Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
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Re: Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
Le nombre de civils tués par la coalition en Syrie et en Irak a triplé en 2017
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 19/01/2018 à 17:52 Publié le 19/01/2018 à 17:37
Le nombre de civils tués par la coalition antijihadistes conduite par les Etats-Unis a triplé en 2017 en raison des assauts lancés contre des centres urbains très peuplés tenus par le groupe Etat islamique (EI), selon l'ONG Airwars.
Au total, en Irak et en Syrie, entre 3.923 et 6.102 "non-combattants" ont péri et 2.443 civils ont été blessés lors de 766 attaques meurtrières en 2017, selon le recensement annuel d'Airwars.
En 2016, entre 1.243 et 1.904 avaient été tués, selon la même source.
1.573 frappes aériennes et tirs d'artillerie
L'accroissement atteint donc 215%, indique l'ONG fondée à Londres à l'été 2014 et composée de journalistes et de chercheurs. Airwars répertorie le nombre de victimes civiles causées par les frappes aériennes menées par la coalition et la Russie en Irak et en Syrie.
Au cours de l'année, la coalition a fait état de 11.573 frappes aériennes et tirs d'artillerie, soit une augmentation de 50% par rapport à l'an dernier. Ces actions ont visé majoritairement la Syrie (71%) par rapport à l'Irak (29%).
Airwars relève que ce "nombre sans précédent de morts civils coïncide avec le début de la présidence (américaine de Donald) Trump et suggère que la politique visant à protéger les civils a été réduite sous la nouvelle administration".
La situation est différente en Syrie et en Irak. Le nombre de morts a quadruplé dans le premier pays avec la bataille de Raqa qui a fait au moins 1.450 morts parmi les civils, alors qu'en Irak il a quasiment doublé.
Selon Airwars, entre le début de la bataille pour Mossoul le 17 octobre 2016 et l'annonce de la "libération" mi-juillet 2017, entre 1.066 et 1.579 civils ont été tués par les raids de la coalition dans la deuxième ville d'Irak, un temps "capitale" du califat de l'EI aujourd'hui en lambeaux.
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 19/01/2018 à 17:52 Publié le 19/01/2018 à 17:37
Le nombre de civils tués par la coalition antijihadistes conduite par les Etats-Unis a triplé en 2017 en raison des assauts lancés contre des centres urbains très peuplés tenus par le groupe Etat islamique (EI), selon l'ONG Airwars.
Au total, en Irak et en Syrie, entre 3.923 et 6.102 "non-combattants" ont péri et 2.443 civils ont été blessés lors de 766 attaques meurtrières en 2017, selon le recensement annuel d'Airwars.
En 2016, entre 1.243 et 1.904 avaient été tués, selon la même source.
1.573 frappes aériennes et tirs d'artillerie
L'accroissement atteint donc 215%, indique l'ONG fondée à Londres à l'été 2014 et composée de journalistes et de chercheurs. Airwars répertorie le nombre de victimes civiles causées par les frappes aériennes menées par la coalition et la Russie en Irak et en Syrie.
Au cours de l'année, la coalition a fait état de 11.573 frappes aériennes et tirs d'artillerie, soit une augmentation de 50% par rapport à l'an dernier. Ces actions ont visé majoritairement la Syrie (71%) par rapport à l'Irak (29%).
Airwars relève que ce "nombre sans précédent de morts civils coïncide avec le début de la présidence (américaine de Donald) Trump et suggère que la politique visant à protéger les civils a été réduite sous la nouvelle administration".
La situation est différente en Syrie et en Irak. Le nombre de morts a quadruplé dans le premier pays avec la bataille de Raqa qui a fait au moins 1.450 morts parmi les civils, alors qu'en Irak il a quasiment doublé.
Selon Airwars, entre le début de la bataille pour Mossoul le 17 octobre 2016 et l'annonce de la "libération" mi-juillet 2017, entre 1.066 et 1.579 civils ont été tués par les raids de la coalition dans la deuxième ville d'Irak, un temps "capitale" du califat de l'EI aujourd'hui en lambeaux.
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Re: Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
Pakistan: 11 soldats tués dans un attentat
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 03/02/2018 à 19:10 Publié le 03/02/2018 à 19:06
Au moins onze soldats ont été tués et treize autres blessés dans un attentat suicide revendiqué par les talibans pakistanais contre un camp de l'armée dans le nord-ouest du Pakistan, a annoncé l'armée dans un communiqué.
Un officier fait partie des militaires ayant péri dans cette attaque à la bombe perpétrée dans la vallée de Swat, selon la même source.
L'assaillant a pris pour cible un terrain de sport de l'armée, dans le secteur de Kabal, a précisé le service de presse de l'armée.
L'attentat a été revendiqué par les talibans pakistanais dans un mail adressé à la presse.
>>Lire aussi : En Afghanistan, l'Amérique tombe dans le piège taliban
La magnifique vallée de Swat, dans les contreforts de l'Himalaya, a été dans les années 2007-2009 sous le contrôle des talibans pakistanais. Ceux-ci y ont imposé une version dure de la charia, procédant à des exécutions publiques, avant d'être évincés par l'armée.
Le nombre des attaques au Pakistan a baissé ces dernières années, après une série d'offensives militaires contre les insurgés dans le nord-ouest, une région frontalière de l'Afghanistan.
Mais les groupes rebelles sont encore en capacité de commettre des attentats et des assassinats de responsables locaux qui coopèrent avec le gouvernement d'Islamabad.
Sept soldats turcs tués samedi dans le nord de la Syrie
Par Le Figaro Mis à jour le 03/02/2018 à 19:58 Publié le 03/02/2018 à 19:54
Sept soldats turcs ont été tués samedi dans le Nord de la Syrie, dont cinq dans l'attaque d'un char, au cours de l'opération contre une milice kurde considérée comme "terroriste" par Ankara mais alliée des Etats-Unis, a annoncé l'armée turque.
La journée de samedi est la plus meurtrière pour l'armée turque depuis le lancement de cette offensive, baptisée "Rameau d'olivier" et menée avec l'aide de rebelles syriens.
Les cinq militaires étaient tous dans le blindé quand celui-ci a été touché, dans le nord-est de la région d'Afrine, a indiqué l'armée turque dans un communiqué.
Elle avait auparavant fait état de la mort d'un soldat samedi dans des affrontements avec des combattants kurdes et d'un autre dans une attaque dans la province frontalière turque de Kilis.
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 03/02/2018 à 19:10 Publié le 03/02/2018 à 19:06
Au moins onze soldats ont été tués et treize autres blessés dans un attentat suicide revendiqué par les talibans pakistanais contre un camp de l'armée dans le nord-ouest du Pakistan, a annoncé l'armée dans un communiqué.
Un officier fait partie des militaires ayant péri dans cette attaque à la bombe perpétrée dans la vallée de Swat, selon la même source.
L'assaillant a pris pour cible un terrain de sport de l'armée, dans le secteur de Kabal, a précisé le service de presse de l'armée.
L'attentat a été revendiqué par les talibans pakistanais dans un mail adressé à la presse.
>>Lire aussi : En Afghanistan, l'Amérique tombe dans le piège taliban
La magnifique vallée de Swat, dans les contreforts de l'Himalaya, a été dans les années 2007-2009 sous le contrôle des talibans pakistanais. Ceux-ci y ont imposé une version dure de la charia, procédant à des exécutions publiques, avant d'être évincés par l'armée.
Le nombre des attaques au Pakistan a baissé ces dernières années, après une série d'offensives militaires contre les insurgés dans le nord-ouest, une région frontalière de l'Afghanistan.
Mais les groupes rebelles sont encore en capacité de commettre des attentats et des assassinats de responsables locaux qui coopèrent avec le gouvernement d'Islamabad.
Sept soldats turcs tués samedi dans le nord de la Syrie
Par Le Figaro Mis à jour le 03/02/2018 à 19:58 Publié le 03/02/2018 à 19:54
Sept soldats turcs ont été tués samedi dans le Nord de la Syrie, dont cinq dans l'attaque d'un char, au cours de l'opération contre une milice kurde considérée comme "terroriste" par Ankara mais alliée des Etats-Unis, a annoncé l'armée turque.
La journée de samedi est la plus meurtrière pour l'armée turque depuis le lancement de cette offensive, baptisée "Rameau d'olivier" et menée avec l'aide de rebelles syriens.
Les cinq militaires étaient tous dans le blindé quand celui-ci a été touché, dans le nord-est de la région d'Afrine, a indiqué l'armée turque dans un communiqué.
Elle avait auparavant fait état de la mort d'un soldat samedi dans des affrontements avec des combattants kurdes et d'un autre dans une attaque dans la province frontalière turque de Kilis.
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Re: Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
Syrie: plus de 30 djihadistes de l'EI tués
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 10/02/2018 à 19:58 Publié le 10/02/2018 à 19:52
Plus de 30 djihadistes du groupe Etat islamique (EI) ont été tués ce samedi en Syrie dans des combats avec les forces du régime dans la province d'Idleb, dans le nord-ouest du pays, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
» LIRE AUSSI - Depuis Alep, comment Bachar el-Assad a reconquis une grande partie de la Syrie
Laminé en Syrie et en Irak, l'EI a réussi a faire un retour discret et limité dans le sud-est de la province d'Idleb, à la faveur des combats opposant le régime de Bachar al-Assad à une autre organisation djihadiste de ce secteur. La province d'Idleb est en effet contrôlée par Hayat Tahrir al-Cham, mouvement djihadiste dominé par l'ex-branche d'Al-Qaïda, et le régime a lancé en décembre une offensive militaire pour reconquérir le sud-est de la région.
"Les affrontements violents entre un groupe de l'EI et les forces du régime ont tué 32 membres de l'organisation" djihadiste, selon le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane. Vendredi, l'armée syrienne avait annoncé avoir chassé les jihadistes de l'EI des provinces de Hama (centre) et Alep (nord), voisines d'Idleb.
» LIRE AUSSI - Syrie : l'ultime bataille est lancée à Idlib
Après une montée en puissance fulgurante en 2014 et la conquête de vastes territoires en Irak et en Syrie, les djihadistes de l'EI ont vu leur "califat" auto-proclamé se réduire comme peau de chagrin sous le coup de multiples offensives. Le régime mène une opération contre les derniers combattants de l'EI dans la province de Deir Ezzor, frontalière de l'Irak. Les djihadistes maintiennent une présence limitée dans une zone désertique du centre de la Syrie, ainsi que dans un quartier périphérique de Damas.
Déclenché en 2011 par la répression de manifestations pacifiques par le régime de Damas, le conflit en Syrie s'est complexifié au fil des ans avec l'implication de pays étrangers et de groupes jihadistes, sur un territoire de plus en plus morcelé. Il a fait plus de 340.000 morts et des millions de déplacés et réfugiés.
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 10/02/2018 à 19:58 Publié le 10/02/2018 à 19:52
Plus de 30 djihadistes du groupe Etat islamique (EI) ont été tués ce samedi en Syrie dans des combats avec les forces du régime dans la province d'Idleb, dans le nord-ouest du pays, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
» LIRE AUSSI - Depuis Alep, comment Bachar el-Assad a reconquis une grande partie de la Syrie
Laminé en Syrie et en Irak, l'EI a réussi a faire un retour discret et limité dans le sud-est de la province d'Idleb, à la faveur des combats opposant le régime de Bachar al-Assad à une autre organisation djihadiste de ce secteur. La province d'Idleb est en effet contrôlée par Hayat Tahrir al-Cham, mouvement djihadiste dominé par l'ex-branche d'Al-Qaïda, et le régime a lancé en décembre une offensive militaire pour reconquérir le sud-est de la région.
"Les affrontements violents entre un groupe de l'EI et les forces du régime ont tué 32 membres de l'organisation" djihadiste, selon le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane. Vendredi, l'armée syrienne avait annoncé avoir chassé les jihadistes de l'EI des provinces de Hama (centre) et Alep (nord), voisines d'Idleb.
» LIRE AUSSI - Syrie : l'ultime bataille est lancée à Idlib
Après une montée en puissance fulgurante en 2014 et la conquête de vastes territoires en Irak et en Syrie, les djihadistes de l'EI ont vu leur "califat" auto-proclamé se réduire comme peau de chagrin sous le coup de multiples offensives. Le régime mène une opération contre les derniers combattants de l'EI dans la province de Deir Ezzor, frontalière de l'Irak. Les djihadistes maintiennent une présence limitée dans une zone désertique du centre de la Syrie, ainsi que dans un quartier périphérique de Damas.
Déclenché en 2011 par la répression de manifestations pacifiques par le régime de Damas, le conflit en Syrie s'est complexifié au fil des ans avec l'implication de pays étrangers et de groupes jihadistes, sur un territoire de plus en plus morcelé. Il a fait plus de 340.000 morts et des millions de déplacés et réfugiés.
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Re: Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
Mali: au moins 10 jihadistes tués par Barkhane près de la frontière algérienne
AFP
Publié le 14/02/2018 à 20:11 | AFP
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Mali: au moins 10 jihadistes tués par Barkhane près de la frontière algérienneMali: au moins 10 jihadistes tués par Barkhane près de la frontière algérienne AFP / Daphné BENOIT
Au moins 10 jihadistes présumés ont été tués lors d'une opération aérienne de la force française Barkhane mercredi dans le nord-est du Mali, à proximité de la frontière algérienne, a-t-on appris de sources militaires concordantes.
"Les forces françaises ont mené mercredi au moins un raid près de Tinzaouatène, à la frontière algérienne, contre les terroristes. Il y a eu au moins dix morts", a affirmé à l'AFP une source militaire malienne en poste dans le nord-est du pays.
L'état-major français a partiellement confirmé ces informations, évoquant un bilan d'"une vingtaine de terroristes tués ou capturés".
"L'opération a été menée par les forces françaises au Sahel", à la fois des forces spéciales et des troupes de Barkhane, a indiqué à l'AFP le porte-parole de l'état-major français des armées, le colonel Patrik Steiger.
Mali Vincent LEFAI AFPMali Vincent LEFAI AFP
Cette opération, menée mercredi matin, "visait trois objectifs de groupes armés terroristes, entre Boughassa et Tinzaouatène, qui ont fait l'objet de frappes aériennes simultanées suivies d'assauts héliportés appuyés par des hélicoptères Tigre, puis d'engagements au sol", a-t-il précisé.
"Selon un bilan provisoire, une vingtaine de terroristes ont été tués ou capturés", a-t-il affirmé, en soulignant que "trois véhicules" avaient été détruits et des armements ainsi qu'un "grand nombre de documents" récupérés.
Aucune perte humaine n'est à déplorer côté français, d'après le colonel Steiger, selon qui "l'identité des groupes armés visés reste à préciser".
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda. Ces groupes en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement en 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale, qui se poursuit actuellement.
Mais des zones entières échappent au contrôle des forces maliennes et étrangères, malgré la signature en mai-juin 2015 d'un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes, dont l'application accumule les retards.
14/02/2018 20:10:40 - Bamako (AFP) - 2018 AFP
AFP
Publié le 14/02/2018 à 20:11 | AFP
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Mali: au moins 10 jihadistes tués par Barkhane près de la frontière algérienneMali: au moins 10 jihadistes tués par Barkhane près de la frontière algérienne AFP / Daphné BENOIT
Au moins 10 jihadistes présumés ont été tués lors d'une opération aérienne de la force française Barkhane mercredi dans le nord-est du Mali, à proximité de la frontière algérienne, a-t-on appris de sources militaires concordantes.
"Les forces françaises ont mené mercredi au moins un raid près de Tinzaouatène, à la frontière algérienne, contre les terroristes. Il y a eu au moins dix morts", a affirmé à l'AFP une source militaire malienne en poste dans le nord-est du pays.
L'état-major français a partiellement confirmé ces informations, évoquant un bilan d'"une vingtaine de terroristes tués ou capturés".
"L'opération a été menée par les forces françaises au Sahel", à la fois des forces spéciales et des troupes de Barkhane, a indiqué à l'AFP le porte-parole de l'état-major français des armées, le colonel Patrik Steiger.
Mali Vincent LEFAI AFPMali Vincent LEFAI AFP
Cette opération, menée mercredi matin, "visait trois objectifs de groupes armés terroristes, entre Boughassa et Tinzaouatène, qui ont fait l'objet de frappes aériennes simultanées suivies d'assauts héliportés appuyés par des hélicoptères Tigre, puis d'engagements au sol", a-t-il précisé.
"Selon un bilan provisoire, une vingtaine de terroristes ont été tués ou capturés", a-t-il affirmé, en soulignant que "trois véhicules" avaient été détruits et des armements ainsi qu'un "grand nombre de documents" récupérés.
Aucune perte humaine n'est à déplorer côté français, d'après le colonel Steiger, selon qui "l'identité des groupes armés visés reste à préciser".
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda. Ces groupes en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement en 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale, qui se poursuit actuellement.
Mais des zones entières échappent au contrôle des forces maliennes et étrangères, malgré la signature en mai-juin 2015 d'un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes, dont l'application accumule les retards.
14/02/2018 20:10:40 - Bamako (AFP) - 2018 AFP
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Re: Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
Egypte: 7 militaires, 71 djihadistes tués dans une opération
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 22/02/2018 à 15:58 Publié le 22/02/2018 à 15:53
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Sept membres des forces armées égyptiennes et soixante-et-onze djihadistes ont été tués depuis le début d'une vaste opération antidjihadiste dans le Sinaï, a annoncé le porte-parole de l'armée aujourd'hui. L'armée à lancé le 9 février une opération baptisée "Sinaï 2018" pour "nettoyer" le Sinaï ainsi que le Delta du Nil et le désert occidental, frontalier de la Libye.
Depuis la destitution par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi, les autorités égyptiennes affrontent divers factions extrémistes dont le groupe Etat islamique (EI) dans la péninsule du Sinaï. "Sept héros des forces armées ont été tués et six autres ont été blessés", a déclaré Tamer el-Refaï lors d'une conférence de presse retransmise à la télévision. Soixante-et-onze "takfiristes" (extrémistes) ont été "éliminés" et cinq autres arrêtés depuis le début de cette opération, a-t-il ajouté. Plus de 1.800 personnes ont également été arrêtées selon lui, "criminels recherchés ou suspects".
L'opération "Sinaï 2018" mobilise notamment l'aviation et la marine. M. el-Refaï a par ailleurs insisté sur les manoeuvres conjointes actuellement en cours en mer Rouge avec les forces françaises baptisées "Cleopatra 2018". Fin novembre, le président Abdel Fattah al-Sissi, qui brigue un nouveau mandat en mars, avait donné trois mois à son chef d'état-major et son ministre de l'Intérieur pour rétablir la sécurité et la stabilité dans le Sinaï. Cette injonction avait été lancée quelques jours après une attaque contre une mosquée dans le nord de la péninsule qui avait fait plus de 300 morts.
Syrie: plus de 400 civils tués en cinq jours sur la Ghouta
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 22/02/2018 à 18:20 Publié le 22/02/2018 à 17:33
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Plus de 400 civils, dont une centaine d'enfants, ont été tués en cinq jours de frappes aériennes et de tirs d'artillerie menés par le régime syrien et son allié russe contre la Ghouta orientale, enclave rebelle assiégée à l'est de Damas, a annoncé aujourd'hui l'OSDH (Observatoire syrien des droits de l'Homme).
Nouveaux raids du régime syrien contre un fief rebelle
Pour la quatrième journée consécutive, les avions du régime ont largué bombes et barils d'explosifs mercredi sur le fief rebelle de la Ghouta orientale près de Damas, tuant au moins 24 civils, malgré les protestations internationales.
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"Cinq jours de frappes aériennes et de tirs d'artillerie intenses ont tué 403 civils", a indiqué l'ONG, qui a rapporté la mort de 46 civils pour la seule journée d'aujourd'hui.
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 22/02/2018 à 15:58 Publié le 22/02/2018 à 15:53
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Sept membres des forces armées égyptiennes et soixante-et-onze djihadistes ont été tués depuis le début d'une vaste opération antidjihadiste dans le Sinaï, a annoncé le porte-parole de l'armée aujourd'hui. L'armée à lancé le 9 février une opération baptisée "Sinaï 2018" pour "nettoyer" le Sinaï ainsi que le Delta du Nil et le désert occidental, frontalier de la Libye.
Depuis la destitution par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi, les autorités égyptiennes affrontent divers factions extrémistes dont le groupe Etat islamique (EI) dans la péninsule du Sinaï. "Sept héros des forces armées ont été tués et six autres ont été blessés", a déclaré Tamer el-Refaï lors d'une conférence de presse retransmise à la télévision. Soixante-et-onze "takfiristes" (extrémistes) ont été "éliminés" et cinq autres arrêtés depuis le début de cette opération, a-t-il ajouté. Plus de 1.800 personnes ont également été arrêtées selon lui, "criminels recherchés ou suspects".
L'opération "Sinaï 2018" mobilise notamment l'aviation et la marine. M. el-Refaï a par ailleurs insisté sur les manoeuvres conjointes actuellement en cours en mer Rouge avec les forces françaises baptisées "Cleopatra 2018". Fin novembre, le président Abdel Fattah al-Sissi, qui brigue un nouveau mandat en mars, avait donné trois mois à son chef d'état-major et son ministre de l'Intérieur pour rétablir la sécurité et la stabilité dans le Sinaï. Cette injonction avait été lancée quelques jours après une attaque contre une mosquée dans le nord de la péninsule qui avait fait plus de 300 morts.
Syrie: plus de 400 civils tués en cinq jours sur la Ghouta
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 22/02/2018 à 18:20 Publié le 22/02/2018 à 17:33
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Plus de 400 civils, dont une centaine d'enfants, ont été tués en cinq jours de frappes aériennes et de tirs d'artillerie menés par le régime syrien et son allié russe contre la Ghouta orientale, enclave rebelle assiégée à l'est de Damas, a annoncé aujourd'hui l'OSDH (Observatoire syrien des droits de l'Homme).
Nouveaux raids du régime syrien contre un fief rebelle
Pour la quatrième journée consécutive, les avions du régime ont largué bombes et barils d'explosifs mercredi sur le fief rebelle de la Ghouta orientale près de Damas, tuant au moins 24 civils, malgré les protestations internationales.
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"Cinq jours de frappes aériennes et de tirs d'artillerie intenses ont tué 403 civils", a indiqué l'ONG, qui a rapporté la mort de 46 civils pour la seule journée d'aujourd'hui.
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Re: Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
Syrie: plus de 600 civils tués depuis le 18 février
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 28/02/2018 à 18:10 Publié le 28/02/2018 à 18:07
Plus de 600 civils, dont 147 enfants, ont été tués depuis le 18 février et le lancement par le régime syrien d'une nouvelle offensive militaire sur l'enclave rebelle de la Ghouta orientale, a rapporté aujourd'hui l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Les bombardements -frappes aériennes et tirs d'artillerie- ont baissé d'intensité avec l'instauration mardi, sur demande de la Russie, d'une "pause humanitaire" quotidienne de cinq heures. Huit civils ont toutefois été tués mercredi et de nouvelles victimes ont été retrouvées sous des décombres, portant à 601 le nombre de civils morts en 11 jours, selon cette ONG.
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 28/02/2018 à 18:10 Publié le 28/02/2018 à 18:07
Plus de 600 civils, dont 147 enfants, ont été tués depuis le 18 février et le lancement par le régime syrien d'une nouvelle offensive militaire sur l'enclave rebelle de la Ghouta orientale, a rapporté aujourd'hui l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Les bombardements -frappes aériennes et tirs d'artillerie- ont baissé d'intensité avec l'instauration mardi, sur demande de la Russie, d'une "pause humanitaire" quotidienne de cinq heures. Huit civils ont toutefois été tués mercredi et de nouvelles victimes ont été retrouvées sous des décombres, portant à 601 le nombre de civils morts en 11 jours, selon cette ONG.
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Re: Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
Syrie: plus de 600 civils tués depuis le 18 février
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 28/02/2018 à 18:10 Publié le 28/02/2018 à 18:07
Plus de 600 civils, dont 147 enfants, ont été tués depuis le 18 février et le lancement par le régime syrien d'une nouvelle offensive militaire sur l'enclave rebelle de la Ghouta orientale, a rapporté aujourd'hui l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Les bombardements -frappes aériennes et tirs d'artillerie- ont baissé d'intensité avec l'instauration mardi, sur demande de la Russie, d'une "pause humanitaire" quotidienne de cinq heures. Huit civils ont toutefois été tués mercredi et de nouvelles victimes ont été retrouvées sous des décombres, portant à 601 le nombre de civils morts en 11 jours, selon cette ONG.
Mali: 4 casques bleus tués par une mine
Par Le Figaro.fr avec Reuters Mis à jour le 28/02/2018 à 18:31 Publié le 28/02/2018 à 18:29
Quatre casques bleus des Nations unies ont été tués et quatre autres grièvement blessés aujourd'hui dans l'explosion d'une mine au passage de leur véhicule, dans le nord du Mali, a fait savoir la mission de l'Onu dans ce pays.
Les soldats de maintien de la paix de l'Onu circulaient sur la route reliant les localités de Boni et de Douentza, dans la région de Mopti, où six militaires maliens ont été tués dans un incident du même genre voici 24 heures, a précisé la mission des Nations unies.
Nigeria: 13 morts dans des violences inter religieuses
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 28/02/2018 à 11:36 Publié le 28/02/2018 à 11:29
Au moins 13 personnes ont été tuées au cours d'affrontements entre jeunes musulmans et chrétiens dans l'Etat de Kaduna, dans le centre du Nigeria, a annoncé aujourd'hui la police. Des violences ont éclaté hier dans la localité de Kasuwan Magani, à environ 45 km de la capitale de l'Etat, Kaduna.
"Le chaos a entraîné la mort de 13 personnes, avec de nombreuses maisons et commerces incendiés", a déclaré à l'AFP le ministre de la Police de l'Etat de Kaduna, Austin Iwar. Les médias locaux ont fait état de bilans plus lourds.
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 28/02/2018 à 18:10 Publié le 28/02/2018 à 18:07
Plus de 600 civils, dont 147 enfants, ont été tués depuis le 18 février et le lancement par le régime syrien d'une nouvelle offensive militaire sur l'enclave rebelle de la Ghouta orientale, a rapporté aujourd'hui l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Les bombardements -frappes aériennes et tirs d'artillerie- ont baissé d'intensité avec l'instauration mardi, sur demande de la Russie, d'une "pause humanitaire" quotidienne de cinq heures. Huit civils ont toutefois été tués mercredi et de nouvelles victimes ont été retrouvées sous des décombres, portant à 601 le nombre de civils morts en 11 jours, selon cette ONG.
Mali: 4 casques bleus tués par une mine
Par Le Figaro.fr avec Reuters Mis à jour le 28/02/2018 à 18:31 Publié le 28/02/2018 à 18:29
Quatre casques bleus des Nations unies ont été tués et quatre autres grièvement blessés aujourd'hui dans l'explosion d'une mine au passage de leur véhicule, dans le nord du Mali, a fait savoir la mission de l'Onu dans ce pays.
Les soldats de maintien de la paix de l'Onu circulaient sur la route reliant les localités de Boni et de Douentza, dans la région de Mopti, où six militaires maliens ont été tués dans un incident du même genre voici 24 heures, a précisé la mission des Nations unies.
Nigeria: 13 morts dans des violences inter religieuses
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 28/02/2018 à 11:36 Publié le 28/02/2018 à 11:29
Au moins 13 personnes ont été tuées au cours d'affrontements entre jeunes musulmans et chrétiens dans l'Etat de Kaduna, dans le centre du Nigeria, a annoncé aujourd'hui la police. Des violences ont éclaté hier dans la localité de Kasuwan Magani, à environ 45 km de la capitale de l'Etat, Kaduna.
"Le chaos a entraîné la mort de 13 personnes, avec de nombreuses maisons et commerces incendiés", a déclaré à l'AFP le ministre de la Police de l'Etat de Kaduna, Austin Iwar. Les médias locaux ont fait état de bilans plus lourds.
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
Syrie : plus de 1 000 civils tués dans l'offensive sur la Ghouta
Les frappes menées par les forces du régime ont déjà fait plus d'un millier de victimes selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
SOURCE AFP
Publié le 10/03/2018 à 20:17 | Le Point.fr
La ville de Harasta, dans la Ghouta orientale, le 10 mars 2018.
La ville de Harasta, dans la Ghouta orientale, le 10 mars 2018.
AMMAR SULEIMAN / AFP/ AMMAR SULEIMAN
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Les forces du régime syrien ont effectué samedi une percée majeure dans la partie rebelle de la Ghouta orientale en isolant Douma, une des grandes villes de ce fief insurgé visé depuis 20 jours par une offensive qui a tué plus de 1 000 civils. Le déluge de feu auquel les forces loyales au président Bachar al-Assad soumettent l'enclave assiégée depuis le 18 février a coûté la vie à 1 022 civils, dont 219 enfants, et en a blessé 4 350 autres selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), provoquant aussi des destructions colossales. Samedi, "huit civils ont été tués dans les villes d'Arbine et Harasta et 20 autres dans la ville de Douma où 17 corps ont en outre été retirés des décombres", selon l'Observatoire.
Profitant de l'impuissance de la communauté internationale et du soutien indéfectible de son allié russe, le régime s'est dit déterminé à reconquérir le dernier bastion rebelle près de Damas, où quelque 400 000 habitants subissent un siège asphyxiant depuis 2013. Il a déjà repris plus de la moitié de l'enclave, vaste de 100 km2, d'où des obus sont tirés sur la capitale, fief du pouvoir, faisant des victimes. Samedi, les forces du régime "ont isolé Douma du reste de la Ghouta orientale, après avoir pris le contrôle de la route la reliant à Harasta à l'ouest et à Misraba au sud", a rapporté l'OSDH. Elles sont parvenues à diviser la Ghouta orientale en trois: Douma et sa périphérie au nord, Harasta à l'ouest et le reste des localités au sud, selon le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane.
Les habitants sont terrés dans les sous-sols
D'après un correspondant de l'Agence France-Presse à Douma, la ville est la cible de bombardements aériens et à l'artillerie. Les habitants sont terrés dans les sous-sol et la cité, qui avait accueilli des déplacés fuyant d'autres secteurs de la Ghouta, est déserte. En outre, les ambulances transportant les blessés parviennent difficilement à atteindre les hôpitaux ou cliniques de fortune à cause de l'intensité des bombardements. Le conseil local de Douma a lancé un "appel au secours" adressé aux organisations internationales, soulignant que "de nombreuses personnes dormaient désormais dans les jardins publics et sur les routes, les abris et sous-sols étant débordés".
Selon la télévision d'Etat syrienne, "l'armée intensifie ses opérations" sur plusieurs fronts. Elle a diffusé des images en direct de la ville de Misraba montrant des dizaines de civils dans un sous-sol sans lumière et un vieillard en pleurs racontant comment sa famille avait dû fuir les bombardements et s'était réfugié à Douma. L'offensive sur l'enclave rebelle a commencé par une campagne aérienne d'une rare violence, même à l'échelle d'un pays ravagé depuis mars 2011 par une guerre qui a tué plus de 340 000 personnes. Elle a été suivie par des assauts terrestres qui ont permis aux prorégime de progresser rapidement.
Le régime cherche à assiéger les fiefs rebelles, parfois jusqu'à la famine. Il l'a fait notamment à Alep, deuxième ville du pays qu'il a repris en décembre 2016 après un siège asphyxiant et des bombardements dévastateurs. Depuis le 18 février, seuls deux convois d'aide ont pu entrer dans la partie rebelle de la Ghouta pour venir en aide à la population, à la faveur d'une trêve quotidienne et partielle annoncée par les Russes, qui n'a néanmoins pas fait cesser les hostilités.
Une région "au bord d'une catastrophe majeure"
Le représentant en Syrie du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Sajjad Malik, qui est entré dans la Ghouta avec un premier convoi lundi, a affirmé que la région était "au bord d'une catastrophe majeure". "Je n'ai jamais vu autant de peur sur les visages", a-t-il affirmé dans un entretien publié sur le site du HCR. Il a décrit un immeuble de cinq étages réduit en décombres et une forte odeur nauséabonde se dégageant de plusieurs corps ensevelis.
Sur un autre front en Syrie, les soldats turcs et leurs supplétifs syriens ont progressé jusqu'aux abords de la ville d'Afrine (nord-ouest) qu'ils veulent prendre aux Unités de protection du peuple (YPG), milice kurde syrienne qualifiée de "terroriste" par Ankara. "Les forces turques se trouvent à moins de deux kilomètres d'Afrine, au nord-est de la ville" où les combats se poursuivent ainsi que les bombardements aériens et à l'artillerie, a indiqué le directeur de l'OSDH. L'OSDH fait état également de "violents combats sur d'autres fronts où les forces turques et leurs alliés tentent d'avancer pour pouvoir encercler cette ville". La Turquie mène depuis le 20 janvier une offensive pour chasser les YPG d'Afrine, à sa frontière. Déclenché par la répression de manifestations prodémocratie, le conflit en Syrie s'est progressivement complexifié avec l'implication de groupes jihadistes et de puissances étrangères.
Les frappes menées par les forces du régime ont déjà fait plus d'un millier de victimes selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
SOURCE AFP
Publié le 10/03/2018 à 20:17 | Le Point.fr
La ville de Harasta, dans la Ghouta orientale, le 10 mars 2018.
La ville de Harasta, dans la Ghouta orientale, le 10 mars 2018.
AMMAR SULEIMAN / AFP/ AMMAR SULEIMAN
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Les forces du régime syrien ont effectué samedi une percée majeure dans la partie rebelle de la Ghouta orientale en isolant Douma, une des grandes villes de ce fief insurgé visé depuis 20 jours par une offensive qui a tué plus de 1 000 civils. Le déluge de feu auquel les forces loyales au président Bachar al-Assad soumettent l'enclave assiégée depuis le 18 février a coûté la vie à 1 022 civils, dont 219 enfants, et en a blessé 4 350 autres selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), provoquant aussi des destructions colossales. Samedi, "huit civils ont été tués dans les villes d'Arbine et Harasta et 20 autres dans la ville de Douma où 17 corps ont en outre été retirés des décombres", selon l'Observatoire.
Profitant de l'impuissance de la communauté internationale et du soutien indéfectible de son allié russe, le régime s'est dit déterminé à reconquérir le dernier bastion rebelle près de Damas, où quelque 400 000 habitants subissent un siège asphyxiant depuis 2013. Il a déjà repris plus de la moitié de l'enclave, vaste de 100 km2, d'où des obus sont tirés sur la capitale, fief du pouvoir, faisant des victimes. Samedi, les forces du régime "ont isolé Douma du reste de la Ghouta orientale, après avoir pris le contrôle de la route la reliant à Harasta à l'ouest et à Misraba au sud", a rapporté l'OSDH. Elles sont parvenues à diviser la Ghouta orientale en trois: Douma et sa périphérie au nord, Harasta à l'ouest et le reste des localités au sud, selon le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane.
Les habitants sont terrés dans les sous-sols
D'après un correspondant de l'Agence France-Presse à Douma, la ville est la cible de bombardements aériens et à l'artillerie. Les habitants sont terrés dans les sous-sol et la cité, qui avait accueilli des déplacés fuyant d'autres secteurs de la Ghouta, est déserte. En outre, les ambulances transportant les blessés parviennent difficilement à atteindre les hôpitaux ou cliniques de fortune à cause de l'intensité des bombardements. Le conseil local de Douma a lancé un "appel au secours" adressé aux organisations internationales, soulignant que "de nombreuses personnes dormaient désormais dans les jardins publics et sur les routes, les abris et sous-sols étant débordés".
Selon la télévision d'Etat syrienne, "l'armée intensifie ses opérations" sur plusieurs fronts. Elle a diffusé des images en direct de la ville de Misraba montrant des dizaines de civils dans un sous-sol sans lumière et un vieillard en pleurs racontant comment sa famille avait dû fuir les bombardements et s'était réfugié à Douma. L'offensive sur l'enclave rebelle a commencé par une campagne aérienne d'une rare violence, même à l'échelle d'un pays ravagé depuis mars 2011 par une guerre qui a tué plus de 340 000 personnes. Elle a été suivie par des assauts terrestres qui ont permis aux prorégime de progresser rapidement.
Le régime cherche à assiéger les fiefs rebelles, parfois jusqu'à la famine. Il l'a fait notamment à Alep, deuxième ville du pays qu'il a repris en décembre 2016 après un siège asphyxiant et des bombardements dévastateurs. Depuis le 18 février, seuls deux convois d'aide ont pu entrer dans la partie rebelle de la Ghouta pour venir en aide à la population, à la faveur d'une trêve quotidienne et partielle annoncée par les Russes, qui n'a néanmoins pas fait cesser les hostilités.
Une région "au bord d'une catastrophe majeure"
Le représentant en Syrie du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Sajjad Malik, qui est entré dans la Ghouta avec un premier convoi lundi, a affirmé que la région était "au bord d'une catastrophe majeure". "Je n'ai jamais vu autant de peur sur les visages", a-t-il affirmé dans un entretien publié sur le site du HCR. Il a décrit un immeuble de cinq étages réduit en décombres et une forte odeur nauséabonde se dégageant de plusieurs corps ensevelis.
Sur un autre front en Syrie, les soldats turcs et leurs supplétifs syriens ont progressé jusqu'aux abords de la ville d'Afrine (nord-ouest) qu'ils veulent prendre aux Unités de protection du peuple (YPG), milice kurde syrienne qualifiée de "terroriste" par Ankara. "Les forces turques se trouvent à moins de deux kilomètres d'Afrine, au nord-est de la ville" où les combats se poursuivent ainsi que les bombardements aériens et à l'artillerie, a indiqué le directeur de l'OSDH. L'OSDH fait état également de "violents combats sur d'autres fronts où les forces turques et leurs alliés tentent d'avancer pour pouvoir encercler cette ville". La Turquie mène depuis le 20 janvier une offensive pour chasser les YPG d'Afrine, à sa frontière. Déclenché par la répression de manifestations prodémocratie, le conflit en Syrie s'est progressivement complexifié avec l'implication de groupes jihadistes et de puissances étrangères.
antoine- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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Re: Je dois vous informer qu'une 3ème guerre mondiale va avoir lieu...
Syrie: les civils quittent la Ghouta, des dizaines tués par des frappes
AFP
Publié le 17/03/2018 à 04:37 | AFP
Syrie: les civils quittent la Ghouta, des dizaines tués par des frappesSyrie: les civils quittent la Ghouta, des dizaines tués par des frappes AFP / LOUAI BESHARA
Des centaines de civils continuent de quitter la Ghouta orientale, où des dizaines ont péri vendredi dans des frappes aériennes sur les zones rebelles assiégées de cette région proche de Damas.
Sur un autre front en Syrie, 43 civils ont été tués par des bombardements de l'armée turque sur la ville d'Afrine (nord-ouest), où Ankara pourchasse une milice kurde qu'elle considère comme "terroriste", selon une ONG, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Dans la Ghouta orientale, le régime syrien, aidé militairement par son allié russe, poursuit son offensive entamée le 18 février, en dépit des condamnations internationales et des appels à un cessez-le-feu.
L'armée a assuré avoir repris 70 % de ce qui constituait l'ultime bastion rebelle aux portes de Damas, désormais morcelé en trois secteurs, et a exhorté les habitants de ces secteurs rebelles à fuir via des "couloirs sécurisés".
Au moins 1.350 civils, dont 270 enfants, ont été tués et des milliers blessés en près d'un mois de bombardements, selon l'OSDH.
Carte de l'avancée des forces syriennes dans la Ghouta orientale au 16 mars Omar KAMAL AFPCarte de l'avancée des forces syriennes dans la Ghouta orientale au 16 mars Omar KAMAL AFP
Vendredi, 96 habitants de la Ghouta orientale ont été tués, principalement dans des raids sur Saqba et Kfar Batna, d'après l'OSDH, qui a attribué les frappes à l'aviation russe.
Le ministère russe de la Défense a catégoriquement démenti.
"Les affirmations de l'OSDH (...) sur de prétendues frappes russes sur la Ghouta orientale ne sont qu'un +fake+ de plus", a déclaré le ministère, cité par les agences de presse. "L'aviation russe n'a aucune mission militaire dans la Ghouta orientale et n'en a effectué aucune" dans cette région, a-t-il dit./
'Quel espoir ?'
Devant la progression des troupes gouvernementales, plus de 2.400 civils ont fui les localités du sud de l'enclave, selon l'Observatoire.
Transportant quelques affaires, des femmes portant des enfants, des vieillards et même des blessés ont emprunté un corridor humanitaire pour arriver en zone gouvernementale.
La veille, quelque 20.000 habitants étaient sortis de la Ghouta, selon l'OSDH. L'ambassadeur syrien à l'ONU, Bachar al-Jaafari, a, lui, évoqué le chiffre de 40.000.
Une Syrienne ayant fui un secteur rebelle de la Ghouta orientale attend à un point de rassemblement à Hoch Nasri, dans un secteur gouvernemental au nord-est de Damas, le 16 mars 2018 LOUAI BESHARA AFPUne Syrienne ayant fui un secteur rebelle de la Ghouta orientale attend à un point de rassemblement à Hoch Nasri, dans un secteur gouvernemental au nord-est de Damas, le 16 mars 2018 LOUAI BESHARA AFP
Dans la localité d'Adra, dans un secteur gouvernemental de la Ghouta orientale, quelque 3.000 personnes étaient entassées vendredi dans une école transformée en centre d'accueil.
"Quel espoir y a-t-il pour des enfants qui ont vu des familles détruites et des atrocités commises ?", s'est insurgé le président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) internationale, Peter Maurer, après avoir accompagné jeudi un convoi d'aide.
Pour reprendre la reprendre la totalité de l'enclave, d'où des obus sont tirés sur la capitale Damas, le régime l'a morcelée en trois secteurs.
Les groupes rebelles islamistes Jaïch al-Islam, Faylaq al-Rahmane et Ahrar al-Cham, chacun présent dans un des trois secteurs assiégés, se sont dits prêts vendredi "à engager des négociations directes à Genève avec la Russie, sous le parrainage des Nations unies".
Depuis son intervention militaire en Syrie en 2015, Moscou a aidé les forces du président Bachar al-Assad à reprendre plus de la moitié du territoire syrien.
'Boucliers humains'
Dans le nord-ouest de la Syrie, où la Turquie mène depuis le 20 janvier une offensive contre une enclave kurde, des bombardements turcs ont tué 43 civils à Afrine, chef-lieu de cette région frontalière d'où elle veut chasser la milice kurde syrienne des Unités de protection du peuple (YPG), qu'elle considère comme "terroriste".
Au moins 16 civils sont morts dans un raid aérien turc qui a touché le principal hôpital de la ville d'Afrine, aux capacités déjà limitées, selon l'OSDH. L'armée turque a démenti sur Twitter ces informations, affirmant mener ses opérations "de manière à ne pas blesser les civils et les innocents".
Selon l'OSDH, au moins 254 civils, dont 43 enfants, ont péri depuis le début de l'offensive de l'armée turque, aidée de rebelles syriens.
Afrine est désormais quasi-encerclée. Seul un couloir est utilisé par les civils pour fuir vers des zones tenues par le régime syrien.
L'offensive turque sur Afrine AFPL'offensive turque sur Afrine AFP
Plus de 30.000 civils ont quitté cette ville depuis mercredi, selon l'OSDH.
L'ONU a néanmoins exprimé sa préoccupation à propos de rapports indiquant que des civils à Afrine étaient empêchés de fuir par les forces kurdes et utilisés comme "boucliers humains".
Déclenchée il y a sept ans par la répression par le régime de manifestations pacifiques prodémocratie, la guerre en Syrie a fait plus de 350.000 morts et s'est complexifié avec l'implication de groupes jihadistes et de puissances étrangères.
Alors que le conflit est entré jeudi dans sa huitième année, aucune solution politique n'est en vue.
17/03/2018 04:36:01 - Adra (Syrie) (AFP) - 2018 AFP
AFP
Publié le 17/03/2018 à 04:37 | AFP
Syrie: les civils quittent la Ghouta, des dizaines tués par des frappesSyrie: les civils quittent la Ghouta, des dizaines tués par des frappes AFP / LOUAI BESHARA
Des centaines de civils continuent de quitter la Ghouta orientale, où des dizaines ont péri vendredi dans des frappes aériennes sur les zones rebelles assiégées de cette région proche de Damas.
Sur un autre front en Syrie, 43 civils ont été tués par des bombardements de l'armée turque sur la ville d'Afrine (nord-ouest), où Ankara pourchasse une milice kurde qu'elle considère comme "terroriste", selon une ONG, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Dans la Ghouta orientale, le régime syrien, aidé militairement par son allié russe, poursuit son offensive entamée le 18 février, en dépit des condamnations internationales et des appels à un cessez-le-feu.
L'armée a assuré avoir repris 70 % de ce qui constituait l'ultime bastion rebelle aux portes de Damas, désormais morcelé en trois secteurs, et a exhorté les habitants de ces secteurs rebelles à fuir via des "couloirs sécurisés".
Au moins 1.350 civils, dont 270 enfants, ont été tués et des milliers blessés en près d'un mois de bombardements, selon l'OSDH.
Carte de l'avancée des forces syriennes dans la Ghouta orientale au 16 mars Omar KAMAL AFPCarte de l'avancée des forces syriennes dans la Ghouta orientale au 16 mars Omar KAMAL AFP
Vendredi, 96 habitants de la Ghouta orientale ont été tués, principalement dans des raids sur Saqba et Kfar Batna, d'après l'OSDH, qui a attribué les frappes à l'aviation russe.
Le ministère russe de la Défense a catégoriquement démenti.
"Les affirmations de l'OSDH (...) sur de prétendues frappes russes sur la Ghouta orientale ne sont qu'un +fake+ de plus", a déclaré le ministère, cité par les agences de presse. "L'aviation russe n'a aucune mission militaire dans la Ghouta orientale et n'en a effectué aucune" dans cette région, a-t-il dit./
'Quel espoir ?'
Devant la progression des troupes gouvernementales, plus de 2.400 civils ont fui les localités du sud de l'enclave, selon l'Observatoire.
Transportant quelques affaires, des femmes portant des enfants, des vieillards et même des blessés ont emprunté un corridor humanitaire pour arriver en zone gouvernementale.
La veille, quelque 20.000 habitants étaient sortis de la Ghouta, selon l'OSDH. L'ambassadeur syrien à l'ONU, Bachar al-Jaafari, a, lui, évoqué le chiffre de 40.000.
Une Syrienne ayant fui un secteur rebelle de la Ghouta orientale attend à un point de rassemblement à Hoch Nasri, dans un secteur gouvernemental au nord-est de Damas, le 16 mars 2018 LOUAI BESHARA AFPUne Syrienne ayant fui un secteur rebelle de la Ghouta orientale attend à un point de rassemblement à Hoch Nasri, dans un secteur gouvernemental au nord-est de Damas, le 16 mars 2018 LOUAI BESHARA AFP
Dans la localité d'Adra, dans un secteur gouvernemental de la Ghouta orientale, quelque 3.000 personnes étaient entassées vendredi dans une école transformée en centre d'accueil.
"Quel espoir y a-t-il pour des enfants qui ont vu des familles détruites et des atrocités commises ?", s'est insurgé le président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) internationale, Peter Maurer, après avoir accompagné jeudi un convoi d'aide.
Pour reprendre la reprendre la totalité de l'enclave, d'où des obus sont tirés sur la capitale Damas, le régime l'a morcelée en trois secteurs.
Les groupes rebelles islamistes Jaïch al-Islam, Faylaq al-Rahmane et Ahrar al-Cham, chacun présent dans un des trois secteurs assiégés, se sont dits prêts vendredi "à engager des négociations directes à Genève avec la Russie, sous le parrainage des Nations unies".
Depuis son intervention militaire en Syrie en 2015, Moscou a aidé les forces du président Bachar al-Assad à reprendre plus de la moitié du territoire syrien.
'Boucliers humains'
Dans le nord-ouest de la Syrie, où la Turquie mène depuis le 20 janvier une offensive contre une enclave kurde, des bombardements turcs ont tué 43 civils à Afrine, chef-lieu de cette région frontalière d'où elle veut chasser la milice kurde syrienne des Unités de protection du peuple (YPG), qu'elle considère comme "terroriste".
Au moins 16 civils sont morts dans un raid aérien turc qui a touché le principal hôpital de la ville d'Afrine, aux capacités déjà limitées, selon l'OSDH. L'armée turque a démenti sur Twitter ces informations, affirmant mener ses opérations "de manière à ne pas blesser les civils et les innocents".
Selon l'OSDH, au moins 254 civils, dont 43 enfants, ont péri depuis le début de l'offensive de l'armée turque, aidée de rebelles syriens.
Afrine est désormais quasi-encerclée. Seul un couloir est utilisé par les civils pour fuir vers des zones tenues par le régime syrien.
L'offensive turque sur Afrine AFPL'offensive turque sur Afrine AFP
Plus de 30.000 civils ont quitté cette ville depuis mercredi, selon l'OSDH.
L'ONU a néanmoins exprimé sa préoccupation à propos de rapports indiquant que des civils à Afrine étaient empêchés de fuir par les forces kurdes et utilisés comme "boucliers humains".
Déclenchée il y a sept ans par la répression par le régime de manifestations pacifiques prodémocratie, la guerre en Syrie a fait plus de 350.000 morts et s'est complexifié avec l'implication de groupes jihadistes et de puissances étrangères.
Alors que le conflit est entré jeudi dans sa huitième année, aucune solution politique n'est en vue.
17/03/2018 04:36:01 - Adra (Syrie) (AFP) - 2018 AFP
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Ryad menace l'Iran après des tirs de missiles de rebelles yéménites
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 26/03/2018 à 19:14 Publié le 26/03/2018 à 19:06
L'Arabie saoudite a mis en cause aujourd'hui l'Iran après le tir de missiles balistiques par les rebelles yéménites sur le territoire saoudien, menaçant Téhéran d'une riposte.
"Nous nous réservons le droit de riposter contre l'Iran en temps et lieu", a prévenu Turki al-Malki, le porte-parole saoudien de la coalition militaire dirigée par l'Arabie saoudite qui intervient au Yémen contre les rebelles yéménites Houthis soutenus par Téhéran.
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 26/03/2018 à 19:14 Publié le 26/03/2018 à 19:06
L'Arabie saoudite a mis en cause aujourd'hui l'Iran après le tir de missiles balistiques par les rebelles yéménites sur le territoire saoudien, menaçant Téhéran d'une riposte.
"Nous nous réservons le droit de riposter contre l'Iran en temps et lieu", a prévenu Turki al-Malki, le porte-parole saoudien de la coalition militaire dirigée par l'Arabie saoudite qui intervient au Yémen contre les rebelles yéménites Houthis soutenus par Téhéran.
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