Le Code de la Fin des Temps

Qu'en est il pour les enfants adoptés et qui changent de nom ils ne renient pas dieu.

Je me suis déjà posée cette question même pour autre chose.

Car il est dit honore ton père et ta mère

mariejésus, il ne faut jamais s'attarder sur des idées qui n'ont pas en fait d'importance. Au niveau d'une personne dans l'Esprit du Seigneur. Tout enfant qui naît doit être considéré comme ayant vocation de retourner un jour vers son créateur. Dieu dans sa miséricorde attache une grande importance à l'indépendance de ses créatures.

Quelque soit les risques du choix personnel entre le bien et le mal de toute créature, est important à ses yeux. C'est pour cette raison qu'Il nous veut libre. C'est sans doute la conséquence de la révolte des mauvais anges qui a conduit à cette situation que nous connaissons tous. Le prince de ce monde voulu à un moment donné s'octroyer la puissance sur les puissances célestes. Nous sommes en droit d'émettre l'hypothèse que son nom selon la tradition hébraïque devait être ariel; qui signifie strictement en hébreu le lion de Dieu.Il était à ce moment là de la classe des archanges (huitième coeur selon les révélations de Saint Michel archange).

Le nom de Michael signifie en hébreu qui est comme Dieu. Il se porta en défenseur de la Gloire de Dieu et pour cela il assura dès ce moment le rôle anciennement celui d'ariel comme Prince premier du Ciel et des milices célestes. Le changement de nom celui qui devint l'ennemi fut lucifer dont le nom évoque la lumière; sans préciser de quelle lumière il s'agit. Il ne s'agit pas pour lui de lumière céleste mais bien de celle des ténèbres.

Cependant ce mot n'a un sens qu'en latin et donc aucun dans la tradition hébraïque. Par contre, la qualification de satan, qui signifie adversaire en langue hébraïque nous fait comprendre que ce n'est là qu'une affaire de pseudonyme, car il ne convient pas à un chrétien à évoquer les anges déchus.

En dehors de cela, prendre pour soi un vocable reconnu par le Ciel ne peut être que bénéfique; c'est pour cette raison que lors de la consécration par le baptême, il est permis de porter le nom d'un saint ou d'une sainte. C'est s'assurer à coup sûr un protecteur au ciel. Le Seigneur assure ainsi sa paternité céleste, ce qui permet de dire que l'enfant n'a pas des géniteurs prêts à assumer spirituellement son salut, alors la possibilité de passer par l'adoption peut être bénéfique. Ceci n'est qu'un exposé général; il est bien évident que ces quelques mots n'ont pas la prétention de répondre à l'ensemble des questions que l'on est en droit de se poser.

Tout ce que l'on peut dire, c'est qu'en méditant ce petit extrait; c'est déjà un premier pas.

Prenons le cas d'un nom qui se trouve codé par une révélation. Le message doit être différencié du messager. Le messager par le nom qu'il porte est couvert par une sorte de sceau. Ce qui interdit de porter le moindre jugement à l'égard de cette personne. Malheureusement, le monde ne raisonne pas de cette manière. Ce qui fait qu'en Israël, les prophètes ont tous eu une fin plus ou moins tragique. C'est du moins ce que nous apprend Jésus dans les évangiles.

Donc soyez rassurée sur le principe, je vais vous donner un autre exemple.
Une voyante connue en France, porte dans le nom d'Axelle Mouret.
Or, selon ces affirmations le Seigneur lui aurait demandé d'écrire sous sa dictée des messages sur le thème de l'Amour. Bien évidemment, la controverse fut assez vive, mélangeant messages et messager; ce qu'il ne faut jamais faire.

La clé réside sous la forme suivante
A[X]ELLE
MOURET
Il convient en premier de mettre en crochet la clé de décryptage qui est le X. Mathématiquement, le X est reconnu comme la valeur inconnue par excellence.
Vous n'aurez aucune difficulté à décrypter AMOUR ET ELLE. Le X étant placé en éclairage.
Ce qui nous permet d'avancer l'hypothèse que si ce codage est l'oeuvre de Dieu, alors nous n'avons rien à contester.
Nous remarquons que là le nom MOURET est celui de son époux.

Cher Octo

Vous faites référence au message du plus petit des serviteurs sur l'Avertissement.
Celui-ci indique qu'à la fin de l'avertissement,ceux qui auront choisi la Miséricorde deviendront
: SAINTS,SAINTS,SAINTS, et les autres iront en ENFER.
Autrement dit,ceux qui suivent le Diable en Enfer ne devraient plus être physiquement sur cette Terre, et il ne devrait donc rester que ceux qui auront choisis Dieu et qui seront selon le message trois fois Saints, c'est à dire rétablis totalement à l'image de Dieu, donc transfigurés.
Ce que je ne comprends pas,c'est que vous parlez d'une période de temps de Trois ans et demi de Grande tribulation APRES l'Avertissement.
La tribulation ,par définition est un processus de Purification,or qui aurait-il à purifier puisque
le choix de l'avertissement était FINAL et impliquait une Parfaite Sanctification de la part de ceux qui auraient choisi DIEU.On ne peut pas à la fois avoir été Trois fois sanctifié et devoir encore être dans la nécessité d'être purifié par une Tribulation, qui me parait déjà avoir lieu lors de l'avertissement où l'âme connait la détresse selon le message auquel vous faites référence;
Je rappelle que chez JNSR et Vassula tribulation et Avertissement sont une même chose;
Merci de votre éclairage.
françois

Cher Octo,

Je me permets de préciser que je n'ai aucune autorité dogmatique légale pour juger si l'affaire de dozulé rentre dans le cadre d'une volonté de Dieu ou d'une permission accordée à l'ennemi. Me reportant à un courrier personnel du mouvement sacerdotal marial, je me dois de respecter strictement les différents points de vue qui ont été soulevé sur cette affaire et soumis au regretté Père Stefano Don GOBBI. En l'état, tout ce que l'on sait, selon "l'apparition", c'est que le nombre de croix désignera l'auteur de l'initiative, un point c'est tout. Tout le reste est littérature. Or, tout ce que l'on peut dire actuellement, c'est que cette formulation sous entend un cryptage qui se révèlera en son temps. Il est donc parfaitement inutile d'extrapoler sur ce qui se révèlera (en bien ou en mal). La plus grande prudence demande également la plus grande intégrité intellectuelle. Pour ma part, je n'ai fait que suivre ce qui a été diffusé par Monseigneur MADEC, évêque du ressort de fréjus-toulon dans la revue diocésaine. Lui-même se reportant à l'évêque du diocèse concerné, qui est celui de Lisieux et qui avait émis un avis défavorable transmis au Vatican. En l'espèce et jusqu'à présent, je ne dispose que de l'avis de prudence délivré par le cardinal RATZINGER, qui est notre actuel Souverain Pontife sous le nom de Benoît XVI. Donc théologiquement, j'exerce mon droit de réserve et on n'a rien à me reprocher. Si cela ne plaît pas, chacun est libre de s'adresser au Vatican. Merci de votre compréhension.

concerne dozulé