ATTENTION- DANGER: Nous préparerait-on une nouvelle Pandémie ?

BREAKING: UN Planning New Pandemic To Establish Planetary Dictatorship pic.twitter.com/PSpmbBM6HC

— Alex Jones (@RealAlexJones) January 8, 2024

14 janvier 2024

Pfizer investit des milliards de dollars dans des traitements pour se préparer à une « pandémie d’insuffisance cardiaque » imminente.

Le fabricant du vaccin à ARNm anti covid investit massivement dans le traitement de l’insuffisance cardiaque, alors que les cas de myocardite et de mort subite d’origine cardiaque montent en flèche.

Le géant pharmaceutique a récemment acquis plusieurs entreprises.

Il a notamment acquis Arena Pharmaceuticals pour 6,7 milliards de dollars en numéraire.

Arena Pharmaceuticals est une société spécialisée dans le développement de traitements, en particulier pour les inflammations cardiaques telles que la myocardite et la péricardite.

Pfizer devrait maintenant tirer des dizaines de milliards de dollars de bénéfices de la montée en flèche de l’insuffisance cardiaque.

L’entreprise espère tirer parti de l’explosion des cas d’insuffisance cardiaque, les ventes de ses vaccins contre le covid s’étant taries.

Cette nouvelle intervient alors que les scientifiques mettent en garde contre le dernier variant du covid, qui pourrait déclencher une « pandémie d’insuffisance cardiaque ».

La recherche sur la nouvelle souche, connue sous le nom de JN.1, pourrait entraîner un « risque sanitaire mondial » lié au COVID-19.

Les scientifiques affirment que cette souche du virus pourrait déclencher une « pandémie d’insuffisance cardiaque ».

Les experts de la santé ont mis en garde contre l’augmentation des risques de problèmes cardiaques chez les personnes qui contractent la maladie.

L’afflux d’une nouvelle souche JN.1 a entraîné une augmentation des cas de covid dans plusieurs pays.

Les scientifiques affirment que les nouvelles souches sont responsables de l’augmentation des cas d’insuffisance cardiaque mortelle qui a débuté en 2021.

Des pays comme les États-Unis, le Royaume-Uni, la Chine et l’Inde ont tous connu une augmentation des cas d’insuffisance cardiaque au cours des dernières semaines.

Le principal institut de recherche japonais, le Riken, vient de lancer un avertissement dans ce nouveau rapport.

Le rapport indique que les récepteurs ACE2, auxquels le coronavirus s’accroche dans les cellules humaines, sont « très courants » dans le cœur.

Cela signifie que de nombreuses personnes ayant contracté le virus peuvent souffrir d’une « réduction de la fonction cardiaque », affirment les scientifiques.

Les autorités sanitaires préviennent qu’avec l’augmentation du nombre de cas de grippe, cet hiver pourrait être marqué par une hausse significative des cas de maladie.

Le rapport indique ce qui suit :

« Même si aucune preuve clinique concluante n’a été rapportée jusqu’à présent sur le fait que l’infection persistante par le SARS-CoV-2 est associée à une diminution de la fonction cardiaque, l’étude de preuve de concept sur la possibilité d’une infection persistante du cœur par le SARS-CoV-2 et le risque potentiel de progression opportuniste de l’insuffisance cardiaque devrait être validée par un modèle tridimensionnel de tissu cardiaque humain qui servirait de sonnette d’alarme pour un risque sanitaire mondial. »


Le rapport omet toutefois de noter que le pic d’insuffisance cardiaque concerne presque exclusivement les personnes ayant reçu le vaccin à ARNm anti covid.

Traduction de Slay News par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/pfizer-investit-des-milliards-dans-des-traitements-contre-la-pandemie-dinsuffisance-cardiaque-a-venir/

Les plus grands psychopathes de la Terre vont se réunir à Davos à partir de lundi.
Et ils vont parler de la maladie X.
La prochaine sinistre "pandémie".
Ils invitent pour cela quelques médias triés sur le volet, qui par la suite recevront les ordres pour diffuser les… pic.twitter.com/l8gqpPnw6W

— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) January 12, 2024

Pourquoi le FEM et tous les autres parlent-ils soudainement de la « maladie X » ? La maladie X  pourrait entraîner 20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus…


17 janvier 2024

Mercredi, lors de la réunion annuelle du FEM, une session entière sera consacrée à la préparation à la maladie X. La description de cette session déclare de manière sinistre que « la maladie X pourrait entraîner 20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus ».

Toutes ces discussions sur la « maladie X » doivent-elles nous alarmer ? Selon l’OMS, la « maladie X » est une maladie hypothétique « inconnue » qui pourrait potentiellement tuer des millions et des millions de personnes. Cette maladie est censée être purement théorique, mais en lui donnant un nom, l’OMS invite les gens à élaborer toutes sortes de théories à son sujet. C’est d’autant plus vrai que les experts estiment qu’elle pourrait causer 20 fois plus de décès que le COVID…

Les responsables de la santé se réunissent au Forum économique mondial (FEM) de Davos ce mercredi pour discuter des moyens de se préparer à la « maladie X » – un terme inventé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2018 pour décrire l’agent pathogène inconnu et hypothétique qui pourrait provoquer la prochaine pandémie.

Selon certains experts, la maladie X pourrait entraîner 20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus.

Elle figure sur la liste des maladies prioritaires de l’OMS, aux côtés de virus comme le SRAS, Ebola et Zika.

Le FEM contribue certainement au battage médiatique autour de cette maladie hypothétique. Mercredi, une session entière de la réunion annuelle du FEM sera intitulée « Se préparer à la maladie X », et la description de cette session déclare de manière inquiétante que « la « maladie X » pourrait entraîner 20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus »…

Le programme 2024 est une expérience inoubliable. Les participants verront Albert Bourla, de Pfizer, et Sam Altman, d’Open AI, parler de l’intelligence artificielle (IA). Ils verront Bill « Bugman » Gates, partisan de la dépopulation, défendre le canular climatique. John Kerry apparaîtra sur quatre scènes différentes pour parler de la « transition énergétique ». Nous verrons également Klaus Schwab s’asseoir pour un tête-à-tête avec le deuxième plus haut responsable du gouvernement chinois.

Mais une table ronde se démarque tout particulièrement : « Se préparer à la maladie X. Le sujet est à la fois incroyablement vague et incroyablement inquiétant.

La description de la discussion se lit comme suit : Avec les nouveaux avertissements de l’Organisation mondiale de la santé selon lesquels une « maladie X » inconnue pourrait entraîner 20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus, quels nouveaux efforts sont nécessaires pour préparer les systèmes de soins de santé aux multiples défis qui les attendent ?

Pourquoi donner un chiffre aussi précis ?

Je ne pense pas que cela soit utile.

Essaient-ils de semer la panique ?

La liste des orateurs prévus pour cette session comprend le directeur général de l’OMS…

- Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS;
- Shyam Bishen, chef du Centre pour la santé et les soins de santé ; FEM Genève;
- Roy Jakobs, président et directeur général, Royal Philips;
- Preetha Reddy, vice-présidente exécutive, Apollo Hospitals Enterprise Ltd;
- Nisia Trindade Lima, ministre de la santé, ministère de la santé du Brésil;
- Michel Demaré, président du conseil d’administration d’AstraZeneca Plc..

Il ne fait aucun doute que d’autres pandémies mondiales sont à venir.

C’est un point sur lequel je n’ai cessé de mettre en garde mes lecteurs.

Mais donner un nom spécifique à une maladie « inconnue » et avancer des chiffres sur les taux de mortalité potentiels ne fera qu’alimenter des spéculations malsaines.

Bien entendu, l’OMS et le FEM ne sont pas les seuls à agir de la sorte.

En juin de l’année dernière, un projet de loi intitulé Disease X Act of 2023 a été présenté à la Chambre des représentants des États-Unis.

Il semblerait qu’une installation qui vient d’être construite au Royaume-Uni se consacrera à la « recherche de vaccins » pour la maladie X…

Une nouvelle installation a été construite au Royaume-Uni pour mener des recherches sur un vaccin contre un agent pathogène inconnu surnommé « maladie X » par le Forum économique mondial (OMS).

Cette nouvelle installation est située sur le campus scientifique et technologique secret de Porten Down, dans le Wiltshire, en Angleterre, qui est surtout connu pour ses recherches en matière de guerre chimique et biologique.Les experts de cette installation se « préparent » à l’émergence d’un nouveau virus de la « maladie X », a rapporté la BBC en août.

Je n’ai aucune idée de la manière dont ils peuvent mener des « recherches » sur une maladie entièrement « inconnue », mais c’est apparemment ce qu’ils ont l’intention de faire.

Au lieu de chasser les fantômes, nos dirigeants pourraient peut-être s’attacher à réparer ce qui est déjà cassé.

Selon une étude récente, près d’un décès hospitalier sur cinq aux États-Unis est dû à une erreur médicale…

Selon une étude, près d’un décès hospitalier sur cinq aux États-Unis est dû à une erreur de diagnostic.

Une étude publiée le mois dernier dans la revue JAMA a examiné en 2019 les dossiers médicaux de près de 2 500 patients dans 29 hôpitaux américains différents.

Tous les patients ont été transportés en unité de soins intensifs (USI), sont décédés pendant leur hospitalisation, ou les deux.

Permettez-moi de vous donner un autre exemple. Les fabricants d’Ozempic sont poursuivis en justice par des dizaines de personnes, dont une femme « qui souffrira de diarrhée pour le reste de sa vie« …

Une femme qui souffrira de diarrhée pour le reste de sa vie après avoir pris de l’Ozempic fait partie des dizaines de patients qui poursuivent en justice le fabricant de ce médicament à succès pour la perte de poids, parce qu’il les aurait laissés avec une paralysie de l’estomac, révèle une enquête du DailyMail.com.

Novo Nordisk, le fabricant d’Ozempic et de Wegovy, fait l’objet de poursuites judiciaires de la part de patients américains qui affirment avoir subi des effets secondaires extrêmes dont ils n’auraient pas été avertis.

Une autre femme a littéralement vomi jusqu’à ce que ses dents tombent.

Nous avons des problèmes très réels sur lesquels les responsables de la santé pourraient se concentrer.

Et nous avons des maladies bien réelles qui se sont répandues dans tout le pays ces derniers mois.

Mais au lieu de s’attaquer à nos besoins urgents, de nombreux responsables de la santé voudraient que nous attendions avec impatience une « maladie X » qui pourrait ou non se matérialiser.

Pourquoi ?

Encore une fois, je suis convaincu que nous vivons une époque où les grandes pestes seront très fréquentes.

Mais je pense qu’il serait sage d’attendre qu’elles apparaissent réellement pour leur donner un nom, et le type de spéculation auquel se livrent l’OMS et le FEM n’est pas du tout utile.


Traduction de The End of the American Dream par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/pourquoi-le-fem-et-tous-les-autres-parlent-ils-soudainement-de-la-maladie-x/

Lors d'un événement du Forum économique mondial intitulé "Se préparer à la maladie X", le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, chef de l'OMS, a déclaré que l'émergence d'une nouvelle maladie inconnue était "une question de quand, et non de si".


par Andreas Wailzer

17 janvier 2024

DAVOS, Suisse (LifeSiteNews) - Le secrétaire général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué qu'une nouvelle pandémie de la "maladie X" se produira certainement.

Lors d'un Forum économique mondial (WEF) Tedros Adhanom Ghebreyesus, chef de l'OMS, a déclaré que l'émergence d'une nouvelle maladie inconnue était "une question de temps et non de probabilité".

"La maladie X est un substitut pour les maladies inconnues", a expliqué M. Ghebreyesus. "Je tenais à le préciser, car cela a déjà suscité beaucoup d'attention

"Bien que le COVID soit arrivé immédiatement, nous nous préparions à des maladies similaires au COVID. On peut même dire que le COVID a été la première "maladie X".

"Et cela pourrait se reproduire".

"Bien sûr, certains disent que cela va créer une panique", a-t-il poursuivi. "Il est préférable d'anticiper quelque chose qui pourrait se produire, car cela s'est produit à de nombreuses reprises dans notre histoire, et de s'y préparer.

"Nous ne devrions pas affronter les choses sans préparation ; nous pouvons aussi nous préparer à certaines choses inconnues", a déclaré M. Ghebreyesus.

La description de l'événement sur le site web du WEF indique que la "maladie X" pourrait entraîner "20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus".

Selon un reportage de Sky News datant d'août 2023, des scientifiques britanniques développent déjà, dans un laboratoire gouvernemental secret, des vaccins contre une éventuelle pandémie causée par une "maladie X" inconnue. Si la mystérieuse "maladie X" se déclare, il est prévu de mettre au point un vaccin dans les 100 jours, selon le directeur de l'Agence britannique de sécurité sanitaire.

LE DIRECTEUR DE L'OMS UTILISE LA "MALADIE X" POUR PROMOUVOIR UN TRAITÉ TOTALITAIRE SUR LES PANDÉMIES

Comme certains critiques l'ont déjà fait anticipéGhebreyesus a utilisé la peur générée par l'hypothétique "maladie X" pour promouvoir le "traité sur les pandémies" de l'OMS qui menace de dépouiller les nations de leur souveraineté et, en cas de pandémie, d'accorder des pouvoirs sans précédent à l'OMS.

Lors de la table ronde du WEF, le directeur de l'OMS a déclaré que la clé pour être "mieux préparé à la maladie X est l'accord sur la pandémie".

"L'accord sur la pandémie peut rassembler toute l'expérience, tous les défis que nous avons relevés et toutes les solutions", a-t-il poursuivi. "Cet accord peut nous aider à mieux nous préparer pour l'avenir, car il s'agit d'un ennemi commun et, sans une réponse partagée à partir de la préparation, nous serons confrontés au même problème que le COVID.

"La date limite pour l'accord sur la pandémie est mai 2024, et les États membres négocient. Il s'agit de négociations entre pays, et j'espère qu'elles aboutiront à un accord sur la pandémie d'ici là."

"Si cette génération ne peut pas le faire... Nous sommes la communauté vécue, nous avons l'expérience de première main". a déclaré M. Ghebreyesus.

"Je ne pense pas que la prochaine génération y parviendra, alors pour le bien de nos enfants et de nos petits-enfants, je pense que nous devons convertir toutes les leçons que nous avons apprises dans cet [accord] sur la pandémie et préparer le monde pour l'avenir parce qu'il s'agit d'un intérêt mondial commun, et que des intérêts nationaux très étroits ne devraient pas entrer en ligne de compte".

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/fr/news/breaking-whos-le-docteur-tedros-affirme-que-larrivee-dune-nouvelle-pandemie-mondiale-nest-quune-question-de-temps/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa

British Chancellor - Jeremy Hunt at the WEF Forum

Yes there will be another Pandemic

Yes there will be new Vaccines

Yes you will be forced to take them or lose your freedoms

This is so seriously beyond sinister it’s not even funny. pic.twitter.com/gobW2Z5akB

— Concerned Citizen (@BGatesIsaPyscho) January 19, 2024

Ne vous laissez pas abuser par les maladies "X", "Y" ou "Z". Il ne s'agit pas de vraies maladies. Elles sont militarisées pour faire accepter le transfert de fonds et d'autorité à une organisation non gouvernementale mondialiste non élue, l'OMS.


par Robert Malone M.D.

23 janvier 2024

(Robert Malone) - Je travaille dans le secteur de la santé publique depuis plus de 30 ans. J'ai notamment été boursière à Harvard et j'ai suivi de nombreux autres cours de bioéthique. Pendant tout ce temps, j'ai reçu un message clair : pour le bien-être émotionnel et physique du public, le gouvernement et la santé publique ne doivent pas inciter à la peur sans raison, et il est contraire à l'éthique et immoral de le faire, comme de crier "au feu" ou "tireur actif" dans une salle de cinéma bondée. La confiance du public exige que les responsables de la santé publique et le gouvernement fassent preuve de transparence et disent la vérité.

Le CDC codifie ce principe de base dans son rapport sur la santé publique. déclaration de communication des risques:

Être le premier, avoir raison, être crédible. Tel est le mantra de la communication de crise. En cas de crise, les communicateurs dans le domaine de la santé doivent toujours être prêts à fournir des informations pour aider les gens à prendre les meilleures décisions possibles pour leur santé et leur bien-être. [souligné par l'auteur].

En 2018, l'Organisation mondiale de la santé a lancé l'idée de "Maladie XIl s'agit d'une maladie qui pourrait être à l'origine d'une épidémie majeure ou d'une pandémie à l'avenir. L'idée de départ était que la planification d'une "maladie X" (imaginaire) permettrait aux scientifiques, aux responsables de la santé publique et aux médecins de concevoir les meilleures pratiques possibles en cas d'épidémie ou de pandémie future. Ils ont ensuite officiellement ajouté la "maladie X" (une maladie imaginaire) à la liste des agents pathogènes prioritaires.

L'idée de la maladie X a ensuite été militarisée pour créer un brouillard de peur dans le public et les gouvernements. La militarisation a commencé avec les communications COVID-19. Dans une étude de 2021Dans le cadre de l'étude COVID-19, les auteurs ont constaté que "la peur était le seul facteur prédictif de changement de comportement au cours de l'étude COVID-19". Bien qu'ils aient constaté que cette peur était liée à une diminution du bien-être émotionnel et physique, les auteurs ont conclu que l'utilisation de la peur pour amener le public à se conformer était la seule voie à suivre pour la santé publique. Les auteurs écrivent :

Cependant, la peur du COVID-19 était liée à une diminution du bien-être physique et environnemental. Dans l'ensemble, ces résultats suggèrent que la "peur" et l'anxiété ont actuellement un rôle fonctionnel et qu'elles sont liées à un respect accru des règles visant à améliorer le bien-être de la population.

LES TORPILLES À TOUTE VAPEUR"

Sans s'interroger davantage sur l'éthique fondamentale qui sous-tend l'utilisation de la peur pour obtenir la conformité, cette logique est alors devenue le consensus des responsables de la santé publique et des gouvernements du monde entier. En effet, l'utilisation de la peur pour faire respecter les vaccins et les obligations vaccinales, les passeports vaccinaux, le masquage, le confinement, la distanciation sociale, la fermeture des écoles, etc. était acceptable au nom de la santé publique. La diminution du bien-être émotionnel et physique du grand public par la promotion des tactiques de peur était un effet secondaire acceptable.

SORTIE DU COVID-19... À GAUCHE. ENTRÉE "MALADIE X"... SCÈNE DROITE

Et c'est ainsi que la "maladie X" a été substituée au COVID-19.

Sans aucun scrupule, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est passée du lancement d'un processus scientifique mondial utilisant la maladie X comme modèle, à l'utilisation de la "maladie X" comme moteur de propagande pour susciter la peur d'une maladie infectieuse imaginaire. Elle a ensuite utilisé cette peur pour obtenir l'adhésion du public et des gouvernements à un nouveau traité sur les pandémies et pour obtenir plus d'argent pour l'OMS. Tel est le cas. la peur militarisée (fearporn) s'est également révélée plus efficace pour obtenir l'adhésion du public aux mesures de santé publique, telles que le masquage, la distanciation sociale, les vaccins et le confinement.

Le changement progressif a été subtil. En avril 2023, l'OMS écrivait :

La maladie X représente le fait de savoir qu'une grave épidémie internationale pourrait être causée par un agent pathogène dont on ignore actuellement s'il est à l'origine d'une maladie humaine. Le plan directeur en matière de R&D vise explicitement à permettre une préparation précoce et transversale en matière de R&D qui soit également pertinente pour une "maladie X" inconnue.

En 2024, l'OMS a lancé un avertissement général (sans aucune donnée) selon lequel la maladie imaginaire X pourrait entraîner 20 fois plus de décès que le COVID-19.

Bien sûr, certains disent que cela pourrait créer une panique. Il est préférable d'anticiper ce qui peut arriver, car cela s'est produit à de nombreuses reprises dans notre histoire, et de s'y préparer.

En définitive, le directeur général Tedros admet aujourd'hui ouvertement que l'OMS utilise la peur pour inciter les gouvernements à ouvrir leur porte-monnaie et à respecter le nouveau traité sur les pandémies.

Et l'alarmisme de l'OMS fonctionne : la Chambre des représentants a récemment présenté un nouveau projet de loi. H.R.3832 - Maladie X Loi de 2023.

Le projet de loi se lit comme suit :

Ce projet de loi élargit les priorités de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) pour inclure spécifiquement les menaces virales susceptibles de provoquer une pandémie.

En particulier, le projet de loi élargit la portée des subventions et des contrats d'innovation qui peuvent être accordés par la BARDA pour inclure spécifiquement ceux qui soutiennent la recherche et le développement de certaines technologies de fabrication pour les contre-mesures médicales contre les virus, y compris les virus respiratoires, ayant un potentiel pandémique. Il élargit également les initiatives stratégiques autorisées de la BARDA pour inclure la recherche avancée, le développement et l'acquisition de contre-mesures et de produits pour lutter contre les virus à potentiel pandémique.

Afin de comprendre l'importance de ce projet de loi, il est important de comprendre ce qui suit ce qu'est BARDA:

(BARDA)" est un service du ministère américain de la santé et des services sociaux (HHS) chargé de l'acquisition et du développement de contre-mesures médicales, principalement contre le bioterrorisme, y compris les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN), ainsi que contre la grippe pandémique et les maladies émergentes.

Ce projet de loi est un moyen détourné et sournois d'élargir considérablement l'espace de mission de la BARDA pour y inclure recherche dans les virus. Dans le passé, le champ d'action de BARDA a été limité afin de ne pas concurrencer les NIH. L'expansion d'une nouvelle agence dont le champ d'action est très peu limité n'est pas dans l'intérêt du public.

Voici donc une demande simple. Contactez votre représentant à la Chambre des représentants et faites-lui savoir ce que vous pensez de H.R.3832 - Disease X.

En attendant, ne vous laissez pas abuser par les maladies "X", "Y" ou "Z". Ce ne sont pas de vraies maladies. Elles sont inventées. Elles sont utilisées comme des armes pour obtenir le respect des règles, susciter la peur et faire accepter le transfert de fonds et d'autorité à une organisation non gouvernementale mondialiste non élue, l'OMS.

Oui, nous avons un problème avec la recherche en cours sur le gain de fonction et les La Chine poursuit ses dangereuses expériences de gain de fonction.. De l'avis général, ces expériences sont menées dans des laboratoires mal contrôlés. Mais ces expériences ne se limitent pas à la Chine ; elles se déroulent également aux États-Unis. En 2023, des scientifiques de l'école de médecine de l'université de Boston a créé un produit hautement létal, le Ils ont ensuite testé cette variante du SARS-CoV sur des souris.

En outre, la convention sur les armes biologiques n'interdit pas les armes biologiques, car une lacune négligée permet le développement, la fabrication et le stockage de ces armes à des fins prophylactiques, protectrices ou autres fins pacifiques. La convention doit être renégociée. La convention sur les armes biologiques n'aborde pas non plus de manière adéquate la recherche sur le gain de fonction, qui doit être interdite dans le monde entier.

Il s'agit de problèmes concrets et permanents que l'Organisation mondiale de la santé n'aborde pas. Si le but de l'OMS est de mettre un terme à la menace future des maladies infectieuses, pourquoi ne travaille-t-elle pas sur ces questions ?

Le recul de l'OMS et de la santé publique...

Reproduit avec l'autorisation de Robert Malone.

====================================================================


SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/fr/opinion/dr-malone-disease-x-est-fabrique-par-loms-pour-susciter-la-peur-et-la-conformite-du-public/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa

par Pierre-Alain Depauw

24 janvier 2024

Ne vous laissez pas berner par la maladie « X », « Y » ou « Z ». Ce ne sont pas de vraies maladies. Elles sont utilisées comme une arme pour faire accepter le transfert du financement et de l’autorité à une organisation non gouvernementale mondialiste non élue – l’OMS.

Tribune du Dr Robert Malone

Je travaille dans le secteur de la santé publique depuis plus de 30 ans. Cela comprend une bourse à Harvard et de nombreux autres cours sur la bioéthique. Depuis tout ce temps, un message clair est émis : pour le bien-être émotionnel et physique du public, le gouvernement et la santé publique ne doivent pas inciter à la peur sans raison, et cela est contraire à l’éthique et à la morale, comme crier « au feu » dans une salle de cinéma bondée. Cette confiance du public exige de la transparence et de la vérité de la part des responsables de la santé publique et du gouvernement.

Le CDC codifie ce principe de base dans sa déclaration de communication sur les risques pour la santé publique :

Soyez le premier, ayez raison, soyez crédible. C’est le mantra de la communication de crise. Les communicateurs en santé, chaque fois qu’une crise survient, sont toujours prêts à fournir des informations pour aider les gens à prendre les meilleures décisions possibles pour leur santé et leur bien-être.

En 2018, l’Organisation mondiale de la santé a eu l’idée de la « maladie X », qui désigne une maladie qui pourrait être la cause potentielle d’une future épidémie majeure ou d’une pandémie. L’idée originale était que la planification d’une « maladie X » (imaginaire) permettrait aux scientifiques, aux responsables de la santé publique et aux médecins de concevoir les meilleures pratiques possibles pour une future épidémie ou pandémie. Ils ont ensuite officiellement ajouté la « maladie X » (une maladie imaginaire, répétons-le) à la liste des agents pathogènes prioritaires.

L’idée derrière la maladie X a ensuite été utilisée comme arme pour créer un brouillard de peur parmi le public ainsi que parmi les gouvernements. La militarisation a commencé avec les communications sur le COVID-19. Dans une étude de 2021, il a été constaté que « le seul indicateur de changement de comportement pendant la COVID-19 était la peur ». Bien qu’ils aient découvert qu’une telle peur était liée à une diminution du bien-être émotionnel et physique, les auteurs ont conclu que le recours à la peur pour inciter le public à se conformer aux directives gouvernementales était la seule voie à suivre pour la santé publique. Les auteurs écrivent :

Dans l’ensemble, ces résultats suggèrent que la « peur » et l’anxiété ont actuellement un rôle fonctionnel et sont liées à une conformité accrue à l’amélioration du bien-être public.

Vous faire peur pour obtenir votre consentement

Sans remettre en question davantage l’éthique fondamentale qui sous-tend le recours à la peur pour inciter à l’observance de directives, cette logique est ensuite devenue le consensus des responsables de la santé publique et des gouvernements du monde entier. Cela étant, le recours à la peur pour faire respecter les obligations de vaccination, les passeports vaccinaux, le masquage, les confinements, la distanciation sociale, la fermeture des écoles, etc., était acceptable au nom de la santé publique. La diminution du bien-être émotionnel et physique du grand public due à la promotion de tactiques de peur était un effet secondaire jugé acceptable.

Exit COVID-19… Entrez « Maladie X »…

Sans aucun scrupule, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est passée du lancement d’un processus scientifique mondial utilisant la maladie X comme modèle à l’utilisation de la « maladie X » comme moteur de propagande pour susciter la peur d’une maladie infectieuse imaginaire. Ensuite, elle a utilisé cette peur pour obtenir l’adhésion du public et des gouvernements à un nouveau traité sur la pandémie et plus d’argent pour l’OMS. Il a également été constaté qu’une telle peur militarisée (pornographie de peur) incite davantage le public à se conformer aux mesures de santé publique, telles que le port du masque, la distanciation sociale, les vaccins et le confinement.

Le changement progressif était subtil. En avril 2023, l’OMS écrivait :

La maladie X représente la connaissance qu’une grave épidémie internationale pourrait être provoquée par un agent pathogène actuellement inconnu pouvant causer une maladie humaine.

En 2024, l’OMS a lancé un avertissement général (sans aucune donnée) selon lequel la maladie imaginaire X pourrait entraîner 20 fois plus de décès que le COVID-19.

Bien sûr, certains disent que cela pourrait créer la panique. Il est préférable d’anticiper quelque chose qui pourrait arriver, car cela s’est produit à plusieurs reprises dans notre histoire, et de s’y préparer.

En fin de compte, le directeur général Tedros admet désormais ouvertement que l’OMS utilise la peur pour pousser les gouvernements à ouvrir leur portefeuille et à se conformer au nouveau traité sur la pandémie.

Et la campagne de peur de l’OMS porte ses fruits : les Etats-Unis ont récemment présenté un nouveau projet de loi HR3832 – Disease X Act of 2023.

Le projet de loi se lit comme suit :

Ce projet de loi étend les priorités de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) pour inclure spécifiquement les menaces virales susceptibles de provoquer une pandémie.

En particulier, le projet de loi élargit la portée des subventions et des contrats d’innovation pouvant être accordés par la BARDA pour inclure spécifiquement ceux qui soutiennent la recherche et le développement de certaines technologies de fabrication pour des contre-mesures médicales contre les virus, y compris les virus respiratoires, à potentiel pandémique. Il étend également les initiatives stratégiques autorisées de BARDA pour inclure la recherche avancée, le développement et l’achat de contre-mesures et de produits pour lutter contre les virus à potentiel pandémique.

Afin de comprendre l’importance de ce projet de loi, il est important de comprendre ce qu’est la BARDA :

BARDA est un bureau du ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) responsable de l’acquisition et du développement de contre-mesures médicales, principalement contre le bioterrorisme, y compris les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN), ainsi que contre la grippe pandémique et maladies émergentes.

Ce projet de loi est une porte dérobée visant à élargir considérablement l’espace de mission de la BARDA pour inclure la recherche sur les virus. Dans le passé, la portée du BARDA était limitée, afin de ne pas concurrencer le NIH. L’expansion d’une autre agence dont la portée est très limitée n’est pas dans l’intérêt public.

Maladie imaginaire

En attendant, ne vous laissez pas berner par la maladie « X », « Y » ou « Z ». Ce ne sont pas de vraies maladies. Elles sont utilisées comme une arme pour obtenir l’obéissance, susciter la peur et faire accepter le transfert du financement et de l’autorité à une organisation non gouvernementale mondialiste non élue – l’OMS.

Oui, nous avons un problème avec les recherches en cours sur les gains de fonction et la Chine poursuit ses dangereuses expériences sur les gains de fonction. De toute évidence, ces activités sont menées dans des environnements de laboratoire mal contrôlés. Mais de telles expériences ne se limitent pas à la Chine ; cela se produit également aux États-Unis. En 2023, les scientifiques de la faculté de médecine de l’université de Boston ont créé une variante hautement mortelle du SRAS-CoV, qu’ils ont ensuite testée sur des souris.

En outre, la Convention sur les armes biologiques n’interdit pas les armes biologiques, car une lacune négligée permet leur développement, leur fabrication et leur stockage à des fins prophylactiques, protectrices ou à d’autres fins pacifiques. La convention doit être renégociée. La Convention sur les armes biologiques ne traite pas non plus de manière adéquate la recherche sur les gains de fonction, qui doit être interdite dans le monde entier.

Il s’agit de problèmes concrets et actuels auxquels l’Organisation mondiale de la santé ne s’attaque pas. Si l’objectif de l’OMS est d’arrêter la menace future de maladies infectieuses, pourquoi ne travaille-t-elle pas sur ces questions ?

SOURCE :

https://www.medias-presse.info/dr-malone-la-maladie-x-est-fabriquee-par-loms-pour-susciter-la-peur/185252/