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Isaïe
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Message  Isaïe Mer 16 Fév 2011 - 12:13


En effet !
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Message  Marlène Mer 16 Fév 2011 - 13:59

Bonsoir cher Tetraèdre. Contente de vous relire. Que le Seigneur vous bénisse.

Vous voyez vers quelles dérives s'avance l'humanité. Ce qui attend l'humanité est terrible quand on sait que l'Unique Religion Mondiale que les Babelistes programment sera basée sur les principes du New-Age. Etant donné que plusieurs Messages de la Fin des Temps disent qu'on remplacera les Saintes Images par des représentations païennes, sera-t-on étonné de voir un jour dans nos églises des horreurs comme cette chose?
Difficile à admettre... et pourtant quand on pense au degré que ces abominables veulent atteindre, on ne peut ne pas avoir le coeur serré...
Que Dieu nous vienne en aide.
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Message  Erdèatét Jeu 17 Fév 2011 - 5:51

Merci de cette RE-BIENVENUE, je n'ai pas cessé d'être actif partout sur le WEB dans tous les pays du monde
De toutes façons les Anté Christ de tous poils sont assurés de perdre car la Bible assure la victoire finale à ceux qui adorent la Trinité , disent la Vérité au lieu de mentir , partagent au lieu de voler et respectent la vie au lieu de tuer.
Il faut inciter ces égarés PAR L'EXEMPLE à se déprogrammer et à sortir de ces commerces sectaires qui mentent à tous .
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Message  Admin Sam 2 Déc 2023 - 12:33

LA RELIGION ÉCOLOGIQUE EXIGE LE SACRIFICE HUMAIN !


LA RELIGION ÉCOLOGIQUE : GAÏA ET L'ÉCOLOGISME EXTRÉMISTE - UNE NOUVELLE DÉRIVE INQUIÉTANTE  ! - Page 2 Religi12


La religion écologique exige le sacrifice humain : une constante du paganisme adorateur de la nature

par Jeanne Smits

1er décembre 2023

On a souvent noté que l’écologisme actuel est une religion avec ses dieux, ses « dogmes », ses rites, ses commandements, ses fêtes, ses obligations et ses interdits. Et ses sacrifices ! Renoncer à consommer de la viande, faire l’ascèse des voyages en avion, prendre son vélo plutôt que la voiture, raccommoder ses vêtements plutôt que d’aller faire les boutiques, prendre la peine de trier ses déchets, tout cela, c’est « pour la planète », petite phrase qui est entrée dans notre langage quotidien. Il y a, on le comprend bien, une forme d’idolâtrie dans cette manière de consentir à des renoncements systématiques et universels imposés pour la matière inanimée – ce n’est pas comme arrêter de fumer pour retrouver la santé. Mais jusqu’où vont les sacrifices « pour la planète » ? Mercatornet publiait il y quelques jours une chronique du Pr Augusto Zimmerman, directeur de la faculté de droit du Sheridan Institute of Higher Education en Australie, sous le titre : « La secte écologique exige le sacrifice humain. »

Cela peut paraître fort de café. Comme le montre Zimmermann, cela passe, au nom de la fin des émissions de gaz à effet de serre, par la mise en place de conditions de vie de plus en plus difficiles, notamment pour les plus pauvres, mais tous souffriront (sauf la Nomenklatura du climat, sans doute…) du démantèlement des énergies facilement accessibles et peu chères. Cela passe par le refus de la vie : contraception, avortement en sont les aspects les plus visibles. C’est par centaines de millions que les tout-petits ont été… sacrifiés depuis que l’avortement est devenu légal, et la grande entreprise légalisation de l’avortement date dans le monde de l’époque où on a commencé à parler de « surpopulation » et du mal que constituerait « l’exploitation » de la planète (ou la profanation, c’est à peu près cela).

Le sacrifice de tout ce qui est humain pour apaiser Gaïa

Zimmermann détaille sans faiblir et de manière fort convaincante les arguments qui soutiennent sa thèse : les partisans de la lutte contre le réchauffement climatique sont des adorateurs de « Gaïa » dans la mesure où ils considèrent la « Terre-Mère » comme une entité vivante qu’il faut servir et en quelque sorte apaiser. Il montre d’ailleurs combien cette théorie tourne en rond, interprétant chaque fait, chaque observation de la réalité, fussent-ils contradictoires, à son aune. Qu’il fasse froid ou qu’il fasse chaud, la raison du temps qu’il fait est toujours le « réchauffement climatique ».

Nous vous proposons ci-dessous la traduction intégrale de la chronique d’Augusto Zimmermann. Elle a le mérite de mettre le projecteur sur le fait central, la réalité la plus importante ainsi que l’objectif à peine voilé de l’écologisme détourné de son but premier, qui est le respect des biens terrestres confiés à l’homme par Dieu, comme le rapporte la Genèse, les chargeant de « dominer » la terre, c’est-à-dire d’en être les maîtres et les intendants fidèles, d’en user pour leur propre bien et vertueusement, donc avec prudence, force, justice et tempérance (et de ne pas en abuser, pour la simple raison qu’il s’agit d’un don de Dieu) de par leur statut qui dépasse par nature celui de la simple matière, des végétaux et des animaux. Car l’homme est corps et âme. L’écologie des « réchauffistes » nie cette distinction entre l’homme et le reste de la création matérielle. Elle subordonne l’être humain au bien de « la nature » et lui impose d’agir selon les prétendus besoins de cette dernière, qui déterminent le « bien » (et opèrent, nous le voyons bien, une véritable inversion de la vertu).

La religion écologique, c’est la spiritualité globale

Le dénominateur commun de l’écologie religieuse est bien la « spiritualité globale » dans laquelle toutes les religions, la vraie et les fausses, doivent communier dans la « célébration » – idolâtrie – de la « maison commune ». La vie de l’homme, dans ce système de foi déviante, doit même céder le pas devant les exigences du souverain bien qu’est la Terre-mère.

Ce que Zimmermann ne fait qu’effleurer, c’est que les religions païennes qui faisaient de la terre (ou de la nature, ou du soleil, ou de la forêt…) la divinité dont les hommes croyaient tirer leur existence, leur subsistance et leur avenir ont dans leur majorité pratiqué les sacrifices humains pour apaiser leurs faux dieux et obtenir les biens dont ils avaient besoin. Le dieu Baal ou Moloch « réclamait » le sacrifice d’innocents premiers-nés pour donner à ses adeptes la fertilité des récoltes et des hommes ; les Aztèques arrachaient les cœurs de leurs victimes pour les présenter, palpitants, au dieu soleil pour qu’il revînt le lendemain ; les Incas faisaient mourir des enfants au sommet des Andes pour plaire aux dieux… Les religions païennes de la Gaule, de la Germanie, de la Scandinavie et d’autres pays du nord de l’Europe ont tous pratiqué le sacrifice aux dieux, cette pratique ne cédant que devant l’avancée du christianisme, la force civilisatrice la plus aboutie, la plus complète, la plus vraie. Avant lui, l’Empire romain avait déjà proscrit les sacrifices humains aux dieux (ce qui ne l’a pas empêché de se repaître des combats de gladiateurs ou de l’immolation des chrétiens…).

Ainsi les Aztèques, les Mayas, les Incas abandonnèrent-ils leurs abominables pratiques avec l’arrivée des Espagnols, horrifiés par ces pratiques sanguinaires ; en Europe, la Lituanie, christianisée tardivement, connut ses derniers sacrifices humains au XIVe siècle, tuant rituellement des chrétiens en tant qu’ennemis de leurs dieux. La découverte des sociétés primitives, ou non, depuis l’Australie jusqu’à la Chine, permet de voir la constance de la pratique dans le temps et dans l’espace dans les contrées qui ne connaissaient pas encore le Christ.

Il s’agissait le plus souvent d’apaiser les idoles ou de s’attirer leurs bonnes grâces ; comme en Corée où le sacrifice humain accompagnait le lancement des grands chantiers. « Ce que les païens immolent, ils l’immolent aux démons, et non à Dieu », dit saint Paul (1 Cor. 10, 20). Que les démons, dans leur haine de l’homme, réclament la vie des êtres humains n’a décidément rien d’étonnant. Et ce qui était vrai chez les païens l’est aussi chez les néo-païens qui attribuent à la « Terre-mère nourricière » des qualités divines l’est encore aujourd’hui. – J.S.

*

La secte écologiste exige le sacrifice humain

On compare volontiers le mouvement écologiste moderne à une religion. En effet, de nombreux écologistes sont des adorateurs de Gaïa ; ils considèrent la « Terre-Mère » comme une entité vivante. Ils ont une vision apocalyptique du monde et leur approche de l’« environnement » est intimement liée au culte de la nature. Nous y reviendrons. Les tenants du « réchauffement climatique » nous répètent sans cesse que la température augmente, que les mers montent, que la glace régresse et que les ours polaires disparaissent. Ces affirmations ne sont pas étayées par des preuves convaincantes ; en réalité, c’est plutôt le contraire qui semble se produire, puisque les prédictions échouent généralement. Cependant, la conviction inébranlable selon laquelle les émissions de dioxyde de carbone réchauffent l’atmosphère terrestre de manière catastrophique a été érigée en dogme religieux. Bien entendu, le souci raisonnable d’éviter la pollution et de préserver nos ressources naturelles de manière responsable est une position qui mérite d’être saluée sur le plan éthique. Cependant, les efforts des « environnementalistes » en vue de réduire les émissions de carbone rendent l’énergie moins abordable et moins accessible, ce qui fait augmenter le coût des produits de consommation, entrave la croissance économique, détruit des emplois et entraîne des effets néfastes pour les populations les plus pauvres de la planète. A l’inverse, l’affectation de ressources financières à la construction de stations d’épuration, à l’amélioration de l’assainissement et à la fourniture d’eau potable aux pauvres aurait un impact immédiat plus important sur leur situation que la lutte contre le prétendu « réchauffement climatique ».

Une motivation cachée

Cela ne devrait pas nous étonner que les gouvernements à tous les niveaux aient souscrit à l’idée que le réchauffement climatique est une réalité, que l’homme en est responsable et qu’il est dans l’intérêt du pays de prendre des mesures radicales pour y remédier. L’Australie a même créé un poste de ministre du changement climatique, laissant ainsi entendre que les responsables politiques peuvent nous sauver en apaisant les « dieux de la météo » ! Il est même permis de penser que nos responsables politiques contribuent à la fabrication d’une « crise climatique » afin de vendre leur propre solution, à savoir le « big government ». Le gouvernement, jadis perçu comme un « mal nécessaire » et comme un violateur potentiel de nos droits et de nos libertés fondamentales, devient ce faisant notre « sauveur » ultime. On peut sans doute appeler cela une forme d’idolâtrie. La théorie du réchauffement climatique repose sur la croyance selon laquelle l’augmentation des niveaux de dioxyde de carbone fait monter la température de l’atmosphère.

Malgré cet alarmisme environnemental terrifiant et des dépenses gouvernementales écrasantes pour limiter les « émissions de carbone », historiquement, les augmentations de température ont souvent précédé les niveaux élevés de dioxyde de carbone, ce qui anéantit cette théorie de la cause et de l’effet. Le fait est que le monde s’est de tout temps réchauffé et refroidi, et que la théorie du réchauffement climatique anthropomorphique contredit la vérité historique que nous connaissons. Néanmoins, selon le sénateur James Paterson, le fait de couvrir de honte et d’intimider publiquement tout scientifique qui s’écarte de l’orthodoxie en matière de changement climatique rappelle étrangement le procès des sorcières de Salem ou l’Inquisition espagnole, puisque des flagellations publiques sont infligées – métaphoriquement parlant – pour punir les délits de pensée commis par ces personnes. En effet, les « dissidents », ainsi qu’on les nomme, subissent l’humiliation rituelle de la part de leurs collègues et des médias, dont les moindres motivations sont remises en question et les points de vue cloués au pilori.

Le réchauffement de la planète se réfute de manière empirique par l’accumulation de preuves de refroidissement. Par conséquent, lorsque la température augmente, nous entendons : « Waouh, c’est une preuve évidente du changement climatique », mais lorsque le climat se met à se refroidir rapidement, on nous dit : « Waouh, c’est une preuve supplémentaire du changement climatique. » Il s’agit là d’une tautologie manifeste : tout ce qui arrive, sans exception, peut être attribué à une seule et même théorie. Et si toute chose qui se produit, quelle qu’elle soit, peut être attribuée à une seule théorie, nous nous trouvons en présence de la quintessence d’une théorie totalitaire, comme l’est le réchauffement de la planète.

Selon Jonah Goldberg, rédacteur en chef fondateur de National Review Online, « ce qu’il y a de formidable avec le réchauffement climatique, c’est qu’il est lié à tout ce que nous faisons – ce que nous mangeons, ce que nous portons, les endroits où nous nous rendons. Notre “empreinte carbone” constitue la mesure de l’homme ». En d’autres termes, l’idée du « changement climatique » est par essence irréfutable, car le climat change toujours quelque part, d’une manière ou d’une autre. Et toute théorie qui n’est pas réfutable n’est pas scientifique, c’est une religion.

Anti-natalisme

Nous en sommes arrivés au point où même la naissance de tout nouvel être humain est considérée comme une menace pour la « Terre-mère » : certains vont jusqu’à présenter ouvertement les nouveaux bébés comme une source indésirable d’émissions de gaz à effet de serre, qui consomment des ressources naturelles. En Australie, on promeut ainsi le fait de renoncer à avoir des enfants, voire d’avorter, comme un geste écologique, et les femmes sans enfant comme apportant leur pierre à l’édifice pour réduire l’empreinte carbone de la civilisation. Par exemple, un professeur adjoint de médecine à l’université de Notre-Dame-Australia, professeur agrégé de médecine clinique à l’université d’Australie occidentale, estime que la procréation est un « comportement préjudiciable pour l’effet de serre ». Il souhaite sérieusement que le gouvernement australien envisage des mesures de contrôle de la population à l’instar de la Chine, dont la politique de l’enfant unique par famille était assortie de sanctions draconiennes, de stérilisations et d’avortements forcés.

Ce type de pensée rappelle les anciennes religions païennes. L’histoire nous apprend que certaines civilisations anciennes tuaient leurs enfants pour changer le temps qu’il faisait. Elles pratiquaient le sacrifice d’enfants pour apaiser leurs dieux et s’attirer leurs bonnes grâces. Ces peuples primitifs pensaient qu’en sacrifiant des êtres humains, ils pouvaient influencer les forces de la nature en leur faveur. Les Aztèques, par exemple, honoraient leurs dieux en tuant des personnes à coups de flèches dans un champ pour que leur sang fertilise la terre.

Il est tragique de constater que non seulement les jeunes générations sont trompées et renoncent à avoir des enfants par peur de mettre la planète en danger, mais qu’elles mettent également fin à des grossesses saines, certains allant même jusqu’à prétendre ouvertement qu’ils l’ont fait au nom de la lutte contre le changement climatique. Une femme mariée a ainsi pu confier à un journal que « ne pas avoir d’enfant est la chose la plus respectueuse de l’environnement qu’elle puisse faire ». Le même article faisait état d’une autre femme qui avait mis fin à sa grossesse parce qu’elle était fermement convaincue que « le fait d’avoir des enfants est égoïste… Chaque personne qui naît consommera de la nourriture, de l’eau, de l’énergie fossile et des arbres en plus, et produira plus de déchets, de pollution, de gaz à effet de serre, et aggravera la surpopulation ».

Bien entendu, les inquiétudes relatives à la surpopulation ne datent pas d’hier. En 1968, l’écologiste Paul Ehrlich s’est fait l’écho de l’économiste du XVIIIe siècle Thomas Malthus en prédisant une famine mondiale due à la surpopulation et en préconisant des mesures immédiates pour limiter la croissance démographique. La bombe démographique d’Ehrlich fut l’un des livres les plus influents du siècle dernier. Il y a plus de 50 ans, il déclarait d’un ton prophétique : « La fin arrivera dans les 15 années à venir. » Il va sans dire que ces prédictions apocalyptiques ne se sont jamais réalisées. Nonobstant toutes les inquiétudes, l’accès à la nourriture et aux ressources s’est amélioré au fur et à mesure de l’augmentation de la population mondiale.

Evidemment, cela n’a pas empêché certains militants écologistes de continuer à faire des déclarations toujours out aussi farfelues au sujet de l’humanité et de l’avenir de notre planète. Le prince Philip, feu le duc d’Édimbourg, déclarait en 1988 : « Si je me réincarne, j’aimerais revenir sous la forme d’un virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. » Cette idée lui tenait tellement à cœur qu’il devait répéter plus tard : « Je dois avouer que je suis tenté de demander à me réincarner sous la forme d’un virus particulièrement mortel. » Nous ferions bien de nous méfier grandement de tout argument utilisant un langage qui fait référence aux êtres humains comme un « virus invasif », un « fléau » ou même un « problème » qui doit être résolu. Certains écologistes déplorent même que ni la guerre ni la famine ne soient capables de réduire suffisamment la population et préfèrent l’arrivée d’un virus mortel pour s’attaquer aux innocents. Ce type d’argument trahit une volonté apocalyptique de faire régner la mort et la destruction à grande échelle. C’est un type de pensée religieuse qui révèle un sinistre désir d’éliminer les êtres humains à la recherche d’un petit nombre utopique de survivants « durables ».

Augusto Zimmermann

Traduction par Jeanne Smits

SOURCE :

https://reinformation.tv/religion-ecologique-sacrifice-humain-smits/

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Message  Admin Dim 3 Déc 2023 - 13:17

LE "NET ZERO" EST DEVENU UNE RELIGION !


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Claire Coutinho,
sous-Secretaire d'État à l'Enfance et la Famille Britannique


par Jeanne Smits

3 octobre 2023

Telle est la conclusion de la sous-secrétaire d’Etat à l’Enfance et la famille britannique Claire Coutinho. Politicienne conservatrice, elle croit au changement du climat par l’homme et à la nécessité de faire des efforts pour l’atténuer – donc à la légitimité de ce qu’on appelle le « net zéro », ou neutralité carbone, c’est-à-dire que l’activité humaine doit un jour avoir une empreinte carbone neutre (pourquoi, c’est un mystère : aucun être vivant ne le fait, un bel arbre piège du carbone, un gentil lapin en rejette).

Mais elle a constaté que, même dans ce cadre mental-là, certains en faisaient décidément trop. Incriminant Just Stop Oil, Extinction Rebellion et tous les activistes écolos, elle a lancé : « Pour eux, net zéro est devenu une religion, pour nous c’est un objectif pratique à atteindre. Ils veulent forcer les gens à vivre d’une certaine manière ou à subir des taxes punitives, et n’ont que condescendance pour la vie des gens normaux. »

Elle a encore noté les « coûts intolérables » du net zéro pour beaucoup de gens qui ne peuvent suivre et sont « forcés à prendre de mauvaises décisions pour eux-mêmes et leurs familles ». Et d’affirmer : « Net zéro ne peut être imposé aux gens par une élite privilégiée, (…) c’est immoral de lancer des politiques qui appauvrissent les gens ici pendant qu’ailleurs les émissions de CO2 explosent. » Et encore : « Ils s’intéressent davantage à montrer leur propre pureté qu’à animer la cause du changement de climat. Ils ne cherchent pas à persuader, seulement à bouleverser. Ils ne veulent pas entraîner, seulement faire taire. » Tout cela n’est pas faux, mais sent la politique et ne va pas à la racine du problème : c’est toute la machine de l’écologisme mythologique qui sert à assujettir le peuple. Ce qui est une contrefaçon de religion à visées politiques, ce n’est pas seulement le net zéro vu par les extrémistes, c’est le climatisme, c’est le gros mensonge du réchauffement du climat par l’homme.

SOURCE :

https://reinformation.tv/phrase-net-zero-religion-focus/

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Message  Admin Lun 4 Déc 2023 - 0:03

FAIRE DU "JOUR DE LA TERRE" UNE FÊTE RELIGIEUSE : OUI, L'ÉCOLOGIE EST UNE RELIGION !


LA RELIGION ÉCOLOGIQUE : GAÏA ET L'ÉCOLOGISME EXTRÉMISTE - UNE NOUVELLE DÉRIVE INQUIÉTANTE  ! - Page 2 Jour-t10


par Jeanne Smits

2 mai 2023

Une tribune publiée par un magazine comme Time, qui tire à plusieurs millions d’exemplaires et touche des millions d’autres lecteurs en ligne, ne pourra jamais être balayée comme l’obscure élucubration de quelque doux-dingue obsédé par son dada. Lorsque ledit hebdomadaire, réputé pour son « sérieux » parmi les grands médias, offre une belle place au plaidoyer de deux grandes figures de l’écologie pour la création d’une fête religieuse universelle à l’occasion du « Jour de la terre », il faut comprendre qu’elles sont en phase avec l’idéologie dominante. C’est bien un culte qui est proposé, une religion dont la terre, ou plutôt la Terre-Mère, Gaïa, est l’idole.

On n’a cessé de nous seriner que les croyances religieuses sont dépassées, que la religion est l’opium du peuple. Mais c’est pour nous inciter à devenir les sectateurs d’une nouvelle religion… pas si neuve que cela, ainsi que l’avouent les deux auteurs de l’article. Il s’agit de Paul Greenberg, professeur d’études animales à l’université de New York, « juif de nom, pas plus », et de Carlo Safina, titulaire de la chaire de recherche sur la nature et l’humanité à l’université de Stony Brook dans le même Etat. Safina précise qu’il est un « recovering Catholic », un « catholique qui se remet », autrement dit, un apostat qui se vante d’avoir guéri de sa religion de baptême.

Et en ce temps marqué par le woke, personne ne lui reproche de porter atteinte à la sensibilité des catholiques en désignant de fait leur foi comme une maladie de l’esprit…

Le Jour de la Terre, mieux que Noël ou Pâques ?

Les deux hommes se lamentent de voir le « Jour de la Terre » de moins en moins célébré – le 22 avril dernier a moins marqué les foules que le pont de Pâques ou la « Fête du travail » – après une première édition en 1970, promue par un sénateur républicain et un sénateur démocrate, qui vit « 20 millions de manifestants » dans les rues aux Etats-Unis. Avec la baisse de la pollution perceptible et multiples réglementations de protection de la nature, avancent les auteurs, on s’est largement désintéressé de cette journée de conscientisation écologique, alors même que les « problèmes actuels de l’environnement constituent des menaces existentielles pour la stabilité sociale et planétaire, et même pour la civilisation ».

La solution ? Il faudrait mettre en place des rites pour « célébrer le miracle d’une planète vivante », et en finir avec ce Jour de la Terre « plus qu’un peu sacrilège » et la transformer en un « moment central pour une nouvelle approche du culte ». Miracle, sacrilège, culte : le vocabulaire ne laisse aucune place au doute, il s’agit bien de prendre tous les codes d’une religion à part entière, construite autour d’une « divinité ». Sans surprise, Greenberg et Safina jugent même qu’« un jour sur 365 » pour lui rendre hommage, c’est bien trop peu eu égard à « la révérence et la reconnaissance dues à cette planète assiégée, qui est au fondement de toute notre existence et de toute vie connue ».

La religion de la Terre aurait ses rites, ses commandements, son livre saint

Un « système de croyances vénérant la terre » aurait cependant le Jour de la Terre pour fête principale. Greenberg et Safina ont déjà tout réfléchi :

« Pour commencer, examinons ce que les religions établies réussissent à bien faire, et dont nous pourrions nous inspirer. La première étape consisterait peut-être à déterrer les origines de nos fêtes religieuses actuelles, qui sont centrées sur la nature. Nous savons pour la plupart que Noël et Hanoukka coïncident avec le solstice d’hiver, que Pâques et la Pâque sont célébrées en même temps que l’arrivée du printemps, que Sukkot et Diwali marquent les récoltes et les dernières chaleurs de l’été, et que l’Aïd suit la trajectoire de la lune. Ces fêtes trouvent leur origine dans la gratitude. Gratitude pour le retour du soleil. Gratitude pour la récolte qui pourrait éviter la famine que l’hiver pourrait apporter. Remerciements pour le moment où la récolte a permis d’éviter la famine. Nous pourrions concevoir de recadrer ces fêtes comme des jours de remerciement pour ce que le monde naturel donne et des rappels que notre responsabilité pour ce qui reste est une alliance permanente. »

Au-delà de la discrète suggestion selon laquelle les religions dites traditionnelles, et surtout le judaïsme et le christianisme, n’ont jamais été centrées sur un Dieu transcendant mais sur la nature comme pourvoyeuse de tout ce dont nous avons besoin, il y a cette notion d’« alliance » qui justement, dans l’Ancien Testament, attachait le peuple élu au Dieu unique, distinct de sa création, et qui dans l’accomplissement de la Nouvelle Alliance, nous le révèle Un et Trine, auteur de l’œuvre de la Rédemption par laquelle les portes du ciel nous sont ouvertes, cette éternité auprès de Dieu qui dépasse infiniment les beautés de la création terrestre.

La marche vers une inversion infernale proposée par Greenberg et Safina va encore plus loin, puisque leur religion écologique rejette systématiquement la vérité et les commandements divins.

« Ensuite, nous pourrions examiner ce que font les religions pour nous aider à former une communauté et à marquer les étapes importantes de la vie : la naissance, la maturité, le mariage et la mort », expliquent-ils. Il faut ramener cela au niveau « biologique » : « La naissance, cette fusion extatique d’atomes et de molécules aboutissant à la sensibilité, pourrait donner lieu à un rituel consistant à raconter de manière véridique et factuelle comment l’inanimé devient animé. » Car bien entendu, ces messieurs ont tout compris au mystère de la vie – assez, en tout cas, pour rejeter l’existence même de l’âme spirituelle qui est au cœur de la réalité de l’homme, spécifiquement créé « à l’image et à la ressemblance de Dieu ».

« Au lieu (ou en plus) des bar/bat mitzvahs et des confirmations, serait-ce trop demander à nos enfants d’aller au-delà des 20 minutes quotidiennes moyennes que la plupart des enfants américains passent à l’extérieur, et de mémoriser les noms et les descriptions des plantes et des animaux locaux, ou d’apprendre les considérations impliquées dans la plantation correcte d’un arbre ? » Voici le catéchisme remplacé par les cours de jardinage – excellents dans leur ordre, certes, mais conçus ici pour chasser le surnaturel.

Au nom de l’écologie, avoir moins ou pas d’enfants

Pour le mariage, l’affaire se corse. « Le pacte du mariage pourrait être l’occasion de rappeler aux jeunes couples le fardeau que les enfants font peser sur la planète et de s’engager à adopter des modes de comportement durables à l’avenir. » On ne doit plus se marier pour avoir des enfants, mais pour ne pas en avoir ; pour les considérer comme une malédiction, tout au plus, comme une denrée à consommer avec la plus grande modération, à mi-chemin entre la cigarette qui tue et l’alcool qui détruit. Et ce n’est même pas par égoïsme ou par un altruisme mal compris qu’il faudrait ainsi en finir avec le premier, dans l’ordre chronologique, des commandements donnés par Dieu aux hommes : « Croissez et multipliez-vous », mais pour brûler son grain d’encens devant le dieu contempteur de la vie et des hommes. C’est signé, non ?

« Enfin, la mort pourrait être reconnue pour ce qu’elle est : un retour des atomes et des molécules dans le cycle. » Surtout pas d’au-delà, surtout pas de vie éternelle. Tout est dans tout, la matière est l’horizon de toute chose. Il faudrait se réjouir de retourner au néant de l’inconscience.

La religion promue par “Time” et les diableries de la gnose

Toute religion enseigne ce qu’il faut croire, celle de la Terre ne fait pas exception, et Greenberg et Safina lui ont inventé un livre saint et des prophètes, et même des commandements et une illumination à la manière des gnostiques. Faisant un parallèle avec la Torah, ils écrivent :

« Et si un tel livre existait pour la Terre ? S’il était rempli d’hymnes à ce monde des vivants ? Et s’il contenait les histoires des prophètes de la connaissance de la terre naturelle – Darwin et Carson, Galilée et Humboldt ? Et si nous en venions à considérer ces découvertes comme l’ouverture progressive de la conscience aux lois de la nature ? Et si notre Bible du monde naturel nous confortait dans l’idée qu’une multitude de processus et de phénomènes restent à découvrir ? Et si nous utilisions ce livre non pas pour gronder nos enfants afin qu’ils suivent des commandements, mais plutôt pour éclairer une voie qui encourage la découverte, le respect et la gratitude pour les relations qui assurent à notre vaisseau spatial planétaire les conditions de sa survie ? »

Les sciences naturelles y prennent la place des vérités de la foi, mais aussi ses théories et ses mythes, son rejet de Dieu et son évolutionnisme qui cherche en vain à rendre le mystère de la vie plus compréhensible en y ajoutant quelques milliards d’années.

Les auteurs arrivent alors à un aveu central : « Sommes-nous en train de proposer une toute nouvelle religion ? Nous n’en sommes pas tout à fait sûrs. Peut-être une ancienne. Au cœur de tout sentiment religieux se trouve le sentiment que nous faisons partie de quelque chose de beaucoup plus vaste dans l’espace et plus profond dans le temps que nous-mêmes. »

C’est bien le panthéisme païen que rêvent ces deux idolâtres de la nature, ils s’en cachent à peine. Ils attendent un « nouveau Grand Réveil » qui occupera tout le besoin de spiritualité qui caractérise l’homme, et qui sera une spiritualité en effet, une spiritualité globale remplaçant la Révélation par sa propre révélation de pacotille. Et qui veut sacrifier l’homme au bien de son faux dieu.

Jeanne Smits

SOURCE :

https://reinformation.tv/jour-terre-ecologie-religion-smits/

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"Oui, mon retour est proche!
Amen, viens, Seigneur Jésus!"


Apocalypse, 22, 20


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