériques pourraient être utilisées à des fins de "surveillance et de persécution". Un nouveau rapport du Forum économique mondial reconnaît les risques associés à la mise en œuvre des cartes d'identité numériques combinées aux monnaies numériques des banques centrales.


De : Lifesitenews

16 juin 2023

Traduction : LVDD

(LifeSiteNews) - Le Forum économique mondial (WEF) a admis dans un nouveau rapport que les cartes d'identité numériques sont exclusives par nature et peuvent faciliter "l'identification, la surveillance et la persécution d'individus ou de groupes".

Dans son rapport de juin 2023 intitulé "Réimaginer l'identité numérique" "Reimagining Digital ID", le FEM décrit les risques potentiels de la mise en œuvre généralisée d'une carte d'identité numérique.

"L'exclusion, la marginalisation et l'oppression sont peut-être les risques les plus importants découlant de l'identification numérique", prévient le rapport.

"Plusieurs rapports ont identifié un lien entre l'absence d'une pièce d'identité officielle et l'exclusion d'une participation pleine et entière à la société", indique le rapport. "Pourtant, en réifiant l'accès conditionnel, la carte d'identité est, par sa nature même, source d'exclusion.

"Ce sont souvent les membres des groupes historiquement marginalisés qui sont confrontés aux formes les plus dures d'exclusion", ajoute le document.

En parlant de "groupes marginalisés", le FEM fait référence aux réfugiés, aux femmes et aux minorités raciales, tout en ignorant le fait que pendant la crise du COVID, ce sont les personnes qui ont refusé de se faire vacciner contre le COVID, dangereux et inefficace, qui ont été exclues par les gouvernements du monde entier.

Cette discrimination à l'encontre des personnes non vaccinées a été facilitée par les passeports vaccinaux qui, selon un autre rapport du FEM, "servent par nature de forme d'identité numérique".

"Dans les cas où des données sensibles sont collectées, il existe également des risques de marginalisation et d'oppression, l'identité pouvant être utilisée pour faciliter l'identification, la surveillance et la persécution d'individus ou de groupes", prévient le rapport Insight du FEM.

L'organisation poursuit en affirmant que "ce risque découle en grande partie de la possibilité d'établir des liens. Si une partie peut relier des données entre domaines grâce à l'utilisation d'un identifiant commun, alors les individus peuvent être suivis par des parties cherchant à exploiter leurs données".

Le risque d'une surveillance et d'un contrôle quasi-total de populations entières, comme dans la Chine communiste, est en fait un danger important contre lequel les détracteurs des cartes d'identité numériques ont mis en garde à maintes reprises. Ce risque est amplifié si les cartes d'identité numériques sont combinées avec les monnaies numériques des banques centrales (MNBC), car cette combinaison pourrait ouvrir la voie à un État de surveillance totalitaire.

Le rapport du FEM reconnaît également la relation entre les cartes d'identité numériques et les CBDC, puisqu'il indique que "certaines nations commencent à considérer les cartes d'identité numériques comme une condition préalable au développement d'une monnaie numérique de banque centrale (CBDC) et d'autres innovations en matière de paiement".

Le rapport du FEM note en outre que, même si les pièces d'identité numériques ne sont pas imposées par la loi, les citoyens pourraient toujours être contraints de les utiliser, car ils seraient autrement exclus de nombreux secteurs de la société.

"À mesure qu'un système d'identification se développe, les conséquences de la non-participation peuvent devenir si graves que l'enregistrement devient inévitable", indique le rapport. "Lorsque l'accès à un bien ou à un service est subordonné à la possession d'une pièce d'identité et que cette pièce est largement répandue, les individus peuvent être contraints de se procurer cette pièce d'identité, même s'il n'existe aucune base légale pour l'exiger.

Dans de nombreux pays, les personnes non vaccinées se sont vu interdire l'accès aux restaurants, aux magasins, aux manifestations culturelles et même à leur lieu de travail, dans le but de les contraindre à se faire vacciner contre le virus COVID.

Le rapport du FEM admet également que "dans certains cas, la carte d'identité numérique peut affaiblir la démocratie et la société civile".

"Par exemple, les cartes d'identité numériques émises par les entreprises de médias sociaux peuvent contribuer à la polarisation politique en renforçant les identités de groupe."

Le FEM préconise une identification numérique "décentralisée

Selon le rapport du FEM, "l'identification décentralisée est une forme d'identification numérique qui permet aux individus de contrôler le partage de leurs données, tout en permettant à de multiples entités de leur délivrer des titres d'identité."

Afin de minimiser le risque qu'un identifiant numérique devienne la base d'un État totalitaire, le FEM défend l'idée d'avoir des identifiants numériques décentralisés, où les utilisateurs ont le pouvoir de décider avec qui partager leurs données, et où les informations des utilisateurs ne sont pas stockées de manière centralisée.

Les identifiants numériques décentralisés peuvent réduire le risque d'exploitation des données, mais la décentralisation n'empêche pas l'exclusion de certaines parties de la société.

Même si les citoyens peuvent décider de partager ou non leurs données, ils peuvent toujours être exclus de l'achat de biens et de services, voire de l'obtention d'un emploi, s'ils refusent d'utiliser un identifiant numérique.

C'est comme lorsque vous cliquez sur "accepter" dans les conditions d'utilisation d'une application", explique le journaliste Tim Hinchliffe. "Si vous n'acceptez pas, vous ne pouvez pas l'utiliser. Le même concept s'applique à l'identification numérique et à la participation à de nombreux aspects de la société.

Le FEM accuse les "théoriciens du complot" d'être à l'origine de l'impopularité des cartes d'identité numériques

Les mondialistes du FEM semblent être conscients que les cartes d'identité numériques sont très impopulaires.

"Sans éducation du public, sans utilité claire et sans incitations, les approches décentralisées de l'identification pourraient ne pas être en mesure de recueillir l'adhésion des parties prenantes et la demande des utilisateurs nécessaires à une adoption massive", peut-on lire dans le rapport du FEM sur les cartes d'identité numériques.

Selon le document, les systèmes d'identification numérique se heurtent à "une barrière de communication particulièrement élevée, aggravée par la myriade de théories du complot liant l'identification numérique à des spéculations fausses et malveillantes".

Hinchliffe cite plusieurs exemples de la manière dont les cartes d'identité numériques pourraient être utilisées dans le cadre d'un régime mondialiste de plus en plus totalitaire :

- L'identification numérique pour le climat : Pour suivre les empreintes carbone individuelles et prouver le statut de réfugié climatique.
- L'identification numérique pour le COVID : rendre obligatoires les passeports pour vaccins, ce qui entraînerait une conformité de masse tout en fournissant un cadre numérique.
- L'identification numérique pour la CBDC : adopter des solutions de vérification de l'identité afin d'éliminer l'anonymat et d'enregistrer chaque transaction.
- L'identification numérique pour la cybersécurité : Exploiter les cyberattaques pour relancer les systèmes d'identité nationaux et créer un passeport pour le métavers.
- L'identification numérique pour la commodité : Créer un cadre global et interopérable permettant de répondre à toutes les situations de la vie quotidienne.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/news/wef-report-admits-digital-id-could-be-used-for-surveillance-and-persecution/

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L'ONU PROPOSE L'UTILISATION D'UN IDENTIFIANT NUMÉRIQUE LIÉE À VOTRE COMPTE BANCAIRE !

Une note d’information des Nations Unies parle de l’utilisation d’un identifiant numérique lié à votre compte bancaire.

19 Juin 2023

Une proposition de plus en plus fréquente parmi les groupes mondiaux non élus.

Les Nations Unies – ou du moins certains de leurs membres qui tirent les ficelles – doivent se sentir à la traîne lorsqu’il s’agit de promouvoir des idées controversées telles que l’identification numérique, par rapport à des organisations telles que le Forum économique mondial (FEM) – même si elles vont dans la même direction.

Aujourd’hui, les Nations unies plaident non seulement en faveur de l’introduction de l’identification numérique, mais aussi pour que les autorités centrales la relient aux comptes bancaires ou aux comptes de banque mobile des citoyens.

Cette initiative figure parmi une multitude de propositions et d’initiatives qualifiées de « glaçantes » par les opposants, dans trois notes d’information intitulées « A Global Digital Compact, Reforms to the International Financial Architecture, and The Future of Outer Space Governance » (Un pacte numérique mondial, des réformes de l’architecture financière internationale et l’avenir de la gouvernance de l’espace).

L’objectif de ces notes est d’élaborer ce que l’on appelle la « vision pour l’avenir » du secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres – « Notre programme commun » – qui devrait recevoir le feu vert en septembre 2024 lors d’un événement baptisé « Le sommet pour l’avenir ».

Extrait du rapport :

« Les identifiants numériques liés à des comptes bancaires ou à des comptes d’argent mobile peuvent améliorer la couverture de la protection sociale et permettre de mieux atteindre les bénéficiaires éligibles. Les technologies numériques peuvent contribuer à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale. »

Non contrairement à leurs homologues officieux du FEM, les Nations unies parlent également de réglementer fondamentalement l’avenir numérique mondial, et utilisent des expressions telles que la coopération internationale et de nombreuses parties prenantes, qui feront progresser les principes, les objectifs et les actions, en d’autres termes, les règles – pour – attendez-le – « un avenir numérique ouvert, libre, sûr et centré sur l’humain. »

Les critiques, cependant, croient fermement, et continuent à faire valoir leurs arguments, que l’avenir numérique tel qu’il est envisagé par ces groupes – officiels ou informels – sera tout à fait à l’opposé de l’ouverture, de la liberté ou du centrage sur l’humain.

En ce qui concerne la « vision » de l’ONU pour un futur système financier mondial, elle est censée être harmonisée avec l’Agenda 2030 pour le développement durable, et serait régie par ce qu’on appelle « l’organe suprême » qui n’a pas encore été mis en place

Les acteurs clés sont le chef de l’ONU, le Groupe des 20, le Conseil économique et social et les « dirigeants des institutions financières internationales ».

Dans ce cadre, l’ONU envisage des « visions » d’un « Pacte numérique mondial » – ce qui semble assez inoffensif, mais ce qui est censé être réalisé ne l’est pas. Il s’agit d’avoir des personnes, des appareils, des entités, tous liés dans un réseau connecté qui pourrait apparemment être administré de manière centralisée.

Lorsque ceux qui planifient ce projet futur s’inquiètent d’un éventuel impact négatif, ils ne considèrent jamais qu’il pourrait affecter tout le monde, mais seulement « la société civile (…) ou des groupes sélectionnés exclus des avantages sociaux ».

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/une-note-dinformation-des-nations-unies-parle-de-lutilisation-dun-identifiant-numerique-lie-a-votre-compte-bancaire/