Vidéo : "Le Totalitarisme : Contrôle des Populations et Persécution des Individus - Ariane Bilheran"

2 janvier 2024

Le gouvernement australien a publié un avis demandant aux médecins d'administrer "opportunément" des vaccins à des patients récalcitrants pendant qu'ils sont sous sédatifs ou sous anesthésie pour des procédures non liées.

L'Australie est l'un des pays les plus vaccinés au monde, mais il semble que le gouvernement n'ait pas renoncé à atteindre un taux de vaccination de 100 %, avec ou sans le consentement des personnes vaccinées.

Australian Government puts out a chilling notice advising health officials to “opportunistically” administer vaccines to patients who are under sedation or anesthesia.

This is horrifying. pic.twitter.com/soVY662ijM

— DiedSuddenly (@DiedSuddenly_) December 29, 2023

Les conseils officiels du gouvernement australien aux médecins donnent du crédit aux rapports des services de renseignement d'autres pays infiltrés par le FEM. Au Canada, par exemple, un rapport publié l'année dernière suggère que toute personne devant subir une intervention chirurgicale est vaccinée à son insu et sans son consentement pendant qu'elle est sous anesthésie.

来自警卫队朋友的重要情报：

刚刚有报道称，在加拿大各地，任何接受手术的人都在麻醉下接种过疫苗。护士试图介入并被告知要站在一旁，这是按照医生的命令进行的。传播这些话！ pic.twitter.com/KzZjscodTj

— lexislex2 (@lex_is_lex_) October 10, 2022

TRADUCTION :

Informations importantes de nos amis de la Garde :

On vient de rapporter que partout au Canada, toute personne subissant une intervention chirurgicale est vaccinée sous anesthésie. L'infirmière a tenté d'intervenir et on lui a dit de s'écarter, comme l'avait ordonné le médecin. Faites passer les mots !

Entre-temps, Pfizer a admis en Australie que le grand public avait reçu des vaccins différents de ceux des employés de l'entreprise.

Un porte-parole de Pfizer a admis que les employés de l'entreprise avaient reçu un "lot spécial" de vaccin Covid-19, matériellement différent du vaccin distribué au reste de la population.

Cette révélation choquante a été faite lors d'une audition au Sénat australien, lorsque le porte-parole de Pfizer a révélé que le géant pharmaceutique avait importé un lot spécial de vaccins COVID-19 uniquement pour le programme de vaccination de ses employés.

Le sénateur australien Malcolm Roberts a mené l'interrogatoire du directeur médical de Pfizer Australie, le Dr Krishan Thiru, et du responsable des sciences réglementaires, le Dr Brian Hewitt, et ses questions énergiques ont finalement conduit le Dr Thiru à admettre que les employés de Pfizer n'avaient pas reçu le vaccin normal. Voir la vidéo :

BOMBSHELL: Pfizer employees were given a *special batch*… different from what was forced into the general population pic.twitter.com/CDww6wxFif

— Pelham (@Resist_05) August 4, 2023

SOURCE :

https://thepeoplesvoice.tv/australian-govt-tells-doctors-to-opportunistically-vaccinate-patients-under-anasthesia/


SOURCE SUR VSJ :

http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/t39763p780-covid-19-la-pandemie-des-vaccines#848069

Le déclin du caractère raisonnable du gouvernement australien se poursuit. Soit il s'agit simplement d'une loi mal conçue et mal pensée, soit il s'agit de quelque chose de beaucoup plus sombre : un pas de plus vers la tyrannie.


par David Jacques

9 janvier 2024

(LifeSiteNews) - Le gouvernement australien a récemment introduit une législation, la Projet de loi 2023 modifiant la législation antiterroriste (symboles de haine interdits et autres mesures)La Commission européenne a adopté un projet de loi sur les droits de l'homme, qui, à première vue, considère comme un délit, passible d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à cinq ans, la consultation en ligne de matériel "décrivant ou représentant des actes de violence grave". Elle est basée sur formulation si lâche qu'elle ouvre la porte à la criminalisation d'un grand nombre de visionnages en ligne, y compris les jeux vidéo, toute couverture de guerre et des genres entiers de films hollywoodiens.

Les défenseurs de la législation protesteront sans doute que telle n'est pas l'intention de l'amendement. Mais, si l'on pousse la logique à l'extrême, cela pourrait être l'effet recherché. Et à ce stade, il n'y a guère de raison de faire confiance aux pouvoirs législatif et exécutif du gouvernement australien, compte tenu de leur comportement répressif pendant les périodes de confinement du COVID-19 et les mandats de vaccination - sans aucun contrôle de la part du pouvoir judiciaire. Il est également raisonnable de se demander : "Pourquoi un langage aussi manifestement vague a-t-il été utilisé ?" S'agit-il d'un manque de rigueur ou de quelque chose de plus sinistre ?

Le risque de dépassement est évident. Par exemple, la pièce de Shakespeare Titus Andronicus - qui compte 14 morts et où les personnages sont donnés en pâture à leur mère dans une tourte - pourrait aisément être décrite comme la représentation d'une "violence grave". Doit-on l'interdire en ligne, comme beaucoup d'autres tragédies du Barde ? Des romans comme L'orange mécanique ou American Psycho pourrait, au moins à première vueLes images de l'enquête sur l'immigration sont classées dans la catégorie des descriptions de "violence grave". Doivent-ils être supprimés ? Et qu'en est-il d'un jeu vidéo comme Mortal Kombat, où la violence représentée est extrême ?

Ce qui rend la formulation fourre-tout encore plus suspecte, c'est qu'elle a été insérée alors que l'objectif principal de la législation était orienté ailleurs. Selon le procureur général, Mark Dreyfus, l'objectif principal de l'amendement est de mettre fin à l'utilisation d'images et de gestes nazis.

"Il est désormais illégal de faire le salut nazi en public ou d'exposer publiquement des symboles de la haine nazie ou d'en faire le commerce", a-t-il déclaré. "Les nouvelles lois garantissent également que la glorification et l'éloge des actes de terrorisme sont des infractions pénales en vertu de la loi du Commonwealth. M. Dreyfus a ajouté que l'adoption du projet de loi "envoyait un message clair : il n'y a pas de place en Australie pour les actes et les symboles qui glorifient les horreurs de l'Holocauste et les actes terroristes".

Un groupe de réflexion, The Australia Institute, a averti que "toute législation ayant un impact direct sur la liberté d'expression doit être suffisamment claire dans sa formulation et sa structure pour garantir qu'aucune restriction n'est imposée sans raison valable (afin d'éviter tout excès)".

Il semble que ce soit exactement ce qui n'a pas été fait avec l'utilisation du terme "violence grave". Que signifie "grave" dans ce contexte ? Et quand la violence n'est-elle pas sérieuse ?

L'Australia Institute a également affirmé que le fait d'autoriser des exemptions uniquement pour la police et les journalistes agréés était une erreur. Il a appelé à élargir les circonstances protégées pour les personnes qui ne sont pas des journalistes professionnels afin de leur permettre de rendre compte des symboles interdits dans l'intérêt du public. "Définir les choses de manière étroite dans ce cas crée des limites juridiques trop restreintes et augmente les risques d'abus du gouvernement.

La nécessité d'introduire une telle législation n'est pas claire. Les lois australiennes contre l'apologie du terrorisme étaient déjà extrêmement strictes, bien qu'elles durcissent la position contre l'utilisation de symboles nazis ou les affirmations remettant en cause l'Holocauste

L'imprécision de l'amendement ne s'arrête pas là. Il poursuit en interdisant tout visionnage de matériel dont "une personne raisonnable considérerait que, dans toutes les circonstances, il est destiné à promouvoir directement ou indirectement une cause politique, religieuse ou idéologique". À première vue, cette disposition n'est pas seulement négligente, elle est absurde. Qu'y a-t-il de mal à faire avancer une cause politique ou idéologique ? N'est-ce pas ce que les hommes politiques australiens font tout le temps ?

Vient ensuite une autre expression dont le sens n'est pas clair : "acte d'intimidation". L'amendement interdit de regarder du matériel dont "une personne raisonnable considérerait que, dans toutes les circonstances, ... est destiné à aider, encourager ou inciter une personne à ..." :

(i) se livrer à un acte d'intimidation, le planifier ou le préparer ; ou

(ii) faire quelque chose qui se rapporte à l'exécution, à la planification ou à la préparation d'un acte d'intimidation ; ou

(iii) de rejoindre ou de s'associer à une organisation qui participe directement à la réalisation d'un acte d'intimidation ou qui prépare, planifie, assiste ou favorise la réalisation d'un acte d'intimidation".

Qu'est-ce qu'un "acte d'intimidation" ? Alors qu'une phrase comme "encourager les actes de violence" est directe et facile à évaluer, "l'intimidation" dépend des caprices de la psychologie. On pourrait ajouter qu'il y a eu une intimidation importante à l'échelle de la communauté en Australie depuis 2020, mais elle est venue du gouvernement sous la forme de fermetures et de menaces concernant les obligations vaccinales. Il est particulièrement inquiétant de donner à ces mêmes bureaucrates davantage d'outils pour intimider la population.

Ce qu'il en ressort, c'est que le déclin du caractère raisonnable du gouvernement australien se poursuit. Soit il s'agit simplement d'une loi mal conçue et mal pensée, soit il s'agit de quelque chose de beaucoup plus sombre : un pas de plus vers la tyrannie.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/fr/opinion/laustralie-menace-la-liberte-dexpression-en-proposant-dinterdire-la-violence-grave-en-ligne/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa

Le Forum économique mondial cite la "désinformation" et le "changement climatique" comme les menaces les plus graves en 2024 ; Le rapport sur les risques globaux 2024 du Forum économique mondial indique que le monde est "en proie à un duo de crises dangereuses : le climat et les conflits", qui s'inscrivent "dans un contexte d'accélération rapide du changement technologique et d'incertitude économique".


16 janvier 2024

(WND News Center) - Le Forum économique mondial, le groupe d'élites mondiales que la droite politique adore détester, vient de publier son rapport sur les plus grandes menaces en 2024 et au-delà.

Et en tête de sa liste de risques ne figure pas le climat, du moins pas dans l'immédiat.

Le FEM, basé à Davos, en Suisse, affirme que le plus grand risque à court terme provient des "fake news" (fausses nouvelles).

"Alors que les risques liés au climat restent un thème dominant, la menace de la désinformation et des fausses informations est identifiée comme la menace à court terme la plus grave dans le rapport 2024", a indiqué le groupe.

"Les chocs en cascade qui ont assailli le monde ces dernières années s'avèrent insolubles. Les guerres et les conflits, la polarisation des politiques, la crise persistante du coût de la vie et les effets toujours plus importants du changement climatique déstabilisent l'ordre mondial".

Le rapport révèle un monde "en proie à un duo de crises dangereuses : le climat et les conflits". Ces menaces s'inscrivent dans un contexte d'accélération rapide des changements technologiques et d'incertitude économique".

Les mondialistes affirment que "l'inquiétude croissante suscitée par la désinformation est en grande partie due au fait que l'IA, entre les mains de mauvais acteurs, peut inonder les systèmes d'information mondiaux de faux récits".


Le rapport indique qu'au cours des deux prochaines années, "des acteurs étrangers et nationaux tireront parti de la désinformation pour creuser les fossés sociétaux et politiques".

Il indique que la menace est renforcée par la tenue d'élections importantes : plus de 3 milliards de personnes se rendront aux urnes en 2024 et 2025 aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en Inde.

Le rapport indique que la diffusion de fausses informations et de désinformations pourrait entraîner des troubles civils, mais aussi favoriser la censure, la propagande intérieure et le contrôle de la libre circulation de l'information par les gouvernements.

Les dix principaux risques pour les deux prochaines années sont les suivants : phénomènes météorologiques extrêmes, polarisation sociétale, cybersécurité, conflits armés entre États, manque d'opportunités économiques, inflation, migrations involontaires, ralentissement économique et pollution.

La liste des risques sur dix ans place les phénomènes météorologiques extrêmes en première position, suivis par les changements critiques des systèmes terrestres, la perte de biodiversité et l'effondrement économique, les pénuries de ressources naturelles, la désinformation, les résultats négatifs des technologies de l'intelligence artificielle, les migrations involontaires, la cybersécurité, la polarisation sociétale et la pollution.

Reproduit avec l'autorisation du WND News Center.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/news/world-economic-forum-lists-disinformation-and-climate-change-as-most-severe-threats-in-2024/

17 janvier 2024

Les élites en ont assez de l’encombrante liberté d’expression, elles ne veulent plus que l’on critique leurs projets. C’est la raison pour laquelle elles ont déclaré que la « désinformation et les fausses informations » constituaient le plus grand risque des prochaines années. Parce que cela pourrait entraver la « capacité à relever les grands défis mondiaux », ils appellent de manière à peine voilée à la censure mondiale contre les voix qui contredisent les narratifs des élites. Pour l’architecte de « Great Reset » Klaus Schwab, cela fait d’elle une « visionnaire exceptionnelle ».

La « désinformation » menace l’agenda des mondialistes

Klaus Schwab, fondateur du FEM & architecte du « Great Reset » (ou Grande Réinitialisation, ndlr), a présenté la cheffe de la Commission européenne de manière presque exubérante : « C’est à la fois un plaisir et un privilège pour moi d’accueillir une dirigeante et une visionnaire extraordinaire ». Elle a joué un rôle déterminant pour guider l’Europe à travers « des périodes de défi et pour préserver sa voix forte dans les contextes internationaux ». Il ne peut que lui jeter des roses : « Son leadership est un phare d’inspiration, car elle commande une Europe unie, forte et qui va de l’avant ».

De nombreux citoyens verraient d’un moins bon œil « Flinten-Uschi » après les accords douteux de Pfizer, le réarmement de l’Ukraine et l’introduction du ruineux « Green Deal », mais pour les mondialistes, ces choses sont comme de la musique dans leurs oreilles. Elle ne bronche donc pas et laisse immédiatement entrevoir qu’elle ne fera pas non plus de prisonniers en matière de censure des critiques : « La plus grande préoccupation des deux prochaines années n’est pas les conflits, ni même le climat, mais la désinformation et les fausses informations, suivies de près par la polarisation de la société. Ces risques sont graves car ils limitent notre capacité à relever les grands défis mondiaux ».

Les entreprises et les gouvernements font la paire

Il est temps de « rétablir la confiance » et de « faire avancer la coopération mondiale plus que jamais ». Il faut donc des mesures immédiates et structurelles pour relever les grands défis. Et elle est sûre d’y parvenir : « Je pense que l’Europe peut et doit prendre le leadership lorsqu’il s’agit d’aborder les mesures mondiales ». Selon elle, la première étape consiste à examiner attentivement le « Global Risks Report » afin de concocter un plan directeur. Et c’est ce climat totalitaire qu’elle veut imposer au monde entier : Selon la présidente de l’UE, tous les risques actuels nécessitent une collaboration mondiale pour être combattus.

Les entreprises et les gouvernements doivent agir de concert pour lutter contre le changement climatique ou la « désinformation ». L’Europe joue un rôle de pionnier unique, car « nos démocraties et nos entreprises ont des intérêts communs ». Cela est d’autant plus important que d’innombrables élections ont lieu cette année dans le monde entier. Elle a parlé d’une UE prétendument libre, dans laquelle on peut librement exprimer ses opinions et faire du commerce. Avec bien sûr la réserve habituelle : « Mais il y a ceux – à l’intérieur et à l’extérieur – qui abusent de notre ouverture. Il y aura toujours des tentatives pour nous faire sortir du droit chemin, par exemple par la désinformation et la mésinformation ».

Maximilian Krah, le chef de file de l’AfD pour les élections européennes, a compris les ficelles rhétoriques de la chef de la Commission européenne, avide de censure :

Censure contre les prétendus « discours de haine »

« Nulle part », selon von der Leyen, cela n’est aussi visible « que sur le thème de l’Ukraine ». Elle a déclaré qu’il était vrai que la Russie avait échoué sur le plan militaire, économique et diplomatique. C’est pourquoi il faut continuer à « rendre l’Ukraine capable de résister », c’est-à-dire à l’armer. La perspective de l’adhésion de l’Ukraine à l’UE l’a remplie d’une « immense joie ». Elle défend en outre le récit selon lequel la Russie a eu besoin de « l’énergie comme arme » contre l’UE. La crainte d’un effondrement de l’UE ne s’est pas vérifiée. Zensursula » veut-elle à l’avenir qualifier de « fausse information » tout doute sur ce récit et l’éradiquer ?

Car après s’être brièvement félicitée de son « Green Deal » et du développement des énergies renouvelables, elle a de nouveau parlé de « désinformation ». Depuis son entrée en fonction, la lutte contre celle-ci est au cœur de la politique de l’UE : « Avec le Digital Services Act, nous avons défini que les grandes plateformes sont responsables des contenus qui y sont promus et propagés. Qu’elles sont responsables lorsque des groupes vulnérables sont touchés par un ‘discours de haine' ». Cela est important parce que les frontières entre le monde numérique et le monde réel s’estompent : « Nous devrions donc protéger en ligne les valeurs que nous chérissons hors ligne ».

L’encadrement de l’IA pour la restructuration de l’élite.

Après avoir réglementé la liberté d’expression sur le web, Von der Leyen veut faire de même avec l’intelligence artificielle. Celle-ci peut ouvrir des possibilités si elle est utilisée « correctement », mais elle comporte aussi des risques. C’est justement parce que l’IA devient si importante pour divers domaines de la vie, des soins de santé à l’économie, qu’elle veut la limiter à la juste « utilité sociale ». Elle veut utiliser « l’avantage concurrentiel » de l’industrie européenne du logiciel pour alimenter l’IA avec les bonnes données. Si cela ne tient qu’à elle, l’IA doit avant tout favoriser la transformation totale des élites au nom de la « durabilité ».

Elle rappelle les dangers des crises qui se chevauchent et met en garde contre une menace pour « l’ordre mondial ». Il faut donc oser prendre des risques. L’UE réussit toujours lorsqu’elle joue un rôle de pionnier, par exemple dans le cadre du « Green Deal » ou du projet de transformation « NextGenEU », dans le soutien à l’Ukraine – « ou encore dans la lutte contre la pandémie ». Et ces approches totalitaires devraient se multiplier : « Les années à venir nous imposent de penser dans les mêmes termes. […] Protéger notre démocratie des perturbations est notre devoir commun. L’UE jouera un rôle clé à cet égard

Traduction de Der Status par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/fem-les-critiques-menacent-la-grande-reinitialisation-la-dirigeante-de-lue-veut-une-censure-mondiale/

Cette carte montre toutes les usines de transformation alimentaire qui ont pris feu ou ont été détruites.
Vraiment un hasard ? pic.twitter.com/UGJgGHMOn0

— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) January 31, 2024

La Russie étend son réseau de surveillance et prévoit d’exploiter les réseaux de surveillance privés et de mettre en place la reconnaissance faciale… Une intensification de la suppression de la vie privée.


02/02/2024

Une intensification de la suppression de la vie privée.

La Russie se rapproche d’un système de surveillance extensive comparable à celui de la Chine. La région de Perm est la première à imposer aux propriétaires de caméras vidéo privées d’intégrer leurs appareils dans un réseau de surveillance régional, une pratique appelée à être reproduite à l’échelle nationale.

Cette initiative, prise par décret du gouverneur de Perm, Dmitry Makhonin, est entrée en vigueur le 25 janvier. Cette mesure s’aligne sur la déclaration de loi martiale du président Vladimir Poutine dans les territoires occupés de l’Ukraine en octobre 2022, accordant aux gouverneurs régionaux des pouvoirs accrus pour assurer la « sécurité » de leurs régions.

La surveillance des citoyens par la Russie s’est intensifiée depuis l’invasion de l’Ukraine. Les autorités scrutent de plus en plus les médias sociaux et utilisent des caméras de surveillance pour traquer les citoyens activistes. Moscou a récemment testé des feux de circulation à reconnaissance faciale. Alexander Bykov, chef de l’Inspection nationale de la sécurité routière de Moscou, a même suggéré que la fourniture de données biométriques devrait être obligatoire.

La reconnaissance faciale est un élément essentiel de la stratégie de surveillance de la Russie. Elle a été utilisée pour détenir des militants de l’opposition et pour identifier des personnes ayant ignoré des convocations à l’appel militaire, des arrestations ayant été signalées dans le métro et les gares. Sergey Suchkov, PDG de NtechLab, indique que la reconnaissance faciale est opérationnelle dans 62 régions, contribuant ainsi au projet « Data Economy » du ministère du développement numérique, qui vise à dresser un profil complet des activités des citoyens.

Actuellement, les caméras privées sont inaccessibles aux autorités régionales, et seule la moitié des 1,2 million de caméras de rue appartiennent à l’État, comme l’a indiqué le département du développement numérique en novembre 2023. L’un des principaux objectifs est de centraliser la surveillance des rues, les caméras privées jouant un rôle important.

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/la-russie-etend-son-reseau-de-surveillance-et-prevoit-dexploiter-les-reseaux-de-surveillance-prives-et-de-mettre-en-place-la-reconnaissance-faciale

17/02/2024

Le deuxième radiodiffuseur américain pourrait bientôt sortir de la faillite avec un nouvel actionnaire : Soros Fund Management.

Selon Bloomberg, la société d’investissement fondée par le milliardaire George Soros, qui déteste Trump, a acquis 400 millions de dollars de la dette la plus élevée d’Audacy.

« La décision de nos actionnaires actuels et nouveaux de devenir actionnaires d’Audacy représente un vote de confiance important dans notre entreprise et dans l’avenir du secteur de la radio et de l’audio », a déclaré Audacy dans un communiqué.

Audacy possède 235 stations de radio dans 48 marchés médiatiques à travers les États-Unis et est le deuxième plus grand radiodiffuseur derrière iHeartMedia.

« Dans le cadre du plan de faillite d’Audacy, les actionnaires existants seraient éliminés et les principaux créanciers seraient remboursés sous forme d’actions de la société restructurée. La proposition doit être approuvée par le tribunal des faillites », note Bloomberg.

Selon le New York Post, un initié familier de l’affaire, qui s’est identifié comme un républicain, a exprimé de sérieuses inquiétudes quant au fait que Soros pourrait acquérir cette participation pour influencer l’opinion publique avant l’élection présidentielle de 2024.

« C’est effrayant », a déclaré la source.

Une autre source a expliqué au NYPost que la participation de Soros équivaut à environ 40 % de la dette de premier rang de la société, même si elle n’est pas majoritaire, et qu’elle pourrait permettre de prendre le contrôle effectif du radiodiffuseur lorsqu’il sortira de la faillite.

L’été dernier, Soros a rejoint un groupe de prêteurs, dont Fortress Investment Group, qui a payé 350 millions de dollars pour acquérir Vice Media, un média de gauche en faillite qui avait été évalué à 6 milliards de dollars.

Malheureusement, la radio et la télévision sont en plein déclin. Supposons que Soros pense pouvoir exercer un pouvoir de propagande en acquérant des médias traditionnels. Dans ce cas, il devrait reconsidérer les caractéristiques démographiques de son public cible : rares sont les personnes disposant d’un smartphone et d’un ordinateur qui écoutent régulièrement la radio.

De plus, Audacy devrait faire attention à ne pas s’attirer les foudres des conservateurs.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/cest-effrayant-soros-prepare-le-rachat-de-200-stations-de-radio-avant-lelection-presidentielle-americaine

11/03/2024

Le Forum économique mondial (FEM) poursuit sa campagne vocale de « lutte contre la désinformation », exhortant les gouvernements, les médias, les entreprises technologiques et la société civile à se joindre à lui.

La raison apparente du FEM est que la « désinformation » est une menace pour « notre écosystème » et qu’il souhaite que des « experts » expliquent comment « l’endiguer ». (Dommage que le FEM n’ait pas demandé à certains experts de commencer par définir la désinformation – et d’expliquer comment parvenir à un large consensus dans la société et la politique autour de cette définition).

Au lieu de cela, le groupe informel représentant les élites mondiales fait un clin d’œil à l’UE et à sa loi sur les services numériques (DSA), dont certains éléments clés ont amené les critiques à la qualifier de « loi sur la censure ».

Un post sur le site du FEM blâme la technologie numérique et ce qu’il appelle « l’écosystème médiatique fragmenté » pour les quantités supposées sans précédent de désinformation. On y trouve également des propos alarmistes sur l’IA, ce qui est normal de nos jours.

Et ce ne sont pas les anciens médias qui sapent leur propre réputation, en se « coordonnant » volontiers avec les gouvernements et en s’engageant dans des reportages biaisés et dans la censure, qui sont à blâmer pour l’érosion constante de la confiance non seulement dans les médias traditionnels, mais aussi dans ces institutions.

Non, le discours du FEM n’est rien d’autre que cohérent. La raison, insiste-t-il, DOIT être la « désinformation ». Et pour que les médias retrouvent la confiance, une « guerre contre la mésinformation » doit être menée à l’échelle de la société.

On pourrait naïvement penser que l’atout le plus précieux d’un média est l’information. Mais le rédacteur en chef du Wall Street Journal a expliqué au FEM qu’il s’agit en fait de la « confiance », c’est-à-dire de l’influence exercée par la diffusion d’informations qui ne sont jamais remises en question.

La confiance est puissante, mais fragile ; elle se gagne, elle ne s’impose pas, comme l’UE et d’autres tentent de le faire encore et encore ; mais la confiance se perd aussi facilement, surtout après des années de suppression de la liberté d’expression, de partisanerie flagrante, etc.

Mais le groupe basé en Suisse insiste sur le fait que le problème sous-jacent est tout simplement la « désinformation », prétendument, et maintenant des quantités massives de celle-ci.

Le FEM souhaite donc que les forces les plus puissantes d’une société serrent les rangs et mettent en place « une défense à plusieurs niveaux contre la diffusion de fausses informations ».

Et ils ne se défendent pas eux-mêmes, ils défendent la « vérité ».

C’était le nom d’un panel lors de la récente réunion de Davos, où les bureaucrates de l’UE et les dirigeants du New York Times et du WSJ, entre autres, se sont fait passer pour des « experts de la vérité ».

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/le-fem-se-plaint-de-la-desinformation-et-appelle-a-un-effort-concerte-de-la-part-des-gouvernements-et-des-entreprises-technologiques-pour-la-combattre