L'AGONIE dans le JARDIN
Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Luisa Piccarreta et la Divine Volonté (Italie)
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L'AGONIE dans le JARDIN
Enseignement de Jésus à Luisa Piccarreta, Le Livre du Ciel, Tome 9, 4 juillet 1910, pages 40-41
L’AGONIE dans le JARDIN
(Parole de Luisa) Je méditais sur l’agonie de Notre-Seigneur. Il e dit : «Ma fille, j’ai voulu souffrir l’agonie au Jardin pour aider spécialement les mourants à bien mourir. Vois comment cette agonie correspond bien à l’agonie des chrétiens : lassitude, tristesse, angoisse et sueurs de sang. Je ressentais la mort de tous et de chacun comme si je mourais réellement pour chacun en particulier. Ainsi, j’ai ressenti les lassitudes, les tristesses, les angoisses de chacun et, par mes souffrances, je leur offrais de l’aide, du réconfort et de l’espoir. En ressentant la mort de chacun, je leur obtenais la grâce de mourir en moi, comme si leur souffle et le mien ne faisaient qu’un et d’être immédiatement béatifiés par ma Divinité.
Si j’ai subi mon agonie dans le Jardin plus particulièrement pour les mourants, mon agonie sur la Croix fut pour aider ceux-ci à leur tout dernier moment, à leur dernier souffle. Ce furent DEUX AGONIES DIFFÉRENTES : mon agonie dans le Jardin fut pleine de tristesse, de peur, d’anxiété et de frayeur, alors que mon agonie sur la Croix fut remplie de paix et de calme imperturbable. Si j’ai alors crié - j’ai SOIF -, il s’agissait de la soif extrême que je ressentais que tous exhalent leur dernier souffle dans le mien. En voyant que plusieurs allaient passer outre à ce désir, dans un profond chagrin, j’ai crié SITIO, et ce SITIO continue encore à se faire entendre à tous et à chacun comme une cloche à la porte de leur cœur : J’ai soif de toi, ô âme : de grâce, ne sors jamais de moi, mais entre en moi et expire avec moi.
Ainsi, j’ai dédié six heures de ma Passion pour aider les hommes à bien mourir : les trois dans le Jardin pour les aider pendant leur agonie et les trois sur la Croix pour les aider à leur tout dernier soupir. En conséquence, tous ne devraient-ils pas regarder la mort avec le sourire, tout particulièrement ceux qui m’aiment et essaient de se sacrifier sur ma propre Croix?
Voix-tu combien la mort est belle et combien les choses ont changé? Pendant ma vie, je fus méprisé et mes miracles mêmes n’eurent pas les effets de ma mort. Jusque sur la Croix j’ai subi des insultes mais, dès que j’expirai, ma mort eut la puissance de changer les choses : tous se frappèrent la poitrine en me reconnaissant comme le Fils de Dieu; mes disciples prirent courage; certains qui s’étaient tenus cachés s’enhardirent, réclamèrent mon corps et me donnèrent une sépulture honorable. À l’unisson, le Ciel et la terre confessèrent que j’étais le Fils de Dieu.
La mort est quelque chose de grand, de sublime. Les choses se passent ainsi pour mes propres enfants : durant leur vie, ils sont méprisés, opprimés; leurs vertus qui, comme la lumière, devraient briller aux yeux de ceux qui les entourent, restent à demi-voilées; leur héroisme dans la souffrance, leur abnégation et leur zèle pour les âmes projettent à la fois de la Lumière et des doutes chez les personnes qui les entourent. Et c’est moi-même qui permet cela afin qu’ils meurent, comme ces voiles qui ne sont plus nécessaires, je les retire et les doutes deviennent des certitudes, la lumière se fait pleine et fait apprécier leur héroisme; on commence alors à tout estimer en eux, même les plus petites choses. Par conséquent, ce qui ne peut être fait durant la vie, la mort y supplée.
C’est ainsi que les choses se passent ici-bas, mais ce qui arrive là-haut est vraiment surprenant et digne de l’envie de tous les mortels».
L’AGONIE dans le JARDIN
(Parole de Luisa) Je méditais sur l’agonie de Notre-Seigneur. Il e dit : «Ma fille, j’ai voulu souffrir l’agonie au Jardin pour aider spécialement les mourants à bien mourir. Vois comment cette agonie correspond bien à l’agonie des chrétiens : lassitude, tristesse, angoisse et sueurs de sang. Je ressentais la mort de tous et de chacun comme si je mourais réellement pour chacun en particulier. Ainsi, j’ai ressenti les lassitudes, les tristesses, les angoisses de chacun et, par mes souffrances, je leur offrais de l’aide, du réconfort et de l’espoir. En ressentant la mort de chacun, je leur obtenais la grâce de mourir en moi, comme si leur souffle et le mien ne faisaient qu’un et d’être immédiatement béatifiés par ma Divinité.
Si j’ai subi mon agonie dans le Jardin plus particulièrement pour les mourants, mon agonie sur la Croix fut pour aider ceux-ci à leur tout dernier moment, à leur dernier souffle. Ce furent DEUX AGONIES DIFFÉRENTES : mon agonie dans le Jardin fut pleine de tristesse, de peur, d’anxiété et de frayeur, alors que mon agonie sur la Croix fut remplie de paix et de calme imperturbable. Si j’ai alors crié - j’ai SOIF -, il s’agissait de la soif extrême que je ressentais que tous exhalent leur dernier souffle dans le mien. En voyant que plusieurs allaient passer outre à ce désir, dans un profond chagrin, j’ai crié SITIO, et ce SITIO continue encore à se faire entendre à tous et à chacun comme une cloche à la porte de leur cœur : J’ai soif de toi, ô âme : de grâce, ne sors jamais de moi, mais entre en moi et expire avec moi.
Ainsi, j’ai dédié six heures de ma Passion pour aider les hommes à bien mourir : les trois dans le Jardin pour les aider pendant leur agonie et les trois sur la Croix pour les aider à leur tout dernier soupir. En conséquence, tous ne devraient-ils pas regarder la mort avec le sourire, tout particulièrement ceux qui m’aiment et essaient de se sacrifier sur ma propre Croix?
Voix-tu combien la mort est belle et combien les choses ont changé? Pendant ma vie, je fus méprisé et mes miracles mêmes n’eurent pas les effets de ma mort. Jusque sur la Croix j’ai subi des insultes mais, dès que j’expirai, ma mort eut la puissance de changer les choses : tous se frappèrent la poitrine en me reconnaissant comme le Fils de Dieu; mes disciples prirent courage; certains qui s’étaient tenus cachés s’enhardirent, réclamèrent mon corps et me donnèrent une sépulture honorable. À l’unisson, le Ciel et la terre confessèrent que j’étais le Fils de Dieu.
La mort est quelque chose de grand, de sublime. Les choses se passent ainsi pour mes propres enfants : durant leur vie, ils sont méprisés, opprimés; leurs vertus qui, comme la lumière, devraient briller aux yeux de ceux qui les entourent, restent à demi-voilées; leur héroisme dans la souffrance, leur abnégation et leur zèle pour les âmes projettent à la fois de la Lumière et des doutes chez les personnes qui les entourent. Et c’est moi-même qui permet cela afin qu’ils meurent, comme ces voiles qui ne sont plus nécessaires, je les retire et les doutes deviennent des certitudes, la lumière se fait pleine et fait apprécier leur héroisme; on commence alors à tout estimer en eux, même les plus petites choses. Par conséquent, ce qui ne peut être fait durant la vie, la mort y supplée.
C’est ainsi que les choses se passent ici-bas, mais ce qui arrive là-haut est vraiment surprenant et digne de l’envie de tous les mortels».
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QUE LA DIVINE VOLONTÉ VOUS COUVRE DE SES AILES!
Francine-2- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
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