ATTENTION- DANGER: Nous préparerait-on une nouvelle Pandémie ?

3 mai 2024 :

Témoignage du Pr. Masayasu Inoue, professeur émérite de la faculté de médecine de l'université d'Osaka, spécialisé en pathologie moléculaire, concernant l'implication du Japon dans la production d'injections "auto-répliquantes" pour la "prochaine pandémie planifiée au dernier forum de Davos"...

 

L'Administrateur

On connaît la date de la prochaine fausse pandémie programmée. Bien sûr juste avant les élections US de novembre.

Le « sommet international sur la grippe aviaire » se tiendra à Washington DC du 2 au 4 octobre et, selon la brochure officielle de l’événement, les participants… pic.twitter.com/RoEaQn8j1P

— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) July 11, 2024

08/08/2024

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré que l’organe sanitaire des Nations unies envisageait de déclarer une situation d’urgence pour la variole du singe, également connue sous le nom de variole du singe, dans le cadre d’une épidémie en Afrique.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a écrit sur la plateforme de médias sociaux X dimanche : « Mais il faut davantage de financement et de soutien pour une réponse globale ».

« J’envisage de convoquer un comité d’urgence du Règlement sanitaire international pour me conseiller sur la question de savoir si l’épidémie de variole du singe doit être déclarée urgence de santé publique de portée internationale. »

Mardi, on ne savait pas encore quand l’OMS déclarerait l’urgence ou émettrait des avertissements concernant le virus.

Une déclaration de Tedros publiée dans la revue Science ajoute que « ce virus peut et doit être contenu grâce à des mesures de santé publique intensifiées, notamment la surveillance, l’engagement communautaire, le traitement et le déploiement ciblé de vaccins pour les personnes les plus exposées au risque d’infection ».

« Il est urgent d’intensifier la riposte au mpox en cours dans les pays touchés, compte tenu de l’expansion de l’épidémie », a-t-il déclaré, appelant à « augmenter le financement d’une riposte globale » qui tienne compte des diagnostics, des thérapies et des vaccins.

Une urgence de santé publique de portée internationale est la désignation la plus forte pour une épidémie. Une telle déclaration a notamment été faite pour le COVID-19 au début de la pandémie en 2020.

Plus tard, l’OMS l’a fait pour une épidémie de variole qui a duré de 2022 à 2023, tandis que l’administration du président Joe Biden déclarait une situation d’urgence concernant le virus. Au cours de cette épidémie, qui a touché l’Europe et les États-Unis, les autorités ont indiqué que le virus s’était principalement propagé par contact sexuel entre hommes.

La dernière annonce en date a été faite alors que les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déclaré dans un rapport publié la semaine dernière que la variole avait été détectée dans dix pays africains cette année, dont le Congo, qui compte plus de 96 % de l’ensemble des cas et des décès.

Selon les autorités, près de 70 % des cas au Congo touchent des enfants de moins de 15 ans, qui représentent également 85 % des décès.

On estime à 14 250 le nombre de cas depuis le début de l’année, soit presque autant que l’année dernière, selon les CDC d’Afrique. Par rapport aux sept premiers mois de l’année 2023, les CDC d’Afrique indiquent que le nombre de cas a augmenté de 160 % et que le nombre de décès a augmenté de 19 %, pour atteindre 456.

Le Burundi et le Rwanda ont tous deux signalé le virus pour la première fois cette semaine, tandis que de nouveaux foyers ont été récemment signalés en République centrafricaine et au Kenya.

« Nous sommes très préoccupés par les cas de variole du singe qui ravagent (la région de la capitale) », a déclaré lundi le ministre de la santé publique de la République centrafricaine, Pierre Somse.

Deux cas ont été confirmés en Ouganda, selon un avis publié le 4 août par la Société internationale des maladies infectieuses, citant le ministère de la santé du pays.

« Les deux personnes ont présenté des symptômes tels qu’une éruption cutanée, un gonflement des ganglions lymphatiques et un malaise général, qui correspondent à la variole », a déclaré le ministère ougandais de la santé.

De son côté, le ministère kenyan de la santé a récemment déclaré avoir trouvé la variole chez un passager voyageant de l’Ouganda vers le Rwanda à un poste-frontière du sud du Kenya. Dans un communiqué, le ministère a déclaré qu’un seul cas de variole était suffisant pour justifier une déclaration d’épidémie.

Au cours du week-end, les autorités sanitaires d’Afrique du Sud ont annoncé que le pays comptait désormais 22 cas de variole, dont trois décès.

« La recherche des contacts et les activités de surveillance se poursuivent dans les communautés touchées des deux provinces, et le ministère demande instamment à tous les contacts identifiés de coopérer avec les autorités sanitaires lors de la recherche des contacts en vue d’un dépistage et d’un éventuel diagnostic afin d’empêcher toute nouvelle transmission de cette maladie évitable et traitable », a déclaré le ministère sud-africain de la santé dans un communiqué publié le 4 août.

Selon le site web des CDC américains, les signes et symptômes de la variole comprennent une éruption cutanée qui peut se situer sur les pieds, les mains, le visage, la poitrine et la bouche, ou près des organes génitaux. L’éruption peut former des croûtes et ressembler initialement à des cloques ou à des boutons, qui peuvent provoquer des démangeaisons ou des douleurs.

Les autres symptômes comprennent la fièvre, le gonflement des ganglions lymphatiques, les frissons, les courbatures, l’épuisement et les symptômes respiratoires tels que la toux, la congestion nasale ou les maux de gorge, selon l’agence de santé.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/le-directeur-de-loms-envisage-de-declarer-une-urgence-de-sante-publique-en-raison-dune-epidemie-de-variole-du-singe/