Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
Viens, Seigneur Jésus ! :: La Fin des Temps :: L'Encyclique sur l'Environnement : vers la Nouvelle Religion Mondiale ?
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
22 août 2023
Le 21 août, François a déclaré à des juristes du Conseil de l'Europe qu'il rédigeait une deuxième partie de Laudato Si "pour mettre à jour les questions actuelles".
Il a salué les engagements pris pour protéger "la terre, notre maison commune" et la "volonté de travailler à l'élaboration d'un cadre normatif pour la protection de l'environnement".
En mars, François avait appelé à "mettre fin" à "l'ère des combustibles fossiles". Les 3000 employés du Vatican [et autres] ont le droit d'acheter jusqu'à 300 litres de carburant détaxé par mois aux pompes à essence du Vatican, ce qui représente environ 11,48 millions de litres par an.
Le Vatican marquera également le mois de septembre comme une "saison œcuménique de la création" pour promouvoir la tyrannie du changement climatique.
SOURCE :
https://gloria.tv/post/8BcUqtnycyPZBU34CGTMh3b8o
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
François a réitéré son annonce, lors de son audience générale du 30 août, de la publication un autre document sur l'environnement, "un second Laudato Si", le 4 octobre. Pour François, il est nécessaire de se tenir aux côtés des "victimes de l'injustice environnementale et climatique" et il veut s'efforcer de mettre fin à ce qu'il appelle une "guerre insensée contre notre maison commune". Pendant que son Vatican brûle, François joue la guitare de l'alarmisme climatique qui sera bientôt oublié.
SOURCE :
https://gloria.tv/post/gGp6ptKdcX963WFqgsPpStBbK
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
À LA SUITE DE "LAUDATO SI", LES ÉVÊQUES IRLANDAIS VEULENT RENDRE 30% DES TERRES DE L'ÉGLISE À LA NATURE !
par Léo Kersauzie
5 septembre 2023
L’Irlande est l’un des pays européens qui illustre le plus la déchristianisation. Population devenue majoritairement favorable à l’avortement, effondrement des vocations sacerdotales, désaffection de la société à l’égard de l’Église pour la mauvaise gestion des abus sexuels. Une nouvelle étape vient d’être franchie : les évêques irlandais ont décidé de se déguiser en écologistes et de s’aligner sur l’Agenda 2030 des mondialistes.
Les évêques irlandais veulent être pionniers dans l’application de l’encyclique Laudato Si. Ils ont fixé un objectif pour leurs diocèses et paroisses à travers l’île : « Rendre 30 % des terres de l’Église à la nature d’ici 2030 ».
L’origine de cette initiative, selon Mgr Martin Hayes, coordinateur épiscopal du groupe de travail Laudato Si (LSWG) de la Conférence des évêques irlandais, trouve son origine dans une réunion COP15 tenue en décembre 2022 à Montréal (une conférence de la Convention sur la biodiversité) dans laquelle les participants ont convenu de « restituer 30 % des terres et des mers à la nature d’ici 2030 ». Lors de l’événement, plus de 190 pays sont parvenus à un accord après quatre ans de négociations. Tout cela fait partie de l’Agenda maçonnique et mondialiste 2030.
“Cela semblait être un grand pas en avant au niveau international et nous nous demandions ce que cela donnerait si l’Église faisait de même”, explique Jane Mellett, responsable de Laudato Si au sein de l’organisation catholique irlandaise Tròcaire et membre du groupe de travail Laudato Si, composé de 12 membres et né de l’encyclique de 2015.
Après avoir lancé le projet en mars dernier, les évêques irlandais ont publié en juillet les ressources nécessaires à la mise en œuvre de la proposition.
« Lorsque nous parlons du terrain de l’église, nous entendons la zone verte qui entoure chaque église paroissiale, qui est généralement un espace public », a expliqué Hayes. Cela pourrait impliquer un vaste territoire, puisqu’en 2022, une enquête réalisée par l’Association des prêtres catholiques (ACP) dénombrait 1.355 paroisses et plus de 2.650 églises ou centres de masse dans les 26 diocèses du pays.
Comme première tâche concrète, les paroisses sont invitées à former un groupe « pour évaluer leur territoire paroissial et cartographier en vue de restituer 30 % à la nature d’ici 2030 ». Hayes leur a conseillé « de faire appel à des experts en jardinerie et à des horticulteurs locaux ».
Sans prêtres, sans foi
En fait, il est probable que la plupart des paroisses catholiques irlandaises restitueront non seulement 30 %, mais la totalité de leurs terres, à la nature. Il n’y a pratiquement plus de vocations sacerdotales dans le pays. Dans le diocèse d’Achonry, par exemple, on n’a pas ordonné de prêtre depuis 2013. En janvier 2022, il a été annoncé qu’un prêtre irlandais sur cinq était décédé au cours des trois années précédentes.
L’Irlande a été pendant des siècles un pays catholique mais la foi a cessé de faire partie de la vie de la majorité de ses habitants, comme l’a démontré l’approbation de la légalisation de l’avortement lors d’un référendum organisé en 2018.
Léo Kersauzie
SOURCE :
https://www.medias-presse.info/les-eveques-irlandais-rejoignent-lagenda-2030-et-rendront-a-la-nature-30-des-terres-de-leglise/179793/
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
LE CARDINAL SCHÖNBORN RÉPAND UN FAUX RÉCIT CLIMATIQUE BLÂMANT LES INCENDIES DE FÔRET SUR LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE !
Le cardinal Schönborn répand un faux récit climatique blâmant les incendies de forêt sur le réchauffement climatique.
Contrairement à la déclaration de Schönborn et aux affirmations de nombreux alarmistes du climat, les températures élevées ne provoquent pas à elles seules les incendies de forêt.
25 août 2023
(Le cardinal Christoph Schönborn a promu l’alarmisme du changement climatique, liant les incendies de forêt au réchauffement climatique dans un message sur les médias sociaux.
Aujourd’hui, Schönborn a écrit sur X, anciennement Twitter, « Les paradis de vacances en fleurs se transforment en enfers brûlants. » Le cardinal faisait clairement référence aux récents incendies de forêt en Grèce, en Turquie, à Hawaï et au Canada, entre autres.
« Des centaines de milliers de personnes, touristes et habitants, ont dû fuir les flammes. Beaucoup d’entre eux ont tout perdu, leurs maisons, leurs biens », poursuit le cardinal.
« De nombreuses personnes sont déjà mortes dans les flammes. Parmi eux, 18 réfugiés anonymes à la frontière entre la Grèce et la Turquie. De vastes étendues de terre ont été détruites, la base de la vie des personnes, des animaux et des plantes a été détruite."
« Les pompiers, qui sont en service jour et nuit et combattent les flammes jusqu’à épuisement, accomplissent des exploits surhumains! Ils risquent leur vie pour sauver les gens et la nature. »
Schönborn semble alors lier les incendies au réchauffement climatique et lance un vague appel à l’action, demandant aux gens de changer leur vie.
« Les vagues de chaleur et les feux de forêt sont un signe clair : la terre se réchauffe ! Nous ne pouvons pas continuer comme avant. Cela nous affecte tous », a déclaré le prélat autrichien.
La déclaration de Schönborn a été reprise par le président autrichien, Alexander van der Bellen, ancien chef du Parti vert d’extrême gauche.
Les incendiaires, et non le changement climatique, ont provoqué des incendies de forêt
Contrairement à la déclaration de Schönborn et aux affirmations de nombreux alarmistes du climat, les températures élevées ne provoquent pas à elles seules les incendies de forêt. De nombreux incendiaires ont été arrêtés récemment, par exemple en Grèce et au Canada, et étaient probablement responsables du déclenchement de leurs incendies locaux.
SOURCE :
https://www.lifesitenews.com/news/cardinal-schonborn-spreads-false-climate-narrative-blaming-wildfires-on-global-warming/?utm_source=digest-catholic-2023-08-28&utm_medium=email
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
4 octobre 2023
Sans doute les commentaires au sujet de l’exhortation apostolique Laudate Deum se focaliseront-ils sur les recommandations du pape François pour la sauvegarde de la « Maison Commune » – expression forgée par Gorbatchev au temps de la chute de l’Union soviétique – dans la suite qu’il a voulu donner à l’encyclique « écologique » Laudato si’. Mais quoi que l’on pense de cette ingérence du pape dans un domaine qui ne relève pas de son devoir de conforter ses frères dans la foi, il y a bien plus grave, précisément au sujet de la foi. Et c’est cela qui devrait être l’objet de nous inquiétudes et de nos supplications à Dieu pour mettre fin à une crise qui semble atteindre ces jours-ci dans l’Eglise un point climatérique.
Après de multiples considérations sur la « crise climatique », le pape François ajoute un petit chapitre sur les « motivations spirituelles » de son engagement au côté de la planète, c’est au paragraphe 61 :
« Je ne veux pas manquer de rappeler aux fidèles catholiques les motivations qui naissent de leur foi. J’encourage les frères et sœurs des autres religions à faire de même, car nous savons que la foi authentique donne non seulement des forces au cœur humain, mais qu’elle transforme toute la vie, transfigure les objectifs personnels, éclaire la relation avec les autres et les liens avec toute la création. »
La « foi authentique », pas moins ! Analysons les propos du pape : il attribue spécifiquement aux « frères et sœurs des autres religions » une « foi authentique », une vraie foi donc. Or cela est absurde. La foi ne peut être authentique et vraie que si son objet est vrai. Il ne peut en toute logique y avoir qu’une seule foi « authentique », car il ne s’agit pas d’un vague sentiment de l’homme mais d’une adéquation au réel, à la réalité divine.
Laudate Deum travestit la foi, vertu surnaturelle
Ce propos du pape révèle une ignorance abyssale, voire un travestissement volontaire, de ce qu’est la foi.
Il y a ici une confusion entre le plan naturel et le plan surnaturel. La foi, la foi authentique, la vraie foi, est une vertu théologale, une vertu surnaturelle, infuse, qui nous est donnée, avec l’espérance et la charité, par le baptême. Elle consiste à croire en la Révélation donnée par Dieu et Dieu seul, en toutes ces vérités que l’homme ne peut connaître par la force de sa seule raison.
La foi ne se confond pas avec la religion, vertu naturelle par laquelle l’homme, grâce à la raison, peut et doit même connaître l’existence de Dieu qui le transcende, et à qui il doit adoration et reconnaissance. La religion peut être vraie ou fausse en fonction de son objet, de l’être qu’elle adore.
En parlant de la « foi authentique » des « frères et sœurs des autres religions » – alors que notre fraternité spirituelle découle précisément et seulement de la grâce reçue au baptême, qui nous fait enfants de Dieu et donc frères dans la foi – le pape François dénature et dévalue notre foi catholique.
Que recevons-nous par le baptême ? La grâce d’être lavés du péché originel – et pour les adultes, de tout péché personnel –, la filiation divine par l’incorporation au Corps mystique du Christ et la capacité de devenir cohéritiers du Fils de Dieu, l’infusion des vertus surnaturelles que sont la foi, l’espérance et la charité, et l’inhabitation de la Sainte Trinité en notre âme, qui demeure tant que nous conservons la grâce sanctifiante. « Ne le savez-vous pas ? Votre corps est un sanctuaire de l’Esprit Saint, lui qui est en vous et que vous avez reçu de Dieu », enseigne saint Paul.
Telle est la grandeur, l’immensité du don de la foi, la spécificité de la grâce insondable reçue par le catholique au baptême.
Prétendre que tout croyant en n’importe quoi – adorateur d’Allah, du soleil ou de l’oignon – possède cette foi vive que seul Dieu donne gratuitement en transcendant des limites de notre pauvre nature blessée, revient (Dieu nous pardonne) à nier la foi catholique dans ses racines elles-mêmes.
Le pape François et l’alarmisme du climat au service du mondialisme
Ce constat étant posé, on n’abordera plus Laudate Deum comme un texte de plus où le pape François répète les poncifs de l’alarmisme du climat et se soumet aux préjugés et aux conclusions de ceux qui le prêchent.
Préjugés : il y a une crise climatique ; l’homme en est responsable ; elle est « globale » et systémique.
Conclusions : puisqu’elle est globale et systémique, elle est présente partout, et donc à combattre dans tous les détails de la vie. Ce totalitarisme – car c’en est un – est ce qui justifie toutes les mesures qui sont aujourd’hui préconisées et qui concernent aussi bien le prétendu devoir moral de prendre son vélo plutôt que sa voiture et d’éteindre la lumière en sortant, au niveau individuel, que la taxation mondiale du « carbone » et le respect par toutes les nations des Objectifs du développement durable (ODD), afin de réduire l’empreinte écologique de l’homme sur la Terre-Mère.
Ainsi le pape déclare-t-il au paragraphe 35 de Laudate Deum, adoptant le langage des mondialistes du jour, après avoir dit que pour combattre la « crise climatique », « les accords multilatéraux entre les Etats doivent avoir une place de choix » :
« Le multilatéralisme ne doit pas être confondu avec une autorité mondiale concentrée sur une seule personne ou sur une élite au pouvoir excessif : “Lorsqu’on parle de la possibilité d’une forme d’autorité mondiale régulée par le droit, il ne faut pas nécessairement penser à une autorité personnelle.” Nous parlons surtout “d’organisations mondiales plus efficaces, dotées d’autorité pour assurer le bien commun mondial, l’éradication de la faim et de la misère ainsi qu’une réelle défense des droits humains fondamentaux”. Il s’agit de les doter d’une véritable autorité pour “assurer” la réalisation de certains objectifs auxquels on ne peut renoncer. Il en résultera un multilatéralisme qui ne dépendra pas des circonstances politiques changeantes ou des intérêts de quelques-uns, et qui aura une efficacité stable. »
Il s’agit bien de doter les organisations mondiales, supranationales, « d’autorité », c’est-à-dire de pouvoirs contraignants. C’est un programme politique qui ne consiste pas à enseigner « toutes les nations, les baptisant au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit », mission divine et spirituelle confiée à son Eglise par Notre Seigneur au moment de son Ascension, mais à donner un mot d’ordre horizontal qui vise la soumission des nations à un objectif d’apparence naturelle. N’oublions pas le mot de Chesterton : « Chassez le surnaturel, il ne reste plus que ce qui n’est pas naturel. »
Laudate Deum personnifie la terre
Et tout cela au nom de la terre. Une terre personnifiée, une terre quasi divinisée… Le pape François, adoptant le langage de la religion écologique installée à la faveur du discours sur le climat, par des « gémissements de la terre » (paragraphe 5), ce « cri de la terre » théorisé par le théologien de la libération, Leonardo Boff dans son livre de 1995, Ecologie et pauvreté, le cri de la terre, le cri des pauvres.
Tout l’exhortation Laudate Deum est centrée sur cet horizon purement naturel qui cherche à sauver la planète plutôt qu’à sauver les âmes. Or, « que sert à l’homme de gagner le monde entier, s’il perd son âme », avertit Jésus. Si nous ne sommes pas d’abord centrés sur Jésus-Christ, il ne nous sert à rien de nous préoccuper d’un (supposé) réchauffement climatique. Les hommes mourront quoi qu’il arrive, avec ou sans réchauffement, et ce qui importe est qu’ils parviennent au salut éternel.
Nous le savons aussi : « Cherchez d’abord le royaume de Dieu, et tout le reste vous sera donné par surcroît. » Cette phrase du Christ qui sous-tend toute la « doctrine sociale de l’Eglise » est la clef : il nous faut d’abord respecter la loi divine, il nous faut accueillir le royaume de Dieu par la vie de la grâce, il nous faut le chercher en toutes choses, et l’harmonie de la vie sur cette terre, la paix – y compris la paix sociale – qui est tranquillité de l’ordre nous est alors donnée. Ainsi les Bénédictins en cherchant Dieu ont-ils transformé l’Europe en jardin de chrétienté.
Vers le panthéisme
Laudate Deum va, hélas, encore plus loin, en dévalorisant ce royaume de Dieu qui, comme nous le savons, n’est pas de ce monde. L’exhortation apostolique – tout comme la religion du climat qui instaure en réalité une spiritualité globale à laquelle tous sont censés pouvoir adhérer – utilise un langage propre au panthéisme.
Quelques exemples :
§ 25 : Nous ne pouvons même pas dire que la nature serait un simple « cadre » où nous développerions nos vies et nos projets, car « nous sommes inclus en elle, nous en sommes une partie, et nous sommes enchevêtrés avec elle », de sorte que « le monde ne se contemple pas de l’extérieur mais de l’intérieur ».
§ 64 : Jésus « pouvait inviter les autres à être attentifs à la beauté qu’il y a dans le monde, parce qu’il était lui-même en contact permanent avec la nature et y prêtait une attention pleine d’affection et de stupéfaction ».
Lisez donc le Nouveau Testament, on n’y trouve rien de tel, Jésus y enseigne – comme au chapitre 6 de l’évangile de saint Mathieu et au chapitre 12 de l’évangile de saint Luc – que nous valons bien plus que les biens si merveilleux de la nature, et que notre œil doit être fixé sur ce qui est surnaturel. Notre trésor est dans le ciel, et dans cette grâce sanctifiante qui place la Sainte Trinité elle-même au fond de notre âme.
§ 65 : « Les créatures de ce monde ne se présentent plus à nous comme une réalité purement naturelle, parce que le Ressuscité les enveloppe mystérieusement et les oriente vers un destin de plénitude. Même les fleurs des champs et les oiseaux qu’émerveillé il a contemplés de ses yeux humains, sont maintenant remplis de sa présence lumineuse. » Si « l’univers se déploie en Dieu, qui le remplit tout entier, il y a donc une mystique dans une feuille, dans un chemin, dans la rosée, dans le visage du pauvre ».
§ 67 : La vision judéo-chrétienne du cosmos défend la valeur particulière et centrale de l’être humain au milieu du concert merveilleux de tous les êtres, mais aujourd’hui nous sommes obligés de reconnaître que seul un « anthropocentrisme situé » est possible. Autrement dit, reconnaître que la vie humaine est incompréhensible et insoutenable sans les autres créatures parce que « nous et tous les êtres de l’univers, sommes unis par des liens invisibles, et formons une sorte de famille universelle, une communion sublime qui nous pousse à un respect sacré, tendre et humble ».
Comment ne pas avoir ici la confusion entre la nature et la grâce qui est à la racine des erreurs véhiculés par Laudate Deum ?
Elles sont bien plus graves que les déclarations du pape sur le climat et le règlement mondialiste de la « crise du climat », qui – est-il nécessaire de le rappeler ? – ne bénéficient d’aucune garantie d’infaillibilité et ne lient pas les catholiques.
Si sur ce point, il nous est possible de rester détendus, les étranges déclarations du pape François qui touchent la foi elle-même ont de quoi nous secouer. Comment un pape peut-il dire de telles choses ?
En tant qu’homme, il le peut. Comme chacun de nous le sommes trop souvent, il peut être infidèle à la mission que Dieu lui donne. Mais l’Eglise, nous le savons aussi, bénéficie de la promesse divine : les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle (ce qui laisse comprendre, bien sûr, qu’elles s’efforcent de l’abattre depuis que le Christ l’a instituée), et Notre Seigneur restera avec elle jusqu’à la fin des temps.
Sommes-nous secoués ? Certainement. Mais alors l’heure est à la prière : la prière pour le pape. Et nous pouvons aussi crier : « Seigneur, nous périssons ! », mais en étant sûrs, déjà, de la réponse : « Pourquoi êtes-vous effrayés, hommes de peu de foi ? »
« Et moi, je suis avec vous jusqu’à la fin des temps. » (Mt 28, 20)
Jeanne Smits
SOURCE :
https://reinformation.tv/francois-laudate-deum-foi-smits/
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
Dans cet article, on peut facilement constater où se positionne le Pape François, d'abord en défendant l'Agenda Climatique des Mondialistes, ensuite en ayant déjà défendu l'Agenda Vaccinal des mêmes Mondialistes et, enfin, en faisant la promotion d'un Gouvernement Mondial qui sera le Gouvernement de l'Antéchrist, ne l'oublions jamais !
L'Administrateur
6 octobre 2023
Le 4 octobre, François a publié son exhortation "apostolique" sans valeur, Laudate Deum, sur le changement climatique, un sujet qui ne relève pas de la compétence d'un pape.
Dans cette exhortation, François se contente de répéter l'idéologie oligarchique et tente d'effrayer le lecteur avec des expression comme "planète en souffrance", "le monde s'écroule", "on approche du point de rupture"...
Jouant les prophètes de malheur, François parle de "canicules", d'"inondations", de "sécheresses sévères", de "chaleur extrême", de "fonte des calottes glaciaires", d'"accélération inhabituelle du réchauffement", d'"élévation du niveau des mers", de "manifestations irréversibles pour au moins des centaines d'années", d'"énormes dégâts que nous avons causés", de "diagnostics apocalyptiques". Il estime qu'il n'y a "pas de retour en arrière" possible.
Puis il tourne tout cela à la plaisanterie en affirmant que ces prédictions sont "confirmées par la pandémie de Covid-19" (sic). Autre plaisanterie : "La crise climatique n'est pas vraiment une question qui intéresse les grandes puissances économiques".
Au lieu de répondre aux arguments solides qui ont démystifié le changement climatique d'origine humaine, il les dénigre en les qualifiant de "déraisonnables", comme si François connaissait quoi que ce soit à la raison.
Au cœur du texte (section 35), il prône un dangereux gouvernement mondial unique, rêvant d'une "autorité mondiale régulée par la loi" qui "doit être dotée d'une "autorité réelle" pour assurer la réalisation de "certains objectifs inaliénables" [des oligarques].
Il divague sur ce qu'il appelle "l'ancien multilatéralisme", qu'il veut "recréer à la lumière de la nouvelle situation mondiale" en établissant une "nouvelle procédure de prise de décision".
En résumé, si un fonctionnaire de l'ONU ignorant toute théologie avait écrit un traité sur les "Nouveaux aspects de la Sainte Trinité", il aurait pu l'intituler Laudate Deum.
SOURCE :
https://gloria.tv/post/74pmc76hv32u6ZiiKJAfhoVbK
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
Laudate Deum: de la Théologie de la Libération à la Théologie de l’Emission
10 Oct 2023
L’exhortation climatique est « un document très dangereux », qui relègue aux oubliettes « ce qui devrait être la tâche fondamentale de l’Eglise: la prédication du kérigma, le message de salut pour tous les hommes ». C’est ce que nous dit en substance cet éditorial du consultant géopolitique de la NBQ, le Professeur Eugenio Capozzi, spécialiste d’histoire contemporaine.
Invoquant un présumé consensus scientifique, et alignant de façon acritique et sans sources sérieuses une série d’affirmations non étayées scientifiquement sur l’origine présumée « anthropique » du présumé « réchauffement climatique », l’exhortation renvoie les décisions à un gouvernement supranational, en contradiction frontale avec la doctrine sociale de l’Eglise, mais aussi avec le multilatéralisme tant vanté par ailleurs.
Elle ouvre ainsi une voie qui, si elle est poursuivie sans correction, peut avoir des conséquences dévastatrices sur la raison d’être même de l’Église.
.
Bref, après la théologie de la Libération, voici la « théologie de l’émission »
Laudate Deum: La capitulation de l’Eglise devant les Verts
Eugenio Capozzi
lanuovabq.it
10 octobre 2023
Avec Laudate Deum, l’Église s’engage sur une voie dangereuse, celle de l’idéologie écologique, qui, si elle est poursuivie sans correction, peut avoir des conséquences dévastatrices sur la raison d’être même de l’Église.
L’exhortation apostolique Laudate Deum, consacrée à la « crise climatique », par laquelle le pape François a souhaité ouvrir le « Synode sur la synodalité » à Rome, ne s’inscrit pas seulement dans le sillage déjà consolidé de l’ivresse de l’Église catholique pour l’idéologie écologiste millénariste et ses dogmes sur le « changement climatique » anthropocentrique, mais représente le tournant par lequel le catholicisme est entraîné sur un territoire qui est en fait incompatible avec l’humanisme chrétien, poussant à l’extrême une tendance déjà manifestée dans l’encyclique Laudato Si’ et dans de nombreuses autres déclarations papales.
Il s’agit d’un document très dangereux, tant par la méthode que par la substance de ses arguments.
En ce qui concerne le premier aspect, il concentre son attention sur des questions exclusivement politiques, économiques et scientifico-technologiques, appelant à la poursuite d’un objectif pratique et spécifique, et donnant ainsi l’impression de mettre de côté ce qui serait la tâche fondamentale de l’Église : la prédication du kérigma, le message de salut pour tous les hommes qui regarde la vie sub specie aeternitatis et transcende chaque question du débat public dans la dimension de l’histoire, tout en ne s’en désintéressant certainement pas.
De plus, dans son discours, le pontife prétend présenter des arguments scientifiques et techniques irréfutables sans aucune autorité, et cite à l’appui des sources déclarées fiables sur une base totalement non critique, comme celles des scientifiques du GIEC (dont l’existence même dépend d’un postulat politique, celui de l’urgence climatique, et non d’une voie libre vers la recherche de la vérité), alors qu’il en rejette tout aussi a priori et sans esprit critique d’autres, à savoir tous ceux qui critiquent la thèse du changement climatique anthropogénique.
Sur le fond, Laudate Deum présente une série embarrassante d’affirmations plus infondées et contradictoires les unes que les autres.
Tout d’abord, il déclare comme s’il s’agissait d’un fait établi, sans éprouver le besoin de citer aucune source à l’appui, que « le monde dans lequel nous vivons s’effrite et s’approche peut-être d’un point de rupture », et que le changement climatique aura un impact social et économique dramatique dans le monde entier, dont les signes « sont là, toujours plus évidents », en se basant sur une observation empirique automatiquement et universellement acceptée, et en mettant dans le même sac le changement climatique fictif et les problèmes beaucoup plus concrets et réels de la pollution.
Il tente ensuite de réfuter les critiques de la théorie du changement climatique anthropique en affirmant que la grande majorité des scientifiques la soutiennent : un fait totalement fictif, issu d’une interprétation statistique erronée d’un document vieux de dix ans, et qui, même s’il était vrai, ne prouverait certainement pas que la majorité a raison, mais nécessiterait au contraire un examen minutieux des arguments des deux parties.
Il est également avancé que la différence entre les fluctuations de température globale d’autres époques et le processus supposé se dérouler aujourd’hui réside dans la rapidité beaucoup plus grande de ce dernier. Cette affirmation est contredite par les observations des dernières décennies, qui ont vu alterner des périodes de croissance de la température et d’autres de stagnation, et par l’histoire des fluctuations de température encore plus abruptes au cours des derniers siècles.
Enfin, et surtout, sur la base de ces affirmations apodictiques et erronées, et en vue de la prochaine COP28 à Dubaï, il appelle à des « formes contraignantes de transition énergétique qui aient trois caractéristiques : qu’elles soient efficaces, qu’elles soient contraignantes et qu’elles soient facilement contrôlables ».
En d’autres termes, il appelle à une centralisation des décisions politiques au niveau supranational qui impose une accélération drastique des mesures de réduction des émissions de dioxyde de carbone, avec la conviction qu’elles produiront une diminution même partielle de la température globale, et des réglementations rigides qui outrepassent les processus décisionnels démocratiques établis dans les différentes nations, au nom d’un « super-gouvernement » mondial sur des bases scientifiques et techniques.
Une exigence qui est exactement à l’opposé de la prévalence de l’homme sur la technocratie qui est censée être le principe inspirateur fondamental de la vision politique qui sous-tend l’exhortation. Et qui est en contradiction flagrante avec le multilatéralisme qui, en présence d’un monde structurellement multipolaire, est indiqué quelques pages plus haut comme l’étoile polaire nécessaire des relations internationales.
Dans cette optique, le pape va même jusqu’à justifier les provocations des mouvements écologistes radicaux « occupent un vide dans l’ensemble de la société, qui devrait exercer une saine pression, car il appartient à chaque famille de penser que l’avenir de ses enfants est en jeu » ; donc comme un moyen, en l’absence d’action gouvernementale efficace, d’éveiller l’opinion publique et les classes politiques.
Nous sommes clairement confrontés à une déformation profonde de ce que devrait être la vision du monde et des problèmes sociaux et politiques de l’Église catholique, à commencer par la formulation de sa doctrine sociale.
Face à la sécularisation et au relativisme radical qui sévissent dans tout l’Occident, qui était encore il y a quelques siècles ou quelques décennies la « chrétienté », l’Église du pape Bergoglio choisit de ne pas cimenter et revitaliser son fondement transcendant, mais au contraire de se consacrer à une idée purement immanente du salut, transformant la doctrine de la protection de la Création en une adhésion passive à l’une des idéologies les plus autoritaires nées du relativisme séculier : l’environnementalisme apocalyptique et millénariste qui rend l’égoïsme et la cupidité de l’homme responsables d’une transformation catastrophique de la nature qui conduira à sa propre extinction, et qui exige qu’il répare ce « péché » par l’expiation et la mortification de son mode de vie.
Après les séductions de la « théologie de la libération » des dernières décennies, heureusement contenues et rejetées sous les pontificats de Jean-Paul II et de Benoît XVI, le catholicisme a plongé, en somme, avec l’écologisme aveugle et extrémiste de Laudate Deum, dans une véritable « théologie des émissions ».
Une voie qui, si elle est poursuivie sans correction, peut avoir des conséquences dévastatrices sur la raison d’être même de l’Église.
SOURCE :
https://www.benoit-et-moi.fr/2020/2023/10/10/laudate-deum-ou-laudate-gaia/
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
Nouvelle Eglise: ceci n’est pas une crise, c’est une révolution
10 Oct 2023
AM Valli constate avec amertume que tout ce qu’il avait écrit en 2017 dans son récit de religion-fiction intitulé « Come la Chiesa finì« (cf. Benoit-et-moi|Comment l’Eglise a fini, 28/12/2017) est en train de se réaliser sous nos yeux (alors que 99% des catholiques ne sont au courant de rien, regardent ailleurs ou vivent dans une douce hébétude), et que le Synode sur la synodalité en constitue le couronnement… en attendant pire encore.
Ce n’est pas seulement une crise, c’est une révolution.
Voilà pourquoi, pour être catholique, il faut être contre-révolutionnaire.
www.aldomariavalli.it/2023/10/10
Quand je parle de la crise actuelle de l’Église et dans l’Église, des amis essaient de me consoler en affirmant qu’il y a eu beaucoup de crises dans le passé et que l’Église s’en est toujours sortie. C’est vrai, mais la crise actuelle est unique. Il n’y a pas de précédent car nous avons affaire à un pape qui, dès le début de son mandat, a entrepris de déstabiliser et de renverser : un comportement typiquement révolutionnaire.
Avec le pontificat actuel, nous ne voyons pas seulement la confusion et l’ambiguïté. Nous assistons à la tentative de donner naissance à une nouvelle religion pour remplacer le catholicisme, et le synode qui vient de commencer sera le moment privilégié de cette œuvre de subversion.
La réduction (disons même l’avilissement) du rôle de l’évêque est un acte nécessaire dans la logique révolutionnaire. La désarticulation de la structure hiérarchique est vitale pour ceux qui veulent la subvertir.
Le fait que l’action de Begoglio soit typiquement révolutionnaire peut également être déduit du climat de terreur qui règne au Vatican. Les dissidents doivent être très prudents, car la hache du caudillo peut s’abattre à tout moment sur le cou de ceux qui sont considérés comme des opposants.
Que tout cela se produise alors qu’en surface les mots dominants sont « accompagnement » et « miséricorde » ne devrait pas nous surprendre. Le caudillo et ses laquais recourent volontiers à la propagande paternaliste dans leur travail de subversion.
Quand, à propos du synode, un site comme le caminante-wanderer argentin parle de la révolution d’octobre et de congrès péroniste, il n’exagère pas. Il photographie simplement la réalité.
Même la publication de Laudate Deum est au service du projet révolutionnaire. Tandis qu’une partie du « peuple » catholique se demande avec perplexité ce qu’il adviendra de l’Église, le caudillo porte son attention sur l’un des contenus forts de la nouvelle religion, cet écologisme qui lui permet d’une part de s’accréditer encore plus en tant qu’aumônier des organismes mondialistes et d’autre part de se débarrasser complètement de l’ancien bagage. Le nom de Jésus disparaît et, dans les diocèses, les assistants diligents du caudillo plantent des arbres. Même la croix est remisée aux oubliettes, tout comme le crucifix. Pendant ce temps, tous les représentants du mondialisme sont reçus au Vatican, de Bill Clinton à Soros fils en passant par la veuve McCain, [militante homosexuelle, qui lui a offert un très curieux cadeau]. Un pèlerinage qui nous donne également une idée visuelle de la manière dont la révolution est en train de se dérouler. L’Église et la foi sont démantelées pièce par pièce et, à leur place, une autre Église, une autre foi, est en train d’être assemblée.
On a fait remarquer que Laudate Deum, en termes de contenu, n’atteint même pas le niveau d’une dissertation médiocre. Si un étudiant l’avait présenté, il aurait difficilement obtenu son diplôme. Mais là encore, ce n’est pas surprenant. L’appauvrissement conceptuel et stylistique fait également partie du plan révolutionnaire de ceux qui veulent détruire.
Il y a seulement quelques années, tout ce que nous voyons aurait pu être une dystopie. Dans mon récit fantareligieux sarcastique Come la Chiesa finì (publié pour la première fois en 2017), j’ai imaginé une succession d’étapes : avec l’encyclique Alea iacta est, le pape adapterait l’Église au monde ; avec la lettre pastorale Tabula rasa, l’Église adopterait le bipartisme selon la logique du » mais aussi » (oui mais aussi non, non mais aussi oui) ; la Congrégation pour la doctrine de la foi deviendrait la Congrégation pour l’adaptation de la foi ; l’encyclique Captatio benevolentiae [/recherche de la bienveillance de l’auditoire] contiendrait le mode d’emploi à suivre pour mettre fin à toute différence entre l’Église et le monde ; avec le motu proprio Gaudeamus igitur [/réjouissons-nous donc], l’Église catholique changerait officiellement de nom et deviendrait l’Église accueillante ; avec l’encyclique Panem et circenses, l’Eucharistie serait accordée à tous comme un droit ; avec les exhortations Amoris hilaritas [/joie de l’amour] et Amoris iucunditas [/jouissance de l’amour], l’Église accueillante épouserait définitivement les idées du monde dans le domaine de la sexualité.
Et ainsi de suite. Jusqu’à la fin. Au sens littéral.
Je le répète : ce récit date de 2017. Et aujourd’hui, c’est bel et bien la réalité. Mais ma dystopie était naïve. Elle n’avait pas imaginé, par exemple, la promotion d’un Tucho Fernández, le spécialiste du baiser, à la tête de ce qui fut le Saint-Office.
Beaucoup de mes amis ont été contrariés par la présentation de Laudate Deum parce que des gens comme Giorgio Parisi (le scientifique qui a empêché Benoît XVI de parler à la Sapienza de Rome), l’écrivain Jonathan Safran Foer (qui recommande de ne pas avoir d’enfants et de ne pas manger de viande pour lutter contre le changement climatique), et Luisa-Marie Neubauer, adepte de Greta Thunberg, ont été invités au Vatican. Mais seuls ceux qui n’ont pas encore compris que nous sommes face à une révolution peuvent s’en émouvoir. Le véritable moteur de cette révolution, comme de toutes les révolutions, c’est la haine. La haine de ce qui était et ne doit plus être.
Par conséquent, si nous voulons être catholiques aujourd’hui, nous devons être contre-révolutionnaires.
A.M.V.
SOURCE :
https://www.benoit-et-moi.fr/2020/2023/10/10/nouvelle-eglise-ceci-nest-pas-une-crise-cest-une-revolution/
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
Quand le catastrophisme climatique version ONU remplace la foi catholique.
7 octobre 2023
Riccardo Cascioli passe au crible l’exhortation « climatique » présentée (symboliquement?) le mercredi 4 octobre, fête de Saint François – dont François porte le nom et dont il prétend s’inspirer, au point de l’associer au titre d’une encyclique – dans les jardins du Vatican. Si l’on en juge par le contenu du texte rédigé à la hâte (merci le copié-collé), truffé d’inexactitudes scientifiques, d’affirmations contradictoires et de slogans éculés des années 70 ou tout droit sortis des documents de l’ONU, le tout assaisonné de la touche « rouge » typiquement bergoglienne, l’appropriation du grand Saint (et patron de l’Italie) est un hold-up pur et simple.
.
Et il fallait que cela sorte juste au moment où s’ouvre le Synode qui veut acter la démolition de l’Eglise.
Ça ne commence pas à faire un peu beaucoup?
L’EXHORTATION SUR LE CLIMAT
Laudate Deum, le catastrophisme remplace la foi catholique
Riccardo Cascioli
lanuovabq.it/it/laudate-deum-il-catastrofismo-sostituisce-la-fede-cattolica
7 octobre 2023
L’exhortation apostolique publiée le 4 octobre dernier érige en dogme la thèse du réchauffement climatique d’origine humaine, au moment même où le pape remet en cause certaines vérités fondamentales de l’Eglise.
Parfois, on espère vraiment qu’à un moment donné, les auteurs vont sortir et crier que nous sommes dans « Scherzi a parte » [« Blague à part » – Emission de télévision, version italienne de « Caméra cachée »]. Car s’il ne s’agit pas d’une plaisanterie, il est en effet dramatique de voir que le pape, vicaire du Christ sur terre, en même temps qu’il remet en cause les vérités de foi et les prises de position « définitives » de ses prédécesseurs, impose au contraire comme un dogme ses convictions sur les causes humaines du réchauffement climatique, en insultant les scientifiques et les catholiques qui ne s’y conforment pas.
C’est ce à quoi nous assistons – déconcertés – ces jours-ci encore, avec pour épicentre le 4 octobre. D’une part, le début du Synode, organisé et mené pour renverser les fondements de l’Église telle que nous la connaissons depuis deux mille ans ; d’autre part, la publication de l’exhortation apostolique Laudate Deum, deuxième volet de l’encyclique Laudato Si‘, dans laquelle la « religion » du changement climatique est définie de manière dogmatique.
Ce document est pour le moins embarrassant : rédigé à la hâte et de manière superficielle par des personnes qui copient-collent des clichés éculés sur le réchauffement climatique ; plein d’affirmations prétendument scientifiques sans autre preuve que « c’est évident » et « on ne peut pas le nier ». Fonte des glaciers, chaleur anormale, « sécheresses et inondations, assèchement des lacs et populations emportées par les raz-de-marée ou les inondations », élévation du niveau des mers, disparition d’espèces végétales et animales : « Le monde qui nous accueille s’écroule ». Pas seulement : « des millions de personnes perdent leur emploi à cause des diverses conséquences du changement climatique » (où et pourquoi ?), alors qu’au contraire, miraculeusement, la transition énergétique est « capable de générer d’innombrables emplois dans divers secteurs » (lesquels, où et quand ?).
Autant d’évidences, dit le Pape, sinon pour ceux qui persistent à nier la catastrophe climatique causée par « l’intervention humaine effrénée sur la nature au cours des deux derniers siècles » : « Je suis obligé de faire ces clarifications, qui peuvent sembler évidentes », dit le Pape François, « à cause de certaines opinions méprisantes et déraisonnables que je trouve même à l’intérieur de l’Église catholique » (n° 14).
Le 25 mars dernier, La Bussola a organisé à Milan un séminaire auquel ont participé divers scientifiques et experts : il vaut la peine de revoir ces interventions [en vidéo, malheureusement seulement en italien] (y compris l’introduction de Mgr Giampaolo Crepaldi, qui explique bien ce qu’est une approche de l’environnement fondée sur la foi) pour comprendre ce qu’est réellement la science par rapport aux nombreuses inepties que l’on peut lire dans cette Exhortation :
- gaz à effet de serre et dioxyde de carbone utilisés comme synonymes (n. 11)
- dioxyde de carbone jugé comme un gaz à effet de serre (n. 12)
- dioxyde de carbone jugé comme un polluant, alors qu’il est indispensable à la vie
- la pandémie de Covid-19 encore attribuée à la relation erronée de l’homme avec « les autres êtres vivants et l’environnement » (n. 19) alors qu’il devrait désormais être clair , même pour les pierres, qu’il s’agit d’un virus « échappé » d’un laboratoire (le pape devrait se le faire expliquer par son conseiller Jeffrey Sachs, qui l’a dit à toutes les sauces) ;
- exaltation de l’énergie « verte » d’où la nécessité d’agir vite, et en même temps, condamnation de la technologie nécessaire à la transition tant convoitée (n° 22).
Et ce, pour ne citer que quelques exemples.
D’autres passages ne sont pas non plus à négliger : quand il veut donner un exemple positif « de l’interaction de l’homme avec l’environnement », le pape François ne pense nullement au travail des moines bénédictins ni même à l’approche de « son » saint François, mais seulement aux « cultures indigènes », continuant à propager un mythe – celui de l’harmonie entre l’homme et l’environnement typique des sociétés primitives – qui n’existe que dans l’imagination des survivants des années 1970.
Par ailleurs, dans la partie consacrée à la politique internationale, le pape François, concluant ses réflexions fragmentées et confuses en faveur d’un multilatéralisme « du bas » plus efficace, semble soutenir la nécessité d’une organisation internationale capable d’imposer des décisions drastiques pour la réduction du dioxyde de carbone, et capable de faire plier « les intérêts circonstanciels de quelques pays ou entreprises » (nn. 59 et 60), dès la prochaine conférence sur le climat qui se tiendra à Dubaï.
C’est à cela que servent « les actions des groupes dits « radicalisés » « , autrement dit ceux qui bloquent les routes pour empêcher les gens d’aller au travail, chez le médecin ou là où ils veulent, ou qui dégradent des monuments ou attaquent ceux qui s’opposent à cette idéologie violente.
Le Pape se place résolument de leur côté car « ils comblent un vide dans l’ensemble de la société, qui devrait exercer une saine pression, car il appartient à chaque famille de penser que l’avenir de ses enfants est en jeu » (n. 58). Bref, la fin justifie les moyens et c’est notre faute si nous ne faisons pas de même. Des propos d’une gravité déconcertante, qu’il est incroyable de trouver dans un document magistériel de l’Église catholique.
Enfin, l’incitation à la haine contre l’homme occidental, seul véritable responsable de la catastrophe climatique et de la tentative d’entraver la transition écologique, qui s’est enrichi au détriment de ceux qui ont été plongés dans la pauvreté. Nous sommes face à des analyses politico-économiques qui frisent le ridicule.
Mais malheureusement, elles donnent le feu vert à ceux qui tentent d’imposer un totalitarisme mondial en surfant sur la catastrophe climatique, et elles donnent un coup de pouce à ceux qui veulent faire taire les scientifiques sérieux et honnêtes qui continuent à dire la vérité.
SOURCE :
https://www.benoit-et-moi.fr/2020/2023/10/07/quand-le-catastrophisme-climatique-version-onu-remplace-la-foi-catholique/
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Re: Le Pape François écrit la deuxième partie de "Laudato Si", l'Encyclique sur l'Environnement !
LE PAPE FRANÇOIS CONFIRME QU'IL PARTICIPERA À LA CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES À DUBAÏ !
Le Pape François confirme qu'il participera à la conférence des Nations Unies sur le changement climatique COP28 à Dubaï. La participation du pape à la conférence des Nations unies sur le changement climatique de Dubaï est une première historique, et constitue un signal de son soutien à l'Accord de Paris.
2 novembre 2023
CIEL DU VATICAN (LifeSiteNews) - Le Pape François a annoncé qu'il participerait à la prochaine conférence sur le changement climatique "COP28" qui se tiendra à Dubaï en décembre, ce qui constitue une première historique.
Lors d'une interview télévisée avec le média italien TG1, le Pape François a confirmé les informations précédentes selon lesquelles il participerait à la prochaine conférence COP28 qui se tiendra à Dubaï.
"Oui, j'irai à Dubaï", a déclaré le pape. "Je pense que je partirai du 1er au 3 décembre. J'y resterai trois jours".
François a fait référence à une conversation qu'il a eue avec l'ancienne ministre de l'environnement de l'Union européenne, Ségolène Royal, qui a demandé au pape de rédiger un document sur le changement climatique.
"J'ai appelé des scientifiques ici, qui ont agi rapidement. Laudato sí" a été publié, avant Paris", a déclaré François, faisant référence à la conférence sur le changement climatique COP21 de Paris 2015 qui a établi l'Accord de Paris.
"Et la réunion de Paris a été la plus belle de toutes. Après Paris, tout le monde a reculé, et il faut du courage pour aller de l'avant dans ce domaine", a déclaré François.
La nouvelle de la possible participation du pape à la conférence - qui doit se tenir du 30 novembre au 12 décembre aux Émirats arabes unis - était apparue comme une forte probabilité ces derniers jours, lorsque La Croix a cité "plusieurs sources vaticanes haut placées" confirmant le voyage prévu du pape.
La décision aurait été prise après que le pape François a rencontré en privé le président de la COP28, le sultan Ahmed Al Jaber, le 11 octobre au Vatican. M. Al Jaber a décrit la conférence comme "une occasion unique de repenser, de redémarrer et de recentrer l'agenda climatique".
La série annuelle de conférences des Nations unies sur le changement climatique, ou Conférence des parties (COP), se tient dans un pays différent à chaque fois, et ce depuis 1992. Depuis l'événement de 2015 à Paris et l'émergence de l'Accord de Paris sur le climat, les événements se sont concentrés sur la réalisation des objectifs restrictifs imposés par ce document.
La participation de François à la conférence revêt une importance particulière, car c'est la première fois qu'un pontife prend part à un tel sommet. Il devait initialement assister à la conférence COP26 à Glasgow en 2021, mais il a ensuite décidé de rester à Rome et d'envoyer le secrétaire d'État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, à sa place.
Mais le pape a également présenté cette COP comme un événement clé dans l'histoire de l'humanité, comme il l'a souligné dans les pages de son exhortation apostolique sur l'environnement, Laudate Deum, récemment publiée.
"Si nous avons confiance dans la capacité des êtres humains à transcender leurs intérêts mesquins et à penser en termes plus larges, nous pouvons continuer à espérer que la COP28 permettra une accélération décisive de la transition énergétique, avec des engagements effectifs soumis à un contrôle continu", a-t-il écrit. "Cette conférence peut représenter un changement de direction, montrant que tout ce qui a été fait depuis 1992 était en fait sérieux et en valait la peine, sinon elle sera une grande déception et mettra en péril tout ce qui a été accompli jusqu'à présent.
François a critiqué le fait que les objectifs de réduction de la température de l'Accord de Paris pro-avortement n'avaient pas encore été atteints, et a critiqué les conférences COP précédentes pour leurs actions "imprécises".
Par conséquent, François a plaidé pour que la prochaine conférence de Dubaï émette et mette en œuvre des politiques obligatoires sur le "changement climatique" pour les pays. Il a écrit que "[s]i l'on souhaite sincèrement faire de la COP28 un événement historique qui nous honore et nous ennoblit en tant qu'êtres humains, alors on ne peut qu'espérer des formes contraignantes de transition énergétique qui remplissent trois conditions : qu'elles soient efficaces, obligatoires et facilement contrôlables."
Une telle mesure, a-t-il déclaré, permettrait de "réaliser le début d'un nouveau processus marqué par trois exigences : qu'il soit drastique, intense et qu'il compte sur l'engagement de tous."
"Ce n'est pas ce qui s'est passé jusqu'à présent, et seul un processus de ce type peut permettre à la politique internationale de retrouver sa crédibilité, car ce n'est que de cette manière concrète qu'il sera possible de réduire de manière significative les niveaux de dioxyde de carbone et d'éviter des maux encore plus graves au fil du temps."
Les organisateurs de la COP28 font écho aux propos du pape, décrivant la conférence comme un "moment clé" permettant de "fournir une évaluation complète des progrès accomplis depuis l'adoption de l'Accord de Paris."
"Cela permettra d'aligner les efforts sur l'action climatique, y compris les mesures qui doivent être mises en place pour combler les lacunes dans les progrès", affirment les organisateurs.
Dans un message adressé aux participants de la COP28 en mai dernier, le pape François a appelé à la fin de "l'ère des combustibles fossiles" :
Les dirigeants mondiaux qui se réuniront pour le sommet COP28 à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre prochain doivent écouter la science et mettre en place une transition rapide et équitable pour mettre fin à l'ère des combustibles fossiles.
L'engagement personnel du pape François en faveur de l'agenda du "changement climatique" est bien documenté et s'est imposé comme l'un des thèmes centraux de ses dix années de règne. Sa promotion continue de l'Accord de Paris, qui sous-tend la majorité de l'agenda actuel du "changement climatique", se fait en dépit des principes fondamentalement pro-avortement de l'accord, qui sont liés à l'objectif déclaré de l'ONU de créer un "droit" universel à l'avortement, conformément à l'objectif n° 5.6 des Objectifs de développement durable de l'organisation.
Le pape est allé jusqu'à signer l'adhésion du Vatican aux principes de l'accord en 2022. Son précédent texte sur l'environnement, Laudato Si', a donné naissance à un mouvement international qui associe l'activisme en faveur du "changement climatique" aux paroles du pape. Le mouvement Laudato Si' lance des appels au désinvestissement des combustibles fossiles et vise à "transformer la lettre encyclique Laudato Si' du pape François en action pour la justice climatique et écologique".
SOURCE :
https://www.lifesitenews.com/news/pope-francis-confirms-he-will-attend-uns-cop28-climate-change-conference-in-dubai/
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