Histoires sur le Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel
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Re: Histoires sur le Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel
« Marie s’engage par la promesse : Quiconque mourra revêtu du Scapulaire... envers ses enfants du Carmel, à leur obtenir la persévérance dans la justice, ou une sincère conversion. » (R. P. Victor Dumax, sous-directeur de l’Archiconfrérie de Notre-Dame des Victoires)
« Mais quoi ! me dira-t-on peut-être, la Sainte Vierge me viendra-t-elle retirer de l’enfer après que mes désordres m’y auront entraîné ? Ou bien m’obtiendra-t-elle le privilège de revenir sur la terre, pour m’y purifier par la pénitence ?
« À ces objections frivoles, continue le Vénérable P. de la Colombière (sermon du 16 juillet 1675 à Lyon), je pourrais opposer des exemples très authentiques, où vous verriez qu’en faveur du Scapulaire Marie a quelquefois arrêté des âmes impénitentes dans des corps épuisés de sang et percés de coups, pour leur ménager le temps de se réconcilier avec Dieu.
« Mais, chrétiens, vous savez combien ce serait téméraire que de s’attendre à de pareils miracles. La Mère de Dieu a entre ses mains toutes les grâces et toutes les miséricordes du Seigneur... Si cependant, malgré toutes ces grâces, vous vous obstinez à ne point changer de vie : si vous fermez les yeux à tant de lumières : si, de votre propre mouvement, vous vous livrez à votre ennemi, en un mot, si vous voulez mourir dans votre péché, vous y mourrez, chrétiens ; Dieu même ne peut forcer une volonté déterminée à se perdre. Oui, vous mourrez dans l’impénitence, vous mourrez dans votre péché ; mais alors vous ne mourrez point sous le Scapulaire. »
« À ces objections frivoles, continue le Vénérable P. de la Colombière (sermon du 16 juillet 1675 à Lyon), je pourrais opposer des exemples très authentiques, où vous verriez qu’en faveur du Scapulaire Marie a quelquefois arrêté des âmes impénitentes dans des corps épuisés de sang et percés de coups, pour leur ménager le temps de se réconcilier avec Dieu.
« Mais, chrétiens, vous savez combien ce serait téméraire que de s’attendre à de pareils miracles. La Mère de Dieu a entre ses mains toutes les grâces et toutes les miséricordes du Seigneur... Si cependant, malgré toutes ces grâces, vous vous obstinez à ne point changer de vie : si vous fermez les yeux à tant de lumières : si, de votre propre mouvement, vous vous livrez à votre ennemi, en un mot, si vous voulez mourir dans votre péché, vous y mourrez, chrétiens ; Dieu même ne peut forcer une volonté déterminée à se perdre. Oui, vous mourrez dans l’impénitence, vous mourrez dans votre péché ; mais alors vous ne mourrez point sous le Scapulaire. »
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« CELUI qui MOURRA REVÊTU de cet HABIT (le SCAPULAIRE du CARMEL) SERA PRÉSERVÉ des FEUX ÉTERNELS. »
« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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« Si vous voulez mourir dans votre péché, vous y mourrez,
mais alors vous ne mourrez point sous le Scapulaire. »
mais alors vous ne mourrez point sous le Scapulaire. »
« Si Marie ne peut pas vous retirer de vos désordres, elle trouvera le moyen de vous arracher sa livrée. Vous mêmes, oui, vous mêmes, plutôt que de mourir en réprouvés sous ce saint habit, vous vous en dépouillerez, semblables à ce malheureux qui, ayant tenté plusieurs fois, mais inutilement de se noyer, et ne sachant à quoi attribuer un événement si prodigieux, s’aperçut qu’il portait un Scapulaire, et demeura si persuadé que c’était l’obstacle qui s’opposait à son funeste dessein, qu’il se l’arracha ; et se replongeant ensuite pour la quatrième ou cinquième fois, les mêmes flots qui l’avaient épargné jusqu’alors l’étouffèrent dans un moment. Il mourut dans son péché, il mourut même en péchant et en commettant le plus grand de tous les crimes ; mais il ne put mourir qu’après s’être dépouillé de cet habit de salut, sous lequel on ne peut expirer sans avoir l’avantage d’éviter les feux éternels, in quo quis moriens aeternum non patietur incendium...
« Vous voyez, chrétiens, de quelle manière la Sainte Vierge s’est engagée à procurer votre salut ; elle s’y est engagée, et par des paroles très expresses, et par des effets encore plus admirables que ses paroles. » (Vie du P. de la Colombière)
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« CELUI qui MOURRA REVÊTU de cet HABIT (le SCAPULAIRE du CARMEL) SERA PRÉSERVÉ des FEUX ÉTERNELS. »
« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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Re: Histoires sur le Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel
36- NOYÉE en REJETANT son SCAPULAIRE
(en MP3)
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« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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Re: Histoires sur le Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel
Une jeune personne, ayant eu le malheur d’oublier les bons principes, en lisant de mauvais livres et en fréquentant des compagnies dangereuses, se laissa aller à commettre une faute qui compromit son honneur.
Dévorée par le remords, au lieu de se jeter aux pieds de Jésus et de Marie pour implorer pardon et miséricorde, elle se laissa aller au désespoir, le seul crime impardonnable parce qu’il est sans remède.
Agitée par les plus sombres pensées, elle se précipite dans la rivière ; mais quel n’est pas son étonnement, en voyant que, quoiqu’elle ne sache pas nager, elle ne peut néanmoins parvenir à se noyer, et, malgré ses efforts, reste sur l’eau !
Cependant un pêcheur qui l’avait aperçue lorsqu’elle accomplissait son crime, court à son secours ; mais voici qu’au moment où il allait l’atteindre, le démon, sans doute, dit à cette infortunée que ce qui l’empêchait de se noyer, c’était le Scapulaire qu’elle portait au cou.
Aussitôt elle l’arrache et le rejette loin d’elle, et en même temps elle s’enfonce, non pas seulement dans les flots, mais dans les abîmes sans fond et sans rivages de l’éternité. ("La Dévotion à Marie en exemples" du Père Huguet, Tome II, trait n°218 tiré du Bx Claude de la Colombière)
Dévorée par le remords, au lieu de se jeter aux pieds de Jésus et de Marie pour implorer pardon et miséricorde, elle se laissa aller au désespoir, le seul crime impardonnable parce qu’il est sans remède.
Agitée par les plus sombres pensées, elle se précipite dans la rivière ; mais quel n’est pas son étonnement, en voyant que, quoiqu’elle ne sache pas nager, elle ne peut néanmoins parvenir à se noyer, et, malgré ses efforts, reste sur l’eau !
Cependant un pêcheur qui l’avait aperçue lorsqu’elle accomplissait son crime, court à son secours ; mais voici qu’au moment où il allait l’atteindre, le démon, sans doute, dit à cette infortunée que ce qui l’empêchait de se noyer, c’était le Scapulaire qu’elle portait au cou.
Aussitôt elle l’arrache et le rejette loin d’elle, et en même temps elle s’enfonce, non pas seulement dans les flots, mais dans les abîmes sans fond et sans rivages de l’éternité. ("La Dévotion à Marie en exemples" du Père Huguet, Tome II, trait n°218 tiré du Bx Claude de la Colombière)
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« CELUI qui MOURRA REVÊTU de cet HABIT (le SCAPULAIRE du CARMEL) SERA PRÉSERVÉ des FEUX ÉTERNELS. »
« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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Re: Histoires sur le Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel
37- MORT d'un PÉCHEUR IMPÉNITENT
(en MP3)
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« CELUI qui MOURRA REVÊTU de cet HABIT (le SCAPULAIRE du CARMEL) SERA PRÉSERVÉ des FEUX ÉTERNELS. »
« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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Re: Histoires sur le Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel
On lit dans les Annales du Carmel :
« En 1875, un jeune homme auquel je donnais le Scapulaire me raconta le fait suivant qui venait de se passer dans sa paroisse, et il en connaissait parfaitement le triste héros. Un homme, livré à la boisson et à tous les désordres, donnait de grands scandales dans le pays. Il n’entrait jamais à l’église et ne passait jamais devant un prêtre sans blasphémer. Il ne cessait pourtant pas de porter le Scapulaire qu’il avait reçu à sa première communion. La maladie, fruit de ses désordres, vint le surprendre et le réduisit promptement à l’extrémité. L’approche de la mort ne changea rien à ses malheureuses dispositions, il refusa obstinément le prêtre ; et enfin il tomba dans une léthargie profonde, signe prochain de la mort. On s’attendait à chaque instant à le voir expirer ; mais tout à coup il ouvre les yeux, s’agite, se débat avec une extrême violence. On s’empresse autour de lui, on lui demande ce qu’il éprouve : J’étouffe, crie le moribond avec une sorte de frénésie, j’étouffe ; en disant ces paroles il écarte des deux mains avec une fiévreuse impatience les vêtements qui couvraient sa poitrine. Ayant enfin rencontré son Scapulaire : « Voilà, dit-il, ce qui me fait tant souffrir », et l’arrachant, il le jette loin de lui et expire avec tous les signes affreux de la réprobation. »
Tous les faits que nous avons cités, prouvent suffisamment que Marie n’a point autorisé par les promesses faites au Scapulaire, une vaine présomption ; mais qu’elle ferait plutôt un miracle que de délaisser ceux qui se confient en elle ! et comme le proclame l’Église par la voix de saint Bernard : « Le serviteur de Marie ne périra jamais ! » (Numquam peribit.)
« En 1875, un jeune homme auquel je donnais le Scapulaire me raconta le fait suivant qui venait de se passer dans sa paroisse, et il en connaissait parfaitement le triste héros. Un homme, livré à la boisson et à tous les désordres, donnait de grands scandales dans le pays. Il n’entrait jamais à l’église et ne passait jamais devant un prêtre sans blasphémer. Il ne cessait pourtant pas de porter le Scapulaire qu’il avait reçu à sa première communion. La maladie, fruit de ses désordres, vint le surprendre et le réduisit promptement à l’extrémité. L’approche de la mort ne changea rien à ses malheureuses dispositions, il refusa obstinément le prêtre ; et enfin il tomba dans une léthargie profonde, signe prochain de la mort. On s’attendait à chaque instant à le voir expirer ; mais tout à coup il ouvre les yeux, s’agite, se débat avec une extrême violence. On s’empresse autour de lui, on lui demande ce qu’il éprouve : J’étouffe, crie le moribond avec une sorte de frénésie, j’étouffe ; en disant ces paroles il écarte des deux mains avec une fiévreuse impatience les vêtements qui couvraient sa poitrine. Ayant enfin rencontré son Scapulaire : « Voilà, dit-il, ce qui me fait tant souffrir », et l’arrachant, il le jette loin de lui et expire avec tous les signes affreux de la réprobation. »
Tous les faits que nous avons cités, prouvent suffisamment que Marie n’a point autorisé par les promesses faites au Scapulaire, une vaine présomption ; mais qu’elle ferait plutôt un miracle que de délaisser ceux qui se confient en elle ! et comme le proclame l’Église par la voix de saint Bernard : « Le serviteur de Marie ne périra jamais ! » (Numquam peribit.)
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« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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Re: Histoires sur le Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel
38- CONVERSION d'une FAMILLE MÉTISSE
(en MP3)
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« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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Re: Histoires sur le Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel
Cette année même 1895, les ministres protestants cherchaient non seulement à s’établir dans la Mackensie ; mais ils voulaient se réserver exclusivement cette contrée. Toutefois un missionnaire catholique s’avança dans l’Alaska jusqu’au fort Youkou où la compagnie de la baie d’Hudson faisait un commerce important. Le bon Dieu l’avait envoyé là pour le salut d’une seule famille de métis anglais, et cette conquête consola son apôtre d’une manière imprévue. Une nuit, un engagé venu de la rivière Rouge vit en songe une dame de merveilleuse beauté ; elle l’engagea à s’adresser au prêtre pour apprendre le chemin de la vie, et lui montra en signe de sa protection un Chapelet et un Scapulaire. Le brave métis se rendit, dès le lendemain, à la pauvre demeure du missionnaire ; il se jeta plein de joie aux pieds du grand Chef de la Prière, en le voyant tenir le Chapelet que Marie lui avait montré ; mais quand il eut encore reconnu le Scapulaire, ne se sentant plus de joie, il demanda le baptême et le reçut peu après avec toute sa famille.
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« CELUI qui MOURRA REVÊTU de cet HABIT (le SCAPULAIRE du CARMEL) SERA PRÉSERVÉ des FEUX ÉTERNELS. »
« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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Re: Histoires sur le Scapulaire de Notre-Dame du Mont-Carmel
NEUVAINE À NOTRE-DAME DU MONT-CARMEL
(8 au 16 juillet)
Ô Bienheureuse Vierge Immaculée,
beauté et gloire du Carmel,
vous qui regardez avec une bonté toute spéciale
ceux qui revêtent votre habit bien-aimé,
jetez aussi sur moi un regard propice
et couvrez-moi du manteau
de votre maternelle protection.
Fortifiez ma faiblesse par votre puissance,
éclairez les ténèbres de mon esprit par votre sagesse,
augmentez en moi la foi, l’espérance et la charité.
Ornez mon âme de grâces et de vertus
qui la rendent chère à votre divin Fils et à vous.
Assistez-moi durant ma vie,
consolez-moi à la mort par votre présence,
et présentez-moi à l’auguste Trinité
comme votre enfant et votre dévot serviteur,
pour vous louer
et vous bénir éternellement en Paradis.
Ainsi soit-il.
3 Ave Maria et 3 Gloria Patri
beauté et gloire du Carmel,
vous qui regardez avec une bonté toute spéciale
ceux qui revêtent votre habit bien-aimé,
jetez aussi sur moi un regard propice
et couvrez-moi du manteau
de votre maternelle protection.
Fortifiez ma faiblesse par votre puissance,
éclairez les ténèbres de mon esprit par votre sagesse,
augmentez en moi la foi, l’espérance et la charité.
Ornez mon âme de grâces et de vertus
qui la rendent chère à votre divin Fils et à vous.
Assistez-moi durant ma vie,
consolez-moi à la mort par votre présence,
et présentez-moi à l’auguste Trinité
comme votre enfant et votre dévot serviteur,
pour vous louer
et vous bénir éternellement en Paradis.
Ainsi soit-il.
3 Ave Maria et 3 Gloria Patri
(indulgence de 200 jours, une fois le jour, Léon XIII, 16 janvier 1886)
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« Le sens de la promesse de Marie est que cette Mère de miséricorde obtiendra aux confrères et consœurs mourants la grâce de n’être pas surpris de la mort en état de péché mortel, fallût-il, en bien des occasions, par une protection miraculeuse, écarter de funestes accidents pour les préserver de la mort, ou prolonger la vie aux malades, et leur ménager un moment favorable de conversion et de salut. Voilà le sens naturel et seul légitime de la promesse de Marie. » (R.P. Brocard de Sainte-Thérèse en 1846)
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