ATTENTION- DANGER: Nous préparerait-on une nouvelle Pandémie ?

15/08/2024

Sur ICTV, nous exhortons nos lecteurs et auditeurs, depuis quelques années, à se doter des moyens disponibles pouvant faciliter leur autonomie fonctionnelle de base (se nourrir, se chauffer et se soigner).

Cet avertissement provenant du gouvernement doit donc être pris très au sérieux.

"Le gouvernement canadien a émis un avis avertissant les citoyens de se préparer à un nouveau virus hypothétique ????qui pourrait entraîner des perturbations dans l’approvisionnement en nourriture et en carburant.

Le Centre de santé et de sécurité au travail a publié une deuxième édition de son manuel sur le plan de continuité des activités en cas d’épidémie de grippe et de maladies infectieuses.

Le guide fournit des informations aux employeurs sur ce à quoi ils doivent se préparer face à une autre pandémie."

https://www.dailymail.co.uk/news/article-13743409/canada-warn-prepare-new-virus-worse-covid.html

SOURCE :

https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2024/

29/08/2024

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) lance une stratégie mondiale pour enrayer la transmission de la variole du singe, anciennement appelée monkeypox. Le plan, annoncé le 26 août, comprendra une campagne de « vaccination stratégique ».

L’agence sanitaire de l’ONU, qui a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale il y a deux semaines, a indiqué que le plan durerait six mois – de septembre 2024 à février 2025 – et qu’il bénéficierait d’un financement de 135 millions de dollars.

Les efforts de « vaccination stratégique » cibleront les personnes les plus à risque, telles que « les contacts étroits avec les cas récents et les travailleurs de la santé, afin d’interrompre les chaînes de transmission », a indiqué l’agence.

Le plan de l’OMS se concentrera sur « la mise en œuvre de stratégies globales de surveillance, de prévention, de préparation et de réaction ; l’avancement de la recherche et l’accès équitable aux contre-mesures médicales telles que les tests de diagnostic et les vaccins ; la réduction au minimum de la transmission de l’animal à l’homme ; et l’habilitation des communautés à participer activement à la prévention et à la lutte contre les épidémies », selon un communiqué de presse.

Les autorités affirment qu’une sous-variante du virus a suscité des inquiétudes au niveau mondial parce qu’elle semble se propager plus facilement par le biais de contacts étroits habituels.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré dans le communiqué du 26 août que la flambée de variole du singe, qui a pris naissance en République démocratique du Congo, « peut être contrôlée et peut être stoppée ».

« Cela nécessite un plan d’action global et coordonné entre les agences internationales, les partenaires nationaux et locaux, la société civile, les chercheurs et les fabricants, ainsi que nos États membres », a-t-il déclaré.

De nouveaux cas confirmés en dehors de l’Afrique

Le 26 août, le ministère de la santé des Philippines a confirmé deux nouvelles infections par le variole du singe, de la variété moins virulente Clade II, ce qui porte à trois le nombre de cas actifs.

« Nous continuons à observer une transmission locale de la variole du singe de clade II ici aux Philippines, en particulier dans la région métropolitaine de Manille », a déclaré le secrétaire à la santé, Teodoro Herbosa, dans un communiqué.

Il a ajouté que les nouveaux cas confirmés étaient ceux d’un homme de 37 ans de Metro Manila qui avait une éruption cutanée sur le corps et qui a été amené dans un hôpital public, et d’un homme de 32 ans de la capitale qui avait des lésions sur la peau.

La semaine dernière, les Philippines ont annoncé avoir détecté un cas de variole du singe, une variante plus bénigne du virus, chez un homme de 33 ans qui n’avait pas voyagé en dehors des Philippines.

Les Philippines ont enregistré 12 cas confirmés en laboratoire depuis juillet 2022. Au début du mois, l’Organisation mondiale de la santé a déclaré la variole du singe urgence de santé publique mondiale, sa forme d’alerte la plus élevée, pour la deuxième fois en deux ans, en raison d’une flambée en République démocratique du Congo qui s’est propagée aux pays voisins.

Depuis janvier 2023, la République démocratique du Congo a signalé plus de 27 000 cas suspects de variole du singe et plus de 1 300 décès.

La maladie se traduit par des symptômes grippaux et des lésions remplies de pus. Elle est généralement bénigne mais peut être mortelle. Les enfants, les femmes enceintes et les personnes dont le système immunitaire est affaibli, comme les séropositifs, courent un risque accru de complications.

D’autres pays en dehors du continent africain ont confirmé des cas de variole du singe ces derniers jours, notamment la Suède et la Thaïlande.

« Dans l’après-midi, nous avons également eu la confirmation d’un cas en Suède de la variole du singe la plus grave, appelée Clade I », a déclaré le ministre suédois des affaires sociales et de la santé publique, Jakob Forssmed, lors d’une conférence de presse à ce moment-là.

Pas de confinements

Au début du mois d’août, un responsable de l’OMS avait souligné que la variole du singe n’entraînerait pas de confinements ou de fermetures, ni ne restreindrait d’autres activités.

« Allons-nous nous confiner dans la région européenne de l’OMS, car il s’agit d’un autre COVID-19 ? La réponse est clairement : « non » », a déclaré Hans Kluge, directeur régional de l’OMS pour l’Europe, quelques jours après la publication de la déclaration de l’OMS.

« Il y a deux ans, nous avons maîtrisé la variole du singe en Europe grâce à l’engagement direct avec les communautés d’hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes les plus touchées. »

Dans une mise à jour effectuée à peu près au même moment, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont déclaré que la variole du singe présentait actuellement un faible risque pour les États-Unis et qu’aucun cas de clade I n’avait été découvert dans le pays.

Reuters a contribué à ce rapport.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/loms-lance-une-strategie-mondiale-contre-la-variole-du-singe-comprenant-des-vaccinations-strategiques/

par Pierre-Alain Depauw

28 août 2024

Cet été, assez discrètement, l’OMS et le Medicines Patent Pool (MPP) ont annoncé le lancement d’une nouvelle initiative destinée à accélérer la mise au point d’un vaccin à ARNm contre la grippe aviaire humaine (H5N1).

Le fabricant argentin Sinergium Biotech dirigera cette opération en s’appuyant sur le Programme de transfert de technologie ARNm de l’OMS et du Medicines Patent Pool (MPP).

Un projet qui date de juillet 2021

Élaboré conjointement par l’OMS et le MPP, le Programme de transfert de technologie ARNm avait déjà été mis sur pied en juillet 2021 avec pour objectif officiel de “renforcer les capacités des pays à revenu faible et intermédiaire en matière de développement et de production de vaccins à base d’ARNm”.

La “prochaine” plandémie

Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, a déclaré :

« Cette initiative illustre la raison d’être du Programme de transfert de technologies ARNm mis en place par l’OMS : favoriser la recherche, le développement et la production dans les pays à revenu faible et intermédiaire, pour que, lorsque la prochaine pandémie surviendra, l’ensemble du monde soit mieux préparé à riposter de manière efficace et équitable. »

« Les virus de la grippe aviaire représentent un risque important pour la santé publique du fait de leur circulation généralisée chez les animaux et parce qu’ils sont de nature à provoquer une pandémie.»

Alejandro Gil, PDG de Sinergium, abonde évidemment dans le même sens :

« La volonté et la capacité renforcée de Sinergium d’appliquer ses compétences spécialisées au H5N1 joueront un rôle essentiel dans cet effort de préparation aux pandémies au niveau mondial. »

Transfert de technologie à d’autres fabricants

La plateforme a été créée et est en cours de validation au centre Afrigen, et cette technologie est actuellement transférée à des fabricants partenaires qui vont l’adapter et l’améliorer pour cibler « d’autres maladies de première importance ».

Les “vaccins” ARNm au cœur de l’action de l’OMS

« Les progrès réalisés dans le cadre du Programme de transfert de technologie ARNm sont au cœur de l’action menée par l’OMS et le MPP pour faire en sorte que les vaccins à ARNm soient plus largement disponibles, plus accessibles et davantage utilisés, aux fins d’une plus grande équité vaccinale à l’échelle mondiale », revendique fièrement l’OMS. Les très nombreuses victimes de graves effets secondaires des “vaccins” ARNm contre le Covid apprécieront, de même que les familles des victimes décédées.

Pierre-Alain Depauw

SOURCE :

https://www.medias-presse.info/loms-veut-un-nouveau-vaccin-arn-contre-la-grippe-aviaire-humaine/194787/