Trois catégories de prêtres (message de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles).
Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Mgr Ottavio Michelini (Italie)
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Trois catégories de prêtres (message de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles).
20 octobre 1975
Maintenant, c'est assez, mon fils. Je te bénis, et avec Moi te bénissent ma Mère et saint Joseph.
(Source : Editions du Parvis – Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles – 1990 – chapitre 76 pages 152/154).
Des saints prêtres
Il y a des prêtres saints, des prêtres bons, vraiment bons, qui, en union avec Moi, vivent ma vie divine.
Ils sont éclairés par la sagesse, guidés dans leurs efforts pastoraux par l'Esprit-Saint. Ils suivent mes enseignements, qui leur sont communiqués par mon Vicaire sur la terre, le Pape.
Ils sont animés et vivifiés par l'Amour, qui est un feu qui purifie, éclaire et réchauffe, qui les transforme et les unit à Moi, comme Moi Je suis uni au Père. Ils remplissent avec diligence leur ministère sacerdotal, portant les âmes à Moi par la prière, et l'offrande de la souffrance.
Ils sont chers à mon Coeur miséricordieux comme ils sont chers à ma et votre Mère; ils sont l'objet de ma prédilection ! L'humilité qui les anime a attiré sur eux le regard miséricordieux du Verbe de Dieu, du Père et du Saint-Esprit.
A cause d'eux, de leur piété, beaucoup de peines ont été épargnées aux hommes. Ils ont assuré ma protection; une place et une couronne les attendent en paradis.
Ils sont éclairés par la sagesse, guidés dans leurs efforts pastoraux par l'Esprit-Saint. Ils suivent mes enseignements, qui leur sont communiqués par mon Vicaire sur la terre, le Pape.
Ils sont animés et vivifiés par l'Amour, qui est un feu qui purifie, éclaire et réchauffe, qui les transforme et les unit à Moi, comme Moi Je suis uni au Père. Ils remplissent avec diligence leur ministère sacerdotal, portant les âmes à Moi par la prière, et l'offrande de la souffrance.
Ils sont chers à mon Coeur miséricordieux comme ils sont chers à ma et votre Mère; ils sont l'objet de ma prédilection ! L'humilité qui les anime a attiré sur eux le regard miséricordieux du Verbe de Dieu, du Père et du Saint-Esprit.
A cause d'eux, de leur piété, beaucoup de peines ont été épargnées aux hommes. Ils ont assuré ma protection; une place et une couronne les attendent en paradis.
Des prêtres dépaysés
La seconde catégorie est celle des dépaysés, des désorientés. Ce sont ceux qui ont beaucoup plus à coeur les affaires du monde que celles de Dieu. Et il y en a tant, mon fils.
Ils ont du temps pour tout, pour leurs affections humaines, pour les distractions, pour des lectures nuisibles à leur âme et qui accroissent les ombres. Aucun temps pour prier, pour méditer. Leur vie n'est pas une vie d'union à Dieu.
Ils manquent du don de la Sagesse. Ils ne voient pas, ils ne comprennent pas; en somme, ils ont des oreilles, mais n'entendent pas; ils ont des yeux, mais ne voient pas. Leur formalisme parodie une pratique de vie chrétienne, vidée de son âme authentique, sans vie de la grâce.
Parmi ceux-là, les départs ont été nombreux. Très nombreuses seront les fugues, les apostasies proprement dites, à l'heure de la Justice. En cette heure, beaucoup manifesteront devant le monde leur identité de Judas. J'ai dit devant le monde, car Moi Je les connais depuis toujours.
Mais Je les aime encore et Je veux leur conversion. Le Père les attend. Il n'a qu'un désir, dire à chacun: « Viens, ô fils, tout est oublié, toute les scories de ton âme sont brûlées par mon Amour ! Mais précisément parce que Je t'aime, Je ne peux pas te cacher quelle terrible responsabilité c'est de résister à Dieu qui t'attend, à Dieu qui t'aime jusqu'à répandre continuellement son précieux Sang pour toi. Le malade qui refuse le médecin et les médicaments est appelé à périr. Voilà pourquoi J'ai voulu parvenir jusqu'à toi par tous les moyens, y compris cette invitation à la conversion avant qu'il ne soit trop tard. »
L'instrument dont Je me suis servi a eu l'ordre de crier fort à tous: «Convertissez-vous au Seigneur votre Dieu; convertissez-vous avant qu'il ne soit trop tard. »
Je vous le répète, l'heure de la miséricorde est sur le point de céder le pas à l'heure de la justice. Ne vous en prenez pas à mon insistance; ne dites pas : c'est la monotonie de la répétition. Je suis votre Dieu. Je suis votre Père, Je suis votre Frère, Je suis votre Sauveur. Seul l'Amour inspire et pousse Dieu à vous prier, à vous supplier : «Convertissez-vous avant qu'il ne soit trop tard; autrement vous périrez ! » C'est une ruse de votre ennemi Satan de vous faire croire que la Justice divine est morte. Miséricorde et Justice en Moi sont une seule et même chose.
Est-ce possible, un tel aveuglement ?
Ils ont du temps pour tout, pour leurs affections humaines, pour les distractions, pour des lectures nuisibles à leur âme et qui accroissent les ombres. Aucun temps pour prier, pour méditer. Leur vie n'est pas une vie d'union à Dieu.
Ils manquent du don de la Sagesse. Ils ne voient pas, ils ne comprennent pas; en somme, ils ont des oreilles, mais n'entendent pas; ils ont des yeux, mais ne voient pas. Leur formalisme parodie une pratique de vie chrétienne, vidée de son âme authentique, sans vie de la grâce.
Parmi ceux-là, les départs ont été nombreux. Très nombreuses seront les fugues, les apostasies proprement dites, à l'heure de la Justice. En cette heure, beaucoup manifesteront devant le monde leur identité de Judas. J'ai dit devant le monde, car Moi Je les connais depuis toujours.
Mais Je les aime encore et Je veux leur conversion. Le Père les attend. Il n'a qu'un désir, dire à chacun: « Viens, ô fils, tout est oublié, toute les scories de ton âme sont brûlées par mon Amour ! Mais précisément parce que Je t'aime, Je ne peux pas te cacher quelle terrible responsabilité c'est de résister à Dieu qui t'attend, à Dieu qui t'aime jusqu'à répandre continuellement son précieux Sang pour toi. Le malade qui refuse le médecin et les médicaments est appelé à périr. Voilà pourquoi J'ai voulu parvenir jusqu'à toi par tous les moyens, y compris cette invitation à la conversion avant qu'il ne soit trop tard. »
L'instrument dont Je me suis servi a eu l'ordre de crier fort à tous: «Convertissez-vous au Seigneur votre Dieu; convertissez-vous avant qu'il ne soit trop tard. »
Je vous le répète, l'heure de la miséricorde est sur le point de céder le pas à l'heure de la justice. Ne vous en prenez pas à mon insistance; ne dites pas : c'est la monotonie de la répétition. Je suis votre Dieu. Je suis votre Père, Je suis votre Frère, Je suis votre Sauveur. Seul l'Amour inspire et pousse Dieu à vous prier, à vous supplier : «Convertissez-vous avant qu'il ne soit trop tard; autrement vous périrez ! » C'est une ruse de votre ennemi Satan de vous faire croire que la Justice divine est morte. Miséricorde et Justice en Moi sont une seule et même chose.
Est-ce possible, un tel aveuglement ?
Des prêtres qui se considèrent eux-mêmes comme bons
La troisième catégorie est formée de ces prêtres qui se considèrent en eux-mêmes comme bons. Ils vivent comme s'ils étaient bons, mais un voile les enveloppe : le voile de leur présomption qui fait qu'ils ne voient pas cette réalité intérieure, laquelle souvent peut échapper aux hommes mais non pas à Moi, Dieu.
En d'autres termes : ils manquent de la vraie et sincère humilité, cette humilité qui doit faire de vous autant d'enfants. Manque la simplicité de l'humilité. A eux mon Père ne révèle rien.
Leur conversion est difficile; leur orgueil est raffiné, revêtu d'humilité. Mais sous cette pseudo-humilité il y a le poison de Satan, exactement comme pour certains joyaux d'apparence précieuse qui, sous le vernis de l'or, sont de vil métal.
Ils ne croient qu'à eux-mêmes, ils dédaignent et souffrent mal que quelqu'un voie un peu plus loin qu'eux.
De multiples façons, Satan tend des pièges à mes prêtres. Pour ceux-là aussi il faut prier et souffrir, car ardue est leur conversion.
En d'autres termes : ils manquent de la vraie et sincère humilité, cette humilité qui doit faire de vous autant d'enfants. Manque la simplicité de l'humilité. A eux mon Père ne révèle rien.
Leur conversion est difficile; leur orgueil est raffiné, revêtu d'humilité. Mais sous cette pseudo-humilité il y a le poison de Satan, exactement comme pour certains joyaux d'apparence précieuse qui, sous le vernis de l'or, sont de vil métal.
Ils ne croient qu'à eux-mêmes, ils dédaignent et souffrent mal que quelqu'un voie un peu plus loin qu'eux.
De multiples façons, Satan tend des pièges à mes prêtres. Pour ceux-là aussi il faut prier et souffrir, car ardue est leur conversion.
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