RÉVÉLATIONS DU CIEL À UNE RELIGIEUSE DE COLOMBIE CONCERNANT L'ÉGLISE ACTUELLE !

Merci Admin

En tout cas, ça rejoint le message de Benoit XVI.

J’ai dû rater un épisode de l’histoire.
Je ne sais pas où vous voulez en venir avec ces écrits.
Que les dires de cette sœur soient vrais ou faux remettons l’église au milieu du village.
Il n’est pas nécessaire de lire les prophéties pour comprendre que Benoit XVI a été éliminé de quelque manière que ce soit par les loges maçonniques.
Il n’y a qu’à observer le chaos que ces loges infligent au monde entier.
Il n’y a qu’à observer ce que les francs maçons ont fait à Jean-Paul I.
Ressentez avec vos cœurs, discernez réellement ce qu’il se passe dans les églises catholiques romaines, observez comment les fidèles reçoivent la communion, lisez ce que Benoit XVI avait écrit au sujet de la communion, le sacrilège de la recevoir dans les mains.
Je n’ai rien compris si ce que dit cette sœur est vrai ou faux, je ne comprends rien du tout à ce qui est écrit sur ce site ; c’est très mal écrit et fatiguant pour les yeux.
Je me remets uniquement à ce que mon cœur et mon intuition me dictent ; j’ai toujours pensé depuis de nombreuses années que Benoit XVI est un saint. Regardez son visage, regardez son expression, regardez sa pureté.
Je ne sais pas moi, il faut savoir lire les gens

Oui il n'y a pas besoin des dires de cette soeur. Il y a longtemps que l'on sait que le Vatican est infiltré par les francs maçons et que Bergolio n'est pas le Pape mais un gauchiste qui transforme le Vatican en une ONG de gauche.

Bonjour, à ma connaissance, il y aurait trois textes de cette religieuse, le premier un message de Pie X indiquant que Benoît XVI était le seul pape, le deuxième le fameux Testament Omega de Benoît XVI juste après sa mort, et en voici un troisième au sujet de l'évolution de l'église catholique après la mort de Benoît XVI.
Pour me faire une idée, je suis allé sur le message original, l'émission de Radio Mystica Colombiana, afin de le retranscrire et le traduire en français.
Cela fait énormément penser au tableau apocalyptique que dresse Anne-Catherine Emmerick de l'église "étrange" en voie de protestantisation, ce que nous voyons tous les jours (exemple la 'célébration" anglicane à St Jean de Latran, qui procède de la même logique destructrice).
J'ai interrogé une relation catholique en Colombie, qui m'a indiqué être négative au sujet de ces 'révélations privées', mais sans me donner d'argument.
Ces textes circulent toujours, mais nous ne connaissons pas exactement leur source, ce qui laisse perplexe.
Mais ils sont visiblement bien informés et, me semble-t-il tout à fait compatibles avec la foi catholique.
Qu'en pensez-vous ?
Voici le texte intégral, qui apporte quelques compléments à celui que vous avez repris.
J'espère qu'il vous aidera à vous faire une idée plus précise.
Louis


Introduction par le journaliste Henry Gomez Casas : Radio Rosa Mystica en Colombia a reçu un texte d'une religieuse en Colombie datée du 30 janvier 2023. Ce texte est une vision apocalyptique du moment où le Seigneur revient et où l'Eglise est remise à Bergoglio, la désacralisation que nous vivons actuellement à l'intérieur de l'Eglise et les conséquences du synode pour la synodalité que nous, à Radio Rosa Mystica en Colombia, appelons le Synode de la Sodomie... et ce que nous devons faire pour survivre à cette situation et la fin que va vivre le Faux Prophète Bergoglio.

Voici le texte de cette vision :

"Je me suis vue entrer dans une très grande église et à l'entrée il y avait 3 portes : une grande porte centrale et deux portes latérales. Je me suis rendue, vêtue de mon habit religieux, dans cette Eglise qui ressemblait à une grande basilique. A l'intérieur, il y avait une odeur très désagréable, fétide, une odeur de pourri, et tout avait l'air sale. Le sol et les bancs étaient jonchés d’ordures; il n'y avait pas d'images de saints, seulement le plafond et les murs étaient peints merveilleusement. Les fresques paraissaient être de l’époque de la Renaissance. Les fresques sur le mur et les voûtes avaient pour thème la Création et les évangiles. J’étais émerveillée par toutes ces peintures ; plus au fond, je pus voir des fresques, en particulier sur les fins dernières, et l’une d’entre elles m’impressionna plus que les autres, une vision de l’enfer, et comment les démons entraînaient les mourants dans le feu. Puis j'ai vu une autre peinture où il y avait un grand confessionnal, et quelques personnes attendaient en file pour se confesser. Ce qui me frappa, c’est que derrière chaque personne il y avait un démon murmurant de ne pas aller confesser ses péchés, et de l’autre côté, il y avait un ange qui les invitait à avancer et aller à la confession. C’était étrange, et à l'intérieur du confessionnal, le confesseur était profondément endormi.

J'ai ensuite avancé jusqu’à me trouver près de l'autel principal. On voyait, sur les côtés, deux autels désaffectés, abandonnés. Ce qui est curieux, c’est qu’en entrant dans l’église on voyait beaucoup de désordre, des ordures, et on sentait une odeur particulière, comme une odeur de pourriture, fétide. En arrivant à l'autel principal, l'odeur nauséabonde était plus forte. J'ai recherché le tabernacle avec le Très Saint Sacrement à l'intérieur pour l'adorer et il n'y était pas. J’ai regardé dans les travées latérales, et je n’ai rien vu. Tout me paraissait très étrange, et particulièrement le fait que le Saint Sacrement n’apparaisse nulle part. Je m’assis sur un banc pour prier le Rosaire ; je cherchai du regard une image de la Vierge, mais il n’y en avait pas. Au fond, il y avait juste une croix, seule, sans le crucifié.
C’est une église vraiment étrange, me disais-je.

Ensuite j'ai entendu une cloche sonner pour appeler les gens à la messe, et ils sont arrivés nombreux, dans un grand tumulte ; il y avait beaucoup de jeunes habillés de couleurs vives, ils entraient en dansant comme dans une ambiance festive, d'autres mangeaient du chewing-gum, d'autres fumaient à l’intérieur du temple. Ils reflétaient tous un état d'ébriété, femmes et hommes de toutes classes, races et âges. Je vis entrer un groupe de femmes avec un air arrogant, et elles se sont assises dans le chœur. Très à l’aise, ces femmes portaient un foulard vert ; c’étaient des femmes qui pratiquaient l'avortement ; elles portaient des chemisiers et des pantalons très ajustés. Je fus impressionnée par l’entrée d’enfants habillés de façon androgyne, ils ressemblaient à des enfants normaux, sans en être vraiment. Puis sont entrées d’autres femmes, habillées vulgairement. Il y avait des personnes dont on ne pouvait pas distinguer si c’étaient des hommes ou des femmes, c’était peu commun, et tous avançaient comme des lézards. J’aperçus aussi des femmes âgées qui entraient avec leurs chiens et chats, bien habillées et parfumées.
Je me suis demandée : Mais où suis-je donc ?

Et derrière les gens, j'ai vu entrer un évêque, qui se distinguait par la mitre qu’il portait, mais c’était une mitre simple, sans aucun décor ; il était très mal vêtu d'un habit froissé, qui ressemblait à un mauvais chiffon, et derrière lui venaient deux prêtres qui portaient le clergyman, mais leurs habits étaient des chiffons ressemblant plus à des chemises de nuit qu’à des ornements sacerdotaux. On aurait dit des cuisiniers. Derrière eux, venant du presbytère, il y avait de très jeunes filles à moitié nues qui avançaient en dansant comme des papillons, très heureuses d’être là, et l'évêque et les prêtres étaient très contents de les voir ainsi à côté d’eux. On pouvait noter l’expression joyeuse et morbide sur leurs visages ; et elles les invitaient à passer.

L'autel était sans nappe, c’était un autel ancien en bois sculpté, mais détérioré.

Je regardai le visage des prêtres, et je reconnus l’un d’entre eux. L'évêque était rien moins que François (que le journaliste appelle Bergoglio NdT), et ce qui m’étonna le plus, c’est que je vis combien il était très heureux de voir ces femmes qui dansaient autour de l'autel. Quand François se mit devant l’autel, une grande montagne de fumée sortit de derrière lui comme pour l’entourer, et je le vis se changer en un être infernal, son visage devient effrayant et ses yeux se firent brillants, noirs et profonds. Il faisait très peur à voir. Cependant, il avait tout le temps un léger sourire malicieux.

Au milieu de la messe, quelques cardinaux entrèrent, lourdement vêtus, accompagnés de nombreux prêtres en clergyman. Chacun d’entre eux portait une masse, comme un gros marteau épais en main, et ils commencèrent à frapper les parois, les fenêtres, comme s'ils voulaient tout détruire. Ils étaient en furie, et travaillaient de tous côtés. Il y avait beaucoup de prêtres qui entraient par les trois portes de l'église. Je vis que les cardinaux qui étaient présents les dirigeaient et leur indiquaient les endroits à détruire. J'étais atterrée de voir ce qui se passait. Tout cela se passait avec une musique de fond, comme si c'était une fête. Tout était très confus.

Commentaire du journaliste : La religieuse a vu tous les prêtres avec un marteau en main, comme ceux que les maîtres utilisent dans la Franc-maçonnerie pour diriger les réunions. La vision nous explique que la franc-maçonnerie est en train de détruire l'Eglise par l’intermédiaire de ses agents infiltrées dans le Temple.

Bergoglio, impavide, a continué la messe ; il donnait l’impression de ne pas se soucier de ce qui se passait.
Au moment de l’élévation de l'Hostie sacrée, je vis un abîme s’ouvrir devant l'autel. Il y avait une grande fissure dans le sol, et tout commença à être englouti. Du profond de l’abîme, une force de destruction attirait toute l'église, et c’était comme si elle voulait tout attirer. Les femmes tombaient, et les jeunes filles à moitié nues tombaient dans cet abîme, ainsi que tous ceux qui assistaient à la messe dans ce lieu. J’entendais des cris de toute part. Il y eut comme un tremblement de terre dans l'Eglise, les portes, les murs tremblaient. Les cardinaux et les prêtres tombaient en enfer, leur marteau à la main. Les murs, les parois, les fenêtres, les portes, tout s’effondrait comme si c’était un tremblement de terre. Cardinaux et prêtres, avec leurs marteaux et leurs masses à la main, tous tombaient dans l’abîme qui s’était ouvert dans la terre. Les bancs étaient entraînés vers le fond, les murs commencèrent à s’écrouler, tout était devenu confusion et terreur. Tout était secoué, sauf l’autel, qui demeurait ferme.

Je vis que François était pétrifié ; l'hostie sortit de ses mains et resta suspendue au-dessus de l'autel, et Bergoglio descendit vivant dans l'abîme. C’était comme si le sol s’était enfoncé, comme si on avait roulé un tapis, tout était sens dessus-dessous.

Je regardais et j'avais très peur, et je ne pouvais pas bouger, je voulais crier, mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je voulais prier, mais ma tête était vide.
Alors je sentis qu’une force m’attirait vers l’autel juste à côté de l'Hostie, qui était brillante, pleine de lumière, et suspendue dans les airs. J’étais juste à côté de l’autel, près de l’Hostie, qui resplendissait et me donnait lumière et force.

Commentaire du journaliste : « ceci ne veut pas dire qu’il faut aller dans les temples ; ce n’est pas le thème de ce message. Le thème est que Christ prévaudra à l’autel, et qu’Il vaincra Bergoglio avec Sa Sainte Présence, ainsi que tous les êtres maçonniques, LGBTI, et tous ceux qui adorent la Pachamama et qui ont infiltré l'Eglise pour la détruire ».

Tous les alentours étaient dans l’obscurité, toute l'Eglise avec sa beauté était en ruines, tout était en petits morceaux, détruit, il n’en restait plus rien et tous descendirent vivants dans l'abîme qui s'était ouvert dans la terre, comme si la terre elle-même avait tout englouti. Après cela, la grande fissure ouverte sur la terre se referma fortement, et on entendit comme un déclic, comme lorsqu’une porte se ferme avec une clé et que l’on pose une barre.

J'ai entendu des cris, des plaintes, blasphèmes, beaucoup de blasphèmes, et des insultes envers Dieu. La voix de Bergoglio, engloutie par l'enfer, cessa de se faire entendre. Tout était dans un complet silence... L’unique chose qui brillait était l'Hostie sacrée qui était au-dessus de moi ; j'étais la seule à rester en vie. Après tout ce qui s’était passé, je regardai vers la grande Hostie, qui brillait comme le soleil, et j’adorai mon Seigneur. J'entendis la voix puissante du Seigneur qui disait : Mon Eglise se sauvera par l'Eucharistie et le Saint Rosaire, et les puissances de l'enfer ne prévaudront pas sur elle.

Alors, je me réveillai d’un coup, et ne pus me rendormir.

Merci, tout à fait d'accord avec vous.
Il est fort probable que de nouveaux éléments nous parviennent et nous aident à faire le tri.