Jésus parle de la vocation sacerdotale.
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Message  Invité Lun 13 Fév 2012 - 14:02

AU TEMPLE, POUR LES TABERNACLES.
(Maria Valtorta, tome 4, chapitre 145, pages 387/389)
Extrait du chapitre où Jésus parle des vocations sacerdotales.


Jésus demande à brûle-pourpoint :

«Pourquoi vous pressez-vous autour de Moi ? Dites-le. Vous avez des rabbis connus et sages, bien vus de tout le monde. Moi, je suis l'Inconnu et le Mal vu. Pourquoi alors venez-vous à Moi ?»

«Parce que nous t'aimons» disent certains, et d'autres : «Parce que tu as des paroles différentes des autres», et d'autres encore : «Pour voir tes miracles» et «Parce que nous avons entendu parler de Toi» et «Parce que Toi seul as des paroles de vie éternelle et des oeuvres qui correspondent aux paroles» et enfin : «Parce que nous voulons nous unir à tes disciples.»

Jésus regarde les gens au fur et à mesure qu'ils parlent comme s'il voulait les transpercer par le regard pour lire leurs impressions les plus cachées, et certains, ne résistant pas à ce regard, s'éloignent ou bien se cachent derrière une colonne ou des gens plus grands qu'eux.

Jésus reprend :
«Mais savez-vous ce que cela veut dire et ce que cela impose de venir derrière Moi ?
Je vais répondre à ces seules paroles, parce que la curiosité ne mérite pas qu'on lui réponde et parce que celui qui a faim de mes paroles me donne, en conséquence, son amour et désire s'unir à Moi. Car, parmi ceux qui ont parlé, il y a deux groupes : les curieux, dont je ne m'occupe pas, les volontaires que j'instruis, sans feinte, de la sévérité de cette vocation.

Venir à Moi comme disciple,
cela veut dire renoncer à tous les amours
pour un seul amour : le mien.

Amour égoïste pour soi-même, amour coupable pour les richesses, pour la sensualité ou la puissance, amour honnête pour l'épouse, amour saint pour la mère, le père, amour affectueux des fils et des frères ou pour les fils et les frères, tout doit céder à mon amour, si on veut être mien.

En vérité je vous dis que plus libres que les oiseaux qui planent dans les cieux doivent être mes disciples, plus libres que les vents qui parcourent les espaces sans que personne les retienne, personne ni rien. Libres, sans lourdes chaînes, sans lacets d'amour matériel, sans même les fils d'araignée fins des plus légères barrières.

L'esprit est comme un papillon délicat enfermé dans un lourd cocon de chair, et son vol peut s'alourdir ou s'arrêter tout à fait, par l'action d'une iridescente et impalpable toile d'araignée, l'araignée de la sensualité, du manque de générosité dans le sacrifice. Moi, je veux tout, sans réserve. L'esprit a besoin de cette liberté de donner, de cette générosité de donner, pour pouvoir être certain de ne pas rester pris dans la toile d'araignée des affections, des coutumes, des réflexions, des peurs, tendues comme les fils de cette araignée monstrueuse qu'est Satan, voleur des âmes.

Si quelqu'un veut venir à Moi et ne hait pas saintement son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et ses soeurs, et jusqu'à sa vie, il ne peut être mon disciple. J'ai dit : "hait saintement".

Vous, dans votre coeur, vous dites :
"La haine, Lui l'enseigne, n'est jamais sainte.
Lui, donc se contredit".

Non. Je ne me contredis pas. Je dis de haïr la pesanteur de l’amour, la passion charnelle de l'amour pour le père et la mère, l'épouse et les enfants, les frères et les soeurs, et la vie elle-même.

Mais, d'autre part, j'ordonne d'aimer avec la liberté légère, qui est le propre des esprits, les parents et la vie. Aimez-les en Dieu et pour Dieu, ne faisant jamais passer Dieu après eux, vous occupant et vous préoccupant de les amener là où le disciple est arrivé, c'est-à-dire à Dieu Vérité. Ainsi vous aimerez saintement les parents et Dieu, en conciliant les deux amours et en faisant des liens du sang non pas un poids mais une aile, non pas une faute, mais la justice.

Même votre vie, vous devez être prêts à la haïr pour me suivre.

Hait sa vie celui qui, sans peur de la perdre ou de la rendre humainement triste, la consacre à mon service. Mais ce n'est qu'un semblant de haine. Un sentiment qui est appelé de manière incorrecte : "haine", par la pensée de l'homme qui ne sait pas s'élever, de l'homme uniquement terrestre, de peu supérieur à la brute.

En réalité cette haine apparente
qui est le refus des satisfactions sensuelles à l'existence,
pour donner une vie toujours plus grande à l'esprit,
c'est de l'amour.
C'est de l'amour, le plus élevé qui existe, le plus béni.

Ce refus des basses satisfactions, cette interdiction de la sensualité des affections, ce risque des reproches et des commentaires injustes, des punitions, des répudiations, des malédictions et, peut-être des persécutions, est une suite de peines. Mais il faut les embrasser et se les imposer comme une croix, un gibet sur lequel on expie toutes les fautes passées pour aller justifiés vers Dieu, et par lequel on obtient de Dieu toute grâce vraie, puissante, sainte, pour ceux que nous aimons. Celui qui ne porte pas sa croix et ne me suit pas, celui qui ne sait pas le faire, ne peut pas être mon disciple.

Pensez-y donc beaucoup, beaucoup, vous qui dites : "Nous sommes venus parce que nous voulons nous unir à tes disciples". Ce n'est pas de la honte, mais de la sagesse, de se peser, de se juger, d'avouer à soi-même et aux autres : "Je n'ai pas l'étoffe d'un disciple". Et quoi ? Les païens ont, à la base de l'un de leurs enseignements, la nécessité de "se connaître soi-même", et vous, israélites, pour conquérir le Ciel, vous ne sauriez pas le faire ?

Car, rappelez-le vous toujours, bienheureux ceux qui viendront à Moi. Mais, plutôt que de venir pour me trahir Moi et Celui qui m'a envoyé, il vaut mieux ne pas venir du tout et rester les fils de la Loi comme vous l'avez été jusqu'à présent.

Malheur à ceux qui, ayant dit : "Je viens",
nuisent au Christ en trahissant l'idée chrétienne,
en scandalisant les petits, les gens honnêtes !
Malheur à eux !
Et pourtant il y en aura et toujours il y en aura !
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